jeudi 1er novembre 2012 - par Eric Alt

Union européenne : du lobbyisme au trafic d’influence

Le 16 octobre dernier, John Dalli, commissaire européen en charge de la santé et de la protection des consommateurs, démissionnait. Selon le communiqué de l'Office de lutte anti-fraude de l'Union européenne, il est soupçonné d'avoir monnayé son influence pour faciliter l'autorisation d'un nouveau produit à base de poudre de tabac.

Ce n'est pas un fait divers, mais le symptôme d'une dérive qui s'accentue : la captation de la décision publique par le lobbyisme dans les institutions de l'Union. 

Déjà, en 2009, une ONG (Alter-EU) dénonçait une Commission captive. Le rapport montrait la domination écrasante des représentants de l’industrie financière. Il constatait que 19 groupes actifs fournissaient des conseils sur les politiques qui touchent au secteur financier. Les 229 experts dénombrés étaient plus nombreux que les 150 fonctionnaires de la Commission en charge des dossiers de ce secteur. Ces "consultants" ont été activement impliqués dans la conception des politiques qui ont contribué à la crise financière mondiale. Les mêmes auraient été consultés pour les plans de sortie de crise. Ces abus ont déterminé des parlementaires à obtenir la création de Finance Watch. L'information financière des institutions de l'Union est aujourd'hui un peu moins déséquilibrée. Mais le lobby bancaire s'invite encore aux sommets européens.

Une autre ONG, le Transnational Institute, a mis en évidence la mainmise des groupes d'intérêts sur les politiques européennes de recherche en matière de sécurité. Ainsi, le programme européen de recherche pour 2007-2013 coûtera 1,4 milliard d'euros à l'Union européenne. Il a été largement inspiré par l'Organisation européenne pour la sécurité (European organisation for Security-EOS) qui regroupe les principales industries de défense de l'Union. Des "plateformes" travaillant "du point de vue de l'offre et de la demande" regroupent entreprises et organismes publics. Les industries de défense peuvent ainsi définir les programmes qu'elles proposeront de mettre en oeuvre.

 

"Une gestion inappropriée des conflits d'intérêts".

 Le comportement des anciens commissaires est emblématique de cette porosité entre intérêts publics et privé. Après la cessation de leurs fonctions, certains d'entre eux ont aussitôt offert leurs services à des cabinets de lobbying. Ainsi, Günter Verheugen, anciennement en charge du secteur des entreprises et de l'industrie, a fondé un cabinet de lobbyisme "European experience company", se proposant d’aider « les hauts dirigeants des institutions publiques et privées et des entreprises » dans leurs actions de lobbyisme à destination de l’Union européenne, par des « séminaires intensifs de management pour les institutions et les entreprises en coopération avec des experts des institutions européennes ». Il a obtenu pour cela le plein accord de la Commission.

 Ces pratiques proches de la prise illégale d'intérêts sont fréquentes. Un certain nombre sont recensées dans la plainte de l'ONG "Corporate Watch" adressée le 16 octobre 2012 au Médiateur européen. Ce document abonde d'exemples, relevant aussi la complaisance de la Commission en ce domaine.

 Le 11 octobre 2012 , la Cour des comptes de l'Union européenne publiait un rapport, soulignant que les quatre Agences ayant un rôle crucial pour la santé et la sécurité des personnes (l’Agence européenne de la sécurité aérienne, l’Agence européenne des produits chimiques, l’Autorité européenne de sécurité des aliments et l’Agence européenne des médicaments) ne "géraient pas les situations de conflits d'intérêts de manière appropriée". Ce rapport corroborait notamment la dénonciation par deux associations d'une décennie d'influence industrielle à l'Agence de sécurité alimentaire.

 Pourtant, les mesures prises demeurent minimalistes. La Commission européenne a mis en place en juin 2008 un registre facultatif pour les lobbyistes. Mais c'est un dispositif "opaque et faiblement contrôlé". Le Parlement européen n'a jamais pu obtenir la création d'un registre commun obligatoire pour l'ensemble des institutions européennes.

Le lobbyiste qui avait contacté John Dalli était ainsi non enregistré : il faisait sans doute partie de ceux qui prétendent encore que l'auto-régulation est suffisante en ce domaine. Au total, l'ensemble des institutions de l'Union européenne serait sous l'influence de 25000 à 30000 lobbyistes. Environ 150 agences seraient spécialisées dans ce domaine.

 

En France aussi, le sujet commence à faire débat : Transparence International a organisé un colloque à l'Assemblée nationale le 25 octobre dernier. Le commissaire québécois au lobbysme y montrait qu'une approche plus ambitieuse était possible : indépendant, il a une mission de sensibilisation, mais aussi des pouvoirs de sanction.

 Anticor et la coalition "Démocratie et transparence" ont également lancé l'alerte.

Il faut se garder d'imaginer le lobbyiste sous les traits caricaturaux du dispensateur de pots de vin. En l'absence de législation appropriée, l'industrie du mensonge, protéiforme, fait chaque jour reculer la démocratie.

 



31 réactions


  • jean rony 1er novembre 2012 10:42

    Il y a quelque chose de pas très démocratique dans la relation entre les institutions de l’ U.E. et les coteries bancaires. Cela me rappelle le fonctionnement de la démocratie athénienne avec 400 000 habitants et seulement 5 000 votants. On sait qui décide vraiment.

    Voire le livre civilisation et souveraineté, expression majeure de l’humanité, aux éd. du net.

    Jean rony le icpr.ch


    • Innsa 1er novembre 2012 13:14

      « Cela me rappelle le fonctionnement de la démocratie athénienne avec 400 000 habitants et seulement 5 000 votants. »


      Il n’y avait pas de « votants » dans la démocratie athénienne car elle ne fonctionnait pas sur le système du vote.
      La démocratie athénienne fonctionnait sur le principe de l’égalité politique des citoyens et donc sur le tirage au sort.
      C’était une société esclavagiste, donc les esclaves étaient exclus. Les femmes également, ainsi que les étranger. 
      Certain citoyens athéniens étaient également exclus : ceux qui avaient commis des délits, ceux qui voulaient à tout prix le pouvoir, ceux qui étaient ostracisés pour différentes raisons (ils étaient trop charismatiques, ils parlaient trop bien, avaient une morale douteuse etc.), ceux qui étaient trop riches, ceux qui ne s’occupaient pas bien de leurs parents devenus vieux etc. etc.
      Avaient le droit d’avoir des charges politiques ceux qui étaient irréprochables.

    • Michèle 1er novembre 2012 14:30

      @ innsa : « ... démocratie athénienne...Avaient le droit d’avoir des charges politiques ceux qui étaient irréprochables. »


      Question : N’est ce pas ce que l’on est en droit d’attendre de nos élus ? Y compris l’oligarchie de Bruxelles évidemment, bien que ceux là n’aient pas été élus par le peuple... 

      Quand on fait le tour, députés, sénateurs, ministres et tout ce qui navigue autour, président de la république, « élus » européens, ils ne sont pas nombreux ceux qui auraient pu être en charge à Athènes !


    • Innsa 1er novembre 2012 15:32

      Ethiernne Chouard explique très bien que le système dans lequel nous vivons n’a rien a voir avec la démocratie.

      Le vote n’est pas démocratique (pouvoir au peuple) mais aristocratique (pouvoir aux meilleurs) car on doit choisir le meilleur, le plus apte parmi des candidats.
      Le problème est que nous ne vivons même pas en aristocratie, mais en oligarchie (pouvoir de quelques uns) voir en ploutocratie (pouvoir des riches).
      Tout citoyen est capable de constater qu’il n’a aucun pouvoir politique dans nos « démocratie », sauf celui de désigner tous les 5 ans parmi des gens qu’il n’a pas choisi et qu’il connait uniquement a travers les médias, celui qui dirigera le pays. Même si celui ci trahi tous ses engagements de campagne, le citoyen n’a aucun pouvoir légal de le dégager. Il doit manifester, protester, faire grève etc.
      Il faudrait au minimum interdire a tout homme avec un casier judiciaire d’avoir des responsabilités politiques, de donner le pouvoir au peuple de dégager légalement (référendum) quand il le souhaite celui pour qui il a voter s’il se montre traitre. Enfin il faudrait que nous puissions proposer et voter des lois dont les hommes politiques ne veulent pas.

    • jean rony 1er novembre 2012 16:10

      S’il vous plait Monsieur, je sais de quoi je parle, j’ai mes sources dont je vous ai précisé le livre précédemment civilisation et souveraineté sur 400 000 habitants il n’y avait que 5 000 votants et cela a fini dans la tyrannie donc présentez les choses comme vous voulez le résultat est le même. car ceux sont des fonctionnements qui de principe partent sur des bases démocratiques mais à force de contraintes aboutissent à autre chose.

      jean rony icpr.ch


    • Innsa 1er novembre 2012 17:03

      Bonjour jean rony,

      Je ne conteste pas les chiffres que vous donnez car je ne les connais pas.
      Je vous explique juste qu’il s’agissait d’une société esclavagiste. Les esclaves faisaient partie du nombre d’habitants de la cité, il faut les exclure. (si chaque habitant avait un esclave il faut diviser 2), ensuite si vous excluez les femmes qui n’avaient pas le droit de participer à la vie politique, vous enlevez encore la moitié des habitants non esclaves. Si vous excluez les mineurs, les délinquants, les gens à la moralité douteuse, les très riches, ceux que la vie politique n’intéresse pas, ceux qui sont dans l’impossibilité de participer pour des raisons divers (les personnes âgées, les malades, certains handicapés ), les ostracisés etc. etc. vous arrivez logiquement (sans qu’il s’agisse de tyrannie) à une infime partie de la population qui participe effectivement à la vie politique (entre 5000 et 20 000 pers. sur 400 000)

      Par contre, ils ne votaient pas, mais tiraient au sorts leurs représentants.

  • Michèle 1er novembre 2012 11:08

    Banques, agro-alimentaire, santé, défense... Merci de lever le voile sur l’envers du décors de Bruxelles. 

    La corruption ayant complètement pourri la pomme, la solution ne serait-elle pas de couper le fruit de l’arbre ? Personnellement, au point où nous en sommes j’en suis convaincue.


  • SEPH SEPH 1er novembre 2012 11:33

    Les dirigeants des pays occidentaux ne sont que des larbins du système capitaliste qui par l’intermédiaire de ses lobbys finance leur campagne et ouvre l’accès à ses médias pour qu’ils soient élus.

    Les gens se laissent bernés par les belles promesses, la démagogie. Mais chaque fois, le choix est biaisé car ils n’ont le choix qu’entre des représentants du système sous des couleurs différentes. La véritable opposition au système qui n’a pas accès aux médias, est marginalisée.

    La démocratie est en réalité tout son contraire. Nous sommes pas a un paradoxe près, l’Union Européenne a son prix Nobel de la Paix, après avoir tués par des bombardements massifs plus de 100 000 civils libyens pour du pétrole. Quand au Président US Obama, lui aussi prix Nobel de la Paix, est lui aussi un assassin (1) : il désigne lui même les gens a assassiner avec ses drones.

    Bref, les dirigeants des pays occidentaux mènent une politique impérialiste pour que les banques et pour que les transnationales s’emparent des richesses de cette planète sans se soucier qu’ils sèment la famine, et la mort de gens innocents.

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    (1) Un ex-président américain accuse Obama d’être un assassin :

    La rubrique écrite par Jimmy Carter, le 39ème président des Etats-Unis, et publiée lundi dans le New York Times, constitue une condamnation exceptionnelle du gouvernement Obama, de sa pratique de l’assassinat, de ses violations criminelles du droit international et de la constitution américaine.

    Dans sa rubrique intitulée « Un bilan cruel et inhabituel » Carter écrit : « Les révélations selon lesquelles des responsables de haut niveau ciblent des gens pour être assassinés à l’étranger, dont des citoyens américains, ne sont que la plus récente et inquiétante preuve de l’ampleur donnée à la violation des droits de l’Homme par notre pays. »

    Faisant allusion aux dispositions tristement fameuses de la Loi d’autorisation de la Défense nationale (National Defense Authorization Act, NDAA), promulguée le 31 décembre de l’année dernière par Obama, Carter écrit : « Une récente loi a rendu légal le droit du président de détenir indéfiniment une personne parce qu’elle est soupçonnée d’affiliation à des organisations terroristes ou à ‘des forces associées’, un vaste et vague pouvoir qui peut donner lieu à des abus sans contrôle significatif des tribunaux ou du Congrès.  » Il poursuit faisant référence à « des violations sans précédent de nos droits » au moyen d’écoutes téléphoniques et d’exploitation de données électroniques sans mandat.

    Elaborant sur les frappes de drones américains, l’ancien président ajoute, « En dépit d’une règle arbitraire que tout homme tué par des drones est déclaré être un ennemi terroriste, la mort de femmes et d’enfants innocents se trouvant à proximité est considérée comme inévitable… Nous ne savons pas combien de centaines de civils innocents ont été tués dans ces attaques, chacune d’entre elles approuvées par les plus hautes autorités à Washington. Ceci aurait été impensable dans le passé.  »

    La rubrique de Carter est apparue le jour même où l’ambassadeur du Pakistan auprès des Nations unies témoignait devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU, pour dénoncer les attaques de drones américains sur son pays et lors desquelles «  des centaines d’innocentes personnes, dont des femmes et des enfants ont été assassinées. » Il a dit que rien qu’en 2010, 957 Pakistanais avaient été tués.

    Carter continue en dénonçant le gouvernement pour la poursuite des activités du camp de détention de la Baie de Guantánamo à Cuba où, souligne-t-il, sur 169 prisonniers « la moitié ont été déclarés libérables, et pourtant ils ont peu de chance de jamais obtenir leur liberté, » et d’autres « n’ont aucune perspective d’être jamais ni inculpés ou jugés. »

    Dans les rares cas où des prisonniers ont comparu devant des cours martiales, remarque-t-il, les prévenus « ont été torturés plus de 100 fois par le « waterboarding » (simulation de noyade, n.d.t) ou ont été intimidés à l’aide d’armes semi-automatiques, de perceuses électriques ou on les a menacés d’abus sexuels à l’encontre de leurs mères.  » Il poursuit : « Chose étonnante, ces faits ne peuvent pas servir pour la défense de l’accusé parce que le gouvernement prétend qu’ils se sont produits sous le couvert de la ‘sécurité nationale’. »

    Mises à part les objections morales, et il n’y a aucune raison de douter qu’elles jouent un rôle important dans le cas de Carter, l’ancien président exprime de profondes inquiétudes comme quoi la criminalité flagrante des actions menées par le gouvernement américain mine la politique étrangère américaine. Non seulement ses méthodes attisent l’hostilité populaire dans le monde entier, elles privent encore Washington de la capacité de draper sa politique du prétexte des droits de l’Homme et de la défense de la démocratie, une méthode employée de manière significative par l’impérialisme américain depuis son avènement à la fin du 19ème siècle.

    Carter, lui-même, avait joué de manière évidente la carte des « droits humains » durant son mandat présidentiel, alors même que son gouvernement tentait de soutenir le régime de torture du Shah en Iran, avait initié l’insurrection islamiste en Afghanistan appuyée par la CIA et affirmé le droit – dans la doctrine Carter – de l’Amérique d’utiliser la force militaire pour asseoir sa domination sur les réserves pétrolières dans le Golfe Persique.

    On avait fait entrer Carter, ancien officier supérieur de la marine et spécialiste des sous-marins, à la Maison Blanche en 1977 pour restaurer la crédibilité et la renommée de la présidence américaine suite à la débâcle subie par l’impérialisme américain au Vietnam et à la criminalité révélée par le scandale du Watergate.

    Et pourtant, près de quatre décennies plus tard, les méthodes extraconstitutionnelles et la criminalité à la Maison Blanche dépassent de loin tout ce qui avait été fait sous Richard Nixon.

    Il n’y a aucun doute que Carter a soigneusement pesé chaque mot de sa rubrique en évitant toute exagération. En effet, le nom d’Obama n’apparaît pas. Avec les premiers mots de l’article, il a toutefois inséré un lien vers un article assez long paru le 1er juin dans le New York Times et qui documente comment Obama a personnellement dirigé la préparation de la « liste des personnes à tuer, » choisissant des victimes et apposant sa signature sur les frappes des drones alors qu’il est sûr que d’innocents civils seront tués.

    Dans ce contexte, le recours de Carter au mot « assassinat » pour décrire les attaques de drones a une signification évidente. Le président des Etats-Unis, dit cet ancien président, est coupable de crimes de guerre et de meurtres.

    A l’âge de 88 ans, Carter est un observateur impartial, plus préoccupé par son héritage que par un quelconque gain politique. Son témoignage est d’autant plus exceptionnel qu’il a occupé la même fonction qu’Obama, qu’il est du même parti et qu’il avait soutenu l’élection d’Obama.

    Qu’est-ce qui l’a poussé à un peu plus de quatre mois des élections présidentielles, de lancer de telles accusations contre le candidat de son parti et le président en exercice ? Il doit croire que le système politique en Amérique est tombé tellement bas dans la criminalité et que la menace d’un Etat policier est tellement grande qu’il est essentiel pour lui de faire entendre sa voix.

    Carter déclare que ces activités criminelles ont été commises avec le soutien « bipartite du pouvoir exécutif et législatif » et pratiquement « de façon unanime ». En effet, comme pour faire valoir son argument, ses propres commentaires dans la rubrique – qui ont une signification politique explosive – ont largement été ignorés par les médias de masse.

    Douze ans après le vol des élections présidentielles en 2000, la principale leçon de cet épisode crucial de la vie politique américaine est démontrée de plus en plus fortement : il n’existe au sein de l’establishment patronal et politique américain aucune base pour la défense des droits démocratiques et des méthodes constitutionnelles.

    Le gouffre sans précédent entre l’oligarchie financière dirigeante et les masses de travailleurs – qui s’est accru de manière continue durant cette période – est totalement incompatible avec de tels droits et de telles méthodes.

    Les mots de Carter sont un avertissement. La menace d’un Etat policier américain et le recours aux méthodes meurtrières utilisées à l’étranger par l’impérialisme américain contre la classe ouvrière aux Etats-Unis mêmes, est réelle et grandissante. La classe ouvrière doit se préparer en conséquence en mobilisant son pouvoir politique indépendant contre le système de profit capitaliste duquel ces menaces découlent.

    Bill Van Auken

    Source : http://www.legrandsoir.info/un-ex-p... ;

    http://www.wsws.org/fr/articles/2012/jui2012/cart-j28.shtml


    (Article original paru le 27 juin 2012)


    • que le commissaire européen a la santé cee « ait été démissionné ... c’est très bien »

      ou le bat blesse .mr bapt député socialiste président DU CLUB HIPPOCRATE a été réélu et

      réactive son réseau de lobbyistes de 101 députés et sénateurs dont la liste est disponible

      sur agora vox...a club hippocrate

      CET HIPPOCRITE DE PRESIDENT BAPT A REACTIVE SON ASSO.........de lobbyistes

      LUI ET CES 101 COMPLICES ELUS NATIONAUX AURAIENT DU ETRE PUNIS...OU AU MOINS INELIGIBLE

      SERVIER ( médiator) sanofi et mme touraine ancienne de « glaxo...labo » BACHELOT pharmacienne lobbtiste en chef...

      SI ON PUNIT A BRUXELLES MR HOLLANDE ET AYRAULT PIUNISSEZ DONC AUSSI EN FRANCE SINON L UMPS QUI DIRIGEA LA FRANCE 19 ANS A DE BELLES ANNEE DEVANT LUI...


    •  @SEPH.....................................svp faites donc des articles au lieu de commentaires si

      longs...soyez donc« partageurs » NE RENTREZ PAS DANS LE JEU DU NOUVEL ORDRE

       MONDIAL ET DU PS....après la droite avec ’des chiffres...encore des chiffres« ne nous faites pas le

       coup des »sermons« encore des sermons » CAR ON A BEAUCOUP DONNE ET ECOUTE D UNE

       OREILLE LES SERMONS DES PRETRES CATHOLIQUE ET MAINTENANT LES DISCOURS DE

       VIOLENCE DES « muezzins salafistes »


  • eau-du-robinet eau-du-robinet 1er novembre 2012 13:19

    Un rapport d’audit de la Cour des comptes européenne, publié le jeudi 11 octobre dernier, montre de graves conflits d’intérêts au sein d’instances communautaires cruciales dans la protection de la santé et de la sécurité alimentaire. La Cour épingle sévèrement quatre agences européennes de régulation pour leur mauvaise gestion des conflits d’intérêts.

    Plus d’informations dans mon post du 24 octobre 2012.

    Puis un autre article sur le lobbying a Bruxelles
    Alimentation : comment on nous manipule

    Puis le rejet de l’étiquetage ( feux tricolore ) de l’alimentation en faveur de l’intérêt des consommateurs :

    Grave erreur, le Parlement Européen rejette l’étiquetage sous forme de signalisation tricolore

    L’Europe est ses institutions, surtout les commissions à Bruxelles ou siègent des gens non élus, sont le levier par excellence pour les industrielles pour nous imposer la malbouffe ! 

    IL faut sortir de l’Europe, car cette Europe base sur les traitées de Maastricht et de Lisbonne est une Europe qui est orienté contre les citoyens, cette Europe est un passe droit pour les multinationales qui ont détruit la démocratie.

    Oui la démocratie est morte notre système est devenu un système oligarchique.

    Petit rappel ce que signifie le mot démocratie :

    Le mot démocratie vient de deux mots grecs : dêmos (le peuple) et kratos (le pouvoir).


  • Yves Dornet 1er novembre 2012 13:36

    les politiques ont besoin d’experts pour les informer avant de prendre une décision. Certes, les lobbyistes sont au service d’intérêts privés mais une contre expertise publique est toujours possible.

     


    • eau-du-robinet eau-du-robinet 1er novembre 2012 15:56

      Bonjour Yves Dornet,

      Ce sont justement les experts qui posent les problèmes !

      A la télé on donné la parole aux experts, toujours les mêmes, comme par exemple Jacques Attali (économiste). Et si ses experts se trompent voire défendent avant tout l’intérêt des multinationales !

      A Bruxelles on y trouve plein d’experts, c’est pas ce qui y manque, c’est une vrai fourmilière de lobbyistes ! 

      Sommes nous le peuple vraiment trop con pour donner notre avis (exemple référendum) ?

      Faut t-il systématiquement s’appuyer sur les experts ; ceux qui sont « nommé » par l’industrie et les grosses sociétés en général ?

      Et le conflit d’intérêts ne touche t-il pas aussi de ses experts ?

      Et ses experts sont t-ils indépendant et loyal ?

      Et les résultats d’études ou les avis des experts ne sont t-ils pas souvent modifié voire falsifié ?

      Ici la terre .... il faut atterrir !


    • je vous ai reconnu MR JOSPIN revenez donc mettre de l ’ordre dans les cumuls et le lobby...

      faites punir mr bapt et ses 101 acolytes ’HIPPOCRATE OU FERMEZ LA...A JAMAIS


    • @LIONEL DERNET...

      FAITES VOTRE BOULOT VOUS QUI ETES PROTESTANT ET HONNETE................

      SACQUER LES CUMULARDS ET LES ELUS LOBBYISTES.............


  • joelim joelim 1er novembre 2012 14:02

    Un autre exemple de la faillite des structures européennes : le retrait d’autorisation du Sulfamate d’ammonium, un herbicide (à ne pas confondre avec le sulfate d’ammonium, un accélérateur d’engrais). Selon Wikipedia : 


    Retrait d’autorisation

    Ce produit n’étant pas réputé toxique pour l’environnement, il n’a pas fait l’objet de beaucoup d’études de toxicité.
    Fautes d’études approfondies au moment du renouvellement d’autorisation, peu d’informations semblaient disponibles sur d’éventuels effets environnementaux directs ou indirects, immédiat ou différés sur la faune, flore et fonge sauvage et sur les écosystèmes.
    Dans l’Union européenne l’agrément du sulfamate d’ammonium a été retiré, non pas en raison de sa toxicité, mais parce que son dossier d’agrément ne contenait pas, selon le rapporteur du dossier, assez de détails sur la toxicité de ce produit (avec ou sans additifs) pour l’animal (en particulier, absence d’expérimentation de toxicité sur le chiens ; le titulaire n’ayant pas estimé ces essais justifiés).

    Quand on sait qu’un concurrent direct de ce produit est le glyphosate, constitutif du Round-Up de Monsanto, et quand on sait l’affinité instinctive de l’UE avec cette firme dangereuse (limite satanique), on peut se poser des questions. Le pire étant que la corruption de l’UE étant rentrée dans l’idée des français, on ne s’étonne plus de rien...

    • eau-du-robinet eau-du-robinet 1er novembre 2012 16:41

      Bonjour joelim,

      Et l’huile de NEEM ?

      Le neem, également appelé margousier (Melia azadirachta ou Azadirachta indica), est un arbre très répandu en Inde et utilisé depuis des millénaires !. On le rencontre sous tous les climats chauds. Ses graines sont pressées pour donner une huile à l’odeur forte, et dont la principale substance active est l’azadirachtine. L’huile de neem est utilisée de manière traditionnelle par les agriculteurs indiens, en tant que fertilisant et insecticide naturel.

      Ses propriétés insecticides, acaricides et bactéricides ne sont plus à prouver. Elle reste cependant interdite à la vente en France en tant que traitement phytosanitaire, y compris en bio.

      L’huile de NEEM est autorisé en cosmétique mais elle est interdite en France pour l’utilisation dans l’agriculture !!!

      L’arbre neem est réputé en Inde et en Asie pour ses usages médicinaux et agricoles. Depuis quelques années, des multinationales occidentales ont déposé des douzaines de demandes de brevets sur le neem. L’une de ces corporations, Monsanto, a déjà obtenu un brevet sur la cire et l’huile de neem et revendique des usages fongicides et insecticides.

      En septembre 1994, la firme chimique américaine W. R. Grace, une concurrente de Monsanto, obtenait-elle un brevet européen précisément sur la fonction fongicide du margousier, empêchant les entreprises indiennes de commercialiser leurs produits à l’étranger, sauf à payer des royalties à la multinationale, qui, par ailleurs, inonde le pays de pesticides chimiques.

      Les pesticides chimiques, commercialisé par Monsanto et les autres multinationales, ont provoqué la première vague de suicides chez les producteurs de coton endettés, à la fin des années 1990. De fait, l’usage intensif d’insecticides synthétiques a entraîné un phénomène bien connu des entomologistes : le développement de la résistance des insectes aux produits censés les combattre. Résultat : pour venir à bout des parasites, les paysans ont dû augmenter les doses et recourir à des molécules toujours plus toxiques. C’est tellement vrai qu’en Inde, alors que la culture du coton ne représente que 5 % des terres cultivées, celle-ci totalise, à elle seule, 55 % des pesticides utilisés.

      ------

      Le purin d’ortie est un insecticide naturel (comme la bouillie bordelaise, l’huile de neem, ...) au cœur d’une guerre depuis 2006. Même si l’administration reconnait que la production de ce type de produit naturel peu préoccupant est à la portée de l’utilisateur final, même si le dépôt de brevet devient impossible, reste que le fongicide naturel doit être inscrit sur la liste des matières actives. Pourtant la recette de ce produit appartient bien au domaine public ! En Espagne ou en Allemagne, la législation a été adaptée. En France on attend l’intervention du ministère de l’Écologie. Et d’ici là les jardiniers bio continueront à traiter leurs cultures avec le purin d’orties, légal ou pas.

      Les grands producteurs des pesticides chimiques se sont imposé au niveau législatif via le lobbying pour faire interdire des produits naturelles au profit de leur produits chimiques !

      C’est le monde à l’envers !!!

      Les agriculteurs des cultures intensives qui polluent l’environnent et notamment les nappes phréatiques poursuivent leur activités polluantes sans être enquit d’être poursuivi !

      Que dit Claude Bourguignon ?

      On ne peut pas correctement interpréter un sol si on na pas à la fois une approche physique, chimique et biologique !

      Hors avec les pesticides chimiques c’est simple on détruit tout ce qui est biologique ( la vie dans le sol ).

      L’Europe trahit l’intérêt de ses citoyens tout en accordent des privilèges aux multinationales leur permettent de polluer notre environnement... sans être tenu responsable pour les effets néfastes d’envergure !


    • leypanou 1er novembre 2012 20:40

      @eau-du-robinet :

      C’est contre ces brevets scandaleux que l’on doit s’attaquer. Nombreuses sont les entreprises, essentiellement etats-uniennes mais pas seulement, qui s’approprient des brevets sur des plantes qui poussent à des milliers de kilomètres des Etats-Unis et que des populations locales ont utilisées pendant de nombreuses années, connaissant leurs propriétés. Souvenons-nous de la tentative concernant le riz Basmati indien justement.

      Si les Etats-Unis imposent la ratification des accords, TRIPS, je crois, c’est justement pour avoir un semblant de légalité sur quelque chose qu’ils n’ont découverte que sur le tard.


    • eau-du-robinet eau-du-robinet 1er novembre 2012 23:33

      Bonjour leypanou,

      Je suis entièrement d’accord avec vous. smiley

      C’est un monstruosité que ses firmes américaines déposent des brevets sur ce que la nature à crée.

      C’est une forme de confiscation ( vol ) d’un bien en commun de l’humanité entière. Ceci inclus toutes les semences naturelles. Des nombreuses semences naturelles lesquelles ne figurent pas dans le catalogue officiel sont interdit a la vendre voire l’échange entre voisins de ses semences naturelles est également interdite.

      J’ai écrit un article qui concerne nous agriculteurs au sujet « des certificats d’obtention végétale »

      Une nouvelle loi sur les semences qui n’était pas à l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale à été exceptionnellement proposée au vote le lundi 28 novembre 2011 dans l’après-midi, c’est à dire lorsqu’il n’y a pratiquement pas de députés dans l’hémicycle ! Une stratégie classique pour faire passer en force un texte …

      Le gouvernement impose desormé aux français un texte très favorable aux industriels de la semence, qui bafoue un droit ancestral des paysans, entame leur autonomie et représente une entrave à la biodiversité cultivée.

      L’association Kokopelli fait éclater sa colère suite à la décision de la Cour de justice de l’UE du 12 juillet dernier. La juridiction européenne, allant à l’encontre des conclusions de l’avocat général, a en effet validé la législation européenne actuelle sur la commercialisation des semences. « Ce changement de cap absolu ne manque pas de nous surprendre et de nous interroger », s’indigne l’association.

      « Toute puissance du paradigme productiviste »

      L’expression « productivité agricole accrue », « utilisée 15 fois dans la décision de la Cour », consacre selon l’association « la toute puissance du paradigme productiviste ». La biodiversité « peut donc être valablement sacrifiée sur l’autel de la productivité », fulmine-t-elle.

      « De plus, cette biodiversité, qui a nourri les populations européennes pendant les siècles passés, est l’objet de la plus grande suspicion. La Cour va ainsi jusqu’a écrire, par deux fois, que la législation permet d’éviter »la mise en terre de semences potentiellement nuisibles«  ! », ajoute l’ONG qui qualifie cette remarque de « choquante » et « erronée ».


      source


  • lordrax 1er novembre 2012 14:19

    Rien de nouveau sous le soleil.


    Tout le monde sait (même ceux qui disent le contraire) que nous ne vivons pas en démocratie. Si nous l’étions, considérant que nous voulons dans une très large majorité :

    - Satisfaire convenablement nos besoins élémentaires
    - Avoir accés à la santé
    - Avoir accés à la cultutre
    - Avoir accès aux divertissements
    - Vivre dans un environnement sain et respectueux de la nature
    - La paix dans le monde
    - ....

    Si nous vivions en démocratie, nous aurions tout cela. C’est réalisable tant sur un plan politique, que technologique... Seulement il y a une infime minorité qui elle considère que tout ,et même un peu plus, lui est dû au regard de leur IMMENSE contribution à la société. Et étrangement c’est cette minorité du « tout pour ma gueule » qui décide pour le reste de la société.




  • alain_àààé 1er novembre 2012 15:57

    je ne sais si vous etes majistrat mais je suis d accord avec vous et j irais plus loin en ne prenant en compte que notre pays. je suis lorrain de naissnce et j ai toujours vu que les parlementaires allaient déjeuner ou diner chez les DEVINDEL et autres baron pour y recevoir leurs ordres ce qui peremettait d avoir des subventions pour la sidérugie ou autres usines. 


  • Robert GIL ROBERT GIL 1er novembre 2012 16:56

    Cette Europe la, y’en a marre, il n’y a qu’un seul moyen c’est d’en changer pendant qu’il est encore temps....

    voir :
    http://2ccr.unblog.fr/2012/10/29/pour-une-autre-europe/


    • SEPH SEPH 1er novembre 2012 17:34

      @ ROBERT GIL

      D’accord sur le ras le bol de cette Europe qui saigne les peuples au profit des banques et autres lobbys..

      Impossible d’en changer, car son caractère libéral et capitaliste est inscrit dans le marbre. Tous les États doivent être d’accord pour changer les bases. C’est pas pour demain !!

      Une seule solution en sortir au plus vite et construire autre chose à la place, sur les bases d’une société plus juste et plus humaine.


    • sirocco sirocco 1er novembre 2012 20:38

      « Une seule solution en sortir au plus vite et construire autre chose à la place, sur les bases d’une société plus juste et plus humaine. »

      L’histoire nous apprend qu’il existe une solution efficace pour se débarrasser des institutions « inscrites dans le marbre » : la révolution.


