A la manière de Stéphane Mallarmé :
Lorsque le vaticinant erratique, au larynx
Dédaléen, divague en sa tant dédiée
Et de l’absent manie avant tout radiée
Pour de l’insaisissable animer la syrinx,
Traduction du premier quatrain :
Lorsque le poète-prophète,
qui ne sait où il va
et dont la parole égare,
divague
en sa folie
si coutumière,
et qui avant d’exister,
se retranche même de ce
qui n’existe pas,
lorsqu’il va souffler
dans une flûte sans son,
...
Pour le sonnet complet, et sa traduction complète, voir Paul Reboux et Charles Muller.