Mutation du banditisme, une bombe infernale sous nos pieds
Les temps ont bien changé depuis l’époque des parrains historiques, ces gens du milieu qui se targuaient d’avoir un code d’honneur, usurpé au demeurant, mais néanmoins rassurant pour les braves gens que nous sommes, puisque le meurtre, plutôt exceptionnel, résultait le plus souvent, soit, de règlements de comptes entre malfrats fichés au grand banditisme, soit, de bavures survenues lors d’un braquage.
Aujourd’hui, si le cadavre du petit matin n’est pas encore devenu routine, il n’appartient plus guère au milieu. La lente transformation des bandes des cités sensibles en gangs hétéroclites - pour le coup, sans aucun code d’honneur - semble bien à l’oeuvre.
Rarement homogènes sur le plan ethnique, ces bandes se sont constituées sur un schéma simple : l’appartenance au territoire, la barre de HLM, la Cité. C’est du moins la règle, au début du parcours.
Nourris aux images ultra violentes des rappeurs US et de leurs vidéos trash, de jeunes français, à 89% d’origine africaine, se signalent par l’extrême violence de leurs actes, lorsqu’ils sont en bande. Une violence sans frein, banalisée par une tolérance coupable et qui s’alimente du climat paranoïaque (rivalités entre bandes par web interposé) et de la dialectique "no future" inventée par des intellectuels en mal de repentance. Un climat délétère qui pousse certaines de ces bandes à la radicalisation, avec des revendications aussi préoccupantes que confuses.
Tout le monde a encore en mémoire le fâcheux épisode du gang des barbares et 2009 a vu une augmentation des règlements de comptes à l’arme à feu entre gangs des cités. Il est à craindre que tout ceci ne soit que prémisses d’une vague plus ravageuse encore. Nul ne peut ignorer que, dans certains quartiers, les digues ont cédé, et aujourd’hui, ce sont les travailleurs sociaux, totalement dépassés, qui le disent.
L’an dernier, à la même époque, j’avais souri à cette parole aussi désabusée qu’ironique d’un éducateur de rue "On est en train d’abandonner la place aux barbus, et je leur souhaite bien du plaisir..."
Plus inquiétant est le phénomène d’armement endémique. De canif, on est vite passé à la béquille, puis au gourdin à clous, jusqu’aux armes à feu, qui s’entassent tranquillement, au fil des mois, dans les caches au fond des caves. Pas seulement dans l’attente d’un bout de territoire à défendre ou d’un règlement de compte pour un motif futile, un oeil oblique, une intrusion en territoire, mais aussi pour défendre une certaine économie parallèle qui fait vivre dorénavant bon nombre de familles, à la lisière de la complicité active.
Alors, une arme, quelle qu’elle soit, dans les mains d’un jeune décérébré, ne change rien à l’affaire, qu’il s’agisse d’un oeil oblique ou d’une dette de dealer non honorée, dès lors que les freins ont lâché, la mort banalisée, le meurtre célébré et élevé au rang de glorieux fait d’armes.
Certes, le phénomène est à relativiser, la jeunesse des cités n’étant pas toute, loin de là, au diapason de cette escalade. Pour autant, on voit bien qu’il n’y a pas grand monde pour se risquer à briser la loi du silence.
Il est constant d’observer que l’émotion et la rage ne s’expriment que lorsque qu’une balle perdue dézingue un gamin innocent de la Cité. Un gamin trop souvent livré à lui-même au milieu des requins. Et la ménagère de déplorer que minuit passé, la dalle de son immeuble se transforme en champ de tir, oubliant du même coup sa propre responsabilité de parent qui ne craint pas de laisser son enfant de dix ans jouer au milieu des caïds, sans surveillance aucune, à point d’heure.
Des minots qui observent le manège des grands frères et singent à leur tour leurs mauvaises manières, mimant la mise en joue, flingue (en plastique) tenu à l’horizontale ; "vu à la télé". Pour certains, un futur noir qui se dessine en filigrane.
Pour l’heure, la police alterne surveillances à la jumelle et opérations coup de poing ciblées sur les dealers essentiellement. Il s’agit de loger les fauteurs de trouble et d’interpeller les auteurs de délits.
Si beaucoup de ces jeunes opèrent au grand jour, à l’image de cette bande d’arracheurs de Saint-Denis, rassurés par leur impunité "relative", d’autres, ceux qui notamment ont mis un pied dans le grand banditisme, récitent leurs gammes en silence et à l’abri des regards.
Un silence assourdissant....
213 réactions
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Reinette
13 janvier 2010 12:51
eh ! oui
Imaginez un peu, avoir un pote qui habitent dans un ces endroits gangrenés par les bandes ; ce pote ne peut pas nous invités chez lui, car nous sommes « étrangers » dans sa cité, et il ne veut pas nous faire prendre le risque d’être emmerder !
Alors si nous voulons nous voir, c’est toujours lui, notre pote prisonnier de sa cité, qui se déplace.
Alors, si on trouve cela « normal », c’est sûr c’est mal barré !
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kitamissa
12 janvier 2010 17:49
c’est justement ce que j’allais leur demander ...
leur vision à eux de ce problème de société,et les bonnes excuses qu’ils trouvent pour fermer les yeux devant ce qui est pourtant un évidence ! -
Albatar
12 janvier 2010 17:50
La violence n’est pas si grandissante que ça. Simplement elle est plus diffusé à la télé pour faire flipper le citoyen lambda.
J’ai trente piges, grandi dans le 93, pas de casier, un jeunesse plutot stable quoique marquée parce que j’y ai vu.
