lundi 9 janvier 2017 - par SEPH

Mentez, mentez, il en restera toujours quelque-chose

Parmi les mensonges éhontés que nous imposent les grands médias occidentaux au sujet de la situation en Syrie, voici deux exemples particulièrement significatifs :

 

1 - Bachar prive d’eau potable les habitants de Damas pour le quinzième jour consécutif ?!

 

PNG - 649.8 ko
Deux habitants de Damas portent des récipients en plastique, remplis d’eau, le 3 janvier 2017

 

 1. 1 - Les faits
 À Damas, la pénurie d'eau fait rage depuis maintenant 15 jours. Coupée par les terroristes du Front al-Nosra, rebaptisé Fatah al-Cham, l'eau potable rend la vie bien plus que difficile pour les 5,6 millions d'habitants de la capitale syrienne.  Les autorités sont contraintes à faire passer des camions citernes dans les quartiers de Damas pour approvisionner la population. 

  Selon la chaîne de télévision libanaise al-Mayadeen, les Damascènes, sont, pour le treizième jour consécutif, en quête d’eau potable du fait des terroristes du Front al-Nosra qui ont contaminé au diesel l'eau potable arrivant à Damas depuis la région de Wadi Barada mais aussi d'Aïn al-Fijé, principale source d'eau de la capitale.

 Dans n'importe quel hôpital, il y a au moins 20 à 30 cas d'intoxication tous les jours, explique le Docteur Elias Lahham, chef du service de chirurgie à l'hôpital français de Damas : 
 « Ca fait à peu près 15 jours que Damas est privé d'eau potable. Vous avez de l'eau courante pendant deux heures, tous les quatre à cinq jours, dans chaque quartier. Il y a une véritable pénurie, très sévère. Ce n'est pas une question de déshydratation, mais d'intoxication. Heureusement que ce n'est pas l'été. Le problème, c'est que l'eau que l'on trouve peut-être très polluée. Alors nous avons beaucoup de cas d'intoxication alimentaire ou d'eau potable qui n'est pas pure, qui n'est pas valable pour l'utilisation humaine.  » https://fr.sputniknews.com/international/201701061029476869-qui-empoisonne-eau-habitants-damas-syrie/
 


1. 2 - Évidement pour les médias occidentaux, notamment pour les médias français qui appartiennent à 10 milliardaires : c'est la faute à Bachar, c'est la faute à Voltaire, c'est la faute à Rousseau... !!! https://www.youtube.com/watch?v=xAiny0D59-g

Ainsi selon les médias :

-soit c'est le régime syrien qui prive d'eau potable les habitants de la capitale Damas en bombardant les rebelles !!!!  : http://www.tdg.ch/news/news/penuries-eau-crime-guerre-lonu/story/16021164

-soit ce sont des mesures de rétorsion des rebelles attaqués !!!

Pour le Docteur Elias Lahham, cela ne fait aucun doute : "ceux qui possèdent la main forte sur la source principale, c'est Al-Nosra. C'est le front Al-Nosra qui contrôle la source principale de Damas. D'ailleurs, ils l'ont annoncé : ils ont sorti un communiqué, comme quoi ce sont eux qui contrôlent la source principale. "

 Or, le chef du Front al-Nosra Abou-Hachème al-Tali surnommé al-Qalamouni a écrit sur sa page Twitter que ses hommes étaient bien présents à Wadi Baradi et qu’ils avaient obstrué l'acheminement de l’eau vers Damas.

 La publication de ce communiqué neutralise donc les allégations de certaines parties qui accusent le gouvernement syrien et ses alliés d’avoir violé l’accord du cessez-le-feu, signé entre la Russie et la Turquie et validé par le Conseil de sécurité de l’ONU.

 L’Organisation des Nations unies a dénoncé, jeudi 5 janvier, la privation d'eau potable infligée aux habitants de Damas, la qualifiant d’un « crime de guerre » et avertissant contre l'émergence de maladies diverses.

