lundi 19 novembre 2007 - par Hermes

Pourquoi est-il important d’apprendre les langues ?

Fin septembre un commissaire européen posa la question : "Pourquoi est-il important d’apprendre les langues ?" et une réponse en diverses langues fut donnée (la version française). De plus suite à cela beaucoup de réponses d’internautes européens dans diverses langues furent données ; ce qui est rare actuellement au niveau de la capacité européenne à appliquer la possibilité de s’exprimer dans sa propre langue, donc un grand coup de chapeau à ce commissaire :

Dans les réponses d’internautes il semble que le sujet tourne principalement sur : quels systèmes ou moyens choisir pour que les Européens puissent se comprendre et apprécier la culture des pays voisins ?

Les réponses possibles étaient soit anglais en priorité, soit le multilinguisme (sous différentes formes) possibles, soit le trilinguisme, soit l’esperanto associé au multilinguisme.

Pour voir ce qui sera totalement utopique ou réalisable à un moment. Nous devons définir les limites de ce que peut faire l’homme au niveau de l’apprentissage des langues. Pour cela je vais prendre appui du texte de Claude Piron : L’Européen trilingue : un espoir réaliste ? (http://claudepiron.free.fr/articlesenfrancais/europeentrilingue.htm )

Analysons déjà ce qui est le plus difficile à mettre en place : le multilinguisme

Quel type de multilinguisme ? Quel nombre de langues ? Quel niveau de langue ?

Le niveau de langue : selon Claude Hagege "Pour moi, connaître parfaitement une langue, c’est être capable de saisir des jeux de mots débités sur un ton très rapide par des usagers natifs, et la parler sans être identifié comme un étranger" et il conclut en disant : "Le nombre de vrais bilingues (...) est plutôt réduit." (réf. : "Une langue disparaît tous les quinze jours", L’Express). Que cela veut-il dire ? Que pour le commun des mortels, pouvoir maîtriser une autre langue que la sienne comme un natif est quelque chose de rare et posséder d’autres langues par la suite, encore plus rare (mais pas impossible).

Donc il s’avère que le multilinguisme de très haut niveau est impossible au niveau européen.

On peut baisser le niveau de maîtrise de langue car tout le monde ou presque n’a pas besoin d’une maîtrise parfaite d’une langue. Que cela donne-t-il ? Forcément un pourcentage plus important. Une étude récente d’Hanovre a donné que les personnes parlant bien à très bien une langue étrangère chez environ 3 700 étudiants était de 5 %, une étude précédente indiquait au sortir du bac que le niveau était de 6 % (réf. : Udo Van de Sandt, « Access : an Exclusive Study of Lintas Worldwide » (Rapport d’enquête sur la connaissance de l’anglais), Initiative (Lintas Worldwide Media News Bulletin), Londres : Lintas Worldwide, 1989, janvier, pp. 1-2), il s’avère donc que même une langue étrangère maîtrisée correctement ne puisse pas être aussi facile que cela. L’exemple du TOEIC (réf. : http://www.studyrama.com/article.php3?id_article=13508 ) montre qu’en moyenne que le niveau de maîtrise de l’anglais dans divers pays est plutôt moyen, basique.

La guerre des langues en Belgique (divers articles de Marianne) et en Suisse (oui elle existe, mais on n’en entend pas beaucoup parler) fait que malgré des pays prônant le multilinguisme dans leur territoire, il se trouve que leurs habitants aient besoin quand même d’un compatriote de même langue dans les administrations, les hôpitaux, en bref dans la vie courante car leur maîtrise des langues est insuffisante. Alors comment faire dans une Europe contenant plus de 20 langues alors que dans des pays bilingues ou trilingues, on n’y arrive même pas.

Donc on peut dire que le multilinguisme quelle que soit sa forme (langues de travail, par groupes de langues, trilinguisme, etc.) n’est pas possible pour obtenir une population capable de se sentir à l’aise chez soi et en confiance partout en Europe au niveau du langage et de la qualité de s’exprimer et de comprendre.

Donc il ne reste qu’une possibilité, la langue unique, donc un bilinguisme dévolue à une langue seconde uniquement. Deux cas possibles ? Utiliser une langue soit nationale soit anationale de l’union européenne.

Dans le cas d’une langue nationale unique, il existe un dilemme important par rapport à certains principes de l’union européenne comme "l’unité dans la diversité", ainsi dans les textes fondateurs, si l’on privilégie une langue par rapport aux autres il s’avère qu’au final, une inégalité se forme entre les pays et donc des peuples européens.

Les natifs de la langue unique n’ont pas besoin d’apprendre d’autres langues et donc peuvent étudier plus que les autres d’autres matières. Qui plus est, il s’avère en pratique que cette langue unique absorbe beaucoup de temps et d’énergie dans la capacité de travail à l’intérieur des autres langues. Je m’explique il s’avère que dans les pays nordiques prônant le tout anglais, que ce dernier appauvrisse le vocabulaire technique nécessaire pour travailler uniquement dans la langue maternelle (le suédois par exemple), ou dans le cas de travail tout à l’anglais il s’est avère que chez l’entreprise Renault (réf. : sauvons la langue francaise de Claude Hagege) cela ralentissait la capacité d’analyse des chefs d’entreprises dans les situations où l’anglais n’était pas nécessaire. Bon, on pourrait effacer le principe "d’unité dans la diversité" pour un mal on pourrait obtenir un bien plus grand, mais alors quelle langue choisir ?

Actuellement il s’agit de l’anglais est-ce un bon choix, je vous laisse lire le texte de Claude Piron (http://claudepiron.free.fr/articlesenfrancais/orban.htm )

5. On trompe le monde en dissimulant qu’à bien des égards la phonétique de l’anglais en fait une langue à part, qui la rend plus difficile à prononcer que la plupart des autres pour la majorité de la population. On évite de dire que le grand nombre de sons vocaliques de l’anglais (24) et la présence de sons comme le /th/ sont une source constante de malentendus, ou de ridicule (entendre et reproduire la différence entre fourteen, fourty, thirteen, thirty, ou entre soaks, socks, sucks, sacks, sex, six, seeks, etc. est hors de portée de la plupart des non-anglophones).

6. On trompe le monde en évitant de souligner que la maîtrise du vocabulaire anglais exige le double d’effort de celui d’une autre langue. Dans pratiquement toutes les langues il y a un rapport de forme, qui facilite la mémoire, entre notions connexes : on dérive lunaire de lune, dentiste de dent, désarmement d’arme. En anglais il faut chaque fois apprendre deux mots différents : moon/lunar, tooth/dentist, weapon/disarmament. Et on ne maîtrise pas l’anglais si on ne connaît pas des milliers de doublets du style buy/purchase, read/peruse, freedom/liberty, threat/menace, etc. La plupart des langues fonctionnent très bien sans un tel encombrement du lexique.

7. On fait croire que l’anglais est une langue aussi précise que la plupart des autres. Tromperie. L’anglais est nettement plus imprécis, faute de repères grammaticaux, et parce que les champs sémantiques sont souvent trop vastes. Quelques exemples :

a) Develop an industry peut signifier aussi bien "créer une industrie" que "développer une industrie déjà existante".
b) Bush warned against attacking Iran peut signifier "Bush a conseillé de ne pas attaquer l’Iran" ou "Bush (est) mis en garde (par quelqu’un d’autre) contre l’idée d’attaquer l’Iran".
c) Une interprète de ma connaissance a commencé par rendre Iraqis today have no power par "les Irakiens n’ont pas de pouvoir" alors que quelques minutes plus tard la suite du discours a montré qu’il aurait fallu traduire par "Il n’y a pas de courant électrique en Irak aujourd’hui".
d) English teacher peut se dire aussi bien d’un professeur anglais qui enseigne les mathématiques que d’un professeur hongrois qui enseigne l’anglais.

Je pourrais multiplier les exemples, mais ces quatre suffiront sans doute. J’ai travaillé dans pas mal de langues, mais je n’en connais aucune qui soit aussi ambiguë. C’est très regrettable pour les textes juridiques et scientifiques.

Donc au final il s’avère que l’anglais est l’une des pires candidates ; l’italien, l’espagnol semblent bien meilleurs car bien plus réguliers.

Ou alors une langue anationale ? : trois choix le latin ou grec ancien, une langue en dehors de l’Europe ou l’esperanto.

- Le latin ou grec ancien, c’est un choix possible, mais il faudrait refaire une mise à jour complète du logiciel et cela prend du temps, c’est le cas par exemple de l’hébreux moderne pour Israël.

- Une langue en dehors de l’union, laquelle choisir ?, il faudrait des lustres pour être d’accord, par exemple certaines ex-colonies africaines qui choisissent l’anglais ou le français comme langue pont.

- La troisième, l’esperanto, c’est la meilleure solution et applicable rapidement (pas de grande mise à jour), principe d’être anationale et n’ayant pas les inconvénients de la langue nationale unique (pas de pays privilégié et la plus facile des langues à apprendre parmi les langues européennes).

Parlons un peu de cette solution, il y a eu de nombreux articles dessus dans Agoravox et il est facile de se documenter dessus, sur le web. Donc nous ne ferons qu’un petit récapitulatif.

Elle s’apprend rapidement 10 à 20 fois plus vite qu’une langue nationale européenne, un mois d’apprentissage correspond en moyenne à un an d’apprentissage d’une langue nationale, elle n’a pas d’exception à la règle, un son égale une lettre, plus de 50 % du vocabulaire est commun aux langues européennes, elle s’adapte rapidement à l’introduction de nouveaux termes et concepts au niveau vocabulaire, elle est propédeutique et donc permet l’accélération de l’apprentissage des autres idiomes (donc pas d’augmentation budgétaire et de temps d’apprentissage lors d’association à une autre langue).

De plus du fait de son apprentissage court, il est possible de lui faire succéder l’apprentissage d’autres langues rapidement, donc on se retrouve avec un bilinguisme opérationnel associé à un plurilinguisme de culture.

Plus haut il a été dit que seulement 5 % de bilingues étaient de bon niveau, on pourrait se poser la question au sujet de l’esperanto, l’esperanto permettrait d’augmenter largement ce pourcentage de bilingues. Pourquoi et comment ?

En pratique, il s’avère que pour 1 500 heures d’apprentissage d’une langue, on baragouine, au bout de 10 000 heures on devient presque comme un natif. Pour l’esperanto, ayant besoin de 10 à 20 fois moins de temps (plus on progresse en esperanto et plus l’apprentissage est exponentiel), pour baragouiner il suffit de 150 heures à 200 heures et de 500 heures à 1 000 heures pour être aussi souple que dans le langage maternel. Pourquoi un tel écart de temps entre les 500 et 1 000 heures ? Cela est dû au fait que plus on est proche des langues latines et plus facilement l’apprentissage du vocabulaire est rapide, contrairement aux langues asiatiques ou le vocabulaire européen est inconnu.

On peut aussi se dire que c’est un système (langue pont d’origine semi-artificielle) qui ne fonctionne pas, mais il existe des exemples de langues anationales comme l’indonésien et le swahili qui permettent à des peuples de langues différente de communiquer entre eux tout en gardant la langue maternelle. Ou encore d’une autre manière le chinois écrit moderne qui sert de langue écrite pont entre les provinces chinoises ayant un oral bien différents les unes des autres.

Donc par cette petite analyse succincte, on peut ce rendre compte que l’utopie n’est pas celle que l’on croit, l’esperanto semble utopique alors que c’est justement le multilinguisme ou de l’anglais comme langue actuelle de langue unique au niveau de la communication européenne, qui justement est utopique. De plus l’indonésien montre en pratique justement, que le système de langue pont peut fonctionner, donc qu’en pratique que l’esperanto pourrait renverser la barrière des langues au niveau européen.



438 réactions


    • seespan 20 novembre 2007 21:33

      @ maelarchat

      Tu sembles assez mal informé les debats entre créationniste et scientifiques sont tres frequents, si tu veus en voir des biens va sur google video. Les debats ont aussi eu lieus devant les tribunaux reçamment. Toujours un plaisir de voir l’argumentation developés pour expliquer que la terre a 6000 ans ( attention ils justifient les dinosaures, les rayons cosmiques les metodes de datation ect ect ).