En l’espace d’une scolarité (de 1991 à 1999) de la 6ème au BAC, j’ai assisté à 3 fusillade devant mes divers établissement scolaire, et je pense que chaque gamin de ce putain de département a assisté à une au moins devant son école. A mon époque on avait une statistique, un jeune sur trois possédait une arme à feu (même grenaille ou gom cogne) dans le cité et un sur 10 un fusil à pompe. Il faut savoir que 1998 a marqué un changement pour l’acquisition d’un fusil à pompe, puisqu’auparavant c’était un fusil de chasse (comme un 22) qui ne nécéssitait pas de permis. Je vous rappelle que pendant un an, en 1998 ou 1999 je crois, la pratique du football en club a été interdite dans tous le 93 pour des raisons de fusillade !!!! Je vous parle de ça, sans jamais avoir réellement été dans le camps des « mechants », juste un gosse parmis les autres qui allait à l’ecole qui jouait au foot et qui n’avait pas des parents riches.
J’ai vu un ami à moi, devoir 800 franc de coc à un autre se faire choper, mettre un perruque et tapiner de force par son dealer (qui était aussi un ami à moi) pour récupéré l’argent. Des histoires à l’arme blanche il y en a toujours eu. Des histoire comme le cas Ilan, il y en a souvent eu, il se trouve que la sequestration dans une cave est reservé soit à ceux qui poukav (denonce) soit à ceux qui essaye de carot. Ilan, a priori n’avait rien de cela et sa sequestration était gratuite, la ou habituellement elle paraissait justifiée par une vengeance....
Quand on était jeune on avait l’habitude de dire que chaque département avait sa spécialité, le 92 c’est la bicrav (vente de drogues) le 94 c’est les braquage, et le 93 les agressions. Aujourd’hui rien à changé mais on vous vend de la peur.
Si les rue des Paris aujourd’hui sont beaucoup mieux fréquentés qu’à mon époque....
Croire que la violence est grandissante, c’est déjà se laisser influencer par la propagande sécuritaire Sarkozyste. La seule chose qui a réellement chnagé c’est que les gosses commencent deux ans plus tot.....-
Albatar
12 janvier 2010 18:13
C’est ton point de vue, mais je te confirme que si dans le nombre il y avait peut etre plus de personnes issies de l’immigration africaine c’est tout simplement parce qu’il y a plus de pauvres en Frances qui proviennent de cette région la.
Sinon des allumés, j’en ai vu de toutes origines : portugais, asiatique, serbes, francais (aussi et oui !!!!) juif , reubeus, renois..... Les seuls que j’ai jamais vu foutre la merde c’est les indous.... -
Albatar
12 janvier 2010 18:14
ET je teparle meme pas des gitans.
Il n’y pas de couleur d’origine ou de religions pour foutre la merde, il y a les pauvres et puis les autres.
Un pauvre il fout la merde parce qu’il est pauvre. Si vous trouveez qu’il y a trop de noir et d’arabes qui foutent la merde, c’est peut etre que le pays dans lequel on vit fait en sorte que les noirs et les arabes restent pauvres. -
Reinette
12 janvier 2010 19:36
J’ai vu un ami à moi, devoir 800 franc de coc à un autre se faire choper, mettre un perruque et tapiner de force par son dealer (qui était aussi un ami à moi) pour récupéré l’argent. Albatar
on connaissait les tournantes
mais celle-ci, elle n’est pas banal ! -
morice
13 janvier 2010 01:11
Un pauvre il fout la merde parce qu’il est pauvre. Si vous trouveez qu’il y a trop de noir et d’arabes qui foutent la merde, c’est peut etre que le pays dans lequel on vit fait en sorte que les noirs et les arabes restent pauvres.
j’applaudis.
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morice
13 janvier 2010 01:12
venir se vanter d’apprécier les assassinats ciblé... ça rappelle des gens ça....
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Hubba Bubba
12 janvier 2010 18:13
le sommet de la vacuitée,article nul ......enfin tout s’explique c’est du yohan.
pauvre france :(
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Reinette
12 janvier 2010 18:20
MAIS PUISQUE les « avocats commis d’office d’AV » vous disent que TOUT va bien !
quoi ?
« Des jeunes sont passés du jet de pierre, du caillassage au « gomme-cogne » (avec des balles de caoutchouc), au pistolet d’alarme, au fusil de chasse et à des armes à feu qu’ils utilisaient lors d’affrontements entre eux et qu’ils retournent aujourd’hui contre les forces de l’ordre. » et Les bandes dangereuses augmenteraient donc, et sur fond d’un lien de plus en plus étroit entre trafic de drogues et d’armes.
c’est d’un banal ! on va pas chipoter pour si peu, voyons !
Comment ?
Le maire de la Courneuve, Gilles Poux, estime que « cette escalade préoccupante dans la violence n’a plus rien à voir avec la petite délinquance mais avec le banditisme. Les trafiquants sentent qu’ils perdent une partie de leur territoire. Cela augmente objectivement les tensions. » Et ce malgré l’installation, il y a un an, d’une Unité territoriale de quartier, la nouvelle police des quartiers.
les avocats commis d’office d’AV devraient porté plainte contre ce salaud raciste de maire ! -
Reinette
12 janvier 2010 18:31
Les Corses devraient portés plainte pour propos raciste - c’est inacceptable !
Francis Mariani, fiché au grand banditisme et en fuite depuis mars 2008, a été identifié comme l’un des deux hommes tués dans l’explosion lundi d’un hangar en Haute-Corse. L’homme était considéré par les milieux judiciaires et policiers comme un membre du gang bastiais de la « Brise de mer ».
http://www.france-info.com/france-justice-police-2009-01-16-le-grand-banditisme-corse-en-deuil-238776-9-11.html
Messieurs les avocats commis d’office d’AV qu’attendez-vous ? -
Reinette
12 janvier 2010 18:39
Certains de vous, Messieurs les avocats commis d’office d’AV, étiez nombreux, a bien préciser à chacun de vos commentaires, dès fois qu’on l’oublierait, que Bernard Madoff, lui, est « Juif »
Faut-il ressortir vos articles et commentaires ?
