vendredi 24 février 2017 - par Libertad14

CHANGER OU CONTINUER ?

Devant quel état d’esprit se trouvent les électeurs ?

Dans cette mélasse politique où la droite L.R n’a plus de leader présidentiable, mais qui s’accroche avec une amorce de programme social qui aggravera la situation des plus défavorisés. l’extrême droite F.N qui refuse la revalorisation du smic, la réduction du temps de travail, donne des gages au patronat et comme le L.R se dépatouille dans des histoires d’emplois fictifs, M. Le Pen demande aux autorités compétentes d’interdire les manifestations contre les violences policières, En bref son programme se résume essentiellement en 3 points : 1°) soutien au capitalisme français, 2°) émigration, 3°) autorité tous azimuts.

Quant au Parti Socialiste qui tente de faire oublier ses 5 années d’incompétences (cadeaux au patronat, lois antisociales, augmentations des taxes), qui cherche à élargir ses alliances avec MELENCHON de la France insoumise et les écologistes, en quelque sorte réitérer ce qu’avait fait Mitterrand avec le programme commun en 1972 qui servit à anéantir le PCF, qui n’a jamais été appliqué, tout comme les promesses de F. Hollande en 2012 .

 Derrière ce fatras politique, il y a un MEDEF qui trame dans l’ombre (organe du patronat) qui de manière omniprésente fait pression sur la politique allant jusqu'à présenter un candidat en la personne de MACRON.

Que choisir ?? 

 Peut-être serait-il nécessaire de se tourner vers des représentants de la classe ouvrière. Des représentants nouveaux, éloignés de la corruption, des élus qui n’ont rien a voir avec ceux que nous avons connus, des hommes et des femmes qui ne trainent pas des gamelles derrières eux, des représentants de toute confiance qui ne se laisseront pas corrompre ou acheter par le Capital. Enfin des politiciens qui seraient dévoués aux intérêts du pays et à son peuple, qui sacrifieraient aux intérêts du peuple contre des intérêts de castes ou de clans.

Pour faire barrage à l’hégémonie patronale, aux dérives politiques totalitaires, à la trahison qui à sacrifié l’emploi et entrainé la misère sociale, aux ambitions personnelles et la corruption, il faut voter mais bien choisir son candidat : celui qui mettra en avant les besoins du peuple.

Loin des vedettes politiques, qu’à longueur d’antennes, on nous impose, il existe des candidats dont la presse ne parle pas ou peu. Des candidats qui n’appartiennent pas à « l’élite » bourgeoise. Des candidats honnêtes et sincères qui ne trichent pas, mais qui gênent cette nomenklatura française et intellectuelle corrompu par le Capital. Ceux-là méritent que nous nous y attardions. Comparons les programmes proposés et conscients des enjeux allons voter pour notre avenir, pour l’avenir de notre pays et de nos enfants. 



10 réactions


  • Alpo47 Alpo47 24 février 2017 13:19

    Il faut se défier des mots. Changement est le mot le plus employé par les candidats lors d’une campagne électorale, y compris ceux qui sont déjà au pouvoir (c’est dire s’ils sont satisfaits de leur travail).
    Tout le monde veut du changement, mais nous en avons tous une vision différente.

    L’analyse de la première partie est tout à fait partagée par la majorité d’entre nous, je pense, la deuxième partie laisse circonspect. Voter pour un autre, quelqu’un d’honnête ... Je suis persuadé que c’est effectivement parmi les petits qu’on trouvera le plus d’honnêteté. Mais , soyons factuels, aucun des petits ne passera de 2% à 30% pour être au second tour. Alors, n’est ce pas des voix « gaspillées » ? S’ils passaient de 2 à 5%, qu’est ce que cela changerait ? Rien.
    D’ailleurs, il semble que les petits en question aient vraiment du mal à avoir 500 signatures.

    In fine, le choix sera entre « la journée à la campagne », ou chercher le moins pire parmi les 4 premiers. Et franchement, je ne sais pas quel est le meilleur choix.

    Comme d’habitude. Hélas.


    • Libertad14 Libertad14 24 février 2017 18:35

      @Alpo47

        Bien sur , la presse accorde peu de crédits au petits candidats , d’ou la méconnaissance des gens dans la lecture des propositions contenues dans leur programme. 
        Dans ce cas il faut laisser la place à la désespérance et se contenter d’une politique qui s’avérait être « la moins pire !! »
        Depuis 70 ans les Français pratique la politique du moins pire , le résultat on le connait élections après élections la situation sociale et économique se dégrade. Devant cette poussée du Capital, devant ces inégalités, devant l’injustice que représente ces plus fortunés face à la misère qui s’accroît, les électeurs se détournent de la politique ou choisissent un candidat  « le moins pire » ce qui contribue à maintenir ce système en place. Aujourd’hui la menace de l’extrême droite (F.N) est favorisée par un taux d’abstentionniste important et par des gens qui sont sensibles au chant des sirènes souvent abusés par des promesses qui n’auront pas de lendemain.
         Voter pour « le moins pire » c’est s’enfermer dans un conservatisme qui à fait ses preuve et c’est accorder crédit au Capital et perpétuer ce système qui enrichit les multinationales les banques et les grands actionnaires.
         
         Il faut un commencement et cela passe par le choix d’un candidat qui dénonce le Capital par la mobilisation des abstentionnistes qui feront barrage à cette nomenklatura en votant pour des candidats se réclamant de la VRAIE GAUCHE. 

