eric 22 avril 2017 00:06

A vous lire, on a l’impression que vous étiez sur place, deux thermomètres à la main pour prendre la température des impétrants par la méthode traditionnelle français. Et on regrette de ne pas avoir été sur place.

Ne vous fatiguez pas. A droite, il y a surtout des divergence sur des idées. A gauche surtout des querelles de personnes et d’intérêt.

Je m’explique : Les socialistes ont trois candidats. Tous issus des fourgons du Miterrandisme historique, soit en direct, soit par transitivité. ils représentent des forces qui ont toujours voté ensemble quoi qu’il arrive. Qui se sont toujours partagé les prébendes publiques ; et qui ont toutes occupé toutes les cases des différents sous courant artificiel affichés par le PS.

Si vous ne me croyez pas, tapez vous les cv de mélench et Hamon et demandez vous d’ou sort Macron.

Les électeurs de droite, et dans une moindre mesure, leurs représentants, sont beaucoup plus à cheval sur les principes. C’est du reste pourquoi il n’y a ps d’alliance Fn Rep, alors que cela assurerait l’hégémonie des droites pour longtemps au prix de quelques concession qui ne sont pas grand chose par rapport aux grand canyon affichés, séparant les 3 sous courant socialistes.

Mais quelque chose à changé ; C’est que la catastrophe socialiste s’est poursuivie sur un pays très fragilisé par leurs déviance passée et fauché en plein redressement Sarkozyste par une crise mondiale.

Au point on nous en somme, devant l’inanité des programmes des trois pieds nickelés socialistes, un profond sentiment de raz le bol travers les électeurs de droite. Si au sommet, les représentant des différents courants d’idée persistent à tenter de se démarquer les uns des autres, c’est essentiellement pour ne pas être emporté par la vague.

Il suffit de voir comment les différentes droite se sont retrouvée sur le terrain de la manif pour tous. Comment NKM, qui vise Paris ou les fonctionnaires agents publics et cultureux subventionnés sont plus nombreux que partout en France en % du corps électoral est sifflée.

Non seulement je pense que les Jupéistes ne sont pas plus pressé que les autres d’avoir un bébé Hollande ou un papy Che Guevara, mais je pense même que si par hasard, il y avait un candidat de gauche au second tour contre n’importe quel candidat de droite, les reports seraient exceptionnels.

je vous le redis : il y a entre 60 et 70 % des français prêt à voter pour presque n’importe qui du moment qu’il n’a aucun rapport avec les idées des prébendiers hypocrites de gauche. Cela s’est vérifié à toutes les élections récentes.


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