Quelle brochettes d’hypocrites vous faites !-
LeGus
12 janvier 2010 19:13
« Faut-il ressortir vos articles et commentaires ? »
On vous en prie, trouvez en chez moi, puisque je vous-y invite.
Sans quoi, vous ne m’empêcherez pas de dire que vos allégations sont calomnieuses.
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Reinette
12 janvier 2010 23:27
Legus
Pourquoi ? vous vous êtes senti visé ?
êtes-vous avocat commis d’office d’Av ? -
morice
13 janvier 2010 01:14
Certains de vous, Messieurs les avocats commis d’office d’AV, étiez nombreux, a bien préciser à chacun de vos commentaires, dès fois qu’on l’oublierait, que Bernard Madoff, lui, est « Juif »
aucun rapport et ça n’a pas été dit ici par des intervenants : vous faites votre technique habituelle là ..... -
Reinette
13 janvier 2010 12:20
Morice,
au lieu de venir baver vos haines et faire des commentaires inutiles qui ne font pas avancer le débat sur un article sérieux, vous devriez plutôt « essayer » de tenir correctement vos propres fils de discussion sous vos article qui partent en couilles.
Pour pour exemple, observez les auteurs qui, eux, tiennent correctement leur fil sous leurs articles !
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hunter
12 janvier 2010 19:01
Bonsoir à tous
M l’ l’auteur :pourriez-vous donner la source, l’origine, de votre donnée numérique citée, à savoir à 89% d’origine africaine ?
INSEE ? POLICE ? Quelque officine gouvernementale moins connue (si oui laquelle ?)Je m’étonne que jamais personne ne se soit posé cette question : dans un système social qui exacerbe (attention volontairement je résume, j’ai pas trop le temps va falloir que j’aille nourrir les chiens là) :
A-) la concurrence, la réussite (qui se mesure au nombre de zéros sur les comptes bancaires)...
la consommation comme philosophie de vie (bagnoles, télés, gens......) :conférer le cancer publicitaire et ses nombreuses métastases.....
C-) La célébrité, même si t’as pas le QI de ma chienne (et ma chienne est pourtant très douée pour...une chienne), mais que tu sais taer dans une baballe (ma chienne le fait aussi très bien), alors t’auras plein de thunes, tu baiseras plein de meuf toutes plus bonnes les une que les autres, et tu rouleras en Ferrari.
D-) la violence, violence quotidienne du monde du travail, de l’aliénation du salarié, des mecs qui cognent leurs conjointes, j’en passe et des pires.....Tout en sachant que : le dit système social prouve chaque jour un peu plus,son incapacité grandissante à permettre à une majorité de gens de pouvoir rejoindre son modèle !
Toujours pour résumer, c’est quoi la vie qu’on nous vend :
Bosse !
Gagne du pognon !
Tu pourras consommer !Avec les corolaires suivants :
Faut commencer par trouver du boulot qui paye correctement , ou alors avoir la possibilité d’appliquer la maxime de l’autre qui a oublié de bouffer ses cachets de ritaline quand il était petit (et sans doute moins con, quoi que...), et qui je le rappelle pour nos amis de Province (dont je fais partie), réside dans un charmant quartier de la capitale, pas loin de la jolie place de la Concorde : travailler plus pour gagner plus !
Tout en sachant aussi que :
suite à des erreurs de jugement faîtes par des dirigeants du passé (juste plus cultivés que les actuels, mais tout aussi incompétents), il a été décidé de regrouper des gens dont la communauté avait besoin, des hommes, des femmes des êtres humains quoi, auxquels furent promis monts et merveilles, pour venir se consacrer à des tâches passionnantes comme, vider des pobelles, fabriquer des bagnoles à la chaîne, et autres joyeusetés !
Ces gens,dont je rappelle, nous avions besoin, se sont installés là ou on adécidés de les placer (le « on » = volonté politique), c’est à dire dans des quartiers souvent crées ex-nihilo, loin de tout, bon parce que fallait pas charier quand même, qu’ils viennent bosser d’accord (quoi que....), mais on allait pas en plus en faire des voisins non ?
Bon, ces braves gens se sont accomodés de ça, ills ont bossés, beaucoup, dur, ils ont permis à ce pays de se sortir d’une certaine mouise.
Ils ont choisi de rester ici, ils se sont aimés, on eu ds enfants....bref, rien de bien compliqué quoi !Mais ce qu’oublient beaucoup de gens, et en particulier vous Monsieur l’auteur, c’est qu’entre temps, la monde a changé !
La France, notre pays, était avant tout une nation paysanne, et il a fallu dare dare se ranger dans un modèle importé, qui n’était pas vraiment le sien à l’origine !
Et ce beau modèle, à grand renfort d’idolâtrie du pognon, de la consommation, de mise en concurrence des gens, de la compétition, a lui aussi évolué en ce que l’on connaît maintenant !
La deuxième différence : les enfants nés de ces immigrés, citoyens français comme vous, comme moi, en plus, on été élevés avec ce modèle à la con, cette dérive prédatrice !
On leur a fait croire qu’eux aussi auraient d taff, eux aussi pourraient consommer, fallait juste rentrer dans le système !
Sauf que bon, on connaît la suite ! Le beau système ne marche pas bien ! au fil du temps il se dérègle, il part en couilles ! pourquoi ?
-bah, t’as un nom bizarre, t’habite un sale quartier, et même ta couleur de peau là, c’est pas l’idéal !
Tu risques d’effrayer mes clients- Alors je ne suis pas engagé ?
- ben non ! Désolé hein ?
- Alors comment je vais faire pour avoir du pognon, acheter des bagnoles, baiser des meufs moi ?
- ben j’sais pas ! essaies de trouver du taff ailleurs ?
