Frédéric Van der Beken Frédéric Van der Beken 16 mars 2017 17:07

La protection sociale ou la protection chômage n’ont plus rien à faire sur une fiche de paye. Tout le monde en profite directement ou indirectement sans être spécialement salarié. Le moindre bailleur loue son F3 (financé en crédit d’impôt) à coup d’allocation logement qui sera peut être due à un chômeur.
Certainement une part doit être reprise sur la TVA et une autre part par une taxe plus ou moins linéaire (la courbure d’une courbe, ça se travaille ...) sur tous revenus d’où qu’il soit. Plus d’effet de seuil et une proportionnalité d’après une courbe plus ou moins droite.
Derrière les salariés et les entreprises son débarrassés d’une grande partie des charges, les prix doivent baisser et baisseront forcément sous le poids de la concurrence, les produits importés sont désavantagés et en cas d’achat, ils contribuent au financement du système social par la TVA augmentée.
L’opération doit être au minimum sans incidence négative jusqu’au salaire médian.
Bien calculé, bien étudié : ça ne change rien au pouvoir d’achat. Par contre au niveau nation, il y a un réel gain sur la balance commerciale, les frais de gestion, la compétitivité et par ricochet le chômage, ce cancer dont tous nos médecins présidentiables n’osent parler avec leurs patients installés devant la télé.
La protection sociale ou la protection chômage, c’est de la solidarité et non parce que l’un est en bonne santé et l’autre n’est que rentier.
Les assurances qui s’imposent à tous, relèvent déjà du principe du financé par tous même si on peut y mettre plein de nuances (oui ce n’est pas flat taxe ou taxe proportionnelle mais à l’intérieur d’une compagnie d’assurance, ex : 100% du risque automobile ne servent pas qu’au risque automobile et idem pour le reste).


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