mercredi 4 juin 2008 - par Babar

Carla Bruni raconte sa véritable histoire d’amour avec Nicolas Sarkozy


Carla Bruni-Sarkozy ne tarit pas d’éloges sur son président de mari, dans un livre à paraître cette semaine aux Editions du Moment, Carla et Nicolas, la véritable histoire. La chanteuse y narre son coup de foudre et sa love story avec le chef de l’Etat.

"Ca a été immédiat, je ne m’attendais pas à quelqu’un de si drôle, de si vivant. Son physique, son charme et son intelligence m’ont séduite. Il a cinq ou six cerveaux remarquablement irrigués", écrit l’ancienne mannequin. "Je n’ai pas connu de crétins auparavant, ce n’est pas mon genre, mais lui, ça va très, très vite. Et puis il a une incroyable mémoire", précise-t-elle.

Le livre confirme ce que l’on savait déjà, à savoir que le couple présidentiel s’est rencontré le 13 novembre 2007 lors d’un dîner organisé par le publicitaire Jacques Séguéla.

Carla Bruni, très amoureuse et admirative de son mari, estime que lorsqu’il quittera la politique, il laissera un grand vide : "Sans lui, vous allez vous ennuyer", déclare-t-elle.

"Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique", écrit encore Carla Bruni-Sarkozy. Si l’on peut se réjouir de la nature optimiste de Nicolas Sarkozy, la comparaison avec Sisyphe peut davantage inquiéter : on sait que le supplice de Sisyphe consistait à voir ses efforts réduits à néant, puisque la pierre qu’il portait jusqu’en haut de sa montagne retombait à chaque fois de l’autre côté…

Dans Carla et Nicolas, la véritable histoire, on apprend aussi que Carla Bruni entend bien continuer son activité de chanteuse, en dépit de ses nouvelles fonctions de première dame de France.

On apprend encore que Carla Bruni et la garde des Sceaux, Rachida Dati, sont brouillées depuis une pique lancée par la première dame à la ministre de la Justice. Cette dernière n’aurait pas apprécié de s’entendre dire, alors que les deux amies passaient devant un lit des appartements privés de l’Elysée : "Tu aurais bien aimé l’occuper, n’est-ce pas ?"




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