- Mais ça fait 150 offres d’emplois où je postule, et où on ne me prend pas. Pourtant j’y suis allé à l’école, je les ai les diplômes....
Et la télé continue de matraquer ses messages de réussite, et ses tentations. : achète, consomme, ma bagnole c’est l’meilleur piège à meuf, quand tu mets mon déodorant, elles tombent à tes pieds, vas-y soit un winner, comme les p’tits gars de Wall Street, regardes le modèle US (Beverly Hills bien sûr, pas les quartie en friche de Detroit), allez c’est ça la vraie vie !
Mais pour tout ça, il faut de la thune...
Alors, bien nourris aux valeurs prédatrices de notre si beau système, ben is font quoi les mômes ?
Ils deviennet des business men ! ils vendent de la came, et après quelques temps, ils roulent en très belle caisse, ils baisent des bonnes meufs et se sapent mieux que les ministres !Qui dit business dit concurrence, donc quand ils règlent des comptes, en fait ils combattent des concurents, c’est tout !
Bon certes, eux ils y vont au gun, mais les règlements de compte en col blanc, à coup d’OPA, c’est ben violent aussi !
Donc en fin de compte, on récolte ce qui a été semé !
Changeons les valeurs pourries et corrompues qui gouvernent nos sociétés, et le problème sera minoré !
CQFD
Cordialement
H /
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Yohan
12 janvier 2010 19:20
Source d’un sociologue. De toute façon si je vous la donnais, vous diriez comme d’hab que c’est du pipeau. Sinon je peux aussi vous donner « source de ma concierge »
Lisez donc ça plutôt, c’est plus soft mais c’est clair -
pyralene
12 janvier 2010 20:00
M l’ l’auteur :pourriez-vous donner la source, l’origine, de votre donnée numérique citée, à savoir à 89% d’origine africaine ?
INSEE ? POLICE ? Quelque officine gouvernementale moins connue (si oui laquelle ?)Celles de Soral.....et de l’extrème droite en général....
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Reinette
12 janvier 2010 21:47
De Belleville au 13e arrondissement de Paris, en passant par certaines villes de province, Mohamed Sifaoui et Jean-Pierre Boka ont ainsi rencontré des « hommes d’affaires » mais aussi des voyous issus de cette même communauté asiatique afin d’aborder les questions touchant à l’immigration clandestine, au travail au noir, et à la prostitution.
La communauté asiatique va t-elle accusé Mohamed Sifaoui et Jean-Pierre Boka de faire de la discrimination ! ? -
pyralene
12 janvier 2010 23:39
Mohamed Sifaoui
un voyou qui rencontre un autre voyou....la pire des racailles !...il vendrait sa mère !
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Yohan
12 janvier 2010 19:23
extrait :
C’est une vérité cadenassée par la loi républicaine, limitée par le risque d’exploitation politique, verrouillée par la peur d’une stigmatisation et étouffée par le politiquement correct. Les enfants d’immigrés sombrent apparemment plus souvent dans la délinquance que les autres Français. Comment évoquer sereinement ce phénomène ? Le passé colonial de notre pays, de même que l’utilisation de fichiers raciaux sous le régime de Vichy et, depuis une trentaine d’années, le discours xénophobe du Front national ne facilitent guère une analyse rationnelle de la situation. Quelques voix - sociologues, criminologues, policiers ou politiques - commencent à aborder la question. L’Express a tenté de le faire, sans tabou ni idéologie.
Les voyants sont au rouge, mais les statistiques sont muettes sur le sujet. Le seul distinguo autorisé par l’administration porte en effet sur la nationalité, et non sur l’origine. Chaque année, les étrangers représentent environ 20% des délinquants (1). Mais les chiffres masquent une réalité autrement plus dérangeante, plus difficile à cerner aussi. Longtemps, on a cherché à cacher, maladroitement, la surreprésentation des enfants de l’immigration, pourtant visible, au motif qu’ils sont d’abord des enfants de la France. Sous le gouvernement Jospin, des consignes non écrites ont même été passées aux services de communication de la police. « On nous demandait de ne citer aucun prénom, se souvient un communicant de l’époque. C’était considéré comme trop stigmatisant. »
Cependant, les policiers de terrain le constatent depuis des années. Et, aujourd’hui, ils s’inquiètent notamment de l’agressivité de jeunes Blacks, en échec scolaire, coupés de tous repères familiaux. « Les Noirs que nous interpellons se manifestent par une violence instantanée, constate un commissaire en poste dans une banlieue sensible. Ils sont fréquemment impliqués dans des vols à l’arraché ou des vols à la portière. Tandis que les Maghrébins, par exemple, sont plus structurés, autour des réseaux de drogue. » Les émeutes en banlieue, en novembre 2005, ont jeté à la face du monde l’image de jeunes Français d’origine étrangère, harcelant les forces de l’ordre et incendiant des voitures.
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LeGus
12 janvier 2010 19:41
Ouais, l’inspirateur du texte est Alain Bauer
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_BauerEn bref vous nous faites la version hardcore du discours du conseiller en sécurité de Sarko.
Pourquoi ça m’étonne pas ? -
LeGus
12 janvier 2010 20:51
@Balthasar,
Bien vu Tarnac
http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/12/03/l-obsession-de-l-ultragauche_1126282_3224.html
Cordialement.
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morice
13 janvier 2010 09:24
Les émeutes en banlieue, en novembre 2005, ont jeté à la face du monde l’image de jeunes Français d’origine étrangère, harcelant les forces de l’ordre et incendiant des voitures.
l’enquête des RGs a démontré que le mouvement n’ETAIT PAS STRUCTURE ! vous mentez comme ment Bauer pour vendre ses services de sécurité : Bauer fait FORTUNE avec les municipalités et vous lui remplissez les poches avec votre cerveau de caillou ! -
Yohan
13 janvier 2010 13:01
Heuirreusement encore qu’il n’est pas structuré, sinon ce saurait un association de malfaiteurs.
