samedi 27 décembre 2008 - par lisca

Péronnelles

« Taisez-vous, péronnelles ! »

Molière, les Femmes Savantes

« Souvent femme varie… » disait François 1er qui s’y connaissait un peu. Pas fol fut-il à ne s’y point fier sans doute, mais tout porte à croire qu’il se trompait sur l’essentiel. Car, comme l’a constaté je ne sais plus quel philosophe indopakistanais, turco-mongol ou finno-ougrien, la Femme est Éternelle. Et encore plus sur les plateaux télé.
Sempiternelle même, celle-là.

Elle s’appelle Clémentine, Christine, Diam’s, Emmanuelle, Houria, Corinne voire Ségolène ou Rama… On a même trouvé tout récemment une ménagère de moins de 50 ans, accessoirement chanteuse, qui préfère les photos des magazines aux passages à la télé un peu trop risqués pour quelqu’un qui ne connaît pas plus son sujet que ses sujets, ou que son mari gestionnaire.
Tu es ma came, lui dit-elle !
Pas sortable, la chanteuse.

On les sort pourtant, elle et ses soeurs dont la liste est longue, inépuisable. On la trouve en politique, en arts de toute espèce, en littérature, toujours comédienne, toujours impeccablement maquillée. La pipolette des plateaux illuminés est jeune ou non, belle ou pas, grande gueule ou cul de poule, cruche ou amphore, mais toujours très à l’abri du besoin et toujours, toujours, toujours contre nous, le peuple.

 Les Femmes il y a peu encore se la jouaient solidaires dés qu’on en voulait à leur féminitude, et toute critique de La Femme Branchée connaissait illico le tranchant des crocs de leurs meutes de garde. L’Homme reculait s’il ne fuyait pas, en laissant dans son sillage les minuscules gouttes de sang tombant de son coeur écorché, sur les traces desquelles il n’y avait plus qu’à se lancer.

C’était il y a…20 ans, 10 ans, 5 ans, l’année dernière.

Mais les choses évoluent.

 Grattez la brunie walkyrie solidaire, vous retrouverez la brave petite chipie : celle qu’on connaît bien en famille, au bureau, au boulot, en amour ou en grève d’amour, qu’on soit née du même genre ou l’inverse. Voyez donc pointer sous cette victime, la Femme, voyez pointer l’infâme, la peste, la minnie, la vilaine, la poupée, la drôlesse !

La pé… comme disent sans autre forme de procès les gens du sexe fort entre eux, entre hommes quoi, quand celles du beau sexe ne sont pas là.

 Mais nous limiterons ici notre intérêt non pas aux chipies en général (tâche immense et déjà entreprise ! Et après tout, les hommes ces grands lâches ripostent très méchamment) mais plutôt à celles qui mijotent au petit feu douillet des projecteurs en nous faisant inlassablement la leçon, à nous tous désormais les Français, hommes, femmes, enfants, jeunes et vieux, en gros tas unisexe, uniforme.

 Les péronnelles.

 Celles qui, folles de leur corps, folles de pouvoir, folles du glamour ou folles tout court, n’hésiteront pas à vous fouler aux pieds vous les coquines plus belles, plus brillantes ou plus douces, vous les Femmes, leurs pareilles en anatomie ! Pour vos Hommes c’est déjà fait. Contre eux ou tout contre. Avec les leurs, elles filent doux, et filent droit !

Car nos fâchonnes victimes ont changé de proie. Sus au François ! Lui, sa Fanchette et ses francinets.

La féministe d’antan, ayant broyé toute velléité de poigne chez vos hommes mesdames (contre elle) et ne trouvant personne à invectiver, s’est peu à peu recyclée en Moraliste Universelle contre les Peuples. Il ne s’agit plus de (prétendre) sauver des griffes du patriarcat des victimes pourvues d’ovaires dangereusement reproductifs de rouspéteurs potentiels, désormais dûment encadrées au bureau par le grand capital multitruc, mais de garder le contrôle de la pression psychologique sur le gros de la masse téléspectaculée.

