jeudi 4 juin 2015 - par Spartacus Lequidam

1er secteur d’exportation Français. La dette de l’état

Le Keysianisme a réussi à créer notre 1ère industrie d'exportation. La France vend plus au monde entier de dette publique que de voitures, de vins ou de produits de luxe.

Le monde entier a acheté des obligations d’État. La France est un grand pays producteur de dette Keynésienne. Nous en avons plus en réserve que toute l’Arabie saoudite de pétrole. La dette a été vendue aux étrangers, il faut juste la payer.

La politique de la relance par la consommation (Keynésiannisme), nous a engendré notre premier secteur d'échange avec le monde. 

La dette sur les dizaines de générations suivantes.

La France sombre d'une maladie politique, dont on ne guérit pas, le Keynésianisme, ou la politique de la relance par la consommation. 

Le Keynésianisme est un concept économique qui la prétention de produire de la richesse à partir de la dépense étatique. Une théorie économique qui indique que dans tous les cas de figure, l'état doit intervenir. Tout argument utile fait l'affaire.

Cette année, par exemple, la balance recettes/dépenses de l'état Français est déficitaire de 35%. Simplement quand l'état dépense 100, les recettes fiscales sont de 65.....

 

Avant 1973

Avant 1973 la France faisait 6% de croissance chaque année, de manière pratiquement discontinue pendant une trentaine d'année. On a appelé cela les « trente glorieuses ».

Économiquement, la France a connu le « plein emploi ». La France a su tirer une croissance du pétrole peu cher, avec les progrès du moteur à explosion un effet levier de 1 à 100 en matière de rendement. Comme pour l'agriculture par exemple,ou les terres étaient cultivées majoritairement avec l'énergie du cheval est passé d'un coup à la force du tracteur.

 

La formation des élites administratives, biberonnées au Keynésianisme :

En 1973, les pays producteurs de pétrole décident unanimement d'augmenter les prix du pétrole, d'une manière abrupte et inattendue. C'est le point de départ du chômage de masse. La croissance stagne. Cette crise coïncide avec une arrivée de politiciens de carrière, élus dans des circonscriptions sans risque, et formatés aux écoles d'administration plus que des gens pratiques de la société civile.

Il n'existe pas d’Énarques en politique en France qui soit anti-Keynésien, de gauche ou de droite. Pas plus qu'il n'existe de profs à l'Ena qui soient libéraux. Preuve d'une instruction peu diversifié, malheureusement préjudiciable à tous les Français.

 

La différence entre un politicien professionnel sorti des grandes écoles et un politicien volontaire c'est que l'un doit absolument vivre des autres, cumuler, phagocyter les places, et professionnaliser et complexifier la fonction politique pour écarter la société civile.

 

Les conséquences d'avoir laissé à une élite professionnelle seule s'occuper de la politique, c'est que tous les membres de l'élite de gauche ou de droite se ressemblent, ils ont tous épousé le Keynésianisme, clé indispensable pour se faire ré-élire.

Une politique de relance de la demande produit un effet levier électoral, une politique bien vue par les électeurs qui voient leur revenu disponible augmenter à court terme, même si elles sont particulièrement négatives à long terme...

 

Il y a toujours une bonne raison « d’intérêt général », poussé par de « nobles » raisons ou groupes d’intérêt pour dépenser au présent l'argent des générations futures. Mal-investissement ou sur-investissement n'ont pas d'importance sur le présent, le profit électoral immédiat compte plus que les conséquences sur le futur.

 

Pour être réélus, les Keynésiens segmentent les impôts en prenant plus d'argent indirectement, et se gaufrent de charité de façade. D'un coté on augmente la TVA que tous les bénéficiaires de primes pour l'emploi paient, mais de l'autre on fait des annonces de réduction d’impôts qui font la une des quotidiens au nom du social. Manuel Valls en est le dernier exemple récent, mais c'est issu de la même continuité politique. L' achat de clientèles électorales avec l'argent public.

 

Pour faire avaler la pilule, pour relancer, ils augmentent les impôts avec des touches supplémentaires médiatisées sur les plus riches, méthode éprouvée pour faire oublier les impacts sur le plus grand nombre.

L'esprit n'est pas la lutte contre les inégalités, mais tirer le profit électoral de l’effet d’échelle, ce qui a l’avantage de ne pas leur faire perdre un trop grand nombre des voix en flattant les frustrations des personnes n'ayant pas les moyens de manipuler leurs revenus au delà de leurs revenus contractuels. Il y a bien plus de gens qui ne sentent pas riche, et qui trouvent toujours un voisin plus riche que eux.

 

L'acceptation se fait d'autant plus facilement qu'on vous prend un chouïa par un chouïa à la fois de manière continue depuis 1973 directement et indirectement.

 

Vous le voyez bien chaque matin à la radio chacun y va de sa nouvelle taxe. Par exemple, en ce moment la mode serait à une taxe sur le climat. Peut-être veulent-ils envoyer la recette aux nuages ou au soleil ?

 

L'ENA, Science Po, sont des écoles où il n'existe pas de variété de formation économique. (Cela n'a pas changé depuis). Tous les profs sont des fonctionnaires, qui forment de futurs fonctionnaires, et les bienfaits de l'état interventionniste exclu la formation économique de la face cachée du Keynésianisme. Ces gens formatés dans un même univers n'ont pas la formation adaptée à l'étude des effets de l'économie cachée.

En fait, dans les grandes écoles comme dans les écoles de la république, les élèves apprennent à l'école que les marchés sont mauvais et que l'état est un dieu indispensable à la vie.

 

Le Keynésianisme est une religion, Keynes a écrit sa bible, les politiciens professionnels en sont les apôtres. Critiquer l'évidence de ses échecs, relève du blaphème. 

Alors depuis 1973 gauche et droite ont appliqué le Keynésianisme, ils ont tous rasé gratis sur le compte des générations futures.

A son départ De Gaulle laissera une dette de 30% du PIB. A sa décharge, la dette sert principalement à des dépenses d'investissement, et excluent les dettes de fonctionnement ;

 

Histoire de la dette Keynésienne à partir de 1973 et du chômage : les courbes parallèles. 

 

Valérie Giscard D’Estaing

Avec le 1er ministre Chirac commencera une politique Keynésienne, il offrira des milliards pour les personnes âgées, des milliards pour les routes, les TGV, l'augmentation du SMIC, avec un résultat invisible sur la croissance. Barre le ministre qui suivra se focalisera sur la stabilité de la dette, au prix d'augmentations d’impôts jamais vues.

Résultat du Keynésianisme Giscardien :

CHOMAGE : de 400 000 à 1,4 millions

DETTE : 88 à 92 milliards

PRELEVEMENTS sur le secteur marchand : 33 à 40% du PIB.

 

François Mitterrand 

Pendant 14 ans IL amplifiera les dépenses publiques. Retraite à 60 ans, embauches massives de fonctionnaires, emplois subventionnés, 5eme semaine de congés, exonérations de cotisations sociales, TVA réduite, le tout jamais provisionné, reposant totalement les dettes. Il en résultera même 3 dévaluations...

