mardi 27 juin 2017 - par rosemar

En France, mourir d’être une femme ?

L'idée est scandaleuse, terrifiante : on peut mourir en France, parce qu'on est une femme.

Une journaliste a recensé depuis un an toutes les affaires où des femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint. Titiou Lecoq a publié les résultats de son enquête dans le journal Slate.

En France, dans notre pays, une femme meurt tous les trois jours, assassinée : le plus souvent, il s'agit de meurtres prémédités.

Et la journaliste n'hésite pas à parler de "féminicides" : les hommes tuent des femmes parce qu'ils considèrent qu'elles sont leur propriété...

Un archaïsme qui transforme la femme en objet, qui fait d'elle un être inférieur, voué au désir des hommes...

Un archaïsme intolérable qui doit être absolument dénoncé...

Un archaïsme qu'on du mal à concevoir dans notre pays, la France, un pays qui se veut à la pointe de la modernité, qui prône et promeut l'égalité des sexes.

Titiou Lecoq évoque même des crimes de discrimination dans la mesure où les hommes qui tuent des femmes se considèrent comme des êtres supérieurs ayant droit de vie et de mort sur leur entourage.

La liste est longue de celles qui meurent non pas comme on le dit "sous les coups de leur conjoint", mais, assassinées avec préméditation et détermination.

Les résultats de cette enquête sont glaçants : en France, le pays des droits de l'homme, la femme peut mourir parce qu'elle est une femme.

Tous ces meurtres sont occultés par les médias : on n'en parle pas, si ce n'est dans la rubrique Faits divers et si on en parle, on minimise : on parle de crime passionnel et on en vient à justifier l'horreur.

Ainsi, malgré les apparences, malgré les progrès de l'émancipation de la femme dans notre pays, des femmes meurent victimes d'homicides volontaires.

Qu'ont-elles fait pour mériter d'être tuées ? Le plus souvent, elles ont voulu être libres, échapper à leur bourreau, elles ont voulu fuir la tyrannie d'un homme.

Titiou Lecoq cite les prénoms de toutes ces femmes anonymes, victimes de leur conjoint, pour leur restituer une forme d'identité.

"Toutes les catégories socio-professionnelles sont représentées. Tuer sa femme est un acte très bien partagé dans la société", précise la journaliste.

Face à toutes les horreurs énumérées par Titiou Lecoq, on prend conscience de la gravité du problème : elle cite des cas précis, avec des circonstances aggravantes.

Une simple journée de sensibilisation à la violence masculine ne peut plus suffire, il faut dénoncer régulièrement et inlassablement ce qui constitue une honte pour notre société.

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2017/06/en-france-mourir-d-etre-une-femme.html

 

L'article de Slate :

http://www.slate.fr/story/147429/mourir-parce-quon-est-une-femme

 



138 réactions


  • Henry Canant Henry Canant 27 juin 2017 19:27

    Rosémar, l’égalité des sexes est une connerie, une ministre a tenté déjà de les mesurer. ...Parler de complémentarité serait déjà plus sage.Je crois que cette femme fait bcp que vous pour la condition féminine


  • kabouli 27 juin 2017 19:37

    Cet article est une insulte que l’idéologie dominante profère depuis des dizaines d’années envers les hommes. Cet article ne cherche pas la vérité mais la propagande. Il est encore possible d’amagamer pour les hommes ce qui est devenu impossible - sauf pour Zémour et le lobby sioniste- d’amalgamer pour les musulmans. Ce n’est pas parce qu’ils existent des terroristes que tous les musulmans sont terroriste de la même façon ce n’est pas parce que des hommes sont criminels et tuent des femmes que tous les hommes sont concernés.
    Décrite de cette façon la violence envers les femmes a encore de beaux jours devant elle non pas de la part des hommes mais des gouvernement des classes dominantes. Comme on le voit actuellement la libération des femmes consiste simplement à en faire des potiches. Des articles font remarquer que le gouvernement MACRON cantonne les femmes à des postes de ministre subalternes dans le gouvernement de MACRON.
     Il faut tout de suite dénoncer ce genre de raisonnement par amalgames inhérent à la Statistiques et aux chiffres divinisés et que les hommes soient traités tout autant que les musulmans ou les juifs. Ce n’est pas parce que les juifs sont sionistes qu’il en sera ainsi toujours ni qu’il en a été ainsi depuis toujours. L’homme et la femme sont des catégories et les catégories sont des pensées et ces pensées dans les merdias sont colonisées à nous de faire ce qui se fait un peu partout dans le monde


    • Agafia Agafia 27 juin 2017 19:50

      @kabouli

      L’article peut vous paraitre une insulte mais votre commentaire hors sujet, et sans queue ni tête, est vraiment n’importe quoi ^^

    • kabouli 27 juin 2017 20:29

      @Agafia je vois que vous aimez parler pour ne rien dire et je vois aussi qu’en dessous vous reprenez une partie de mon argumentation. Il est en effet criminel de rendre responsable l’ensemble des hommes d’actes commis par quelques hommes et bien plus de délinquants plutôt que d’hommes. La femme n’est plus le prolétaire de l’homme et en redisant ces bêtises les féministes éternalisent et justifient des comportements que l’histoire vient récemment de supprimer. C’est justement le combat des femmes depuis la révolution industrielle qui a fait que dorénavant les femmes se barrent - à ma connaissance et quand cela arrive assez rarement - à la première claque. Il ne faut pas oublier que les merdias sont au mains de gens qui ont tout intérêts à masquer la domination sociale sous le masque d’une nature humaine invariable et méchante que seul l’Argent et la démocratie peuvent sinon supprimer mais du moins tempérer. Tant pis si vous ne comprenez pas ce que je tente de vous expliquer.


  • Agafia Agafia 27 juin 2017 19:48

    Il y a certain mal éduqué osant, dans leur grand irrespect, insulter l’auteur de mal-baisée, ceux qui n’osent pas mais n’en pensent pas moins... Et chez tous ceux là, montant au créneau sans autre argumentaire que d’accuser les victimes, je ne vois qu’un troupeau de frustrés avec de gros problèmes psychologiques face à la gente féminine, des comptes à régler certainement.


    Osez mélanger les suicides, les accidents de la route ou je ne sais quoi d’autre avec la violence faite aux femmes jusqu’au meurtre.

    Rien d’intéressant chez tous ces hommes, incapables d’accepter que les femmes ont morflé au cours des siècles, et continuent pour certaines à morfler. Que la violence des hommes peut tuer, blesser, invalider, meurtrir, brutaliser la femme qu’ils seraient censés aimer et dont les seuls arguments résident dans leurs poings.

    Imaginez quand ce genre d’homme est juge dans une cour d’Assises...

    Heureusement, il en existe plein d’autres, respectueux, sympas, drôles et protecteurs envers la femme qu’ils aiment, et envers toutes les femmes.... Et acceptant l’idée que les humains de leur sexe peuvent avoir un comportement dégueulasse.... Tout comme les femmes doivent accepter que  les femmes peuvent être aussi des personnes détestables, et ont leur responsabilité face aux dérives d’un couple...
    Mais d’un côté comme de l’autre, RIEN, ABSOLUMENT RIEN ne peut justifier la violence physique et psychologique au sein du couple et de la famille.

    • JC_Lavau JC_Lavau 27 juin 2017 20:00

      @Agafia. D’autant que comme le professe Françoise Héritier au Collège de France, il y a eu complot des hommes des cavernes contre les femmes des cavernes, pour les affamer afin d’obtenir le dimorphisme sexuel qu’on constate encore de nos jours et que les féminazies déplorent si vigoureusement.

      Même que sur tous les sites de rencontre, les femmes exigent invariablement un homme de 5 à 20 cm plus grand qu’elles.

    • Aristide Aristide 27 juin 2017 20:04

      @Agafia


      Belle mise au point.

      Votre conclusion humaniste est à souligner, la distance que vous y mettez, tranche avec la vison binaire de l’auteure qui donne une impression assez désagréable de mise ne cause de l’homme en général et non d’hommes.

      Merci tout de même pour cette petite tirade bienvenue après tous les propos assez ... déplacés.