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foufouille
13 janvier 2010 13:49
en parlant de 2005 .........
sept a huit avait passer une camera cache sur une patrouille de la police devant le kebab
le genre :
ta gueule
tu veut griller dans un transfo edf ?
t’as qu’a rentrer dans ton pays
plus ca pete plus on est content, on peut vous tabasser
le pas blanc controle travaillait et payait des impots
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Yohan
12 janvier 2010 21:53
La technique bien connue des extrémistes islamistes est justement de diaboliser tout écrit qui décrit les réalités qui vous gênent. A court d’argumenst sans idées pour répondre au fond du sujet Abdel et sa clique d’islamo gauchistes déroulent leurs rouleaux de papier cul
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morice
13 janvier 2010 01:17
extrémistes islamistes
on est tous poseurs de bombes là...décidément, c’est de la parano et de la folie chez vous !
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Reinette
12 janvier 2010 21:17
Big Mac
Entièrement d’accord avec vous, même si je l’ai exprimé autrement, je pense que notre analyse est la même !
Voyez-vous, pour les Rroms, c’est pareil, tout le monde leur tombe dessus (qu’ils soient coupables ou non de quelques méfaits), mais on entend rarement « nos antizionistes les défendre - très »curieux" phénomène ! -
morice
13 janvier 2010 01:18
Depuis des mois sur ce site de tristes individu se permettent de traiter de juif quiconque les contredit,
arrêtez votre cirque de fausse victime ! ça n’est pas dit, et vous nous cassez les oreilles avec vos inventions ! -
morice
13 janvier 2010 09:25
Pas un des anti-racistes ne vient nous expliquer les causes de la complaisance voire la complicité avec ce racisme ouvert qui dure depuis des mois ?
vous voulez parler des articles de Yohan je suppose ? -
Emile Red
13 janvier 2010 12:27
« Qui sont ces gens qui voient du racisme là où il n’y en a pas ou peu »
Voilà que le racisme est quantifiable avec cordon bleu ou rouge selon.
Un enfoiré de raciste est un raciste, point barre.
Je suis scandalisé de voir des gens qui sous prétexte d’agression verbale plus ou moins fantasmée viennent déverser une haine sans nom sur une ethnie, un peuple ou une nation, s’entend aussi par l’amalgame religieux ou culturel.
Lire les insanités fangeuses d’un tel article me révolte, le mensonge, la manipulation,les procés d’intention sont des moyens de lache et de veule.
Qui a vécu en banlieue à Paris dans la zone ou dans les abords de grandes villes de l’après guerre à aujourd’hui sait que rien n’a changé dans le fond et que la délinquance s’est toujours alimentée d’elle même de génération en génération sans plus de couleur ethnique que d’autre artifice outrancier.
On oublie volontairement les chaînes de vélo, les crans de nos loulou des fifties, on oublie volontiers les bals de village ravagés par les blousons noirs en malag ou testi, les coups de fusil les ratonades dans les sixties, les morts qui ont jonché les entrées de boîte, les chasses à l’homme de ceux qui sont devenus ministres depuis, dans les seventies....
La violence existait du temps de Clovis, de François 1er, de Ravaillac, de la cours des miracles, de Mandrin des Chauffeurs et ne s’est jamais départie de la misère et du groupe, comment avoir un esprit assez tordu et pervers pour vouloir coiffer uniquement la tête de peuples dont délibérement, on veut tout ignorer.
La violence c’est ceux qui écrivent de telles insanités qui la suscitent, ce sont eux les responsables sous le déferlement de leurs haines et de leurs peurs d’animaux sans âme.
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hunter
12 janvier 2010 21:05
A l’auteur,
Ah bon M Bauer est un sociologue ? A h j’ignorais.....
bon je vous laisse, car comme je suis en train de créer la fusion à froid, j’ai des expériences sur le feu là !
Balthasar1er, merci pour vos excellentes sources !
Bien cordialement (pour Balthasar,) parce que l’auteur.....si je vous qualifiais de cet adverbe, je serai un gros hypocrite, mais continuez, continuez votre petite propagande, joignez votre petite pierre à l’édifice de division, si bien servi par nos grands responsables politiques !
C’est bien,ça va aboutir à quelque chose, même si je ne suis pas sur que des gens comme vous y seront gagnants M l’auteur !
Enfin, nous verrons bien.......
Un dernier mot tout de même, à ceux qui tombent dans le panneau des puissants :faîtes comme eux, relisez Machiavel !
Mathématiquement ça donne :
- Pouvoir politique, économique, grosses fortunes, évasion fiscale, toujours plus de pouvoir toujours plus de thunes = 10% de la population mondiale
- ceux qui bossent, qui s’aliènent, qui souffrent, qui galèrent, salariés chômeurs, emplois précaires, travailleurs pauvres = Le reste de la population mondiale, soit 100-10 !
Sans ces 90 % et ce pour quoi on les destine, les autres 10% n’existeraient pas !
Si ces 90 % se rendent compte de la situation réelle dans laquelle ils sont, et si jamais ils s’organisent, vu leur nombre, les 10 % qui vivent d’eux, ne feront pas long feu !
Ils le savent bien, ce sont des ordures, mais pas des crétins !
Alors leur première stratégie, c’est Machiavel :« Diviser pour mieux régner », ça c’est la traduction en Français.
En anglais ça donne : « Divide and conquer » !
Plutôt parlant non ?Alors quand ils voient leurs « choses » (car pour eux, nous ne sommes pas des êtres vivants, pas des hommes, nous sommes des variables d’ajustement), se détourner, ignorer les vrais problèmes, et qui au lieu de se tourner vers leurs compagnons de misère, et ca QUELLE QUE SOIT LA COULEUR DE LEUR PEAU, quelque soit leur origine planétaire, eh bien ils se tapent sur le bide les lascars !
