vendredi 8 février 2013 - par Daniel MARTIN

Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes : le concept de races Humaines n’existe pas

 François Hollande, alors candidat socialiste à la présidentielle annonçait samedi 10 mars 2012 qu'il demanderait au Parlement de supprimer la mention de race dans la Constitution française s'il était élu. « Il n'y a pas de place dans la République pour la race. Et c'est pourquoi je demanderai au lendemain de la présidentielle au Parlement de supprimer le mot race de notre Constitution où il figure dans son article premier », déclarait-il lors d'un meeting consacré à l'Outre-mer à Paris, où il a été chaudement applaudi à cette annonce. Une promesse de campagne du candidat socialiste à l'époque raillée par son adversaire Nicolas Sarkozy de façon pour le moins surprenante avec des comparaisons aussi simplistes que stupides. Certes, ce n’est pas parce que l’on supprime le mot race dans la constitution que l’on éliminera le racisme, mais le maintenir c’est accepter le principe d’un concept qui n’existe pas …

Bientôt un an que l’élection Présidentielle a eu lieu et le parlement n’a toujours pas avoir été saisi… Il est vrai que le Mariage pour tous qui ne nécessite pas une réforme de la constitution a occupé et occupe encore le terrain… Aux dernières nouvelles, la suppression du mot "race" devrait toutefois être incluse dans la réforme constitutionnelle prévue par François Hollande d'ici cet été. Je rappelle qu’une modification de la Constitution doit faire l’objet d’un référendum ou d’une réunion des deux assemblées (Sénat plus Assemblée nationale) réunies en Congrès et validée par les 3cinquièmes. C’est probablement cette dernière solution qui sera choisie, mais qu’importe l’essentiel étant de supprimer un concept qui n’existe pas, mais a cependant marqué tragiquement l’histoire de l’Humanité.

Une inscription dans la constitution qui ne date que depuis 1946.

Dans son article 1er, la Constitution actuelle de 1958 déclare : "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion". Cette distinction dans notre constitution ne date que de la seconde guerre mondiale !! Elle apparaît pour la première fois dans la constitution du 27 octobre 1946 dans le préambule de laquelle, il y est écrit :
’’Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté dʹasservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. Il réaffirme solennellement les droits et libertés de lʹhomme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République’’.

A noter que la déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789 à laquelle se réfèrent les rédacteurs de la constitution du 27 octobre 1946, en son article premier il est écrit : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. Ou encore l’article 10 précise : Nul ne doit être inquiété pour ses opinions religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. Comme on peut le constater La référence à la race n’y figure pas.

La Constitution du 22 Frimaire an VIII (13 décembre 1799) en son Article premier précise seulement que la République française est une et indivisible. - Son territoire européen est distribué en départements et arrondissements communaux. Certes, cette constitution qui apparaît comme taillée pour Bonaparte, bien qu’il n’y ait pas de référence à des droits et des libertés, certains droits y sont toutefois affirmés dans les dispositions générales, comme l'inviolabilité du domicile, la sûreté des personnes et le droit de pétition (art.76, art.83, 84-87)… Mais il n’y aucune référence à la notion de race.

Quelles peuvent être les motivations des rédacteurs de la constitution de 1946 pour avoir inscrit le mot ‘’Race ‘’ dans la constitution ?

On peut s’interroger sur les motivations qui ont conduit les rédacteurs des constitutions de 1946 et 1958 à graver le mot race dans le marbre du Droit Français que représente la constitution, alors que ce concept n’existe pas d’un point de vue scientifique, et n’a aucun justificatif anthropologique

Si l’on considère les premières lignes du préambule de la constitution de 1946, on peut comprendre qu’il ait eu une volonté forte de vouloir dépasser le traumatisme post- Nazisme subit par les populations du aux thèses raciales criminelles qui n’ont cesser de progresser et s’amplifier, notamment, depuis que le comte Arthur DE GOBINEAU édita son Essai sur l’inégalité des races humaines (1853-1855). On rencontre souvent l’expression « grand-père du racisme » en parlant DE GOBINEAU. Le développement de sa thèse qui inspira, entre autre, les dirigeants du régime Hitlérien a favorisé la montée du fascisme européen et a servi de référence afin de justifier des massacres épouvantables et ainsi de déculpabiliser la race « supérieure » blanche.

En 1946 la France a un empire colonial qu’il faut à la fois tenir sous bonne garde, mais aussi auquel l’histoire contraint de reconnaître des droits minimum fondamentaux à ses populations, sans pour autant rejeter le concept de race … Car la catégorisation, puis la hiérarchisation des groupes humains a servi de justification aux colonisateurs européens pour annexer de nouvelles terres (notion de « races inférieures » chère à DE GOBINEAU). L’expérience de leur rencontre avec des cultures autochtones fut rapportée en métropole de manière particulièrement partiale : les terres colonisées étaient présentées comme remplies de sauvages incultes, inférieurs à tout point de vue au colonisateur qui, bon et généreux, se dévouait pour leur apporter les lumières et les bienfaits de la civilisation… Ces histoires nourrirent les théories racistes et justifièrent les discriminations dont étaient victimes les peuples colonisés. Il s’agit là du racisme colonial.
Le même usage en Allemagne nazie puis ensuite en Europe, sous sa domination, visant cette fois les juifs, tziganes, slaves, qu’il s’agissait d’exterminer pour faire de la place à la « race aryenne dite supérieure ». Autrement dit de l’eugénisme.

Aujourd’hui encore, avec l’intervention Militaire au Mali, sous prétexte de lutte contre le terrorisme, afin soit disant d’empêcher la création d'un état fondamentaliste islamiste, préserver ‘’la démocratie ’’, ainsi que le respect des frontières nationales, nous perpétuons de façon subliminale certains ‘’relents’’ de notre passé colonial en faisant croire que sans notre aide ces populations sont incapables de se protéger des dangers qui les menacent. Mais qui peut vraiment croire qu'il s'agit d'une opération "pour la démocratie au Mali" ? Cela fait des décennies qu'elle est bafouée dans ce pays par des régimes corrompus, largement soutenus par la France. Alors, pourquoi cette subite urgence "démocratique" ?... De même, qui croira qu'il s'agit de "sécuriser la région" ? La France en a t-elle d’ailleurs la capacité et les moyens ?... En réalité, il s'agit surtout de sécuriser l'approvisionnement des centrales nucléaires françaises en uranium qui est extrait dans les mines du nord du Niger et de faire main basse sur les ressources du sous sol Malien. Autrement dit du Néo - colonialisme.

La notion de race n'existe pas

Certains chercheurs tentèrent de conférer une valeur scientifique à la notion de race. A l’instar du comte DE GOBINEAU qui dans son Essai sur l’inégalité des races humaines, où il décrit différentes caractéristiques telles que couleur de la peau, couleur et texture des cheveux, forme et taille du crâne, qu’il met en concordance avec les caractères psychiques, intellectuels, moraux, etc. ces théories conduisent à une hiérarchisation de valeur des races ou groupements humains, certains distinguent plusieurs dizaines voire des centaines de « races » mais tous accordent dans leurs descriptions une place particulière à de grands ensembles en nombre limité, le plus souvent basés sur la pigmentation de la peau.
Le caractère de scientificité de la biométrie, pratique purement descriptive des caractères apparents, n’a guère été reconnu que par ceux qui en étaient convaincus. En revanche cette discipline a largement nourri les discours et politiques racistes. La période du nazisme vit ainsi se multiplier des expositions détaillants des caractères physiques, pour « apprendre » à reconnaître les races humaines…

Comme le dit André LANGANEY (dans un ouvrage paru en 1992) :
« Au début des recherches en génétique, les scientifiques, qui avaient en tête des classifications raciales héritées du siècle dernier, pensaient qu’ils allaient retrouver des gènes des Jaunes, des Noirs, des Blancs… Et bien, pas du tout, on ne les a pas trouvés. Dans tous les systèmes génétiques humains connus, les répertoires de gènes sont les mêmes. »

LEVI-STRAUSS affirmait que si les groupes humains se distinguent, et pour autant qu’ils sont à distinguer, c’est uniquement en termes de culture. En effet, c’est uniquement par la culture que les groupes humains ou sociétés se départagent et se différencient ; pas selon la nature que serait la nature biologique. C’est à dire que s’il y a bien lieu de maintenir les distinctions, le phénomène n’est en aucun cas naturel. Il ne relève pas de l’étude de la biologie, mais de l’anthropologie au sens large. Le racisme consiste précisément dans le contraire, soit à faire d’un phénomène culturel, un phénomène prétendument physique, naturel et biologique.

Les différences morphologiques sont souvent expliquées par des adaptations à l’environnement. . Autrement dit, les groupes humains primitifs n’ont pas échappé à la sélection naturelle favorisant, pour un groupe social déterminé, un certain nombre de caractères spécifiques adaptés aux conditions d’environnement propres à une région donnée.
Néanmoins, compte- tenu de la durée nécessaire pour acquérir divers caractères physiques sous la pression de la sélection naturelle, les migrations humaines de l’Histoire et de la Préhistoire qui se sont traduites par des déplacements de population, à raison d’une moyenne estimée à quelques dizaines de Kilomètres par génération ont entraîné un brassage génétique important, affectant les peuples de quasiment toutes les régions du globe.