      De plus des articles ont etait ecrit sur agora sur le creationnisme est ont aussitot fait surgir des partisants des deux camps scientifiques et creationniste ( semble qui en est en france )

      Que je saches agora n’est pas un site esperantiste mais un lieu de debat qui n’est acqui a aucun camps et frequenter par de nombreux enseignants. Les sites creationnistes sont acquis a un camps et ne sont orientés que vers la promotion du créationnisme, j’ajoute que les scientifiques n’y sont pas legion (il y en a quelque un ).

      Les personnes les plus critiques sur le niveau d’anglais generale de la population etait mes prof d’anglais justment. Ils savent evaluer les capacités d’expression d’un etudiant et en voient defiler pas mal a different stade de formation.

      Ils ont aussi generalement une bonne experience de la pratique internationnal.

      Si tu ne me croies pas demande leurs, un commentaire assez frequent de leur part et que quand un non natif te dit qu’il parle anglais, si tu lui parles dans un anglais correcte il comprend rien.

      Ps qui n’a rien a voir j’avais trouvé un site creationniste en eo smiley .


    • seespan 20 novembre 2007 21:41

      @ lymb

      L’evolution a largement depassé le stade de theorie. De nombreuse predictions ont etait verifié, elle recoupe un champ tres large de domaine scientifique ( arbre de filiation réalisé a partir de fossil, recoupé et verifié avec les etudes adn, recoupé et verifié avec les etudes de l’arn mitochondriale, recoupé et verifié avec les etudes comparé du developement du foetus de differentes especes, ec ect ect ). On a largement depassé le stade de theorie qui rend quelques service.

      Ensuite les points obscures sont principalement les premiers developpement de la vie qui n’ont evidament laissé aucun fossil mais n’en ont pas moins aboutit a des organisme extrement complexe ( partire de rien pour arriver a une bacterie ne ce fait pas meme en 1000 etapes dont nous n’avons evidament aucune trace )


    • lymb lymb 20 novembre 2007 21:49

      J’ai jamais prétendu le contraire. Je suis moi-même un ardent défenseur de la théorie de l’évolution. De plus, les points sombres dont je parlais ne remettent pas du tout en cause la théorie elle-même.


    • Ciucilon Ciucilon 20 novembre 2007 21:51

      juste un truc, l’évolution est une théorie scientifique contrairement au créationisme/inteligent design/etc qui n’en est pas une. A ce titre elle est sujette à la réfutation par des preuves... Même si elle est admise aujourd’hui par tout le monde, si elle dépasse ce stade elle devient une croyance. Non soumis à la question, et juste drapé dans des oripeaux scientifiques. Il n’y a rien de plus beau qu’une théorie prouvée telle l’évolution. Mais il y a encore des points noirs dedans, c’est pas la thermodynamique :/*)


    • lymb lymb 20 novembre 2007 21:57

      Ah oui, j’avais pas relevé ça ! L’évolution reste une théorie, bien sûr. Et ce même si de nombreux faits et preuves sont en adéquation avec. Tandis que le créationnisme est un croyance. De toute manière, à quoi sert le créationnisme ? Une fois qu’on a dit que c’est dieu qui à créé l’univers, on est bien dans la merde pour comprendre comment.


    • seespan 20 novembre 2007 22:05

      En effet mon erreure l’evolution reste une theorie. Je me suis emporté mais c’est juste que lors de la derniere tentative de reintroduction de l’evolution dans l’enseigenement il avait joué sur le terme theorie pour insignuer que ce n’etait pas vraiment scientifique.

      Un scientifique interrogé sur la question avait d’ailleur expliqué que oui on pouvait indiquer que ce n’etait qu’une theorie mais qu’a ce moment la il fallait preçiser dans les courts de physique newtonienne que personne n’avait encore vue la gravité smiley .


    • lymb lymb 20 novembre 2007 22:56

      Bien vu, le coup de la gravité. D’après moi, c’est la supériorité d’une théorie scientifique sur un croyance (religieuse ou autre, quoiqu’une croyance soit le plus souvent religieuse), que de savoir qu’elle n’est pas totalement juste, et qu’elle nécessite forcément des ajustements.


  • lymb lymb 20 novembre 2007 23:17

    boumboum, ou quiquonque d’autre peut répondre, il y’a une question que je me pose, concernant l’anglais. Quelle est la différence entre crow et raven ?


    • seespan 20 novembre 2007 23:23

      raven c’est un gros corbeau noir lugubre

      crow c’est plus petit

      c’est pas la meme race le raven est plus gros.

      ps j’ai repondu plus haut a ta question sur les esperantiste pacifiste.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 00:03

      Merci, c’est sympa. Ca fait un moment que je me posait la question.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 00:03

      Merci, c’est sympa. Ca fait un moment que je me posais la question.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 00:06

      Dsl pour le double post. J’ai voulu corrigé une faute d’orthographe et les deux messages ont été postés.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 00:07

      Posté. Décidément, j’ai du mal.


    • seespan 21 novembre 2007 00:13

      @ lymb

      Tu devrais trouver ça sur wikipedia avec des photos. Mois ce que je t’es dit c’est d’apres les descriptions dans les bouquins. Plus le raven est souvent utilisé comme un symbole pour un personnage, lugubre mysterieux et qui tire dans les coins ( au niveau comportemental, pas au sens propre )


    • lymb lymb 21 novembre 2007 00:23

      Ok, je vois. Merci pour ton aide, c’est sympa.


    • boumboum 21 novembre 2007 10:50

      crow = Corneille

      Raven = corbeau

      www.wordreference.com

      (pour liberty et freedom ca venait d’un prof de philo)

      Pour revenir au debat, l’esperanto ne marchera pas. La langue du future sera celle des puissants, et je ne pense pas non plus que se sera le mandarin.


    • seespan 21 novembre 2007 11:39

      @ boumboum

      Merci pour la traduction de crow mais comme je ne sais pas ce qu’est exactement une corneil ça m’avance pas beaucoup.

      Ensuite pour une langue des puissants tu as faux. La derniere langue internationnale etait le français ( la france c’est oposée a l’adaption de l’esperanto a onu en 1920 au motif que l’on avait deja une langue internationnale qui marchait tres bien en l’occurence le français ).

      Le français est restée la langue internationnale a une epoque ou l’angleterre etait nettement plus puissante au niveau economique et diplomatique que la france ( l’empire britanique ou le soleil ne se couchait jamais ). Il y a une question d’inertie et d’habitude avec l’influence d’une langue ( le français est toujours fortement present en afrique ).

      La difference avec cette epoque est que de nos jours on sait tres bien faire des etudes cout benefice, et toutes les etudes sur l’apprentissage donne un avantage ecrasant a l’esperanto ( ou a quasiment toute autres langue construite pour qui le test a etait fait ).

      Pour l’esperanto la difference majeure est l’internet qui permet un devellopement rapide. C’est pas que magiquement l’humanité va se mettre a apprendre l’esperanto spontanement sur internet, mais ça devrait permetre de contrer la plus part des arguments contre son implantation qui ne sont fondé sur aucun fait. Genre ça marchera jamais, pourquoi ? parceque.

      Les etudes donnant raison a l’esperanto il y en a un paquet. Il n’y a pas a ma connaissance une seule etude scientifique demontrant ça non validité. Et vue les reactions que la langue sussite si une telle etude etait possible elle aurait etait réalisé depuis longtemps, les scientifique raffolant des publications etant reprise par la presse.


    • seespan 21 novembre 2007 11:46

      @ boumboum

      Un autre point tu as l’air de te debrouiller en anglais. Je te conseil le site c-span.org ( teleparlementaire americaine ). Tu verras que les economistes ne sont pas du tout de ton avis sur le fait que la guerre en irak est relancé l’economie americaine ( l’argent est allés dans les sociétés privées chargé de la reconstruction haliburton entre autre, et dans les sociétés d’armement ou de mercenaire, pas dans l’economie americaine ). De la meme maniere la guerre du vietnam n’a rien rapporté a l’economie americaine. Pour le pretrole j’ai donné l’explication de greenspan a krokodilo plus haut.

      Reçament sur le washingtonpost il y a eu un chroniqueur fortement pro bush, qui a fait un article pour expliquer qu’une recession n’etait pas fortement une mauvaise chose. Les commentaires qui ont suivit son article sur le site etait pas franchement du meme avis. smiley

      ps : si ça t’interresse je peus te retrouver les references de l’article.


    • boumboum 21 novembre 2007 14:30

      Bon, c’est vrai que je fait des commentaires franchement bacles. Corneille est un chanteur, un corbeau est un oiseau smiley

      Je ne vais pas m’etendre sur la guerre un Iraq. Mais quand l’etats depense, consumption goes up, salaries goes up, inflation goes up, debt goes up, export goes up and so on... Bien sur y a des exceptions, mais ce sont les bases. L’argent va en effet dans les poches des mercenaires, des salaries de boieng (regardez l’evolution de leur stocks apres le 11 sept, guerre d afghanistan, Iraq) et autres compagnies, qui vont ensuite, ben, dans une nouvelle voiture, une nouvelle maison (facteur de l’explosion de la bulle des subprime ?), qui vont ensuite au macdo du coin, qui va ensuite dans les taxes, qui sont reinjectes pour ahcheter des munitions pour M249 saw, qui vont des les poches des salaries... C’est le cycle de la monnaie, le cycle eteeeerrnnneellleeuuuhh. Vous remarquerez egalement qu il n y a pas eu d’appel d’offre pour Dassault, ca va direct chez Boieng, c’est assez Keynesien comme comportement pour un gouvernement republicain...

      Maintenant de la a dire que ca a plus d’effets positifs que negatifs, je ne me prononcerai pas, meme si pour l’europe, cela a clairement un effet negatif. (le petrole de Saddam coutait moins cher, et l’inflation US nous les brises menu).

      Pour revenir au sujet.

      Pour le Francois de l’epoque, meme si l’UK etait plus puissante, beaucoup d’innovation etait Francaises, et l’ecart du « PIB » n’etait pas celui actuel. Ensuite il n y avait pas une telle necessite de communiquer, un paysan Allemand aurait fait « sagte was ? » si vous lui aviez parle Francais. A present, il connait quelque mot en anglais, « No problem man ».

      Recemment je me suis interresse un peu au Latin, et je me suis pris a rever. Si Napoleon ou un queconque Empereur avait impose le Latin a l’Europe concquise... (ou au moins a la France en ce qui concerne Napoleon a la place du Francais) Ca aurait ete tellement plus facile de construire l’UE.

      Si l’Esperanto a eu un jour une chance, il l’a rate. Vous imaginez vraiment les deputes Europeens parler Esperanto ? Ils ont des traducteurs et la majorite parleraient deja anglais si ils en avaient besoin. Et puis pour son evolution j’ai des doutes. Vu comme il est difficile d’apprendre une langue etrangere, je ne dirais pas a mes gosses, bon tu va apprendre le Francais, parceque je le parle, l’anglais, parceque tout le monde le parle maintenant mais qu’ils vont bientot arreter, et l’esperanto parceque c’est l’avenir. Rajoutez a cela la paresse naturel de l’etre humain... L’anglais a deja une inertie enorme, l’esperanto ne survivra que chez des gens comme vous, des gens passionnes et qui aiment rever, mais pas chez des gens qui doivent gerer des formations couteuses ou qui ont deja un probleme avec une seul langue etrangere apprise depuis 10ans. C’est un peu comme passer du DVD classique au blue ray, il y evolution de stockage, il y a une evolution de qualite, mais l’inertie du DVD actuel est tel qu’il va completement deborder le faible gain de qualite du DVD blue ray (qui plus est, en competition avec un autre formats, je ne sais plus lequel)

      Donc l’Esperanto ne passera pas. Pourquoi ? Parceque tout ca au dessus et plus encore.


  • Hermes esperantulo 21 novembre 2007 13:49

    Bon et bien il y a pas mal de messages dans tous les sens Bon en premier au sujet de l’article, une seule contre argumentation donc dans l’ensemble l’article est bien correcte

    Au suivant, à sespan,
    - au sujet des vidéos j’ai compris en partie
    - au sujet du paradoxe esperantiste, j’y avais déjà pensé, mais n’ayant jamais eut de témoignages , je ne pouvais le confirmer, si tu a réussi à en trouver donc c’est bien possible au final
    - sinon c’est sympa d’avoir un esperantiste comme toi parmi nous car tu donne un angle de réflexion en plus.