Ils se rallument un bon cigare, se resservent une louche de caviar font péter des roteuses, et retournent grimper sur des bimbos divines à 3000 euros de l’heure !
-Tant que ces cons là se battent entre eux, on est peinard ! A nous la « big life », pour des siècles et des siècles !
Eh oui, parce que ça fait des siècles que ça dure ces conneries !
C’s’rait p’être temps qu’c’a s’arrête non, Monsieur l’auteur ?
Et n’oubliez pas de relire le bon Machiavel ok ?
H /
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Reinette
12 janvier 2010 21:35
je ne vois pas le rapport avec l’article qui était
Mutation du banditisme, une bombe infernale sous nos pieds
mais bon Machiavel... oui oui ok bien bien... mais ça date un chouïa hein !
Niccolò Macchiavelli 1469-1527
Le Prince écrit en 1513 -
Yohan
12 janvier 2010 22:23
Sebastian Roché (sociologue spécialisé sur les questions de délinquance),
Sébastien ROCHÉ, sociologue, chercheur au CNRS et enseignant à l’Institut d’études politiques de Grenoble. Il vient de publier “La délinquance des jeunes, les 13-19 ans racontent leurs délits” aux éditions du Seuil.
"décidément résolu à ruiner nos dernières illusions, dénie à la délinquance tout contenu de révolte ou de contestation plus ou moins consciente de l’ordre établi, le jeune délinquant cherchant surtout à participer à la consommation, au même titre que tout un chacun, adoptant ainsi les mêmes valeurs que le reste de la société. Dernier pavé dans la marre, celui de l’ethnicisation de la délinquance. Une étude réalisée à partir de l’activité d’un tribunal pour enfant sur une période de quinze ans montre deux chiffres inquiétants quant à la surreprésentation des jeunes d’origine nord-africaine : ils constituent 47 % des procédures judiciaires et 58 % des jeunes accueillis dans les foyers PJJ. On sait que les enfants issus de l’immigration maghrébine cumulent toute une série de handicaps (accès à l’emploi, au logement, délit de faciès…) qui peuvent expliquer en partie cette forte proportion dans la délinquance des mineurs. Mais donner ainsi ces chiffres bruts ne risque-t-il pas d’alimenter les réactions racistes ? Refuser de le savoir, pourrait-on répliquer, ne permet pas non plus de cibler les actions de prévention pour répondre au mieux aux besoins que ce que l’on peut considérer comme un symptôme exprimé.
Inclassable, insaisissable, irritant, se contentant de partir des faits vérifiés et d’ébaucher des hypothèses, Sebastian Roché apporte autant de réponses qu’il pose de questions. De quoi peut-être nous permettre de mieux prendre la mesure de la complexité d’une réalité qu’on a trop tendance à vouloir réduire à quelque discours idéologique ou conviction préétablie. extrait article paru sur Liens social
Il est également animateur de la liste de discussion “Sécurité”, sur le site www.territorial.fr
Sébastian Roché conduit une mission de coordination sécurité pour la ville de Meylan
M&M : Pour beaucoup de citoyens, la délinquance est souvent assimilée aux jeunes maghrébins ou musulmans. Comment réagissez-vous ?
SR : Tout d’abord ce n’est pas la religion qui fait la délinquance. Mais il faut regarder la réalité en face. Les jeunes d’origine maghrébine sont plus délinquants que ceux d’origine française. Et même nettement plus : 2 à 3 fois plus selon les actes. Avec l’enquête de délinquance auto-déclarée que nous avons réalisée, on ne peut plus se permettre d’accuser la police de tourner son activité vers ces jeunes et d’en trouver plus qui sont délinquants. D’après leurs propres déclarations, ils commettent plus de petits délits (vols sans violence, petites dégradations) et surtout plus de délits graves (cambriolages, vols de voiture, caillassages, incendies, coups violents). Les 5 % les plus actifs, autrement dit les “noyaux durs”, lorsqu’ils sont formés de délinquants d’origine maghrébine réalisent 86 délits par tête contre 42 pour ceux d’origine française. Pour les délits graves, les chiffres sont de 16 contre 5. On ne saurait dans ces conditions s’étonner que certains jeunes aient très mauvaise réputation.
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morice
13 janvier 2010 09:26
Sebastian Roché
bosse avec Bauer, ils ont écrit un livre en commun : vos sources sont uniques et orientées.. -
Emile Red
13 janvier 2010 12:42
Sébastien Roché :
« Pour les actes graves, les taux de détection de la justice sont de 1 %, et de 15 % par la police. La plupart de ceux qui commettent des délits ne sont jamais confrontés à la police et à la justice, quelle que soit la nature et de la peine encourue et du délit. Le déficit de la réaction sociale est considérable. 5 % des délinquants constituent des noyaux qui ne durent pas mais qui pèsent plus de 60 % des actes »
16 %, et qui sont les 84 % qui passent à travers les mailles ? Faire une généralité des 16 % d’un groupe X c’est de la fraude intellectuelle, de la délinquance tolérée..
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morice
13 janvier 2010 09:27
non c’est pire que ça Chantecler : c’est de la propagande idéologique assénée, des diffamations et des menaces balancées à la tête des gens. Du fascisme, n’ayons pas peur des mots !
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Philippe D
12 janvier 2010 22:45
Bonsoir Yohan,
Je ne connais pas suffisamment de près ces phénomènes de violence, principalement urbains ou péri-urbains.
J’écoute, je lis, je m’informe et j’analyse, à l’aune de mes 50 ans passés.Il y a toujours eu des pb entre générations, pas nouveau.
La greffe d’une intégration ratée, ou refusée, sur ces pb récurrents est plus nouvelle.