Selon Albert JACQUARD : « pour parler de race, il faudrait qu’un groupe reste isolé un nombre de générations égal au nombre d’individus qu’il comporte ; ainsi, un groupe de 200 personnes devrait rester isolé 4 000 ans (si l’on compte 20 ans par génération) pour devenir une race. Ce chiffre est à comparer aux 20 000 ans qui ont été nécessaire pour séparer Canis lupus, (le loup) des différentes races de Canis familiaris (chiens). Peu de races de chiens sont interfécondes avec les loups ».

Pour conclure :

Ni la génétique, ni l’anthropologie, ni l’ethnologie, ni l’anthropomorphie (biométrie), ni les découvertes récentes n’avalisent l’idée de l’existence de races humaines. Parler plutôt de groupe de populations correspond à une réalité scientifique, dans la mesure où l’on retrouve des gènes proches qui eux ont une signification et une pertinence médicale. Il paraît évident que la notion de race humaine sous toutes ses formes, a servi de prétexte à un racisme latent et qu’elle est à l’origine des plus gros crimes qu’ait connu l’humanité !!!!
Le concept de race est une idéologie dont les fondements sont arbitraires, discriminants et dont l’objet est de justifier une différence culturelle par une différence physique...

Le mot ‘’race’’ expurgé de la constitution c’est reconnaître l’inexistence de cette notion, avec tout ce que cela comporte, notamment en regard de la xénophobie qu’elle renforce et qui est souvent plus profonde et plus ancienne encore que le racisme. Par ailleurs accepter le principe d’un concept qui n’existe pas dans le cadre de la biologie c’est aussi dissimuler les mécanismes psychologiques, historiques, politiques qui sont à l’œuvre dans le « racisme ». Déconstruire à partir de la biologie un concept tel que celui de race, est nécessaire, mais cela n’aura qu’un effet limité sur ses aspects dévastateurs si grâce à la connaissance et au savoir la culture des individus ne change pas radicalement dans ce domaine. Il y aurait urgence, si l’on considère que l’on va vers un effondrement, rapide, des ressources, et de la production alimentaire et industrielle par tête d’habitants, car du fait de la surpopulation La planète pourrait, peut être, faire vivre 10 Milliards d’individus à l’horizon 2050… Avec le niveau de vie actuel d’un habitant pauvre du Bengladech… Mais 700 millions, avec le niveau de vie actuel d’un Européen… Avec des thèses raciales et xénophobes ont peut imaginer les conséquences…



93 réactions


    • Anaxandre Anaxandre 8 février 2013 14:29

       Un bon exemple de l’idéologie Franc-Maçonne : le nivellement de tout et de tous, toujours par le bas, évidemment ! Indistinction et indifférenciation sont ses mots d’ordre : pour le « bas peuple » bien sûr, pas pour certaines élites.

       Mais quand, dans une formidable inversion des valeurs, l’Esclave est devenu le Maître, rien d’étonnant à ce qu’il nous diffuse une idéologie de la faiblesse et de la soumission pour conserver son pouvoir illégitime : la Virtus romaine est aujourd’hui morte... ou vue comme une tare !


    • sleeping-zombie 8 février 2013 16:53

      Là tu prouves juste que même si les races n’existent pas, les racistes, eux, existent bel et bien..


    • Anaxandre Anaxandre 8 février 2013 17:44

       Je vous ai mis un « plus » pour votre rare capacité à constater l’évidence... Ou ce que les nains de l’esprit pensent (?) être des « évidences » !

       Les vrais « racistes » (qui s’ignorent et prétendent donner des leçons de morale, toujours au nom de la morale dévoyée de leur PROPRE culture !) sont ceux qui - de manière purement idéologique - voudraient détruire toutes les différences entre les hommes et les groupes d’hommes. Toujours au détriment des mêmes, évidemment !

       Mieux vaut un « raciste » bien conscient des différences et respectueux de celles-ci, qu’un « anti-raciste » manipulé (ou manipulateur) dogmatique et destructeur de Culture et de Civilisation (en commençant généralement par la sienne d’ailleurs...).


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 février 2013 03:13

      @ Edelweiss


      Vous êtes inutilement insultant. l’auteur part d’une bonne intention ; dire « vous êtes dans l’erreur » n’aurait-il pas été suffisant ? Il est clair que l’homme est une espèce et qu’au sein de cette espèce des sous groupes se sont créés qui peuvent évoluer et se mêler, mais sans que ne se perde le principe d’une différentiation selon les caractéristiques génétiques... À partir de là, on peut bien enlever le mot « race » et dire « haplogroupe », mais il serait bon alors de supprimer ce qui serait une hérésie scientifique laissant supposer que l’homo sapiens est différent des autres, en parlant aussi d’haplogroupes pour distinguer les lévriers des épagneuls et les molosses des chihuahuas... On joue trop sur les mots quand il faudrait travailler sur les idées.

      Pierre JC Allard

    • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 9 février 2013 17:16

      @ JC Allard

      Je suis surpris. Je vous ai connu bien mieux inspiré.
      C’est quoi cette fuite en avant pour aller de « race » à « haplogroupe » ?
      C’est juste de l’euphémisation pour faire du politiquement correct et faire en sorte que les élites qui tiennent le politique et les médias nous foutent la paix.

      Entre les élites qui veulent constamment nous fabriquer une certaine réalité et le bon peuple qui a du bon sens, je choisis toujours le bon peuple.

      L’auteur nous dit que les races n’existent pas mais il est incapable de nous expliquer ce que veut dire exister.

      S’il existe un consensus de fait dans la population pour distinguer et nommer des phénotypes aisément distinguables et reconnaissables, si ces distinctions sont plus que millénaires, si elles s’avèrent inscrites dans les langues et dans les cultures, je ne vois pas pour quelle raison il faudrait les faire disparaître dès lors qu’elles sont fonctionnelles et permettent de communiquer.

      Qu’elles aient servi de support à des stéréotypes mensongers et/ou haineux ne leur ôte pas leur légitimité. Ce qu’il faut attaquer c’est les stéréotypes. Ce qu’il faut éliminer c’est les conneries sociologiques de ces 20 dernières années qui nous demandaient d’accepter les différences quand il me paraît évident que ces différences, notamment raciales, sont tout à fait secondaires relativement à ce qui nous rassemble, cad, tout ce par quoi nous nous ressemblons, au-delà de ces triviales différences dont les gouvernants se servent pour nous diviser.

      Bref, mon sentiment est que vous avez bien trop vite abandonné une position qui est pourtant tout à fait légitime.


    • Le chien qui danse 8 février 2013 12:05

      Bof, vous voulez vous faire sentencieux mais ce n’est qu’une question de temps et de souffrance.


    • sleeping-zombie 8 février 2013 16:58

      si vous tapez « extra-terrestres » sur google, vous trouverez des gens qui parlent d’extra-terrestres.
      si vous tapez « licornes » sur google, vous trouverez des gens qui parlent de licorne.

      L’avantage d’être 6 milliards sur Terre, c’est qu’on trouve toujours quelqu’un de d’accord avec soi.

      La notion de race n’est qu’une division ARBITRAIRE qui n’existe que dans la tête de ceux qui y croient.


    • kimbabig 9 février 2013 06:33

      En cherchant « races humaines », on peut aussi trouver que, bien qu’il existe des marqueurs géographiques dans le génome humain, non seulement ces marqueurs géographiques ne sont pas propres à la race humaine, mais il a été démontré que la variabilité génétique étaient bien plus importante à l’intérieur des groupes formés en fonctions de ces marqueurs qu’entre ces groupes, ce qui invalide scientifiquement toute classification qui serait basée sur ces marqueurs géographiques.

      Ce qui paraît logique, une classification pertinente étant censée regrouper ce qui est semblable, donc avec une variabilité très réduite au sein des groupes et très forte entre eux. Or, il n’est apparemment pas possible au sein de la race humaine d’établir une telle classification. Après, on peut classer les humains selon une multitude de critères génétiques.

      La vraie différence entre le « NOUS » et le « EUX », réside dans la culture, ce logiciel que nos parents et l’école nous ont implanté dans notre tendre enfance, et qui dépend le plus souvent de la nationalité de l’individu et de son milieu social (ou classe sociale).

      Les différences entre les gens sont dues à leur logiciel culturel, non à leur matériel biologique.


    • Deneb Deneb 9 février 2013 11:56

      Pas racail, racaille !


    • kimbabig 9 février 2013 13:21

      Dr Schweizer,

      Vous pouvez essayer de classer les gens selon les marqueurs génétiques que vous souhaitez, que ce soit ces fameux marqueurs géographiques qui ont donné lieu à tant d’interprétations racialistes abusives, ou d’autres, vous n’avez aucune chance d’aboutir à une classification pertinente, c’est à dire regroupant ce qui est semblable. Vous n’aurez qu’une classification arbitraire qui ne regroupera que ce que vous aurez bien voulu regrouper.

      Donc vouloir s’en servir comme fondement d’une identité ou moyen de reconnaître un intrus me paraît complètement stupide. Et de plus, France, c’est totalement hors de propos, car notre pays s’est construit depuis des lustres par le brassage des populations, et si l’on devait classer un échantillon de la population française selon les marqueurs génétiques géographiques trouvés dans leur ADN, beaucoup auraient de sacrées surprises, je pense.

      Après, si vous êtes Suisse comme je crois le deviner à votre pseudo, je comprends que vous ayez des conceptions différentes de l’identité, qui paraissent aberrantes vu de France (et réciproquement j’imagine), car la Suisse n’a pas vraiment le même passé, avec sa neutralité et sa confédération, ni la même géographie, enclavée qu’elle est dans son isolement montagnard (gaffe à la consanguinité quand même, dans les cantons un peu paumés ça doit pas être triste à ce niveau là...). Gardez donc vos conceptions bizarres pour vos votations, vous au moins vous avez la chance d’en avoir et que leur résultats soient respectés, contrairement hélas à notre dernier référendum (il est vrai que la Suisse a eu le bon sens de ne pas rentrer dans l’ue...).


    • kimbabig 13 février 2013 20:13

      « Un intrus se reconnaît à son faciès »

      N’importe quoi... Ca, c’est justement réservé aux régions reculées où la consanguinité a produit son effet, suite à l’isolement d’une petite population, et où tous les habitants finissent par avoir à peu près la même tronche, (souvent peu remplie d’ailleurs, c’est même là l’origine de l’expression « Crétin des Alpes » : la dégénérescence, due à une trop forte consanguinité, constatée sur certains autochtones de vallées très isolées). Et je ne pense pas que ce soit le cas des Islandais, vu leur nombre.

      Il d’ailleurs amusant de noter que ceux qui se croient capables de deviner d’où viennent les gens en fonction de leur apparence ont tendance à prendre la plus célèbre des Islandaises pour une Chinoise...

      Après, ne croyez surtout pas que votre conception de l’identité est universelle... Chaque pays a sa propre façon de définir les siens par rapport aux autres, et à l’intérieur de chaque pays, chacun peut avoir sa propre façon de se définir par rapport à autrui.

      Par contre, se croire capable de « reconnaître l’intrus à son faciès » revient à baser cette définition de l’autre sur des détails morphologiques, ce qui est, je le maintiens, complètement stupide, et, vous l’avez dit vous même, grotesque, car la morphologie de quelqu’un dépend souvent de son patrimoine génétique.

      « marqueurs génétiques comme fondement d’une identité, ce n’est pas complètement stupide, c’est complètement grotesque. »


  • Kookaburra Kookaburra 8 février 2013 12:08

    Utilisé pour signifier la différence entre les groupes humains , le mot « race » s’attache à des caractères apparents, le plus souvent immédiatement visibles. Les plus frappantes de ces différences sont chez l’homme la couleur de la peau, la forme générale du visage avec ses traits distinctifs, et le type de chevelure. Même si la notion de race au sens humain ne se recoupe pas nécessairement avec une approche relevant de la biologie animale, il n’en demeure pas moins que la notion de race humaine est reconnue par la communauté internationale et réaffirmée régulièrement par les ordres internes. Les tentatives de gommer cette notion du lexique descriptif des caractéristiques de l’humain semblent ne pas avoir été accueillies de façon générale.


    • nemotyrannus nemotyrannus 8 février 2013 19:02

      La race souligne un trait , mais pas forcément le plus juste pour définir un groupe de façon scientifique.


      Je le redis , la RACE c’est l’étiquette facile .
      Non , elle n’est pas ou plus validée scientifiquement , justement . Parce que ce n’est pas vraiment pertinent comme classement , ce n’est pas un problème de politiquement correct ou de je ne sais quoi. 

      Chez les anglo-saxons on parle de races , comme d’un raccourci ( caucasian race / type ) . C’est comme dire « perroquet » ou « tortue » , pour comprendre à quoi on a à faire sans faire dans le détail pour autant. 
      Pour les animaux , au contraire , comme c’est des animaux d’élevage , des formes créées par NOUS on se plaît à les catégoriser . Bulldog ou Berger allemand. Alors que tous les deux sont des canis lupus familaris ( pas de nom pour différencier les deux races )
      La race permet de se faire passer pour un fin connaisseur dans le domaine .

      Encore une fois , la race c’est pour démontrer le caractère unique de quelque chose , mais il y a des groupes d’individus qui semblent différent parce que le MÊME GÈNE s’exprime plus ou moins fortement . 
      Et il faut savoir que la race humaine est très homogène , c’est même assez surprenant. Et assez logique car c’est en Afrique , d’où l’on vient , qu’il y a la plus grande diversité génétique . Ailleurs , ça n’a pas eu trop le temps de bouger . Cette diversité n’est pas non plus assez forte pour avoir créer des sous-espèces. 

      Parler de race , c’est possible , ne vous gênez pas , mais ça ne vous rendra pas plus brillant ni plus rebelle.
      1) Ce n’est pas un bon système de classement , c’est pour ça qu’on l’abandonne. Ce n’est pas parce que ça blesse les communautés.
      2) Ce n’est pas un bon système de classement , c’est pour ça qu’on l’abandonne. Ce n’est pas parce que ça blesse les communautés.
      3) Ce n’est pas un bon système de classement , c’est pour ça qu’on l’abandonne. Ce n’est pas parce que ça blesse les communautés.

      Si on vous dit que c’est blessant , riez au nez de cette personne :->

      La seule réserve que j’émettrai c’est en ce qui concerne le metissage avec le Néandertal . Ce ne sera pas une race non plus mais avec le temps il aurait pu naître une sous espèce qui sait...Quoique , le brassage est tellement fort depuis qu’on à les moyens de voyager loin et vite...

  • Ruut Ruut 8 février 2013 12:51

    Nous somme de race humaine.
    Dans le futur pourquoi pas des Français de race droide ou animal, voir extra-terrestre ?
    La race désigne notre catégorie pas notre nationalité.


  • non667 8 février 2013 14:21

    , pensaient qu’ils allaient retrouver des gènes des Jaunes, des Noirs, des Blancs… Et bien, pas du tout, on ne les a pas trouvés.

    les peaux rouges ,noires ,jaunes , blanches existent bel et bien ! si on n’ a pas trouvé les gènes qui ont présidé a leurs créations c’est que l ’on n’a pas cherché ou que les théories génétiques sont fausses ! smiley smiley smiley smiley
    de plus mon instit communiste ma toujours dit qu’il y avait 4 races !
     il m’ aurait menti ?
     paix à son âme !  smiley smiley smiley


  • njama njama 8 février 2013 14:37

    Le concept de race existe, puisque le mot « race » existe . Au plus loin, étymologiquement et historiquement il apparaît vers la fin du XV° /début XVI° siècle.

    C’est ce que l’on met derrière qui peut prêter à divergences ...cela ne sert à rien de le cacher sous le tapis, ni même de le virer du Larousse, cela ne le fera pas disparaître pour autant.

    La question est pourquoi le mot est-il apparu plus fréquemment au XVIII° / XIX° ? Vous citez Gobineau, c’est le milieu du XIX°

    Les individus de la race caucasique (Cuvier, Anat. comp., t. 3, 1805, p. 17).
    « La race des Atrides, vieille race. Que Bonaparte et sa race doivent tomber, c’est ce qui me paraît infaillible ; mais quelle sera l’époque de cette chute » (J. de Maistre, Corresp., 1808, p. 104)
    « Qui de vous (...) Du maître ou de l’esclave est le plus odieux ? Oh ! fuyons, mon amour ! ces races de vipères ! Emportons nos enfants aux forêts de nos pères ! (...) » (Lamart., Chute, 1838, p. 1063).
    « On possède de très nombreux crânes et squelettes humains de l’époque de la pierre polie (...). Suivant les pays, nous voyons des races à tête ronde, des races à tête allongée, des races de grande stature, des races de petite taille, etc. » (Boule, Conf. géol., 1907, p. 211)
    « Le style est si beau, quand il s’élève, un style de race, comme en ont seuls les nobles, qui se mêlent d’écrire » (Rivière, Corresp.[avec Alain-Fournier], 1905, p. 152)

    http://www.cnrtl.fr/definition/race

    Peut-être qu’en supprimant les causes, on supprimerait les effets et qu’avec le temps le mot tomberait naturellement en désuétude ... ou aurait un sens plus clairement défini. Il ne suffit pas de dire que les races n’existent pas d’un point de vue purement génétique, elles existent au moins dans l’imaginaire, dans le conscient / inconscient collectif comme critères de différences.
    Une piste, le mot « race » est un concept contemporain (à l’échelle historique) de la culture européenne ...


    • Mowgli 8 février 2013 22:06

       Actias  (xxx.xxx.xxx.34) 8 février 15:13

      « Pourquoi il ne condamnent pas la stérilisation des noirs ? »

      Mais puisqu’on vous répète qu’il n’y a pas de races ! Pas de races, pas de noirs, pas de blancs non plus. Rien que des bleus, comme nous l’apprend Alain Colignon. Vous êtes bouché, vous alors !

      Puisqu’il faut vous le redire, redisons-le : l’espèce humaine est la seule qui ne se subdivise pas et ne se subdivisera jamais en races. Incroyable mais vrai. On se perd en conjectures sur l’origine de ce miracle. Sûrement, c’est le Père Bon Dieu Lui-même qui intervient constamment dans l’évolution afin d’empêcher la race humaine (unique, je vous le rappelle) de se diversifier. Je ne vois pas qui ça pourrait être d’autre. Merci Bon Dieu !