    A lymb,
    - Au moins, tu cherche un peu contrairement à certains
    - Tu trouve que le goût du son c’est subjectif, l’écrit peut-être aussi, tu te plein des accents ou de la forme, si tu va sur le lien en haut de l’article au sujet du forum européen, tu pourra constaté d’autres langues bien différentes des latines et en plus certaines avec des accents tout bizarre pas reproductibles sur un ordinateur selon certaines mauvaises langues. Donc un écrit est aussi subjectif.
    - Maintenant tu peu aussi te demander ce qu’est l’esperanto, un certain nombre de personnes célèbres connues, reconnues sont positifs pour l’esperanto : Verne, Tolstoï, Grin, Janton, Kersaudy, Eco.
    - Une personne en particulier, Claude HAGEGE pas un grand fan de l’esperanto mais le proposant comme solutions parmi d’autres, au moins il a le respect d’accepter son existence et ses possibilités. Donc Hagege est un linguiste qui a étudié les langues des différents continents et qui confirme la facilité de l’esperanto.
    - Claude PIRON, une grande référence là dessus polyglotte parlant esperanto et surtout ayant fait pas mal de traductions diverses, connaît bien l’étendue des capacités et des limites de l’esperanto.
    - Il existe des linguistes anglophones ayant du respect pour lui aussi.
    - Tu ne veux pas tenter ou chercher dans nos références, celles de Claude Piron sont importantes pourtant, tu reste sur ton idée du seul site que tu est regardé c’est ton droit. Mais une seule source n’est rien il faut comparer croiser les informations et surtout réussir à aller au delà des préjugés. Comme je l’ai si souvent dit, quand j’ai appris l’esperanto, je suis resté très neutre, je n’ai ni écouter le pour et le contre, j’ai essayé et j’ai pu voir qui avait raison ( perso l’oral et l’écrit ne me dérangent absolument pas ), la conclusion tu la devine je suppose.
    - Tu n’es pas obligé de l’apprendre, mais au moins fait l’effort de la respecter en ne t’attaquant pas à elle alors que tu ne la connaît pas réellement et surtout sans en avoir d’arguments prouvant qu’elle n’est pas ce qu’elle paraît.

    Alors ensuite Oui l’anglais à son utilité, comme le français, le chinois, ect, dans le commerce international, l’anglais est un élément parmi d’autres, il est le plus employé certe dans le commerce international. Mais par contre aide t’il monsieur et madame tout le monde même au niveau d’un aéroport, si la personne connaît ce basic english oui, mais pour les autres non et ces derniers sont justement les plus nombreux par rapport à ceux ayant l’anglais basic, c’est ce que j’en ait fait comme constat, certains voient la situation différemment, qui a tord qui a raison ?. l’apprentissage de l’anglais est faisable mais pas aussi rapidement pour les uns que les autres, par exemple les étudiants sortant de filières ou justement l’anglais est obligatoire, il se trouve que ces derniers n’ont pas encore le niveau requit pour le monde du travail (étude ETS), alors comment imaginer pour quelqu’un n’ayant pas les moyens, le temps, l’argent pour mieux connaître l’anglais en gros 80% de la population, c’est pour ça que faire cohabiter les deux est intéressant ceux qui auront besoin de l’anglais exclusivement utiliserons l’anglais c’est à dire une faible proportion et le reste l’esperanto, voir utiliser les deux, au niveau scolaire il est tout à fait possible d’apprendre l’esperanto et l’anglais, avec une autre langue, mais au moins qu’on laisse le choix, hors actuellement le choix unique est le monopole de l’anglais comme chez Microsoft, comment alors peut t’on dire que l’esperanto c’est nul et que seul l’anglais suffit alors que l’on ne peut même pas comparer pour le commun des mortels. Il est tout à fait possible de dire que l’anglais serait plus avantageux dans certains domaines et l’esperanto dans d’autres, l’anglais dans le commerce, l’esperanto dans la traduction, l’échange d’idée politiques juridiques par exemple et l’humanitaire ( pour ce dernier allez trouver un africain qui connaît l’anglais et bien c’est pas facile, quand on fait médecin sans frontière, ou l’aide aux réfugiés alors là pour parler anglais il y a plus personne).

    On parle aussi du déclin de l’esperanto, il ne décline pas aux dernières nouvelles car il est régulièrement bien à jour et bien vivant, par contre il existe plus de 3000 langues dans le déclin et qui ont vécues bien plus longtemps que l’esperanto, donc la taille n’a pas forcement toujours d’influence, c’est la vitalité de la langue qui est aussi important. L’esperanto progresse plus ou moins lentement mais son multiplicateur d’expansion est un des plus vigoureux ; il est plus vigoureux que celui de l’anglais depuis 1900, le facteur de l’esperanto est de 20000 celui de l’anglais est de 3 je crois, le facteur de croissance de l’esperanto est en plus bien supérieur au facteur de croissance de la population mondiale, alors que justement celui de l’anglais natif est en régression ou en positif si on inclus l’anglais en langue seconde, mais moins progressif que l’esperanto, la différence c’est que l’un n’a pas de base au départ l’autre si. Donc l’apparence du nombre n’est pas celle de la progression, mais certains vont dire que l’esperanto n’est pas devenue la langue mondiale et alors, c’est le seul objectif lui manquant, par comparaison à l’anglais ayant des moyens extraordinaires par rapport à l’esperanto n’a toujours pas atteint le statu de langue mondiale car seul 25% peuvent parler le sabir anglais et qui en plus existe sous de nombreuses formes.

    Bon je pense avoir fait le tour.


  • Asp Explorer Asp Explorer 21 novembre 2007 19:11

    Au fait, un de mes « clones » m’a fait remarquer un point amusant : regardez le message du dénommé « vendredi », posté le 20 novembre 2007 à 17H17

    La différence, c’est que les commentaires de vendredi sont largement documentés...

    Déjà, on peut trouver bizarre que vendredi trouve largement documentés les commentaires de... vendredi. Ensuite, on peut trouver assez étrange que ce mystérieux vendredi soit identifié par l’IP « xxx.x95.84.161 », tandis que deux posts plus loin, Masson (IP xxx.x95.84.161) nous pointe du doigt les nombreux posts très documentés de vendredi (IP IP:xxx.x95.84.161, je vous rappelle).

    Pauvre riton, faut-il donc se sentir seul dans la vie pour en arriver là. A part ça, c’est moi qui déclone...


    • Hermes esperantulo 21 novembre 2007 19:44

      ha encore là vous, à par ce detail, que vous même avez fait un jour, c’est quand que vous prouvez vos dires au sujet de la capacité d’apprentissage de l’esperanto eqivalent à l’anglais, si vous etes scientifique, vous ne pouvez pas croire , vous devez démontrer, ou alors vous n’êtes d’un vanter et qui dès que le vent est contre lui change de sujet. Et après on ose dire que les esperantistes sont des personnes qui s’attaquent à de personnes influencables alors que vous vous voulez les aidez à sortir de ce traquenard, alors que c’es justement les esperantistes qui demondrent et demandent aux visiteurs d’aller aussi chercher par soi-même

      à au fait au passage l’esperanto, chose si futile obsolete pas importante, utopique, tout chose à son importance, certe à des degrés divers, mais au moins elle apporte pas mal de choses à certaines personnes, que ne peuvent pas donnez d’autres choses, l’esperanto est un loisir parmi tant d’autres, il permet de faire fonctionner son esprit d’une certaine facon


    • Asp Explorer Asp Explorer 21 novembre 2007 19:58

      Je ne me souviens pas avoir jamais dit qu’il était aussi facile d’apprendre l’anglais que l’espéranto. Du reste, je n’ai jamais appris l’espéranto. Et je n’ai pas l’intention de le faire. Mais c’est quand même la moindre des choses qu’une langue construite soit grammaticalement plus cohérente qu’une langue naturelle. J’ai simplement prétendu, ce que d’ailleurs toute personne de bonne foi approuvera, qu’apprendre une langue est toujours difficile, et que l’essentiel de cette difficulté résidait dans l’apprentissage du vocabulaire. Or sur ce chapitre, quel avantage apporte l’espéranto sur les langues naturelles ? Aucun. Il y a autant de mots, peut-être moins de racines lexicales, mais aussi plus de risques de confusions et de faux-amis à éviter. Donc, quand Masson et ses affidés prétendent, « études » à l’appui, qu’on peut bien parler l’espéranto cinq fois plus vite que l’anglais, je dis que c’est faux, tout simplement parce qu’une telle chose est impossible.

      Et dans un autre ordre d’idée, la manière dont votre mentor Masson ment et manipule les forums - ici de façon flagrante en utilisant la plus basse des techniques - dit assez quelle honnêteté intellectuelle on peut attendre de ce personnage. Vous avez bien mal choisi votre maître.


    • Henri Masson 21 novembre 2007 20:34

      Oh la trouvaille ! Comme elle est bienvenue !

      Elle donne l’occasion de rappeler un procédé malhonnête utilisé par Asp Explorer et sa clique à l’encontre de mon dernier article publié le 20 juillet : il est disparu en quelques heures seulement de la une, et cette censure a été de toute évidence le fait d’une action coordonnée. C’est du jamais vu pour un sujet qui ne suscite guère de réactions violentes. Il n’est pas nécessaire de chercher longtemps pour savoir qui a pu être la cause de cela quand on voit toutes les attaques coordonnées dont l’espéranto et moi-même avons fait l’objet durant des mois. Au point que La Taverne des Poètes (pas particulièrement pro-espéranto) et un autre visiteur, Parkway, s’en sont inquiétés. Voilà le procédé utilisé par ce donneur de leçons : quand on n’a aucun argument sérieux pour contrer l’espéranto, on censure.


    • seespan 21 novembre 2007 20:40

      Ce cher asp joie sans cesse renouveller de le voir nous prouver que les hannetons ne peuvent pas voler.


    • seespan 21 novembre 2007 20:45

      Bas pour un type qui nous dit qu’il a un job serieu et des responsabilité, passer ses soirés a attaquer un projet qu’il croit :

      - farfellu

      - inutile

      - en trein de toute manieres de crever comme une pouascaille sur une route goudronné un apres midi d’ete dans le sud de la france.

      a quelque chose d’assez pathetique.

      asp essait de te construire une vrais vie, avec de vrais projets ou tu juges qu’il y a un but au bout. Ou trouve toi une copine tu verras ça occupe.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 21:17

      On s’amuse bien comme on veut.


    • seespan 21 novembre 2007 21:46

      @ lymb

      Le point que je met en avant est qu’il s’amuse comme il peut. Nuance.


    • lymb lymb 21 novembre 2007 22:43

      Ca, lui seul pourrait répondre.


    • Hermes esperantulo 21 novembre 2007 22:53

      J« e ne me souviens pas avoir jamais dit qu’il était aussi facile d’apprendre l’anglais que l’espéranto. »

      ha si vous le dite car vous le montrez en dessous en disant que l’esperanto est une langue aussi difficile que l’anglais mais comme l’angalsi est une langue facile alors l’esperanto est aussi facile

      « Du reste, je n’ai jamais appris l’espéranto. Et je n’ai pas l’intention de le faire. Mais c’est quand même la moindre des choses qu’une langue construite soit grammaticalement plus cohérente qu’une langue naturelle. »

      ha non pas forcement, ca depend du but, si c’est pour qu’elle soit sans irregularités alors oui elle doit être gramtaicalement et lexicalement plus claire qu’une langue ethnique

      « J’ai simplement prétendu, ce que d’ailleurs toute personne de bonne foi approuvera, qu’apprendre une langue est toujours difficile, et que l’essentiel de cette difficulté résidait dans l’apprentissage du vocabulaire. »

      afirmation fausse une langue est plus ou moins difficile suivant son groupe linguistique, toute chose est difficile mais il existe des nuances

      « Or sur ce chapitre, quel avantage apporte l’espéranto sur les langues naturelles ? Aucun. Il y a autant de mots, peut-être moins de racines lexicales, mais aussi plus de risques de confusions et de faux-amis à éviter. »

      comment pouvez vous le prouvez sans exemple, en anglais pour dent, dents et dentiste il existe trois mots ; mots bien distinctent sans qu’aucun ne soit relier aux autres, l’anglais est une langue possedant un très grand nombre de doublons, la phonetique est haberantes en anglais

      en esperanto dento, dentoj, dentisto,denta, dentaro, dentara, le systeme du cheveux, haro, haroj, hariste, hara, hararo, harara (ce dernier est marrant), ect la difference entre l’anglais et l’esperanto il existe une suite logique, un lien visible entre les mots d’un même champs semantique, en anglais beaucoup de mots ne montrent pas de liens visible en leur coeur au niveau sémantique, ce qui ralenti largement l’apprentissage.

      linguistiquement c’est un des traits particulier des langues dites isolantes, leur grande avantage d’apprentissage reside dans la continuité visible d’un lien entre les mots, l’esperanto fait parti de cette famille

      les faux amis, oui l’esperanto en a, comme tout langue pour l’instant aucune langue artificielle à réussi à vaincre les faux amis, mais dans mon experience ( donc subkective, non prouvée) pour il semble qu’il y en ait mions en esperanto qu’en anglais.

      Et de plus comment pouvez affirmer sans donner de sources, sans justifier, vous ayant soit disant une formation scientifique comment pouvez vous affirmez de tels propos, à non c’est vrai vous croyez vous pensez que mais un scientifique ne pense pas il prouve et même votre soit disant raisonnement n’indique rien.

      « Donc, quand Masson et ses affidés prétendent, »études« à l’appui, qu’on peut bien parler l’espéranto cinq fois plus vite que l’anglais, je dis que c’est faux, tout simplement parce qu’une telle chose est impossible. »

      oui mais pour prouver l’impossible il faut demonter l’argumentaire de l’opposant, si par exemple je dis qu’en esperanto 750 radicaux multiplies par 10 terminaisons peut faire 7500 mots et sans compter les assemblages possibles entre radicaux, alors que l’anglais ne peut pas en faire autant

      entre parenthese, l’anglais a aussi un potentiel multiplicateur mais moins que le francais et encore moins que le chinois ou le japonais ou aussi je crois l’irlandais et encore bien moins que l’esperanto, je crois que le finlandais à un potentiel mutiplicateur important aussi plus grand que celui de l’anglais

      mais on peut se demander pourquoi le francais est plus difficlle à apprendre que l’anglais car justement entre en compte le probleme grammatical qui est très haberant en francais en francais, donc mon capitaine les deux sont aussi importants l’un que l’autre

      « Et dans un autre ordre d’idée, la manière dont votre mentor Masson ment et manipule les forums - ici de façon flagrante en utilisant la plus basse des techniques - dit assez quelle honnêteté intellectuelle on peut attendre de ce personnage. Vous avez bien mal choisi votre maître. »

      entre un incapable du bulbe d’admettre qu’il est incapable d’avoir un raisonement scientifique et un autre qui est capable d ’admettre ses tors, je choisi le deuxieme donc pas vous

      alors si justement en anglais basic on se debrouilleon passe son temps à comment dire cece quel est le mot pour, en esperanto on s’exprime, on nuance, on a le temps de reflechir dans le même temps d’apprentissage ;

      en science quand on emet une theorie, une pensé ou plutot une croyance comme vous, on l’experimente, puis on conclu, vous vous en êtes encore à la theorie

      un exemple de theorie, la terre est plate, l’application chez les egipstiens par un procedé mathematique et experimental, elle est ronde, plus tard une fusé tiens elle est ronde, donc la terre est ronde et pas plate

      vous vous en etes encore à l’etape une, moi j’ais dejà finis l’experience et donc conclu


    • seespan 21 novembre 2007 22:56

      @ lymb

      Tu me semble bien jeune. Si tu te cherches un gourou je te conseil le pr noam chomsky. Personnage assez marrant qui reussit l’exploit d’etre un personnage tres peut connue du grand publique et en meme temps le scientifique vivant le plus cité dans les publications scientifiques ( devant lui il y a einstein mais il est mort ).

      Pour la prise d’information il conseil constamment de ne se fier a personne aussi charismatique qu’il soit mais d’aller voir directement a la source.

      Juste pour info il a revolutionner la linguistique, mais est plus connue comme activiste politique. Il a publier plus de soixante ouvrage, une seul citation sur l’esperanto ( qu’il ne connait pas ), il ne pense pas ce se soit une vrais langue.

      Sur ce bonne nuit.


    • Asp Explorer Asp Explorer 21 novembre 2007 23:12

      Cher espérantulo,

      Votre utilisation permanente de la locution « esprit scientifique », à tort et à travers et à tout propos, prouve bien à quel point vous ignorez parfaitement de quoi il s’agit. Je vous engage donc à cesser de me juger sur ce point, moi qui en ai fait, de la recherche scientifique. Apprenez, cuistre, qu’un scientifique ne cherche pas des preuves, car les preuves absolues n’existent pas plus que les vérités absolues. Seuls les esprits peu acérés et ne s’étant jamais confronté aux réalités du monde peuvent croire l’inverse une seconde. Un scientifique ne pose jamais que de raisonnables hypothèses, étayées par des éléments suffisants, comme du reste je le fais, contrairement à vous qui faites acte de foi en accordant crédit aux délires paranoïaques d’un sinistre individu dont la malhonnêteté a été prouvée pas plus tard qu’aujourd’hui, ici même et sous vos yeux.

      Sur ce, je retourne fêter la victoire avec mes troupes.


    • Hermes esperantulo 21 novembre 2007 23:16

      voici l’experience de Claude Piron entre le globish et l’esperanto

      "On parle de plus en plus du globish, généralement en termes positifs. Il est vrai que cette façon décomplexée de pratiquer un anglais rudimentaire peut rendre bien des services. Depuis une intéressante conversation téléphonique que j’ai eue avec M. Nerrière, début août 2004, je m’y suis essayé. Mais, comme on ne connaît la valeur d’une chose que si on la rapporte à une référence, je l’ai comparé à l’espéranto. Ma conclusion est la suivante : le globish est certes utilisable, mais c’est un pis-aller qui est loin de donner vraiment satisfaction.

      Il serait acceptable faute de mieux. Mais, précisément, il y a mieux : l’espéranto, qui avec un effort nettement moindre assure un niveau de communication bien plus satisfaisant. Le mouvement qui mène au globish est un mouvement descendant : il va d’une langue riche à une langue pauvre parce qu’il y a eu échec, parce que la langue riche s’est révélée impossible à maîtriser. L’espéranto suit, lui, un mouvement ascendant, à deux titres :

      1) l’élève voit son vocabulaire se développer sans gros efforts grâce à un système multiplicateur très simple, mais à grand rendement, 2) son usage de plus en plus répandu parmi les peuples les plus divers ne cesse de l’enrichir en le rendant plus expressif, plus performant, sans rien lui faire perdre de sa simplicité initiale.

      Si on l’observe dans les situations réelles, on voit qu’il remplit sa fonction de truchement bien mieux que le globish ou que les autres formes de « broken English ». En outre, à la différence du globish, c’est une langue à part entière, dans laquelle on peut lire la Charte des Nations Unies, Hamlet, la Monadologie de Leibniz, Meurtre dans l’Orient-Express d’Agatha Christie, une abondante production poétique et des dizaines de milliers d’autres oeuvres dont Tintin, Astérix et même, depuis peu, Gaston la Gaffe.

      Le globish n’est pas une langue. Il est impossible de tout exprimer avec ses 1500 mots. Par exemple, les mots nécessaires pour dire « Garçon, une salade de tomates ! » ne figurent pas dans la liste. « Expliquez-vous par gestes », dit M. Nerrière. Comment allez-vous mimer « salade » et « tomate » de manière à éviter toute confusion ? De même, si l’on peut dire « je t’aime » (mais pas « tu m’aimes », me ne fait pas partie des 1500 élus), on ne peut pas dire « Ah ! ce parfum de rose que dégage ta peau ! Il me fait trembler comme un palmier sous le sirocco. »

      Bref, en globish on se débrouille, en espéranto on s’exprime. Or, maîtriser l’espéranto demande beaucoup, beaucoup moins de temps et d’effort.

      Il se compose en effet d’éléments que l’on combine sans aucune limitation. Dès qu’on a appris une racine, on peut l’utiliser sous forme verbale, substantive, adjective ou adverbiale, et les affixes qui permettent de la moduler décuplent le lexique. Le globish, lui, ne comporte aucun système de dérivation. Sa liste comprend, par exemple, decide, mais pas decision, beautiful mais pas beauty, administer mais ni administrative ni administration, aggression mais ni aggress ni aggressive. En espéranto, dès qu’on a appris decidi ’décider’, on forme soi-même decido ’décision’, decida ’décisif’, decide ’de façon décisive’ et, avec le suffixe ema, par exemple, decidema ’qui n’a aucune peine à prendre une décision’, ’résolu’. Un tout petit peu de pratique et ces formations se font par réflexe.

      Pour rendre les notions qu’expriment les 1500 mots du globish, il suffit de 1300 mots d’espéranto, plus une quarantaine de suffixes et préfixes, donc 1340 unités à mémoriser, qui permettent de former sans difficulté quelque 13.000 mots (or, on estime à 8000 le nombre de mots nécessaires à la vie quotidienne). La régularité de l’espéranto représente une énorme économie par rapport au globish. Considérez les couples suivants create/creation = krei/kreo ; ask/question = demandi/demando ; live/life = vivi/vivo ; remember/memory = memori/memoro ; think/thought = pensi/penso. En globish il faut mémoriser chaque fois deux mots, en espéranto une racine et le sens des terminaisons -i et -o. Et il suffit d’apprendre la terminaison -a pour ajouter à son vocabulaire, sans effort, toutes sortes de mots qu’ignore le globish : demanda « interrogatif », memora « mnésique », pensa « relatif à la pensée » (« pensif » se dit pensema). Pas étonnant, dès lors, qu’on ait plus d’aisance en espéranto au bout de six mois qu’en anglais au bout de six ans, qu’en globish au bout de. . . ? Qui pourrait le dire ? Sans doute au minimum quatre ou cinq ans d’anglais puis quelques semaines d’entraînement à l’art de surmonter ses complexes et à la mémorisation de tous les mots anglais qu’il faut oublier pour rester dans les limites prévues.

      La comparaison est d’autant plus défavorable au globish qu’il reprend les aberrations de la langue de Shakespeare, dont l’incroyable décalage entre orthographe et prononciation : ou exprime quatre sons différents dans touch, through, though et thought ! En espéranto, le son /ou/ s’écrit toujours u et la lettre u se prononce toujours /ou/. En espéranto, l’accent tonique ne pose aucun problème : il est toujours sur l’avant-dernière syllabe. En globish, il faut l’apprendre avec chaque mot.

      On peut accepter le globish comme solution provisoire, fondée sur le constat déprimant que l’anglais ne répond pas aux attentes qu’il suscite. Mais il faut être masochiste pour choisir une solution dépressive quand il existe une solution enthousiasmante. À terme le monde a besoin d’une langue qui réponde aux exigences de la formulation scientifique, juridique et littéraire et qui mette les partenaires sur un pied d’égalité. L’espéranto répond parfaitement à ces critères. De plus, et ce n’est pas moins important, il se prête admirablement à l’humour. La liberté de combiner les éléments débouche souvent sur des mots particulièrement expressifs, comme kisema ’goulu sur le plan du baiser’ (de kis-, ’embrasser’) ou poshtelefonema ’qui est tout le temps en train d’utiliser son téléphone portable’. Très présent sur Internet, il compte des locuteurs dans de nombreuses localités de plus de cent pays, ce qui assure partout des contacts sans problème de communication, et la diffusion de la langue se poursuit, tranquillement, lentement, ignorée des médias, mais très réelle pour quiconque suit les choses de près. L’espéranto a aussi pour lui la rationalité économique. Mandaté par un organisme relevant de l’Éducation nationale, l’économiste François Grin a conclu de ses recherches que si l’Europe adoptait l’espéranto, cela représenterait une économie de 25 milliards d’euros par an (http://cisad.adc.education.fr/hcee/documents/rapport_Grin.pdf, p. 7).

      Il n’y a pas à dire, le globish ne fait pas le poids.

      Il serait dans l’intérêt de tous, et notamment des contribuables et des cadres de PME, que les gouvernements, les élites et les médias procèdent enfin à une réflexion sérieuse sur les moyens opposés à la barrière des langues. Et que, après une étude comparative objective, ils recommandent l’option la plus avantageuse pour tous. Si l’espéranto était enseigné à l’école primaire - un cours de six mois suffirait le plus souvent -, les élèves auraient toutes les études secondaires pour apprendre une ou plusieurs autres langues : anglais, espagnol, arabe, hébreu, russe, allemand, chinois.., non plus dans le but illusoire de résoudre les problèmes de communication mondiale, mais pour leur enrichissement culturel ou la redécouverte de leurs racines. L’éradication de la variole a montré que quand il y avait volonté politique, les États savaient coordonner leurs activités pour obtenir rapidement le résultat recherché. Ce serait parfaitement possible dans le domaine de la communication linguistique. Mais il faudrait qu’ils commencent par se laisser guider par l’esprit démocratique, c’est-à-dire qu’ils accordent au bien de tous la place qu’il mérite et qu’ils se fondent, non sur des préjugés, des on-dit ou des modes, mais sur une informationobjective."

      il a theorisé , experimenté et conclue, vous toujours à la theorie


    • Hermes esperantulo 21 novembre 2007 23:28

      « Votre utilisation permanente de la locution »esprit scientifique« , à tort et à travers et à tout propos, prouve bien à quel point vous ignorez parfaitement de quoi il s’agit. »

      moi non c’est vous qui l’avez dit si souvent je vous prend au mots

      « Je vous engage donc à cesser de me juger sur ce point, moi qui en ai fait, de la recherche scientifique. »

      ha bon et bien on se demande ou

      « Apprenez, cuistre, qu’un scientifique ne cherche pas des preuves, car les preuves absolues n’existent pas plus que les vérités absolues. »

      et bla bla bla bla bla oui donc la preuve abolue que l’esperanto est uassi difficille que l’anglais n’existe pas donc hypothese fausse

      « Seuls les esprits peu acérés et ne s’étant jamais confronté aux réalités du monde peuvent croire l’inverse une seconde. »

      y en a beaucoup qui sont dans le monde reel et qui se plantes, m^me les plus grands scientifiques, une de mes anciens profs de medecine vait fait un diagnostique il s’est avéré qu’il s’était planté je lui est montré, il ne pouvait rien dire et vait dit que j’avais bien raison donc ce que l’on croit voir n’est pas toujours la realité

      « Un scientifique ne pose jamais que de raisonnables hypothèses, étayées par des éléments suffisants, comme du reste je le fais, contrairement à vous qui faites acte de foi en accordant crédit aux délires paranoïaques d’un sinistre individu dont la malhonnêteté a été prouvée pas plus tard qu’aujourd’hui, ici même et sous vos yeux. »

      ha non je ne fais pas acte de foi, masson je l’ai connu bien apprès mon experience et ma conclusion, donc vous voyez vou conaasez rien de rien et pour le moment aucun de mes arguments n’a pu être demontés donc j’ai raison, mais bon il vous est tellement si facile de jouer l’autruche, a non remarque vous aimez troller donc vous ne reflechissez pas donc j’ai encore plus raison. moi aussi je m’en vais à mes occupations


    • lymb lymb 22 novembre 2007 01:10

      Je suis jeune en effet, je n’ai que 21 ans, mais un gourou me serait bien peu utile, car je ne crois qu’à l’argumentation et au débat, et aussi au pragmatisme. Et je connait Noam Chomsky. Or une discution doit se poser sur les arguments, non sur les personnes qui interviennent. Ce qui ne veut pas dire qu’il faille passer sous silence les entorses manifestes au règle du débats, tel que celle de Henry Masson aujourd’hui. Je ne juge mes adversaires qu’en fonction de leurs arguments et de leur honneteté, et avoue que de tel pratiques ne sont pas pour mettre les gens en confiance. Vous remarquerez que la plupart de mes interventions étaient sincères, et un minimum documentées, et que les seuls fois ou je n’ai pas suivis cette règle c’est qu’on m’avait attaquer d’abord, non sur me arguments, mais sur moi-même. Or je crois que si quelqu’un se conduit d’une certaine manière avec moi, alors il me donne le droit d’en faire autant, et ne doit donc pas s’étonner si je jouis de mon droit.


    • seespan 22 novembre 2007 05:58

      @ lymb

      Tu connais chomsky bien alors lit le. Perso je ne vois l’esperanto que comme outils de communication, je ne connais ni masson, ni esperantulo qui le soutienne ardamment. Je peus juste te dire pour etre un fervent passionné des debats sous toute leur forme ( seespan = c-span.org ), que la logique d’asp explorer est clairement celle d’un avocat pas celle de la recherche de la verité.

      Comme indiqué precedamment si il croyait reellement a ce qu’il dit il aurait laissé tombé le sujet de l’esperanto depuis longtemps.

      Vue que tu sembles aimer les sciences une simple comparaison logique. Au US seul 30% de la population croit a l’evolution ( bush n’y croit pas vraiment ), le créationnisme a un fort soutient de la part de la population et financierement, malgré ça aucune etude scientifique valide pour le soutenir, les scientifiques creationniste donne leur avis, mais sont contredis par l’experience mené dans un cadre rigoureux.

      Pour l’esperanto c’est l’inverse, juste des asp explorer qui donnent leur avis sans fait pour etayer, toutes les etudes scientifique rigoureuse donne raison a l’esperanto.

      je detaillerais plus a midi


    • Henri Masson 22 novembre 2007 06:55

      D’abord je ne suis maître ou mentor de personne.

      « Donc, quand Masson et ses affidés prétendent, »études« à l’appui, qu’on peut bien parler l’espéranto cinq fois plus vite que l’anglais, je dis que c’est faux, tout simplement parce qu’une telle chose est impossible. »

      Il n’y a pas d’affidés de Masson, mais c’est une certitude qu’il y en a d’Asp Explorer. Je ne suis pas mécontent d’avoir donné un os à ronger à cet individu, car ça montre que, faute d’arguments sérieux contre l’espéranto, il est prêt à sauter sur n’importe quel os : Rantaplan tel qu’en lui-même ! Le truc a fonctionné et il est content de ce qu’il appelle sa « victoire ».

      « Impossible ! ». En effet, tout comme le fait que c’est la Terre qui tourne autour du soleil, tout comme les plus lourds que l’air ne sauraient voler, tout comme tout comme Explorer le « scientifique » est incapable d’explorer autre chose que les poubelles... Pour lui, c’est ça, l’esprit scientifique, la formation scientifique.

      Quand j’ai mentionné le cas du professeur Robert Molimard, qui a appris l’espéranto à 77 ans et a publié la traduction en espéranto, effectuée par ses soins en seulement trois ans, et même fait une conférence en espéranto avec débat lors du congrès de SAT-Amikaro, sur ma proposition (j’ai certainement dû le manipuler ! smiley ; quand j’ai pu obtenir des renseignements sur l’espéranto en Laponie entre les deux guerres mondiales grâce à un lycéen de Kiruna, en Laponie suédoise, alors qu’il avait appris l’espéranto tout seul à l’aide d’un manuel trouvé à la bibliothèque municipale de cette ville minière seulement un an auparavant ; quand j’ai parlé à un étudiant japonais, à Toronto, qui avait appris l’anglais durant 12 ans, le français durant 10 ans et l’espéranto durant seulement 2 ans et que c’est précisément en espéranto qu’il se sentait le plus à l’aise, Asp Explorer s’est tout simplement bouché les yeux. Pour un croyant aveugle de l’anglais comme lui, tout ça est impossible.

      Et quand Inazô Nitobe, homme de science et membre de l’Académie Impériale du Japon, Secrétaire général adjoint de la Société des Nations, avait participé au congrès universel d’espéranto de Prague en 1921 pour se rendre compte par lui-même de l’efficacité de cette langue et ensuite publié, en 1922, un rapport intitulé « Esperanto as an International Auxiliary Language » dans lequel il avait constaté : « On peut affirmer avec une certitude absolue que l’espéranto est de huit à dix fois plus facile que n’importe quelle langue étrangère et qu’il est possible d’acquérir une parfaite élocution sans quitter son propre pays. Ceci est en soi un résultat très appréciable. » , évidemment, tout ça ne compte pas pour un « scientifique » comme Asp Explorer : c’est impossible.

      C’est Asp Explorer qu’il faut croire, n’est-ce pas, celui qui proclame haut et fort « Voici que ma plume me démange, je la sors donc de mon cul et me lance dans une de ces analyses courtoises et mesurées qui, vous le savez, sont ma spécialité. », mais aussi l’individu qui s’est empressé de voler à la rescousse de Pierre Bénichou quand il s’était illustré et distingué en disant de l’espéranto, dans l’émission de Laurent Ruquier, sur Europe 1 : « C’est une merde ! ». Parce que ça, ça respire l’honnêteté !

      Et lorsque Georges Kersaudy, l’auteur de « Langues sans frontières », qui a été amené à parler pas moins de cinquante langues, dont l’espéranto, durant sa carrière de fonctionnaire international, écrit : « L’acquisition rapide de la langue internationale aurait pour premier effet d’éliminer la barrière psychologique à laquelle se heurte l’étudiant. Une fois la barrière franchie, la connaissance de l’Espéranto apparaît bien vite comme la voie royale vers l’acquisition de nouvelles langues » (« Langues sans frontières », éd. Autrement), ça aussi, ça ne compte pas. Or, ce fut précisément son cas. On peut dire la même chose de bien des pionniers de l’espéranto qui ont appris l’espéranto dans leur jeunesse à travers l’histoire de la langue : l’espéranto a été pour eux un tremplin pour le succès :

      Gustav Ramstedt (1873-1950) qui a appris l’espéranto à 18 ans, philologue renommé, ambassadeur de Finlande au japon et en Chine

      Edmond Privat (1889-1962) qui l’avait appris à 13 ans et qui devint un professeur de langue et de littérature très aimé de ses étudiants de l’Université de Neuchâtel, en Suisse, délégué du gouvernement perse à la SDN, etc.

      John Ronald Reuel Tolkien (1892-1973), le fameux auteur de romans de science-fiction. Il l’avait appris à 15 ans et il avait dit « Je conseille à tous ceux qui en ont le temps de s’occuper du mouvement pour la langue internationale : soutenez loyalement l’espéranto. »

      Géza Bárczi (1894-1975) le plus éminent des linguistes hongrois, membre de l’Académie des sciences de Hongrie qui l’avait appris vers 1908. Il avait dit : “L’espéranto nécessite le dixième de la peine par rapport à d’autres langues, et puisque, en général, c’est seulement l’apprentissage de la première langue qui est difficile, il ouvre la porte aux autres."

      Länder Tell, 13 ans, fameux spéléologue suédois.

      L’Autrichien Eugen Wüster dont le nom est connu dans les milieux de la normalisation.

      Le prix Nobel Linus Pauling (1901-1994) 15 ans.

      Einar Dahl (1904-1979) figure éminente de la politique suédoise, 17 ans. Il avait proposé l’UEA pour le prix Nobel.

      Eugen Aisberg, d’origine ukrainienne, pionnier et vulgarisateur de la radio, 14 ans.

      Le fameux linguiste estonien Paul Ariste (1905-1990) 14 ans, membre de la l’Académie des sciences d’Estonie

      Le professeur lituanien Jonas Dagys (1906-1993), éminent botaniste, 17 ans.

      Paul Neergaard, agronome de renommée mondiale, spécialiste de la pathologie des plantes, membre de plusieurs académies des sciences de divers pays, distingué en 1979 par l’ « Explorers’ Club »

      Douglas Bartlett Gregor, 14 ans, Université d’Oxford, dont les ouvrages sur les langues ont fait autorité.

      Fujio Egami, 18 ans, biochimiste japonais.

      Ye Laishi (Íelezo, 1911-1994) 16 ans, directeur adjoint de l’Institut de linguistique de l’Académie chinoise des sciences.

      Lev Kopelev, germaniste russe et écrivain, dissident, vers 14-15 ans.

      Dro Ivo Lapenna, 18 ans, éminent spécialiste de droit international, Croate qui s’était établi à Londres.

      Tibor Sekelj, 17 ans, Croate, explorateur, anthropologue, muzéologue , accuilli au sein de la Société Royale Britannique de Géographie.

      Carl Støp-Bowitz, 14 ans, éminent zoologue de l’Université d’Oslo, que j’avais rencontré. Il avait dit « Une journée sans espéranto est pour moi une journé perdue. »

      Nikolaj Rytjkov, 16 ans. Acteur jeté au Goulag du fait qu’il état espérantiste. Il travailla à la BBC.

      Sir Harold Wilson.

      Reinhard Selten, prix Nobel d’économie 1994, 17 ans (tout seul).

      Il y en a encore bien d’autres mais je n’ai pas le temps de les ajouter et de corriger mais je travaille sur une liste plus complète.


    • Asp Explorer Asp Explorer 22 novembre 2007 07:34

      Rappelons que le Henri Masson qui poste ci-dessus est un multipseudo. Confiture, Masson, confiture !


