l’hélicoptère, après son forfait, « se serait posé ensuite à l’héliport La Trinidad, dans le sud-est de la ville ».
On vole un hélicoptère à la police, il balance des grenades et mitraille des bâtiments institutionnels, et puis il va se poser tranquillement sur l’Héliport.
Et aujourd’hui, 2 à 3 jours après , le pilote reste introuvable.
N’y voyez pas malice mais les camarades policiers ou militaires donnent une grande impression de faiblesse , non ? Est-ce voulu ? Diplomatiquement il est trop tôt pour le dire.