mardi 29 décembre 2009 - par Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR)

Adieu la Banquise ! Vive le foisonnement de la Vie !

Il y a certainement une raison au développement des amalgames de tous genres tant au niveau national qu’international qui font « Un » en pleine « Mondialisation bâtarde de l’argent » ! Soyons toutefois magnanime et mettons cela sur le compte de l’ignorance et du manque de discernement ! Peut-être même que la « Confusion », sommet inéluctable de l’ambition humaine est-elle considérée comme la mère de toutes les suretés…pour gagner du temps avant la fin ! A chacun donc sa façon de mentir ?

Chers amis de l’Agora, on y est, on reste ! S’il est déconseillé d’aller « voir Venise pour mourir » sous les flots, chacun de nous peut bien, même de loin, « regarder Copenhague et se marrer » !
 
Rassemblons-nous, mais ne soyons pas larges d’épaules afin de laisser la place à tous ; soyons plutôt larges d’esprit et prodiguons bénévolement notre sagesse !
Parlons donc franchement, sans hypocrisie et sans vouloir corrompre ni les vieux ni les jeunes ; aidons-les plutôt à accoucher leurs appréhensions issues de la fécondation des zizanies politiques de ces dernières décennies ! N’expliquons pas aux ignorants de la chose, mais discutons utilement et franchement avec ceux qui prétendent à la connaissance !
 
De quoi s’agit-il ? Nous sommes dans une véritable atmosphère d’incompréhension, de non-dialogue et d’impossible communication qui risque de dégénérez vers l’autre moyen peu souhaitable qu’est la confrontation !
Un vieux phénomène naturel politiquement rajeuni ces trois dernières décennies à l’initiative des « lobbies de l’argent » et à la faveur d’une incompréhension générale amplifiée par une entreprise sournoise de la « désinformation » fait jaser en ce moment l’ensemble de l’humanité ! Des mots, « Climat » dont la pleine acception n’est pas encore définie et « Ecologie » d’étymologie bâtarde, furtivement et dirais-je prématurément introduit dans l’espéranto universel, sont passés au pétrin médiatique pour produire « Un réchauffement climatique » summum de l’idiotie et prétendre un « Comportement écologiste » cette seconde nature humaine non encore homologuée !
 
Restons sur la toile et voyons ces définitions, par ailleurs conformes au contenu de tous les dictionnaires classiques et mêmes à ceux réformés à la lumière de la « Mondialisation » obscure : 
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1)Le terme « climat » apparait dans la langue française au XIIe siècle comme dérivé du latin climatis qui provient du grec klima qui désigne l’inclinaison de la Terre par rapport au Soleil. Les premiers découpages climatiques en effet ont été établis selon l’inclinaison des rayons du Soleil par rapport à l’horizon.
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2)L’écologie, du grec οίκος : "oikos" (maison) ; et λόγος : "logos" (discours, sciences, connaissance), est l’étude scientifique des interactions qui déterminent la distribution et l’abondance des organismes vivants.
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3) L’économie, ou l’activité économique (du grec ancien οἰκονομία « administration d’un foyer », de οἶκος « maison, dans le sens de patrimoine » et νόμος « loi ») est l’activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation de biens et services.
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Quand personne ne constate la variation de cette « inclinaison » qui conditionne globalement tout ce qui est retenu par la Gravitation autour de la Planète Terre, on ne peut donc parler de « changement climatique »  ! Commençons par dire que le « Climat » est un paramètre a priori universel qui conditionne l’état et le développement météorique autour de la Terre ! La circulation générale est déterminée par l’activité solaire, l’évolution du noyau terrestre, les mouvements de la Terre, la composition et la densité de l’atmosphère ! Tout cela s’use…avec le « Temps » !
 