    • Zalka Zalka 22 novembre 2007 07:59

      « Pierre Bénichou quand il s’était illustré et distingué en disant de l’espéranto, dans l’émission de Laurent Ruquier, sur Europe 1 : »C’est une merde !« . Parce que ça, ça respire l’honnêteté ! »

      On appelle cela une opinion. Quiconque a le droit d’en avoir, que ces opinions soient contraires aux votres ou non.

      En revanche, user de plusieurs pseudos pour se passer de la pommade, cela s’appelle de la manipulation. Et cela est effectivement malhonnête, Mr Masson.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 10:15

      on peut avoir une opinion mais on peut être aussi honette, hors malheureusement chez beaucoup l’opinion est plus importante que l’honetteté

      une opinion honette c’est, je n’apprecie pas l’esperanto pour sa prononciation et sa forme écrite mais il est un fait qu’elle soit bien plus rapide à apprendre que l’anglais.

      et il est vrai aussi que l’anglais malgré sa prepondérance n’est toujours pas une langue internatinale en tant que tel car seulement 25% du globe la connait, mais elle reste utile pour un certains nombre de cas comme le commerce et pas dans tous les cas.

      ect ect


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 10:26

      a seespan,

      moi aussi je ne le vois que comme un outils de communication bien plus efficasse que l’anglais et ayant de nombreux avantages en plus de l’anglais, oui j’en parle beaucoup car c’est dommage d’utiliser l’anglais alors qu’il existe mieux et comme tois je suis quelqu’un qui cherche la verité, donc nous sommes pareil


    • Wlad Wlad 22 novembre 2007 11:48

       smiley

      JRR, un auteur de science-fiction ? Henri, tu sors. Va te cacher. Loin.

      D’ailleurs ça faisait longtemps qu’on attendait le retour de la citation ayant trait au juvénile fondement d’Aspounet ! Ca devient un running-gag... pardon un gimmick... un moment humoristique récurrent (si j’emploie un terme anglais on me dira que c’est le démon). Le point Masson est arrivé !

      Bien, puisque la tension est palpable sur ce fil, je propose un petit jeu : le jeu des clones.

      Ami lecteur, sauras-tu retrouver qui est qui dans cet imbroglio de pseudos ?

      Je commence :

      Masson = Vendredi, ça on le sait preuve à l’appui.

      Je propose Masson = Asp. Toute cette agitation est en fait un complot visant à développer notre agressivité afin que, le moment venu, il dispose d’une armée de chiens enragés pour renverser le gouvernement.

      Mais, plus fort, Asp = Masson = docdory ! Docdocry, si j’ai bien compris, est médecin, donc scientifique, donc clone d’Asp !

      Ensuite, s’il n’y avait le souci de relecture que j’apporte à mes posts, je dirais bien Wlad = Lymb. D’une part parce que ça ferait plaisir aux espéranteux, d’autre part parce qu’on a le même âge. EEt puis à la limite on pourra toujours dire que les fautes de grammaire de Lymb et mes erreurs de frappe sont faites pour détourner les soupçons.

      Dans la même veine, Wlad = Lymb = Dna. Ben oui, Dna passe aussi beaucoup de temps à taper sur les gens qui écrivent n’importe comment.

      Il me semble acquis que Zalka = Skirlet. Skirlet est une femme, Zalka se termine en A ce qui en fait un nom féminin. Irréfutable (de jardin).

      Esperantulo, malheureusement, est hors-concours. On pourrait essayer de le rattacher à tous ces connards qui refusent de comprendrent que « hors » veut dire « dehors » et en aucun cas « or », mais je ne vois personne qui se donne la peine de pondre des posts aussi longs et incompréhensibles. Ou alors c’est un clone de Demian West, le pro des messages inutiles.


    • Zalka Zalka 22 novembre 2007 11:56

      Ouf, je ne suis pas Demian West !


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 12:15

      ouf je ne suis pas asp ni zalka ni wald donc je suis intelligent vaut mieux être seul que mal accompagné, sauvé tiens en parlant de vous, vous trois, vous avez quel age ? le vrai pas celui qui est mental

      à tiens votre grand gourou, il est d’accord avec moi sur toute la ligne, le dernier bastion est tombé ce matin donc maintenant rangez vous à la nouvelle opinion de votre maitre à penser, son nouveau slogan « vive l’esperanto » ce slogan je ne l’appliquerais jamais dans sa forme gourouesque de votre maitre, moi mon slogan c’est « vive la reelle communication »

      a+ LES MARMOS


    • Wlad Wlad 22 novembre 2007 13:43

      Ouhla, t’as méchamment claqué un fusible, toi...

      Pour répondre à ta question, j’ai dit que j’avais le même âge que Lymb. Je te laisse chercher dans le fil où ce dernier nous le révélait.


    • seespan 22 novembre 2007 13:46

      @ esperantulo

      Si nous avons des points communs c’est plus au niveau professionnel, ayant tout les deux reçuts une formation medicale ( medicine dans ton cas, odontologie dans le miens ), ensuite pour ma part j’ai aussi suivie une formation partiel en ecole d’ingenieur ( jusqu’en deuxieme année comprise, section materiaux ).

      Si je suis d’accord avec toi sur le fond pour l’esperanto, je ne me base pas sur mon experience personnel ( qui confirme cependant mon opinion ), mais exclusivement sur des etudes scientifiques serieuses et reproductible qui confirme :

      - le role propédeutique de l’esperanto, a savoir que le temps passer a aprendre l’esperanto est compensé par le temps qu’il fait gagner dans l’aprentissage d’une troisiéme langue.

      - Le rapport capacité d’expression / temps d’aprentissage , favorable d’environs un facteur dix par rapport à l’anglais pour un européen, et de cinq a huit pour un non européen.

      - le cout economique du tout anglais, pour les pays non anglophone de l’europe.

      Ensuite sur la forme dialogué avec asp peut certe avoir une utilité en debut de fil pour les personnes ignorantes du sujet, mais a ce niveau tu n’as plus que des acharnés sur le fils. Tes arguments on etait presenté plusieurs fois a asp, comme indiqué precedamment il est dans une logique d’avocat et apparament il aime ça. La seul difference entre un dialogue avec damien west est qu’il fait des commentaires plus long et mieux organisé, ensuite avoir une conversation constructive est aussi impossible avec l’un ou l’autre.

      Si tu ne me crois pas, simple excercie logique regarde son argument contre les accents et l’usage des claviers ( j’ai donné la reponse a Ciucilon plus haut avec les hannetons ), il s’agit d’une technique de rhetorique assez basique ou tu ne te concentre que sur les desavantages. L’ensemble de son discourt est construit de la sorte.

      Conclusion : Comme damien west il se construit dans l’opposition, la seul parade efficace avec ce type de personnalité et de les ignorés. Presente lui n’importe quel argument et il se fera un plaisir de le contourner, ensuite que ça te fasser réagir et te donne envie de repliquer c’est son but ainsi le jeux peut continuer ( regarde les fils de damien il est encore plus basique que asp ).

      Concernant un de mes premier commentaire sur les impreçision de l’anglais, je ne disait pas qu’elles n’avait pas d’importance, je te predisait la reponse d’asp ( j’etait assez proche d’ailleur ). Comme je te le disait il se construit dans l’opposition et est donc assez previsible.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 13:59

      a seespan, moi aussi je ne me base pas que sur ma propre experience je compare avec les dites études et les argumetns pironesques sont parmis les meilleurs au niveau de l’analyse qui en plus est confirmé par l’etude pratique mais en plus est reproductible pour chacun.

      Comme je l’ai toujours dit une theorie ne vaut rien s’il existe un seul exemle la contredisant pour l’instant en esperanto rien ne contredit, donc je fonctionne bien comme toi sur l’experience reproductible.

      et pour le sieur asp, à un moment donné on baisse toujours sa garde et c’est là qu’il faut se faufiler, donc même s’il dit ensuite que non il a quand même dit oui, tu sais très bien comment certains patients sont de mauvaise fois, il suffit toujours de trouver le point faible et de tapper dedans au bon moment pour que la reaction attendu arrive, c’est très efficace, chez moi ca marche presque à tous les coups


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 14:04

      ouah donc c’est bien ca il n’y a que des marmos dans le club d’asp, donc ca corespond bien à ce que je pensais ;

      niveau connaissance scientifique zero, car c’est pas à 20ans que l’on maitrise le raisonnment scientifique et même et ce n’est qu’au debut de la vie active qu’elle s’affine, à les jeunes toujours de doux reveurs à 20 ans.


    • seespan 22 novembre 2007 14:12

      @ henri masson

      J’ai retrouvé la citation sur la traduction par odinateur est l’esperanto.

      According to an unconfirmed rumour, on the occasion of a prestigious machine translation conference held in Japan in 1989, a senior representative of a major Japanese computer manufacturer reported that his company had sold X number of machine translation systems and he proudly added that 10 per cent are actually used. This cannot make sense unless 90 per cent of the customers buy machine-translation systems like Van Gogh paintings : for prestige.

      True or untrue, the story may well confirm that a trade as uncertain as machine translation, with its extremely long payback periods, is indeed sensitive to prestige considerations. It could therefore seem risky to include in a machine translation project a language like Esperanto which has the unmerited but undeniable quality that the mere mentioning of its name calls forth the most emotional rejections from both laymen and linguists (Forster 1987 ; Piron 1987).

      Despite all this, the idea of using Esperanto in machine translation is almost as old as the attempts to make computers translate. In recent years, the idea has become a reality, and I shall here address the question, ‘what is so special about Esperanto that a prestige-sensitive software company chose to adopt it ?’.

      titre : Computers in Translation : A Practical Appraisal

      auteur : Book by John Newton ; Routledge, 1992

      page 78


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 14:25

      a seespan, à maintenant je cromprend ce qu’il cherche a faire, mais il en est bien loin, j’avais jamais compris qu’il fesait la rethorique de l’hanneton, c’est ca ce qu’il essaye de faire, et bien il y a encore du boulot, faut l’amélioré cette rethorique. Moi je suis capable de la faire la rethorique de l’hanneton, asp c’est qu’un petit joueur, la preuveje le bas à chaque fois mais lui c’est la mauvaise fois du perdant qui fait fois

      à seespan chapeau d’avoir reussi à comprendre ce qu’il fesait, car il le fait tellement mal que jamais j’aurais compris


    • seespan 22 novembre 2007 14:44

      @ esperantulo

      Une de mes grandes passion sont les debats entre professionnels, (c-span.org est une mine d’or a ce sujet ).

      Tu a differents type d’adversaire qui peuvent se rencontrer.

      - avocats ou lobbyiste : ils sont payés pour defendre un point de vue, en dehors des faits réels, asp rentre dans cet categorie, mais il est loin d’etre un professionnel. Parmis les meilleurs exemples que j’ai vue : Un lobbyiste expliquant au congrés americain que le probleme de l’augmentation du cout de l’essence au etat-unis etait liés a des taxes trops elevées et a une reglementation ecologiste trops stricte. Un autre lobbyiste expliquant au journal parlementaire que les tensions entre les US et le moyen orient n’etait due que de maniere tres marginal au probleme israelo palestiniens.

      - les scientifiques : il ne se base que sur des faits verifiable dans des rapport ou etude. Regarde debatre noam chomsky il est excellent.

      - les politiques : ils sont un peut etre les deuxs, leur techniques depende de la position qu’ils ont a defendre.

      Ensuite pour asp si ça t’amuse de continuer vous serait deux a avoir une occupation. Mais si tu crois que tu vas le coinvaincre .... . Maximum il va juste arreter d’argumenter quelque temps puis ça recommencera comme en 40 ( meme schema qu’avec damien ). Pour ma part dans ma profession tu apprends a minimiser les pertes tres vite. Si j’engage des frais et que ça ne debouche pas je perds du temps ( pas trop grave ) et de l’argent ( m’ennuis beaucoup plus ).

