lisca lisca 17 juillet 2017 17:04

@Aristide
Il est amusant, cet article parlons-chiffons. Un peu méchant pour madame première-grand-mère, mais il faut reconnaître qu’elle ne donne pas une image des plus pondérées de sa fonction.
Les rotules ne se montrent pas : c’est bien vrai ! C’est toujours un peu osseux, un genou, avec des plis, des poches. Brigitte les montre peut-être pour allonger sa jambe, menue comme elle.
Je me demande cependant si madame Brigitte a la moindre liberté d’action.
Supposons qu’elle soit prise en main par des hommes qui n’aiment pas les femmes, comme c’est le cas de la mode actuelle (dixit BB, l’autre Brigitte).
Supposons que, loin de commander cet étrange président, madame Trogneux soit complètement sous la coupe (comme son conjoint) de spéculateurs ou d’entrepreneurs à mille nationalités du cac40 ou de comploteurs quelconques. Et que ceux-ci décident de dégrader l’image de la France via sa « première dame » inopinée, dans l’espoir de tirer quelques profits de la faillite.
Surtout face à l’Amérique, dont l’image sort au contraire valorisée : couleur, brillance, élégance voyante, jambes fuselées et solides, métier de modèle... Melania triomphe, l’Amérique en sort renforcée.
Dans ce cas, on ferait courir des bruits pas forcément véridiques sur un aspect un peu « mégère » de l’ex-prof, et Bridget serait plutôt à plaindre. On l’obligerait à s’habiller de façon totalement inappropriée, taille fillette, imprimé Tati... Et on la tiendrait solidement, car son affaire n’est pas claire face au monde. Tout cela dans le but de s’éviter des crises de nerf dangereuses comme celles de la Trierweiler, ou des rébellions à conséquences, comme celle de feue lady Di.
A noter : Melania est slave d’origine, et représente ainsi à la fois l’Est et l’Extrême-Ouest.
Fiction ? Nous vivons un tel roman noir.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe