jeudi 16 octobre 2014 - par Robert Bibeau

La « D�mocratie bourgeoise », Cause toujours, ou Ferme ta G…

« La croissance du mouvement révolutionnaire prolétarien dans tous les pays suscite les efforts convulsifs de la bourgeoisie et des agents qu’elle possède dans les organisations ouvrières pour découvrir les arguments philosophico politiques capables de servir à la défense de la domination des exploiteurs. La condamnation de la dictature et la défense de la démocratie figurent au nombre de ces arguments. » (Lénine, 1919 [1])

La classe ouvrière opposée à la pseudo démocratie

L’utilisation de ces « arguments philosophico-politiques » est très répandue, surtout lorsque la censure, le ’black-out’ des luttes grévistes, et la déformation des informations ne réussissent plus à mystifier les ouvriers. « La défense de la démocratie » comme l’écrit Lénine, c’est-à-dire l’idéologie démocratique bourgeoise, accompagne les attaques contre les conditions de vie du prolétariat international et vise à l’enchaîner derrière le convoi des États-nations capitalistes. Dans un premier temps, la bourgeoisie a réussi à étouffer les luttes de résistance grévistes, et maintenant elle cherche à nous entraîner dans des guerres impérialistes. Aujourd’hui, ces « arguments philosophico-politiques » se concrétisent au travers des campagnes antiterroristes (Al Quaida et EIL) et sur les « dangers » de la montée des partis d’extrêmes droites que la bourgeoisie stipendie.

L’utilisation des exactions et des menaces terroristes ne sert pas uniquement à fournir des prétextes pour renforcer la surveillance et la mise en place de lois répressives anti-ouvrières. Ces montages médiatiques à propos des menaces terroristes justifient et crédibilisent aux yeux de la population les mesures policières répressives, selon l’argument de la défense et de la protection du peuple que seul l’État démocratique (sic) serait en mesure d’assurer alors même que les actions terroristes sont directement suscitées et manipulées, voire organisées, par les services de police de ces États pseudos démocratiques [2].

Les activités terroristes sont le résultat des manipulations et des provocations des services spécialisés des rivaux impérialistes qui se disputent le contrôle des marchés et des ressources. De même, la mise en avant du danger fasciste et de l’extrême droite – en Europe en particulier – vise à renouveler la mystique démocratique bourgeoise de l’antifascisme ; celle-là même qui a entraîné le prolétariat dans la Deuxième Guerre impérialiste mondiale et promue la contre-révolution anti ouvrière (1929-1945). Non seulement on voit des partis d’extrême droite, racistes et xénophobes, promus lors des élections européennes (en France, en Hongrie, en Grande-Bretagne, en Belgique), mais on constate de quelle façon la bourgeoisie grecque, conseillée et dirigée par ses consœurs de l’Union européenne, a fait « gonfler » le groupe fasciste Aube Dorée et avec lui le faux antagonisme démocratie bourgeoise versus dictature capitaliste au moment même où la lutte gréviste ouvrière montante était liquidée par la gauche bourgeoise. La mystique dichotomique « démocratie-dictature » accentue le sentiment d’impuissance des ouvriers en obviant le véritable et fondamental antagonisme de classes entre le capital et le travail, entre capitalistes et prolétaires. La mystification consiste à présenter une faction de la bourgeoisie comme démocratique et conciliatrice et une autre faction comme dictatoriale et hystérique, imposant à la classe ouvrière de se ranger au service de la faction pseudo démocratique pour un moindre mal. La classe ouvrière ne doit pas soutenir la dictature démocratique bourgeoise contre la dictature-hystérique-bourgeoise. La classe ouvrière doit mener ses propres luttes anticapitalistes non pas pour obtenir des réformes et des avantages éphémères mais pour résoudre les contradictions insolubles du capitalisme en le renversant.

Néanmoins, même si le prolétariat international reste globalement soumis à l’idéologie démocratique bourgeoise, même si les luttes ouvrières ne sont pas conséquentes avec les attaques reçues et ne font pas reculer le capital, même si les partis de la gauche bourgeoise et l’industrie du syndicalisme d’affaires maintiennent leur contrôle sur les luttes ouvrières et les sabotent, il n’en reste pas moins qu’une fraction significative de la classe résiste aux pièges démocratiques bourgeois. Cette résistance se manifeste au cours de grèves, de mobilisations, par le refus de céder aux sirènes appelant à faire confiance à la démocratie bourgeoise, à se ranger derrière l’État pseudo démocratique et à abandonner le combat de classe. Les ouvriers sont nombreux à refuser de participer aux élections bidon.

L’exemple de la lutte ouvrière en Grèce et au Brésil

Ce fut le cas en Grèce lors des mobilisations de 2008-2012, lorsque des manifestants ouvriers tentaient d’encercler et d’envahir le Parlement afin d’interdire aux parlementaires bourgeois d’adopter des mesures d’austérité contre les ouvriers. La milice du PC stalinien grec vint à la rescousse de l’État bourgeois malmené car ce n’est pas l’extrême droite « Aube Doré » qui en aurait été capable [3]. Ce fut aussi le cas au Brésil en 2013-2014 à l’occasion de l’organisation de la Coupe du monde de football, véritable mythe nationaliste réactionnaire. Au moment où la classe ouvrière du Brésil était soumise à une propagande permanente à propos de la fierté de l’organisation de la Coupe, ce dernier a tenu à résister à ces frauduleux appels à l’unité nationale (sic) et ce fut dans la plus grande confusion que la compétition sportive a débuté. Assistée par l’ensemble de la bourgeoisie internationale (interventions de la Fédération internationale de football [4]), la classe capitaliste impérialiste brésilienne, dirigée par le Parti des Travailleurs (sic), a utilisé la répression violente pour éviter le déploiement de la révolte ouvrière ; en particulier, lorsque les travailleurs du métro de Sao Paolo se sont mis en grève à peine quelques jours avant l’ouverture de la Coupe du monde. Cette grève aurait pu paralyser la tenue des matchs et amorcer une grève générale dans l’ensemble du pays.

Dans plusieurs autres pays, l’idéologie démocratique bourgeoise a détourné la colère ouvrière vers la défense de la dictature démocratique capitaliste, lors du « Printemps arabe » par exemple. Il se joue en ce moment un combat idéologique extrêmement important aux conséquences historiques. La mystification démocratique bourgeoise ne se limite pas à l’obéissance à l’État capitaliste ; ni au respect de la démocratie politique bourgeoise formelle (élections, parlementarisme, etc.) ; ni à nier la réalité de la lutte des classes. L’idéologie démocratique bourgeoise individualiste et narcissique tend à imprégner tous les instants et tous les espaces de la vie sociale au détriment de la vision et de l’action collectives de la classe prolétarienne.

Les médias sociaux égalitaristes, démocratiques et participatifs (sic)

L’accélération et l’extension de la circulation du capital financier et des marchandises ; le développement des nouveaux médias (télévision numérique, Internet et réseaux sociaux), ont permis de relancer les valeurs individualistes et démocratiques bourgeoises sous le slogan « un homme, une voix » selon l’utopie que chacun avait désormais accès à une information objective, non manipulée, sans censure et en temps réel, et le rêve que chacun pouvait désormais s’exprimer comme il le voulait, sans entrave, grâce aux médias numériques et aux « réseaux sociaux ». Enfin, grâce aux nouvelles technologies de communication et de l’Internet la démocratie bourgeoise, participative, citoyenne, égalitaire serait advenue ! Tout ceci n’est que fumisterie. Un milliardaire, propriétaire de 40% des médias, aura toujours une voix et une voie prépondérante par rapport à celle d’un ouvrier d’usine, du moins tant que ce dernier restera esseulé. Toutefois, les communistes révolutionnaires doivent maîtriser ces médias et ces technologies numériques afin de les utiliser au bénéfice de l’insurrection.

À tous les niveaux de la vie sociale l’offensive idéologique bourgeoise se déchaîne. L’idéologie démocratique bourgeoise est adaptée pour contrer le développement des luttes de la classe ouvrière contre la bourgeoisie et son État (Front uni antifasciste comme dans les années 1930, combat antiterroriste, défense de la démocratie bourgeoise, etc.) Le danger de cette offensive généralisée apparaît lorsque des groupes de la Gauche communiste se font les apologistes de mouvements tels que les « indignés » et « Occupy » et servent de relais à la propagande sur « l’autogestion », et sur le primat de l’expression individuelle sur l’expression collective de classe.