(En rappel : Royal était déjà ministre de l'environnement, Sapin déjà ministre du budget, et Fabius 1er ministre)...La France des politiciens Keynésiens ne se renouvelle pas, elle prend racine semble-t-il. Le pouvoir reste dans l'entre soi.

Résultat du Keynésianisme Mitterandien :

CHOMAGE : 1,4 à 2,5 millions,

DETTE : de 92 à 660 milliards.

PRELEVEMENTS sur le secteur marchand : de 40 à 45% du PIB
 

 

Jacques Chirac 

Pendant 14 ans et deux gouvernements augmentera la dettes en un festival de relances Keynésiennes par la consommation en pures pertes, comme il l'avait fait comme 1er ministre sous Giscard, aidé avec lui par des 1er ministre de gauche comme de droite. Les méthodes de calcul du chômage ont changé plusieurs fois.

Résultat du Keynésianisme Chiraquien :

CHOMAGE : de 2,5 à 3,3 millions

DETTE : de 660 à 1152 milliards

PRELEVEMENTS sur le secteur marchand : de 45 à 49% du PIB..

 

Nicolas Sarkozy 

Pendant sa période, est évidemment celle où le dérapage de la dette est le plus catastrophiqueIl a utilisé a fond les recettes Keynésiennes éculées contre une nouvelle crise économique. Emplois subventionnés, emprunts massifs. De nouvelles dettes pour payer la dette.

Résultat du Keynésianisme Sakozyste :

CHOMAGE : de 3,3 à 4,1 millions

DETTE : de 1152 à 1789 milliards

PRELEVEMENTS sur le secteur marchand : 49% à 53% du PIB.

 

François Hollande en 3 ans. 

Hollande ancien Énarque a joué les profs de Keynésianisme à Science Po, pour insuffler la bonne parole aux futures élites. Il a donc utilisé la même recette destructrice que l'ensemble de ces prédécesseurs. Augmentations de fonctionnaires, d’impôts. L'invention du concept de l'austérité, avec une augmentation des dépenses publiques cachée sous une « baisse de la hausse tendancielle ». Guerre, fin du jour de carence pour les agents de l'état, emplois aidés, prise de participation dans des canards boiteux par la BPI, aides aux secteurs des corporations qui votent à gauche, culture, éducation.

Record de chômage, de dette, d’impôts, mais le plus impressionnant c'est seulement en 3 ans.

En ces 3 dernières années de relance Keynésienne avez-vous vu un retour sur l'investissement des milliards dépensés ? Plus de routes, d'ouvrages d'art, d'écoles, d'hopitaux ?

Résultat du Keynésianisme Hollandiste :

CHOMAGE : de 4,1 à 5,4 millions (5,7 avec Dom-Tom)

DETTE : de 1789 à 2050 milliards

PRELEVEMENTS sur le secteur marchand : de 53 à 56% du PIB..

 

Les Keynésiens aiment la lutte contre la « finance ».

D'autant plus que comme elle est immatérielle, elle ne risque pas d'opposer une contradiction quand on l'accuse. La création de cet ennemi immatériel est une aubaine Keynésienne.

La lutte contre la finance favorise formidablement les Keynésiens. Elle permet de créer des normes prudentielles. Au nom de cette lutte, les banques ont plus intérêt à prêter à l'état qu'au particulier ou qu'à l'entreprise. Elle permet l'explosion du Keynésianisme et des politiques de relance. Prêter à l'état exige moins de fond propres en réserves que pour tous les autres préteurs.

Vous êtes un particulier et la banque vous a refusé le crédit pour votre appartement parce que vous êtes salariés dans une PME ? Mais vous observez que la banque n'a pas refusé le prêt pour le palais pharaonique du conseil général à coté de chez vous ? Remerciez la lutte contre la finance !

Vous êtes une entreprise et aucune n'accorde un prêt pour un fond de roulement ? Mais vous observez que la banque prête à l'état le fond de roulement chaque 15 octobre au passage en déficit budgétaire, pour payer ses fonctionnaires jusque la fin de l'année ? Remerciez la lutte contre la finance !

 

La finance aime le Keynésianisme.

En fait la finance est l'amie intime du Keynésianisme. Elle assure même sa promotion médiatique.

Par exemple la banque Lazard Frères est à coté de Goldman Sach un des plus grand intervenant de la bourse de Wall Street. Le siège social est aux Bermudes, la banque est spécialisé en redressement de dette d'état. C'est elle qui a gagné beaucoup d'argent avec un certain Mathieu Pigasse connu pour avoir été la charnière de la renégociation de la dette Argentine lors de la faillite du pays. Ce dirigeant de la filiale Française ne rêve que d'une chose. Une faillite Keynésienne de la France et la « renégociation » de la dette pour empocher les commissions de redressement de dette.

La promotion médiatique du Keynésianisme, du recours à la relance par la consommation, par l'intermédiaire des journaux que la banque possède comme « le monde » ou « les inrockuktibles », sont une stratégie. L'autre branche de la banque est spécialisée dans les « fusions acquisitions ». Avec le Keynésianisme, les grandes entreprises Françaises ensevelies de normes et d’impôts sont des proies pour les fusions qui l’intéresse.

 

Le futur ?

Bien sombre en vérité.

N'attendez rien des partis extrêmes, FdG ou EELV ou FN ou Souverainistes. Ils promettent de raser gratis, sans compter. Ils arrivent même a faire croire que simplement en manipulant la monnaie ou la changeant ou en sortant de l'Europe, la France créera de la richesse magiquement sans travailler, sans investissements.

Comme démontré le PS, ou les Républicains sont remplis d’Énarques Keynésiens.

Les centristes cumulent des chantres de la dépense publique comme Borloo.

 

N'attendez pas plus des grandes figures politiques actuelles, principalement des Énarques qui se rangent sur les starting-block de la future déchéance de Hollande.

Combien de temps ? De chômage ? De dettes ? D’impôts ? Faudra-t-il aux Keynésiens pour admettre que cette théorie économique ne marche pas ? Le Keynésianisme est il une secte ou une religion

 

Hélas les politiciens ont tous les deux mains dedans.

Le Keynésianisme de nos politiciens est responsable des déséquilibres économiques et du chômage de masse, qu’ils cherchent aujourd’hui à combattre, en vain. Combattre le mal par le mal ne fait qu’étendre le mal.

 

Le keynésianisme est une erreur en économie mais une réussite extraordinaire politique, car il permet à une classe politique incompétente d'envelopper son ignorance et son goût pour la dépense et promesses sans compter dans une belle théorie économique.

 Aujourd'hui notre 1er secteur d'exportation est la dette. Nous l'exportons plus que notre production. 

 

Combien faut-il de chômeurs et de dette pour que les Keynésiens comprennent ?

 

Citations :

Keynes aimait à dire : « à long terme, nous serons tous morts ». Nous sommes dans le long terme et Keynes est mort.

(Charles Gave)

 

Avec le recul du temps on ne tardera pas à reconnaître qu'avec Keynes la théorie économique s'est fourvoyée pour de nombreuses années dans une voie erronée.

(Maurice Allais) Seul Nobel d'économie Français.