    • Aristide Aristide 27 juin 2017 20:05

      @JC_Lavau


      Vous avez un vrai problème de taille ? ... Serait ce un aveu ?

    • JC_Lavau JC_Lavau 27 juin 2017 22:42

      @Aristide. Attaque ad hominem systématique. Une tare héréditaire que tu tenais de ta môman ? Me gourre-je ?


  • Macondo Macondo 27 juin 2017 20:58

    La violence féminine est plus sophistiquée, interdisant tout dépôt de plainte, ne laissant aucune trace physique apparente. Sorte d’instant cosmique, bref, mémorable, sans nul autre pareil, cette fraction de seconde pouvant devenir éternelle, où elle chie dans ton cœur ...


    • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 28 juin 2017 16:19

      @Macondo

      Excellent......d’un réalisme époustouflant ....

      Par contre une femme est plus cosmétique que cosmique ......

      Comme me disait une femme qui a été toute sa vie « famille d’accueil » :
      -Le système et les gens ne voient le vice uniquement chez l’homme, en priorité ....
      -Mais je peux témoigner que certaines femmes culminent à des hauteurs vertigineuses dans ce domaine......

      Pas facile la vie, surtout lorsque le système est pourri ....


    • Macondo Macondo 28 juin 2017 22:05

      @SPQR Sono Pazzi Questi Romani
      Un autre expert des monts et des vaux de Vénus ? Enchanté de croiser un autre Martien. Cosmique, c’était pour saisir cet instant inénarrable hors du fonctionnement naturel de notre système solaire, où le fameux dépôt fumeux évoqué il y a peu, tombe pile entre les deux ventricules. Cosmétique ! On remarque immédiatement, un sens aigu de la synthèse et à moindre octet, tout ce que la planète demande ... Mais je tiens néanmoins à m’opposer avec vigueur à ta fin de message austère, la Vie c’est plus que facile c’est incroyablement simple, un choix quasi enfantin entre les deux auxiliaires de la langue française ... OK plutôt de Mars, le concept, en fait.


  • demissionaire bonalors 27 juin 2017 21:33

    avec la Charia voulue par les Francais et Francaise ce discours sera caduque, deux baffes dans ta gueule si jamais tu l ouvres
    faut savoir ce que l on veut


    • Jean 29 juin 2017 18:35

      @bonalors
      vous dites : « avec la Charia voulue par les Francais et Francaise » , vous vivez vraiment en France ?


  • JC_Lavau JC_Lavau 27 juin 2017 22:53

    Gudrun Schyman était plus franche que rosemar dans sa guerre sexiste à outrance : elle réclamait carrément un impôt spécial sur le délit de masculinité pour lutter contre la violence domestique, prétendait-elle.



    Et sur quel torchon s’appuyait-elle ? Sur l’instrument qui appartient à György Soros : Amnesty International. Tels Tullius Detritus, aussi bien la dynastie Rockfeller que Soros cherchent à attiser le plus possible de guerres civiles dans les peuples à paralyser pour leur sucer le sang.

  • popov 28 juin 2017 07:09

    À Churchill qui venait de tenir des propos qu’elle jugeait outranciers, une femme lança :

    « If I were your wife I’d put poison in your tea ! »

    Ce à quoi il répondit :

    « If I were your husband I’d drink it ! »


  • philippe baron-abrioux 28 juin 2017 10:46

    @l’auteur ,

     Bonjour Rosemar ,

     après avoir lu certains commentaires , je me demande si le titre de votre article n’aurait pas été plus clair si vous aviez écrit « en France ,mourir de n’être qu’une femme » .

     hier matin , un de mes très proches , incarcéré depuis bientôt trois mois ,comparaissait pour la troisième fois devant un tribunal pour violences sur conjoint en état d’ébriété .

     il n’y a pas eu mort , « seulement » violences répétées sur une jeune femme que je connais depuis ses douze ans qui m’a appelé une nuit , terrorisée , ayant quitté son domicile , me décrivant ce qu’elle venait de subir une fois de plus , la quatorzième , perdue dans sa douleur et craignant que le fois suivante si elle faisait le choix de revenir elle perde la vie .

     je lui ai demandée de se mettre à l’abri , n’importe où , de prévenir sa famille pour être « exfiltrée » au plus vite et de me rappeler pour me tenir au courant de ce qui était prévu .

     sachant que son compagnon était déjà et pour les mêmes motifs sous bracelet électronique , elle n’avait jusqu’alors pas porté plainte contre celui qui était « l’amour de sa vie » .

     quand sa mère est arrivée pour la ramener , après encore bien des hésitations car elle savait que cela pouvait déboucher sur une possible incarcération, elle a fini par porter plainte .

     sachant les liens que j’avais avec l’auteur , elle m’en a averti en s’excusant presque .

     je lui ai simplement dit mon soulagement ; je préférais une incarcération pour violences que pour homicide , conséquence toujours possible de tout acte de violence quelles que soient les conditions de la commission de tels actes et peu importe l’emprise de produits modificateurs de comportement .

     trop souvent l’alcool ou tout autre produit consommé semble dans l’esprit de certains être envisagé comme circonstance atténuante- je n’étais pas dans mon état normal - des actes de violence : il y a là un travail pédagogique à entamer auprès de tous , femmes et hommes , pour expliquer que c’est totalement faux .

     la consommation de quelque produit que ce soit n’exonère ni partiellement ni totalement l’auteur des actes car personne ne l’a incité à consommer le produit « désinhibant » qui a permis que la violence s’exprime encore une fois .

    ce n’est pas le produit qui est responsable mais bien l’auteur qui l’a consommé ET IL FAUDRA UN JOUR QUE CE SOIT ENTENDU DE TOUS .

     inutile de chercher un rapport avec une civilisation , une culture ou autre , il est seulement question de droits humains qui englobent à parts égales l’ensemble de l’Humanité . et sans doute plus encore l’ensemble du Vivant auquel on doit respect et protection .

     bonne fin de journée à tous !

     P.B.A

     


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 28 juin 2017 11:51

    La première cause de divorce, c’est le mariage .....(Une vérité incontournable).

    Ensuite la liste est la suivante : Les enfants, l’argent, la haine mutuelle, le libertinage, le féminisme, l’autorité féminine( la dictature féminine), l’instabilité caractérielle, l’instabilité matériel, le comportement exclusif de la femme, la culture du mensonge, le manque de savoir vivre, l’incapacité à vivre et à fonder une famille durable, l’égoïsme féminin ou masculin, le manque d’homogénéité de la société, le mariage est un produit de consommation, ...etc...

    Voici 3 phrases ....
    Le corps de la femme n’est pas la propriété de l’homme.

    Le corps de l’homme n’est pas la propriété de la femme.

    Le sperme de l’homme n’est pas la propriété de la femme.

    *

    *La dernière n’est pas admise par les féministes, c’est quasiment de la dictature......

     

     


    • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 28 juin 2017 11:56

      J’avais oublié la deuxième cause est tout simplement les humains hommes et femmes sont des reptiliens .....Tout peut être amour, tout peut être violence(destruction, chasse, instinct de conservation ).......N’en déplaise à tous les tordus du moi « Je sais tout »... 


  • Taverne Taverne 28 juin 2017 12:19

    Ecrire un pareil article, c’est prendre le risque de réveiller le contentieux éternel, le divorce entre les hommes et les femmes, les vieilles brouilles interminables et imprégnées de vécus personnels. Y ajouter le postulat que les hommes sont tous potentiellement des « féminicides » est de nature à ajouter à la provocation. Enfin, conclure, en disant « dénoncer, dénoncer » n’est pas non plus très constructif. Quel homme ne dénoncerait pas un cas de grave maltraitance conjugale ?

    La question n’est pas la dénonciation mais la prévention, l’information et le soutien auprès de ces femmes. Or, sur ces points, beaucoup a été fait : numéro d’appels gratuits, écoute, lieux d’hébergement...C’est sur la femme elle-même que repose le déclenchement de la protection.

    Que peut-on faire pour que les futures femmes ne se laissent pas dominer ? Il y a l’éducation.


    • rosemar rosemar 28 juin 2017 12:32

      @Taverne

      « Quel homme ne dénoncerait pas un cas de grave maltraitance conjugale ? » : vous êtes sûr ? 

      Il est possible que certains hommes considèrent encore les femmes comme des objets, des choses qui leur appartiennent...
      Il ne s’agit pas de généraliser mais de mettre en évidence un phénomène qui est inquiétant.
      Vous semblez faire peser la responsabilité sur les femmes elles-mêmes : certes, elles sont elles-mêmes victimes d’une sorte d’arriéré de civilisation, mais il ne faut pas non plus inverser les rôles, celui qui frappe, celui qui tue est le coupable...

    • JC_Lavau JC_Lavau 28 juin 2017 13:12

      @rosemar. Tandis que celle qui tue ne saurait être coupable, elle est - rosemar l’a déjà écrit - en état de légitime défense, puisque c’est elle la femelle.

      Puisque - Françoise Héritier l’a longuement professé - nos arrières-arrières- arrières-... - arrières-arrières-grand-mères doivent se venger de toute urgence... 

    • Taverne Taverne 28 juin 2017 13:33

      @rosemar

      « Vous semblez faire peser la responsabilité sur les femmes elles-mêmes ». Absolument pas. La responsabilité des conséquences de la violence pèse sur celui ou celle qui y a recours. Mais face à cette forme de violence sociale, chaque lecteur ici est impuissant. Il est donc vain de vous en prendre aux lecteurs masculins de votre article, qui n’y peuvent rien et que leur impuissance ne fait que rendre plus agacés. Car l’action ne peut être que collective par l’éducation et la prévention.

      « Quel homme ne dénoncerait pas un cas de grave maltraitance conjugale ? : vous êtes sûr  ?" La part des hommes qui ne dénoncerait pas ne doit pas être (sauf preuve du contraire) - plus importante que la part des femmes qui s’abstiennent de signaler ces faits. Sur ce point, on peut parler, hélas, d’égalité.

      La morale que l’on se forge lors des divorces (surtout avec des enfants en jeu) et séparations conjugales, est la pire de toutes. Elle est faite de rancunes, de ruminations, d’idées toutes faites, de pressions sociales et familiales, de compromissions, de souffrances et pas seulement d’amour-propre. Pour faire une étude neutre sur ces questions de moeurs, il faudrait prendre beaucoup de recul.

      .


    • JC_Lavau JC_Lavau 28 juin 2017 14:02

      @Taverne. Mais dangereux inconscient, tu fais rien qu’à priver cette vierge et martyre de sa seule raison de vivre : sa guerre sexiste à outrance ! 


  • Pierre 28 juin 2017 12:28

    Tout ce qui est exagéré est insignifiant...


  • jjwaDal jjwaDal 28 juin 2017 18:46

    100 décès par an, c’est navrant, surtout des meurtres, mais ça ne me paraît pas nécessiter un grand chantier social pour pallier à un fléau (style « suicides » ou « cancer »).
    Vivre avec un homme violent est un choix personnel de ces femmes, rester en dépit du risque encouru également, alors si la responsabilité du meurtre est évidente, la mise en oeuvre des conditions de possibilité, est partagée.
    Si une femme se choisit un compagnon violent (car la violence ne sort pas du chapeau dix ans plus tard), si elle persiste à nier ou minimiser le danger qu’il peux poser pour sa santé ou sa vie, est-ce l’homme qu’il faut soigner ? Que lui ?
    Donc je nous vois mal refaire l’éducation de tous les hommes au motif qu’une centaine de femmes ont trouvés « charmants » une centaine de tarés néanderthaliens qui les mettaient au niveau de leur moto ou leur automobile, au lieu de les voir comme des partenaires de vie libres de leurs choix.
    Il est aussi dangereux de vivre avec un homme qu’avec un pitbull non dressé. Avant de se lier, vérifier que le dressage a été fait correctement, serait mon seul conseil.


  • Le Gaïagénaire 29 juin 2017 03:03

    @rosemar mardi 27 juin 2017

    Voyez ce qu’a écrit jjwaDal 28 juin 18:46 :
    « Il est aussi dangereux de vivre avec un homme qu’avec un pitbull non dressé. Avant de se lier, vérifier que le dressage a été fait correctement, serait mon seul conseil.

