LionBlanc EtincelledeMer 18 mars 2017 23:28

Ma conclusion, Jack, est que depuis, bien avant le « règne » de Sarkozy, l’Occident a entamé une longue agonie : en fait, elle a signé son « arrêt de mort en 1968 » en s’interdisant d’interdire puisque Durkheim semble dire à travers l’exposé du suicide anomique que c’est précisément l’absence de cadre, de règles et le bouleversement des valeurs qui précipite vers ce type de suicide (ou mort par « plus envie de vivre »).


Je suis désolée, mais si quelque chose était à faire, c’était en 2012, c’est à cette époque que quelque chose pouvait encore être changé.

Et encore, j’avance des dates, par excès d’optimisme, car, si l’on observe les autres régimes qui ont disparu et comment cette agonie s’est déroulée, le sort de l’Occident, est joué depuis, déjà bien plus longtemps.



Il est joué depuis, après la 1ère guerre mondiale, puisque entre les deux guerres et après la seconde, ce fut « l’âge d’or » et conformément au livre sur la ponérologie politique, et la théorie de Durkheim, c’est à sa grandeur que l’on peut voir déjà se dessiner la pente que dévalera un régime.

Cet âge d’or s’est déchiré en 1940 pour revenir encore plus flamboyant !

En clair, c’est incontournable, plus un système est « puissant », doré, clinquant, plus sûre est sa chute prochaine (parce qu’à un moment les individus n’auront plus de défi, plus de « moteur » moral et spirituel : les brigands seront chefs, pasteurs ou guides moraux et les justes seront des crèves la faim).

Cela fait des années que je le dis, l’allégorie de l’Occident se lit à travers le naufrage du Titanic.


Quoi qu’il arrive, désormais, la seule option qui reste à l’Occident est : choisir de se « finir » avec panache...








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