 

Quelques sources :

http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2012/01/20/sur-la-dette-publique-la-gauche-moins-mauvaise-gestionnaire-que-la-droite_1632201_3232.html

http://www.wikiberal.org/wiki/John_Maynard_Keynes

http://lequidampost.fr/combien-faut-il-de-chomeurs-pour-que-les-keynesiens-comprennent/



73 réactions


  • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 19:07

    L’argumentation de la dette publique n’est qu’un prétexte pour justifier de nouvelles privatisations. Un gouvernement qui baisse les impôts des plus riches et qui multiplie les cadeaux sans contrôle ni contrepartie, ne peut s’étonner de la hausse du déficit de l’État. C’est 50 milliards d’euros qui transitent chaque année des finances publiques vers les caisses des banques ou des individus qui détiennent des bons du trésor. Et c’est souvent ces mêmes individus qui ensuite fraude le fisc !


  • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 19:08

    La dette publique ne vient pas d’une hausse des dépenses, mais d’une baisse des recettes. L’État dispose d’un moyen dont les particuliers sont dépourvus : il fixe lui-même ses recettes par l’impôt, alors que ce n’est pas nous qui décidons de nos salaires ! Et quand on limite soi-même ses propres recettes, il faut bien trouver d’autres sources de financement : c’est l’emprunt. Et à qui emprunte-t-on sous forme d’obligations du Trésor ? Aux plus riches évidemment ; si au lieu de faire payer les plus riches par les impôts, le gouvernement leur emprunte, cela ne peut qu’aggraver le déficit ! Alors, pour payer, il faut vendre EDF, GDF, autoroutes, ouvrages d’art, patrimoine administratif, industriel etc. Il faut vendre nos services publics aux services privés, réduire les effectifs de la fonction publique et nos dépenses sociales, fermer nos maternités, nos hôpitaux. Il faut ouvrir le secteur public au secteur marchand. Il faut précariser les salariés du privé comme du public !
    .
    voir :
    LA DETTE DE LA FRANCE


  • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 19:11

    Combien le pays possède-t-il ? C’est important pour savoir s’il a « les reins » solide face à la somme qu’il emprunte. Voyons les chiffres. Les avoirs de la France s’élèvent à 35 000 milliards de « patrimoine économique ». Cette somme contient deux composantes. D’une part 13 900 milliards d’actifs non financiers c’est-à-dire des immeubles, des logements, des machines et ainsi de suite. Et d’autre part le pays possède 21 000 milliards d’actifs financiers. Au total, la dette ne représente donc que 5,6% des avoirs de notre pays. C’est-à-dire rien. Ou presque !
    .
    voir :
    LA DETTE, CE QU’ILS NE VEULENT PAS QUE VOUS SACHIEZ !


  • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 19:18

    L’État n’est plus qu’une courroie de transmission qui sert à enrichir les riches et appauvrir les pauvres. Il n’y a donc pas transfert entre générations comme l’on veut nous faire croire, mais transfert entre couches sociales. Les uns hériteront de la dette, les autres de l’argent de la dette ! Toute la rouerie de ceux qui prétendent que la dette est insupportable consiste à mélanger ces différents concepts. Nicolas Sarkozy, un expert en amalgame le disait naïvement à l’insu de son plein gré : « L’amalgame est l’arme des fascistes ».

    Voici un petit PDF à imprimer et à laisser « trainer » à la machine à café de votre entreprise ou dans le vestiaire de votre salle de sport : LA DETTE


    • Mowgli 5 juin 2015 15:27

      Au camarade Robert Gil :

      bis repetita placent
      ter ça commence à bien faire
      quater c’est direct les ouatères


  • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 19:22

    et pour finir un peu d’humour en prime, pour sortir de la pensée unique propage par le sytéme !
    .
    voir : DES DETTES ET DES ÂNES
    .
    ça changeras de toute la propagande libero-capitaliste de sparagus !


    • Spartacus Lequidam Spartacus 4 juin 2015 21:11

      @Robert GIL

      Comme toute entreprise collective ou collectiviste qui promet l’égalité et le bien, l’objet est toujours détourné de l’intérêt général par des opportunistes pour en tirer des avantages personnels.

      Comme bon communiste tu en es la preuve que le collectivisme ne fonctionne qu’au profit de ceux qui savent en tirer parti

      Chacun peut juger par ton exemple.

      Détourner un article avec des commentaires bidonnés pseudo-intéressés sur le sujet, voire hors de sujet pour faire une armée de lien vers ton site pourri et tirer bénéfice de fréquentation....

      Les commentaires sont fait pour donner un avis, une critique pas pour faire de la pub pour ton site pourri.


    • Robert GIL Robert GIL 4 juin 2015 21:43

      @Spartacu
      tu dit ça a un cheval de bois y te met un coup de pied !!! tout tes commentaires au fils des articles sont pour faire l’apologie du marché et traiter des interlocuteurs de communistes, gauchistes, fonctionnaires, incompétents, marxiste, ...ou placer tes 100 millions de morts, tu réponds constamment a coté de la plaque pour recentrer le débat sur tes lubies !
      Et je pense que les liens que j’ai mis ne te plaise pas, parce qu’ils expliquent sans langue de bois la réalité de la dette et il est salutaire que d’autres personnes puissent avoir un autre son de cloche que la voie officielle que tu vehicule...la vérité te ferait peur !


    • Spartacus Lequidam Spartacus 4 juin 2015 21:57

      @Robert GIL


      On aurait préféré une réaction du style : oui effectivement......Ou oui je m’excuse....

      Mais tu préfère faire du Cahuzac. Devant la preuve continuer à nier les évidences.

      Apparemment le déni devant l’évidence doit faire partie de la religion collectiviste...

      Chacun peut aller voir et constater sur le lien de 100% de tes commentaires sont un détournement de l’objet d’Agoravox pour en tirer un profit personnel, et observer que sans équivoques possibles que tous tes commentaires sont agrémentés de liens vers ton site, et sont mêmes souvent sans rapport avec l’objet des articles.........

      C’est la preuve que tout système collectif est détourné par des minorités à leur profit personnel.

    • Robert GIL Robert GIL 5 juin 2015 08:24

      @Spartacus
      voila encore des exageration et une reponse a coté de la plaque pour recentrer tes lubies au centre du commentaire ... en plus tu te prends tellement pour un winner que l’on devrait s’excuser de tes mensonges ... t’a vraiment un gros probleme et je ne suis pas le seul sur ce site a m’en etre apperçut ;


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 08:42

      @Robert GIL
      La main dans le pot de confiture et le déni devant la vérité. C’est pathétique. Un vrai communiste devant les crimes de Staline.


      Question simple. La majorité de tes commentaires sont ils agrémentés systématiquement de liens vers ton site ?
      La réponse est simple, oui ou non ?
      Alors Oui ou Non ? 
      Chaque lecteur peut aller sur ton profil et le constater.....
      Détournes tu les sujets d’Agoravox uniquement pour tirer profit personnel de la fréquentation ?
      Il n’y a qu’a aller sur ton pseudo pour constater. Tout le monde peut le voir. 

      Que je sois un winner ou pas tout le monde s’en fou. J’assume être libéral et capitaliste, et il n’y a pas de surprises. Je ne suis pas le sujet de l’article.

