A M. Valmour :
Votre ressenti de notre nomenklatura politique est édifiant, en effet. Sans doute doit-on moins mettre sur le dos du système en place ces déviances que sur le fait de la nature humaine... des malfaisants qui se trouvent à tous les étages de la société.
Je vous trouve, en revanche, bien modéré à l’égard du peuple qui aurait souvent la bonne inspiration...
Alors les partisans du traité de Lisbonne n’ont plus qu’à se croiser les bras et à attendre le projet que ce cher peuple inspiré voudrait...