Bâtir sur le collectif, anti-individualiste, pour renforcer la lutte de la classe ouvrière

Partir de l’unité-individu pour en tirer des déductions sociales et échafauder des plans de société, ou même pour nier la société, c’est partir d’un présupposé irréel qui, même dans ses formulations les plus modernes, n’est au fond qu’une reproduction modifiée des concepts de la révélation religieuse, de la création, et de la vie spirituelle indépendante des faits de la vie naturelle et organique( ...) Cette conception religieuse et idéaliste n’est modifiée qu’en apparence dans la doctrine du libéralisme démocratique ou de l’individualisme libertaire : l’âme en tant qu’étincelle de l’Être suprême, la souveraineté subjective de chaque électeur, ou l’autonomie illimitée du citoyen de la société sans lois sont autant de sophismes qui, aux yeux de la critique marxiste, pèchent par la même puérilité, aussi résolument “matérialistes” qu’aient pu être les premiers libéraux bourgeois et les anarchistes.’ (Le principe démocratique, Bordiga pour le PC d’Italie, 1922).

La lutte théorique et de propagande contre l’idéologie démocratique bourgeoise est au centre des leçons et de l’expérience du mouvement ouvrier, de Marx à Lénine, de celui-ci à la Gauche communiste (Italienne en particulier). Cet héritage et cette expérience théoriques et politiques sont essentiels aux combats historiques entre les classes antagonistes. Selon que le prolétariat restera soumis ou non à cette idéologie, il réussira ou non à se sortir du bourbier capitaliste et à dégager sa propre perspective révolutionnaire. Voilà pourquoi il lui appartient de ne pas céder aux pseudo campagnes antiterroristes et de Front populaire antifasciste ou anti-extrême-droite. Le terrorisme et le fascisme sont sont d’abord les monstrueux enfants du capitalisme et de sa « démocratie bourgeoise ». Pour contrer les menaces terroriste et fasciste, le prolétariat doit combattre le capitalisme et le renverser une fois pour toutes. Pour avoir nié ce précepte marxiste, les Fronts unis et les Fronts populaires antifascistes des années 1930 ont mené directement à la Deuxième Guerre mondiale. Guerre ou Révolution voilà l’alternative.

À LIRE EN COMPLÉMENT POUR QUI VEUT APPRENDRE LA POLITIQUE DE GAUCHE : http://www.publibook.com/librairie/livre.php?isbn=9782924312520

(Inspiré d’un article publié sur http://igcl.org : 9 septembre 2014)

Notes :

[1] . Thèses sur la démocratie bourgeoise et la dictature prolétarienne, 1° congrès de l’Internationale communiste, mars 1919.

[2] . ’Le FBI a « encouragé, poussé et parfois même payé » des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats, au cours d’opérations de filature montées de toutes pièces. C’est la conclusion d’un rapport de l’ONG Human Rights Watch publié lundi 21 juillet (…) « Dans certains cas, le FBI pourrait avoir créé des terroristes chez des individus respectueux de la loi en leur suggérant l’idée de commettre un acte terroriste », résume l’ONG, estimant que la moitié des condamnations résultent de coups montés ou guet-apens. Dans 30 % des cas, l’agent infiltré a joué un rôle actif dans la tentative d’attentat.’ (Le Monde.fr avec AFP , 21.07.2014)

[3]. Ce n’est pas une nouveauté : lors de la Première Guerre mondiale, c’est au nom de la défense de la France républicaine, de la démocratie, que les ouvriers furent appelés à partir en guerre contre l’absolutisme dictatorial de l’Empereur allemand Guillaume. En Allemagne, ce fut au nom de la guerre contre l’absolutisme du Tsar russe et de la défense de la nation allemande civilisée (démocratique).

[4] . Platini, Président de la fédération européenne de football : « Il faut absolument dire aux Brésiliens qu’ils ont la Coupe du monde et qu’ils sont là pour montrer les beautés de leur pays, leur passion pour le football et que s’ils peuvent attendre un mois avant de faire des éclats un peu sociaux, bah ce serait bien pour le Brésil et puis pour la planète football, quoi. Mais bon, après, après on ne maîtrise pas, quoi. »

29 r�actions

Robert Bibeau 16 octobre 2014 17:48

@ GNOSTIC

Tu te trompes La d�mocratie bourgeoise c’est ferme ta gueule ou c’est GUANTANAMO, Les postes de police de la banlieue parisienne ou tu peux perdre la vie par accident volontaire et c’est si tes un BOBOS parisiens tu peux gueuler personne ne t’entend de ton trou ou tu vas pleurnicher

R�pondre Lien permanent
C�sar Castique 16 octobre 2014 18:25

« La classe ouvri�re doit mener ses propres luttes anticapitalistes non pas pour obtenir des r�formes et des avantages �ph�m�res mais pour r�soudre les contradictions insolubles du capitalisme en le renversant. »

La classe ouvri�re, elle veut un chouia de sous en plus, un chouia de temps de travail en moins, des vacances un chou�a plus longues et la retraite un chou�a plus t�t, et elle se tamponne l’ali�nation � grands coups d’�mancipation. A moins que ce ne soit l’inverse.

Qui �tes-vous donc, Bibeau, pour pr�tendre lui dicter une conduite et parler en son nom ?

R�pondre Lien permanent
- Aristoto 21 octobre 2014 03:24
  
  ct� le programme de m�lenchon en 2012 !!! Avec en plus un �largissement pour les noirs et les arabes !
  
  R�pondre Lien permanent
Robert Bibeau 16 octobre 2014 23:37

@ Gros Macho c’est donc que tu as bien compris l’article (incompr�hensible) ( )

R�pondre Lien permanent
eric 17 octobre 2014 08:01

Votre pr�sentation vous d�finit comme un petit bourgeois �margeant � la d�pense publique pour la production d’�l�ments d’id�ologie sans aucun rapport avec les forces mat�rialistes et la production.

Cela suffirait en soi � vous disqualifier. Votre pr�tention � parler au nom des travailleurs et prol�taires est une cerise sur la g�teau. « Une r�volution authentiquement prol�tarienne est une r�volution faite par le peuple », disait le regrett� pr�sident Mao. Pas un logos port� par les valets de l’�cole et l’universit� bourgeoise � la solde du capitalisme ultralib�ral mondialis�.

Je ne trouve pas non plus ici trace du collectif prol�tarien auto-organis� qui vous aurait d�mocratiquement mandat� pour vous exprimer en public au nom des masses. Passons sur cet individualisme, lui aussi typiquement petit bourgeois. Apr�s tout L�nine lui m�me consid�rait que dans les premiers temps, la r�volution pouvait utiliser les pseudo intellectuels issus de la petite bourgeoisie.

Mais la praxis prol�tarienne, c’est que toutes les r�volutions et toutes les guerres, se soldent au d�triment des travailleurs. Il n’y a eu de progr�s mat�riels, sociaux, intellectuels pour les masses qu’en dehors des p�riodes de r�volutions et de guerre. L’alternative que vous proposez, fait de vous au choix un complice objectif des marchands de canon ou un partisan des r�gressions sociales auxquelles ont conduit sans exception toutes les r�volution petites bourgeoises marxistes.

En diffusant au sein des masses, l’id�e que le choix est entre guerre et r�volution, vous contribuez � l’�vidence au renforcement de la d�mocratie bourgeoise, en d�mobilisant les travailleurs dans l’�tablissement d’un rapport de force au quotidien et sur le champ des luttes.

C’est sans doute pour cela qu’elle continue � vous financer dans des professions dont l’utilit� mat�rialiste est toute relative.

Soyons plus pr�cis : si la bourgeoisie, l’�tat bourgeois, vous paye pour faire des cours d’histoire dans ses �coles, c’est qu’elle y trouve son int�r�t. Je ne saurai vous soup�onner de na�vet� compte tenu de votre visible haut degr� de formation id�ologique. Vos propos sugg�reraient donc que c’est consciemment que vous �tes un complice r�mun�r�.

Je ne vous lancerai pas pour autant la premi�re pierre. Chacun peut bien essayer de trouver son beefsteak comme il peut, et de toute fa�on il n’est pas sur que votre engagement r�el et concret aupr�s des masses leur apporterait grand chose...Parce que si je lis entre les lignes, vous vous contentez nettement d’appeler les autres � faire la r�volution....

R�pondre Lien permanent
- Robert Bibeau 17 octobre 2014 17:26
  
  @ �ric Je vais prendre la peine d’argumenter vos propos car vous introduisez quelques concepts et id�es r�actionnaires qui m�ritent que l’on s’y attarde.Les insultes n’ont aucun int�r�t cela va de soi... Mais � travers vos propos pudibond et pr�tentieux vous glissez votre furtivement all�geance en �crivant ceci � � Une r�volution authentiquement prol�tarienne est une r�volution faite par le peuple �, disait le regrett� pr�sident Mao. � Un mao�ste - les revenants des ann�es 1970 - b�lant leur amour au pr�sident p�dophile petit-bourgeois s’il en fut propose dans votre citation une pirouette - celle qui le caract�risa - VOUS NOTEZ QU’IL PASSE FURTIVEMENT DE LA R�VOLUTION prol�tarienne - � LA R�VOLUTION du peuple. QUESTION : nommez les classes sociales qui composent le � peuple � maoiste ? Plus loin vous r�cidivez n glissant subrepticement que vous vous �tes arrog� l’autorit� d’accr�diter les portes-paroles des masses. Vous �crivez en maoiste cons�quent � mandat� pour vous exprimer en public au nom des masses � Je ne parle pas au nom des masses - je parle au nom de Robert Bibeau. Point � la ligne - Pire je ne m’int�resse pas aux � masses � concept floue au possible dont raffolait le Grand Timonier p�dophile.D�finissez � masse � ami mao�ste.L’extrait suivant me sid�re. Et si dissimul� derri�re le mao�ste nous d�couvrions un NATIONAL-SOCIALISTE plus commun�ment appel� NAZI. Je vous cite � Mais la praxis prol�tarienne, c’est que toutes les r�volutions et toutes les guerres, se soldent au d�triment des travailleurs �
  
  Non monsieur toutes les r�volutions ne se soldent pas au d�triment des travailleurs, seulement les r�volutions perdues, d�voy�es ou les r�volutions trahies, comme celle des MASSE paysannes MAOISTES en Chine NATIONALISTE (1949)
  
  Masse Paysannes, moujiks, koulaks, fellahs ne peuvent produire une soci�t� socialiste en marche vers le communisme c’est ce que la R�volution socialiste d’octobre nous a appris et ce que la � r�volution maoiste nationaliste � a confirm�.
  
  Pour le reste de vos propos - ils ne sont d’aucun int�r�t pour les lecteurs de ce texte que je vous invite � relire attentivement...histoire de vous former dans votre travail de provocateur mao�ste ( )
  
  R�pondre Lien permanent
- C�sar Castique 17 octobre 2014 20:08
  
  « Non monsieur toutes les r�volutions ne se soldent pas au d�triment des travailleurs... »
  
  Absolument ! M�me, et sans doute plus encore la r�volution aboutie, que les perdues, les d�voy�es et les perdues. Elle est alors prise en main par une coterie de sectaires programm�s qui ont un mode d’emploi du peuple, � la place du cerveau.
  
  Ils disent au peuple « Voil�, t’es �mancip� », le peuple qui s’en fout, dit : « On aurait pr�f�r� �tre augment� », sur quoi, un int�griste l�ve le bras, des b�ches qui dissimulaient des mitrailleuses sont enlev�es et le peuple se fait p�dagogiquement rafaler.
  
  La prochaine fois, il r�pondra « Je suis �mancip� », et on en d�duira que la r�volution a triomph�. Jusqu’� son effondrement, quarante ou soixante ans plus tard.
  
  R�pondre Lien permanent
zygzornifle 17 octobre 2014 08:02

L� d�mocratie est une vue de l’esprit, ce que nous vivons c’est autre chose, plus proche d’un fond de dictature enrob� de chichi comme l’est un bonbon au poivre qui au d�but est bien sucr� ....

R�pondre Lien permanent
- Robert Bibeau 17 octobre 2014 17:27
  
  @ Zyg
  
  Totalement d’accord
  
  R�pondre Lien permanent
pierre258 17 octobre 2014 08:36

Les grands m�dias fran�ais ne relaient pas fid�lement les aspirations de la soci�t� civile, bourgeoise ou prol�taire. On appelle cela la « dictature » des m�dias.

La r�sistance explose quant � elle sur Internet et les m�dias sociaux, comme Agoravox.

Pour bien comprendre l’influence des m�dias, voici une �tude tr�s int�ressante sur le rapport entre temps de parole m�diatique et r�sultat des partis politiques : http://notre-epoque.fr/2014/09/internet-et-temps-de-parole-mediatique-medias-et-elections-4/

R�pondre Lien permanent
- Robert Bibeau 17 octobre 2014 17:32
  
  @ Pierre
  
  D�sol� de te contredire.
  Les m�dias sociaux sont int�ressant - c’est vrai, mais il ne faut pas en attendre la � R�volution � ni m�me l’insurrection.
  
  Le fait que tu offres en p�ture une �tude qui r�f�re � une analyse se rapportant aux �LECTIONS bourgeoises - et aux r�sultats �lectoralistes de partis politiques bourgeois montre que tu n’as pas bien compris les m�andres de la duperie � �lectoraliste � dictatoriale bourgeoise. Malgr� ta fr�quentation assidue des m�dis en ligne.
  
  Tout est dans le contenu - la ligne politique - et non pas dans le m�dium - contrairement aux divagations de Mc Luan et de Marcuse - le m�dia n’est pas le message sauf pour les endoctrin�s - les format�s.
  Merci de ton commentaire.
  
  R�pondre Lien permanent
antyreac 17 octobre 2014 15:33

Notre r�gime d�mocratique � certes de nombreux d�fauts un des premier c’est notamment de ne pas prendre syst�matiquement en compte les d�sirs des citoyens mais il est nettement meilleur que les dictatures et pseudo d�mocraties qui pullulent � travers le monde.

R�pondre Lien permanent
- Robert Bibeau 17 octobre 2014 17:57
  
  @ ANTYREAC
  
  De fait, par cette remarque vous affichez votre formatage bourgeois.
  Les m�dias vous ont endormi en vous faisant croire qu’il y avait une diff�rence entre la � d�mocratie � bourgeoise fran�aise ou canadienne ou su�doise et la � d�mocratie � iraniene, lybienne, malienne, grec, cubaine.
  
  Superficiellement vous avez raison - mais tr�s superficiellement.
  
  Ainsi vous admettez vous-m�me que cette pseudo � d�mocratie � o� nous vivons ne tient aucun compte des d�sirs des citoyens. Quand nous a-t-on demand� express�ment si nous �tions favorable � envoyer des avions tu�s la population d’Afghanistan, de Libye, du Mali, de Syrie, du Liban et aujourd’hui d’Irak ???
  
  Ce n’est donc pas la d�mocratie du peuple pour le peuple et par le peuple - je suis d’accord avec vous.
  
  Si vous demandez s’il est plus agr�able de s’�craser et de ne pas recevoir de coups de matraques, je r�pondrai OUI
  Voyez-vous les � d�mocratie � bourgeoises ne vous tuent pas parce que ce n’est pas n�cessaire pour vous opprimer - vous ob�issez et payer vos imp�ts.
  
  Si par contre la r�volte populaire monte d’un cran comme � St-Louis Mississipi alors vous risquez d’�tre tu�e d�mocratiquement mais si vous ployez et entrer chez-vous mourir en silence - r�sign� pourquoi l’�tat des riches devrait-il sortir l’artillerie pour vous accompagner dans votre dernier sommeil ? Tout est affaire de r�sistance de de niveau de violence dictatoriale avec ou sans le masque de biens�ance.
  
  R�pondre Lien permanent
- antyreac 17 octobre 2014 18:20
  
  Mon id�e premi�re est que la d�mocratie telle que nous vivons est tr�s perfectible donc nous ne vivons pas dans le meilleur du monde mais je soutiens qu’ailleurs c’est souvent bien pire hormis l’U-E les E-U, le Canada ,l’Australie et quelque autres d�mocratie ici et l� le reste du monde a franchement des r�gimes qui se rapprochent plus des r�gimes totalitaires que des d�mocraties
  
  R�pondre Lien permanent
Taharqa 17 octobre 2014 16:34

"La mystification consiste � pr�senter une faction de la bourgeoisie comme d�mocratique et conciliatrice et une autre faction comme dictatoriale et hyst�rique, imposant � la classe ouvri�re de se ranger au service de la faction pseudo d�mocratique pour un moindre mal"

Pas toujours � mon avis. Quand la faction dite d�mocratique devient trop discr�dit�e ou quand sa propagande ne suffit plus � dissimuler son exploitation, la bourgeoisie dans son ensemble rend pr�sentable la faction dite dictatoriale. C’est un jeu de balancier entre lib�raux et conservateurs pour emp�cher le peuple de se tourner vers ses int�r�ts.

En France par exemple, nous avons la famille Le Pen de plus en plus pr�sentable dans les m�dias pourtant propri�t�s de la bourgeoisie affairiste. Nous avons aussi un Zemmour promouvant des valeurs conservatrices et attribuant � l’impressionnante faillite lib�rale en cours de faux responsables tels les immigr�s.

R�pondre Lien permanent
- Robert Bibeau 17 octobre 2014 18:07
  
  @ Taharqa
  
  Vous m’arrachez les mots de la bouche. Totalement en accord avec votre ajout.
  
  Hitler, Mussolini, Franco, Salazar et les autres furent pr�sent�s comme des sauveurs nationaux parfaitement respectable quand la seule alternative � la r�volution sociale en Europe fut la guerre mondiale fauchant 50 millions de morts parmi la classe ouvri�re surtout
  
  Puis la guerre termin�e - les moyens de production et les forces productives fortement d�truits = la faction pseudo d�mocratique = doucereuse - �clectique - avec le soutien du vieux Thorez et la b�n�diction de Staline reprit le contr�le et REFONDA le capitalisme � lib�ral � plein de nationalisation temporaire - le temps de reconstruire les usines et autres moyens de production afin de recommencer la boucle infernale - laquelle s’ach�ve par une nouvelle mascarade guerri�re qui nous pend au bout du nez
  
  Et les r�actionnaires voudraient que l’on participent � la valse ds faux culs et que l’on chante en marche vers les tranch�s le coeur plein d.all�gresse pour le Mar�chal P�tain le p�re de la Nation - excusez je voulais dire pour la m�re Le Pen ou un autre adjudant - peu importe comptez sur le PS et le PCF et le NPA pour voter les cr�dits de guerre.
  