 Les deux derniers mots renferment, quant à la consonance de leur commun préfixe, de graves interférences étymologiques, enrobés de politique ils produisent encore plus de confusion ! Car on se demande bien qui est responsable du péril en la « demeure humaine » ? Est-ce « Oikonomos » dans sa mauvaise gestion du patrimoine parce que la « loi » de la justice sociale a été bafouée ou est-ce la conduite de « Logos » coupable d’incursion et de beaucoup d’erreurs dans les répertoires ! En ces temps incertains notre inquiétude va grandissante quand nous nous assurons chaque jour de la connivence entre la « Maison de la Science » qui ignore ses limites et celle du « Gestionnaire-Voleur » qui n’a plus de retenue ! Est-ce que l’homme agit dans son milieu et interagit avec le milieu naturel pour élargir et enrichir son « Logos  » (qui n’est pas tout à fait synonyme de « Vie »), ce qui est légitime et tolérable ou bien espère-t-il devenir « Oikonomos de l’Univers », ce que la sagesse ne recommande pas  ? La « Science » responsable commence là où elle explique que la « mesure » perturbe le système mesuré, de là à bien comprendre « l’idéologie écologiste » qui consiste à « tout mesurer pour mieux préserver »… Avouez que l’on est face à la plus grande contradiction de « l’esprit rationnel » ! Le discours de la méthode engendre toujours dans les esprits la prochaine méthode du discours à développer en fonction de ce qui est acquis et ainsi de suite ad infinitum, c’est la réaction en chaine de la bêtise humaine !
 
S’il est donc permis de parler de « Météorologie » comme la Science qui étude le caractère général des météores, leurs interactions mutuelles et leur évolution dans l’atmosphère sous l’effet du rayonnement, ce qui pourrait conduire à de possibles prévisions locales ou étendues à plus moins longue échéance, permises notamment et surtout par les moyens d’observation et de mesure en temps réel ; il est par contre malpropre de disserter sur le « Climat », dont nous ignorons les facteurs fondamentaux qui le déterminent et par suite de « Climatologie » qui risque tout simplement de déverser sur les domaines ésotériques et surtout pas de « Prévision climatique » qui n’est absolument pas du ressort de l’Humanité ! Ce n’est pas un hasard si nous assimilons encore le « Climat » au « Temps », (une culture populaire primaire qui se rapporte aux aléas d’une journée et aussi au déroulement des saisons pour espérer un meilleur calendrier agricole) ; selon l’intervalle de temps considéré on peut parler de « l’état » d’une portion atmosphérique à un moment donné le jour « j » ou bien de « Cycle climatique » entre deux périodes données plus ou moins espacées !
 
Je marque une pose pour rapporter un paragraphe très révélateur que j’ai prélevé d’un livre, certainement très apprécié, publié sous le titre :
 
« Météorologie, La prévision numérique du temps et du climat » (de Michel Rochas, Jean-Pierre Javelle ? aux éditions Syros/Alternatives 1993)  !
 
Je dois toutefois préciser que ce sont là les mêmes « arguments scientifiques » que l’on trouve dans toute la littérature qui traite ce sujet ! Le paragraphe s’intitule « Le système climatique terrestre » avec un sous paragraphe en forme de question qui dépasse largement l’entendement humain : « Pourquoi la Terre est-elle habitable ? »
Voici le début du paragraphe en question :
 
« Le système climatique terrestre est d’une extrême complexité, car il se compose de sous-systèmes très divers comme les océans, l’atmosphère, les glaces (glaces de mers et glaciers, les terres et surtout la biosphère. Ce dernier milieu est, de loin, le plus difficile à modéliser et nous n’en parlerons que comme d’un milieu externe, alors que, bien évidemment, il interagit avec les autres sous-systèmes du système climatique. »
 
Je dis : le « système climatique terrestre » n’existe pas, il convient de parler d’un « Paramètre climatique » du système solaire ! Certes il y a là une grande complexité parce qu’effectivement il impose un régime de fonctionnement au « Milieu interne » c’est-à-dire à l’interface atmosphérique dynamique qui forme un seul système entre le Soleil et la Terre…Les conditions aux limites étant évidemment très complexes !
 
Voyons ensuite le contenu du sous-paragraphe !
 