    • malitourne malitourne 5 juin 2015 10:52

      @Spartacus
      Une question : L’accumulation de richesse pour un individu, enfin débarrassée des tares systémiques sociales qui lui font obstacle, est-elle finie ou infinie ?

      Qu’est ce qui prouve qu’une humanité basée sur une autorégulation économique engendrerait une société équilibrée et, enfin, épanouie ? Rien. On est là aussi devant une croyance, pour moi.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 11:24

      @malitourne


      Depuis Schumpeter nous savons que l’homme a des besoins infinis, mais la création de richesse est infinie elle aussi.

      Une société « équilibrée » est une société ou chacun peut vivre dignement et trouver un maximum son bonheur. C’est à chacun de le trouver, mais pour le trouver il faut disposer de son libre arbitre sans entraver celui des autres.

      L’autorégulation ne promet pas le bonheur, mais c’est la seule qui respecte le libre arbitre. 

      L’autorégulation économique se fait dans la paix avec à la fois l’acceptation de celui qui vends et l’acceptation de celui qui donne. C’est la seule qui oblige celui qui vend à s’adapter à celui qui achète autrement que la par la force.
      L’état dans la société est le seul qui dispose du monopole de la force. 

      Voila pourquoi il doit être limité au régalien justice et police. Son intervention dans l’économie ou le marché est une privation du libre arbitre des individus.

    • malitourne malitourne 5 juin 2015 11:56

      @Spartacus
      « Depuis Schumpeter nous savons que l’homme a des besoins infinis, mais la création de richesse est infinie elle aussi. »

      Oui, ben j’ai pas lu Schumpeter, mais je sais que l’existence elle est finie. Donc pour moi là il y a contradiction entre besoins infinis et existence finie. Et donc forcément les besoins de l’homme se limitent à un moment à la finitude de son existence. Sauf pour les mégalos ou les fondus.

      Partant, s’il on reconnait que les besoins d’un individu sont limités, il peut être pertinent qu’un système social définisse un cadre collectif à ces besoins. Définir cà collectivement, ça s’appelle de la politique.

      Je connais un tas de gens, sais-tu, des loosers sans doutes, qui ne demandent qu’à vivre en harmonie avec les autres sans obligatoirement posséder des yachts ou des palaces.

      En tout cas mon vieux Spartacus, quand on sera mort, on sera égaux tous les deux dans le néant. Même les fonctionnaires n’ont pas plus de privilèges que les autres dans l’au-delà, dingue !


  • hunter hunter 4 juin 2015 21:26

    Spartacus,

    T’as oublié une autre spécialité de l’Etat :taxes, impôts et réglementations pour faire chier tout le monde !
    Ça aussi c’est un secteur d’exportation porteur non ?

    Adishatz

    H/


  • Pyrathome Pyrathome 4 juin 2015 21:38

    Résultat du Keynésianisme Sakozyste :

    CHOMAGE : de 3,3 à 4,1 millions

    DETTE : de 1152 à 1789 milliards...

    .

    Il était tellement bon, que tu es venu ici même vanter ses mérites et appeler à voter pour cette merde en 2012.....

    Tu n’es qu’un tartufe....va publier tes bouses sur des sites de fachos...


    • Dom66 Dom66 5 juin 2015 00:44

      @Pyrathome

      Bien parlé, + 100 pour moi


    • Pyrathome Pyrathome 5 juin 2015 14:36

      @Alex
      .....à force de fréquenter votre idole, vous en prenez les défauts : recours à l’insulte, signe typique de faiblesse, et recherche dans vos fichiers de la stasi pour savoir quelles sont ses opinions, au lieu de répondre à son article......
      .

      Venant de la part d’un gugusse qui insulte tout le monde sur AV avec ses trollages répétés, tu manques pas de culot, bouffon...
      Tu peux sucer le zboub à Spartatouille ( groupie à Bismuth) , c’est normal, entre fachos ( canal historique) et( néolibéral néo-con), on voit qu’il y a une belle engeance, là
      .
      Tiens, tu veux combien pour aller te faire te foutre ? smiley smiley
      http://www.sports.fr/football/international/articles/blatter-a-paye-l-irlande-1251948/
      .


  • Auxi 5 juin 2015 01:03

    Tiens, l’hôpital psychiatrique a déjà relâché Spartagugusse ? Ce type défend un système qui provoque un désastre planétaire… Spartagugusse, prend tes gouttes, sacrédié, et relève-toi, crétin, il n’y a pas de bolchevik planqué sous ton lit !


  • sls0 sls0 5 juin 2015 01:19

    La différence entre la courbe bleu et la courbe rouge c’est dans la poche de ceux que vénère spartacus.

    Si on remettait l’église au milieu du village, un autre graphe avec les différentes dettes, pas fameux le modèle de spartacus.


  • Ben Schott 5 juin 2015 07:49

     
    Quand on lit (c’est très éprouvant) ce genre d’article, on a juste envie de conseiller à son auteur de s’intéresser à l’économie.


  • Le p’tit Charles 5 juin 2015 07:52

    +++++
    Excellent article qui (enfin) nous apprends quelque chose...la « Réalité » de notre système économique et que nous sommes dirigés par des voyous...
    Nous n’allons pas droit dans le mur..nous sommes déjà une des briques du mur..mais les baufs de France se bousculent pour voir et surtout réélire les voyous.. ?
    Allez y comprendre quelque chose... ?


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 juin 2015 07:55

    La dette vient de l’obligation faites aux Etats par l’ UE d’emprunter aux banques privées, et plus à leur banque centrale à taux 0% ---------> les intérêts de la dette. ( Article 104 de Maastritch puis article 123 du TFUE), histoire d’enrichir les banques au détriment des citoyens.


    Puis de justifier de la dette pour en finir avec les Etats providence.
    Donc Spartacus a tout faux, ce sont bien les théories économiques libérales de l’école de Chicago et pas Keynes qui sont en cause.

    Tout le reste du billet tombe à l’eau !

    • Appolonius de Zante Appolonius de Zante 5 juin 2015 08:06

      @Fifi Brind_acier

      Eh hop une petite cuillère de propagande dans le café, et vous voilà prêt pour la journée.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 10:39

      @Fifi Brind_acier

      l’obligation faites aux Etats par l’ UE d’emprunter aux banques ....


      C’est bien Keynésien !
      L’irresponsabilité sans la prise de conscience de responsabilité. 

      Si chaque semaine le banquier vous fait des offres pour emprunter, vous empruntez ? 

      Il n’existe aucune obligation d’emprunter pour les états......

      Hors mis pour les keynésiens qui veulent dépenser l’argent des générations suivantes, pour acheter des clientèles politiques....

      Que ce soit une banque d’état ou une banque privée ne change rien de rien....
      Aujourd’hui avec les Keynésiens, les taux sont même négatifs...Ubuesque.

      Combien faut il de dettes de chômage pour comprendre que creuser des trous pour combler des trous ne crée aucune richesse ?

      Combien de temps pour admettre devant l’évidence que les Keynésiens sont des irresponsables ? 
      Cela confirme que les Keynésianisme est une religion.


