C BARRATIER C BARRATIER 4 juillet 2011 20:04

L’auteur a le droit d’être prude, mais rien dans la sexualité voulue (hors violence ou même prostituion qui est une violence) n’est critiquable de manière générale. Celui qui n’en veut pas n’y touche pas, delui qui en veut beaucoup en fait son plaisir qui vaut les autres (la bouffe, l’opéra, l’escalade..etc). Qui peut se permettre de décider que le plaisir trouvé par Pierre serait moins bon ou meilleur que celui trouvé par Paul ?
Je devine, l’auteure a subi une influence religieuse. Pas de problème, elle peut même prendre le voile ! Mais la religion c’est entre soi, ça ne concerne pas ceux qui sont en dehors...et qui sont toujours les plus nombreux.


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