« Quand on considère le système climatique terrestre, les questions fondamentales qui se posent sont les suivantes : comment se fait-il que la température de la Terre soit compatible avec la vie ? Un écart de quelques degrés, de cette température risquant de remettre en cause la vie elle-même, du moins le mode de vie actuel des habitants de la planète, quels sont les mécanismes (naturels ou anthropogéniques) qui sont susceptible de modifier la température moyenne de la Terre de ces quelques degrés ? Pour le climatologue, ces interrogations reviennent d’abord à celle-ci : qu’est-ce qui explique la température moyenne que nous constatons à la surface de la Terre et qui la rend ainsi habitable ? Prise ainsi, la question reçoit une réponse d’une extrême simplicité : sans l’existence au sein de l’atmosphère de gaz à effet de serre, la température moyenne de la Terre serait beaucoup moins propice au développement de la vie. La réponse peut se justifier assez facilement ; en évaluant l’énergie solaire que reçoit en moyenne l’unité de la surface de la Terre, on peut calculer la température qu’elle devrait avoir pour que le rayonnement thermique qu’elle émet (on suppose qu’elle se comporte comme un corps noir) équilibre le rayonnement qu’elle reçoit. On trouve ainsi que, sans effet de serre, la température d’équilibre de la Terre devrait être de l’ordre de -18°C, c’est-à dire 33°C de moins que la température moyenne observée actuellement. » 
 
Moi je dis : La « Vie » c’est le « Mouvement » et la « Température » est l’essence même de la vie ! Les écarts de la température permettent le foisonnement de la Vie dont une étape de développement de celle-ci peut évidemment être perturbée plus ou moins sérieusement mais l’adaptation est une faculté intrinsèque de l’Univers ! Un hypothétique « climatologue » ne peut donc constater une température moyenne qui rendrait la Terre habitable ! La Terre ne présente aucun lieu privilégié pour déterminer une température moyenne qui favoriserait une vie moyenne, elle est habitable et abondamment habitée sur les hauteurs de son atmosphère, sur l’ensemble de sa surface, au fond et sur les océans, dans ses déserts, sur chaque millimètre de ses glaciers et bien entendu dans ses forets et ses jungles sans oublier les grottes et les profondeurs des sous sols ! Elle est tout sauf un « corps noir » physiquement parlant ! Quant à la « serre chaude », cette idée géniale du reste, qui consiste à protéger les cultures fragiles de la température ambiante, elle doit son « effet » à sa conception : c’est un milieu vitré mais nécessairement clos qui laisse passer la lumière tout en empêchant la circulation de l’air vers l’extérieur ! Si vous faites un trou sur la paroi, « l’effet de serre » recherché diminue et si vous ouvrez un côté, le milieu cesse aussitôt son rôle ! Or les gaz et la vapeur d’eau ne sont pas des plaques de verre et l’espace dans lequel ils évoluent n’est pas ce qu’on appellerait un milieu fermé ! Ainsi on voit bien que ; contrairement à ce que dit l’auteur dans sa grande contradiction, d’abord « Le système climatique terrestre est d’une extrême complexité…, qui ensuite« reçoit une réponse d’une extrême simplicité…, le raisonnement porte d’emblée les preuves de sa fausseté !
 
Il n’est sans doute pas aisé de comprendre toutes les transformations de la matière, des fluctuations mineures sont toujours possibles et des bouleversements majeurs sont inéluctables, étant même inscrits dans le processus universel… L’Humanité, active par sa nature, va bien en ce moment au-delà de ses prérogatives, mais plus grave encore, elle ignore où est sa faute ! Si la disparition de la Banquise remettra la Vie dans ses pleins droits, alors je dis bon vent !
 
Qu’en est-il des « initiatives citoyennes » et du « consensus international » pour « limiter la production des gaz à effet de serre » : Sornettes, que tout cela ! Et  « La voiture électrique » : Disons seulement qu’elle produit sa pollution avant même sa mise en circulation, cela suffit à l’oublier… De même l’énorme supercherie des « industries de recyclage » qui ne sont pas si « respectueuses de l’environnement » parce qu’elles polluent au second degré et plus que les maisons-mères qui auraient fabriqué les gadgets périmés ! 
 
Il y’a en ce moment une grande bousculade aux portes de Copenhague où des « écrans géants » montrent les « images désolantes » du coupable geste des Africains sauvages qui coupent le bois pour meubler légitimement les salons du Monde civilisé ! Tandis que les promoteurs immobiliers, épaulés sans doute par les « escaladeurs des montagnes économiques », spéculent déjà et analysent l’offre inespérée des Sherpas qui appellent au secours sous un masque d’oxygène à effet de crise financière…pour sauver le toit du Monde ! Bientôt sans doute, on verra un « Dubaï des glaces », celui des sables mouvants risquant la ruine prochaine ; il sera initié par ceux-là même qui avaient imaginé et construit les bunkers-refuge anti-nucléaire durant la dernière glaciation de la guerre froide dans le but de sauver leurs familles et quelques énergumènes des retombées du rude hiver nucléaire selon une sélection pas tout à fait naturelle ! Quelle humanité !
 
