lundi 12 novembre 2012 - par hommelibre

La théorie du genre vole en éclat !

L’annonce n’a pas fait la une des médias. Pourtant l’événement est majeur et d’actualité quand on sait que la France par exemple a mis l’enseignement de la théorie gender au programme scolaire. Cela alors qu’il n’y a aucune démonstration scientifique, aucun débat public sur la question, et aucune urgence à décerveler nos chères têtes blondes et brunes. Ainsi on leur apprend qu’à la différence de l’identité sexuelle, le genre ne serait pas inné.

Laissée pour morte

Ainsi le Bulletin Officiel du 30 septembre 2012 précise, sous masculin/féminin : « Ce thème vise à fournir à l'élève des connaissances scientifiques clairement établies, qui ne laissent de place ni aux informations erronées sur le fonctionnement de son corps ni aux préjugés. Ce sera également l’occasion d’affirmer que si l’identité sexuelle et les rôles sexuels dans la société avec leurs stéréotypes appartiennent à la sphère publique, l’orientation sexuelle fait partie, elle, de la sphère privée. A l'issue de cet enseignement l'élève devrait être capable d’expliquer (...) le déterminisme génétique et hormonal du sexe biologique, et de différencier ainsi identité et orientation sexuelles ».

Retour sur l’événement. Il s’est produit en Norvège. Suite à l’enquête menée par Harald Eia, le scandale de la théorie fumeuse du genre a éclaté au grand jour et est devenu une affaire nationale. Au point où le gouvernement a décidé d’annuler les subventions aux études de genre et aux associations qui en font la promotion ! La théorie du genre a été flinguée et laissée pour morte dans le caniveau dont elle n’aurait jamais dû sortir.

Cette théorie a été portée par des lesbiennes américaines qui y ont vu un moyen de changer la société à leur profit. Le modèle de référence étant l’hétérosexualité et la différenciation sexuelle, il fallait démolir ce modèle. Avec une double intention : ne pas assumer leur homosexualité comme une différence, et dévaluer au passage l’identité masculine. Aux Etats-Unis, Judith Butler, féministe homosexuelle, a largement diffusé cette théorie, en particulier dans les milieux universitaire. Elle est cautionnée par son université (Berkeley), comme d’autres études de genre sont cautionnées dans les université suisses. Les politiciens et les recteurs d’université se sont volontairement soumis à la Féminista-ha-ha.

Rappel rapide : la théorie du genre affirme que la biologie n’a aucun lien avec la définition du masculin et du féminin, qui ne seraient que des constructions sociales et culturelles. Corps et culture sont découplés, dissociés, comme une sorte de schizophrénie intellecuelle. Toute différence est niée. Sauf, étonnement, quand il s’agit d’accuser les hommes d’une supposée mise en esclavage des femmes et de leur attribuer toute la charge du mal de la planète. Un des résultats de cette théorie est le refus de différencier les enfants et de nier toute identité fondée sur le sexe biologique. L’école suédoise d’Egalia est l’un des plus graves exemples de cette volontaire destruction des identités, de cette déculturation. De cette négation de millions d’années dévolution.


Cassééé !
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Le point de départ de l’enquête norvégienne est le suivant. Un journaliste, Harald Eia, s’étonnait que dans son pays - le plus égalitaire au monde selon une étude - les femmes étaient bien plus représentées dans les professions touchant à l’humain - les soins en particulier - et les hommes dans les professions techniques. 90% des infirmiers sont des femmes et 90% des ingénieurs sont des hommes. On pourrait supposer qu’ils ont été éduqués et imprégnés de différence culturelle. Pourtant le gouvernement a lancé plusieurs programmes de soutien à l’égalité professionnelle et poussé les femmes vers les professions techniques, et les hommes vers celles du soin. Cela n’a rien changé.

Le journaliste a fait une enquête au cours de laquelle il a interviewé des scientifiques de haut niveau aux Etat-Unis. Les expériences les plus récentes démontrent que filles et garçons ont des intérêts différents dès la petite enfance (quelques mois), et même dès le premier jour de leur naissance. L’une de ces expériences consistait à filmer des bébés qui venaient de naître. On leur présentait une série d’objets ou de jouets connotés comme masculins (objets mécaniques, camions, etc) ou féminins (poupées par ex.). Le résultat est que dès la naissance les filles regardaient longuement, de manière systématique, les objets féminins, et les garçons les objets masculins. Ces longs regards des nouveaux-nés étaient des manière d’établir une relation particulière et privilégiée avec les objets regardés. Cette expérience, et d’autres, mettent en cause directement l’idéologie gender.

Les scientifiques norvégiens ont refusé de s’interroger sur ces études, qualifiant simplement les chercheurs américains de « médiocres » et réaffirmant leur adhésion totale à la théorie du genre, laquelle est pourtant cassée par cette expérience récente et d’autres. Ils ne montraient pas la plus petite interrogation scientifique. Après la diffusion du reportage le débat s’est enflammé et le gouvernement à coupé tous les subsides aux tenants de cette idéologie.


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Dans la vidéo ci-dessous, les 14 premières minutes exposent succintement la théorie du genre et interrogent sur les différences professionnelles entre femmes et hommes. La suite relate plusieurs expériences réalisées aux Etats-Unis, expériences qui montrent bien une différence entre le masculin et le féminin. La fin du reportage étale l’arrogance des « chercheurs » norvégiens, comme Catherine Egeland avouant sans gêne sa propre limitation : « J’ai ce que vous appelleriez des bases théoriques. Il n’y a pas de place pour la biologie là dedans pour moi. » Et bien il serait temps que la sociologie se donne des bases plus complètes si elle veut être crédible, faute de quoi elle verse dans l’idéologie. A tout le moins, la démonstration est faite que la théorie du genre est une idéologie et n’a aucune base scientifique. Pire : elle montre l’absence d’esprit scientifique et d’ouverture intellectuelle chez ces « chercheurs » qui s’accrochent à leur dogme comme à une religion. Ces gourous ont fait la pluie et le beau temps. Mais la fin de leur temps approche.

La théorie du genre prétend donner la liberté de choisir d’être homme ou femme (ou kangourou, pour quoi en rester à ce stupide anthropocentrisme ?) indépendamment du sexe biologique. En réalité cet hyper-égalitarisme forcené est une dérive marxiste dont le but est la destruction de la société et de toute notion de différence entre les humains. Le remplacement des institutions privées et familiales par l’Etat-Mère égalitariste qui s’occupe de tout et nivelle tout est une variante de l’Etat fasciste. La différence est qu’il s’impose par l’idéologie plutôt que par la force.

L’indifférenciation sert à jeter la confusion intellectuelle et à valoriser une sorte de toute-puissance infantile. C’est un super-productivisme positiviste. On n’accepte plus le destin ou la nature. Mais c’est aussi une régression au stade foetal du tout début de la gestation, quand le petit d’Homme traverse les étapes de développement reptilien, avec une queue qui se résorbe peu à peu. Un retour au temps des dinosaures !

Le gender est donc un danger pour la société, une volonté de la détruire pour la remplacer par un égalitarisme forcé. C’est aussi en filigane une charge contre les hommes toujours accusés d’avoir inventé les genres à leur seul profit. Rappelons-nous que la théorie du genre valide la victimisation féministe systématique - le fond de commerce du féminisme. genre,gender,norvège,baron-cohen,etats-unis,idéologie,fasciste,féminisme,virus,anticorps,science,différences,sexe,femmes,hommes,indifférenciation,judith butler,égalité,homosexualité,reptiles,dinosaure,masculin,féminin

Tout en prônant une indifférenciation on reconstruit une différence et un stéréotype. Mais la supposée violence de genre et la supposée domination masculine ne sont que du pipeau, une lecture biaisée et orientée des relations hommes-femmes. Les féministes ont pris de relais de Lénine et de sa clique. Il y a le feu dans la maison. Le gender doit être éliminé de la société, ainsi que le féminisme qui s’y réfère.


La vidéo qui fait mal

La théorie du genre s’infiltre dans les lieux d’influence, Etats et universités, pour y prendre le pouvoir. Les lois de genre, comme celles sur la violence faite aux femmes (rien sur celle faite aux hommes) et sur la parité sont des lois de genre. Mais sous un vernis rhétorique le gender est une des plus grosses escroqueries intellectuelles du siècle. Dorénavant, quand on vous parlera de « chercheur » ou « chercheuse » dans le gender, vous saurez que c’est du foutage de gueule et du salaire gagné de manière malhonnête. Il n’y a plus à négocier avec ce féminisme-là, et rien à en garder. C’est comme un virus informatique destiné à détruire le disque dur. Il faut en prendre délibérément le contrepied et l’éradiquer de nos esprits et de nos institutions.

Pour donner à la société des anticorps contre la maladie du gender, il faut commencer par éduquer les filles et les garçons dans une différence assumée et respectueuse. Les filles et les garçons ne fonctionnent pas à l’identique. L’éventail des comportements est plus large que les stéréotypes convenus mais ces comportements ne se superposent pas. D’ailleurs l’indifférenciation n’invoque aucun respect particulier, la différence oui. 

Il faut aussi arrêter avec cette mode aliénante de vouloir à tout prix faire pleurer les garçons. Ils ont un autre vécu, comme le montre cette autre étude. Vouloir qu’ils pleurent pour être comme les filles (car c’est bien un modèle féminin qu’on leur impose) c’est les détruire profondément dans leur identité. C’est une violence psychologique majeure.