  • lowner 8 février 2013 15:49

    Commencez par convaincre les juif qui sont pas ni une race ni un people :))))))


    • lulupipistrelle 9 février 2013 12:22

      A Tel Aviv, ils traquent le gène d’Abrahaam... le plus drôle c’est que ce supposé gène est très présent dans la population arabe israélienne. 


    • ddacoudre ddacoudre 8 février 2013 18:51

      bonjour Alain

      je pense qu’il est urgent que vous changiez de lecture.
       La génétique à fait d’énormes progrès, et nous savons que les yeux bleus sont du à une dé-pigmentation des allèles qui donnent la couleur de l’œil.
      ainsi une infirmité était prise pour un caractère racial qui plus est de nature supérieur.
      Vous en êtes encore resté au valeurs colonialiste du 19 siécle où les citoyens européens , dont français inclus pensaient qu’ils disposaient d’un fondement inné à aller civiliser les autres peuples.
      Vous devriez vous intéresser aux cultures aborigène, et vous serez surpris de constater que malgré quelques aspects cruels et superstitieux elles sont de loin bien moins barbare que notre civilisation dont vous citez un exemple avec l’incision en croyant que c’est la un exemple d’archaïsme où il n’y a que le trait d’une culture civilisatrice d’une religion qui comme toutes les autres devaient apporter la civilisation par rapport aux aborigènes barbares.
      nous trouvons ces distinctions tout au long de notre histoire. Et il est fort à parier que nos successeurs jugent ce que vous penser aujourd’hui être une étape civisilationnelle comme un barbarisme destructeur.
       Vous croyez que notre civilisation est ouverte vous vous m’êtes le doigt dans l’œil, vous voulez surement parler des textes législatifs, c’est loin d’en être le comportement des citoyens qui ne les appliquent la plupart que contraints. Si notre civilisation était ouverte nous n’aurions pas eu besoin de la déclaration universelle des droits de l’homme.
      et il faut que nous nous estimions heureux qu’en ces époques l’on ne tenait pas compte de l’opinion publique mais des « lettrés », car s’il fallait en refaire une avec celle d’aujourd’hui nous remplirions les geôles et couperions plus de têtes que sous la terreur.
      ddacoudre.over-blog.com  cordialement.


  • sleeping-zombie 8 février 2013 17:07

    Hello,

    L’auteur soulève pour moi une interrogation, car même si le concept de race n’existe pas, le racisme, en tant qu’idéologie, existe bien.
    Supprimer le mot « race » de la constitution peut sembler un bon moyen de saper l’idéologie raciste, mais j’ai l’impression que les tenants de cette idéologie se moquent pas mal de ce genre de détail.
    Par ailleurs, supprimer le mot reviens également à rouvrir une porte : si le mot « race » n’est pas mentionné, il devient difficile d’interdire une loi raciste.
    Exemple simple :
    Demain, un député veux faire passer une loi exemptant d’impôts les « caucasiens »...
    Actuellement une telle loi est inconstitutionnelle. Mais si on supprime le mot « race » du dictionnaire juridique, le sera-ce encore ?

    Pour comparaison, l’état a cessé de reconnaître Dieu, mais ça ne l’a pas empêcher de parler de « religion »...


    • logan 8 février 2013 18:51

      Ce qui définit une espèce c’est la capacité des membres d’un groupe d’êtres vivants et de leurs descendants à se reproduire entre eux dans des conditions naturelles.

      Une race est une sous-espèce d’animaux. C’est-à-dire un sous-groupe isolé du reste de l’espèce. Et c’est un terme réservé aux animaux.

      Pour les sous-espèces de végétaux on ne parle pas de race mais de variété par exemple.


    • njama njama 8 février 2013 22:00

      @ logan
      Et c’est un terme réservé aux animaux.

      Mais non, puisqu’il est (a été) utilisé pour l’homme, race aryenne, race juive, race blanche, jaune ou noire ... . Cessez de vous voiler la face.
      C’est du déni historique que vous faites, si pas du négationnisme.
      Que de l’emploi de cette « catégorisation » (une parmi d’autres, arbitraire je suis d’accord, puisque fondée sur tels ou tels critères) il fut fait un mauvais usage n’enlève pas l’idée et la réalité sémantique (approximative) qu’elle véhicule.
      Ce n’est pas en gommant le mot de la Constitution que l’idée disparaitra, ou alors vous vous mettez le doigt dans l’oeil.
      On peut trouver les races belles,c’est mon cas ... je trouve cette singularité très belle et poétique même !


    • Mowgli 8 février 2013 22:28

      logan : "Ce qui définit une espèce c’est la capacité des membres d’un groupe d’êtres vivants et de leurs descendants à se reproduire entre eux dans des conditions naturelles."

      Intéressant, ça. Avec le mariage pour tous on apprendra enfin s’il y a des humains qui ne font pas partie de l’espèce.


    • Croa Croa 8 février 2013 23:41

      « On peut trouver les races belles,c’est mon cas ... »

      Les plus belles femmes, par contre, sont souvent issues d’un mélange.

      Comme quoi c’est pas si évident que ça !


  • Paul ORIOL 8 février 2013 17:53

    Vous proposez de remplacer « race » par « groupe de population ». Intéressant.
    Paul


    • lulupipistrelle 9 février 2013 12:41

      C’est déjà avec ce mot que vous pouvez explorer le net en quête d’articles scientifiques qui divulguent les secrets de la génétique, ha,ha,ha. 


  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 8 février 2013 18:00

    L’auteur est dans l’erreur car les analyses de l’ADN permettent d’effectuer la classification raciale. C’est par l’analyse génétique autosomale (autrement dit par l’analyse du génome, donc de l’ADN) que l’on peut déterminer l’ascendance principale d’une personne et donc sa composition raciale. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).

    Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.

    Par ailleurs les techniques qui découlent de ces recherches sont utilisées aussi par des sociétés commerciales (cliquez sur le lien et vous pourrez le constater : c’est précisé en bas de page) qui par la mise en application des analyses autosomales proposent d’établir quelle est la composition raciale d’un individu et, selon les moyens techniques dont elles disposent et selon les dépenses financières que l’on est prêt à consentir, elles peuvent aller plus ou moins loin dans le détail de l’analyse. Ces sociétés présentent le rapport d’analyse en donnant pour l’ADN analysé au moins la part des trois principaux regroupements raciaux (Européen, Africain sub-saharien, Est-Asiatique) mais il est possible aussi d’obtenir la répartition plus fine par des sous-groupes raciaux.

    L’auteur est dans l’erreur mais AgoraVox publie ce qui lui plait...

    Pas seulement sur AgoraVox, mais en France en général dans les médias la censure empêche de propager certaines vérités, parmi lesquelles la vérité sur les races humaines.

    Par exemple concrètement sur AgoraVox, si vous avez publié quelques articles sur AgoraVox alors vous avez le statut de « rédacteur » d’AgoraVox et alors vous avez accès aux articles qui sont en attente de validation.

    Dans ce cas vous pouvez constater dans la rubrique « Actualités / Société » que l’article qui depuis le 19 janvier 2013 est bloqué à la validation par la rédaction d’AgoraVox a pour titre « L’avenir des races humaines ». Cet article est depuis plus de deux ans régulièrement refusé par AgoraVox avec la mention : « Nous vous remercions d’avoir soumis votre article "L’avenir des races humaines" sur AgoraVox. Toutefois, le quorum nécessaire n’a pas été atteint pour qu’il soit publié. Nous en sommes désolés. Toutefois, si votre article est encore d’actualité ou peut être actualisé, n’hésitez pas à le proposer de nouveau ». L’article est peut-être refusé parce qu’il expose des vérités qui dérangent certains.


    • logan 8 février 2013 18:54

      Pauvre raciste.

      Ce qui définit une espèce c’est la capacité des membres d’un groupe d’êtres vivants et de leurs descendants à se reproduire entre eux dans des conditions naturelles.

      Une race est une sous-espèce d’animaux. C’est-à-dire un sous-groupe isolé du reste de l’espèce. Et c’est un terme réservé aux animaux.

      Pour les sous-espèces de végétaux on ne parle pas de race mais de variété par exemple.

      A l’heure actuelle, il n’existe qu’une seule race humaine. La notion de race n’a rien avoir avec la couleur de peau.


    • Jean-Philippe 9 février 2013 08:18

      Bonjour,

      Merci Logan pour ce rappel simple et clair qui clôt ce débat, sauf évidemment pour une majorité qui associe sans vergogne « race » et « xénophobie ».

      Car c’est la peur qui est en vérité à l’origine de bien des réactions sur ce sujet. La peur de l’autre, la peur de sa différence, et même si au sein de l’espèce humaine, celui-ci est sémantiquement obligatoirement de ma race, la peur emporte tout, et la sémantique avec.

      L’origine de cette peur réside dans notre génome. Notre capacité à discriminer est un des moteurs de l’évolution, et à ce titre, un des moyens de la survie de l’espèce.

      Ce moteur est actuellement dénommé « sélection de parentèle », et constitue un important corpus théorique qui a intégré et mis en lumière la théorie darwinienne.
      Un régal pour les éthologues, mais pas un sujet rationnellement traitable sur agoravox !