 

1. 3 - En conclusion

 L'eau est aussi une arme pour les "rebelles modérés" qui n'hésitent pas à empoisonner toute une population : de grands humanistes ces coupeurs de têtes !!!!

 L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) continue à voir les rebelles syriens comme « modérés », même quand ils empoisonnent l'eau près de Damas. En revanche, l'offensive des forces syriennes gouvernementales, en pleine lutte antiterroriste, dans la région de Wadi Barada à 15 km de Damas, inquiète l'OSDH !. Car ce secteur est stratégique puisqu'on y trouve les principales sources d'approvisionnement en eau potable de Damas.

 « Cette zone, un massif calcaire, reçoit des précipitations non négligeables de l'ordre de 400 mm d'eau par an (…) qui servent à alimenter les sources et les nappes phréatiques du bassin de Damas. Ces sources donnent naissance à Barada, un petit cours d'eau permanent, à qui Damas doit son existence », raconte M. Galland, évoquant le cas de la ville d'Ain al-Fijah, victime d'une pollution au diesel : Commentaire radio de Franck Galland (*)     https://soundcloud.com/sputnik_fr/franck-challand-leau-est-aussi-une-arme

  Imaginons les réactions de la presse si Paris était privé d'eau potable par des terroristes ????
 
 

(*)Franck GALLAND est diplômé en affaires internationales de l’Ecole Supérieure de Commerce de Marseille (Kedge business school). Il est actuellement considéré comme l’un des meilleurs experts français sur les questions sécuritaires liées aux ressources en eau.

 

 

2 - La destruction du grand hôpital AL-KINDI qui a eu lieu le 20 décembre 2013 et que les médias dans leur frénésie de mensonges ont attribué, 3 ans plus tard, au « régime Assad » et aux russes.

Avant la guerre, al-Kindi était le meilleur hôpital au Moyen-Orient notamment pour traiter le cancer. Des patients de toute la Syrie et du Liban venaient dans cet établissement réputé.
 

    En Décembre 2013, les rebelles djihadistes ont réussi à capturer le bâtiment après avoir fait exploser deux camions chargés d'explosifs et des dizaines de massacres de soldats qui ont défendu l'endroit pendant environ un an.

PNG - 846.8 ko
Hôpital Al Kindi avant sa destruction par le Front al-Nosra le 20 décembre 2013

 

https://youtu.be/oHOCfJP3wAM : la VIDEO, du 20 décembre 2013, de la destruction de l’hôpital Al-Kindi d’Alep par les "rebelles modérés (**)" qui sont filmés en train de faire exploser l’hôpital d’Alep à l’aide de camions chargés d’explosifs. Puis les terroristes ont incendié l'hôpital.

 Dans la vidéo, on voit ces fous qui beuglent « allah wakbar » de braves combattants de la liberté dont dieu devrait prendre soin selon Fabius "puisqu'ils font un bon boulot".

 

PNG - 694.8 ko
Hôpital Al Kindi après sa destruction par le Front al-Nosra le 20 décembre 2013

 La destruction de l' hôpital Al Kindi par le Front al-Nosra, n’avait pas fait la Une des médias traditionnels.
 Voir la Vidéo  : https://youtu.be/gRw5XEmWaJk

Cette vidéo fait partie des vidéos de folie d'Al-Qaïda ou de Daesh, de destruction, de tueries immondes, même de décapitations explicites et sanglantes, il y en a plein pour témoigner de ce que vivent les Syriens et les Syriennes. Ces nombreux vidéos témoignent de cette agression terroriste INDÉNIABLE que vit la Syrie détruite par la volonté des gouvernement occidentaux et les monstrueuses monarchies du Golfe.

 

 Mais, en Septembre 2016, la Garde républicaine de l'armée arabe syrienne a repris l'hôpital Al- Kindi qui était dans les mains des djihadistes rebelles Halab du Fatah ( nouveau nom d' Al-Qaïda). C’est de cet hôpital que les terroristes pilonnaient au mortier Alep Ouest faisant environ 11 000 morts parmi les civils.