Mères, pères, reprenez l’éducation en main ! Le lavage de cerveau - car ce n’est qu’un lavage de cerveau sans aucune base scientifique, une sorte de dérive psychanalytique, voire une schizophrénie intellectuelle - peut être arrêté. L’avenir de notre société en dépend. La vidéo qui suit fournit nombre d’arguments pour former les anticorps. Prenez un moment, cela en vaut la peine.



83 réactions


    • hommelibre hommelibre 12 novembre 2012 22:51

      Salut Momo le corbeau facho, content de t’avoir donné un os à ronger... smiley

      Un acteur, oui, qui tient le rôle de journaliste dans un reportage réel. Tu n’as rien de plus à dire ? Pas d’argument ? Seulement ton harcèlement habituel ? Saute, j’ouvre la fenêtre...


  • Montagnais .. FRIDA Montagnais 12 novembre 2012 11:29

    Excellent texte.


    « ... pourquoi en rester à ce stupide anthropocentrisme... » dites-vous

    Bien vu, nous avons une association qui monte en puissance et qui prend la défense de la Zoophilie, digne héritage des civilisations grecque, romaine, chaldéenne, mycéniennes, phénicienne, entre-autre.. Hétérosexuels, transexuels, homosexuels, zoosexuels, ethnosexuels, anthroposexuels, melanchtosexuels, albo-sub-melanchto sexuels.. 

    Tous unis !

    Nous avons récemment requis le maire de notre village pour qu’il nous célèbre un mariage à trois.

    Nous lui avons expliqué, de façon musclée - nous sommes deux femmes, et un âne - qu’il n’avait pas intérêt à se mettre en travers des progrès de l’Humanité et de la Chevalité ! (comme chacun sait, il n’y a aucune différence entre un âne et un chevale, j’écris chevale avec un e, c’est pré-requis désormais). 

    bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto

    ..ça tiendra lieu de « voulez vous prendre pour époux ».. ?

    • Romain Desbois 12 novembre 2012 11:57

      Ha la campagne , la vie au pays c’est super. Le seule problème c’est comme la plupart est partie, les seuls qui restent se sont reproduits entre eux, ce qui provoquent chacun sait une dégénérescence intellectuelle que l’on détecte de suite chez le spécimen sus étudié. smiley


    • BlackMatter 14 novembre 2012 15:25

      Et encore, ça n’est pas le pire.


  • katakakito 12 novembre 2012 11:34

    Enfin il est temps d’appeler un chat un chat. ET d’envoyer ces théorie fumeuses au panier.
    Merci pour l’article et bravo aux Norvégiens.


    • morice morice 12 novembre 2012 11:50

      rappel =


      Par katakakito (xxx.xxx.xxx.90) 11 novembre 23:12

      Les médias ne font pas de l’information. C’est là l’erreur.
       Ils font de la communication.
       Vous savez le truc qui consister à expliquer et réexpliquer ce que nous pauvres crétins ne comprenons pas. Et cela jusqu’à ce que ça soit bien entré dans nos petites têtes d’abrutis.

      La communication a un autre nom. C’est celui de propagande.

      Un média maintenant appartient à quelqu’un ou reçoit des royalties de quelqu’un sous forme de pub. Et ce quelqu’un « want his money back ». Temps de cervelle disponible par exemple, pour l’endoctriner, le manipuler, l’inciter à acheter. Le reste il s’en balance.

      Les vrais informations c’est pour les bisounours et les bisounours c’est terminé pour eux.


      or ici y’a quoi ? 


      CE QUE VOUS DENONCEZ AILLEURS ; le livre de Goetelen mis dans son propre article !!!


    • katakakito 12 novembre 2012 14:11

      Morice Je ne vois pas le problème.

      Je dénonce exactement la même chose. La théorie du genre c’est de la propagande.

      Quand à ce livre de machin truc chouette je n’en ai jamais entendu parler et je m’en fous.
      Quand à dire tout et son contraire alors là vous pouvez parler !


    • jean rony 12 novembre 2012 18:13

      Je suis très soulagé de cette grande nouvelle qui méritait une plus grande couverture médiatique et qui me rassure sur le souvenir du bon sens de nos ancêtres de toute l’humanité lorsqu’ils ont distingué par la force des choses le rôle de la femme et de l’homme.

      jean rony icpr.ch


    • jean rony 12 novembre 2012 18:15

      Je suis très soulagé de cette grande nouvelle qui méritait une plus grande couverture médiatique et qui me rassure sur le souvenir du bon sens de nos ancêtres de toute l’humanité lorsqu’ils ont distingué par la force des choses le rôle de la femme et de l’homme.

      jean rony icpr.ch


  • Fogghearty 12 novembre 2012 11:42

    Après cet article, je qualifie les défenseurs de la théorie « gender » d’escrocs féministes et de fumistes exemplaires. Feminista... ras le bol. Encore une mode rétrograde.
    Si les femmes ne voulaient vivre qu’avec des femmes, voire des hommes totalement féminisés, cela se saurait. Alors, il est regrettable que bon nombre d’hommes rejoignent le socio-médiatico-politiquement correct pour enfler cette bulle. Que chacun reste ce qu’il est, la nature a ses lois, même s’il existe des exceptions, mais tout autoriser conduit à tout accepter sans vergogne, ce qui est incontestablement la vertu de l’ignorant.


    • Romain Desbois 12 novembre 2012 11:50

      Mais oui bouffon

      T’as beau te raser ou t’épiler , la nature te rappelle que tu n’es qu’un mammifère dont certains spécimens sont loin d’avoir évolué.


    • Le chien qui danse 12 novembre 2012 11:56

      Ne vous inquiétez pas les femmes ont encore envie que vous bandiez pour elles, vous êtes leur référence protectrice, conductrice et salvatrice pour leur unique participation qu’est l’enfantement de celui qui vous remplacera, en espérant que ce soit un mâle bien sur....

      De plus vu que c’est une loi de la nature...

  • TOHT 12 novembre 2012 11:49

    Les propos de Butler n’ont rien de scientifque au sens propres du termes. Ce sont des propositions de Sa grille de lecture de Sa société. Il faut comprendre l’arrivée en Europe de ses « théorie » fumeuses, elle se base sur un certain nombre de post-matérialiste dontelle extrait qu’une petite partie des de leurs analyse( Bordieu, sartre...) ensuite les reconbinne pour en tirer des conclusions et nous les renvoyer de ce coté de l’atlantqiue.

    En réalité ce qui choque et non pas que des farfeleux ce revendique du scientisme de cette faussaire, mais qu’un certain Luc Chatel ai inclus ces thémes dans la pédagogie du ministère de même nom. Aujourd’hui l’argument de validation de ces idéologues est basé sur le fait que cela soit enseigné en France !!!


  • xbrossard 12 novembre 2012 11:52

    « En réalité cet hyper-égalitarisme forcené est une dérive marxiste »

    autant je cautionne votre analyse sur la théorie des genre (néfaste selon moi), autant ce genre de phrase discrédite une bonne partie de votre analyse : je suis de gauche tendance marxiste, mais que vient foutre cette allusion à Marx qui n’en demandait pas tant ??


    • bel95 12 novembre 2012 12:02

      Les imposteurs Marxistes !!! A la lutte des classes => la lutte des genres.

      Le domaine naturel du PS, PC étaient de se battre sur le terrain social. Ayant abandonné tout pouvoir sur l’éconmie, il ne reste plsu que de vague combat sociétal pour faire illusion


    • morice morice 12 novembre 2012 12:08

      Les imposteurs Marxistes !


      ah ah ha !!!

    • hommelibre hommelibre 12 novembre 2012 22:57

      @ xbrossard :

      Ok je suis critiquable sur cette remarque, mais d’une part en effet la lutte des genre est un glissement de la lutte des classe, d’autre part ce féminisme là analyse tout selon la grille des rapports de pouvoir hommes-femmes, ce qui est d’inspiration marxiste et très réducteur. Je ne partage pas cette grille de lecture même si elle a du sens.


  • morice morice 12 novembre 2012 11:57

    Il faut aussi arrêter avec cette mode aliénante de vouloir à tout prix faire pleurer les garçons. Ils ont un autre vécu, comme le montre cette autre étude. Vouloir qu’ils pleurent pour être comme les filles (car c’est bien un modèle féminin qu’on leur impose) c’est les détruire profondément dans leur identité. C’est une violence psychologique majeure. 


  • Hervé Hum Hervé Hum 12 novembre 2012 11:59

    Certes, mais faites attention tout de même à ne pas basculer dans l’autre extrême, celui qui fait condamner à mort les homosexuels, exciser les femmes et faire de l’homme le dépositaire du pouvoir absolu sur la femme.

    La vie d’un humain est faite d’une interaction entre son caractère innée qu’est la biologie et son caractère acquis qu’est la culture. C’est sur cela que repose la différenciation...


    • hommelibre hommelibre 12 novembre 2012 23:01

      Oui, assez d’accord avec vous. L’existentialisme est une méthode intéressante quand elle s’applique à la responsabilité individuelle ou la la Gestalt-thérapie, mais elle ne peut être le fondement d’une vision générale de l’humain.

      Je pense que beaucoup des avancées à marche forcée du XXe siècle seront à repenser dans ce XXIe siècle.


  • ottomatic 12 novembre 2012 13:05

    Quel casse b*rnes ce Morice !


  • abelard 12 novembre 2012 13:40

    Mon dieu !!!!
    En voila un bel article dont la stupidité égale la haine rancie.

     « des scientifiques de haut niveau aux Etat-Unis » dites vous ? Qui ? Où ? Sont ce les mêmes scientifiques de « haut niveau » qui ne jurent que par le créationnisme ?

