Nicole Cheverney Nicole Cheverney 5 mai 2017 10:49

@Alain

Bonjour,

Le Italiens connaissent par coeur la main-mise de la « Cosa Nostra » depuis près d’un siècle sur l’Italie et ses ravages internes et externes. Ils ont sur nous une grande longueur d’avance et savent bien de quoi il retourne.

 Nous, il a fallu l’anti-gaullisme acharné de ceux qui se targuaient de l’être, et se drapaient en bons faussaires dans la toge gaulienne,

 il a fallu l’arrivée de Mitterrand et sa clique, qui se targuaient d’être Socialistes et en bons faussaires, se drapaient dans le costume de Jaurès,

il a fallu l’arrivée de Maastricht et la désagrégation continue des Institutions,

Il a fallu, également car la liste est longue, les scandales, les reniements, les trahisons, non pas envers une classe politique repliée sur elle-même et corrompue jusqu’au trognon, mais envers TOUT le peuple français, les avanies qu’il subit depuis des décennies, sans que l’étau ne se desserre,

Il a fallu que les obédiences qui contrôlent l’UE, renforcent un peu plus la tyrrannie d’un pouvoir sans partage, anti-démocratique, que le Peuple n’a jamais choisi,

Il a fallu l’arrivée de Sarkozy, de Hollande et leur soumission à la Finance, aux Banques et leur participation active au pourrissement accéléré de la France,

Et l’arrivée d’un candidat robotisé Macron, par ces mêmes multinationales, banques et financiers,

Pour qu’enfin, le Peuple se rende compte qu’il n’est plus qu’un simple jouet entre les mains d’une impitoyable MAFIA et sa main-mise, lourde, lourde, écrasante et dont on ne se relèvera pas de sitôt.

Et peut-être jamais.

Après le deuxième tour, lorsque l’heure du non-choix sera passée, ce sera donc, l’heure des comptes, je veux dire des factures que l’Oligarchie ne tardera pas à faire régler au Peuple qu’elle continuera à pressuriser et qui sommeillent dans les tiroirs de Bercy, de Matignon et de Palais Bourbon. 

Ces élections 2017, ne sont pas des élections présidentielles, elles sont je le répète : un coup d’Etat, d’une classe sociale qui a engagé contre le peuple, une guerre. Et même très classique, il n’y a qu’à relire Von Clausewitz, pour se rendre compte que tous les ingrédients sont réunis, questions stratèges et patience, pour laminer les peuples européens. 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe