lloreen 4 août 2017 09:11

La viande et tous ses dérivés sont bourrés de produits toxiques ingérés par les animaux durant la période d’élevage : tous les hormones, les antibiotiques et autres substances dont on retrouve les traces dans l’élevage industriel et ses dérivés dérèglent aussi l’organisme humain. Cela ne s’arrête pas à la viande, c’est également le cas dans tous les poissons d’élevage (saumon , etc.).
Quant aux poissons de mer, l’eau y est tellement polluée qu’on a déjà retrouvé des traces de mercure dans la chair de poisson.

Ce n’est hélas pas le pire...Le pire est qu’à chaque emplacement où se trouvent ces temples de la consommation ce sont autant de surfaces agricoles qui disparaissent sous le béton et il semble l’heure est au gigantisme si l’on considère le fait que les zones industrielles croissent à la vitesse V. D’autant plus que les produits que ces cubes de béton abritent sont fabriqués dans les pays du Tiers-Monde et la qualité laisse plus qu’à désirer.
Acheter dans ces zones revient à être indirectement complice de la désindustrialisation de son pays et mène à l’actuelle perte des avancées sociales dénoncée avec insistance et raison par un nombre de plus en plus élevé de citoyens qui doivent s’interroger sur leur responsabilité.

Dans ce monde, tout est lié et ce qui touche l’humanité et ses conditions de vie ou de travail à l’un ou l’’autre bout de la planète rejaillit forcément à un moment ou à un autre à l’ensemble et ce constat est maintenant visible pour tous.
Les pontes de l’économie imaginent très bien qu’un européen vive dans les mêmes conditions qu’un vietnamien, pakistanais ou un chinois. C’est exactement la vision du MEDEF affichée dans la « loi » El Khomri et les dernières prises de position de l’associé-gérant des Rothschild annoncent très nettement la couleur : la paupérisation des masses laborieuses européennes, la hausse de la pauvreté sont -hélas- devenues le quotidien de plus en plus d’individus.

Tout le modèle occidental est à revoir de fond en comble. La malbouffe n’est qu’un des aspects les plus visibles.
Je vous suggère de méditer la phrase de Geronimo dont la tribu ainsi que toutes les autres tribus amérindiennes honoraient la Nature et son inestimable rôle pour le bien-être de l’humanité.
" Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l’argent ne se mange pas.

Certains en ont pris conscience et ont initié ce mouvement salutaire qui mérite d’être généralisé.
http://lesincroyablescomestibles.fr/


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