  • joelim joelim 8 février 2013 18:39

    C’est le prochain chantier du quinquennat PS-EELV après celui du mariage, je présume ? smiley 


    Bien sûr le mot « raciste » vous le gardez ? smiley 

  • ddacoudre ddacoudre 8 février 2013 19:09

    bonjour martin

    Un bon article que je partage, ce qui n’est pas le cas de beaucoup. la notion de racisme est socialement bien encré, encré dans une confusion entre inné et culture que nous devons à la faiblesse de notre éducation qui a beaucoup de difficulté à écarter la xénophobie naturelle qui sélection les relations. Les progrès de la connaissances de ses derniers 50 ans n’ont pu être démocratisé pour que les citoyens réorganisent avec leur pensé. Nous avons donc une fracture intellectuelle qui ne touche malheureusement pas que ce sujet et qui nous ouvre les portes v d’un glissement fascisant vers lequel de toute bonne fois les citoyens se dirigent sans en avoir conscience assuré des réminiscences de leurs justifications. C’est là le poison du fascisme ont y entre sans sans rendre compte. Et malheureusement les débats politiques polémistes et les médias de désinformation ne concourent pas à éclairer les citoyens.

    il est à noter effectivement que d’ici une trentaine d’année l’uranium va se raréfie et que les états se placent dans les parties géographiques ou il s’exploite. Mais il n’est pas de bon ton d’expliquer cela aux citoyens qui la plupart du temps sont « crasses » et ne réagissent qu’aux phénomène émotionnel égoïste. Il va sans dire que tous les partis politiques usent de cette ficelle
    . Le débat sur le mariage pour tous est la démonstration de cet abîme.
    cordialement.ddacoudre.over-blog.com.


  • pierrot pierrot 8 février 2013 19:43

    Article courageux et scientifiquement exact.
    Je crains que beaucoup de lecteurs ne comprennent pas ce raisonnement.
    Dommage !


  • eric 8 février 2013 20:37

    Article reposant sur des aberrations linguistiques et des erreurs scientifiques, mais aux enjeux politiques clairs même si pas très ragoutants.

    « Peu de races de chiens sont inter fécondes avec les loups »

    Or,

    1) au contraire les chiens sont en général inter-féconds avec les loups
    http://www.loup.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?rubrique11
    http://nature-chasse.chez-alice.fr/le_loup_en_france/espece_loup/le_loup.htm
    etc, etc, etc.....Erreur scientifique.

    2) L’auteur recours au concept de race concernant des chiens qui pour le coup, sont tous inter-fécond entre eux, jusqu’au Chihuahua et au Saint Bernard, un peu comme un pygmée et un suédois. Contradiction dans les termes qu’il emploi.

    Il est facile d’en conclure qu’il est indifférent, a la science, a la race, au racisme, et, et c’est sans doute le pire, a la langue française.

    Non pas parce que la langue mériterait plus de respect ou de défense qu’une couleur de peau par exemple, mais parce que c’est justement avec cela qu’on voit ou il veut en venir. Pourquoi cette logorrhée contradictoire ?

    C’est le mariage pour tous qui recommence. On mélange une évolution des liens juridiques possibles entre personnes de même sexe avec la décision de pouvoir priver des enfants de leur filiation au gré des adultes et pour leur faire plaisir, puis a chaque interrogation sur le devoir de protection des gosses, on répond homophobie.

    Il l ’explique très bien. La révision constitutionnelle n’est pas possible compte tenu du rapport de force politique au congres.
    On va donc avoir une proposition de révision constitutionnelle parfaitement inutile ou on ne nous parlera que de racisme pendant quelques mois.
    On nous « démontrera » que toute personne s’obstinant, au 21 eme siècle, a distinguer un chihuahua d’un Saint Bernard est une sorte de catho moisi en voie de frontisation et autres joyeusetés.

    On évitera ainsi a nouveau de se demander par exemple pourquoi chaque fois qu’un fonctionnaire descend dans la rue on augmente nos impôts.

    C’est cette conception du dialogue politique qui est au final peu ragoutante, En fait, et je pèse mes mots, elle rappelle étrangement les « heures les plus sombres de notre histoire.... »


  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 8 février 2013 20:56

    C’est certainement une coïncidence : quelques minutes après mon commentaire ci-dessus, l’article que j’ai mentionné et qui attendait la  validation par la rédaction d’AgoraVox « L’avenir des races humaines », a été de nouveau supprimé, avec le commentaire habituel. Alors je viens de nouveau de proposer sa publication. Cet article est depuis plus de deux ans régulièrement refusé par AgoraVox avec

    la mention : « Nous vous remercions d’avoir soumis votre article "L’avenir des races humaines" sur AgoraVox. Toutefois, le quorum nécessaire n’a pas été atteint pour qu’il soit publié. Nous en sommes désolés. Toutefois, si votre article est encore d’actualité ou peut être actualisé, n’hésitez pas à le proposer de nouveau ».
    Si vous avez publié quelques articles sur AgoraVox alors vous avez le statut de « rédacteur » d’AgoraVox et alors vous avez accès aux articles qui sont en attente de validation : dans la rubrique « Actualités / Société » vous pouvez lire « L’avenir des races humaines ».


    • Croa Croa 9 février 2013 00:15

      à priori sur ce texte, assez technique, il n’y a pas à redire. Sauf :

      - Sur le fond, tu prétend que le métissage n’aura pas lieu de manière sensible, à mon avis c’est une erreur mais à chacun ses idées après tout !
      - Coté forme tu aurais dû océriser les sources citées au lieu de coller des images-texte. ( Tes commentateurs ne pourront pas les reprendre. De plus, en procédant ainsi comme si tu voulait cacher ça à google, il ne peut pas y avoir d’indexation, ce qui est contraire à la netiquette.)


  • Le Bordelleur Le Bordelleur 8 février 2013 21:13

    Le texte de la constitution est là pour nous protéger contre toute forme de racisme.
    Vouloir supprimer au nom de l’« anti-racisme » est une connerie abyssale.


  • jef88 jef88 8 février 2013 21:15

    les races n’existent pas !
    alors laissons les racistes délirer ....dans leur coin !


  • Mowgli 8 février 2013 21:41

    « La notion de race n’existe pas »

    Il y a des langues qui n’ont pas de mot pour « couleur ». Pour leurs locuteurs la notion de couleur n’existe pas. Ce qui n’empêche pas les couleurs d’exister dans ces contrées.

    Il y a des langues qui ne permettent de compter que jusqu’à deux. Vous croyez sans doute que ces gens-là n’ont que deux doigts aux mains et deux orteils aux pieds.


  • volpa volpa 8 février 2013 22:03

    Même le peuple élu n’est pas différent des autres.


  • Jean-Philippe 8 février 2013 22:50

    Bonjour Monsieur Martin,

    Et merci pour ce rappel humaniste, scientifiquement exact, mais qui arrive bien tard déjà, comme vous pouvez le constater au vu de nombreux commentaires ...

    C’est que je suis très instruit dans le domaine humain, et qu’étant en outre un gestionnaire expérimenté, il m’est facile d’établir le lien entre l’épuisement des ressources que vous évoquez en fin d’article, et l’orientation des commentaires en réponse à vos propos.

    La pression résultant de l’épuisement des ressources est déjà très perceptible au niveau social, le bouc émissaire sera bientôt le roi, et à cette fin, tout qualificatif discriminant pourrait être utile !

    je partage le diagnostic de quelqu’un que vous devez bien connaître (Un vieux prof de math qui picole, parait-il), sauf que moi, je sais à quel point les solutions qu’il préconise sont des utopies, ce qu’il n’ignore certainement pas lui-même, et qu’en conséquence, je suis encore plus pessimiste que lui sur notre avenir à dix ans !

    Néanmoins, pour lui comme pour vous, je n’ai qu’admiration pour ceux qui persistent à faire ce qu’ils espèrent utile, tout en sachant qu’ils n’en retireront que des critiques ...


  • MdeP MdeP 9 février 2013 00:17

    L’espèce humaine est le fruit de l’apparentement dans le temps. On parle de proto-populations. Le généticien anglais Bryan Sykes a réussi à déterminer 7 lignées maternelles en Europe (d’où son livre Les sept filles d’Eve) et environ 33 dans le monde par le biais de l’analyse de l’ADN mitochondrial de diverses populations mondiales. Cette analyse s’est faite sur une base de 500 gènes qu’il a nommée « région de contrôle ». Il a pu ainsi rectifier des erreurs en positionnant ces lignées maternelles dans le temps et entre elles. D’où notion d’Eve mitochondriale. 

    Ainsi, pour l’anecdote, les Basques sont bien issus des chasseurs cueilleurs du paléolithique tout comme 80 % de la population européenne. Jusque là, il nous était enseigné que la population européenne était majoritairement issue du Moyen-orient. 
    Je suis consternée par la médiocrité de certains commentateurs et notamment par @scheiweizer et @anaxane, pour ne citer qu’eux. Merci à l’auteur de l’article. Il est urgent de supprimer ce mot inexact et primaire de notre Constitution. Mais il est encore plus urgent de mettre, dès l’école primaire et le cours élémentaire première année, ce sujet dès les premières leçons de sciences et d’histoire. 

    • MdeP MdeP 9 février 2013 00:58

      Le Professeur Bryan Sykes a fait ses recherches à partir de l’AND mitochondrial pour établir ses « clans » comme il nomme ces lignées maternelles parce que les mitochondries ne sont transmises que par les femmes.


    • MdeP MdeP 9 février 2013 01:30

      Comment le Professeur Bryan Sykes a-t-il procédé ? Très simplement : à partir des milliers d’échantillons d’ADN mitochondrial collectés partout dans le monde, il a procédé au comptage des duplications de cette fameuse « région de contrôle »« . Des mathématiciens ont été nécessaires pour traiter les données.

      Ses travaux ont été validés par d’autres chercheurs à partir d’études parallèles sur »Adam".

  • ricoxy ricoxy 9 février 2013 00:51

    « La notion de race n’existe pas »

    – tout comme la notion de sexe, remplacée par « genre », et les notions de père et mère remplacées par « parents ».

    Le gouvernement, en période difficile (paupérisation, chômage ...), n’a-t-il autre chose à faire que jouer sur les mots et détruire la société ?


  • lulupipistrelle 9 février 2013 03:00

    Qu’on se le dise... etc. ben dites le vous, moi je dis le contraire.


    • lulupipistrelle 9 février 2013 03:03

      Et puis le mot concept c’est pour une abstraction, et les races c’est très concret. 


      Ah le malheur de ne pouvoir nous empêcher de lire autre chose que la vulgate française...

  • Stof Stof 9 février 2013 03:36

    Si la notion de races humaines n’existe pas, alors elle n’existe pas plus chez les chiens ou les autres espèces. On peut dire exactement la même chose.

    D’ailleurs, les frontières entres espèces sont souvent floues (par exemple entre le singe et l’homme).
    Il existe pourtant de nombreuses caractèristiques entre différents groupes de populations. La couleur de la peau en est un exemple. Certaines donnent des avantages : chez les blancs, la longueur du nez permet de réchauffer l’air froid avant de le respirer. Chez les Tibétains, on trouve plus de globules rouges pour mieux absorber l’oxygène rare des montagnes, les Bantous stockent moins la graisse pour mieux supporter la chaleur. Etc.

    Ce qui est idiot, c’est de dire que certains groupes seraient supérieurs à d’autres. Tout dépend du milieu.
     De plus, il existe plus de différences génétiques d’un individu à l’autre qu’entre deux groupes d’individus d’ethnies différentes.


  • Gérard Luçon Gérard Luçon 9 février 2013 09:35

    et comme le dit l’excellentissime ethnologue, Lilian Thuram : « les races n’existent pas », contredisant en cela le non moins excellent footballeur qu’etait Claude Levi-Strauss

    euh ..... ce serait pas l’inverse ?

    je suis de l’espece humaine et de race blanche,

    mon chien est de l’espece « canis » et de race indeterminee


  • MdeP MdeP 9 février 2013 10:05

    @lulupipistrelle @ stof @gérard luçon

    Et « allèle dominant » connaissez-vous seulement ce mot ? 

    • lulupipistrelle 9 février 2013 11:52

      Et vous vous savez ce qui se cache derrière les mots phénotype, typage HLA ?



      Vous savez pourquoi Henri VIII n’a jamais pu avoir qu’un enfant sain au plus, par femme ?

      Vous voulez une preuve concrète qu’il y a plus que des races différentes : la non fécondité de certains couples par exemple , sans hypofertilité bien sûr... 
      et plus généralement toutes les limitations à la reproduction entre personnes parfaitement saines ...sans référence à la psychologie bien sûr.. 
      Les faits sont durs : il suffit de faire un tour dans des pubs étrangères pour s’informer. 



      De toute façon , la pensée officielle , je m’en tape... Je suis immorale selon les critères amerloques qui plaisent pour une fois à tous les gôchistes d’AV...

    • MdeP MdeP 9 février 2013 12:10

      MdeP @lulupipistrelle

      Il faisait bon à côté du radiateur ? 
      C’est n’importe quoi.

    • lulupipistrelle 9 février 2013 12:18

      Belle capacité d’argumentation... vous êtes prof ? 


      Sinon, j’ai un grand soleil dans maison. 

  • ricoxy ricoxy 9 février 2013 10:25

    C’est une constante des fascismes que de pervertir le langage : on change le sens des mots, on supprime ou ostracise (diabolise) d’autres mots, tout est fait pour pervertir la réflexion.


    • lulupipistrelle 9 février 2013 11:55

      Bien sûr. A ce propos un excellent livre : Benno Muller-Hill, Science naziescience de mort... le mécanisme de perversion du langage précède les crimes. 


    • ricoxy ricoxy 9 février 2013 13:02

      Je vais en prendre connaissance. Il y a aussi l’ouvrage de V. Klemperer : Lingua Tertii Imperii (La Langue du Troisième empire).


  • Gérard Luçon Gérard Luçon 9 février 2013 10:29

    @MdeP bien entendu

    tout le monde sait que Liliam Thuram est allèle arrière !

    Les différents types d’allèles sont les suivants :

    • des allèles co-dominants sont des allèles qui s’expriment en même temps. Chez les individus hétérozygotes, en cas de co-dominance, les deux allèles sont exprimés. En principe, le phénotype est par conséquent l’expression conjointe des deux allèles. Pour tout autant, le phénotype peut ne pas refléter la contribution des deux allèles si d’autre part l’expression d’un autre gène « contredit » l’expression d’un des deux allèles. Pour prendre un exemple simple, la couleur rouan de la robe chez les bovins résulte d’un mélange de poils rouges et de poils blancs dû à l’hétérozygotie des allèles codant chacun une couleur de poils ;
    • un allèle létal est une forme mutante d’un gène, qui entraîne la mort de l’individu à l’état homozygote s’il est récessif ou hétérozygote s’il est dominant. Dans le cas d’un allèle létal dominant, il est éliminé quand il suvient (mort de l’individu avant l’apparition) et il ne sera par conséquent pas transmis
    • un allèle nul est un allèle qui apporte un produit génique non fonctionnel ;
    • un allèle récessif est l’état allélique d’un gène où l’homozygotie est indispensable pour l’expression du phénotype approprié, au contraire d’un allèle dominant ;
    • les allèles multiples sont observés quand il y a l’existence, dans une population, de plus de deux allèles sur un même locus.

    Bref une belle histoire d’homo et hétéro-zigotos !


    • MdeP MdeP 9 février 2013 15:09

      MdeP @ Gérard Luçon

      L’allèle est le nom scientifique du « caractère », un signe distinctif transmis de génération en génération, une information portée par UN gène : taille, couleur de la peau, des yeux ... On parle de phénotype.
      Il n’y a qu’une espèce humaine. La définition de l’espèce est : individus capables de se reproduire entre eux et d’avoir des descendants fertiles.


    • lulupipistrelle 9 février 2013 18:00

      @Non la définition de l’espèce est un peu plus nuancée : deux individus (mâle et femelle, cela va de soi) appartiennent à la même espèce s’ils sont inter-féconds et si leur descendance non seulement est fertile mais a les mêmes caractères qu’eux..

      Or toute limite à cette inter-fécondité, quand elle n’est pas accidentelle, et on en connait plusieurs, donne matière à réflexion.. mais réfléchir n’est pas dans votre programme. 




  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 9 février 2013 11:04

    Il semble que certains lecteurs ont des doutes : la science a-t-elle identifié l’existence des races humaines ou bien a-t-elle constaté que les races humaines n’existent pas ?

    J’ai déjà donné des éléments de réponse dans le commentaire plus haut, mais il semble utile d’apporter plus de précisions.

    L’auteur de l’article affirme que la science a établi que les races humaines n’existent pas. Mais c’est une affirmation erronée et donc il s’ensuit que les conclusions de cet article sont basées sur cette affirmation erronée.

    C’est un fait que certains scientifiques, au services de l’idéologie mondialiste (ou globaliste), nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là.

    Pendant ce temps des scientifiques intègres, mais qui sont ignorés par les médias, considèrent que les différences biologiques entre les branches de l’humanité sont clairement marquées de sorte qu’on peut parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial.

    La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » a réussi à imposer depuis quelques dizaines d’années s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ».

    Alors que dit la science concernant les races humaines ? En effet : « La vérité c’est que chaque espèce est composée de plusieurs races et que l’espèce humaine n’échappe pas à cette règle naturelle. ». Pour en savoir plus vous pouvez lire l’article dont le lien est donné en fin du présent commentaire.

    Une discipline scientifique ancienne est capable de déterminer l’appartenance majoritaire d’un individu à une race : c’est l’anthropologie. Par l’examen d’une série de caractéristiques physiques, l’anthropologie permet de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. Ainsi les experts en criminologie sont capables, par l’examen du squelette, de déterminer avec une forte probabilité quelle est la race dominante de l’individu.

    Plus récemment c’est la génétique qui a apporté toute la fiabilité dans la détermination de la composition raciale d’un individu. Da façon analogue à l’anthropologie, l’analyse génétique autosomale permet également de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. La où l’anthropologie examine les caractéristiques biologiques macroscopiques, l’analyse génétique autosomale examine les caractéristiques biologiques microscopiques tout en apportant plus de précision.

    Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.

    La science génétique progresse et cerne de mieux en mieux la question des groupes raciaux humains. C’est un fait qui est délibérément évacué en France où les médias acceptent, sans tenter de le contredire, le dogme propagé par les « bien-pensants » que « les races humaines n’existent pas ».

    L’analyse génétique autosomale est donc capable de déterminer l’ascendance principale d’une personne. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).

    Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.

    Dès les premières études sur les groupes de populations humaines, basées sur l’analyse autosomale, dans les années 1990, la différentiation en groupes raciaux est apparue comme une évidence. Par exemple sur ce lien on peut examiner le graphe sur lequel sont représentées les distances génétiques entre les groupes raciaux - telles qu’elles ont été mises en évidence par une étude effectué par les chercheurs de l’équipe conduite par le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza (Stanford University).

    En France il est devenu impossible de propager la vérité sur les races humaines. Par contre, depuis une trentaine d’année, la propagation du mensonge « les races humaines n’existent pas » est facilitée. Et pour rendre la question confuse on a remplacé la notion de « race » par la notion de « ethnie ». Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.

    La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques.

    L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies. Il ne faudrait pas utiliser la notion de « ethnie » pour remplacer la notion de « race » - pourtant c’est ce qui est fait en France.

    En France la censure empêche de propager la vérité sur les races humaine.

    Les médias français ont éliminé le franc-parler pour utiliser un charabia « politiquement correct ». Par exemple le titre « Un violeur en série d’origine africaine recherché à Paris ». Que signifie « d’origine africaine » ? Serait-ce « Noir » ? Le terme « d’origine africaine » est source de confusion, car par exemple Ségolène Royal est née au Sénégal est-elle « d’origine africaine » ? En vérité on cherche un individu d’un certain type racial mais en France c’est suspect de le dire ouvertement.

    En France on est allé tellement loin dans le dénigrement de la réalité que l’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.

    En conclusion qu’on se le dise une bonne fois pour toutes : la différentiation des humains en groupes raciaux est une évidence confirmée par la science moderne.


    • MdeP MdeP 9 février 2013 12:50

      MdeP @ Martin

      Le généticien Bryan Sykes a positionné les 33 lignées maternelles de l’Humanité en remontant par l’Eve mitochondriale. Pour l’Europe, 7 lignées maternelles à – 10 000 ans, - 15 000 ans, - 17 000 ans (2), - 20 000 ans, - 25 000 ans et – 45 000 ans. La distance génétique est précisément celle qui sépare ces lignées les unes des autres. Elle a été calculée à l’aide de la duplication de cette fameuse « région de contrôle » base immuable de 500 gènes de l’ADN mitochondrial. Oseriez-vous affirmer que l’Europe est composée de 7 races différentes ? ?

      Les travaux du Professeur Bryan Sykes ont été contestés par le professeur Luigi Cavalli Sforza en personne. En effet, les résultats du généticien anglais prouvaient que la population européenne est issue à 80 % des chasseurs cueilleurs du paléolithique. Alors, que jusque là, la théorie de la vague du Moyen-orient submergeant l’Europe était la théorie officielle... du professeur Luigi Cavalli Sforza.

      Les boules, Luigi ...

      Luigi Cavalli Sforza a donc mené ses recherches sur « Adam » ... pour arriver aux mêmes résultats que le Professeur Bryan Sykes.

      Alors @Martin, oseriez-vous affirmer que l’Europe est composée de 7 races différentes ?

      Après les Victoires de la musique, les Victoires de la débilité ?


    • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 9 février 2013 18:54

      @ Martin

      Je trouve votre propos de pur bon sens. Cela me paraît une évidence.
      Nous avons tous les outils et techniques génétiques nécessaires pour faire toutes les distinctions que l’on veut.
      Les scientifiques sont les champions de la différence. Il serait étonnant qu’ici ils aient lamentablement échoué et doivent avouer n’avoir rencontré qu’une parfaite homogénéité au sein de la population humaine.

      Il y a clairement une idéologie à l’oeuvre qui interdit de corroborer aussi peu que ce soit la vieille pensée raciale qui a, c’est clair, une détestable charge historique.

      On ferait mieux d’éduquer à la manipulation de notions sensibles plutôt que de prétendre les éradiquer.

      Quoi qu’il en soit, bon courage, il semble que tout cela suscite une forte opposition pas vraiment portée sur l’argumentation rationnelle.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 10 février 2013 03:27

      @MdeP .. vous donnez des dates plutot globales, 15000 ans, 45000 ans etc ....pourriez-vous nous communiquer les jours et heures, c’est pour calculer le zodiaque, qui influencerait le caractere des genes


  • COLRE COLRE 9 février 2013 12:13

    Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »

    Justement, non, là est tout le problème, ce n’est pas du tout 50/50, ce qui reviendrait à dire qu’un « Blanc » « pur » existerait. Or, toute son ascendance est elle-même issue d’une myriade de métissages des allèles. La race pure n’existe pas chez les humains.

    Ex : un Chihuahua a un pedigree, un Berger allemand aussi, un caniche aussi, etc : ils sont de race à peu près « pure », du fait d’une intense sélection.

    Croisez un Chihuahua et un Berger allemand : de quelle race est le rejeton ? croisez le rejeton avec un caniche : de quelle race est ce nouveau rejeton ? Il n’est pas d’une race, c’est un « bâtard », voire un « corniaud »…

    Avec vos théories racialistes/racistes, il vous faut admettre que tous les hommes sont des corniauds… certains peuvent avoir la fourrure du Setter, l’intelligence du Berger ou la queue du caniche, mais ils n’appartiennent à aucune race.


    • lulupipistrelle 9 février 2013 12:37

      Ah tiens, et pourquoi c’est le blanc qui serait mélangé ? j’ai connu personnellement beaucoup de mulâtres de la première génération, père blanc, mère noire... avec des yeux bleus ou verts.. Héritage d’un ancêtre déjà blanc ? ben pour au moins deux qui ont cherché oui.... 


      Même chose pour des eurasiens de première génération... 




    • COLRE COLRE 9 février 2013 12:59

      Absolument, il faut connaître un peu l’histoire africaine marquée de grands mouvements de population pour savoir que là aussi les métissages furent nombreux pendant ces siècles (et millénaires). Même les groupes apparemment les plus isolés n’ont pas échappé aux métissage par les aléas de l’histoire. Quant aux Blancs, c’est tout aussi une évidence, tout simplement mieux connue.

      Vous remarquerez que votre terme de « mulâtre » est un vestige du racisme propre à l’esclavage (et de la colonisation). Cela montre à quel point les « mots » ont davantage qu’un sens « objectif », purement technique. Ils trimbalent avec eux tout un tas de valeurs et d’idéologie dont il faut savoir se débarrasser.
      Défendre ce vocabulaire, c’est souvent défendre, mine de rien, cette idéologie.


    • MdeP MdeP 9 février 2013 15:55

      MdeP @ Colre

      Vous avez raison de parler des chiens : il n’y a qu’une espèce pour le chien et ce qui est nommé « race » en parlant de Dalmatien, Chihuahua, Labrador est en fait un phénotype. « Race » est inexact. 

    • lulupipistrelle 9 février 2013 16:19

      Oh taisez ce mot que je saurais entendre... tartuffe ? 


      Moi j’use des mots qui ont un sens, surtout quand ils écorchent les oreilles des nouveaux censeurs... Non à la dictautre des bien-pensants, et mal -agissants... ha,ha,ha. 

    • COLRE COLRE 9 février 2013 16:34

      « mulâtre » ? mais usez, usez… je l’entends très bien ce mot et je ne vous censure aucunement, bien au contraire, j’aime savoir tout de suite à qui j’ai à faire… 


    • lulupipistrelle 9 février 2013 17:22

      Tout comme moi, ha,ha,ha. 


    • MdeP MdeP 9 février 2013 17:25

      MdeP@lulupipistrelle

      Un radiateur, deux radiateurs, trois radiateurs...

    • lulupipistrelle 9 février 2013 17:30

      Vieilles rengaines d’impuissance... .ha,ha,ha..

      Quand on est trop nul(le)pour démontrer , juste bon(ne) à recracher ce qu’on a ingurgité.. 

  • nemotyrannus nemotyrannus 9 février 2013 12:24
    Non .


    Tout ce qui est inférieur à la sous-espèce repose sur des critères subjectifs ou pratiques (donc pour aller au plus vite dans notre manie de classer , ENCORE ).
    Pratique , aussi car on l’utilise quasiment exclusivement pour les animaux domestiques.

    Une race laitière et une race à viande , ça existe mais ce classement n’est PAS scientifique.
    Avant on classait aussi en races nuisibles ou esthétiques...

    Un noir et un blanc ne sont pas des sous-espèces différentes mais on peut dire que c’est deux races différentes.... Ou pas ! C’est là que la nuance est énorme.
    Parce que à un moment donné , ça a arrangé quelqu’un de les classer ainsi ! Et un autre pourrait les classer dans la même race en choisissant un autre critère que la couleur.

    Ce ne sont pas des classes officielles , encore moins internationales. Mais elles existent pourtant car c’est PLUS PRATIQUE.

    Pourquoi croyez vous que personne ne s’accorde su le nombre de races ? Passant de 10 , 450 et bien plus selon les personnes...







  • Gérard Luçon Gérard Luçon 9 février 2013 13:48

    je vois que la sodomisation des drosophylles n’en finit pas, je vais donc synthetiser l’ensemble de ces elucubrations, de nouveau : Liliam Thuram est allèle arrière


    • MdeP MdeP 9 février 2013 15:14

      MdeP @ Gérard Luçon

      Et vous, oseriez-vous affirmer que la population européenne comporte 7 races ? 
      Que vous soyez complètement vulgaire, débile et ignare, c’est clair ! Mais vous n’êtes pas obligé de nous le faire savoir.

    • MdeP MdeP 9 février 2013 16:02

      MdeP @ Gérard Luçon

      Et vous, oseriez-vous affirmer que la population européenne est composée de 7 races ? 

    • lulupipistrelle 9 février 2013 17:24

      Et qui au juste prétend que la population européenne est composée de 7 races ? lesquelles ? je suis très curieuse de nature, et surtout j’aime les démonstrations. 





    • MdeP MdeP 9 février 2013 17:27

      MdeP @ lulupipistrelle

      Quatre radiateurs, cinq radiateurs, six radiateurs... que vous soyez une curiosité me semble plus proche de la réalité.

    • lulupipistrelle 9 février 2013 17:32

      Heureusement qu’il y a la retraite pour vous sauver d’un long calvaire.. ha,ha,ha. 


    • MdeP MdeP 9 février 2013 18:05

      MdeP @lulupipistrelle

      L’espèce humaine est le fruit de l’apparentement dans le temps. On parle de proto-populations. Le généticien anglais Bryan Sykes a réussi à déterminer 7 lignées maternelles en Europe (d’où son livre Les sept filles d’Eve) et environ 33 dans le monde par le biais de l’analyse de l’ADN mitochondrial de diverses populations mondiales. Cette analyse s’est faite sur une base de 500 gènes qu’il a nommée « région de contrôle ». Il a pu ainsi rectifier des erreurs en positionnant ces lignées maternelles dans le temps et entre elles. D’où notion d’Eve mitochondriale. 

      Ainsi, pour l’anecdote, les Basques sont bien issus des chasseurs cueilleurs du paléolithique tout comme 80 % de la population européenne. Jusque là, il nous était enseigné que la population européenne était majoritairement issue du Moyen-orient. 


      Le Professeur Bryan Sykes a fait ses recherches à partir de l’AND mitochondrial pour établir ses « clans » comme il nomme ces lignées maternelles parce que les mitochondries ne sont transmises que par les femmes.


      Comment le Professeur Bryan Sykes a-t-il procédé ? Très simplement : à partir des milliers d’échantillons d’ADN mitochondrial collectés partout dans le monde, il a procédé au comptage des duplications de cette fameuse « région de contrôle »« . Des mathématiciens ont été nécessaires pour traiter les données.

      Ses travaux ont été validés par d’autres chercheurs à partir d’études parallèles sur « Adam ».


      L’allèle est le nom scientifique du « caractère », un signe distinctif transmis de génération en génération, une information portée par UN gène : taille, couleur de la peau, des yeux ... D’où l’on parle de phénotype.

      Il n’y a qu’une espèce humaine. La définition de l’espèce est : individus capables de se reproduire entre eux et d’avoir des descendants fertiles.


      Le généticien Bryan Sykes a positionné les 33 lignées maternelles de l’Humanité en remontant par l’Eve mitochondriale. Pour l’Europe, 7 lignées maternelles à – 10 000 ans, - 15 000 ans, - 17 000 ans (2), - 20 000 ans, - 25 000 ans et – 45 000 ans. La distance génétique est précisément celle qui sépare ces lignées les unes des autres. Elle a été calculée à l’aide de la duplication de cette fameuse « région de contrôle » base immuable de 500 gènes de l’ADN mitochondrial. Oseriez-vous affirmer que l’Europe est composée de 7 races différentes ? ?

      Les travaux du Professeur Bryan Sykes ont été contestés par le professeur Luigi Cavalli Sforza en personne. En effet, les résultats du généticien anglais prouvaient que la population européenne était issue à 80 % des chasseurs cueilleurs du paléolithique. Alors, que jusque là, la théorie de la vague du Moyen-orient submergeant l’Europe était la théorie officielle... du professeur Luigi Cavalli Sforza.

      Les boules, Luigi ...

      Luigi Cavalli Sforza a donc mené ses recherches sur « Adam » ... pour arriver aux mêmes résultats que le Professeur Bryan Sykes.

      Oseriez-vous affirmer que l’Europe est composée de 7 races différentes  ? 


    • lulupipistrelle 9 février 2013 18:32

      Non. 

      Non certainement pas sur ces critères. 

      En revanche puisque vous êtes ouverte au dialogue, je me pose la question de comprendre comment l’hybridation des homo préhistoriques (au moins les deux connues impliquant les denisoviens et néandertaliens... ) se traduit actuellement dans les populations humaines. 

      En outre, pour des raisons personnelles je suis très intéressée par certains phénotypes qui associés, caractérisent une population régionale d’Europe, avec pour l’un d’eux la stérilité des couples, sur le modèle de Henry VIII...

  • rocla (haddock) rocla (haddock) 9 février 2013 17:10

    nique ta race  disent la nouvelle race des gars machins ....


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 9 février 2013 17:28

    y a pu Euromarché maint’ nant c’ est Prisunic ta mère .


  • Constant danslayreur 9 février 2013 19:03

    Un peu qu’il y a plusieurs races :

    Ainsi il y a des bipèdes qui vivent quatre à cinq fois plus longtemps que les plus âgés des ados accidentés de la route, ben c’est une race à part... heu non mauvais exemple

    Ah voila, je connais des gus tellement futés qu’ils peuvent prédire la météo du lendemain et même celle de la veille du surlendemain c’est dire, moi je dis que ça ne peut être qu’une race à part

    Enfin, les policiers, les militaires et les contrôleurs du fisc sont définitivement, sans le moindre espoir de retour, une race à part

    Plus sérieusement, trouvez moi des bipèdes capables de se passer de se nourrir et de s’hydrater, de se passer d’oxygène et petit lait, ou alors capables d’envoyer paître la mort quand elle frappe à leur porte ou encore ayant assez d’endurance et de zenitude pour se coltiner deux CDs de suite de Mathieu la Mireille sans faire qui un infarc qui un ouioui nerveux et ça commencera à m’intéresser.


    • Constant danslayreur 9 février 2013 20:21

      Jamais rouspété, jamais rouspété, ça c’est toi qui le dis Sampi, en fait il boudait simplement mais t’as pas été fichu de t’en rendre compte et s’il boudait c’est simplement parce qu’à sa demande de grande musique tu as répondu … petit son … et en boucle en plus, assassin

      (Mireille je vous aime beaucoup, malgré Sarko malgré deux trois chansons pas très très enfin bref, je promets que c’est vrai).

      Quant aux corps beaux de surcroit, les grosnanes qui prétendraient rester insensibles à leurs chants des sirènes – pas forcément corses hein, les sirènes pas les chants -, ce seraient surtout de gros menteurs…


    • Constant danslayreur 9 février 2013 21:35

      Manières policées si tu veux, moi je dirais plutôt Kgibées et je le prouve moi môssieu :
      Pour essayer de leurrer son monde, il a tenté sournoisement de noyer le poisson en même temps que le Wladimir trop typé trop putiné, en mettant Sept (07) mots français dans son prénom... il faut vraiment avoir quelque chose à cacher...

      d’ailleurs l’aurait même déclaré 2013 sera une année boomerang... tain... j’ai bien fait de ne pas être philosophe moi, grosnâne c’est beaucoup moins risqué


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 9 février 2013 19:09

    Merci Sam , 


    Pitromane , une jolie distinction .

    Minor swing pour tous !

  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 9 février 2013 19:16

    Chez les coiffeurs pour drames ,on race gratis !


  • Didier Barthès 9 février 2013 19:36

    Ce qui est important c’est de respecter tout le monde, ensuite que l’on mette le mot race ou pas derrière telle ou telle proximité génétique cela n’a guère d’importance.

    Ce qui est sûr est qu’il y a une seule espèce car tous les humains sont interféconds. Mais même s’il y en avait deux (comme à l’époque de Néanderthal peut-être) cela ne changerait rien au respect nécessaire. Donc il ne faut pas se battre pour faire de ce concept la ligne de fracture (en plus si la notion d’espèce est à peu près définie, celle de race est largment plus floue).

    En insistant trop sur les mots on passe à mon avis à côté de l’essentiel.


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 9 février 2013 20:26

    T’  as raison Didier , 


    On connait un race t’ a quouère il fait la bonne zikmu Bob Marley 
    you’r welcome ...

  • LE CHAT LE CHAT 11 février 2013 09:23

    c’est marrant ça , parce quand on retrouve un squelette , les expert savent rapidement dire que c’est un africain , un asiatique ou un caucasien ...
    Décreter que les races n’existent pas , ça n’est que de l’idéologie !
    c’est Lilian Thuram qui va être déçu , lui le raciste noir !


    • nemotyrannus nemotyrannus 12 février 2013 12:33

      Oui ,, mais ils ne peuvent pas dire si il était frisé , puait des pieds , était blond... etc


      Hors tout ça peut AUSSI servir de critère pour parler de races=> donc pas pratique pour classer , on n’en finit pas , la race n’entre pas vraiment dans le système des rangs taxonomiques .

      Si un jour vous voulez faire du trafic humain ALORS vous pourrez en parler car ce sera utile et pratique à ce moment là.

      Vous n’avez pas lu le reste des commentaires ?

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