Enfin, un raisonnement éclairé ou si vous préférez, en termes barbares, un « bilan énergétique complet » montrerait plutôt que c’est la frénésie au bitume et au béton armé qui couvrent de plus en plus la surface terrestre qui handicape sérieusement le développement harmonieux de la Vie ; oui de la simple interposition d’une infime « cellule photovoltaïque » qui produit l’énergie à la manière la plus dégueulasse en suçant le soleil, aux monstrueux « développements urbains » sans oublier le dépotoir orbital ; la pauvre « fonction chlorophyllienne », base fondamentale du développement de la Vie sur Terre subit ainsi de plus en plus un sérieux dommage ! Mais c’est surtout le vacarme planétaire de l’industrie humaine et ses centaines de millions de gadgets détonnant, hurlant et trébuchant sur la surface de la Terre et volant dans l’espace, qui crée la plus grande « nuisance par l’effet acoustique » et le plus grand emballement des « éléments » ! Oui, du simple « battement des ailes » du moustique ou du papillon et jusqu’au décollage et vrombissements des «  engins polluants » toutes catégories sans oublier les fracas et les explosions…Tout cela perturbe l’atmosphère !
 
Le rôle attribué à ces gaz n’est sans doute pas totalement contestable mais si l’on accepte l’idée que le bonus des 33°C qui permettent de relever la « température moyenne » à celle qu’on « observe » viendrait de la concentration de ces seul gaz dont une modification par la faute humaine pourrait provoquer un réchauffement global ou une glaciation, alors la plus grosse question de tous les temps pointe son nez : Les Humains sont-ils capables d’agir sur «  l’Univers » pour leur bien ou pour leur malheur ? Y a t-il ou non orgueil hypertrophié dans la conception et dans la démarche ? Réfléchissons d’abord : Si la « Science » est le fait de l’Homme, pourquoi tant de carences dans la condition des bipèdes, et si l’Homme est promu à refléter « l’image de Dieu », pourquoi toute cette ingratitude ? Mieux encore, la « Vie » n’étant pas seulement « l’existence humaine sur Terre », si « l’Humanité » en sera la meilleure étape de son développement (Le meilleur de la Vie), pourquoi alors tant d’incertitudes ? Pour ma part, je suis convaincu que le salut serait plutôt « législatif » que « scientifique » ; la nature humaine commence à dégénérer dangereusement ! 
 
Alors, consummatum est ?
 
Je dis que la prochaine décennie ne verra pas un face à face insolite entre l’Ours polaire et le dromadaire ni un fatale encombrement d’Arches de Nounours aux Colonnes d’Hercules car le déluge est encore loin. Nous ne verrons pas non plus, heureusement d’ailleurs, Une grande « Marche d’un Empereur » conquérant planétaire, devant une longue procession de soldats démocratiques le long de la longue « Route de la soie » qui se confond aujourd’hui avec tous les sentiers du banditisme eux-mêmes branche secondaires, ramifications et tentacules de « l’Axe du Mal » dont l’immuable orientation va de l’Occident vers l’Orient et passe occasionnellement par quelques contrées promues à la destruction…
 
Mes amis de l’Agora, je vous aime bien ! Je ne m’avance donc pas pour tout le 21e siècle, mais pour la seule année 2010, je vous la souhaite heureuse et pour commencer fêtez la fin de l’année courante en compagnie du plus populaire personnage de vos rêves que vous recevrez encore cette fois en Gandoura et avec une généreuse Barbe- Burka ; le fatidique « réchauffement climatique » l’obligerait sans doute plus tard à tomber la chemise et à mettre des sandales de caoutchouc… écologique ! Mais comme la prohibition du CO2 est imminente, le vieux Papa Noël ne descendra plus du Ciel et le long des cheminées illicites qui seront sans doute recyclées en une forêt de minarets et de clochers tous redevenus fraternels après l’abolition intégrale des identités nationales, mais se matérialisera à votre volonté et au milieu du salon de votre « Maison écologique » sur un « Tapis volant » échappé du cratère encore fumant de Bagdad et propulsé écologiquement par les « prouesses des nouvelles technologies » !
 
