mercredi 12 octobre 2016 - par Desmaretz Gérard

Adolescence & imprégnation « islamique »

Les adolescent(e)s jihadistes ne le deviennent rarement par l'effet du hasard mais par un phénomène d'imprégnation ou de percolation culturelle. L'injonction d'une figure parentale peut agir de façon particulièrement insidieuse et faire long-feu. Une mère avait l'habitude de répéter à ses deux fils : « vous finirez en prison ! » La prophétie se réalisa mais de façon différente pour chacun d'entre eux. L'un devint délinquant et fut emprisonné, tandis que son frère était nommé directeur d'un établissement pénitentiaire !

L'adolescence est une période de transition entre l'enfance et l'adulescence (Le Bigot) qui débute à la puberté. Il s'agit pour l'adolescent d'une période adaptative difficile avec : des jugements à l'emporte pièce, l'affichage d'un anticonformisme, désir à imposer ses goûts, se singulariser au point d'en devenir conformiste, et l'islam peut représenter un moyen de s'affirmer en opposition ou non avec l'entourage. L'adolescence a des répercussions dans les aspects les plus divers : physique, physiologique, psychologique, sociologique, et est souvent source d'inadaptation et de conflits avec l'entourage. Le monde de l'adolescent est très diffèrent du monde réel et dans lequel il ne peut se reconnaître. La vision de l'adolescent n'est pas comparable à celle de l'adulte, le monde qui l'entoure peut lui apparaître plein de contradictions et l'adolescent le percevoir comme menaçant au point d'être à l'origine de réactions de peur, de défense, d'engagement. Peu importe que l'entourage soit sécurisant, si l'adolescent ne le perçoit pas comme tel, cela n'aura aucun retentissement sur son « vécu » ou ressenti.

L'Islam conduit à voir le monde comme une série de préceptes qui s'imposent à tous, et l'absence d'esprit critique prépare à une forme de « servitude » visant à maintenir une destinée commune, l'ouma. Le jeune musulman prend très tôt conscience de son appartenance à la communauté et tout autour de lui l'incite à développer sa religiosité. De jeunes musulmans n'osent dire à la « chiourme » qui ne jurent que sur le Coran de la Mecque qu'ils ne font pas Ramadan par crainte de représailles. L'aspect religieux (l'islam est hétérogène tout comme la chrétienté) intervient dans les opinions, le paraître, les comportements (natalité, moralité, valeurs, relations sociales, tenues vestimentaires, alimentation, etc.), et les fidèles se perçoivent liés les uns aux autres. L'enfant, garçon ou fille, est « invité » à prier dès l'âge de sept ans et obligé de jeûner quand il atteint ses quinze ans, dans les faits, la pratique du jeûne intervient vers les dix-douze ans. Quant à la circoncision, elle n’est pas imposée par le Coran, donc non obligatoire pour le converti, mais elle reste un signe d'appartenance chez la majorité des musulmans de tradition. L’âge de la circoncision varie selon les régions, quelques jours ou semaines en Arabie Saoudite, entre 5 et 8 ans au Maghreb et vers 13 ans en Afrique noire. Le rituel de l’ablation du prépuce est souvent interprété comme le passage à l'âge adulte.

Tout musulman se doit de célébrer la rupture du jeûne de Ramadan (Aïd el-Seghir) et 70 jours plus tard la fête du sacrifice (l'Aïd al-kabir) qui marque la soumission à Allah et la communion du fidèle avec la communauté : prière obligatoire, visites chez les parents et chez les voisins, échanges de vœux, repas pris en commun. Ces deux temps représentent un symbole identitaire très fort. Les autres fêtes principales sont : le nouvel an musulman (l'Hégire) - l'Ashura - la naissance du Prophète (Al Mawlid Annabaoui) - la nuit du destin (Lailat al-qadr) ou première révélation du Coran au prophète Mohammed dont la prière « a plus de valeur que mille mois de supplications ».