  ( )
  
  R�pondre Lien permanent
epicure 20 octobre 2014 00:34

"Partir de l’unit�-individu pour en tirer des d�ductions sociales et �chafauder des plans de soci�t�, ou m�me pour nier la soci�t�, c’est partir d’un pr�suppos� irr�el qui, m�me dans ses formulations les plus modernes, n’est au fond qu’une reproduction modifi�e des concepts de la r�v�lation religieuse, de la cr�ation, et de la vie spirituelle ind�pendante des faits de la vie naturelle et organique( ...) Cette conception religieuse et id�aliste n’est modifi�e qu’en apparence dans la doctrine du lib�ralisme d�mocratique ou de l’individualisme libertaire : l’�me en tant qu’�tincelle de l’�tre supr�me, la souverainet� subjective de chaque �lecteur, ou l’autonomie illimit�e du citoyen de la soci�t� sans lois sont autant de sophismes qui, aux yeux de la critique marxiste, p�chent par la m�me pu�rilit�, aussi r�solument “mat�rialistes” qu’aient pu �tre les premiers lib�raux bourgeois et les anarchistes.’ (Le principe d�mocratique, Bordiga pour le PC d’Italie, 1922).
«

Beaucoup de confusions l� dedans.
En fait les pens�es id�alistes sont des pens�es qui ont toujours ni� l’individu,, la pens�e religieuse nie l’individu.
La pens�e antireligieuse au contraire est individualiste : le refus de la soumission � l’autorit� transcendante. Ce n’est pas un hasard si c’est des anarchistes, donc des individualistes qui ont �crit : »ni dieu, ni maitre"

Et puis l’individu est le seul objet concret de la soci�t�, tout le reste ne sont que des concepts, des id�es, des repr�sentations symbolique, mais un individu c’est concret.
Pour petit rappel, la pens�e socialiste , a comme but l’�mancipation de l’individu.

Il ne peut pas y avoir de pens�e mat�rialiste sans pens�e individualiste.
Le philosophe �picure, mat�rialiste �tait aussi un individualiste (l’un des premiers).
Parce que le mat�rialisme repose sur l’immanence, consid�re qu’une chose (la mati�re ocmposant l’univers ) est son propre moteur, tout comme l’individualisme (quelle que soit sa forme) consid�re aussi l’individu comme son propre moteur.

La vrai opposition � ’l’individualisme c’est ce qui consid�re que des repr�sentations symboliques arbitraires doivent �tre le moteur de l’individu, comme dieu dans le cas de la religion, ou le chef, le roi, la race etc...

Et donc Marx s’int�ressait justement aux conditions r�elles des individus, plut�t que de d�fendre une communaut� abstraite. Sur le fond en bon mat�rialiste, il �tait individualiste, ce qui se traduisait par le fait qu’il voyait le communisme comme une soci�t� totalement d�mocratique, c’est � dire une soci�t� o� ce sont les individus concrets qui d�cident de leur propre sort ; collectivement, et non une autorit� arbitraire ou un principe abstrait.

Le collectif et l’individu ne s’opposent pas, c’est m�me la seule vision concr�te du collectif, de le consid�rer sur la base des individus qui le composent. Un collectif anti-individualiste, c’est un collectif abstrait, donc bas� sur des id�es comme sont con�ues les communaut�s religieuses.

Il y a deux faces dans la religion : le spirituel et le conservateur/fanatique, et ils ont un point commun c’est justement la n�gation de l’individu, de son autonomie.

R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 20 octobre 2014 18:34
  
  au clown epicure= collectif ou ensemble d’individus=anti-individualisme, l’individu est un singulier point, plusieurs individus=groupe (contraire de l’individu), marx lui parlait de prol�tariat/collectif/exploit�s jamais d’individus, vouloir rendre heureux plusieurs humains ce n’est pas vouloir l’�panouissement de l’individu, dans ce cas un nationaliste voulant rendre heureux se « individus » de son pays, serait individualiste, Marx � la place veut rendre heureux les « individus » de l’humanit� et de l’exploitation, l’humanit� ou le prol�tariat c’est pas l’individu, comme la nation. tu confonds bonheur humain et �panouissement de l’individu.
  
  marx d�mocratique depuis quand impos� le collectivisme par le sang et la force c’est d�mocratique ? la d�mocratie c’est la loi de la majorit� rien d’individualiste, les individus sont soumis au groupe des 560 % et + 1 voix, la d�mocratie c’est le choix du peuple pas de chaque individu. quand on cumule pleins « d’individus » �a forme un groupe ou collectif.
  
  sinon le clown en quoi dieu est une repr�sentation abstraite-symbolique, c’est ton opinion d’ath�e point
  
  l’individualisme c’est la soumission � son immoralit� et � son �go�sme, c’est se faire Dieu, c’est se soumettre a soi-m�me � ses d�sirs et envies.
  
  laisses l’individu dans sa qu�te de spiritualit� laisses le autonome ne l’encha�nes pas � ton nihilisme qui m�ne au n�ant, au rien, au vide, � la destruction, tu n’es pas autonome pauvre mec dans ton ath�isme tu es un gay, un h�doniste et un bourgeois engraiss� au caviar comme tous tes amis bobos c’est pour �a que tu es ath�e point pas parce que tu veux �tre libre.
  
  R�pondre Lien permanent
- epicure 20 octobre 2014 21:39
  
  Tiens le nul qui vient encore prouver qu’il ne comprend pas ce dont il parle.
  Esp�ce d’idiot pas fini, tu prouves encore que tu ne comprend rien de ce dont tu parle.
  Tu es toujours au niveau z�ro de la pens�e, celle bas�e uniquement sur la superficialit�.
  Ce n’est pas d’une courge comme toi que je vais apprendre quoi que ce soit sur un des nombreux concepts dont tu d�montre � chaque ligne que tu ne comprends pas du tout ce dont tu parles.
  
  L’individualisme ce n’est pas une question de quantit�.
  L’individualisme s’oppose � l’autoritarisme, qui peut s’exprimer dans une seule personne.
  L’individualisme c’est une relation sociale entre personne qui n’est pas bas�e sur des rapports de domination/soumission.
  Quand un groupe d�cide d�mocratiquement sans coercition des un sur les autres, c’est de l’individualisme, un petit chef qui fait sa loi sur un groupe c’est de l’autoritarisme, le contraire de l’individualisme.
  La d�mocratie c’est de individualisme, hors la d�mocratie concerne toujours un groupe de personne et non une personne isol�e.
  
  Ce qui montre bien que tu ne sais pas ce dont tu parles, comme d’habitude.
  Donc tout ton blabla c’est le niveau moins l’infini sur l’individualisme, c’est hors sujet.
  
  Mais dieu est d�crit de fa�on tellement diff�rentes, contradictoires, bas� sur des croyances irrationnelles et l’air du temps, que ce dont les croyants parlent ne peut �tre qu’une repr�sentation symbolique, o� chacun met ce qu’il veut dans le mot, m�me en y mettant tout et son contraire.
  
  Tu confonds individualisme avec ton particularisme ( le particulier strictement diff�rent et s�par� des autres ), mais c’est normal avec un mauvais propagandiste comme toi, la seule fa�on de d�fendre tes id�es, c’est d’attribuer leur d�fauts aux id�es oppos�es.
  
  Aller bouffon tu n’a aucun argument car tu es incapable de r�fl�chir, c’’est pour �a que tu es d’extr�me droite :
  tu as besoin d’une autorit� pour r�fl�chir,
  tu classes les gens dans des cat�gories rigides, comme �a quand tu croises quelqu’un tu sors tes petites fiches pour la cat�goriser, pas besoin de r�fl�chir pour d�terminer les caract�ristiques r�elles de cette personne.
  Bref c’est le pied tu n’as jamais besoin de r�fl�chir.
  C’est tranquille d’�tre d’extr�me droite quand on ne sait pas r�fl�chir par soi m�me. Tout le travail est pr�m�che par des autorit�s arbitraires.
  Du coup quand tu dois r�pondre des choses qui sortent de ta pseudo pens�e pr�m�ch�e tu ne peut que sortir des stupidit�, puisque tu n’es pas �quip� pour r�fl�chir, faute d’en avoir l’habitude.
  