    ... Un écrivain qui publie à compte d’auteur ses torchons idiots sur internet...

    Beurk.


    • philippe913 12 novembre 2012 13:57

      osef de l’auteur, il n’en reste pas moins que cette théorie du genre ne repose sur rien et reste de la daubasse.

      homme = femme

      y’a pas besoin de grandes études pour voir que non, ce qui ne veut pas dire que homme soit > femme ou inversément....


    • abelard 12 novembre 2012 18:11

      Il n’y a pas besoin non plus d’avoir fait de grandes études pour voir que la terre est plate. Quand je sors de chez moi, ça ne penche pas.


    • abelard 12 novembre 2012 18:58

      Cher oncle,
      Tu m’as fait rire, il te sera donc beaucoup pardonné.
      Bonne soirée.


    • hommelibre hommelibre 12 novembre 2012 23:03

      @ Abelard :

      « des scientifiques de haut niveau aux Etat-Unis » dites vous ? Qui ? Où ? Sont ce les mêmes scientifiques de « haut niveau » qui ne jurent que par le créationnisme ?"

      Regardez la vidéo, cela vous évitera de faire des remarques inutile.

      Pour le reste, je vous laisse votre jalousie.


  • nemotyrannus nemotyrannus 12 novembre 2012 14:36

    Laissez la politique ailleurs , je suis de gauche pour ne pas dire d’extrême gauche et cette théorie du genre poussée à l’extrême (tout n’est pas mauvais et infondé dans CES théories du genre ) est ridicule , facilement démontable comme le démontre ce type dans la video .
    Laissez la science en dehors de ces saloperies d’idéologies de tout bord . 

    Abelard , regardez la video . Non , tous les scientifiques US ne sont pas créationnistes anti-avortement , heureusement . 


    Par pitié , ne tombez pas si bas , c’est nul ,ce n’est pas parce qu’on réprouve des idées féministes qu’on est contre les femmes.

    Avouez que quand on fait passer une idée pour véridique , prouvée , scientifique... etc , qu’on tente de taire toute remise en cause en faisant passer la personne pour un rétrograde , et que c’est pour servir un postulat ne reposant sur rien au départ à part des ressentis personnels , des exagérations et des ré-interprétations de faits , on n’est pas loin du fanatisme. 

    Ces féministes là font ça.
    Ce sont des fanatiques comme d’autres le sont dans d’autres domaines.

    Ce sont ces fanatiques qui dictent votre conduite , ce sont ces fanatiques à qui on donne des sous , ce sont ces fanatiques qui se disent détenteurs de la vérité suprême , ce sont ces fanatiques qui tentent de se faire passer pour des révolutionnaires et progressistes...

    Ce ne sont même pas des « agents infiltrés » , ces théoriciens sont des gens sortis du lycée en pleine crise d’ado et pleins d’idées manichéennes à qui on a tout laissé faire parce que nous même n’avons pas osé chercher la petite erreur qui casse tout dans leur argument d’apparence hyper clair et très facile et que c’est très difficile d’aller à contre courant même si on a raison et , dans ce cas , le courant c’est : le féminisme c’est toujours bien et a toujours raison puisqu’il le dit.
    Maintenant , encore une fois , allez tenter de faire comprendre à des demeurés , convaincus de leur superiorité morale , que leur cause et leurs idées chéries ne sont que que du vent , et qu’ils ne sont pas des révolutionnaires progressistes mais des gens normaux qui , eux aussi , commettent des erreurs , gobent tout et n’importe quoi pour peu que la façon de le leur présenter soit accrocheuse , et sont prêts à tout pour ne pas en avoir le démenti parce que ça leur ferait mal au cul ( ou que ce serait contraire à leurs intérêts , mais à ce stade on n’est plus un demeuré mais dans la mauvaise foi et le mensonge)... 

     


  • ZenZoe ZenZoe 12 novembre 2012 16:05

    Fumeuse théorie que celle du genre, on est d’accord.

    On peut quand même regretter que tout ce qui est « féminin » soit systématiquement dévalorisé dans notre société. La femme, c’est toujours celle par qui le mal arrive, depuis Eve. C’est toujours elle qui gâche tout. Il y a encore beaucoup d’hommes en entreprise (quant à l’armée, n’en parlons pas) qui pensent que les éléments féminins sont souce de zizanie plutôt qu’autre chose. Dès qu’une profession se féminise, elle perd sérieusement de son éclat et de sa valeur marchande.

    Alors contre la théorie du genre, OK - mais dévaloriser le genre féminin, non. Je suis pour deux genres différents, mais traités pareil.


  •  C BARRATIER C BARRATIER 12 novembre 2012 16:05

    La théorie du genre à ce que j’en connais n’est pas tout à fait ce qu’explique l’auteur. Cette théorie n’est pas un dogme mais résulte d’observations que chacun peut faire sur la réalité. Elle dit qu’un héritage génétique existe bien, et reste très important, mais que dans sa construction, un être vivant est aussi influencé par son environnement, chacun étant plus ou moins influencé par l’éducation, en fonction d’ailleurs de sa réceptivité plus grande à ceci ou à cela.

    La normalité est finalement le résultat, et il n’y a pas lieu de hiérarchiser les individus, masculins, féminins, transsexuels, ni de hiérarchiser leurs comportements tous également respectables.

    Les normalisateurs de comportements sexuels sont majoritairement ceux qui veulent garder la femme sous un statut inférieur. Je me méfie donc de ces gens là qui en fait sont masqués.

    On peut aller faire un tour en table alphabétique aux articles « Femmes..etc » comme

    « Femmes écrasées par des dogmes religieux »

     http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=69


  • morice morice 12 novembre 2012 16:24

    « Femmes écrasées par des dogmes religieux »


    il ne parle pas de ça là.

    quoique la secte n’est jamais loin chez lui non plus....

  • nemotyrannus nemotyrannus 12 novembre 2012 16:34

    « Les normalisateurs de comportements sexuels sont majoritairement ceux qui veulent garder la femme sous un statut inférieur »


    Personne ne sait quelles sont ces normes. Où à peine.
    D’un côté on le fait , comme vous le dites , à travers le prisme d’un machisme répugnant , de l’autre on met la tête dans le sable parce que c’est interdit de regarder ailleurs .

    Les deux se valent.



  • morice morice 12 novembre 2012 16:38

    Goetelen, connu partout... même jusque Nantes....



    "si on va à la source indiquée on tombe sur un site, dont John Goetelen est le webmestre
    il s’agit d’un guru du « masculinisme » qui se présente lui même comme « ultra antiféministe »

    pour ma part, je ne vois pas l’utilité d’offrir une tribune au masculinisme et à l’anti féminisme, qui sont en fait à la base de cet article"

    "

    • hommelibre hommelibre 12 novembre 2012 23:11

      Ouh, Momo content.

      Mais non, je ne me présente pas comme un ultra antiféministe. Seulement antiféministe, pour ce qui est du féminisme radical et misandre. Cela suffit mon con Momo.

      Dommage que ces gens-là, comme toi couillon, sont incapables de débattre autrement qu’en faisant des procès d’intention et de salir l’autre. Tu es bête Momo. Simplement bête. Paranoïaque et bête.


  • Yohan Yohan 12 novembre 2012 17:39

    Oh là là ! la gauche Pulvarienne va nous faire une nouvelle crise


  • Hermes Hermes 12 novembre 2012 17:47

    @ l’auteur :

    Pour économiser d ela bande passante, je vous revoie à quelques « balivernes »  smiley que j’ai déjà postées et qui s’appliquent bien à ce sujet, hormis que dans le cas de votre article, la tranquillité manque cruellement (attaques contre diverses idéologies), ce qui motive bien des commentaires négatifs. Vous aimez les conflits ?

    Pourquoi se sentir menacé par quoi que ce soit ? Les forces de la nature ne sont pas prètes de s’effacer devant un quelconque caprice idéologique....

    Cdt.


  • antyreac 12 novembre 2012 17:56

    En réalité la théorie du genre a été critiqué dès son apparition


    Voici un autre traitement de cette théorie

  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 12 novembre 2012 18:20

    Fais dodo ,Colas mon p’tit genre
    Fais dodo ,tu s’ras un bobo
    Maman est en haut ,qui s’gratte les couilles
    Papa est en bas ,qui s’épile le maillot
    Fais dodo,Colas mon p’tit genre
    Fais dodo ,t’auras du Dolto .


  • COVADONGA722 COVADONGA722 12 novembre 2012 19:11

    Ba la monomanie antifemme de l’auteur me lasse .Mais le vrai scandale ici ce sont les posts stasistes de morice qui globalement sont moinssé par les débatteurs quelques soit leur avis.En fait le seul soutien que reçoit morice dans son role de Javert du net provient de la moderation qui laisse les manies flicardes digne de « je suis partout  » du professeur .On rappelera utilement que les appels à la délation voir à la chasse de parasnazis supposés
    assasins à la place de merah tronent dans les archives du site avec l’innéfable morice comme auteur !Ce site se décrédibilise en laissant sont buzzeur préféré se comporter comme un savonarole de bas étage !
    Asinus : ne varietur


  • fcpgismo fcpgismo 12 novembre 2012 21:57

    Rien que le pseudo me donne envie de pisser de rire ( hommelibre )
    et tout le reste est à l’ avenant.Accroche toi à ta petite bouée avant de couler.


  • ricoxy ricoxy 12 novembre 2012 22:29

    Et que penser de l’affiche des magasins « U » représentant un bambin (blanc) avec une poupée (noire) et une fillette s’exerçant à un jeu de construction ?