La religion apporte une résilience et crée des solidarités religieuses (sécularisés, fondamentalistes, etc.). Le groupe d'appartenance est celui auquel le fidèle a le sentiment d'appartenir et auquel il s'identifie, et chacun tend à déprécier les individus (fidèles ou les mécréants) appartenant à un autre groupe que le leur. D'une façon générale, on peut avancer que ce qui accroît la conformité aux normes du groupe sont : la pression (punition, récompense, vexation, éloge) - l'identification à un membre du groupe (leader) - l'attractivité du groupe. Le sentiment d'appartenance ne peut se développer qu'au contact direct ou indirect (Internet, livres, multimédia) des membres. Le groupe d'accueil le reconnait, lui accorde un statut, et lui propose un but, celui de relever un défi ! La capacité d'embrigadement repose sur la structure et le mode de communication intergroupe, mode de transmission et intensité. Plus le groupe réel ou virtuel reste restreint, plus il exerce une influence profonde sur ses membres et présente la tendance à se replier sur lui-même. Les membres d'un groupe formel se fixent des règles de conduite internes et externes strictes auxquelles chacun doit se conformer, il devient alors en principe possible à un regard exercé, de remarquer cette cohérence s'établir au fil du temps. Quand des parents disent : « on n'a rien remarqué », faut-il les croire ou craignent-ils d'être confrontés à leur incurie parentale, surtout quand une voisine a remarqué que l'adolescent étudiait assidûment le Coran, qu'il portait une djelaba, et qu'il s'était replié sur soi...

La période comprise entre 6 ans et la puberté est l'âge des acquis intellectuels et de la socialisation, l'enfant découvre l'égalité de traitement et des droits vis à vis des autres enfants. La véritable socialisation va débuter par les « compétitions » entre les enfants d'où se formera ou non la solidarité de groupe, l'enfant a déjà une conscience du bien et du mal. En cas de différence entre les milieux : scolaires, familiaux, sociaux, religieux, matériel, peut apparaître une tension poussant l'enfant à prendre fait et cause à un âge où il n'est pas en mesure d'en mesurer les conséquences et encore moins l'assumer. Il défendra les siens. Si au cours de cette phase surgit un événement affectif (naissance, séparation, deuil, enlèvement), cela peut venir compliquer la relation et entraîner des rivalités. Durant la période qui va de 6 à 9 ans, l'enfant découvre que le monde est gouverné par ses propres lois et que la pensée magique n'y a plus cours. L'enfant apprend par l'expérience que toute vérité n'est pas bonne à dire, il ne fait pas encore cependant la différence entre un mensonge pieux et le mensonge ruse. Vers 10 - 12 ans, c'est la remise en question des valeurs familiales, le goût du secret. L'enfant n'accepte guère d'être surveillé et il veut voir ses droits reconnus. C'est l’âge des amitiés et des confidences faites à des amis plus aptes à le comprendre.

La phase pubertaire marque le début des problèmes : troubles du comportement, du caractère, de la scolarité. La crise peut être la plus difficile de la pré-adolescence en raison de ses aspects : endocrinien - somatique - psychique et physique. Cette période peut être progressive et se dérouler en continu ou rapide, voire par étapes ou par « poussées ». Il n'y a pas d'âge précis pour la puberté, elle varie avec les ethnies et les conditions de vie. Elle apparaît généralement chez les enfants des deux sexes entre 10 et 16 ans avec une période de croissance rapide et brutale entre 10-11 ans pour les filles et 12-13 ans pour les garçons. C'est la période de timidité, de la maladresse, du mal être corporel ou physique. Cette période peut entraîner des difficultés d'accès au réel, et la relation au monde extérieur se suffire de la console de jeux ou d'Internet.

Entre 10 et 15 ans, les désidératas de l'enfant sont à prendre en compte, cela peut débuter par une affirmation de soi suivie d'une rébellion revendicatrice ouverte. Durant cette période, il n'est pas rare de voir l'enfant « se chercher », se replier, devenir plus secret, narcissique. C'est l'époque du conformisme, l'adolescent n'est jamais satisfait de son apparence physique, de son « look », et de son état. Une simple remontrance peut être à l'origine d'une fugue avec pour mobile l'affirmation de soi ou la fuite devant un conflit. Durant la phase juvénile, l'enfant est en opposition au milieu familial, éprouve des désirs d'émancipation, et présente un attrait pour la rationalisation, l'abstraction d'idées, l'originalité, la différenciation. L'enfant peut également présenter des tendances à la mythomanie, commettre des délits (drogue, conduite sans permis, etc.), à la prise de risques. Ses valeurs personnelles sont parfois très marquées pouvant aller jusqu'à l'exaltation. L'enfant peut vouloir vivre en bande ; c'est un « révolté » en puissance qui peut faire preuve de fanatisme. Il exprime son mal être dans des situations conflictuelles : impulsivité, agressivité, pulsions sexuelles, sentiment de culpabilité, problèmes familiaux, toxicomanie, bouffées anxieuses, dépersonnalisation intermittente. Selon certains scientifiques, la pratique assidue d'une religion quelconque pourrait se révéler dangereuse chez les psychotiques.