    Qui sont les dresseuses de tous les petits garçons qui deviendront des brutes ?


    Ce sont les mères et les maîtresses d’école. Inversion de rôles.

    Et la journaliste n’hésite pas à parler de »féminicides«  : les hommes tuent des femmes parce qu’ils considèrent qu’elles sont leur propriété...Exactement comme les mères et les maîtresses d’école traitent les petits gars.

    Un archaïsme qui transforme les petits gars et les petites filles en objet, qui fait d’eux des êtres inférieurs, voués aux désirs des mères et des maîtresses d’école...

    C’est l’amont des brutes que les mères et les maîtresses d’école préparent pour faire souffrir leurs filles.

    Alors mesdames archaïques qui préparez les »féminicides« et les »hommicides" quand délaisserez-vous la pensée magique pour accéderez à la pensée causale ?
    Cordialement


    • jjwaDal jjwaDal 29 juin 2017 06:07

      @Le Gaïagénaire
      C’est instrumentaliser mon propos pour servir votre agenda.
      "Qui sont les dresseuses de tous les petits garçons qui ne deviendront jamais des brutes ? L’immense majorité donc....
      Les mêmes personnes. Job well done.
      La violence est inné chez les mâles dans toutes les espèces et le désir de possession se comprend très bien dans le cadre de la neurophysiologie et de la psychologie d’ailleurs. Il y a un travail collectif fait là dessus qui parfois échoue, voilà tout.


    • Le Gaïagénaire 30 juin 2017 00:44

      @jjwaDal 29 juin 06:07


      Attention jjwaDal, je me déguise en votre avatar un B-52 Stealth, bombardier furtif et je vous lance cette bombe :

      Vous êtes un pitbull dressé à coups de claque au visage et de coups de pied au cul et la circoncision en prime sinon vous n’ajouteriez pas « Next stop Iran. » 

      Merci à votre mère, jeune homme. Il est temps que vous cessiez de l’idéaliser et toutes les autres « dresseuses » aussi.

      Pensez un peu à qui peut bien avoir dressé tous ces wahhabites salafistes qui INFECTENT la terre de l’amour d’un dieu psychopathe. Cela inclus tous les croisés et missionnaires aux Amériques.

      Travail collectif que seules les mères et les maîtresses d’École peuvent faire SI elles viennent à prendre conscience d’avoir été forcées de reproduire l’humanité et de ne plus le faire car l’humanité n’en vaut pas la peine grâce à son amont.


      Cordialement


    • jjwaDal jjwaDal 2 juillet 2017 19:55

      @Le Gaïagénaire
      Oubliez l’avatar. Il est juste le symbole de ce monde de cinglés belliqueux. Pour votre gouverne j’ai dû consacrer du temps à refaire entièrement mon éducation, vu qu’elle est confié dans cette espèce à des gens qui n’ont aucune formation ni compétence particulière pour le faire. C’est ainsi, il faut un permis pour conduire une bagnole (et bosser un peu pour l’avoir) et rien pour éduquer « son » enfant. Un boulet lourd à porter pour certains et je ne vise bien sûr personne en particulier.
      En lisant les « Principe de plaisir » de Campbell (à sa sortie chez nous...), je me disais déjà que j’aurais fort à faire, coincé dans un animal et un mâle de surcroît (l’ appétence au plaisir physique et à la violence est quasiment une fonction linéaire du testostérone, donc à la base c’est pas gagné, y a du taf pour en faire quelque chose). A 11 ans je prenais déjà les deux adultes m’ayant mis dans le bain, pour ce qu’ils étaient (des apprentis-sorciers) et donc j’ai agis en conséquence pour sauver ma santé mentale, entre une cohabitation non désirée avec un animal, une bande de fous furieux mangeurs de bouts de cadavres (ils disent la viande) et une agressivité et un égocentrisme tellement banal qu’on se demande comment tout ce bordel peux tenir debout. Il faut pas trop chercher du côté de l’éducation primitive reçu par les « monstres ». Vous êtes des animaux primitifs et dangereux en base et je n’exclus pas du lot celui qui me sert de support. La grosse différence que j’ai avec mes semblables est que je me considère pilote et propriétaire d’un « pitbull » tenu en laisse, je ne m’identifie pas à lui...
      La plupart des gens sont des « symbiotes intérieurs et parasites extérieurs », je suis un « parasite intérieur essayant la symbiose avec l’extérieur ». Grosse différence de fonctionnement. Vos « monstres » ne peuvent appartenir qu’à la première catégorie.
      Lisez « Les Dieux eux-mêmes » d’Asimov. « Against stupidity the Gods themselves may contend in vain... » disait-il déjà...