  • Folacha Folacha 13 novembre 2012 09:22

    Bonjour,

    Il y a quelques jours passait sur la Chaîne Parlementaire un reportage sur les femmes populistes en Europe .
    Une sociologue décryptait leurs propos en faisant valoir que les qualités féminines mises en avant par celles-ci pour expliquer leurs succès ne résistait pas et à l’interchangeabilité des sexes qui semblait pour elle une vérité non négociable . 
    Je ne sais pas si ce genre de propos tenu par une femme politique « de gauche » aurait été analysé de la même manière, mais je trouve qu’on est sur une mauvaise pente .

  • jerome 13 novembre 2012 09:22

    @l’auteur : bravo ! Votre franc-parler est réjouissant au milieu de toute cette putridité
    qu’on nous impose à longueur de temps ...


  • cassandre cassandre 13 novembre 2012 09:22

    bon plus sérieusement je revient vers vous pour vous informer que les études , les études SCIENTIFIQUE a l ’aide de machine IRM développée par les neurologues , laisse apparaitre dans leurs résultats éminemment SCIENTIFIQUE une validation des théories sociologique du genre ...

    navrée pour les détracteurs du genre mais cela est validé par les observations neurologique

    retenons qu’une chose la plasticité du cerveau et l ’influence sur celui ci des informations endogène ( hormones ) et exogène ( culture ) pour le moment la science en est là ...

    pour information et pour se cultiver :

    http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-le-cerveau-a-t-il-un-sexe-2012-11-12


    • NeverMore 13 novembre 2012 10:05

      Tout à fait ...

      On peut même ajouter que les études SCIENTIFIQUES du fond de rayonnemnt diffus et des premiers instants de l’univers constituent une validation de la THEORIE socio-théologique de l’existence de dieu.

       


    • cassandre cassandre 13 novembre 2012 14:00

      et bien dans le genre de réponse l’ ignorance crasse , je ne vois rien a ajouter je constate seulement qu ’ici ce n’est pas un débat sérieux mais un débat de café du commerce c’est a dire un fleuron de l ’ignorance et du stéréotype , sortez les casques lourd et les sacs de sable il va y avoir de la monnaie a rendre ...


    • nemotyrannus nemotyrannus 13 novembre 2012 18:35

      Cassandre n’a pas tout à fait tort , en fait elle à même raison sauf quand elle dit « des théories du genre » car justement de nombreuses idées ayant ce genre comme articulation ne sont que des délires , celui du «  tout , absolument tout , est culturel  » , par exemple , c’est lui qui est démonté dans la vidéo de hommelibre.


      Cependant , on ne peut pas nier que beaucoup de choses que l’on tient pour fondamentalement naturelles , ne le sont pas .
      Et ne sont là que parce qu’à un moment donné telle ou telle catégorie de personne s’est retrouvée à faire plutôt telle ou telle chose et qu’on en a pris l’habitude.
      L’autre cas c’est quand on veut justifier ses actes sans avoir à réfléchir dessus , parce que ça nous arrange.

  • Roque 13 novembre 2012 10:44

    La théorie du genre comme son nom l’indique n’est qu’une hypothèse. On attend la démonstration scientifique.

    D’après la théorie du genre, il suffirait que les rôle masculin et féminin soient tenus quelque soit le sexe des parents pour que l’enfant soit équilibré. C’est le dogme de la cause homosexuelle - ici largement présente.

    Cependant, voici deux études qui prouvent le contraire :

    SUR LES FANTASMES DES ENFANTS CONCERNANT LE GENITEUR ABSENT DU COUPLE HOMO

    Saakvitne (1998) (1) et Eisold (1998) (2) ont soutenu une discussion [contradictoire] à propos du cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les mères sont « embauchées et licenciées ». L’enfant souffre psychologiquement après le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres mots, « acheter une autre maman ». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère – c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une.

    McCandish (1987) (3) est une étude sur des couples de lesbiennes qui recourent à l’insémination artificielle. On y trouve une conduite similaire à l’antérieure, qui montre une relation peu claire entre la compagne de la mère biologique et le fils. Un enfant essaie d’appeler la compagne de sa mère « papa » et toutes deux lui expliquent que cela n’est pas adéquat. L’enfant explique la situation à ceux qu’appellent au téléphone demandant son père, et leur dit qu’il est avec la compagne de sa mère à qui la personne au téléphone veut parler.

    1.  Saakvitne, K., 1998, “Recreating mother : A commentary on the case analysis,” American J. of Orthopsychiatry 68,3:443-446

    2.  Eisold, B., 1998, “Recreating mother : The consolidation of ‘heterosexual’ gender identifi cation in the young son of homosexual men,” American J. of Orthopsychiatry 68, 3 : 433-442.

    3.  McCandish, B. (1987). Against all odds : Lesbian mother family dynamics. En F. Bozett, ed., Gay and lesbian parents, New York : Praeger.

     

    Qui peur prétendre que la prise de conscience que le géniteur, le géniteur REEL est absent ne peut pas être dévastateur pour la psychologie de l’enfent et cause de souffrance sur une longue période. Qui peut prétendre comme l’a dit un auteur ’pro-LGBT) que les enfants n’ont « qu’à s’adapter. » Ces enfants qui sont les oubliés au propre et au figuré du fantasme irréalisable des couples homosexuel.

    C’est comme un enuque étreignant une vierge ... dit un livre connu, mais lu par très peu.

     


    • cassandre cassandre 13 novembre 2012 14:07

      encore des études de cas particulier qui ne peut être généralisé et donc peut convaincante , quid des enfant élevé par des oncles ou des fratrie ici ou dans les familles élargie africaine ?? non cette étude n’est pas pertinente car l’observation contraire est plus générale ... en science il faut que l’observation soit statistiquement éprouvé ce qui n’est pas le cas ici .


    • nemotyrannus nemotyrannus 13 novembre 2012 18:25

      Non une théorie , en science , c’est comme ça qu’on appelle l’idée qui fait le consensus après test re-test , test à l’envers...etc et qui s’est imposé comme modèle qui semble le plus juste.


      Une théorie n’est pas une hypothèse .

      Sauf quand on joue les scientifiques , comme ces radicales qui se satisfont de leurs propres explications et attendent de tomber sur un truc d’apparence correct publié par de vrais chercheurs et qui déclenche direct le bouton « vous voyez j’avais raison même si je n’y entends rien ». 

    • cassandre cassandre 13 novembre 2012 19:32

      vous confondez observation et interprétation de ces observations , la rigueur ici , interdit dans la mesure ou nous sommes sur un terrain scientifique .... la fantaisie , la mauvaise foi est toujours possible mais très vite réfutable , particulièrement dans le domaine de la recherche , la problématique OGM en est a la lecture des événements récent l’expression la plus criante ...
      alors oui la démonstration en science humaine de la théorie du genre reste discutable mais a la lecture des découverte en neuroscience grâce a l’imagerie médicale in vivo a des niveau microscopique il est frappant de constater que cette théorie est pertinente et de moins en moins réfutable ... navrée pour l’auteur de l’article .


  • Francis, agnotologue JL 13 novembre 2012 11:07

    « Si les savants ne peuvent pas faire des expériences sur le corps des hommes individuels, ils ne demanderont pas mieux que d’en faire sur le corps social, et voilà ce qu’il faut absolument empêcher » (Bakounine)

    La théorie du genre et le mariage homosexuel, relèvent clairement d’expériences de ces nouveaux Mengele, l’ange de la mort.


  • Z Z 13 novembre 2012 11:20

    "L’une de ces expériences consistait à filmer des bébés qui venaient de naître. On leur présentait une série d’objets ou de jouets connotés comme masculins (objets mécaniques, camions, etc) ou féminins (poupées par ex.). Le résultat est que dès la naissance les filles regardaient longuement, de manière systématique, les objets féminins, et les garçons les objets masculins."

    Alors ça, je veux bien m’en couper une si c’est vrai !!!


    • Hermes Hermes 13 novembre 2012 14:12

      Prudent, je vois, pas les deux !

      Allez lisez cet article de futura sciences et hop la deuxième smiley

      Curieusement les différences de fonctionnement du cerveau de la femme et de celui de l’homme s’estompent chez la femme schizophrène. L’homme serait-donc donc une femme schizophrène ?

       à l’attention aux lecteurs mal avisés qui ne verraient pas l’humour sous-jacent du commentaire : allez consulter vite

      On peut faire dire beaucoup de choses à « la science » dès lors que l’on commence à interpréter sans s’en tenir aux faits et sans connaître non plus les détails opérationnels.

      Bonne journée !


    • cassandre cassandre 13 novembre 2012 14:56

      alors cet article est au raz des pâquerettes scientifiquement parlant CQFD


  • Roque 13 novembre 2012 13:05

    J’ai eu le temps de regarder la vidéo jusqu’au bout. C’est mieux de la faire afin d’éviter d’argumenter dans la vide à partir de ses préjugés personnels (chacun en a c’est trop évident).

    Je ne crois pas que le centre de la vidéo porte sur la valeur de preuve des expériences des uns et des autres. Le centre du sujet traité par la vidéo apparait dans les 5 à 10 dernières minutes de la vidéo.

    D’un coté les chercheurs américains ont l’hypothése que le choix des centres d’intérêt des enfant dépend d’un mixte d’influences :

    - de la génétique (via les hormones et peptides élaborés au cours de l’évolution) qui influence le cerveau de l’enfant à naître dès le ventre de sa mère et

    - de l’éducation et du milieu.