    • malitourne malitourne 5 juin 2015 10:40

      @Appolonius de Zante
      C’est bien vieux. Mais si tu veux les tartines aussi ya pas de problème


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 juin 2015 17:20

      @Appolonius de Zante
      Les deux liens que j’ai mis dans le commentaire ne sont pas de l’ UPR.
      Mais je suppose que vous serez payé quand même...


      Sur Agoravox, nous avons eu un certain « Isga », qui sous couvert de marxisme planétaire, nous vendait la fin des Etats Nations. C’est vous le troll remplaçant ?
      Vous ne vous renouvelez guère, et surtout vous ne démontrez rien du tout...

    • Appolonius de Zante Appolonius de Zante 5 juin 2015 18:03

      @Fifi Brind_acier

      Je ne suis pas qu’un porte-voix pour pour le Maître de l’Union Pour Rien.


    • Appolonius de Zante Appolonius de Zante 5 juin 2015 18:04

      @malitourne

      Voici un autre centiMaître en renfort.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 juin 2015 07:19

      @Appolonius de Zante
      Vous allez pourrir les fils d’Agoravox longtemps avec vos règlements de compte avec l’ UPR ? Deux adhérents ont été exclus, en voici les raisons.


      Si l’ UPR ne convient pas à certains, au lieu d’essayer d’y faire de l’entrisme, allez donc voir Soral et Dieudonné, ils ont créé un parti politique. !! Et bon vent !

    • malitourne malitourne 8 juin 2015 15:37

      @Appolonius de Zante
      Mais te sent pas agressé comme ça mon Popol. Détends-toi, je t’en prie.


    • Appolonius de Zante Appolonius de Zante 8 juin 2015 19:24

      @malitourne

      Tiens, un milliMaître qui veut devenir centiMaître.


    • malitourne malitourne 9 juin 2015 06:56

      @Appolonius de Zante
      Ya le microMaître aussi, tu l’as pas fait encore celui là. Le nanoMaître, c’est sympa aussi. Qu’est-ce qu’on se fend la gueule tous les deux vieux, tu trouves pas ?


  • Trelawney 5 juin 2015 07:56

    Il n’existe pas d’Énarques en politique en France qui soit anti-Keynésien.

    Il suffit de lire les commentaires pour comprendre que beaucoup de gens voient de la capitalisme actuel une source d’injustice. le keynesianisme est le papier cadeau du capitalisme. Tout comme le dealer de drogue qui garantirait son produit « sans effet secondaire », le politique, qu’il soit de gauche ou de droite tente et réussit à convaincre les gens que l’état maitrise de développement du capitalisme dans un but de « justice sociale ».

    Car avec le keynésianisme, l’état pense contrôler la croissance et les investissements. Et le seul outil qu’il a pour faire cela est « la dépense publique ».

    Il ne faut toutefois pas oublier que 1% de la population mondiale détient 50% des richesses de la planête et que l’occupation de ces 1% est de capter les 50% restant. Pour cela ils ont trouvé un bel outil : « l’achat d’obligation d’état ». car pour rembourser ses obligations l’état devra :

    - augmenter les impôts et cet argent ira directement dans la poche du 1%

    - vendre les bijoux de famille (autoroute, société, patrimoine) qui iront directement au 1%

    - réduire les frais de santé et création de mutuelles complémentaires gérées par le 1%

    - privatiser les universités, les prisons, la sécurité, les transports, les hôpitaux

    etc etc etc


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 08:26

      @Trelawney


      La richesse n’est pas un gâteau à part fixes qui se découperait en parts statiques.
      La richesse s’obtient par l’échange. 

      Pour échanger il faut s’émanciper ou créer.
      Difficile de critiquer les riches en choisissant la servitude à un salaire fixe.
      Difficile de critiquer un patron qui licencie si on ne crée pas d’emploi soi même..

      Les 1% ne sont jamais les mêmes. 
      Le capitalisme est dit dynamique. Google, Facebook n’existait pas il y a 15 ans. 
      Free, Vente-privéé, ou Numéricable non plus mais sont dans les 1%.

      Parler des 1% sans parler des 10% des plus pauvres qui ont vu leurs conditions s’améliorer. La famine a disparue de la terre. 
      Les milliardaires en Asie ou Amérique du sud ont poussés en même temps que les pauvres ne mourraient plus de faim. 

      Les 10% les moins riches en 2015 vivent mieux que les 10% les moins riches 20 ou 30 ans plus tôt par exemple. 

      Mais il est vrai que certains forçats de l’égalitarisme préfèrent sans doute une égalité dans la pauvreté que l’inégalité dans l’opulence…
      La haine du capitalisme vient d’une instruction à charge de profs vaccinés à la religion Marxiste et l’ignorance de Hayek ou Hazzlit.

    • Trelawney 5 juin 2015 09:00

      @Spartacus
      La richesse s’obtient par l’échange. 

      Dans la mesure où on continue de croitre autrement dit on crée de la croissance, ce qui n’est pas vraiment exact depuis déjà pas mal de temps. Croissance totale de la France depuis 15 ans : 1% du PIB. Idem pour des pays de la zone euro et ceux qui crée de la croissance le font au détriment d’autres pays. Donc à l’échelon mondial on fait du surplace.

      Free, Vente-privée, ou Numéricâble sont des leurres économiques. Drahi s’est constitué un empire avec de la dette (de la même façon qu’un état). Donc il achète Numéricâble en s’endettant sur la totalité de son achat et par l’intermédiaire de rapprochement, achat fusion, nouvelle stratégie et que sais-je encore. Il pense rembourser son emprunt en faisant augmenter le cours de l’action et en recapitalisant dès que le cours serait plus haut. En fait il n’y arrivera pas et le colosse au pied d’argile s’effondrera emportant avec lui ses employés, les subventions de l’état et de l’Europe. La banque prêteuse s’en fiche car même si elle ne récupère que la moitié des sommes c’est toujours ça de pris.

      L’économie n’est pas vraiment une science exacte mais en économie il existe une seule loi intangible et universelle et c’est : Quoiqu’il arrive, la banque ne perd jamais d’argent !


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 09:52

      ’’La richesse s’obtient par l’échange. ’’

       
       Mais pour échanger, encore faut-il posséder une quelconque richesse !
       
      D’où est-elle venue, cette richesse ? Vous chiez de l’argent, spartakès ? Ou bien possédez des objets arrivés par génération spontanée sur vos étagères ?


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 10:27

      @JL


      La richesse vient toujours de l’échange. La richesse n’a pas besoin de venir du matérialisme. 
      Vous ne pouvez envisager la richesse autrement que par l’argent ? 

      Le premier échange est le travail.
      La première richesse commence par la prise de conscience de ses talents personnel. 
      Les Stars du showbizz ou du foot.

      Il n’est pas nécessaire de posséder de l’argent pour s’enrichir ou en obtenir. 
      Souvent la première richesse vient d’un business plan qui permet ou d’emprunter ou de s’associer. 

      Drahi est « riche », fait partie des 1% comme vous qualifiez. Mais tout est emprunté

      La richesse que le gôôôchiste voit c’est l’argent, en vrai sa richesse c’est la confiance qu’il inspire. 

    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 10:40

      ’’Le premier échange est le travail.’’
       
      Si la richesse vient de l’échange, elle vient a fortiori du premier échange, donc du travail.
       