Le dire, essayer d’ouvrir les yeux sans a-priori ni langue de bois parait impossible.
L’absence de stats ethniques, heureusement ou malheureusement, nous a conduit à vivre dans des fantasmes et des stéréotypes, et à développer des doubles langages abscons pour éviter de regarder les réalités en face.Les frontières politiques bien commodes d’il y a 10 ou 15 ans ont fini par sauter.
Ça ne veut pas dire que le pays soit encore prêt à regarder en face ses problèmes liés aux différences culturelles. Mais progressivement les frontières tombent et la réflexion ne sera plus forcément entachée de stigmatisations définitives selon les premiers mots prononcés.Une prise de conscience qui fera voler quelques vieilles barrières en éclat.
Peut-être.A votre façon vous y contribuez, et zut aux bien-pensants qui pensent mal.
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Philippe D
12 janvier 2010 22:57
Abdel,
Je ne pensais pas à vous quand j’évoquais ceux qui parviennent à dépasser le cadre étriqué de leurs convictions pour plaquer éternellement les mêmes conclusions.
Merci de votre rappel.
Utile. -
Philippe D
12 janvier 2010 23:09
J’ai regardé en vitesse.
J’ai vu trop de fois le mot « colonisation » pour que cela me face envie d’aller plus loin.Faudra penser à dépasser ce stade.
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Philippe D
12 janvier 2010 23:12
On peut vivre perpétuellement dans le passé. Rattacher tous les évènements d’aujourd’hui à ceux d’hier. C’est une clé de lecture.
A prendre en compte.Mais ce n’est pas la seule.
Surtout lorsque l’on parle d’une jeunesse qui n’a plus guère de références aux évènements évoqués.
A savoir oublier aussi.
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Yohan
12 janvier 2010 22:46
Histoire vérifique et vérifiable auprès des édiles du XX’me
à méditer bien sûr....
J’ai encore en mémoire ce gars taillé comme une ablette à lunettes que j’apercevais dans les conseils de quartier dans le XXème arrondissement. Il venait de s’installer place des Grès, dans une jolie petite librairie, à proximité d’une Cité à problèmes. Lors des conseils de quartier, à chaque fois que les habitants venaient se plaindre de la délinquance dans ce coin, il prenait systématiquement la défense des jeunes avec les mêmes arguments que Sisyphe ’victimes de la société, de l’oppression capitaliste,etc...et j’en passe. Il disait que la culture ne pouvait être absente de ces lieux et qu’il saurait les apprivoiser. Une ou deux réunions de conseil de quartier plus tard, il est venu avec un gros cocard à l’oeil et le bras en écharpe. Il venait d’être agressé et dévalisé par les jeunes caids du lieu. Il continuait malgré tout de défendre les jeunes et la culture nécessaire en ces lieux. Un jour il n’est plus venu. Il s’était fait entre temps plusieurs fois dévalisé, racketté et violenté. Il a finit par vendre sa librairie et déguerpir. Son expérience de librairie bobobienpensant n’a pas guère tenue plus d’un an et demi.-
Emile Red
13 janvier 2010 12:51
Quel est ce besoin de se justifier par des exemples aussi grossiers qu’invérifiables ?
Fernand Raynaud faisait bien mieux et plus crédible avec son boulanger -
Reinette
13 janvier 2010 13:01
Emile Red, bonjour
à chacun son point de vue...
point de vue d’ailleurs, pour quelque-un(e)s d’entre-nous, qui peut être situé dans un quartier où les femmes sont constamment emmerdées, voire harcelées, car leurs tenues vestimentaires en dérangent, et où il est dangereux de sortir à certaines heures, pour la majorité des résidents, sous peine d’être agressés. -
Yohan
13 janvier 2010 13:04
Je te donne plus de précision si u veux : la librairie s’appelait « lignes d’outrances »
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Yohan
13 janvier 2010 13:04
« Sic » ...................................................................... ............
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Emile Red
13 janvier 2010 13:16
Reinette, Je me souviens d’un très bon film où il était montré qu’il etait difficile de sortir le soir pour une femme, même en camping l’été, sur la côte.
Encore une fois là aussi, il y avait le même bouc-émissaire.
Te souviens tu Isabelle Huppert en 1975 ?
Le harcèllement n’est pas spécifique à une ethnie mais à un sexe. Dire le contraire serait mentir. -
foufouille
13 janvier 2010 14:01
@ yohan
contre exemple
10 delinquants blanc qui font chier en lancant pierre petards et avec des mobylette sans silencieux
comme ca rapporte pas de primes aux gendarmes, ils bougent pas
ajoute un dealer de shit blanc et fils de « bourgeois » juste a cote connu des gendarmes qui attendent le gros trafic
pour que ca bouge, il faut tirer en l’air
ils croient au cadavre
ils pouvaient rien mais la tu as 3 voitures
.........
bien sur aucun delinquant a ete emmerde
on du se tirer et maintenant la maison ou on habitaient est inhabitale
et le maire est ump ........ -
foufouille
13 janvier 2010 14:02
ca c’est passe dans un village de 1500h
ou il y a maintenant plus aucun commerce -
Reinette
13 janvier 2010 14:13
Emile Red,
comparé un lieu d’habitation où l’on vit toute l’année à un camping, franchement là, c’est de la mauvaise foi
sinon, savez-vous que l’on ne choisit pas toujours son lieu d’habitation ?
je vous assure que beaucoup de familles, quelques soient leurs origines d’ailleurs, préféreraient habiter dans un quartier où les relations entre voisins soient pour le moins paisibles, plutôt que dans ces quartiers pourris par les bandes... -
Emile Red
13 janvier 2010 15:41
Je ne sais pas où est la mauvaise foi mais la phrase contient bien plus d’intérêt que le lieu où celle-ci se passe. L’occulter est déjà admettre une partie de sa véracité.