L'adolescent agit sans discernement, c'est à dire sans prendre conscience de sa conduite, ni de ses actions. Si la plupart du temps ces actions sont sans conséquences graves, elles peuvent parfois être dangereuses et se transformer en agression, perversion réactionnelle ou conditionnelle, amoralité, inadaptabilité, asociabilité. Cette période difficile est aussi celle des grandes modifications physiques et intellectuelles, mais aussi celle de l'adaptation à de nouveaux modèles. C'est l'époque des premières vraies aspirations amoureuses, du romantisme, et celle d'une face cachée. Vers 17 - 18 ans, le jeune adulte n'accepte plus d'être guidé ni couvé. Il veut se montrer responsable et comprendre le pourquoi de certaines limites qui lui sont imposées. Il prend ses distances avec la famille.

L'individu victime d'un mal être recherche des sensations, un exutoire, ou à se réfugier dans une dépendance, la dévotion, passant parfois de l'une à l'autre de façon fulgurante. Ce mal être peut se traduire par des explosions de colère démesurées et incontrôlées dont les conséquences lui échappent totalement, jusqu'à en ignorer tous les affects (honte, remords, culpabilité, etc.). Devenu adulte, la personnalité psychopathologique évolue chez certains fidèles vers l'égocentrisme à tendance paranoïde, sinon comment expliquer qu'une remarque sur le prophète agisse à l'adresse d'un fidèle comme si elle lui était personnellement destinée ? La religion n'est plus perçue par ce fidèle comme une philosophie de vie ou croyance, mais comme un sentiment ! Cette vanité qui consiste à se considérer l'égal d'Allah est un péché, et Allah blâme même le simple fait de déprécier quelqu'un en lui signalant une erreur...

Certains signes doivent alerter les parents, les proches, les enseignants : fugue - paresse - dérobade - état phobique - délinquance - incivilités - impulsivité - crise de colère - besoin d'un encadrement strict - intervention intempestive en classe - repli social - inquiétude sur les événements - incapacité à se détendre - évitement des contacts sociaux - ergotage - comportement provoquant - entêtement - pratique religieuse nouvelle - modification des valeurs morales ou comportementales, etc. Cette simple grille de lecture accompagnée de bienveillance devrait déjà permettre à des figures parentales de repérer des incohérences avant que des valeurs néfastes ne viennent s'enkyster. Rappelons que le droit reste très ferme sur la responsabilité des parents à l'égard de leurs enfants mineurs. Les parents sont tenus à une responsabilité objective vis à vis de leurs enfants. La loi du 4 juin 1970 et l'article 1384 prévoient la responsabilité solidaire des parents qui assurent la garde de leurs enfants mineurs. Si les adolescents sont en ce moment mis en cause dans des projets « farfelus », il ne devraient pas être les seuls. Si l'adolescent a « joué avec le feu », qui a apporté la graine de l'amadouvier ?

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11 réactions


  • Akira2081 (---.---.49.227) 12 octobre 2016 18:33

    ... l’affichage d’un anticonformisme......« 

    Cette affirmation est théorique. Elle était peut-être justifiée il y a quelques décennies, mais de nos jours, je n’y crois guère.
    Je connais quelques exemplaires d’adolescents, dorénavant des post-adolescents ( 20 / 21 , M et F), et il n’y a pas plus conformistes : beaucoup forment des sortes de petits couples ressemblant aux vieux couples bourgeois des années 70s, (ça a l’air d’être d’un chiant....) ne contestent rien de ce qui les entoure (de toute façon, très peu ont une capacité d’analyse, de concentration et de réflexion), et n’ont que ambitions dans la sphère matérialiste : rejoindre le salariat (mais si possible »cadre« pour faire taffer les larbins), posséder plus de trucs que l’autre, et ils sont en permanence rivés sur le zinzin, la prothèse électronique à la pomme grignotée, qu’on éteint jamais (la fille d’un pote est allée jusqu’à demander à son père une prise à côté de son lit, pour recharger l’iphone la nuit, et qu’il soit à sa portée......) : première étape de l’asservissement transhumaniste de demain, vendu à grands frais pour le seul bonheur des comptes en banque de Google et compagnie !