    De l’autre des chercheurs norvégiens qui ne retiennent que l’influence de l’éducation et du milieu.

    Ce se demandent pourquoi les américains deploient cette frénésie à vouloir prouver une influence biologique sur les centres d’intérêt des enfants. Quand ils voient les expériences des américains ils ne veulent pas envisager les questions qu’elle posent et trouve ces expériences médiocres. Au fond envisager un mixte d’influence ne les intéresse pas et leur parait inutile à envisager.

    Il y a donc un affrontement sur la méthode, sur le modèle expérimentale. La position norvégienne apparit nettement idéologique - tandis que ces mêmes chercheurs norvégiens trouvent les chercheurs américains frénétiques et obsèdès (par ce que eux refusent d’envisager).

    Médiocre et très humain. smiley

     

    Pour mémoire chez Freud trois influences en non deux pour « expliquer » le développement psychologique de l’homme :

    1. la génétique,

    2. le milieu (éducation, environnement) ; et

    3. l’histoire fantasmatique personnelle (cette donnée interne est irréductible par exemple si on veut trouver une explication au fétichisme, y comprs les « traumatismes »).

     

     


  • Roque 13 novembre 2012 18:38

    @cassandre il me semble que vous n’avez pas pris le temps de visionner attentivement cette vidéo qui est centrée, je viens de le dire, sur le modèle expérimental des spécialistes américains versus le modèle expérimental des norvégiens. Il est clair que les spécialistes norvégiens ne se laissent pas questionner par les expériences des américains et trouvent assez bizarre qu’on se pose des questions qui remettent en question leurs propres certitudes. En cela il refuser d’examiner si leur hypothèse est falsifiable. La falsifiabilité étant ainsi définie - comme vous le savez certainement - comme suit : « si la logique autorise l’existence d’un énoncé ou d’une série d’énoncés d’observation qui lui sont contradictoires, c’est-à-dire, qui la falsifieraient s’ils se révélaient vrais ». En refusant l’examen de la falsifiabilité, ces experts norvégiens se situent – d’après Popper en dehors de la démarche scientifique.

    Finalement ce ne sont que  d’honnêtes besogneux qui ont le « nez dans guidon », mais sans vision globale sur l’ensemble de la question posée malgré leurs titres universitaires très respectables. Sommairement, ce sont des Diafoirus du XXIème ou des gardiens d’un dogme scientifique figé refusant la nouveauté et le progrès scientifique ! Et j’en suis désolé pour vous si vous êtes un tenant de la théorie du genre !

    J’ai dit que les expériences données dans la vidéo ne sont pas probantes – car effectivement le maillon entre la biologie et le comportement n’est pas positivement connu à ce jour - comme le dit très justement le dernier intervenant de la vidéo. On ne dispose que de comportements curieux si cela est confirmé. MAIS ces expériences sont suffisamment surprenantes pour questionner et générer de nouvelles hypothèses. Je pense donner plus bas plusieurs comptes rendus d’expériences assez concordantes avec ce questionnement nouveau sur les comportements sélectifs des nourrissons en fonction du sexe réel de la personne qui les soigne - et non en fonction du ROLE que ces personnes se donnent quelque soit leur sexe.

    Finalement le titre du sujet : « La théorie du genre vole en éclat », ce titre devrait être : « Comment la théorie du genre se contente de son modèle théorique et refuse les expériences comportementales qui lui sont contraires. » Oui c’est long, mais c’est plus exact. Moi j’aurai honte d’être pris de cette façon en flagrant délit de sectarisme !

    @cassandre VOUS AVEZ ECRIT : « encore des études de cas particulier qui ne peut être généralisé et donc peu convaincante, quid des enfant élevé par des oncles ou des fratries ici ou dans les familles élargie africaine ?? non cette étude n’est pas pertinente car l’observation contraire est plus générale ... en science il faut que l’observation soit statistiquement éprouvé ce qui n’est pas le cas ici. »

    Je sais que le grand jeu est de disqualifier et balayer d’un revers de manche toutes les preuves solides qui sont données par les contradicteurs. C’est le grand jeu sur les blogs – surtout quand la modération ne joue pas suffisamment sur l’ambiance polémique. Mais – si comme je l’espère vous êtes ouvert au débat – voici quelques observations :

    Saakvitne (1998) et Eisold (1998) ont entretenu effectivement un débat contradictoire sur une étude de cas : l’enfant qui voulait s’acheter une mère. Est-ce pertinent ? Contrairement à ce que vous pensez la réponse est oui quand il s’agit de recherche en psychanalyse. Il n’existe dans ce domaine aucune autre possibilité que l’approche interprétative très patiente au cas par cas. Si vous êtes adepte de la théorie du genre, vous lisez essentiellement des études sociologiques vous êtes habitué aux enquêtes sur de vastes échantillons, mais la sociologie à comme limite majeure de ne connaître que l’approche fonctionnelle et comportementaliste. Elle est infiniment moins spécifique que l’approche psychanalytique notamment à partir de l’autisme qui remonte pratiquement à la naissance et même avant. Cette approche 

    1. à constitution du nouveau-né comme être « totalement singulier » et « totalement autre par rapport au couple géniteur », donc comme être « limité » (renonciation à la fusion et à la toute-puissance, phase apparemment pas résolue chez les adeptes de la théorie du genre),

    2. qui touche à la transgression de la clôture du corps par la voix, à l’avènement du flux symbolique de la voix et de la relation (notamment maternelle) qui « ferme » l’ordre charnel de la fusion corporelle (avec la mère dans l’utérus) ; et

    3. qui touche à la constituions de l’enfant comme sujet, de l’autre également comme sujet et des autres comme sujet, base fondamentale – nécessaire - de la « culture » de tout groupe humain.

    Tout cela n’est pas du chinois, mais des acquis fondamentaux de la psychanalyse bien avant le processus de sexuation qui aboutit au choix de l’orientation sexuelle après quelques années.

    Tous les ouvrages de psychanalyse sont faits à partir d’études de cas, je mé réfère aux ouvrages que j’ai pu lire en rapport avec nous sujet : de Freud, de Vasse, de Dolto, de Bettelheim, de Miller (Alice) et de Lacan que j’ai réellement lus. Si vous avez des contre-exemples je suis intéressé.

    Pour l’étude de McCandish, B. (1987) : comme ci-dessus c’est une approche pertinente et la seule possible pour accéder au questionnement intime d’un enfant . Aucune approche par échantillon plus grand n’est pertinente.  

    Pour l’étude de Cameron et Cameron (1996), l’échantillon est plus grand (4000), la sélection est aléatoire, le nombre de cas d’inceste est petit (5/17) dans le couples de même sexe contre (28/4623) dans les couples hétérosexuels, cependant la différence est significative. Si cette étude paraît encore insuffisamment représentative de plus larges population, il est urgent d’en entreprendre de plus importants sur la question de l’inceste dans les couples homosexuels étant donné la gravité du traumatisme et de la durabilité de la souffrance qui en découle – quelque soit l’orientation sexuelle qui en résulte.

    Pour l’étude de Tasker et Golombok (1995) cette étude prospective des enfants jusqu’au seuil de l’âge adulte (23,5 ans)  dans les couples de même sexe est la seule connue à moment de la revue de littérature espagnole d’où je tire ce résumé d’article (2005). Le nombre des cas d’homosexualité découlant de l’éducation par un couple homosexuel est petit (mais statistiquement significative), mais il est déjà corroboré par l’étude de Cameron et Cameron (1996), ci-dessus et par de nombreuses autres études. Cette donnée est confirmée même par des chercheurs pro-LGBT qui y voient une meilleure tolérance des couples homoparentaux, la tendance pouvant atteindre 30% des enfants semble être « naturelle » et donc bienvenue pour ces militants LGBT. Ce n’est pas un jugement moral, mais c’est une interprétation sans autre fondement que l’idéologie du chercheur.


    • cassandre cassandre 13 novembre 2012 19:19

      navrée mais la psychanalyse n’est absolument pas une science et joue des métaphores ; de la symbolique pour tenter d’ étayer des « théorie » qui ne sont que des hypothèse de travail mais n ’en demeure pas moins des pistes parfois , parfois seulement interressante ... la nous sommes dans l’empirisme certainement pas dans l ’observation factuelle en neurologie et imagerie médicale in situe , navrée les découvertes en neurologie par l ’imagerie médicale procède de la démonstration factuelle et scientifiquement irréfutable ( puisque vous évoquez Popper ) au contraire ces dernières étayent précisément les approches théorique des sciences humaines , qui elles sont de nature empirique je le concède ... je m’en tient aux observations et a leurs méthodologie de-ontologiquement scientifique que sont les recherches en neurologie , pour le moment a la lecture de ces découvertes la « très fumeuse théorie du genre » est étayée par ces recherches et les découvertes qui en découle , documentez vous et faite vous votre opinion .


    • Roque 13 novembre 2012 19:52

      La psychanalyse est une science interprétative sans conteste. Mais c’est la seule méthode d’approche des forces et représentation qui habitent l’inconscient et le conscient de chaque homme. Connaissez-vous une autre technique qui permette de décrire ces forces et ces représentations (attention ces mots ont des contenus précis et distincts en psychanalyse, notamment dans l’interprétation des rêves, le transfert, le lapsus, etc ...