  R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 21 octobre 2014 19:12
  
  « Tiens le nul qui vient encore prouver qu’il ne comprend pas ce dont il parle.
  Esp�ce d’idiot pas fini, tu prouves encore que tu ne comprend rien de ce dont tu parle.
  Tu es toujours au niveau z�ro de la pens�e, celle bas�e uniquement sur la superficialit�.
  Ce n’est pas d’une courge comme toi que je vais apprendre quoi que ce soit sur un des nombreux concepts dont tu d�montre � chaque ligne que tu ne comprends pas du tout ce dont tu parles. »
  
  tes affirmations ducon sont t’elles accompagn�s d’arguments ?
  
  « L’individualisme ce n’est pas une question de quantit�. »
  
  bouffon individu=ce qui est indivisible, UN l’individu a toujkours �t� UN.
  
  « L’individualisme s’oppose � l’autoritarisme, qui peut s’exprimer dans une seule personne. »
  
  l’individualisme est un totalitarisme non autoritaire ou un autoritarisme subtil.
  
  « L’individualisme c’est une relation sociale entre personne qui n’est pas bas�e sur des rapports de domination/soumission. »
  
  l’individualisme c’est l’absence de rapports sociaux solidaires, c’est l’autonomie et l’ind�pendance pas des rapports collectifs, c’est la libert� et la concurrence entre individus. quand tu as des rapports avec les autres qui vont dans le sens d’une solidarit� et entraide ce sont des rapports
  
  « Quand un groupe d�cide d�mocratiquement sans coercition des un sur les autres, c’est de l’individualisme, un petit chef qui fait sa loi sur un groupe c’est de l’autoritarisme, le contraire de l’individualisme. »
  
  ignare-inculte d�mocratie=autorit� des 50 % + 1 voix o� est l’individu �cras� face au 50 % + 1 voix ? la d�mocratie est une autorit� de plusieurs « individus » et l’autorit� dictatoriale une autorit� d’un « individu », en fait la dictature est m�me plus individualiste car c’est un individu qui dirige pas un groupe.
  
  « La d�mocratie c’est de individualisme, hors la d�mocratie concerne toujours un groupe de personne et non une personne isol�e. »
  
  bouffon voir r�ponse plus haut.
  
  « Ce qui montre bien que tu ne sais pas ce dont tu parles, comme d’habitude.
  Donc tout ton blabla c’est le niveau moins l’infini sur l’individualisme, c’est hors sujet. »
  
  bref clowny tu t’adresses une fois de plus � toi m�me.
  
  « Mais dieu est d�crit de fa�on tellement diff�rentes, contradictoires, bas� sur des croyances irrationnelles et l’air du temps, que ce dont les croyants parlent ne peut �tre qu’une repr�sentation symbolique, o� chacun met ce qu’il veut dans le mot, m�me en y mettant tout et son contraire. »
  
  qu’est ce qui est contradictoire, irrationnel, contraire dans l’air du temps ? tu sais que affirmer sans rien d�montrer ? surtout quand on sait que le monoth�isme est appuy� sur 3 religions ayant les m�mes racines et des tonnes de choses communes et croyant tous en un Dieu monoth�iste. pk ducon �a serait que symbolique ? bouffon paranormal=symbolique ?
  
  « Tu confonds individualisme avec ton particularisme ( le particulier strictement diff�rent et s�par� des autres ), mais c’est normal avec un mauvais propagandiste comme toi, la seule fa�on de d�fendre tes id�es, c’est d’attribuer leur d�fauts aux id�es oppos�es. »
  
  propagandiste particularisme=identit� de groupe (religion, nation, sexe, race...) qui sont contre l’identit� individuelle.
  
  « Aller bouffon tu n’a aucun argument car tu es incapable de r�fl�chir, c’’est pour �a que tu es d’extr�me droite : »
  
  donc j’ai aucun arguments car je sais pas r�fl�chir selon toi mais tu affirmes cel� sans arguments sinon tu es d’extr�me droite, pour le NOM, le mondialisme et le totalitarisme marchand. mais bient�t tu auras bcp de chances de cramer dans le brasier de l’enfer comme tous les collabos du NOM, les proph�ties s’accomplissent sale pourriture ;)
  
  « tu as besoin d’une autorit� pour r�fl�chir, »
  
  quelle autorit� bouffon ? ta bite, tes envies �go�stes, tes d�sirs comme tous mouton lobotomis� du syst�me marchand.
  
  « tu classes les gens dans des cat�gories rigides, comme �a quand tu croises quelqu’un tu sors tes petites fiches pour la cat�goriser, pas besoin de r�fl�chir pour d�terminer les caract�ristiques r�elles de cette personne. »
  
  saches que 80 % de l’identit� des humains sont dans des « cat�gories rigides ».
  
  « Bref c’est le pied tu n’as jamais besoin de r�fl�chir. »
  
  bouffon si tu saurais r�fl�chir tu dirais un truc intelligent argument� aps le cas.
  
  « C’est tranquille d’�tre d’extr�me droite quand on ne sait pas r�fl�chir par soi m�me. Tout le travail est pr�m�che par des autorit�s arbitraires. »
  
  mais je pense par moi m�me bouffon tu es un nazi d’extr�me droite tu veux �radiquer races, nations, religions, identit�s sexuelles, poire qu’hitler.
  
  ton autorit� je l’ai dis c’est ta queue c’est ton pognon ton �gocentrisme et tes envies.
  
  « Du coup quand tu dois r�pondre des choses qui sortent de ta pseudo pens�e pr�m�ch�e tu ne peut que sortir des stupidit�, puisque tu n’es pas �quip� pour r�fl�chir, faute d’en avoir l’habitude. »
  
  tu parles � toi m�me peux tu argumenter au lieu de r�p�ter les m�mes accusations ou affirmations merdiques te concernant ?
  
  R�pondre Lien permanent
- epicure 21 octobre 2014 21:44
  Ton premier message est totalement faux sur l’individualisme, rajouter un pav� pour continuer dans le sens du mensonge et de l’erreur , est totalement inutile.
  Tu ne sais pas ce que c’est l’individualisme, pas la peine d’en rajouter.
  Que tu �crives une lignes ou un pav�, �a revient au m�me, c’est sans sans int�r�t.
  IL suffit de savoir lire, pour savoir que tu ne comprends pas ce que c’est l’indivdualisme, hors pour en parler il faudrait que tu comprenne ce que c’est.
  
  Et tu rajoute une couche avec la d�mocratie, pour �taler encore plus ton ignorance.
  
  Donc pou te rappeler l’inanit� de tes affirmations :
  l’individualisme s’oppose � l’autoritarisme.
  Et comme l’autoritarisme peut s’incarner dans une personnes, alors que un groupe d’individus peuvent se positionner en tant qu’individus ind�pendant de cette personne autoritaire,
  Dans ce cas c’est l’autoritarisme qui est r�duit � une personne, et l’individualisme qui constitue le nombre.
  Donc si l’oppos� de l’individualisme c’est une personne seul, l’individualisme ne peut pas se caract�riser par une personne seule � l’exclusion de tous les autres.
  
  L’individualisme s’oppose uniquement au lien social vertical, c’est � dire la soumission � une autorit�, mais est parfaitement compatible avec le lien social horizontal, alors que c’est le particularisme qui est contre le lien social horizontal. Donc tu es mal placer pour critiquer l’individualisme puisque tu partage avec les �go�stes la m�me opposition au lien social horizontal, le lien du vivre ensemble , des relations pacifi�es entre les gens d’une m�me soci�t�.
  
  Tiens un autre exemple d’individualisme pluriel : la libert� sexuelle, c’est � dire deux personnes qui choisissent librement, sans contrainte, en faisant fi de tout st�r�otypes et pr�jug�s ou contraintes autoritaires, de se lier et d’avoir des rapports sexuels avec l’autre personne, ce sont bien deux individus qui sont ensembles, leur union n’annule pas leur individualit�, c’est � dire leur autonomie de choix ( qui inclu la possibilit� de r�agir au cas o� le choix se montrerait mauvais ).
  
  Comme je te le r�p�te la d�mocratie repose sur un principe � la fois universalistes, collectif donc, et individualiste, c’est � dire la d�mocratie consid�re que chaque individus constituant le collectif est son propre moteur � part �gale avec les autres individus qui d�cident aussi en toute autonomie.
  Donc la d�mocratie, consid�re bien un groupe d’individus comme le moteur de la d�mocratie.Et cela s’opose donc bien � l’autoritarisme.
  
  Tout ce que tu me racontes n’a pour origine l’ignorance : � la fois de la d�finition de l’individualisme, et aussi l’existence de pens�es individualistes qui sont � l’encontre de ce que tu racontes, bas�es donc sur le fait de prendre en compte touts les membres du collectif comme des individus capable d’autonomie et d’�gal respect.
  En fait tu es tellement intol�rant, que tu ne peux pas accepter l’existence d’une pens�e totalement oppos�e � la tienne,
  Donc tu as beau ignorer l’individualisme universaliste, il existe bel et bien.
  
  Tu as beau m’insulter , faute de savoir raisonner et argumenter, tout ce que tu alignes, n’est que mensonge et ignorance.
  