  • yvesduc 1er juillet 2017 09:53

    Une façon efficace de réduire la violence (aux femmes, en société et à l’international) consisterait à limiter la population masculine à 10% (90% de femmes). Les hommes seraient écartés des positions de pouvoir, où bien souvent les hormones parlent avant la raison, et seraient affectés à des tâches constructives (ingénierie, agriculture, etc.). L’éducation à la non-violence aurait une place importante.


    • JC_Lavau JC_Lavau 2 juillet 2017 10:33

      @yvesduc. Jonathan Swift t’avait précédé par sa Modeste Proposition.

      C’était aussi largement le cas au temps où le Matriarcat était dominant. Le coup de pub d’Abraham était justement que « Dorénavant, on ne sacrifiera plus les fils premiers nés, mais on se contentera de sacrifier des boucs ». Depuis ce temps, les féministes fulminent qu’on leur ait retiré le privilège de zigouiller leurs fils, leurs frères, leurs maris, leurs pères, leurs gendres...


      Toutefois ta modeste proposition ne règle pas le problème de la violence conjugale entre lesbiennes. http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=56:lesbienne-requise-pour-le-poste&catid=43:financement-du-fminazisme&Itemid=57

      L’une de ces consommatrices éclairées a éclaté de rage que Geaveneviève ma très charmante ex-épouse ait par deux fois raté mon assassinat par sabotage de freins, et s’est vantée que « Moi, je ne t’aurais pas loupé ! ».

      Le prénom réel de la cheffe de gangstères a été codé en Javanais, ce qui le rend indéchiffrable, afin de protéger l’honneur de cette dame et de ses complices.

    • JC_Lavau JC_Lavau 4 juillet 2017 19:15

      @yvesduc. Ta Modeste Proposition à toi que tu as présente toutefois l’inconvénient de réduire l’assiette fiscale du très JUSTE impôt sur l’épouvantable délit de masculinité, proposée par Gudrun Schyman en octobre 2004.

      Or on n’a pas oublié avec quelle férocité l’église romaine a pourchassé les cathares : en effet, ceux-ci entamaient l’assiette fiscale de la dîme. Soit le crime qui contient tous les crimes... Voilà qui méritait le bûcher !

    • JC_Lavau JC_Lavau 8 juillet 2017 11:33

      @yvesduc. Victimes !

      Victimes !
      Victimes :
      http://www.thevalkyrie.com/stories/french/
      http://www.gynarchy.org/publisher/ebooks/quandla.htm
      Citation :
       EXTRAIT DE QUAND LA FEMME VINT AU POUVOIR d’Aline d’Arbrant (chapitre V, 1). 

       

        Sabine Dacier avait procédé elle-même à l’organisation des Camps Spéciaux d’Internement. Aussi était-elle particulièrement fière quand elle fit visiter celui de Tours, sa ville natale, à Marie-Pierre Horin, avec qui, par ailleurs, elle venait de se mettre en ménage, le mari de celle-ci, depuis quelques jours arboraient avec fierté son insigne triangulaire d’Auxilaire Masculin Privilégié.

       La porte du Camp s’ouvrit devant les deux Ministres pour leur offrir dès l’entrée un spectacle inattendu. Apparemment, aucune présence masculine. Seules, quelques gardiennes en uniforme de cuir noir déambulaient dans l’enceinte fortifiée du camp. Elles étaient élégantes et particulièrement excitantes dans leur tenue officielle créée par Amanda Kred, la ministre de l’Industrie, et confectionnée par ses propres mâles. A part leur pistolet réglementaire pendant contre leur hanche, les jeunes femmes n’avaient comme arme qu’un petit boîtier de télécommande à la main.