Il faut faire de l’audimat ! Il faut vendre ! Il faut voter ! Et eux, les téléspectres égarés sinon ahuris, il se doivent de consommer et, à défaut, de travailler, tout en opinant du bonnet. Et surtout, pour le plus grand profit des patrons de la péronnelle, se mélanger, voire se dissoudre. Au masculin, au féminin ou au neutre.

Pour cela, il faut qu’ils ne se sentent pas trop bien, un peu mal dans leur peau, une peau encore trop cuir, la leur, qu’il s’agit de pincer, bronzer, teindre ou décolorer. Culpabilisez donc, auditoires captifs ! La sienne de peau à la péronnelle, a besoin d’être retendue ? Qu’à cela ne tienne ! Elle montre l’exemple : changez de peau, torturez-la, coupez-la, pour le triomphe de l’Artifice ! Moi je ne pense qu’à ma peau, dit-elle ! Pensez donc à celle de l’Autre ! Et elle nous en tartine, de la peau !
Une obsession !

 Vous entendrez donc nuit et jour sur les ondes câlines les messages promotionnels de la pipolette égolâtre qui a grand besoin de ses émoluments, pris sur votre bel argent. Derrière elle l’animateur d’émission, et au-dessus le banquier ont de plus gros besoins encore !

La morale Universelle se fait insistante. Les péronnelles assureront la propagande des potentats bien assis sur nos champs d’oseille. Elles veilleront, avec des moues laquées de rouge baiser, au bon entretien de la démoralisation, de la dépigmentation ou repigmentation généralisées. Névrose et Psychose des Téléspectateurs sont les deux mamelles par où coulent tant de juteux profits pour la minorité intouchablement fortunée, la plus discriminée au monde par elle-même. C’est bien plus convaincant une péronnelle parfumée au Poison de chez Dior, que les gags d’Azouz Begag, ou les loucheries de Greenspan, ou les coups de boule de Sami Naceri. Place aux chargées de communication !

 Mi p… mi soumise ? Que nenni.

Plus soumise qu’une péronnelle, ça n’existe pas.

Et plus p… bref, péripatéticienne ?

Oh pas forcément. Elle n’en a guère besoin. Sa vie confortable restera privée sans sombrer dans les privautés. Issue de minorité ploutocratique ou colorée, depuis l’enfance pourrie gâtée de flatteries démagos, bien protégée par le réseau, elle a, pour arriver où elle est parvenue sans autre effort que la glisse, échappé aux DSK et autres promoteurs canapé.

Non, le plus souvent elle ne couche pas, à l’instar de Marilyn fille du peuple. C’est bien pire : elle se couche, comme les blés, à tous les vents marchands qui sifflent, à toutes les corrections politiques et idéologiques qui pèsent comme un couvercle sur l’air du temps. Et se garde bien de penser. Danger !

C’est ce qu’on appelle la rebelle attitude (RA), qui autorise toutes les interruptions coupantes, tous les mépris, toutes les insultes envers les esprits dont la différence est trop visiblement et auditivement pure. La belle et rebelle attitude permet à la péronnelle de garder en parallèle et en catimini les avantages du luxe et de la gloriole. La RA vous la pose en pasionaria sans risque de bûcher ni geôle, en pétroleuse armée de ses incendies pour les autres, assistée de tous les snipers cachés derrière le rideau. Car elle ne sait pas, la pauvrette, se défendre avec ce que lui a donné le bon Dieu : sa langue de pipolette !

Alors, face à la différence de l’Esprit Autre, de celui qui est disert sans être divers, brillant sans être explosif, notre fée clochette se met à taper tellement fort avec sa baguette magiquement humanitariste, et le fil de son discours atteint un tel degré d’acidité acoustique qu’elle n’est plus perçue, même par l’Ahuri abonné au câble, que comme une vulgaire pipelette un tantinet vampirella.

Disparu le sourire enjôleur quoiqu’un peu niais de baby Lone ou Bec-à-Zine. Sous les froufrous transparaissent sans pudeur ni mystère les serres et le nez crochu, les noirs voilages, l’œil de poule en fureur et la bosse de… Carabosse, la sorcière à la pomme polluée.

