Bonjour Laurent Herblay,
j’ai bien aimé votre billet, mais je bute sur la dernière phrase : ’’Mais on peut aussi se demander, comme le souligne Yann, de retour, si sa victoire ne pourrait être le chant du cygne de la pensée unique, le moyen d’en venir à bout. ’’ (Je n’ai pas envie de lire le lien)