    Je parle d’exemplaires d’adolescents appartenant à deux classes sociales CSP - et CSP ++ !

    Intellectuellement, le niveau est le même, entre ceux qui n’ont pas pu faire d’études (pas de thunes), et ceux qui en font.....inculture en histoire, faiblesses en français, anglais moyen (même chez ceux qui font de la »business school« privée à 15000 balles l’année !), culture générale........je préfère ne rien dire !
    Culture cinéma alors.... ? Rien : un film de plus de cinq ans, c’est »vieux« , donc pas la peine d’essayer de parler de classiques français, voire même US !
    L’art... ? on frise le zéro absolu....visiblement, on a du leur expliquer que tout ça ne sert à rien pour devenir un futur »executive manager« dans la Com’ ou »l’événementiel«  !
    Musique classique, jazz, voire même Rock.....à part le bruit à peine organisé de NRJ qu’ils retrouvent le samedi dans les usines à danse.....

    On va avoir d’ici quelques années, des tas de spécialistes en com » et événementiel....je ne sais pas ce qu’on en fera, mais bon......

    Littérature........on est pas loin du « c’est quoi un livre ? » ! Philo.....même pas une petite trace du programme ultra-light de la terminale !

    Les maths.....bah tant qu’il y a un tableur hein.... ?

    Le plus surprenant, est le manque d’intérêt pour les outils informatiques : ce sont des utilisateurs, mais ils ne s’intéressent pas à « comment ça marche » ! aucune curiosité, ce qui rend difficile par exemple, de les sensibiliser sur la sécurité de leurs données persos, qu’ils essaiment joyeusement sur leurs trucs addictifs, genre fesse de bouc et toutes ces conneries !

    Quand j’entends les connards de journalistes français parler des « digital natives », ça me fait bien rigoler......ce sont des consommateurs, c’est tout :ils enrichissent les réseaux de métadonnées, ça c’est sur, mais à part ça....

    Bref, à part une exception (un jeune homme très très pointu, en connaissances artistiques, philosophiques et même politiques), c’est une génération que l’Educ’ Nat’ a bien soigneusement formaté pour faire de la chair à multinationales :conforme-toi, obéit, ferme ta gueule et consomme !

    Bon sinon dans l’ensemble, ils sont quand même charmants, sociables, bien élevés (il n’y que peu de « chances de diversité » par chez moi), bref dans l’ensemble agréables à vivre, à condition de bien connaître (ce qui n’est pas mon cas), les dernières séries télé dont on parle, les grandes émissions de télé réalité ( j’ai beaucoup entendu parler de « secret story »...je ne connais pas, mais visiblement ça ils aiment bien), et les banalités de l’actu débitées sur les JT TV ( poutine est très méchant, les terroristes sont très méchants, etc, etc.....)

    Et dernier point et pas des moindres quand même : je trouve que les jeunes femmes de nos jours, sont vraiment en majorité complètement ravissantes, savent se mettre en valeur avec peu, mais sont parfois un peu trop séductrices dragueuses, ce qui peut être gênant : j’ai passé l’âge de m’afficher avec une gamine qui a la moitié de mon âge !

    C’était là un petit échantillonnage de cette catégorie de citoyens, que je connais, mais je ne prétends pas que ll’échantillon soit suffisant pour généraliser.

    Attendons le témoignage d’autres intervenants, qui auront peut-être le même genre d’expérience.

    Aa/


  • sls0 sls0 13 octobre 2016 04:01

    J’ai connu des adolescents musulmans, c’est la religion qui en prenait plein les gencives.
    Les photos sur fèces de bouc à la fêtes du jambonneau, il y a des merguez qui ont dû mal passer coté parents.
    Je me rappelle d’une mère qui appréciait le coté libre de sa fille (chose qu’elle n’avait pas connu ou osé), mais le coup du jambonneau passait mal.
    Elles ont vieillit les adolescentes, mais se sont toujours des suffragettes, elle se sont raccommodée avec la religion pour certaines, elle prennent ce qui est en accord avec leur façon d’être ou de penser. Le bon coté du coran, il y en a pour tout les gouts, à chacun sa sourate qui va bien.

