« un droit (...) de révision des lois émanant de ce peuple » Mieux que
rien, mais le peuple français devra encore se contenter d’un droit
limité à d’exercice de sa souveraineté. Si une telle disposition devait être
adoptée par référendum, ça relèverait même, à nouveau, de la servitude
volontaire. Vive le peuple helvète !