Madame Muzard, j’ai été étonné par votre raisonnement. A la lecture du début, je m’attendais à la conclusion inverse.
D’une part vous affirmez que le comportement dont vous parlez est fondé éhologiquement. D’autre part vous le jugez inacceptable. Cela implique que vous jugez inacceptables et combattez certains comportements que vous jugez inhérents à la nature humaine. N’est-il pas dangereux de condamner la nature humaine ?