    Oui un adolescent à un esprit malléable mais il fait aussi une allergie à l’autorité.

    Sortez de votre trou et voyez par vous même, les médias et internet c’est pas ce que vous risquez de voir, c’est ce que l’on veut vous montrer.


    • mmbbb 13 octobre 2016 14:01

      @sls0 en france il y a eu des massacres ; simple rappel C’est tout de meme la différence avec les crises d’adolescence normales .


    • sls0 sls0 13 octobre 2016 16:11

      @mmbbb
      Aux USA il y en a beaucoup plus.
      Sur cette carte, il n’y a pas que des adolescents mais ils sont majoritaires.
      Ces massacres sont sous quelle influence ?
      C’est du rejet de société la plupart du temps, pas trop d’influence de l’acquit social.

      J’attends votre carte de France avec vos adolescents massacreurs.


  • Massada Massada 13 octobre 2016 08:17

    Certains signes doivent alerter les parents, les proches, les enseignants : fugue - paresse - dérobade - état phobique - délinquance - incivilités - impulsivité - crise de colère
     
    ajouter antisionisme


    • Philippe Stephan Philippe Stephan 13 octobre 2016 11:41

      @Massada
      .
      antisioniste :,l’on ce demande qui ne l’est pas ...-((  ; smiley


    • Massada Massada 14 octobre 2016 06:43

      @OMAR
       

      Vous confirmez par vos mensonges que vous êtes bien un islamiste radical.
      Mais ce n’est pas une nouveauté pour beaucoup de commentateurs d’AV.


    • Massada Massada 14 octobre 2016 16:31

      @OMAR
       

       « qu’ils feront tout pour empêcher les actes de résistances des palestiniens »
       
      Malheureusement, ils ne feront pas tout, on est trop gentil, beaucoup trop gentil.




  • ddacoudre ddacoudre 13 octobre 2016 14:04

    bonjour Desmaretz

    en lisant l’article je me demandais si vous aviez conscience que cela c’est appliqué à vous et à moi bien entendu je ne vous fait pas une remontrance. la notion de bien et de mal est une notion culturelle que la famille nous inculque dans la nature cela n’existe pas l’on s’’écarte tout simplement de ce qui porte atteinte à la survie. mais notre évolution sur des modèles culturels définis par le langage pour gérer la concentration humaine dans des lieux sédentarisés et une adaptation de notre organisation biologique à l’environnement. Si un jour comme notre tolérance à la lactose des pratiques culturelles passent dans l’inné, nous aurons alors eu une mutation.
    pour l’instant, le bien et le mal n’est que la transcription d’analyse culturelle du besoin de s’écarter de ce qui peut paraitre à tord ou raison nous nuire. et dont la perception évolue faire à mesure que l’homme grandit est prend connaissance de la complexité du vivant. mais ceux qui ne sont pas entrainé dans cette démarche restent sur leur conditionnement initiaux et deviennent des hommes bloqué.
    http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Du-rat-a-moi-7607770.html
    http://ddacoudre.over-blog.com/2015/05/incapable-de-penser-autrement-nous-n-avons-plus-qu-a-attendre-la-tempete.html
    cordialement.


  • sophie 13 octobre 2016 17:57

    d’où sort ce dessin ridicule au début ? on dirait un power point pour réunion d’encadrants smiley


  • Crab2 14 octobre 2016 11:19

    La femme voilée d’aujourd’hui sera la Marianne de demain

    Ces affirmations le cul entre deux chaises ne caractérisent pas seulement la « vision républicaine » de la femme émanant d’un Président issu des gauches dont un voile viendrait brouiller l’esprit, mais correspond aussi à une ...

    Suites :

    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/10/la-femme-voilee-daujourdhui-sera-la.html

    ou sur :

    http://democrite-epicure.hautetfort.com/archive/2016/10/14/la-femme-voilee-d-aujourd-hui-sera-la-marianne-de-demain-5860475.html


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