      Je suppose que vous ne connaissez pas grand-chose en psychanalyse  ? Ai-je tort ? Pour moi les avis convergents depuis des années que je fréquente cette discipline sur la dynamique psychologique de la période néo-natale et de la période du nourrisson ôte toute validité - pour moi - à l’approche fonctionnaliste et comportementaliste de la sociologie qui est très grossière et s’adresse à une période plus tardive - sans parler des études américaines qui ne donnent la parole qu’aux parents (validité = 0).

      Pensez que l’imagerie (même neuro-hormonale) puisse donner des informations sur les représentations et les forces psychiques intime. Pouvez-vous me donner ici un exemple concret (pas de théorie, merci) - au lieu de faire confiance assez naïvement à la science ?


    • cassandre cassandre 14 novembre 2012 09:40

      je connais assez bien la psychanalyse pour m’y être intéressée et pour avoir vécu une analyse une psychothérapie durant 4 ans , cela laisse bien sur une radiographie de l’inconscient sur laquelle on peut travailler si toutefois il n’y a que peu de dégâts ... après quoi les sciences humaines que sont la psychologie la psychiatrie restent bien impuissante face a de grave problème neurologique si par ailleurs ces dernières n’ avaient pas accès a des molécules chimique nous serions encore dans la médecine psychiatrique de l’enfermement du ligotage et des électrochocs a haute intensité , bien que ce dernier soit rebaptisé sismographe et permet aujourd’hui de soulager a plus faible intensités les cas grave de dépression ... il faut être cohérent devant ce débat du genre personne ne détient la vérité absolut il semble que tout cela soit infiniment plus subtil qu’il n’y paraisse , les théoriciens du genre doivent étayer leurs hypothèse par l ’observation clinique et sur un grand nombre d individu de tout origine , seul une méthodologie de recherche clinique peut éclairer la question , malheureusement pour les « anti gender » les observations actuelle semblent allez dans le sens des sociologues , cependant il y a bien un développement « au féminin » et « au masculin » du cerveau des la 5 eme semaine de gestation l histoire pathétique des intersexués ( les enfants née au sexe indéterminé ) est terrifiante et donne des pistes sur la structuration neuronale du cortex cérébral , tout semble se jouer a la gestation , le sexe visible n ’étant que la partie émergée de notre qualité « homme » ou « femme » mais ne constitue pas pour autant une catégorie claire et immuable , le cerveau semble le seul a nous déterminé les hormones en sont semble t ’il un des vecteurs a certain moment de notre existence, voir par exemple l’adolescence , je vous propose de vous informer sur les parcours des intersexué vous allez observer certaine choses extrêmement intéressante sur la façon dont se développe ces personnes qui ont subis durant des décennie les préjugés du sexe ou du genre .des leurs naissance celui de l’état civil puis celui du chirurgien et pour terminer celui de sa famille et de la société , malheureusement a la naissance il y a une chance sur deux de se tromper . là on a clairement les aspects neurologique du cerveau se développant par la suite et son empreinte sociologique et culturelle ... le cas des intersexuée est extrêmement démonstratif sur le plan clinique et sur le long terme ..


    • Roque 14 novembre 2012 13:22

      @cassandre VOUS ECRIVEZ : « il faut être cohérent devant ce débat du genre personne ne détient la vérité absolue il semble que tout cela soit infiniment plus subtil qu’il n’y paraisse , les théoriciens du genre doivent étayer leurs hypothèse par l ’observation clinique et sur un grand nombre d’individus de tout origine , seul une méthodologie de recherche clinique peut éclairer la question , malheureusement pour les " anti gender " les observations actuelle semblent allez dans le sens des sociologues , cependant il y a bien un développement « au féminin » et « au masculin » du cerveau dès la 5 ème semaine de gestation l’histoire pathétique des intersexués … ».

      Le problème est que justement certain(e)s théoricien(nes)s du genre en sont pas sérieux. Par exemple le texte d’hommelibre souligne bien le problème : « La fin du reportage étale l’arrogance des « chercheurs » norvégiens, comme Catherine Egeland avouant sans gêne sa propre limitation : « J’ai ce que vous appelleriez des bases théoriques. Il n’y a pas de place pour la biologie là-dedans pour moi. » Cette affirmation péremptoire est sidérante, l’approuvez-vous ou la désapprouvez-vous ? Pensez-vous que derrière cette affirmation il peut y avoir une position idéologique complétement no-scientifique ? Pensez-vous ue la pseudo-théorie du genre puisse avoir – aussi – ses fanatiques ?

      L’affaire des ambigüités sexuelle peut avoir une cause génétique ou hormonale), mais croyez moi n’a rien à voir avec les questions de psychologie dont nous traitons ici par ailleurs.

      Encore une fois je pose ma question montrez-moi rapidement un exemple concret qui explique comment des potentiels évoqués de l’électro-encéphalographie (et leur interprétation avec de gros calculateurs) combinés aux dosages chimiques et hormonaux  peut rendre – aujourd’hui ou demain – l’équivalent de l’analyse des représentations et des forces psychiques conscientes ou non – dont traire la psychanalyse (psychologie des profondeurs et non psychologie comportementale). Merci d’avance.


    • Roque 14 novembre 2012 13:45

      J’oubliais ... ce que vous appelez les « intersexués », ça s’appelle « ambigité sexuelle » en médecine. Je suis médecin pédiatre et j’ai eu a suivre des hyperplasies congénitales des surrénales et des syndromes chromosomiques tous atteints d’ambiguité sexuelles plus ou moins développées.

      Je vous le redis ne vous embrouillez pas la tête avec ça. Les problèmes d’ambiguité sexuelle somatique sont une choses et les problèmes d’orientation sexuelle en sont une autre. En règle, les ambiguités sexuelles somatiques n’ont pas d’ambiguité sexuelle psychique. Une personne ambigue sexuellement peut en faire un « métier » dans une attraction ou par la prostitution, mais ça encore c’est une autre affaire (appât du gain). 

      Ceux qui sont atteints d’ambiguité sexuelle somatiques peuvent avoir des difficultés physique à vivre leur orienttion sexuelle : moindre « esthétique » des organes génitaux, estime de soi, « anomalie » de dimension, difficulté de rapport, voire infertilité définitive, puberté précoce ... mais il ne s’agit jamais de problème comme le transgenre qui se ressent comme «  une femme dans un corps d’homme ». RIEN à voir !


  • hommelibre hommelibre 13 novembre 2012 20:06

    On pourrait prendre la question du genre sous un autre angle et en poser d’autres. Pourquoi cette recherche de l’indifférenciation ? Pourquoi la différence poserait-elle problème ? Pourquoi la différences sexuée n’aurait-elle pas d’autre incidence que le dimorphisme morphologique et hormonal ? Pourquoi les fonctions issues de ces dimorphismes n’auraient aucune incidence sur le comportement ?

    Comment ne pas se demander si la gestation et le soin impliquent un autre comportement psycho-social que la protection. Où serait le problème si c’est le cas ?

    Autre question, encore plus fondamentale : pour découpler la culture et la biologie ? Pourquoi ne voir la culture que comme l’espace de décision ici et maintenant (déterminisme productif) et non comme l’expression d’une nécessité supérieure destinée à régir la survie de l’espèce ?

    L’imagerie médicale a montré entre autre que le cortisol, plus abondant en général chez les hommes, active le cerveau différemment chez ceux-ci et que la réaction au stress en est affectée.

    https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:dGZjEWHKJaYJ:www.cfn.upenn.edu/perfusion/stress.pdf+wang+stress&hl=fr&gl=ch&pid=bl&srcid=ADGEEShku9okv9sw_zzpIVdPw9_jyddHGq3OWZzwQ6q4tEF5udvyMQAnEcIQodAdojUbBP _bPDuIaLe7sHNivbKZGy8r2xYQXCQtojlk3ka0ZJhb_z2PABZwKfOWzcZDeucirpoDaOEU &sig=AHIEtbQC-xclEJHoOG9o2v1WInkhI2AeKw

    D’autre part la notion d’épigénétique permet d’envisager une différence fonctionnelle sans différence structurelle majeure.

    Les observations réalisées et montrées dans cette vidéo ne donnent en effet pas de certitude factuelle sur la manière dont les différences sont générées. On en voit des effets. Et l’on voit aussi que les partisans du genre filmés dans cette vidéo sont engagés idéologiquement. C’est en général le cas des études de genre : il y a toujours un besoin de démontrer ce que l’on veut prouver. Les déclinaisons du genre sont tout aussi explicites quant au biais de cette hypothèse : par exemple l’attribution de la violence au masculin, exonérant le féminin de toute violence autre que réactionnelle au masculin. On voit bien dans quel contexte intellectuel et dans pour quel profit le gender a été inventé.


  • Esclarmonde Esclarmonde 14 novembre 2012 10:59

    Bonjour, j’ai trois enfants, deux garçons et une fille qui ont eu accès à des jouets « pour filles » et des jouets « pour garçons » et ce que j’ai pu observer, c’est que mes fils, surtout le cadet, 10 ans avait une façon masculine de jouer à la poupée : il l’a mettait dans une poussette et faisait le pilote de formule 1 avec ! Et ma fille, (5 ans) qui n’a par ailleurs rien d’une cruche obsédée par l’apparence et qui court dans la colline et fait du vélo, n’a absolument pas l’approche de ses frères envers des jouets « masculins » comme les petites voitures. Elle invente des histoires à son sujet et fait beaucoup de commentaires sur leur couleur et leur apparence.... Et les fait très peu rouler.


    Les chercheurs américains polluent les Européens avec leur pseudo découvertes ! Je pense que le mieux pour un enfant est d’apprendre à assumer et aimer son genre, garçon ou fille et qu’ils doivent être respectés pour ce qu’ils sont par les adultes... C’est tout, le reste n’est que supercherie.