  • travelworld travelworld 1er novembre 2012 17:36

    Frédécic Lefèvre a eu quelques problemes de ce côté là avec Perroquet communication

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Lefebvre


  • Yves Dornet 1er novembre 2012 19:35

    l’expert...

    en chine c’est le PCC

    en orient c’est le coran...

    les lobbies sont partout


  • eau-du-robinet eau-du-robinet 2 novembre 2012 00:32

    Un ami ma fait parvenir un document qui à attiré tout mon attention et donc je souhaite vous faire part !

    Le document porte le titre révélateur :

    La Commission européenne oblige les pays touchés par la crise à privatiser l’eau

    Cela fait bientôt 2ans que je me bat pour un retour en régie de la gestion de l’eau du robinet !

    En France les multinationales VEOLIA, SUEZ (Lyonnaise des Eaux) et SAUR contrôlent environ 75% de l’Eau du robinet. En gestion privée (Partenariat Public-Privé ou PPP) le prix du service d’eau nous est facturé entre 20 à 45 % plus chère qu’en régie municipale.

    Bruxelles – La Commission européenne promeut délibérément la privatisation des services de l’eau comme l’une des conditions imposées dans le cadre des plans de sauvetage, a-t-elle reconnu dans une lettre adressée aux groupes de la société civile. La direction du commissaire européen Olli Rehn a répondu aux questions posées dans une lettre ouverte, écrite par des organisations de la société civile, concernant le rôle joué par la Commission quant à l’obligation de privatisation imposée par la Troïka à la Grèce, au Portugal et dans d’autres pays. Aujourd’hui, dans une deuxième lettre au commissaire Rehn, les organisations exigent qu’il « s’abstienne dorénavant de toute pression imposant des conditions de privatisation de l’eau ».

    source

    Que signifié cela ?

    Bruxelles impose aux pays en difficulté de céder leur gestion d’eau à des sociétés privées, des multinationales donc on connaît en avance les conséquences ... un hausse importante du prix de l’eau, une gestion des canalisations néglige, ....
    La corruption à Bruxelles vient de franchir une nouvelle marché ! Jusqu’où vont t-ils aller ?

    Le droit à l’eau potable et l’assainissement pour toutes et tous a été reconnu comme un droit humain par la résolution de l’assemblée générale des nations unies le 28 juillet 2010 mais il n’est ni connu ni effectif.

    L’eau n’est pas une marchandise comme les autres.
    De nombreux peuples sur la terre la reconnaissent comme sacrée.
    C’est un bien commun du vivant !

    Le droit à l’eau et à l’assainissement pour tous doit être un droit humain fondamental.

    Bruxelles et ses Commissions viole ses droits fondamentales en privatisent l’eau !

    Sortons de l’Europe ... et vite !


  • eau-du-robinet eau-du-robinet 2 novembre 2012 07:45

    Une autre nouvelle que je viens de découvrir dans le journal Sud Ouest d’aujourd’hui :

    — début de citation —
    Aurore Martin a été arrêtée : la militante basque risque 12 ans de réclusion
    .............

    Arrêtée jeudi à Mauléon (64), la militante de Batasuna, sous le coup d’un mandat européen depuis 2010, a été remise aux autorités espagnoles.

    ...................................

    Batasuna est autorisé en France
    , mais interdit en Espagne.

    L’interpellation d’Aurore Martin est intervenue alors que toutes les voies de recours étaient épuisées. En décembre 2010, la Cour de cassation avait rejeté le pourvoi de la militante contre le MAE ; une étape qui lui avait valu de nombreux soutiens politiques, associatifs et syndicaux au Pays basque. Et en mai dernier, l’ultime recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme avait été rejeté. Le MAE était de fait exécutoire. « Il est accompagné d’un ordre d’incarcération.
    — fin de citation —

    source de l’article Sud Ouest.

    Il est beau le droit Européen ou on délivre une citoyenne française la quelle na commis aucun crime à un pays étranger pour qu’elle soit jugé sur le droit étranger et pas français !!!! 

    C’est ça ce qu’ils appellent de la démocratie les fonctionnaires Bruxellois ?

    IL faut sortir de l’Europe ... et vite ...


    • jaja jaja 2 novembre 2012 08:15

      Aurore Martin est livrée à la Garde civile espagnole qui a torturé tant de nos camarades...quelle honte pour ce gouvernement.... Toute notre solidarité à Aurore....


  • Diogene86 Diogene86 2 novembre 2012 14:21

    au quebec, la commission Charbonneau présidée par un juge, déballe sur la place publique les noms des corrompus qui ont touché des pots de vin et la presse en fait largement état..... nous sommes incapables d’en faire autant en Europe, et c’est bien dommage !
    de nombreux membres de la commission et bureaucrates bruxellois devraient être en tôle, mais les peuples restent enfumés par des médias sou contrôle.... a quand une nouvelle nuit du 4 août ?


  • Jean-Pierre Lovichi Jean-Pierre Lovichi 3 novembre 2012 12:58

    Il faut donner des moyens d’investigation aux organismes de contrôle et aux contre-pouvoirs. les délits existent et le pantouflage et le conflit d’intérêt sont bien les principaux risques dans nos démocraties marchandes...


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