      La richesse du commerçant ne vient pas de l’échange, mais de son travail de commerçant.
       
      Quant au talent, comme disait Brassens, ’’Sans technique, un don n’est rien qu’une sale manie’’, la technique ne s’acquiert que par le travail.
       
      Les stars du foot, du schowbizz ne gagnent pas de l’argent pour leur talent, mais de tout un travail qui permet d’exploiter ce talent.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 11:38

      @JL


      Un commerçant peut travailler du matin au soir, sans échanges il ne deviendra jamais plus riche.
      Le talent peut être naturel, éducatif, ou du hasard de situation, ou fruit de l’expérience. 

      Si Messy marque un but en championnat ou un but en coupe du monde il n’obtiendra pas le même revenu (la même richesse) pour un même travail ou la même prestation. 
      C’est bien l’échange qui fait la richesse. 

      Le travail est un agrégat pour se constituer de la richesse. Mais pas forcement le plus pertinent.

    • Gasty Gasty 5 juin 2015 13:05

      @Spartacus

      L’échange vient principalement de biens matériel ou par l’utilisation de biens matériel (produit fini ou manufacturé).
      Un métier productif produit un bien matériel et un salaire produit les dépenses d’achats de consommation qui retournent dans les entreprises. Quelque soit le métier, le salaire est productif de biens matériels.


    • Gasty Gasty 5 juin 2015 13:12


      Et un commerçant qui’ n’a rien sur son étale n’a pas lieu d’être.

      « Le travail est un agrégat pour se constituer de la richesse. Mais pas forcement le plus pertinent. » Pas le plus pertinent, ça c’est bien vrai.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 13:31

      @Gasty

      Vous achetez encore des vinyles physiques ou téléchargez la musique ?
      Les usines sont quasi-vides. En France la production est faible.

      Dans une usine sur 2, le personnel est employé a faire du contrôle qualité ou des métiers connexes à la production. 
      Les chaines industrielles produisent indifféremment en fonction de la perspective d’échange, pas en fonction du nombre de personnel. 

      La vision du monde par des yeux Marxiste ou Tayloriste est dépassée.

      Google, Facebook, Youtube, Paypal ne produisent absolument rien de physique et sont les plus grosses capitalisation.

      Le salaire ne vient pas de la fabrication de biens matériels, il vient du capital.

      Le salaire est une avance du capital sur le fait que le travail rendu permette un profit futur....

      Vendu ou pas, payé ou pas, pertes ou bénéfices, le capital paiera le travail, bien matériel terminé ou pas et quelqu’en soit la destination. 






    • Gasty Gasty 5 juin 2015 14:19

      @Spartacus
      Mais on en crève Spartacus ! Je passe toujours voir ma caissière avec mon caddie. Au moins elle, elle renfloue les caisses des entreprises, elle produit, elle cotise et paie des impôts. Ce qui n’est pas le cas des caisses automatiques qui ne sont assujettie à pas grand chose si ce n’est le profit.

      Mais vous avez aussi raison : Google, Facebook, Youtube, Paypal ne produisent absolument rien de physique et produisent des fortunes immatérielles sans valeurs pour les populations, mais ne soyons pas dupe, ce capital n’ira pas payer le chômage engendré...puisqu’il n’y a pas travail. Et s’il devait y avoir une avance sur le capital, a combien estimez-vous le capital ? Parce que peut être qu’on devrait pouvoir régler pas mal de problèmes.

      Le vinyle me préoccupe moins que ma soif...j’ai parfois comme ça des priorités.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 15:14

      @Gasty


      Quelqu’un doit bien construire les caisses automatiques...
      Quelqu’un doit bien les mettre en service.

      On appelle cela la destruction créatrice. Ou la vitre de Bastia.

      Un peu comme le jeu des 4 coins, mais à la différence quand un coin disparaît un autre arrive....
      Chacun son tour vit un jour cette situation jusque trouver un coin qui lui sied bien.

      En fait beaucoup en crèvent car le problème c’est le marché du travail, pas le travail ni les employeurs....
      A vouloir trop protéger et conforter les insiders (ceux qui ont un business), les outsiders sont toujours les mêmes.

      PS : un sourire pour votre article en modération. 

    • Gasty Gasty 5 juin 2015 17:19

      @Spartacus
      Au moins, avec vous, on sait à quoi s’attendre car vous semblez vous complaire dans cet état de fait destructeur.
      Bien sûr en fonction de ses tendances psychique on peut appeler cela de la création et s’en féliciter.
      Les fabricants d’armes proposent d’ailleurs avec l’arsenal de destruction créatrice le reclassement de la population en chair à canon.Des petits coin d’enfer.

      Vous devriez nous inventer une solution finale !


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 juin 2015 17:38

      @Trelawney
      Ce que ne dit pas Spartacus, c’est que grâce à la mondialisation, (ouverture des frontières, + dérégulations) tous les salariés sont mis en concurrence, et que la part du travail dans la valeur ajoutée ne cesse de diminuer.


      Un esclavage chasse l’autre.
      Quand les salaires augmentent en Chine, on fabrique en Éthiopie ou en Roumanie.
      Résultat : 1% possède 48% des richesses.

      Pour en arriver là, dans nos pays, il faut faire baisser le prix du travail, en supprimant les dépenses publiques et la partie des salaires qui alimente « les biens publics ». Les biens publics ne sont pas des marchandises, ils n’ont pas à être privatisés, ou supprimés, comme le souhaite Spartacus.

      « Les biens publics » Vershave. (résumé de 2 minutes)

      « En 1815, les biens publics étaient de 15% du PIB.
      En 2015, ils sont de 45%. Les luttes sociales ont exigé de la dignité, de l’éducation, de la santé, des congés payés, du droit du travail.
      Ce qui nous fait exister est plus important que ce qui nous fait produire. »


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 18:30

      @Fifi Brind_acier
      C’est surtout la part disponible du salaire qui vient à manquer.


  • Jean Keim Jean Keim 5 juin 2015 08:42

    Manifestement vous avez Spartacus une vision de l’économie que vous soutenez mordicus mais pourquoi délibérément dans vos analyses omettez-vous de prendre en compte les mécanismes de la création de la monnaie qui ne peuvent que créer de la dette. Tous les pays sont endettés même votre modèle : l’Allemagne.

    Vous oubliez comme la majorité des gens que derrière une institution, un état, voire également le développement d’une idéologie, il y a des individus qui réagissent tout comme vous en fonction de leurs savoirs, vous avez raison quand vous écrivez qu’un étudiant d’une grande école (les autres également) sont formatés par l’enseignement qu’ils ont reçu, comme si cela pouvait en être autrement, d’où vient votre propre vision de l’économie sinon de votre propre savoir mais ce que vous ne percevez pas, pas encore mais il n’est jamais trop tard, est que la situation actuelle est une crise de civilisation amplifiée par les moyens de communications et par la surpopulation, il est évident qu’il faut un changement radical dans nos façons de vivre, radical signifie également inédit ou encore à inventer et que nos savoir ne nous sont pas d’un grand secours puisque par définition, de par leurs natures, ils ne peuvent qu’accoucher de vieilles recettes réchauffées.
    Ceux qui vivent bien dans le monde veulent le conserver, ceux qui en pâtissent désirent le changer et ceux qui sont entre les deux avec en sus une vision humaniste ou des cas de conscience sont mal dans leur peau, comment allez-vous Spartacus ?