    Contente que ce soit un pays réputé progressiste, la Norvège, qui mette les pieds dans le plat du politiquement correct !

  • Roque 14 novembre 2012 12:47

    @hommelibre : je précise que je ne « crois » pas à la psychanalyse, je prends seulement en compte ce qu’elle m’enseigne de concordant pour moi mais, mais, mais .... je perçois tout ce qui reste inexpliqué et je suis ouvert à tous les apports nouveaux par de nouvelles techniques et de nouveaux points de vue interprétatifs. Avec sérénité et pondération, pas dans l’hystérie sectaire bien entendu qui semble saisir notre époque !

    On a la querelle sur le sexe des anges qu’on peut !

    Le mal est que les tenants de la pseudo-théorie du gender ne veulent entendre parler de rien d’autre que du « genre », mais leurs observations valides.

    Je vsus fais encore observer que - d’après ce que je sais - la théorie du genre ne fait pas appel à la psychanalyse. Pourquoi ? Parce que les tenants du genre sont d’abord des sociologues - quand il font leur enquêtes - s’en tiennent au comportement et à des indicateurs sommaires comme le « bien-être », la « satisfaction » ou l’adaptation à l’environnement (reconnaître un homme d’une femme comme une chaise d’une chèvre smiley ), ils ne vont pas jusqu’à l’analyse des sentiment, des pensées, des souvenirs, des rêves et lapsus, des associations et de l’inconscient parce que cela ne se prête pas aux enquêtes à grands échantillons. Cela n’est accesssible que dans des études de cas, un patient après l’autre ... comme le fait la psychanalyse - celle de profondeur depuis plus de100 ans.

    La psychologie comportementaliste,la seule connue des américains (l’ersatz de Roger aux Etats Unis, par exemple) n’a franchement rien à voir avec la psychanalyse (Freud, Jung, Lacan) au sens de psychologie des profondeurs. Elle ne gomme jamais la différentiation sexuelle. J’ai fait cette précision car je vois une appréciation négative de la psychanalyse dans votre excellent billet. Mis ce coup là la psychanalyse des profondeur est de votre coté - d’après moi, bien entendu.

    VOUS AVEZ ECRIT : " En réalité cet hyper-égalitarisme forcené est une dérive marxiste dont le but est la destruction de la société et de toute notion de différence entre les humains. Le remplacement des institutions privées et familiales par l’Etat-Mère égalitariste qui s’occupe de tout et nivelle tout est une variante de l’Etat fasciste. La différence est qu’il s’impose par l’idéologie plutôt que par la force. "

    Je ne suis pas du tout marxiste, mais j’ai sur ce sujet quelques connaissances (ma jeunesse était en 1960 et 1970, j’ai lu plus Freud que Marx, il est vrai). Mais il faut être juste, il n’y a comme l’a dit très justement un intervenant plus haut, il n’y a aucun rapport entre la lutte des classes et la lutte des sexe. C’est un faux semblant. Le raison de cette différence est que l’enjeu de la lutte des classes est l’appropriation des revenus du capital et des moyens de production d’où : «  la dictature du peuple et le rôle dirigeant du parti par le moyen du centralisme démocratique de Lénine  » (et bla, bla, bla ...) - alors que dans la lutte des sexe c’est surtout le rapport de domination des hommes sur les femmes qui est en jeu, il n’est pas variment question d’immobilisation du capital productif et de classes sociales ... et que les hommes ne pourront jamais s’approprier le « moyen de production » des femmes - à moins de rêver se voir greffer un utérus ... à la suite de la queer theory qui est une sorte de pseudo-théorie « no limit » amusante un temps, mais au fond complètement délirante, folle !

    Par contre vous voyez juste quand vous dites que toute idéologie qui tend à déstructurer les rapports humains intimes et/ou à imposer un type de rapports humains tend à devenir totalitaire. Je pense même qu’en général une dictature est assis sur une idéologie qui la justifie (il doit y avoir des exceptions cependant ... où la force brute est suffisante.)


  • franc 14 novembre 2012 17:40

    Il ya théorie du genre et théorie du genre ,celle concoctée par des féministes fanatiques peut être tout à fait condamnable comme le fait l’auteur et avec raison ;un exemple typique de l’extravagance cette théorie version féministe exacerbée est ce fait complètement fou de vouloir obliger les petits garçons de faire pipi en position assise comme les petites filles ;la grande erreur ou faute de cette théorie féministe est de vouloir gommer la différence entre la morphologie et la physiologie de l’homme-mâle et de l’homme-femelle,et plus généralement de confondre consciemment ou inconsciemment le concept mâle-femelle et le concept masculin-féminin

    Il ya une théorie du genre qui ne confond pas ces deux concepts mais qui différenci e bien le concept mâle-femelle du concept masculin-féminin et qui dit que tous les êtres humains qu’ils soient mâle (homme) ou femelle (femme) possèdent les deux caractères du masculin et du féminin bien sûr en proportion variable,et cela me semble pour moi incontestable comme le pense aussi la grande majorité des psychologues et des psychanalistes ,en particulier Freud avec son principe de bisexualité au sens de sexualité freudienne de la nature humaine ,et on peut le contaster et le vérifier par l’expérience et l’observation ;Un être humain qui ne possède que le caractère masculin serait un monstre et un être qui ne possède que le caractère féminin ne serait pas viable ;la répartition des caractères masculin-féminin peut s’inscrire sous la forme de la courbe de Gauss où ceux qui possèdent les deux caractères se trouvent au centre et donc au sommet ,ceux qui tend à possèder uniquement le caractère masculin ou uniquement le caractère féminin se trouvent aux extrémités et donc tendent vers zéro .Il est à noter que cette courbe guassienne de répartition de caractères masculin et féminin est semblable à la courbe gaussienne de la bisexualité freudienne ,les bisexuels étant au centre et les homosexuels strict et les hétérosexuels stricts sont aux extrémités

    la théorie du genre non féministe s’implique aussi dans la théorie de l’évolution qui tend à donner une plus grande égalité dans l’équilibre et l’harmonie des caractères féminins et masculin dans la nature humaine


  • franc 14 novembre 2012 18:28

    il ya quand même un certain rapport entre la théorie de l’évolution marxiste et la problématique sociologique de la sexualité ,c’est que tout dans la nature évolue selon la théorie générale de l’évolution y compris donc la nature humaine ,et cette évolution va dans le sens de l’Histoire qui est un sens positif de progrès ou de perfectionnement ,et donc aussi conforme au plan de la la providence chrétienne (« vous serez des dieux » dit l’Evangile).

    cette égalisation de l’homme et de la femme ne se fait pas par décret immédiat qui efface arbitrairement les différences morphologiques et physiologiques de l’homme-mâle et de l’homme-femelle mais selon et à la suite d’ une longue évolution selon un ordre naturel qui inclut aussi la réalisation pratique de la raison et donc de la science sous la direction d’un ordre surnaturel transcendantal ;Ainsi on peut constater qu’il ya une différence et une évolution entre les hommes primitifs préhistoriques à l’aube de l’humanité avec son apparence proche de l’animalité de mamifère ,plus précisément du singe ,avec une nette différence physiologique entre le mâle et la femelle ainsi que de leur rôle social respectif ,le male fait pour la chasse à la recherche de la nourriture avec une constitution physique forte pour se défendre contre la menace et les dangers de l’environnement sauvage encore tout puissant ,et la femelle portant en son sein de manière permanente son enfant en le veillant constamment pour le protéger ,tandis que les hommes modernes contemporains s’éloignent de plus en plus de l’apparence animale morphologiquement et même physiologiquement avec le progrès de la science et de la conscience et que la différence entre entre les hommes-mâles et les hommes-femelles s’amenuisent de plus en plus ,les hommes se féminisent de plus en plus (moins de poil et les traits s’affinent en beauté ),les femmes se masulinisent de plus en plus (les hanches deviennent moins étroites et les seins moins gros ,la force physique augmente),la répartition et la proportion des caractères masculins et féminins tenent à s’équiliber dans les deux genres ,et même si le cractère mâle et le caractère femelle subsiste pour les différencier ,ces deux caractères ci perdent de plus en plus de leur importance et de leur impact à cause du progrès de la science et de la conscience qui permet même au male de procréer avec des méthodes nouvelles de technologie


    • Roque 14 novembre 2012 20:20

      @franc, OK pour la bipolarité de tout être humain, mais qui n’a pas directement à voir avec l’orientation bisexuelle par exemple - d’aprés Freud.

      Le processus de sexuation c’est à dire de prise de position progressive de l’enfant passe par la question du désir et de l’interdit (l’oedipe) avant d’arriver à l’orientation sexuelle proporement dit. C’est très important car sans désir l’orientation sexuelle est sans intérêt, sans force. Ce processus de sexuation repose sur l’interdit d’accès au desir d’un des deux ascendants père ou mère. Je passe sur le fait que «  ce géniteur présent près de l’enfant » doit être un analogue du géniteur réel ... j’ai donné ci-dessus des exemples montrant que les enfants peuvent très tôt (2 à 3 ans) découvrir que le géniteur REEL n’est pas dans la couple des « parents » de même sexe. ... et l’effet de souffrance peut être dévastateur n’en déplaise aux idéologues ...