Mohammed
 


14 réactions


  • Halman Halman 29 décembre 2009 19:26

    Laisse tomber Mohammed, mélanger mécanique Newtonienne et physique quantique, politique et lois de la Nature en un amalgame de grand n’importe quoi pour faire passer ses idées avec de prétendus arguments scientifiques c’est nul.

    "La circulation générale est déterminée par l’activité solaire, l’évolution du noyau terrestre, les mouvements de la Terre, la composition et la densité de l’atmosphère ! Tout cela s’use…avec le « Temps » !« 
    Cela ne s’use pas, c’est alimenté en permanence par l’énergie apportée par le rayonnement solaire, directement la gravité, et indirectement par la gravité du fait de la rotation et de la trajectoire de notre planète.

     »La « Science » responsable commence là où elle explique que la « mesure » perturbe le système mesuré, de là à bien comprendre « l’idéologie écologiste » qui consiste à « tout mesurer pour mieux préserver »« 
    Vous mélangez physique quantique et mécanique des fluides au niveau planétaires, deux échelles qui n’ont rien à voir.

     »Le paragraphe s’intitule « Le système climatique terrestre » avec un sous paragraphe en forme de question qui dépasse largement l’entendement humain : « Pourquoi la Terre est-elle habitable ? »« 
    Ce n’est pas parce que cela dépasse votre entendement que cela dépasse celui des autres.

     »Moi je dis : La « Vie » c’est le « Mouvement » et la « Température » est l’essence même de la vie ! Les écarts de la température permettent le foisonnement de la Vie dont une étape de développement de celle-ci peut évidemment être perturbée plus ou moins sérieusement mais l’adaptation est une faculté intrinsèque de l’Univers !« 
    Vous êtes hors sujet. On parle de la naissance de la vie, pas de ses paramètres d’adaptation une fois son évolution relativement stabilisée.

     »Un hypothétique « climatologue » ne peut donc constater une température moyenne qui rendrait la Terre habitable !« 
    Ah bon ? Qui le ferait ? Un anti scientifique primaire comme vous ?

    Si vous saviez de quoi vous parlez tout ce qui »vole dans l’espace« , (déjà si vous aviez compris le b a ba de la mécanique céleste vous n’emploieriez pas cette expression) ne nuit nullement au »système climatique" comme vous ne voulez pas accepter l’expression non plus. Les satellites n’emettent rien. Ils observent, ce sont des récepteurs inertes, de simples appareils photos qui n’émettent pas le moindre rayonnement pouvant induire une quelconque conséquence.

    Si vous aviez compris le sens de l’exploration spatiale, vous sauriez que l’espèce humaine n’a rien inventé de plus noble.

    Quand les précurseurs en seront à rendre Mars habitable, vous serez de ceux qui, aveuglés par votre anti science primaire seront restés sur Terre à respirer un air qui n’en peu plus, lui extraire les dernières ressources, au lieu de venir respirer un air frais d’une nouvelle planète.

    Mais je parle dans le vide sidéral, ce genre de discours est sans effet sur des gens comme vous.


  • Halman Halman 29 décembre 2009 19:28

    Propagande pro religieuse insupportable, prosélytisme sur font d’incompétence scientifique et d’anti science primaire aveugle qui ne devrait pas passer sur un forum.


  • Halman Halman 29 décembre 2009 19:29

    Quand l’homme aura remplacé clochers et minarets par des observatoires astronomiques, il aura évolué à un point que vous n’imaginez pas. Rien de pire que le prosélytisme religieux.


  • anty 29 décembre 2009 19:35

    Oui,
    Mohamed le descendant des amis du prophète

    mais si le climat se réchauffe, j’achèterai moins de mazout pour chauffer ma bicoque et donc je

    polluerai moins selon les souhaits des écolos mais en même temps je ne participerai pas à

    l’effort financier des tes frères et sœurs de l’autre côté de la méditerranée qui ont aussi besoin de faire miam miam matin, midi, soir.

    Que faire ,mon dieu que faire, jeter l’opprobre sur les écolos injustes et calculateurs.