  «
  L’individualisme est une conception philosophique, politique, sociale et morale qui tend � privil�gier les droits, les int�r�ts et la valeur de l’individu par rapport � ceux du groupe. Il pr�ne l’autonomie individuelle face aux diverses institutions sociales et politiques (la famille, le clan, la corporation, la caste...) qui exercent sur lui de multiples pressions. Il ne faut pas confondre individualisme et �go�sme
  »
  Et quand c’est ’ensemble des membres du collectif qui disposent de cette autonomie, cela s’appelle la d�mocratie, ou le socialisme si on l’�tend au del� du simple pouvoir politique.
  
  "
  
  L’individualisme repose sur deux principes :
  - la libert� individuelle, ou le droit de se pr�occuper en premier lieu de la condition des individus de la soci�t� avant la condition de la soci�t� elle-m�me
  - l’autonomie morale : chaque individu se doit de mener une r�flexion individuelle, sans que ses opinions soient dict�es par un quelconque groupe social.
  "
  
  Voila ce qu’est l’individualisme, ce n’est pas ta r�duction � une personne isol�e.
  
  Se pr�occuper de la conditions DES individus, cela s’appelle la solidarit�, la pr�occupation du collectif, c’est justement la base du socialisme.
  
  C’est ce qui diff�rencie l’individualisme universaliste de l’individualisme particulariste, c’est que les particularistes ne retiennent de l’individualisme que la partie autonomie morale, et oublient les bessons des autres individus.
  
  Et tout en bon particulariste , comme les �go�stes, il te faut tout diviniser, r�duire, tu oublies aussi la partie libert� individualise collective.
  
  Bref c’est bien toi qui est pareil que les individualistes �go�stes qui emmerdent le monde pour leur personne oppos�e aux autres, puisque vos deux pens�es sont bas�es sur la socialisation des oppositions et conflits par l’exacerbation des diff�rences et la r�duction des personnes � des particularit�s clivantes ( propri�t�, race, religion, sexe, classe sociale etc... ), c’est � dire sur le particularisme.
  
  Je ne vois pas en quoi tu peux vraiment la ramener au niveau du lien social, alors que les soci�t�s bas�es sur les principes de ton id�ologies ont toujours pos� des barri�res sociales entre les gens, par l’�tablissement de hi�rarchies exclusives.
  
  Alors qu’au contraire l’individualisme universaliste, est bas� sur la disparition de tous les clivages r�ducteurs entre les personnes, d’o� son opposition au racisme, au sexisme, � la lutte des classes, au clivage de la soci�t� par les religions etc...
  R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 21 octobre 2014 23:21
  
  mais tu continues � poster incroyable !! :
  
  « Ton premier message est totalement faux sur l’individualisme, rajouter un pav� pour continuer dans le sens du mensonge et de l’erreur , est totalement inutile.
  Tu ne sais pas ce que c’est l’individualisme, pas la peine d’en rajouter.
  Que tu �crives une lignes ou un pav�, �a revient au m�me, c’est sans sans int�r�t.
  IL suffit de savoir lire, pour savoir que tu ne comprends pas ce que c’est l’indivdualisme, hors pour en parler il faudrait que tu comprenne ce que c’est.
  
  Et tu rajoute une couche avec la d�mocratie, pour �taler encore plus ton ignorance. »
  
  donc tu t’adresses � toi m�me tant que tu fais des affirmations comme �a sans arguments pour prouver ces affirmations-accusations elles ne valent rien et se retournent contre toi m�me car tu n’as aucun arguments face � ton interlocuteur qui a d�montr� que c’est toi qui est ce dont tu m’accuses.
  
  « Donc pou te rappeler l’inanit� de tes affirmations :
  l’individualisme s’oppose � l’autoritarisme.
  Et comme l’autoritarisme peut s’incarner dans une personnes, alors que un groupe d’individus peuvent se positionner en tant qu’individus ind�pendant de cette personne autoritaire, »
  
  un groupe d’individus est autoritair et anti-individualiste c’est le groupe qui d�cide, c’est le peuple, c’est la nation, c’est le prol�tariat... le destin de chacun est pris en main par un groupe.
  
  « Dans ce cas c’est l’autoritarisme qui est r�duit � une personne, et l’individualisme qui constitue le nombre.
  Donc si l’oppos� de l’individualisme c’est une personne seul, l’individualisme ne peut pas se caract�riser par une personne seule � l’exclusion de tous les autres. »
  
  l’individualisme le nombre ? pauvre d�bile depuis quand le collectif c’est l’individu ?
  
  « L’individualisme s’oppose uniquement au lien social vertical, c’est � dire la soumission � une autorit�, mais est parfaitement compatible avec le lien social horizontal, alors que c’est le particularisme qui est contre le lien social horizontal. Donc tu es mal placer pour critiquer l’individualisme puisque tu partage avec les �go�stes la m�me opposition au lien social horizontal, le lien du vivre ensemble , des relations pacifi�es entre les gens d’une m�me soci�t�. »
  
  collectivisme, solidarit�, d�mocratie=autorit� d�sol� pour toi bouffon.
  
  « Tiens un autre exemple d’individualisme pluriel : la libert� sexuelle, c’est � dire deux personnes qui choisissent librement, sans contrainte, en faisant fi de tout st�r�otypes et pr�jug�s ou contraintes autoritaires, de se lier et d’avoir des rapports sexuels avec l’autre personne, ce sont bien deux individus qui sont ensembles, leur union n’annule pas leur individualit�, c’est � dire leur autonomie de choix ( qui inclu la possibilit� de r�agir au cas o� le choix se montrerait mauvais ). »
  
  comme je l’ai dis individualisme : envies sexuelles-consum�ristes, individualisme=capitalisme merci de le confirmer.
  
  sinon abruti les st�r�otypes c’est constater la nature : un gay ou un trans est anormal et n’a pas �tre une norme d�sol� si tu es un d�prav� mais n’imposes aps ton mode de vie aux autres, mode de vie qui ’na rien de bien pour l’humanit� et qui est anti-naturel et totalement immoral. « contraintesautoritaires » discours digne d’un ultra-lib�ral tes envies de consommateur capitaliste �a n’a rien � voir avec la libert�.
  
  « Comme je te le r�p�te la d�mocratie repose sur un principe � la fois universalistes, collectif donc, et individualiste, c’est � dire la d�mocratie consid�re que chaque individus constituant le collectif est son propre moteur � part �gale avec les autres individus qui d�cident aussi en toute autonomie. »
  
  donc 51 % de la population (c-�-d un groupe le collectif) dirigeant la vie de chacun c’est l’individu qui est son moteur ? bouffon l’ensemble des individus lorsqu’ils forment un groupe se diluent dedans, c’est pour �a d�bile que plusieurs individus aps �gal individu mais groupe et le groupe n’a rien d’individuel, tu fais du novlangue bouffon. 51 % de la population parlant d’une voix c’est l’individualisme.
  
  R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 22 octobre 2014 18:45
  « Tout ce que tu me racontes n’a pour origine l’ignorance : � la fois de la d�finition de l’individualisme, et aussi l’existence de pens�es individualistes qui sont � l’encontre de ce que tu racontes, bas�es donc sur le fait de prendre en compte touts les membres du collectif comme des individus capable d’autonomie et d’�gal respect. »
  
  d�sol� abruti si tu prends en compte les individus, (donc chacun d’eux) tu ne peux aps prendre en compte le collectif qui est d’ailleurs totalement oppos� � l’autonomie individuelle. le collectif est un tous pas les individus
  
  « En fait tu es tellement intol�rant, que tu ne peux pas accepter l’existence d’une pens�e totalement oppos�e � la tienne,
  Donc tu as beau ignorer l’individualisme universaliste, il existe bel et bien. »
  
  l’individualisme universaliste c’est l’ultra-lib�ralisme guignol / :
  
  « Tu as beau m’insulter , faute de savoir raisonner et argumenter, tout ce que tu alignes, n’est que mensonge et ignorance. »
  
  tu parles � toi ,m�me ?
  
  �
  L’individualisme est une conception philosophique, politique, sociale et morale qui tend � privil�gier les droits, les int�r�ts et la valeur de l’individu par rapport � ceux du groupe. Il pr�ne l’autonomie individuelle face aux diverses institutions sociales et politiques (la famille, le clan, la corporation, la caste...) qui exercent sur lui de multiples pressions. Il ne faut pas confondre individualisme et �go�sme
  �
  Et quand c’est ’ensemble des membres du collectif qui disposent de cette autonomie, cela s’appelle la d�mocratie, ou le socialisme si on l’�tend au del� du simple pouvoir politique.«
  
  h� non bouffon dans une d�mocratie les individus sont dirig�s pas par eux m�me mais par 51 % de la population parlant d’une seule voix... le collectif, le peuple et la nation sont totalement oppos�s � l’individu, ta pauvre cervelle d�labr� a pas capt� que n’importe quel groupe totalitaire-autoritaire est constitu� de plusieurs individus... mais lorsque c’est aps le singulier qui dirge mais le tous, le pluriel, l’ensemble... il ya 0 individualisme.
  