 Alors les médias ont aussitôt accusé le « régime Assad » et les Russes d’avoir bombardé et détruit un hôpital soutenu par l’ONG Médecins sans Frontières à Alep Est.

  • Par
  • Publié

Dans la vidéo on nous explique que les" hôpitaux sont visés et détruits" par l'armée syrienne et les russes : 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/30/97001-20160930FILWWW00163-alep-combats-entre-l-armee-et-les-rebelles.php :
 

 

Voila ce que dit le  docteur Nabil Antaki ( gastro-entérologue syrien qui exerce à Alep) au sujet des informations mensongères : " Nous avions constaté la même partialité quand le plus grand hôpital d’Alep Al Kindi, avait été frappé par les obus terroristes d’al-Nosra, puis incendié intentionnellement en 2013. Nous sommes écœurés et révoltés par cette désinformation permanente."

Bref, encore des illustrations du naufrage du journalisme et du journal Le Monde en particulier qui sont incapables de temporiser pour contrôler une information et pour exiger des preuves. Exemple : http://reseauinternational.net/russie-et-encore-une-fake-news-du-journal-le-monde/



"Mentez, mentez, il en restera toujours quelque-chose. Il faut mentir comme le diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours." (Voltaire, lettre à Thiriot du 21 octobre 1736.)


En références voilà ceux qui alimentent la tuerie et le dépeçage d'un pays depuis six ans. :

 

« La France a fourni des armes à la révolution syrienne dès 2012 »

« Hollande confirme la livraison d'armes aux rebelles en Syrie »

« Nouvelle livraison américaine d'armes aux rebelles syriens »

« Livraison d'armes via la Turquie, une vidéo qui accuse »

« Le Congrès US vote secrètement l’envoi d’armes en Syrie »

« Obama autorise la livraison d'armes aux jihadistes en Syrie »

« L'armée américaine envoie des forces spéciales en Syrie »

« Syrie : Obama ordonne l'envoi de forces spéciales au sol »

« Obama examine ses options militaires contre la Syrie »

« Syrie : Obama demande 500 millions de dollars pour entraîner l'opposition »

« Le Congrès autorise le président Obama à aider les rebelles syriens contre les jihadistes »

« Obama lève les restrictions sur la fourniture d’armes aux groupes armés en Syrie »
...............

Un jour, il faudra bien que ces gens-là rendent des comptes pour leurs crimes.



14 réactions


  • xana 9 janvier 2017 16:19

    Merci Seph. Rien a ajouter.


  • François Vesin François Vesin 9 janvier 2017 16:52

    « Un jour, il faudra bien que ces gens-là rendent des comptes pour leurs crimes. »


    Pour autant qu’un tribunal français soit un jour saisi,
    Fabius à déjà fait circuler la ligne de défense à adopter :
    responsables (de négligences) mais pas coupables !

    • V_Parlier V_Parlier 9 janvier 2017 17:09

      @François Vesin
      Je pense hélas qu’il n’aura même pas besoin de ça. On oubliera...


    • xana 9 janvier 2017 17:27

      @François Vesin

      Cela ne pose aucun problème.

      Leurs complices sabotent les lois sous nos yeux dans l’espoir qu’aucun tribunal ne pourra les condamner. Mais il est clair que ce code pénal truqué sera révoqué au profit d’une justice populaire le jour où le peuple reprendront les rênes du pays.
      Gageons qu’alors ils pourront être pendus dès lors qu’il sera établi qu’ils ont répandu de fausses informations et trompé la population au bénéfice d’une puissance étrangère, et cela sans que des avocats trop bien rémunérés viennent sauver la peau des plus riches sous prétexte de prescription, de santé précaire ou même d’absence de loi au moment des fait.

      Fouquier-Tinville n’ a pas eu besoin des vieilles lois de l’ancien régime pour envoyer à la guillotine ceux qu’il estimait être des traîtres. Espérons que ses successeurs auront plus de discernement mais seront tout aussi déterminés à nettoyer la société. Elle en a bien besoin.


