La déroute du Parti Travailliste (équivalent néerlandais du PS français) ne bénéficie pas au SP (ex maoîste qui a largué le marxisme-léninisme). Le SP stagne en voix et perd un siège de député.
Mais bénéficie au GroenLinks (gauche verte), un mélange curieux d’ex-communistes, de gauche chrétienne, de pacifistes, d’écolos et du Parti Populaire évangélique (si si ça existait vraiment).
Presque toujours en Europe on observe la même évolution : les échecs électoraux des sociaux-démocrates libéraux ne bénéficient pas à l’extrême-gauche (ou aux partis les plus à gauche).