  »
  
  L’individualisme repose sur deux principes :
  - la libert� individuelle, ou le droit de se pr�occuper en premier lieu de la condition des individus de la soci�t� avant la condition de la soci�t� elle-m�me
  - l’autonomie morale : chaque individu se doit de mener une r�flexion individuelle, sans que ses opinions soient dict�es par un quelconque groupe social.
  «
  
  Voila ce qu’est l’individualisme, ce n’est pas ta r�duction � une personne isol�e.
  
  Se pr�occuper de la conditions DES individus, cela s’appelle la solidarit�, la pr�occupation du collectif, c’est justement la base du socialisme. »
  
  hey bouffon les droits individuels c’est le droit naturel ultra-lib�ral donc se pr�occuper des individus=lib�ralisme, se pr�occuper de la soci�t�=anti-lib�ralisme, l’individu est soumis au collectif et � la soci�t� via notamment une solidarit� forc�, l’individu n’est plus libre-autonome-ma�tre de sa vie, il est totalement li� � un groupe. le collectif : c’est le tous l’ensemble, la globalit� pris en compte aps chaque individu, on se pr�occupe aps du besoin de chaque individu un par un (impossible) mais d’un ensemble ou d’une totalit� en attribuant � cette globalit� des besoins... rien d’individualiste.
  
  « C’est ce qui diff�rencie l’individualisme universaliste de l’individualisme particulariste, c’est que les particularistes ne retiennent de l’individualisme que la partie autonomie morale, et oublient les bessons des autres individus.
  
  Et tout en bon particulariste , comme les �go�stes, il te faut tout diviniser, r�duire, tu oublies aussi la partie libert� individualise collective. »
  
  euh bouffon l’individualisme est uniquement universaliste ob�ir � ses int�r�ts personnels d�coule des envies non-r�gul�s de l’individu universel, l’�go�sme est bien dans universel bouffon le particularisme c’est se pr�occuper d’un groupe aps des individus.
  
  « Bref c’est bien toi qui est pareil que les individualistes �go�stes qui emmerdent le monde pour leur personne oppos�e aux autres, puisque vos deux pens�es sont bas�es sur la socialisation des oppositions et conflits par l’exacerbation des diff�rences et la r�duction des personnes � des particularit�s clivantes ( propri�t�, race, religion, sexe, classe sociale etc... ), c’est � dire sur le particularisme. »
  
  encore une fois bouffon la propri�t� est issue de l’individualisme universel, l’individu, l’avidit� (provoquant l’accumulation de propri�t�) et l’�go�sme �a n’a aucune fronti�res et �a n’appartient � aucune cat�gories. les diff�rences de propri�t� sont li�s au fait des diff�rences individuelles pas particularistes, les individus varient entre eux. cesses de r�duire la personne � ton identit� unisexe-consum�riste-ath�e-mondialiste � ta pseudo-individualit� qui est une identit� totalitaire.
  
  « Je ne vois pas en quoi tu peux vraiment la ramener au niveau du lien social, alors que les soci�t�s bas�es sur les principes de ton id�ologies ont toujours pos� des barri�res sociales entre les gens, par l’�tablissement de hi�rarchies exclusives.
  
  Alors qu’au contraire l’individualisme universaliste, est bas� sur la disparition de tous les clivages r�ducteurs entre les personnes, d’o� son opposition au racisme, au sexisme, � la lutte des classes, au clivage de la soci�t� par les religions etc... »
  
  l’individualisme universaliste est le capitalisme raciste : m�tissage, destruction des races, cultures et nations.
  
  totalitaire c-�-d pour l’uniformit� et l’an�antissement de l’identit� naturelle f�minine m�pris� ou masculine m�pris� (machisme et haine de l’homme) il y a donc deux extr�mes, sexisme qui ne tol�re pas l’identit� individuelle et ton id�ologie de merde qui ne tol�re pas l’identit� sexuelle.
  
  religieux : th�ocratie satanique, promotion de la croyance en rien du tous dans le n�ant, du satanisme, de la ma�onnerie, etc...
  
  sinon le nazi ces « barri�res » que tu appelles des diff�rences tu veux les exterminer nazi car tu es un facho voulant imposer ton identit� de m�tis-consommateur-unisexe-� la world culture, c’est comme hitler voulant imposer l’identit� allemande � tous, plus aucune identit� non allemande : 0 barri�re dans l’humanit� car tous �gaux : tous allemands ;)
  
  bref mouton continues � d�fendre le capitalisme-consum�risme-mondialisme l’e ’individualisme universel.
  R�pondre Lien permanent
Robert Bibeau 20 octobre 2014 17:28

@ EPICURE Gnostique ou agnostique ? � Et puis l’individu est le seul objet concret de la soci�t�, tout le reste ne sont que des concepts, des id�es, des repr�sentations symbolique, mais un individu c’est concret.Pour petit rappel, la pens�e socialiste , a comme but l’�mancipation de l’individu. �

La pens�e socialiste � bourgeoise � � la Mitterrand, � la Jaur�s a pour but l’�mancipation de l’individu individualiste - c’est-�-dire la conqu�te de son moi et la satisfaction de son narcissisme. �picure vous affichez votre amour de vous-m�me, mais de gr�ce ne faites pas dE PROJECTION. SUR AUTRUI.

Personnellement je crois que OUI l’indic=vidu est un objet concret de la soci�t� = indubitablement. Mais quel fut le construit de cet individu que vous proclamez INDIVIDUALISTE DE MANI�RE IMMANENTE ? Il est le b�tit de la communaut� des individus appel�e soci�t� f�odale, esclavagiste ou capitaliste selon les �poques.

La somme des individus inter reli�s - assembl�es - socialis�s est plus que l’addition des individualit�s car l’interaction - la coop�ration - l’affrontement - la collaboration transforme chaque individualit� qui seule sur la lune par exemple - abandonn�e - ne serait rien que mort lente et pas tr�s longue.

NON- il y a bien dans la soci�t� plus que des individus comme objet r�el concret et leur individualisme narcissique.

R�pondre Lien permanent
- epicure 20 octobre 2014 20:34
  
  C’est pareil pour Marx, donc tu consid�re le marxisme comme du socialisme bourgeois ?
  
  Tu confonds individualisme et narcissisme c’est deux choses diff�rentes.
  Ah oui j’ai oubli� la petite nuance, qui te manque, c’est que donc le socialisme repose sur l’Individu, ou si tu pr�f�re les �tres humains, tous les individus, pas l’individu isol�. Donc la pens�e mat�rialiste pense la soci�t� comme un collectif individus. Ce qui n’a rien � voir avec l’individu narcissique dont tu parle. l’individualisme se conjugue sous diff�rentes formes, et ce dont tu parle n’est que la version caricaturale de tous les r�actionnaires, des fascistes, des staline , etc... qui ne veulent qu’une chose des prol�taires, et du peuple : la soumission � leur autorit� arbitraire. ils ont donc besoin de caricaturer le principe qui permet l’opposition � cette caricature : l’individualisme.
  
  Tu as une vision borgne ( ce n’est pas personnel, beaucoup sont dans ce cas ) de l’individualisme, c’est � dire que tu ne vois l’individualisme que par sa version particulariste, l’�go�ste narcissique,
  Sans voir celui du socialisme, l’individualisme universaliste, qui comprend tous les individus de la soci�t�, et non une personne s�par�e et oppos�e aux autres individus. Hors Marx, Jaur�s, sont de cet individualisme l� , o� l’Individu(s) et le collectif se compl�tent. L� o� la libert� n’existe qu’avec l’�galit�, et l’�galit� avec la libert�. Donc oui c’est un individualisme o� les individus coop�rent entre eux car reconnaissant les autres comme des individus �gaux, avec des besoins, des d�sirs humains, et non des id�es abstraites ( race ,classe sociale sexe st�r�otyp� etc.... ) qui ne servent qu’� ali�ner les individus.
  
  Cela peut se traduire par exemple par une situation o� il n’y a plus de patron qui dicte sa loi aux autres individus de l’entreprise , appel�s employ�s, mais uniquement des membres de l’entreprise qui d�cident collectivement du sort de leur entreprise, sans que personne ne la joue pour son int�r�t personnel contre les autres, Bref dans ce cas c’est bien ce qui correspond au socialisme, au communisme.
  
  La r�ponse � ta question est dans le but du socialisme : l’�mancipation des individus, c’est � dire le lib�rer de toutes les ali�nations des soci�t�s hi�rarchiques, autoritaires du pass�. Et pour rompre avec ces carcans, il faut justemtn passer par l’individualisme c’est � dire le refus de la soumission � l’autorit� arbitraire, quelle soit escalvagiste, f�odale ou capitaliste. L’individualisme proprement dit (pas sa caricature particulariste) a comme oppos� la soumission.
  
  R�pondre Lien permanent
- lsga 20 octobre 2014 20:37
  
  I’m lsga and I approve this message !
  