  • baldis30 9 janvier 2017 20:49

     « L’eau est aussi une arme pour les »rebelles modérés«  »

     ne saviez-vous pas qu’ils font du bon boulot ?

     smiley  smiley


  • SEPH SEPH 9 janvier 2017 21:50

    MAIS POURQUOI LES MÉDIAS OCCIDENTAUX N’ONT PAS INTERVIEWÉ LES HABITANTS D’ALEP EST ? et pour cause.

    Un journaliste de Sputnik rapporte le témoignage suivant :

    Le visage couvert d’un voile, une habitante d’Alep-Est raconte la descente aux enfers qu’elle et de nombreuses autres femmes ont connue alors que la ville était aux mains des rebelles modérés :

    "« De quoi suis-je coupable ? » C’est par cette question que la jeune habitante d’Alep-Est commence son histoire effrayante. Elle est parvenue à quitter la ville pendant l’évacuation, mais les terribles souvenirs la hantent toujours : les femmes ont beaucoup souffert lorsqu’Alep-Est était sous contrôle des terroristes. Il ne s’agit pas seulement de la famine que tous les habitants ont subie. Meurtres, viols, mariages forcés : les femmes d’Alep en ont vu de toutes les couleurs. Et si une d’entre elles s’insurgeait, elle a été lapidée.

    « Si une femme voulait épouser un homme qui n’appartenait pas à l’organisation terroriste, on la battait, la jetait dans une fosse ou en prison. On pouvait la lapider ou décapiter »,  Pendant les années de siège, les terroristes faisaient la loi dans la ville. Sans forme de procès, ils exécutaient ceux qu’ils soupçonnaient de crimes.

     On montait le criminel présumé aux étages supérieurs d’un bâtiment et on le jetait depuis le toit. « S’il survivait, on le jetait encore, jusqu’à ce mort s’ensuive », poursuit la femme. « Nous ne pouvions pas vivre une vie normale, confie-t-elle, les femmes avaient l’interdiction de travailler ».

     Dès qu’une femme plaisait à un terroriste, ils concluaient rapidement un mariage musulman (nikah). Il arrivait que des unions de ce type ne durent que quelques heures et qu’une fois enceinte, la femme se retrouve à la rue. « Elle accouche d’un enfant dont le père est un terroriste.

     Mais s’il est interdit de travailler, comment le nourrir ? Tout le monde sait d’où vient cet enfant. Comment vivre ? », s’interroge l’habitante d’Alep. « On nous intimidait. Une voiture passe près de vous, une fenêtre s’ouvre et vous voyez une main qui tient par les cheveux la tête coupée d’une femme », poursuit-elle. La jeune femme n’a que 21 ans, mais l’histoire de sa vie dans la ville assiégée rappelle elle un film d’horreur.

    Les terroristes ont tué son mari d’une balle dans la tête et emporté son corps en Turquie. « Ils ont extrait les organes et me l’ont rendu après. Le corps sans organes avait été mis dans un sac. Le corps avait été cousu comme un sac », raconte l’interlocutrice. Quant à son fils, les terroristes l’ont enlevé en affirmant que l’enfant n’appartenait qu’à eux.

     Pour la dernière fois, l’habitante d’Alep l’a vu il y a deux ans. Sa sœur a vécu la même histoire. "
    Référence  : https://fr.sputniknews.com/international/201612211029285868-alep-femmes-terroristes/


    De brave gens, ces rebelles modérés qui sont chéris par les médias occidentaux !!!!!


    • SEPH SEPH 9 janvier 2017 22:00

      @roman_garev
      Oui vous avez raison, car il y a tant de falsifications, de mensonges au sujet de la Syrie et de tout le Moyen-Orient qu’il faudrait mille et un articles n’y suffiraient pas !!!!!!!


    • SEPH SEPH 9 janvier 2017 22:02

      @SEPH
      erratum : Oui vous avez raison, car il y a tant de falsifications, de mensonges au sujet de la Syrie et de tout le Moyen-Orient que mille et un articles n’y suffiraient pas !!!!!!!