      L’enfant doit apprendre qu’il ne fait pas « un » avec sa mère (séparation de la naissance) et ensuite qu’il est exclu du couple géniteur. Donc à ce niveau le jeu psychique n’est pas entre fille ou garçon, mais à trois termes avec l’INTERDIT. Ensuite on aboutira à l’orientation sexuelle qui se fait à deux termes principalement - avec des positions intermédiaires il est vrai ... et il peut y avaoir des blocages ou des fixations de toutes sortes sur cette évolution.

      Non l’évolution n’est pas un concept marquant ou central du marxisme (Darwin : 1809 - 1882 / Marx : 1818-1883). Vous faites une erreur, un anachronisme parce que vous vous situez trop loin après et vous manquez de perspective ... demandez donc à une personne connaissant le marxisme.

      Le principe évolutif dans la marxisme n’est pas celuyi de Darwin - bien qu’il ne l’écarte pas nécessairement - mais c’est le matérialisme historique inventé par Marx, lui-même, c’est à dire une analyse et une utilisation scientifique de l’histoire avec la participation libre c’est à dire politique des hommes. Bien noter que le marxiste croit à la liberté humaine. La construction de la société sans classe du marxisme est l’oeuvre du génie et du courage des hommes. L’évolution darwinienne n’a rien à voir avec la liberté humaine. On est dans des domaines de conception complètement différents. Qu’en pensez-vous ?


  • nemotyrannus nemotyrannus 14 novembre 2012 19:17

    La théorie du genre « non-féministe fanatique » n’est elle pas l’éternelle question de l’inée et de l’acquis ?


    Le « féminisme » dedans n’étant là que pour se centrer sur la question des rapports masculin-féminin ?
    Est-il juste , alors , de dire que la théorie du genre est un questionnement d’origine féministe ?

  • Roque 15 novembre 2012 10:10

    @hommelibre : peut-être ai-je mal cherché, mais sur internet je ne suis pas parvenu à trouver confirmation de cet arrêt du financement des études sur le genre en Norvège.

    L’excellente vidéo présentée montre bien que les chercheurs norvégiens sur le genre ont un gros problème de « sectarisme scientifique ». On peut bien imaginer que si la politique s’en mêle ils puissent - s’il restent sur ces positions obtuses - se faire tout simplement «  flinguer » en terme de crédibilité intellectuelle et de financement.

    Donc ma question tardive est la suivante : pourriez-vous me donner un ou plusieurs autres sources confirmation cet arrêt du financement des études sur le genre en Norvège (si ce n’est pas en français, ce n’est pas grave). Je vous remercie. 


    • Roque 15 novembre 2012 14:55

      J’ai trouvé en cherchant avec le nom des chercheurs norvégiens mis en cause par le journaliste !


    • hommelibre hommelibre 15 novembre 2012 15:56

      @ Roque :

      Excusez-moi j’ai été peu disponible depuis deux jours et je ne vous ai pas encore répondu. J’y reviens d’ici samedi au plus tard, je pense que vos interventions sont stimulantes et questionnantes. Je reviendrai entre autre sur la question de la lutte des classes superposée à la lutte des sexes. Je vous propose déjà ce court extrait de mai 68, qui montre ce qui travaille le féminisme au corps depuis 40 ans :

      http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZdQtLg2w6Sc

      Pour la Norvège, ok, moi j’avais trouvé en anglais mais je n’ai pas stocké, j’aurais dû le rechercher.

      A très bientôt.


    • rubicon rubicon 27 novembre 2012 15:17

      Bonjour,


      Pourriez-vous poster les liens que vous avez trouvés, et qui confirment la décision du gouvernement norvégien (arrêt du financement des études de « genre ») s’il vous plait ?

      Merci d’avance

  • franc 15 novembre 2012 16:00

     je prend acte Mr Roque de ce que vous admettez la bipolarité masculin-féminin dans tout être humain .Du coup je trouve tout à fait étonnant et incompréhensible que vous ne voyez pas le rapport tout à fait évident entre la bisexualité freudienne et la bipolarité masculin-féminin ,celle là la bisexualité est un corollaire direct de la bipolarité ;en effet si tous les êtres humains possèdent les deux caractères masculin et féminin et si l’on admet que le principe masculin est attiré par le principe féminin et réciproquement en vertu du principe de complétion ,le caractère sexuel masculin (sexuel au sens large ,au sens freudien et non pas génital) contenu dans un être est attiré par le caractère sexuel féminin de l’autre ,et parallèlement le caractère féminin de ce même être est attiré par le caractère masculin de l’autre ,d’où la bisexualité .Permettez moi de vous donner un conseil ,c’est de lire un peu moins les livres de psychanalyse et un peu plus les livres de mathématique ,ce qui vous donnera une possibilité plus grande d’intuition et de logique ,la mathématique par essence est la science des rapports , et le génie mathématique consiste dans l’intuition et l’imagination de découvrir le rapport entre deux choses qui apparement et a priori semble n’avoir aucun rapport ;

     

    je ne suis absolument pas d’accord avec vous quand vous affirmez que l’orientation sexuelle découle du principe d’oedipe freudien ,vous êtes trop imprégné de psychanalyse qui n’est pas une science exate,l’orientation sexuelle découle à la fois d’un principe inné génétique comme la bipolarité masculin-féminin et la bisexualité qui en résulte et des conditions sociales environante qui déterminent et orientent l’histoire individuelle et en particulier l’orientation sexuelle en freinant ou en poussant dans un sens ou dans un autre ;,il n’ ya là rien qui ressort du principe psychanalytique d’oedipe freudien .D’autant plus ce principe d’oedipe est le point le plus faible de la psychanalyse freudienne ,et c’est par ce point que les opposant farouches contre Freud l’attaque justement en montrant l’inanité voire même le ridicule de ce principe ,voir le livre de Michel Onfray "le crépuscule d’une idole où il attaque Freud particulièrement sur le point faible du principe d’oedipe .Déjà que la psychanalyse dans la généralité n’est pas une science exacte mais en plus le principe oedippien freudien en particulier possède encore moins le caractère scientifique ;Il n’est qu’à voir la fausseté de l’interprétation psychanalytique de l’autiste tout à fit erronnée car la science a prouvé que l’autisme a une origine organique et génétique.Ceci dit les opposants à la psychanalyse auraient tord de penser que la psychanalyse ne révéle aucune vérité et que même la psychanalyse freudienne garde toujours une certaine valeur ,car l’homme ne se réduit pas à un être purement matériel et individuel ,il est aussi un être social ,un être psychique voire aussi un être spirituel ,et que des maladie psycho-somatiques existent réellement qui n’ont pas qu’une origine purement organique ,la science psychanalytique garde toujours une certaine valeur malgré ses npmbreux errements ,mais elle est encore une science empirique ,une science sociale non exacte .


  • franc 15 novembre 2012 16:51

    De même il est étonnant aussi que vous ne voyez pas le rapport évident entre la philosophie du progrès du sens de l’Histoire marxiste et la théorie de l’évolution en général et même avec la théorie particulière de l’évolution darwinienne ;et cen’est pas parce que Marx et Darwin ne sont pas nés tout à fait dans la même époque que cela fait anachronisme de dire et constater qu’ils puissent émettre des théories ou des principes qui ont un rapport entre eux voire même pourquoi pas élaborer des concepts identiques ,il arrive au cours de l’histoire que des philosphes ou des scientifiques élaborent des concepts ou des principes identiques alors qu’ils ne se connaissent pas et vivent à des époques espacée de plusieurs millénaires ,comme par exemple Pythagore qui dit que tout est nombre et Galilée qui dit que la nature est écrite en langage mathématique ,ou encore quand Héraclite dit que tout est feu et que la science contemporaine dit que tout est énergie ou onde du fait de l’équivalence entre matière et énergie,on ne peut nullement parler d’anachronisme qu’il ne faut pas employer à tord et à travers .

     

    Puisque l’évolution darwinienne se déroule dans le temps et dans l’histoire ,il est évident qu’elle s’inscrit dans le sens de l’Histoire ,et du fait que l’évolution darwinienne se fait dans un sens particulier de l’animal vers l’homme ,et dans dans un sens de complexification et de perfectionnement ,elle s’inscrit de ce fait et logiquement dans le sens positif du progrès de l’histoire marxiste ;cqfd .

    et il me semble que vous confondez le principe de l’évolution historique marxiste avec le principe du matérialisme historique ,ce qui n’est pas du tout la même chose .

    Le principe de l’évolution historique marxiste c’est que le sens de l’Histoire est toujours positif et va dans le sens du progrès inéluctable et inexorable malgré l’apparence désordonnée et incertain voiremême les reculs dans le déroulement de l’histoire qui avance en zigzagant ,mais la théorie marxiste reprend l’optimisme et le déterminisme hégélien de l’Histoire avec la ruse de l’Histoire qui malgré tout par la « Raison a déjà déterminé ses révolutions » (Hegel ,la Raison dans l’Histoire ) 

    le principe du matérialisme historique est une méthode dialectique qui consiste justement à décrire et expliquer l’évolution historique uniquement dans les prémisses des conditions matérielles de l’homme et de la la société , et nulle part ailleurs ,nulle part dans les espaces éthérés et illusoires transcendaux , nulle part dans l’imagination d’une force immatérielle spirituelle supérieure qui surplombe l’humanité et la dirige d’en haut ;le matérialisme historique marxiste s’inscrit totalement dans l’immanence et nullement dans la transcendantalité en affirmant comme Epicure que l’homme est la mesure de toute chose et qu’il n’est besoin d’aucun esprit extérieur pour le comprendre et expliquer son histoire ,ce sont les conditions matérielles du présent dans la nature humaine ,les conditions physiques ,économiques ,psychiques qui explique tout


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