      Sur ceux je retournes au boulot.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 14:57

      a seespan, en rethorique de l’hamecon, il n’y pas besoin de convaincre faut juste faire trebuché l’autre au bon moment quand on est uniquement deux oui faut convaincre, mais quand c’est avec du monde autour, il suffit d’avoir l’opinion generale avec soi et c’est gagné, si tu ecoute bien sarkozy, il a gagné l’election par sa retorique et surtout en allant dans les faillent de ses opposants qui ne maitrisait pas tous les aspects du sujet, à ton avis pourquoi il prefere se battre avec la gauche ou lepen, car il y a beaucoup de faille dans leur raisonnement alors que si c’était contre bayrou ou jean frncois kahn, il est perdant à coup sur car ils connaissent bien mieux le sujet que lui, le secret du haneton c’est l’omition mais pour que cela marche faut toujours bien mieux connaitre le sujet que son opposant pour trouver la chose omise par l’adversaire et pour pouvoir émettre aussi mieux et en plus en se premettant de faire de l’ommission ;

      sur agoravox, je discuter pricipalement sur des sujets que je maitrise bien, ce qui fais que toujours au final et surtout dans le temps, les choses prouvent que j’avais raison, un sur agora qui maitrise bien la rethorique c’est voltaire il est balese, pour l’instant personne ne le bas dans certains sujets


    • lymb lymb 22 novembre 2007 15:14

      Esperantulo, c’est bien la première fois qu’on parle de moi comme d’un doux rêveur... J’ai jamais prétendu avoir une grande connaissance scientifique, cela ne m’empeche pas de m’y intéresser. Toutefois, je ne vois pas le rapport avec le sujet qui nous occupe.


    • Wlad Wlad 22 novembre 2007 15:27

      « niveau connaissance scientifique zero, car c’est pas à 20ans que l’on maitrise le raisonnment scientifique »

      Déjà, il semblerait qu’à 20 ans certains intervenants maîtrisent mieux la langue française que certains de 45. Ensuite je ne vois pas vraiment en quoi le « raisonnement scientifique » (dont j’imagine assez mal en quoi il « progresse par la suite », je sais mener une démonstration cohérente, merci, j’ai fait une prépa) vient pointer le bout de son nez dans une discussion sur l’e-o. La linguistique n’est pas une science, c’est une science humaine où tout n’est pas tout noir ou tout blanc.

      J’ai donné mon point de vue (l’e-o est une langue formidablement bien construite, horriblement laide visuellement, ne s’est pas répandue à cause de l’effet dit « de la faute à Pas-de-Chance », nous paraît simple parce qu’elle se base sur du vocabulaire européen - la preuve, je n’ai pas étudié l’e-o mais je déchiffre sans trop souffrir vos messages codés - et reste donc aussi dure à apprendre pour un Japonais que, mettons, l’espagnol, j’ai des doutes sur les jeux de mots réalisables en e-o, et enfin les esperanteux agoravoxiens les plus virulents sont de sacrés connards - à part Masson qui, malgré un brin de mauvaise foi, m’est sympathique), viens donc m’expliquer en quoi un prétendu « raisonnement scientifique » y changerait quoi que ce soit.

      Si pour toi le calcul du nombre effectif d’esperantistes dans le monde relève d’un « raisonement scientifique », tu as une vision bien basse de la science.

      « et même et ce n’est qu’au debut de la vie active qu’elle s’affine »

      Qui ça, elle ? Ta bite ? Ta cervelle ?

      Un dernier point : je constate que nombre des ci-devant intervenants, vouent un culte au mot « débat ». Voilà bien un des travers de la société actuelle qui m’exaspèrent le plus. Dès que quelque chose ne va pas, on organise un « débat ». Quand on demande aux lycéens ce qu’ils veulent faire pour leur dernière journée de cours, ils répondent « un débat ». Ah ouais, super les gars, on va s’asseoir autour d’une table et taper la discute. Avec au final une stagnation surprenante ; tout le monde repart sans que la discussion ait servi à quoi que ce soit.

      Message plus ou moins privé aux énergumènes énoncés ci-dessus, dans la catégorie « esperanteux » (parce que les Asp-boyz, on est là pour vous asticoter, pas pour faire avancer le problème d’un pouce, on n’en à rien à cirer) : Masson, au moins, entreprend des actions.

      A bon entendeur...


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 15:38

      merci enfin la reponse que j’attendais, ca mort, ca mort

      donc d’une chose tout le monde est d’accord par rapport à l’anglais et à l’esperanto que ce soit chez asp ou les esperantistes,

      vous venez nous asticotez et nous on repond donc tout le monde vous comme nous allons dans le même sens d’action, parler de ce qui est vrai ou pas,

      donc en resumer on peut enterrer la hache de guerre, et bien qu’est ce qu’il faut pas faire pour avoir la verité

      on fait ami-ami


    • Wlad Wlad 22 novembre 2007 15:47

      « merci enfin la reponse que j’attendais, ca mort, ca mort »

      Ah ben, de rien, si ça peut te faire plaisir.

      « donc d’une chose tout le monde est d’accord par rapport à l’anglais et à l’esperanto que ce soit chez asp ou les esperantistes, »

      Pas tout à fait ! JE suis d’accord sur un certain nombre de points (mais malheureusement pas la thèse du complot judéo-nazi à la solde des Atlantes de Mû), mais ça n’engage que moi. Et je ne regrette pas que l’e-o ait été battu par l’anglais, je m’en fous royalement voilà tout.

      "donc en resumer on peut enterrer la hache de guerre, et bien qu’est ce qu’il faut pas faire pour avoir la verité

      on fait ami-ami"

      Ca ça reste à voir smiley !


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 15:53

      « Et je ne regrette pas que l’e-o ait été battu par l’anglais, je m’en fous royalement voilà tout. »

      a chacun son opinion et ses choix, tant que la verité est là, après chacun assume les conséquences de ses choix et ses actes.

      cordialement, et merci quand à vous tous de nous aider à montrer les qualités de l’esperanto


    • Henri Masson 22 novembre 2007 20:56

      Merci,seespan, pour cette information. En fait, des expériences avec l’espéranto comme lange-pivot ont été menées après les dates (années) mentionnées.

      Voir :

      http://www-rohan.sdsu.edu/%7Eling354/MT-eg.html

      http://esperantic.org/ced/DLT.htm (en espéranto)

      Les travaux de la firme néerlandaise BSO avaient été subventionnés durant une période par la CEE, mais c’est finalement Systran qui a remporté le contrat pour un procédé infiniment plus coûteux et qui ne favorise que les grandes langues. Ils ont gagné parce qu’ils étaient les plus nombreux et soutenus par des grandes nations. Il suffit de voir les programmes qui nous permettent d’obtenir de mauvaises traductions automatiques Systran à partir d’un très petit nombre de langues dites « grandes ». Voir le menu déroulant « translate » de http://world.altavista.com/tr après avoir placé un texte dans n’importe quelle langue indiquée.


    • seespan 22 novembre 2007 21:05

      @ henri masson

      Si tu veus avoir accés au livre, le site ou je l’es trouvé c’est :

      http://questia.com/

      Je ne peus pas te donner mes codes d’accée mais tu as droit a une periode d’essais, si tu as la patience de faire un copier coller de l’ensemble du bouquin. Par contre je te previens c’est assez technique.


  • Asp Explorer Asp Explorer 21 novembre 2007 22:18

    Masson a dit :

    Elle donne l’occasion de rappeler un procédé malhonnête utilisé par Asp Explorer et sa clique à l’encontre de mon dernier article publié le 20 juillet : il est disparu en quelques heures seulement de la une, et cette censure a été de toute évidence le fait d’une action coordonnée.

    Des suppositions, des supputations, une bonne dose de paranoïa et rien de bien solide pour l’étayer. Contrairement au fait inoxydable, incontournable, incontestable et vérifiable rien qu’en lisant cette enfilade de commentaires : Masson est un imposteur qui emploie les méthodes les plus viles de la manipulation pour museler ses contradicteurs. Mensonge, calomnie et mauvaise foi au service de « la cause », une cause qui doit être bien boîteuse pour avoir besoin de tels expédients pour survivre.

    Jusqu’ici vous m’amusiez, mais au moins vous faisais-je crédit d’une certaine rectitude morale. Ce soir vous me dégoûtez. Pouah !


    • lymb lymb 21 novembre 2007 22:42

      ce qui me rappelle, ASP, l’un des passages de Morgoth, qui voyait le Héros discuté avec un prêtre, qui finissait par le convaincre. Peu après, les autre personnages lui explique que de tels prêtre finissent par accorder plus d’importance à leur cause qu’à leur propre vie, puis presque plus d’importance à leur propre vie, puisqu’ils sont entièrement dévoué à la cause, et que si déja l’homme accorde à la vie des autres moins d’importance qu’à la sienne propre, alors qu’en est il lorsqu’ils n’accorde plus le moindre prix à sa vie. Le problème d’Henry Masson est finalement assez similaire, puisque sa cause semble plus importante que son intégrité morale. On voit bien, ici, que la promotion de l’Eo est plus importante pour cet homme que la plus élémentaire des honnetetés. Ce genre de chose est presque systématique dans toutes les grandes causes, on croit que sa cause, puisqu’elle est juste, nous autorise à utiliser les moyens les plus vils. C’en est gerbant.


    • Asp Explorer Asp Explorer 21 novembre 2007 23:12

      Et j’ai écrit ça bien avant de connaître Masson.


    • lymb lymb 22 novembre 2007 01:11

      Ca va, ne te jette pas trop de fleures :) .


    • Blastm 22 novembre 2007 08:43

      l’article avait disparu de la une en quelques heures ? étonnant ! Je n’imagine même pas combien de temps il aurait tenu cette place et retenu l’attention si asp n’avait pas été là ; et si les seuls commentaires et lecteurs avaient été ceux des fanatiques amoureux de l’espéranto qui se pignolaient d’aise devant la dernière diarrhée verbale du maître...

      remerciez-le... smiley


    • Wlad Wlad 22 novembre 2007 11:55

      C’est dans quel épisode de Morgoth ?

      Pour ma part, les esperanteux me font plus penser aux Jovitourtistes et aux Jovicoussiens dans « Kalon et la séquence du sectateur », quand le tenancier de l’auberge craint de se faire dévaster sa taverne quand les héros commandent autre chose qu’un couscous alors qu’on est jeudi. Ici c’est un peu pareil, si tu ne promeus pas l’e-o, ils dévastent ton article !

      Toi pas parler esperanto le jeudi ? Au bûcher !


    • lymb lymb 22 novembre 2007 15:01

      Ca doit être quelque part vers les épisodes 4 ou 5. Celui ou ils rencontrent Mark.


  • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 04:27

    Un pedagagogue et psychologue du nom de Piaget à marqué sa trace dans beaucoups de dommaines sour le nom de principe de Piaget( pour de plus amples explication voir le web) dans son principe le ysteme final est l’assilation generalisation, c’est à dire que d’une experience dans un domaines la personne et principalement l’enfant le gemeralise le plus possible (un élément repéré comme signifiant est généralisé à l’ensemble de l’expression voila da def la plus precise sur cette idée)

    Au niveau du language ce principe s’orbserve principalment dans la petite enfance lors de l’aprentissage de la parole, un jeune enfant qui entend par exemple boucher, boulanger, charcutier, cordonnier va avoir tandence la premere fois à dire fleurier pour « fleuriste » et journalier pour « journaliste », ou comme autre exemple carvanal, des carnavals, cheval, des chevals,à non pardon des chevaux car il associer le son er au nom de métier. cette generalisation se poursuit ensuite dans les reperes écrits-oraux, par exemple apprendre à mettre les lettre muettes comme pour mains, pins, genoux, ect . en reusmé si il n’existe pas de contraintes s’associants ( les fameuses exceptions orales et ecrites que tout le monde connait) le language s’apprend à une certaine vitesse et plus il existe d’exeptions et plus le language oral et écrit est long à se mettre en place.

    des exemples de l’assimilation generalisatrice tous le monde peut les entendre,chez le petit enfant et même dans l’apprentissage des langues à l’etat adulte

    des exemples concrets de ce principe de l’assimation generalisatrice, il se trouve par exemple qu’au niveau relation ecrit-oral plus il existe d’exeptions ou particularité dans la relation des deux ( le francais et l’anglais en ont un grand nombre) et plus la maitrise de la langue est tardive contrairement à d’autres ayant beaucoup d’exeptions ( l’italien par exemple), au niveau pathologique du fait de la plus faible capacité à utiliser la generalisation chez certains enfant ayant des trouble de la communcation, la dislexie se devellope de manière plus importante et on le retrouve le plus dans les langues type anglais ou francais encore une fois et le moins dans les langues de type italien ;

    en pratique il s’avere aussi que plus le language pratiqué est proche de la generalisation et plus le parcours d’obstacle dans le cerveau pour trouver le mot est facile et donc le chemin est rapide ;

    l’application concrete de cette generalisation dans l’esperanto, c’est que ce dernier justement dans son coeur même il n’existe aucune exeption que ce soit à l’écrit ou à l’oral, l’esperanto utilise le principe de Piaget à son maximum, donc le temps de l’apprentissage de la langue se retrouve à son minimum le plus stricte, sachant que l’anglais est truffé d’exeptions oraux-ecritesforcement ce dernir est plus long à apprendre que l’esperanto ;

    des exemple en pratique ont eétés faites et le prouvent bien pratique, voir le livre le Défi des langues

    donc d’un principe non inventé par des esperantistes, il est encore et toujours possible de prouver sa superiorité d’apprentissage par rapport à l’anglais


  • Timsk 22 novembre 2007 04:46

    J’interviens rarement dans les longues « guerre de flammes » de commentaires chez AgoraVox, mais cette question d’Asp Explorer — après avoir enlevé les petits insultes et autres bagages inutiles — me semble en fait intéressante, et merite une réponse. [Je demande pardon pour mes fautes de français, qui n’est pas ma langue maternelle.]