    • Alpo47 Alpo47 25 février 2017 07:32

      @Libertad14

      Je suis d accord avec vous sur à peu près tout, sinon qu’à partir de là,on se retrouve devant « la réalité » : Aucun des petites candidats (Pourou ...etc ..) ne passera de 2% è 25%. Alors, à quoi bon ?
      Exprimer son raz le bol ? D’accord, mais au deuxième tour, il faudra choisir entre les deux qui restent .. ou exprimer encore son raz le bol en allant aux champignons ...


  •  
     
     
    « Comment faire crever le corps social ? » demanda Capital.

     
     
    « En détruisant le système immunitaire » répondit Dct Soros.
     
    « Sous quel prétexte ? » s’interrogea le Seigneur dubitatif.
     
    « La greffe de corps étrangers, et la culpabilisation du rejet !
    Tu es dépossédé chrétien ? Tends l’autre joue ! C’est ta religion !
    La confusion morales individuelle et collective est imparable alibi chez ces veaux crétinisés ! Bientôt la justice Taubira dira : On vous a volé votre voiture ? Soyez chrétien donnez votre télé ! »

    s’amusa le négrier philanthrope Soros ...
     
    « Ainsi le corps social se pourrira et nous charognards nous régalerons des cadvres des bobo débilus ! »
     

     


  • LE CHAT LE CHAT 24 février 2017 17:00

    ces candidats n’ont aucune chance d’exister , et encore moins aux législatives avec les refus de l’UMPS de la proportionnelle


  • non667 24 février 2017 17:36

    article très convainquant ,j’irais voter le pen !

    j’ai tout faux ? smiley smiley smiley


  • lloreen 25 février 2017 10:58

    Le moment est venu de changer.
    Je vous invite à voir cette vidéo et à la partager autour de vous.
    https://rutube.ru/video/b091e5b570bededcdc69a2d6c420c173/?ref=logo


  • eric 25 février 2017 12:37

    Il ne faut pas trop se compliquer la vie. Le tout n’est pas de faire du témoignage, voir même d’être élu.
    En 2012, l’alliance contre nature de gens d’accord sur rien, sur la base, ou pas, d’accords ensuite pas respecté ( Hollande était censé fermer des centrales, Mélenchon s’est rallié sans condition), le NPA, le PRCF, etc...les syndicats, se sont également ralliés.

    Ils ont finit, grâce à une campagne exclusivement axée sur la personnalité du candidat adverse et au bénéfice de la crise et des mécontent des vrais réformes mises en œuvre par Sarko, par ramasser un pénible majorité peut convaincante.
    C’est la démocratie.

    Seulement voilé, dans un grand pays complexe, on ne peut pas vraiment changer grand chose sans un minimum d’adhésion d’une sorte de majorité des populations au programme.

    Le hollandisme a mis en œuvre le mariage pour tous parce que cela n’a aucune importance pour les électorat de gauche, mais que cela leur donne l’impression d’em... les droites et la France et qu’elle ne se sont pas rendue compte que ’était d’abord un gros cadeaux d’argent public à des riches.

    A tous les scrutins intermédiaires depuis 5 ans, on a eu entre 55 et 70% de suffrage à droite.

    Mêmes des magouilles, des attaques juridiques justifiées ou non, la révélation que Ho ! Surprise ! Mélechon Poutou et Macron sont, en fait sur la même longueur d’onde, ne suffira pas.

    Mélenchon a appelé sans état d’âme à voter pour un capitaine de pédalo, un banquier de Rothschild présente au moins un présupposé de vague compétence.

    Et donc même une victoire inespérés d’un héritier du holandisme ne ferait que nous replonger dans le brejnevisme à la François, mais en pire.

    A nouveau, pour mettre en œuvre de vrais changement, il faut un minimum de soutien réel et clair dans la société, et pas tous les autres arc boutés contre dans le quotidien.

    IL nous faut donc un des deux candiat des doites comme Président et le plus raisonnable serait Fillon.

    Après, appeler à voter pour de petits candidats, cela contribue à affaiblir tous les grands hors Marine Le Pen. Elle n’a en effet pas vraiment de concurrents sur son créneau, contrairement à tous les autres.

    L’auteur Le peniste ? Peut être....


  • lloreen 25 février 2017 17:38

    Depuis le 18 juin 2015, il existe un conseil national de transition en France crée par un collectif de citoyens. C’est le seul organe légitime de France conformément aux dispositions de l’article 35 de la déclaration universelle(au-dessus des lois !) des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui représente aussi les 53% de français qui ont voté non au referendum sur la constitution européenne.

    "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« (Article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen, et préambule de la Constitution du 24 juin 1793).

     Comment sortir de la dictature sectaire et fanatique qui nous dirige ? Edmund Burke nous donne une piste :

     »Les tyrans-Sophistes de Paris déclament bien haut contre feu les tyrans-rois qui dans les siècles précédents ont tourmenté le monde. Ils ne sont si fiers que parce qu’ils sont à l’abri des sanctions de leurs anciens maîtres, des donjons et des cages de fer. Serons-nous plus indulgents pour les tyrans d’aujourd’hui, quand ils nous donnent le spectacle de tragédies plus affreuses encore ? N’userons-nous pas de la même Liberté qu’eux, quand nous pouvons le faire avec la même sûreté ?" (Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, 1791, Pluriel Histoire, Paris 2004, p. 136).


    Depuis le coup d’état de monsieur Valls le 5 décembre 2016, la France est en dictature.
    https://www.youtube.com/watch?v=WIZJRcyYMx4

    Le conseil national de transition de France (CNTF) appelle tous les français à un referendum national le 2 avril 2017 et propose à tous ceux qui souhaitent se joindre à lui pour organiser le changement en France à le rejoindre.
    http://www.conseilnational.fr/


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