    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 09:00

      @Jean Keim

      La monnaie n’est qu’un consommable. Personne ne vous oblige à dépenser. 
      C’est le crédit qui crée la monnaie, et c’est le remboursement qui la détruit. 

      Le QE est une vision Keynésienne qui veut faire croire que la richesse peut venir sans investissements. 

      Nous sommes dans une crise de capitalisme de connivence ou socialisme, pas une crise de civilisation. Nous vivons une absence de libéralisme. 
      Cette prétention absurde de l’état à savoir mieux que vous ce qui est bon pour vous et son interventionnisme et sa régulation par la contrainte au nom de supposés « intérêts généraux »

      Je suis assez en accord avec votre dernière phrase. Je vous rassure, je suis en pleine forme, comme jamais. Je mange du collectiviste chaque matin. Ca donne le peps pour la journée.

    • Jean Keim Jean Keim 5 juin 2015 13:35

      @Spartacus
      L’espèce humaine est sur le point de détruire les conditions de vie sur sa planète, si ce n’est pas une perspective de fin de civilisation ça y ressemble beaucoup, le capitalisme, le communisme et autres clichés me paraissent bien dérisoires à côté. Si nous restons dans la logique du profit et de la marchandisation à tout va nous sommes foutu voilà tout. Au mieux nous disparaissons, au pire nous dégénérons.

      Nous allons apparemment à terme vers une situation avec d’un côté une élite vivant dans un luxe inouï et de l’autre des hommes réduits à l’état de servage, le retour de la féodalité avec la technologie en plus, j’espère me tromper.

    • Jean Keim Jean Keim 5 juin 2015 13:38

      @Jean Keim
      Ah j’oubliais ! Il y a une autre alternative mais elle n’est pas dans nos savoirs ...


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 juin 2015 17:39

      @Spartacus
      Les investissements se font dans les pays à bas salaires.


  • shayologo 5 juin 2015 10:45

    C’est beau de critiquer mais que proposez vous ?


    Moi j’ai franchement pas de solution a moins de dire stop au capitalisme, annuler les remboursement et de repartir sur une dette à 0

    Et puis quand on manque d’argent se rajouter des zéros sans passer par des banques. En claire un état avec de l’argent illimitée

    C’est sur que les amerloc, l’europe et autres requins financier ne serait pas content. Mais en tant que sans dents on pourrait créer des emplois et faire remonter le niveau de vie

    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 11:54

      @shayologo

      Ce n’est pas le capitalisme qui a demandé à emprunter. Il n’est coupable de rien. 

      Accuser le « capitalisme » c’est la solution de facilité. Il est immatériel et ne risque pas de vous répondre.

      Ce sont des individus qui ont mis une signature en votre nom, et les emprunts sont contractuels. 
      La dette se sont des « obligations », en propre comme au figuré.

      Derrière les Prêteurs il y a des gens. Livret A, Assurance vie, Vos assurances qui stoquent leurs liquidités pour assurer votre voiture ou maison. Des retraités, des petits et des gros épargnants. 
      Il y a un engagement pris en votre nom a rembourser. 

      Créer de la monnaie ? Vous croyez que personne y avait pensé ?
      1000 fois essayé 1000 fois des échecs.
      C’est tuer sa valeur. Une création d’inflation. Adossé à un emprunt la monnaie a une valeur, mais adossé à rien la valeur se casse la gueule sans rien résoudre. 

      Les Keynésiens viennent de créer le QE, la création monétaire. A part que tout ce qui est importé va augmenté et donc vous achetez moins avec la même valeur d’argent et donc devenu plus pauvre, aucune richesse ne se créee....

      La solution elle est unique. Limiter l’état, constitutionnaliser la balance recettes/dépenses. rembourser. Et ne plus promettre de raser gratis avec l’argent des générations suivantes.


    • ddacoudre ddacoudre 5 juin 2015 15:25

      @Spartacus

      tu as raison Spartacus le capitalisme n’existe pas, il n’ira jamais dans le fauteuil d’un psy. ce qui existe ce sont des individus qui pensent que l’on peut employer d’autres pour leur faire exécuter ce que l’on désire en évitant d’avoir à les nourrir. cette relation là s’appelle le capitalisme. et que les individus aient pris l’habitude de ne faire les choses que si ils disposent des moyens (capital) de nourrir ceux qu’elle emploi pour mettre en œuvre leur projet qui ne vise que leur intérêt, ne fait pas du capitalisme une source de jouvence, sauf pour ceux qui amassent en se racontant que c’est le juste retour des choses puisqu’ils sont entreprenant  smiley

      cordialement.


  • MKT 5 juin 2015 13:43

    Cher auteur,
    Restons dans le ton de vos billets et interventions.

    Je vous propose cette citation de Jean Carmet :
    « Avoir des dettes est le seul moyen de rester dans la mémoire des classes commerçantes »
     


  • ddacoudre ddacoudre 5 juin 2015 15:16

    bonjour spartacus.

    « Le Keynésianisme est un concept économique qui la prétention de produire de la richesse à partir de la dépense étatique »

    tu n’y ais pas Keynes n’a fait que réguler l’organisation capitaliste, par l’autorité nationale du pouvoir du peuple, qui s’impose des contraintes réglementaires par les lois.
    l’on peut choisir de le faire de son propre chefs en passant des accords qui définissent les obligations et devoirs de chacun pour réguler l’organisation économique capitaliste ou comme nous l’avons fait depuis 1848 par le conflit.
    tu fais une fixation sur l’état monarchique qui n’existe plus, aujourd’hui les citoyens décident ce qu’ils veulent faire, soit indirectement, l’état soit directement les accords ou conflits.
    La dette n’est lié qu’à la création monétaire pour tous ceux qui ont voulu faire du pouvoir de gestion socio-économique populaire (l’état) une entreprise. La monnaie se crée par les échanges individuels, quand l’état procède à des échanges il doit pouvoir aussi créer de la monnaie, comme quand il a à faire vivre 40 millions de citoyens qui ne travaillent pas parce que l’on n’a pas besoin de leur activité mais eux ont besoin de vivre (68 millions de citoyen et 28 millions d’actifs tu comprendras que je ne te fasse pas de commentaire sur le chômage).
    La banque n’est qu’un lieu de dépôt qui facilite l’utilisation des masses monétaires disponibles, elle n’a pas à être un organisme de création monétaire ni de garantie, ce qui transfaire le pouvoir de création de monnaie des individus vers un organisme tutélaire. ainsi en tant que libertarien tu devrais autant fustiger le pouvoir populaire que celui tutélaire confié aux banques.
    Nous vivons en fait sous l’égide de ce que j’appelle un « dominant systémique ». la question est pourquoi les cityens ont peur de leur pouvoir politique.
    je serais très intéressé que tu réponde a cette interrogation.

    cordialement.


  • agent ananas agent ananas 5 juin 2015 17:36

    Article truffé de contre vérités.