On éteint le poste.

Ainsi chez Ruquier, chez Fogiel
Dans le bruissant éther des nuits télévisées,
Naît, cause et meurt la Péronnelle
S’exhalant comme un miasme, de Poison métissé,
Comme l’air des bijoux qu’aurait sous le décor
Expulsé quelque Castafiore.



26 réactions


  • norbert gabriel norbert gabriel 27 décembre 2008 15:46

    intéressant voyage dans les zoos humains, mais quel est le masculin de péronnelle ? 
    car il n’en manque pas dans la société du tout à l’égo... les minets du drugstore, disait Dutronc père, naguère, les yuppies en Porsche noire, les francdubosc ordinaires...


    • lisca lisca 27 décembre 2008 22:08

      Masculin de Péronnelle ? Dur !
      BHL ?
      Mais ce n’est pas encore tout à fait ça !  smiley


    • COLRE COLRE 28 décembre 2008 00:00

      Exercice de style laborieux sans but et sans moyen…

      Ça va où, ça ?

      Machin trop bien identifié et sans intérêt, ni intellectuel, ni littéraire, ni historien, ni philosophique, ni…

      Circulez ! y a rien à voir ! c’est juste un truc pour déchaîner le sexisme ambiant.

      Norbert, vous cherchez un masculin à "péronelle" ?! vous êtes un doux rêveur… par définition, il n’y en a pas pour monsieur l’auteur, voyons. smiley

       


    • lisca lisca 28 décembre 2008 09:30

      "Ça va où, ça ?"
      Dans le mille, apparemment.
      Mon style "laborieux" ?
      J’écris d’un jet, il pécherait plutôt par excès de spontanéité et d’avoir trop de choses à dire, dans une époque où on en est réduit(e) à ronger son frein devant des médias insolemment babillards.
      L’essai est-il "trop bien identifié" ou "ni ceci ni celà" ? Un peu de logique, quand on se veut critique littéraire.
      Quant au style "ça va où, ça ?" et le reste, c’est peut-être un peu... paresseux. Du labeur, de la peine ne lui feraient pas de mal . smiley
      Et pour déchaîner le sexisme ambiant, les Angot, les Josiane et tant d’autres de leurs consoeurs moralisatrices à perpétuité n’ont besoin de personne.
      Mais il y a des femmes très bien, et on aimerait les entendre, elles.


    • lisca lisca 28 décembre 2008 12:04

      Colre
      Incidemment, je suis UNE Lisca.


  • Fergus fergus 27 décembre 2008 16:35

    Et que dire de la cousine un tantinet pimbêche de la "péronnelle", autrement dit la "pécore" au sens du 18e siècle ? Des pécores et des péronnelles qui, hélas ! se répandent trop souvent dans nos médias pour distiller leur sottise, futile pour les premières et prétentieuse pour les secondes. Les pire étant que ces "dindes" réussissent à phagocyter l’audience beaucoup plus sûrement que des scientifiques ou des humanistes. Cela dit, ne voyez aucune connotation machiste dans mon propos, la bêtise est la chose la mieux partagée dans le monde entre les deux sexes !


    • lisca lisca 28 décembre 2008 12:11

      En fait, à relire Molière, et en entendant nos sottes décorées, on les aimerait presque ses Femmes Savantes  ! Armande est attendrissante, à si bien s’exprimer.
      Mais, comme nos pécores d’aujourd’hui, les voilà qui tombent à genoux et à plat ventre devant tous les Trissotin qui jactent.
      Il faut jouer des neurones, les filles !


  • cathy30 cathy30 27 décembre 2008 18:09

    bien vu lisca, les femmes savantes sont de retours.
    mais qu’arrive-t-il aux femmes ? Je suis sidérée de les entendre sur les médias. Cela se passe presque toujours au top départ d’un homme, on leur demande leurs avis sur tout et c’est le grand n’importe quoi. Elles sont zélées les bougresses.
    Je ne comprends plus rien, nous sommes dans un monde dirigé par des hommes mais dans un système matriarcal. Si le "pouvoir" voulait mettre la zizanie, il ne s’y prendrait pas autrement.