  • Francis, agnotologue JL 10 janvier 2017 09:07

    ’’des terroristes du Front al-Nosra qui ont contaminé au diesel l’eau potable arrivant à Damas’’

     
    Le Diesel est un type de moteur à explosion. Le gas-oil est le carburant utilisé par ce type de moteur.
     
     Est-ce que le diesel qui a servi à polluer les eaux ne serait pas du gas-oil mais autre chose ?

    • Francis, agnotologue JL 10 janvier 2017 12:24

      @roman_garev
       

       ’’Quelle « autre chose » possible sauf le gas-oil y voyez-vous ?’’
       
       Si c’est si évident, pourquoi l’auteur n’emploie-t-il pas ce mot ? C’est à lui que je posais la question.

    • SEPH SEPH 10 janvier 2017 21:01

      @JL

      Vous avez mille fois raisons, c’est du gas-oil qu’il faut lire.

      Polluer de l’eau potable pour prendre en otage une ville est un crime. Ceci quelque soient les polluants.


  • SEPH SEPH 11 janvier 2017 20:10

    Dernières informations au sujet de l’approvisionnement en eau de Damas :

    Une source officielle syrienne a fait part de l’arrivée à Wadi Barada d’une mission militaro-sécuritaire pour la mise en application de l’accord de cessez-le-feu et le nettoyage de cette localité de la présence des terroristes. 

    « Le délai de 72 jours accordé par le gouvernement syrien aux hommes armés a pris fin mardi 10 janvier avec les actes de sabotage commis par les groupes terroristes commandités par le Front al-Nosra. Ces groupes s’opposent à l’entrée des équipes de reconstruction qui veulent réparer les réservoirs d’eau potable d’al-Fija », a rapporté le correspondant de Tasnim à Damas citant un responsable du gouvernement syrien.

    « Jusqu’hier tous les efforts étaient inefficaces, mais aujourd’hui nous sommes parvenus à un accord de réconciliation avec quelques cités sur la division de Wadi Barada en 2 parties pour et contre la réconciliation », a ajouté cette source.

    « Le gouvernement préfère avoir un seul dossier à ce propos. Malgré l’entêtement des hommes armés, certains villages ont accepté de participer au projet de réconciliation », a-t-elle précisé.

    Sur les 11 villages de Wadi Barada, 7 sont pour la réconciliation. La mission attend l’accord final avec ces villages.

    « Aujourd’hui nous attendons de bonnes nouvelles, si les hommes sont armés l’accord s’appliquera à 7 villages de Wadi Barada. La situation des hommes armés y sera réglée et ceux qui ne souhaitent pas la réconciliation se rendront à Idlib », a indiqué cette source. !!!!




  • SEPH SEPH 12 janvier 2017 10:55
    Un accord de principe sur la remise des armes des éléments armés à Wadi Barada  :

    le 12 janvier 2017

    Le gouverneur de la province de Damas a fait part de l’accès à un accord de principe avec les chefs des groupes armés à Wadi Barada en vue d’examiner la situation de certains éléments armés, leur évacuation et transfert à Rif-Idlib.

    Selon la chaîne Al-Alam, le gouverneur de la province de Damas, Ala Ibrahim, a tenu à souligner qu’en vertu d’un accord avec les groupes armés à Wadi Barada, ils remettraient leurs armes aux autorités syriennes et qu’ils seraient évacués vers la province d’Idlib.

    Ce sont les unités de l’armée syrienne qui interviendront dans le but de procéder à une opération de déminage et de désamorçage des bombes.

    « Les équipes de maintenance et de réparation entreront dans la région d’Aïn al-Fija pour réparer les dégâts infligés aux stations de pompages d’eau et aux canalisations par des attaques des groupes terroristes », a dit ce responsable syrien.

    Il a également précisé que les chefs des groupes terroristes mettraient la pression sur des éléments armés étrangers pour qu’ils quittent la zone de Wadi Barada et que les possibilités de l’application de l’accord avec les groupes armés seraient annoncées dans les prochaines heures.


Réagir