    Acheter plus de mazout pour contribuer au miam miam quotidien de tes frères et sœurs quitte à s’attirer les foudres plus ou moins légitimes des écolos

    C’est une quadrature du cercle que seuls les descendants des amis du prophète peuvent résoudre.


  • Halman Halman 29 décembre 2009 19:44

    Oui, ils se croient avoir la parole divine en science aussi parce qu’on leur a inculqué qu’ils ont inventé les mathématiques. Ca leur est monté au cerveau et ça veut nous faire la leçon.

    Le choc quand on leur apprend que tout ce qu’ils ont soi disant inventé existait déjà en Asie et en Amérique du Sud 1000 ans avant les Arabes.


    • Jojo 29 décembre 2009 19:59

      Vous devriez vous calmer Halman,
      C’est à l’auteur selon vous prosélyte que vous vous adressez ou alors c’est à tous les musulmans ?

      Il n’est même pas dit qu’il le soit lui. Attendez de recevoir ces réponses en gras double.

      Et si ... ça c’est du prosélytisme en faveur de l’Islam c’est qu’il en sait autant sur l’Islam que vous même alors...


  • ddacoudre ddacoudre 29 décembre 2009 23:46

    Bonjour Mohamed

     

    J’ai aimé ton article, et compris son sens, il me parait évident que les hommes veuillent sauver leur espèce, ou l’es avantages qu’ils retirent de la planète, mais pour autant ils ne pourrons échapper à l’évolution, sinon il faut admettre que l’évolution des espèces n’est qu’une erreur fondamentale ce que je ne crois pas même si la science ne dispose pas de la durée nécessaire pour en faire la démonstration réfutable.

     

    Je te copie quelques extraits d’un de mes essais avec un texte sur ma vue de ce que nous sommes.

     

     

     

    « ……Il me paraît évident, et c’est là ma réponse, que nous ne couvrirons pas la planète de béton, de voitures, et de produits toxiques. Cela, à cause d’une mécanique qui nous échappe et par laquelle se manifestent toujours des êtres plus « intelligents » que d’autres, pour jalonner leur époque. L’époque des scientifiques de toutes nations est proche, et ils ne resteront pas éternellement alarmistes (naturellement je ne pense pas à ceux qui suivent leur maître financier ou idéologique). Ce n’est pas là la marque du hasard, mais celle d’une espèce dont l événement culturel génère ses propres éléments devant concourir à son évolution, parce que toute cellule qui prolifère produit des déchets qui entraînent sa destruction, si elle ne reçoit rien de l’extérieur ou n’est pas capable de se transformer.

    Comme tout événement, « le culturel », événement en soi, déterminera le sien, et à la richesse matérielle en succédera une autre. Il ne peut en être qu’ainsi en raison du deuxième principe de la thermodynamique appliqué à notre système. (Un système évolue de manière irréversible, quel que soit son état initial, quand il tend toujours vers le même état final unique, et fixe une direction d’évolution qui ne peut être inversée sans intervention extérieure au système.

    Par exemple, un corps chaud mis au contact d’un corps froid : la chaleur ira spontanément vers le corps froid de manière irréversible jusqu’à l’équilibre.

    Alors, peut-être que ce successeur du Cro-Magnon n’aura pas besoin de bibliothèque, sous réserve que son prédécesseur ait su gérer l’abondance et son développement, ait su gérer l’événement Culturel, car c’est là, une de nos limites actuelles. 

     

    Pourtant, toutes nos innovations (comme nombre d’essais) ne favorisent pas le développement de l’espèce pour autant. Et quelles que soient les échelles de valeur que nous leur appliquons, et leur appliquerons, nous n’avons, et n’aurons que la possibilité d’un choix restreint, choix restreint dans toutes les innovations « Culturelles » que l’Univers sous-tend par l’évolution, ou la Création pour les croyants.

     

    Choix restreint, puisque celui-ci est dépendant de la réduction de la méconnaissance de toutes les associations possibles d’informations que nous ne serons peut-être jamais en mesure de connaître sur notre planète. Bien que nous puissions le comprendre, et évaluer certaines de ces associations grâce au travail des scientifiques, et de ceux qui dans les sociétés ancestrales avaient compris la même chose sans disposer des moyens d’une vérification techniciste. Toutefois, ce travail des scientifiques n’est qu’une mesure, elle aussi limitée par notre psychique, notre technologie et « l’infini ».