    • lisca lisca 27 décembre 2008 22:11

      Les femmes savantes, euh...
      Molière était gâté, dans son temps. Elles avaient des connaissances musicales, des lettres et quelques bases scientifiques !
      Nous avons des diams.


    • Fergus fergus 28 décembre 2008 09:17

      A cette différence près que les médias ne sont pas représentatifs de la société française. Diams et ses consoeurs ne sont que l’écume tapageuse et futile d’un monde féminin qui, fort heureusement, comprend également des intellectuelles sérieuses et des chercheuses (ma belle-fille biologiste, par exemple) qui ne sentent pas du tout representées par ces égéries de l’audimat souvent creuses et vulgaires.


    • lisca lisca 28 décembre 2008 09:38

      Bien d’accord avec Fergus et Cathy ! C’est pour faire de la place aux femmes vraiment "savantes" ou talentueuses, très nombreuses et passionnantes, qu’il est nécessaire de se moquer un peu des péronnelles bien installées. Mais les intéressantes sont rarement "filles de" ou "soeurs de" ou "femmes de". Des météores solitaires, plutôt, et c’est bien dommage. On a besoin de leurs lumières.


    • norbert gabriel norbert gabriel 28 décembre 2008 12:10

      ça se discute mon bon Fergus, même si je ne suis pas client de la musique de Diams, il se trouve que son audience dépasse largement le milieu banlieue et quartiers, comme on dit.
      Et les attitudes macho-méprisantes de mal de de gens, y compris dans la musique, et surtout dans les dérivés du hip-hop, montrent qu’il y a du chemin à faire.... La preuve, on utilise "les femmes savantes" comme si c’était une incongruïté, "Sois-belle et tais-toi ?"
      Sois-moche et intelligente ??? c’est avec ce genre de réflexe primaire de primate qu’on créée de clivages complètement stupides. 
      Il y a aussi des femmes pilotes d’avions de chasse, je ne sais pas si c’est une évolution pour la civilisation, mais c’est un fait. 
      Quant aux avis qu’on leur demande sur tout, comme vous dites, qu’est-ce qu’il y a d’extravagant ? Sur Agoravox il y a aussi des gens qui s’expriment sur tout, pas toujours avec pertinence d’ailleurs...


    • lisca lisca 28 décembre 2008 12:16

      Cathy
      "Elles sont zélées les bougresses"
      Si encore elles restaient potiches. Zélées comme des "bonniches" (qui n’ont rien à voir avec le personnel de maison professionnel) ! Même plus péronnelles : féminiches ! !  smiley



  • Halman Halman 27 décembre 2008 20:51

    C’est une fille Diams ?

    Gaulée comme un mec, habillée en vieux survetements des années 70.

    Excitante comme un catcheur qui fait son footing.

    Quant à son vocabulaire et ses idées, circulez y’a rien à voir.


    • norbert gabriel norbert gabriel 28 décembre 2008 12:00

      pour le masculin de péronelle, c’est vrai que BHL...
      mais le masculin de "pétasse " pourrait être "halman", son seul critère d’évaluation étant le physique, son intéret pour pour les autres étant "l’excitation" provoquée, ça colle bien...


  • Halman Halman 27 décembre 2008 20:59

     "Les Femmes il y a peu encore se la jouaient solidaires dés qu’on en voulait à leur féminitude, et toute critique de La Femme Branchée connaissait illico le tranchant des crocs de leurs meutes de garde. L’Homme reculait s’il ne fuyait pas, en laissant dans son sillage les minuscules gouttes de sang tombant de son coeur écorché, sur les traces desquelles il n’y avait plus qu’à se lancer."

    C’est sur, avec les exemples cités dans l’article, où on est morts de rire où on fout le camp trouver mieux ailleurs, et à ce niveau là c’est super facile.

     smiley


  • Battement d’elle 27 décembre 2008 21:06

    @ l’auteur

    ...... bien dépeint, le profile de Carlita !