       En s’avançant Marie-Pierre constata que le sol qui semblait vitrifié était en fait constitué par de grande plaques de verre très épais sur lesquelles avançaient les gardiennes grâce à des chaussures à semelles caouchoutées.

      - Mais, Sabine, demanda la Première Ministre, où sont donc les mâles rebelles ?

      - Regarde par terre, chérie.

       Baissant les yeux, Marie-Pierre eut un sursaut de surprise en découvrant sous elle, dans d’étroites petites cellules fermées simplement en haut par les épaisses dalles de verre rivetées, des hommes complètement nus, un par cellule, assis, couchés ou debout selon la largeur de celle-ci.

      - Mais ils voient mes fesses ! s’exclama-t’elle en plaquant sa jupe sur ses cuisses. Quelle horreur !

      - Laisse donc. Ils n’ont que ça à voir jusqu’à leur mort. Et la plupart d’entre eux ne sont plus des êtres humains depuis longtemps. Regarde les gardiennes ! Elles s’en fichent bien, elles !

       Effectivement les jeunes-femmes ne semblaient pas s’inquiéter du spectacle qu’elles offraient aux habitants du sous-sol. Parfois, l’une d’entre elles, paraîssant découvrir quelque chose sous ses pieds, utilisait quelques secondes sa télécommande, constatait les conséquences de son geste puis reprenait tranquillement sa promenade.

      - Que fait-elle ? demanda Marie-Pierre.

      - Son boîtier de télécommande lui permet, d’en haut, de gérer totalement la vie des prisonniers d’en bas. Elle doit d’abord composer le code d’accès de la cellule qui l’intéresse. Elle a alors le choix entre cinq fonctions différentes. D’abord l’ouverture de la. trappe de verre (quand un nouveau prisonnier est amené). La distribution de nourriture (qui se fait par un système de conduits pneumatiques). Le lavage (un jet d’eau puissant nettoie le sol, les murs et l’occupant de la cellule). L’évacuation (l’eau, les restes et les excréments sont emportés vers les égouts). Et l’élargissement ou le rétrécissement des cloisons latérales.

      - C’est vrai. Ils n’ont pas droit tous à la même surface vitale ?

      - Non, ma chérie, continua d’expliquer Sabine. Cela dépend de leur comportement et de l’importance de ce qui leur est reproché. Les gardiennes sont seules juges. Elles peuvent accorder les deux mètres carrés maximum (un mètre sur deux) qui leur permettent de s’allonger par terre s’ils le désirent ou rétrécir la surface au sol pour qu’ils ne puissent se tenir qu’assis ou debout.

      - Celui-ci qui nous regarde d’un drôle d’air ne peut même pas bouger  !

      - Gardienne !

      - Oui, Madame la Ministre ?

      - Qu’a fait cet homme ?

      - Oh, celui-ci ! fit la jeune-femme en uniforme en désignant du pied le visage tendu vers elles. C’est un râleur. Jamais content ! Il n’en a plus pour très longtemps, de toute façon. Chaque jour, je rapproche les cloisons de sa cellule d’un centimètre.

      - Il va finir par être étouffé ? demanda Marie-Pierre intéressée par le supplice de l’homme dont le regard ne quittait pas ses dessous. Cela fait-il longtemps qu’il est dans cette position ?

      - Plus d’une semaine, Madame la Première Ministre. Mais croyez-bien que, pour lui, cette semaine représente une véritable année  ! Quant à étouffer, je ne sais pas. Certains meurent effectivement par étouffement mais d’autres attendent d’être complètement écrasés avant de rendre l’âme !

      - Les cloisons, en effet, peuvent se rapprocher jusqu’à se toucher, expliqua Sabine plus en détails. Ainsi les prisonniers sont réduits en une bouillie sanglante qu’il ne nous reste plus qu’à évacuer par les égouts, comme leurs excréments...

      - Quelle horreur !

      - Mais non. Ce ne sont que des rebelles machistes !

       


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