Bonjour, Olivier Perriet
Le contexte n’est pas du tout le même qu’en 2012.
Cette année-là, Hollande a réussi à faire croire à une partie de l’électorat qu’il appliquerait une politique de gauche, malgré l’avertissement de Mélenchon.
Cette année-là, Mélenchon séduisait tout autant qu’il repoussait, du fait de ses éclats à répétition. « Le bruit et la fureur » était une arme à double tranchant.
Cette année-là, le discours de Mélenchon à Marseille a été mal compris et a donné lieu à une campagne de dénigrement très pénalisante.
Or, rien de tout cela ne se produit cette année.