    Et dans quel but ?

    Procréer certainement !

    Mais aussi, repousser la mort !

    Deux motivations qui en génèrent une troisième que nous nous refusons à vouloir regarder, celle de tout organisme apte à produire sa capacité régulatrice, qui n’est pas seulement la chaîne alimentaire.

    Différer la mort sur une planète où nous n’avons aucune chance de vieillir paisiblement, au milieu des risques représentés par les autres espèces ou d’autres organismes (viral microbien etc.). Des risques que représente aussi la vie de notre espace terrestre (glaciation, réchauffement, dérive des continents, percussion d’astéroïdes, risques météorologiques), et des risques Culturels (accident et organisation de la violence.)


    • ddacoudre ddacoudre 29 décembre 2009 23:49

      suite

      L’apprentissage pour chacun d’eux permet d’accéder aux choix utiles, reculer l’échéance mortelle d’un ultime but énigmatique, la mort.

      Un apprentissage n’ayant pas que des adeptes. En particulier les obscurantistes d’hier et de toujours s’opposant à toutes les études de la connaissance de notre création et évolution, par crainte des réponses scientifiques. Heureusement, pour des chercheurs la science n’est ni une éthique ni une religion ni une affaire d’argent, mais un questionnement. Une recherche demandant une haute conscience Humaine, nécessitant des précautions quand elle nous concerne, et nous pouvons la résumer en une question : Pourquoi ?

      D’autant plus que la planète nous ignore. La planète, elle, se moque éperdument de notre existence, que nous soyons ignorant ou génie, que nous vivions ou que nous nous exterminions, que nous lui fassions un trou d’ozone ou que nous la réchauffions. Elle s’est créée sans nous, et mourra de même.

      II y a deux cent mille ans, la planète vivait sans nous ses transformations terrestres. Aujourd’hui notre activité humaine y contribue, et c’est en cela qu’il y a aussi un devoir d’apprendre pour harmoniser, non seulement notre propre existence, mais également celles futures à l’univers auquel nous sommes rattachés. Un univers auquel nous ne pouvons échapper, dont aujourd’hui nous connaissons certaines de ses lois qui nous conditionnent ; lois et Univers auquel je me référerai régulièrement.

      Par harmoniser j’entends, prendre conscience qu’il n’y a pas de « Paradis » à trouver et à conserver sur une planète condamnée, et peut être pas plus ailleurs. C’est cette prise de conscience là, qui peut être un événement fondateur de notre développement vers un inconnu ; ce qui n’empêche nullement le bonheur par la suppression de la souffrance.

      Ainsi peut-être, parce que nous ne chercherons plus ce « Paradis » c’est alors qu’il apparaîtra, car nous aurons pris la mesure de ce que nous sommes pour élaborer des « paradis » humains accessibles, grâce à la connaissance que nous découvrons des « lois » qui régissent notre Être, notre monde et notre Univers. 

       

      le Savoir est une lente édification. En conséquence de quoi, il faut plutôt escompter une lente modification des comportements et de la réflexion. Ceci me paraît être une évidence, mais n’être surtout qu’une certitude optimiste, car l’évolution poursuit sa route, et se fait avec nous, indépendamment du fait que nous ayons ou non conscience d’y contribuer.

       

      Et si jamais pour la « nature » l’humain doit être un essai manqué, il reste encore quelques milliards d’années d’existence à notre planète, pour générer une autre espèce……. »


      L’INNACHEVEMENT. A grands pas je marche Dans toutes les directions, Pour trouver ma table D’orientation. Je dresse des pierres Phalliques sur terre. J’érige par mortification Les traces de ma civilisation. Mes pieds me promènent Où vais-je m’arrêter ? Sur tous les continents Je vais habiter ? Je veux une terre d’harmonie Pour m’encourager. Des fleuves de croyances Pour me réconforter. Il n’y a pas d’harmonie à rechercher Pas de messie à espérer, Pas d’histoire à retrouver, Pas de futur à édifier. Mon regard se dresse Vers des constructions, Vers des œuvres closes Comme des maisons. Je masque les brèches Pour conserver mon paradis. Je colmate les fissures Pour ne pas laisser entrer la vie. Mon toit se lézarde Où vais-je m’abriter ? Quels édifices Je vais élever ? Je veux une masure en ordre Pour me protéger. Des murs de certitudes Pour me rassurer. Il n’y a pas de paradis à conserver, Pas de désordre à éliminer, Pas de solutions à trouver, Pas de justice en mon palais. Mais quel est ce monde Qui m’est destiné ? D’où vient cette histoire Toujours recommencée ? Je suis l’Homme en liberté D’un passé à l’imparfait. Prisonniers panégyriques De la gloire qu’il se fabrique. J’ai une clé qui n’ouvre Que sur des mélodies. Je me nourris des mesures D’une symphonie. Pour chanter que la vie est faite De plaisirs inachevés ! Pour rêver aux éphémères Bonheurs que j’ai inventés  ! Il n’y a pas de bonne société. Pas de contradiction à effacer, Pas d’inégalité à supprimer Juste à savoir aimer.  