    • lisca lisca 28 décembre 2008 12:02

      Malheureusement pour cette péronnelle-là, on ne peut pas éteindre le poste.
      Comme on est dimanche, je ne résiste pas au plaisir de vous recopier quelques paroles de sa "dernière défonce" :
      « Je veux mourir un dimanche, aux premiers frissons du printemps, sous le grand soleil de Satan – que le Diable me pardonne – qu’on me maudisse, que l’on me damne, moi je m’en balance, je prends tous les blâmes, moi qui cherchais toujours les flammes... etc »
      Dieu merci, on n’en est (nous) qu’aux premiers frissons de l’hiver. Ce n’est donc pas pour aujourd’hui.
      Elle ne flambe en attendant que nos deniers et ne brûle qu’au grand soleil brésilien. Elle a ramené dans le luxueux hôtel de son père subit (elle se l’est découvert récemment) une bonne dizaine de copains du gouv, aux frais de la "princesse", pour travailler leurs dossiers dans les 3 piscines.
      C’est du népotisme par épousailles ?
      Mais puisque ce n’est même pas son vrai père de papiers, hein !
      Et puis elle s’en balance ! smiley


  • lisca lisca 28 décembre 2008 11:44

    Mille excuses au capitaine Haddock !
    On l’aime bien la Castafiore, ses grands airs, ses rossignolades, son long nez, son sens médiatique  !
    L’air des bijoux, voilà qui sonne plus franc que les sottises de nos péronnelles !
    http://www.youtube.com/watch?v=GmsZZAkJ_rY smiley



  • norbert gabriel norbert gabriel 28 décembre 2008 13:04

    la nuit portant conseil, il m’est venu que toutes ces femmes savantes, péronelles, pécores, ont encore du chemin à faire avant d’égaler en nombre et qualité tous les pompeux cornichons, les turlupins pontifiants, les emphatiques babilleurs, les arrogants incultes, les incultes fiers de l’être, qui invitent les péronelles, pécores etc etc, à s’agiter dans les étranges lucarnes.
    Les pétasses ont encore du boulot avant de détrôner les superbeaufs du PAF, les supporters du PSG de la tribune spéciale "abrutis" , les cauetophiles ébaubis, et tous leurs congénères postulants au rôle du gourou du prime-time pour ménagères audimatées (matées, vous avez dit "matées ?") 
    Bon bin je vais aller relire George Sand et Louise Michel, avec un chouïa de Gisèle Halimi, pour la route.


  • norbert gabriel norbert gabriel 28 décembre 2008 13:26

    la nuit portant conseil, il m’est venu que les péronelles, pécores et autre femmes savantes avaient encore bien du chemin à faire avant d’égaler les pompeux cornichons, les turlupins pontifiants, les babilleurs superfétatoires, et autres soi-disant gourous du prime-time qui les invitent à bavasser dans les étranges lucarnes.
    Les pétasses peuvent prendre exemple, il y a de quoi faire, entre les Cauetophiles ébaubis, les supporters du PSG de la tribune "abrutis" les obsédés de la ménagère audimatée de moins de 50 ans (matées, vous avez dit "matée" ?) le champ des possibles est vaste et ouvert.

    Bon, bin je vais relire George Sand, Louise Michel, Calamity Jane et Gisèle Halimi, avec un chouïa de Taslima Neasreen pour la route.


    • Cascabel Cascabel 28 décembre 2008 14:23

      J’ai bien aimé la Petite Fadette quand j’avais 10 ans !
      C’est vrai, pour l’instant la péronnelle admire Trissotin en pouffant vers nous, en nous "dénonçant" et en l’applaudissant.
      Un jour sera-t-elle Trissotine ?
      Et Trissotin deviendra-t-il Péronneau ?
      Certaines et certains en rêvent.
      Pas moi. smiley




  • norbert gabriel norbert gabriel 28 décembre 2008 13:29

    PS c’est pas que je bégaye, mais un message avait disparu, et il est revenu inopinément, miracle de Noel et bis repetita..


  • Sandro Ferretti SANDRO 6 janvier 2009 16:30

    Pas mal du tout, sur le fond comme sur la forme.


  • Yohan Yohan 6 janvier 2009 19:41

    Elle mérite bien l’apéro (n) elle smiley


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