  Le Socialisme repose sur l’individu. Il faut le rappeler. Bravo �picure.
  
  R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 24 octobre 2014 18:26
  
  « C’est pareil pour Marx, donc tu consid�re le marxisme comme du socialisme bourgeois ?
  
  Tu confonds individualisme et narcissisme c’est deux choses diff�rentes.
  Ah oui j’ai oubli� la petite nuance, qui te manque, c’est que donc le socialisme repose sur l’Individu, ou si tu pr�f�re les �tres humains, tous les individus, pas l’individu isol�. »
  
  si tu pr�f�res tous les �tres humains tu pr�f�res l’humanit� � l’individu, l’individu n’est que singulier, si tu l’aimes uniquement en l’incorporant un groupe, c’est que tu aimes cette personne non en tant qu’individu mais en tant qu’humain, nationaleux, prol�taire ou que sais je.
  
  « Donc la pens�e mat�rialiste pense la soci�t� comme un collectif individus. Ce qui n’a rien � voir avec l’individu narcissique dont tu parle. l’individualisme se conjugue sous diff�rentes formes, et ce dont tu parle n’est que la version caricaturale de tous les r�actionnaires, des fascistes, des staline , etc... qui ne veulent qu’une chose des prol�taires, et du peuple : la soumission � leur autorit� arbitraire. ils ont donc besoin de caricaturer le principe qui permet l’opposition � cette caricature : l’individualisme.
  
  Tu as une vision borgne ( ce n’est pas personnel, beaucoup sont dans ce cas ) de l’individualisme, c’est � dire que tu ne vois l’individualisme que par sa version particulariste, l’�go�ste narcissique, »
  
  l’individualisme particulariste �a n’existe pas le particularisme c’est la nation, la race, al religion ou que sais je l’individu est universel avec ses envies �go�stes et sa libert� sans limites. l’universalisme a accouch� du lib�ralisme qui a toujours eu une vocation universelle sans couleur, nation, race, religion, sexe ou n’imp quelle identit� particuli�re.
  
  « Sans voir celui du socialisme, l’individualisme universaliste, qui comprend tous les individus de la soci�t�, et non une personne s�par�e et oppos�e aux autres individus. »
  
  non en en partagenat els richesses tu r�ponds � l’int�r�t g�n�ral aps � l’int�r�t particulier o� bcp de gens ne voudraient pas suivre le communisme.
  
  « Hors Marx, Jaur�s, sont de cet individualisme l� , o� l’Individu(s) et le collectif se compl�tent. L� o� la libert� n’existe qu’avec l’�galit�, et l’�galit� avec la libert�. »
  
  l’�galit� des droits individuels existent, donc libert�, le communisme c(’est l’opposition � la libert� qui naturellement cr�� des in�galit�s (non en droits), le communisme c’est obliger (contre la libert�) l’individu a �tre comme els autres et vivre comme les autres.
  
  « Donc oui c’est un individualisme o� les individus coop�rent entre eux car reconnaissant les autres comme des individus �gaux, avec des besoins, des d�sirs humains, et non des id�es abstraites ( race ,classe sociale sexe st�r�otyp� etc.... ) qui ne servent qu’� ali�ner les individus. »
  
  h� non bouffon coop�ration=action non-individuelle, la coop�ration lie les individus entre eux � un mouvement/une action/une soci�t� d�passant les individus.
  
  « id�es abstraites » 0 noir, 0 femme, 0 nation clowny ? la classe sociale n’a rien de particulariste c’est une cons�quence de l’individualisme universaliste, c’est al cons�quences des libert�s individuelles et de l’�panouissement individuel de chacun, c’est aucunement li� � qq chsoe d�passant l’individu (race, nation, religion...).
  
  « Cela peut se traduire par exemple par une situation o� il n’y a plus de patron qui dicte sa loi aux autres individus de l’entreprise , appel�s employ�s, mais uniquement des membres de l’entreprise qui d�cident collectivement du sort de leur entreprise, sans que personne ne la joue pour son int�r�t personnel contre les autres, Bref dans ce cas c’est bien ce qui correspond au socialisme, au communisme. »
  
  donc collectivement=anti-individualisme, la propri�t� du patron est collectivis�, n’est plus individualis�, les salari�s comme le patron signent des contrats individuellement. le salari� �coute le patron par un contrat sign� par son individu sans coercition d’un groupe.
  
  « La r�ponse � ta question est dans le but du socialisme : l’�mancipation des individus, c’est � dire le lib�rer de toutes les ali�nations des soci�t�s hi�rarchiques, autoritaires du pass� »
  
  on voit ce qu’est cette « lib�ration » : m�tissage forc�, collectivisme forc� (lib�rateurs l�nine-staline ?), abolition des cultures et nations (nazisme/g�nocide), pousser/forcer les gens � avoir une identit� sexuelle unique (lib�rateur mon con en quoi ?), combattre les traditions (pour les remplacer par quoi mon con ? en quoi sont elles horribles mon con ?), hyper-sexualisation de la soci�t� (lib�rateur mon con ?), soumettre les gens � une identit� mondialiste, consum�risme (lib�rateur aussi ?), identit� collectiviste-prol�taire impos� unique pour tous, ath�isme c’est � dire �garement/ali�nation mat�rialiste forc�, etc...
  
  « Et pour rompre avec ces carcans, il faut justemtn passer par l’individualisme c’est � dire le refus de la soumission � l’autorit� arbitraire, quelle soit escalvagiste, f�odale ou capitaliste. L’individualisme proprement dit (pas sa caricature particulariste) a comme oppos� la soumission. »
  
  pauvre con ton individualisme c’est le capitalisme bel et bien universaliste et comme dit plus haut abruti ton individualisme est tous le contraire de la lib�ration, facho. la soumission c’est bien t connerie pauvre tar� d�g�n�r�, un totalitarisme.
  
  R�pondre Lien permanent
- Baasiste 2 24 octobre 2014 18:55
  
  « de l’individualisme universaliste, c’est al cons�quences des libert�s individuelles et de l’�panouissement individuel de chacun, c’est aucunement li� � qq chsoe d�passant l’individu (race, nation, religion...). »
  
  le sexe, la drogue, l’immoralit�, l’�garement dans l’erreur, l’�gocentrisme, la croyance en que dalle en rien, croire qu’on est un sale tas de boue fait pour manger et dormir (ath�isme), le consum�risme et l’argent c’est de l’�panouissement ?
  
  correction :
  si tu pr�f�res tous les �tres humains tu pr�f�res l’humanit� � l’individu, l’individu n’est que singulier, si tu l’aimes uniquement en l’incorporant � un groupe, c’est que tu aimes cette personne non en tant qu’individu mais en tant qu’humain, chr�tiens, nationaux, prol�taire ou que sais je.
  
  "Sans voir celui du socialisme, l’individualisme universaliste, qui comprend tous les individus de la soci�t�, et non une personne s�par�e et oppos�e aux autres individus. �
  
  non en en partageant les richesses tu r�ponds � l’int�r�t g�n�ral de l’humanit� pas � l’int�r�t individuel car beaucoup d’individus (la majorit�) ne veulent pas suivre le communisme et leur int�r�t/volont� n’a rien � voir avec.
  
  aussi l’individualisme est universel, car bien que les volont�s individuelles particuli�res dans le sens que chacune sont d’un individu, ces volont�s sont universelles car elles �manent de l’individu universel sans fronti�res.
  
  R�pondre Lien permanent
Robert Bibeau 21 octobre 2014 01:20

@Tous Aucun int�r�t pour les insultes personnelles - Si cela continue je devrai signaler un abus de langage. Personne n’est int�ress� par vos insultes r�ciproques

Sur la question de l’individualisme - il y a arguments solides - j’aime.

Le communisme n’est pas individualisme et ne repose pas sur l’individu isol� - esseul�. Le communisme repose sur l’individu-collectif. Dans un parti r�ellement communiste (de gr�ce oubliez le PCF et autres caricatures de m�me esp�ce) c’est l’intelligence collective qui est � l’Oeuvre. L’individualisme petite bourgeois �gocentrique et narcissique (le sommet de l’individualisme quand il est devenu pathologique dans son exercice quotidien individuel) est une tare qui nous fut l�gu� par le capitalisme bourgeois et dont la petite-bourgeoise est plus particuli�rement affect�e - malade - envieuse des pr�rogatives que s’est octroy�e la grande bourgeoisie - qu’elle la petite-bourgeoise ne pourra jamais atteindre - se d�lect� - mais qui ne peu s’emp�cher de convoiter.

C’est plut�t la crise - la paup�risation individuelle et collective qui attend cette courroie de transmission comme on la li ici (ci-haut) amer et revancharde.

Triste solitude que ces petits-bourgeois � individualiste esseul� �.

Ne comptez pas sur la classe ouvri�re collectiviste et solidaire pour les secourir ( )

R�pondre Lien permanent

La « D�mocratie bourgeoise », Cause toujours, ou Ferme ta G…

29 r�actions

R�agir