    - Notre économie n’est pas keynésienne comme le prétend l’auteur mais bien libérale ou « semi-libérale ». A vrai dire les « trente glorieuses » ont pu être possible grâce à une économie keynésienne où les impôts servaient principalement au développement des infrastructures, comme sous le New Deal de Roosevelt. A cela il faut aussi ajouter que notre appareil productif était robuste avant qu’il soit délocalisé vers des pays à main d’oeuvre bon marché. Le pays connaissait la croissance et le plein emploi et les ménages étaient donc assujettis aux impôts.
    - Aujourd’hui le déficit budgétaire s’explique en grande partie par la baisse des recettes fiscales : les chômeurs ou travailleurs pauvres n’étant pas ou peu imposables, les niches fiscales et les multinationales ne payant pas d’impôts ou préférant les payer à l’étranger (voir le « junckergate »).
    - Il est intéressant de noter que l’auteur date nos maux à partir de 1973. Il feint d’ignorer que cette même année la loi « Pompidou-Giscard » fut votée (en catimini) ; loi qui oblige l’Etat à se financer auprès de banques privées, alors qu’auparavant l’Etat empruntait à la Banque de France à des taux minimes.
    Donc nos maux n’ont rien à voir avec le choc pétrolier de 1973. Celui ci ne fut pas déclenché par l’OPEP comme le raconte la légende, mais par le cartel pétrolier et des banques, notamment la FED. A cette époque les compagnies pétrolières étaient fortement endettées. Cette augmentation de 400% des cours du brut généra un flot de liquidités. Cette « commodité » étant fixée en dollars sur les marchés, cela permit à la FED d’inonder le monde de dollars et ainsi de financer le déficit budgétaire US.
    - Il est à signaler que les impôts contribuent de moins en moins au développement économique et aux services publics (qui de toute façon sont de plus en plus privatisés) et servent surtout à rembourser la dette. Nous sommes pas loin d’un scénario à la grecque.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 18:28

      @agent ananas
      Vous êtes bien le seul a ne pas voir tous les jours des tentatives de relance par la dépense. Et ces belles théories Keynésiennes


      57% du PIB c’est l’état. 
      Il faut 100% pour l’admettre ? 
      Plus de la moitié de votre brut de brut ne vous appartient pas, mais redistribué en votre nom ? Vous n’avez pas remarqué ? Vous appelez cela « libéral » ? 
      50% de votre « reste » à vivre est constitué de prix « fixés par l’état » (EDF, Transports SNCF, santé, etc...) ce serait libéral ? 

      Quand je vous dis que c’est une religion. Critiquer la relance par l’état c’est un blasphème. 

      Même dans les pays fermés et sans économies ouvertes les théories Keynésiennes se sont écroulées.

      Il est tout simplement stupéfiant de voir combien la pensée keynésienne exerce toujours une fascination qui confine à l’aveuglement voire à l’hypnose.

      Nous vivons la plus grande défaite Keynésienne de tous les temps. 
      Les Keynésiens sont un peu les musiciens sur le Titanic. Chanter les louanges du Keynésianisme en le regardant couler.

      Scénario Keynésien a la Grecque ? 


      @BA la dette privée n’est pas à rembourser par les citoyens. 

    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 23:48

      @Fifi Brind_acier
      Mais si les états unis ont une économie Keynésienne. 

      Stiglitz n’est il pas un proche de O Bama ?

    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 juin 2015 07:27

      @Spartacus
      Quant on voit les inégalités de la répartition de la richesse aux USA, cela contredit totalement vos affirmations !! Vous défendez les Libertariens du Parti républicain, mais dire qu’ Obama a changé quelque chose à la répartition de la richesse aux USA, personne n’y croit !
      80% des américains sont pauvres ou en passe de le devenir !" 


    • Spartacus Lequidam Spartacus 6 juin 2015 08:49

      @Fifi Brind_acier


      La comparaison des taux de pauvreté ne rime à rien, vu que le seuil de pauvreté varie d’un pays à l’autre. 

      Les personnes sous le seuil de pauvreté aux USA sont plus riche que 70% des habitants de la planète.
      Par ailleurs la structure de population est différente. Avec une immigration 4 fois plus importante qui entre dans les statistiques, les données sont faussées.

      Intéressez vous donc aux inégalités à la retraite USA- France et vous verrez a quel point il y a dégueulasserie en France avec les régimes spéciaux qui avantage la population qui se gave et l’étatisme que vous défendez..

    • Aristoto Aristoto 6 juin 2015 14:42

      Spartacus le faux libéral qui veut que la police étatique martyrise l’individu libre et libéré !!!

      Faux libéral !


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 juin 2015 20:01

      @Spartacus
      Quand on voit les bidonvilles dans la banlieue de Détroit, ça ne transpire pas la richesse...


    • Spartacus Lequidam Spartacus 6 juin 2015 22:13

      @Fifi Brind_acier


      Les bidonvilles de Détroit, c’est la municipalité qui en est la cause.

      Détroit a voulu faire payer des impôts terribles aux usines de voiture, en pleine périodes ou la concurrence Allemande et Japonaise attaquaient.

      Les usines sont parties vers des lieux moins taxés.....


  • BA 5 juin 2015 17:57

    Dette totale = dette publique + dette privée.

    Quelles sont les nations ayant la dette totale la plus élevée ?

    Sur les 16 nations les plus surendettées du monde, 13 nations sont européennes !

    1- Médaille d’or : Japon. Dette totale : 400 % du PIB.

    2- Médaille d’argent : Irlande. Dette totale : 390 % du PIB.

    3- Médaille de bronze : Singapour. Dette totale : 382 % du PIB.

    4- Portugal : 358 % du PIB.

    5- Belgique : 327 % du PIB.

    6- Pays-Bas : 325 % du PIB.

    7- Grèce : 317 % du PIB.

    8- Espagne : 313 % du PIB.

    9- Danemark : 302 % du PIB.

    10- Suède : 290 % du PIB.

    11- France : 280 % du PIB.

    12- Italie : 259 % du PIB.

    13- Royaume-Uni : 252 % du PIB.

    14- Norvège : 244 % du PIB.

    15- Finlande : 238 % du PIB.

    16- Etats-Unis : 233 % du PIB.

    ( Pour info : la Russie est à la 43 ème place, avec une dette totale de seulement 65 % du PIB. )

    Source :

    http://www.michelsanti.fr/wp-content/uploads/2015/02/pays-dettes.png

    Rapport McKinsey :

    http://www.mckinsey.com/ /media/McKinsey/dotcom/Insights/Economic%20Studies/Debt%20and%20not%20much%20deleveraging/MGI%20Debt%20and%20not%20much%20deleveragingFullreportFebruary2015.ashx


  • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 18:55

    ’’La dette a été vendue aux étrangers, il faut juste la payer.’
     
     Ce discours est surréaliste ! Il faut payer ce qu’on a vendu !!

     Tout est dit.


    • Spartacus Lequidam Spartacus 5 juin 2015 23:50

      @JL
      Bien sur ceux qui ont acheté la dette ont acheté le paiement futur de ce qui est marqué dessus.

      C’est un engagement.

  • sylvie 10 juin 2015 12:29

    et en plus il a le cynisme de ses confrères....


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