Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 18 juillet 2017 12:28

Evidemment que l’acheteur demandera un crédit logement, MAIS, ce n’est pas lui qui décide s’il est éligible, et c’est en final à la banque de choisir la garantie.


Par exemple, si l’acheteur est dans les normes à 30% de charges/ressources, s’il finance les frais de notaire, s’il a 20% d’apport personnel, si sa maison est « vendable » rapidement, et qu’elle n’est pas dans un secteur trop pourri, alors oui, il sera éligible à Crédit logement. 

Mais si, comme c’est souvent le cas, le financement est à 100% et que le taux charges/ressources est au dela de 30%, les gens de Crédit Logement ne sont pas stupides non plus, ils savent qu’ils ont beaucoup de chance d’être appelés par la banque en garantie.

Ils seront alors subrogés dans leurs droits, mais comme c’est souvent le cas, le bien est invendables, Crédit Logement fera saisir, vendra à la casse et ne récupèrera que très peu. 

Quant à ce que je vends, rien. Je suis bénévole dans une association qui compte beaucoup de surendettés et qu’on essaye de sortir de la mouise. 

Oui je vis de ma retraite et ces actions sont purement altruistes et bénévoles. C’est vrai que cette dernière notion échappe à beaucoup de gens. 

Enfin, tout ce que j’ai gagné jusqu’à aujourd’hui, c’est une mise en examen par le Crédit Mutuel (audience le 9 novembre 2017, 17ème correctionnelle de Paris), pour avoir défendu un électricien et avoir publié le résultat de l’étude de son compte où j’ai découvert un TEG de 41,9%.

L’autre affaire, toujours le Crédit Mutuel, c’est le 21 septembre 2017 à Laval, Pour avoir publié un article sur les manipulations des pouvoirs en blanc dans les assemblées générales. 

Comme quoi, dire la vérité ne rapporte rien, sinon des emmerdes, mais je ne regrette rien. Si je ne m’amuse pas à mon âge... Je suis, comme qui dirais, un banquier repenti, et ça, ça ne pardonne pas.

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