Quand on parle de Dupont Lajoie, le camping est secondaire pour ne pas dire anecdotique, la violence faite aux femmes par les beaufs de série banlieue-Z qui attisent, pour se disculper, la violence et la haine raciste est bien le sujet central tranquillement omis par qui se sent morveux.
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moebius
12 janvier 2010 22:48
« Aujourd’hui, si le cadavre du petit matin n’est pas encore devenu routine, il n’appartient plus guère au milieu ». ? moi y’en a pas comprendre, bwana
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moebius
12 janvier 2010 22:52
c’est plein de poncifs éculés, de paraboles édifiantes, de généralisations...sur tout et sur rien, sur rien et sur tout
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morice
13 janvier 2010 09:38
c’est plein de poncifs éculés
moi je mettrais bien une apostrophe quelque part...
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moebius
12 janvier 2010 22:53
..faites donc de la politique... commencez a ratisser dans les hospices de vieux
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pyralene
12 janvier 2010 23:47
Faut aussi leur dire , qu’ils s’arrêtent de se masturber en regardant « plus belle la vie ».......
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unpassant
13 janvier 2010 09:56
Ils sont autant responsable que les soldats qui larguent des missiles sur les populations civiles sans défense.
Autant que Ben Efraim ,ce responsable de l’armée la plus satanique du monde qui dit :« Aujourd’hui, un an après Plomb Durci, nous pouvons être fiers de ce que nous avons fait .
J’étais présent lors du forum de prise de décision opérationnel, et je pense que nous aurions fait la même chose. C’est mon sentiment qu’actuellement dans l’Armée de l’ Air les gens n’ont pas de problème sur les aspects moraux et éthiques sur la façon dont nous avons agi et notre capacité de corriger les erreurs au passage, nous pouvons être fiers de ce que nous avons fait ».
PEUT-ON PIRE ???
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morice
13 janvier 2010 09:39
On reconnait les techniques de voyous sionistes,on en a une belle brochette ici.
on a même les noms des louveteaux et le nom de la cheftaine... -
Albatar
13 janvier 2010 10:01
Le banditisme ne se modifie pas.
Il se trouve qu’aujourd’hui pour braquer une banque il faut etre complétement con, compte tenu des système de sécurité. Il n’y a plus d’argent, les SAS plus les caméra font que c’est presque impossible (à l’exception des Postes qui disposent toujours de guichet) et bien souvent en cas de réussite le butin est minable d’autant qu’il est à partager. Il n’y a que les mineurs pour le faire encore (ce qui montre à quel point ils manquent d’argent....)
Aujourd’hui le banditisme qui concerne les braqueurs (je ne parle pas de trafic de stupéfiants, d’organes ou de proxenetisme) s’appliquent uniquement sur les bijouteries de luxe car elle ne sont pas aussi bien protégé que les banques.
Au cas ou vous n’êtes pas informé de cela, il existe un gang composé essentiellement de serbes et/ou de brigands originaire d’ex Yougoslavie nommé le gang de la Panthere Rose (et c’est pas une blague) qui sêvit partout dans le monde, y compris en France.
Il y en a meme eu un qui a été incarcéré et qui s’est évadé en 2005 je crois. Comme personne ne l’a jamais retrouvé, on en parle pas trop aux infos.... D’ailleurs en général quand on parle d’une évasion aux infos, elle date souvent de plusieurs jours, et on en parle une fois que le détenu a été capturé pour faire croire que la police est compétante.
Veuillez trouver ci joint des liens qui parle de ce gang incroyable qui effectue des baquages à la sauce holiwoodienne :
http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/02/01003-20081202ARTFIG00019-ce-gang-serbe-qui-ecume-les-joailleries-.php
www.dailymotion.com/video/x89xdt_le-gang-des-pantheres-rose_news-
Defrance
13 janvier 2010 10:31
A votre avis pourquoi ils nsevicent dans ces lieux ? Paris, Genève, Dubaï, Saint-Tropez, Courchevel ou encore Monaco…et Biarritz ?
tant qu’ils en resent là, je m’en fout ! Mais au fait : QUI A FOUTU LE BORDEL DANS L’EX YOUGOSLAVIE ??????
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Defrance
13 janvier 2010 10:23
Je ne commenterai que ce que j’approuve dans cet article : L’influence des médias, surtout de la TÉLÉ (que je n’ai plus depuis 10 ans) des jeux vidéos qui Banalisent la Violence .
OUI Les ff FILMS, Feuilletons US devraient etre serieusement filtrés avant leur mise en ligne, les Jeux videos, qui ont fait, rappellez vous tant de victimes en IRAK, avec ces petits cons qui ignoraient que l’on pouvait se racheter une seconde vie dans la realité !
Les Bandes ont toujours existées, même dans les petits village de campagne ou on réglait ses comptes, a la Choule, organisée de temps en temps, toujours a main nues .
Ne pas oublier que le phénomène a monté de fil en aiguille par le tout petit pRESIDENT, qui s’est servi de l’argument en tant que ministre de l’intérieur pour accéder au fauteuil, beaucoup trop grand pour lui !
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Albatar
13 janvier 2010 15:25
JE considére l’argument de la télé et de sjeux vidéo comme une conneire snas nom.
De 1 elle est totalement déresponsabilisante pour les coupables (les cailleras) comme pour les classes aisée qui ne se disent pas qu’ils sont riches sur le dos des pauvres.
et de 2 ca n’a rien à voir.... Hitler il jouait au jeu vidéo ? Les mecs qu’ont envoyait dans les tranchés buter des inconnus sous pretexte qu’on était en guerre en 1917 ils regardaient des series télés ?
La violence vient des hommes et non de l’exterieur.
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la consommation comme philosophie de vie (bagnoles, télés, gens......) :conférer le cancer publicitaire et ses nombreuses métastases.....