       

       


  • BA 30 décembre 2009 00:03

    Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il annulé la taxe carbone ?

    Réponse des membres du Conseil constitutionnel :

    « L’importance des exemptions totales de contribution carbone étaient contraires à l’objectif de lutte contre le réchauffement climatique et créaient une rupture d’égalité devant les charges publiques ».

    « Moins de la moitié des émissions de gaz à effet de serre aurait été soumise à la contribution carbone », en raison de ces multiples exemptions, selon les sages du Palais Royal.

    Ainsi, relèvent-ils, « étaient totalement exonérées de contribution carbone les émissions des centrales thermiques produisant de l’électricité, les émissions des 1.018 sites industriels les plus polluants » (raffineries, cimenteries, cokeries...), « les émissions du transport aérien et celles du transport public routier de voyageurs ».

    « Ces exemptions auraient conduit à ce que 93 % des émissions d’origine industrielle, hors carburant, soient exonérées de contribution carbone », selon le texte.

    La taxe aurait donc « porté essentiellement sur les carburants et les produits de chauffage qui ne sont que l’une des sources d’émission de dioxyde de carbone ».

    http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2009-12-29/le-conseil-constitutionnel-annule-la-taxe-carbone/917/0/409073


    • Francis, agnotologue JL 30 décembre 2009 11:44

      Merci BA pour cette précision qu’il faut rappeler encore et toujours au sujet du rejet par le CC de la taxe carbone. Et merci le Conseil Constitutionnel, l’un des rares contre pouvoirs encore en place en France. Dans Courrier international qui paraît aujourd’hui, on apprend que la France est perçue par ses voisins comme la démocratie occidentale où les contre pouvoirs sont les plus déficients.


  • Gasty Gasty 30 décembre 2009 13:12

    comment se fait-il que la température de la Terre soit compatible avec la vie ? Un écart de quelques degrés, de cette température risquant de remettre en cause la vie elle-même, du moins le mode de vie actuel des habitants de la planète, quels sont les mécanismes (naturels ou anthropogéniques) qui sont susceptible de modifier la température moyenne de la Terre de ces quelques degrés ?

    Des questions comme celle là, on peux s’en poser des tonnes. Ainsi !.. Si la terre tournait en 25 heures, la gravité en serait modifié et l’atmosphère dispersé dans l’espace. Bref, la terre ne serait plus habitable. Pourtant sa densité la place sur un orbitre autour du soleil et la fait tourner sur elle-même en 24 h. Ce qui n’est pas le cas de la lune qui tourne en 27 j et dont sa densité la rend captive de la terre et ne peux retenir aucune atmosphères.

    Sont-ce les bonnes questions ?


  • AniKoreh AniKoreh 30 décembre 2009 13:29

    Hum, hum.. Il semble que certains ici priseraient, disons, l’arabophobie. 


  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed 30 décembre 2009 16:13

    @Tous

    Euh... Merci pour vos commentaires
    si précieux !

    Mohammed.


  • JPCiron JPCiron 17 décembre 2018 14:26

    Bonjour,

    Merci pour cet article structuré.

    Nous allons effectivement souvent trop vite en sautant aux conclusions. Cependant, avec les ordinateurs à présent plus efficaces (moins inefficaces) pour les systèmes complexes, les programmes ont été testés sur le passé fossile des glaces pour vérifier que les algorithmes tenaient la route.

    En tout cas, comme vous le dites, il est important d’échanger, pour pouvoir évoluer.

    .


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