    C’est vrai qu’il faut beaucoup de temps pour « absorber » le vocabulaire d’une langue, parce que chaque élément doit être appris un par un. Cependant, le nombre d’éléments à apprendre par coeur pour avoir un tel niveau dans une langue peut varier beaucoup d’une langue à une autre.

    Prenons par exemple l’arabe. Je ne parle pas cette langue, mais si j’ai bien compris l’affaire, chaque substantif a non seulement un singulier et un pluriel, mais aussi une forme nommé « binaire », c-à-d à utiliser quand il y a deux de quelque chose. Il y a donc trois formes à apprendre au lieu de deux pour l’anglais ou le français.

    Mais en plus, il est impossible de dériver le binaire ou le pluriel si on ne connaît que le singulier. En anglais, on peut très souvent simplement rajouter un ’s’ à la fin (quoiqu’il y a évidemment des exceptions) ; en français il y a plusieurs règles de dérivation (ajouter un ’s’, ajouter un ’x’, changer ’-al’ en ’-aux’, etc.) mais même avec un nouveau mot inconnu on peut souvent deviner comment « construire » son pluriel. Ceci n’est pas le cas en arabe, où presque chaque forme binaire et pluriel est à apprendre par coeur, parce qu’il n’y a aucune régularité.

    Si on prend, disons, les 200 substantifs les plus utilisés en anglais, en français, et en arabe alors, on peut supposer, avec des suppositions *très* approximatives, qu’il faut mémoriser peut-être 215 éléments en anglais (c-à-d les 200 formes singuliers + 15 pluriels irreguliers) ; disons 230 en français (avec des irrégularités un peu plus souvent) ; mais presque 600 en arabe (200 singuliers + 200 binaires + 200 pluriels, et presque aucune régularité pour aider la pauvre mémoire).

    Conclusion jusqu’ici : le nombre de chose à mémoriser par coeur peut varier énormément d’une langue à une autre, pour avoir le même pouvoir d’expression.

    Pour mentionner l’espéranto en pied de page, il faudrait mémoriser dans cette langue exactement 200 éléments — bon, 201, si on compte la lettre qu’il faut ajouter à chaque fois pour faire le pluriel de tous les substantifs de la langue.

    Si on s’arrêtait là, on pourrait conclure que l’espéranto a un leger avantage par rapport à l’anglais ou le français, mais rien d’extraordinaire. Alors, continuons un peu...

    On peut bien sûr ajouter le même avantage dans les domaines des verbes et des adjectifs, c-à-d que la régularité de l’espéranto réduit le nombre d’éléments à apprendre par coeur, parce qu’il n’y a aucune exception à mémoriser, mais le résultat est toujours pareil — un avantage dans la facilité d’apprentissage, certe, mais pas révolutionnaire.

    Pour la révolution — parce que oui, il y en a une — il faut considerer ce que je vais appeler les « familles sémantiques » de mots (parce que je ne connais pas d’autre expression pour ça, mais je serais très content de l’apprendre, si elle existe). Je veux dire les groupes de mots — un nom ou deux, un adjectif ou deux, un adverb, un verbe — qui ont au coeur la même idée sémantique, par exemple « la vue », « la vision », « visuel », « visuellement », « voir », ou « vender », « la vente », « le vendeur », « le magasin », ou « une fleur », « florale », « fleuriste », ou bien « conduire », « le conducteur », « la conduite », « conduisable », etc.

    En français, comme en anglais, il faut mémoriser chacun de ces mots, un par un. Il y a quelques astuces, quelques régularités, qui aident, comme « visuel —> visuellement », et « fleur —> fleuriste », mais il y a aussi tant d’exceptions que le pauvre étranger (et même souvent des francophones de naissance) ne peut jamais dépendre de ses réflexes pour immédiatement trouver la bonne forme.

    En Espéranto, par contre, chaque groupe de mots comme les exemples ci-dessus — et il y a des centaines et des centaines de ces groupes — se forme à base d’une seule racine qui se combine avec un ou plusieurs affixes pour créer tous les mots d’un groupe. En plus, au contraire du français et de l’anglais, il n’y a pas d’interdiction de former des mots en suivant ces régularités. Regarder le mot « conduisable » ci-dessus, par exemple — mon contrôleur d’orthographe m’indique (et mon Petit Larousse confirme) que ça n’existe pas, mais je ne savais pas que je n’ai pas le droit d’utiliser ce mot pourtant facilement compréhensible. En fait je cherche la traduction du mot anglais « drivable », et je n’aurais aucun problème en espéranto si je prenais la racine « shofor- » et je rajoutais le suffixe « -ebla » pour faire « shoforebla ».

    Et donc voilà pourquoi l’étudiant d’espéranto apprend tellement plus rapidement le vocabulaire de la langue que son camarade qui fait de l’anglais ou du français ou de l’arabe — parce que pour chaque nouvelle racine qu’il apprend, il a automatiquement 5, 10, voire 15* nouveaux mots tout de suite disponible, sans risque de tomber sur une exception quelconque. Dans les autres langues, le fait d’apprendre une nouvelle racine rajoute la possibilité de peut-être 2 ou 3 nouveau mots, s’ils suivent les règles, mais c’est aussi souvent le cas qu’une chose apprise = un seul nouveau mot à utiliser.

    En espérant de ne pas avoir trop vous ennuyé, vu le longueur de mon commentaire, j’espère que ceci a jeter une lumière sur le sujet. J’attends vos réactions courtoises et respectueuses, comme elles le seront sans doute.

    *Si vous doutez qu’un tel groupe pourrait contenir autant de mots, je vous propose la liste suivante, de laquelle chaque élément se traduit en espéranto par un seul mot, qui contiendrait la même racine en combinaison avec des affixes divers et variés (qui peuvent, eux-mêmes, se combiner avec toutes les autres racines de la langue pour faire eventuellement autant d’autres groupes de mots) :- en bonne santé / malade / être en bonne santé / être malade / être en assez bonne santé / être un peu malade / dans une manière de bonne santé (comment dire « healthily » en français ?!) / dans une manière de mauvaise santé (idem pour « unhealthily » !) / guérir (et toute sa conjugaison) / se guérir (et toute sa conjugaison) / faire que quelqu’un soit malade / une personne en bonne santé / une personne malade / un hôpital / faire les premiers pas de guérison / retrouver sa santé / retomber malade / guérissable / inguérissable / qui vaut une guérison / qui mérite de tomber malade (!)

    Voilà donc plus que 20 mots — oui, chacun se traduit par un mot en espéranto — tous à la base d’une seule racine.


    • Asp Explorer Asp Explorer 22 novembre 2007 07:32

      Ah, enfin quelqu’un de civilisé. Merci.

      A propos, j’aimerais rappeler la question que je posais lors du dernier article sur le sujet et dont je n’ai jamais reçu de réponse : comment éviter les barbarismes dans une langue qui emprunte à de nombreuses racines ? Pourquoi « cito », et pas « urbo » ou « villo » ?


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 09:09

      « Ah, enfin quelqu’un de civilisé. Merci. »

      Et aussi quelq’un dit dit exactement la même chose que moi

      « A propos, j’aimerais rappeler la question que je posais lors du dernier article sur le sujet et dont je n’ai jamais reçu de réponse : comment éviter les barbarismes dans une langue qui emprunte à de nombreuses racines ? Pourquoi »cito« , et pas »urbo« ou »villo«  ? »

      Pourquoi un mot et pas un autre, au début choisi par le concepteur pour donné une constance au vocabulaire mais sans le rendre obligatoire, après pourquoi pas d’évolution vers les barbarismes, peut-être tout simplement que par un choix commun entre esperantophone de pouvoir communiquer fait qu’il n’y a pas de barbarisme s’intensifiant

      de temps en temps il existe des poussés de fièvre, mais avec le temps un mot magoritaire sort du lot, à certaines epoques il y a eut des doublons, le plus souvent un suel a été choisi, certains existe encore, des fois une modification dans un mot le rend double et avec le temps l’ancien fore disparait

      pourquoi pas de doublon alors, garder la facilité d’apprentissage chez les esperantophones, la reponse est peut être aussi simple que cela et peut-être ausi qu’il existe une richesse suffisant de faire des mots combinés avec ceux déjà presents que le besion ne s’en fait pas ressentir


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 09:21

      si, il existe une forme de barbarisme celle du jeune aprennant, mais avec un peu de pratique on choisi les mots dit conventonels, moi personellement ca m’ai arrivé au début en esperanto, mais aussi en apprenant l’anglais et avec le temps ca disparait dans les deux cas, dans tous les cas il disparait car si on fait du barbarisme en esperanto ou en anglais on ne vous comprendra pas


    • Timsk 23 novembre 2007 00:30

      Asp Explorer a demandé : ’je n’ai jamais reçu de réponse : comment éviter les barbarismes dans une langue qui emprunte à de nombreuses racines ? Pourquoi « cito », et pas « urbo » ou « villo » ?’

      Excusez-moi, mais je n’ai pas encore compris la question. Le mot « barbarismes » dans ce contexte n’a guère un sens précis — pourriez-vous choisir un autre mot, plus précis et éventuellement moins émotionnel ?

      Pour répondre à la deuxième partie de la question — au début, dans le projet de langue publié en 1887, c’était le Dr Zamenhof qui avait choisi les racines qu’ils a jugé les plus « internationales », c-à-d déjà présentes dans plusieurs « grandes » langues. Donc c’est lui qui a choisi « urbo » où il aurait pu éventuellement choisi « cito » ou « vilo », et donc le mot en Espéranto de nos jours pour « une ville », c’est « urbo ».*

      Après, depuis la conférence de 1905 où Zamenhof a confié l’avenir de la langue à ses utilisateurs, le choix des nouvelles racines est fait par les utilisateurs, comme en français, en anglais ou dans n’importe quelle autre langue. En fait, l’Espéranto a, dans cet aspect, un point commun avec le français qui manque aux anglais — une Académie de la langue, qui surveille sa développement et qui « officialise » certains mots de temps en temps. Si l’Académie (Française ou d’Espéranto) sert à quelque chose vraiment est une question à débattre (de préférence ailleurs, et dans mon absence !) mais voilà la situation telle qu’elle est.

      Je donne deux exemples récents pour illustrer : les mots anglais « email » et « blog ». Ils ont tous les deux une dérivation uniquement anglaise (« electronic + mail = email » et « web + log = weblog », qui s’est raccourci à « blog ») mais ce sont de nouveaux concepts qui avaient besoin d’un nom dans plein d’autres langues. En français, on a pris plusieurs solutions à la fois pour le premier cas — « email », « mail », « mèl », « courriel », et peut-être d’autres — et sans doute dans 5 ou 10 ans, plusieurs de ces mots auront l’aire terriblement dépassé. Et l’anglais « blog » on a francisé par « blogue », et ça marche très bien. Peu importe d’où vient le mot, c’est maintenant du français pur et dur.

      En Espéranto, il y a une tendance beaucoup plus forte qu’en français de réutiliser les racines existantes pour trouver des termes pour les nouveaux concepts, et donc « un courriel » se traduit par « retmesagho », fait des racines « ret- » (« réseau ») et « mesagho » (« message ») — donc, en gros, la même dérivation que le mot « email » en anglais, mais en utilisant les racines déjà dans la langue. Pour « une adresse courriel » ou « une adresse électronique », le mot est « retadreso ».

      Pour « blogue », au début j’ai vu des gens utiliser des mot composés comme « rettaglibro » (« ret- » + « tag » [« jour »] + « libro » [« livre »]), mais l’espérantophonie a vite jugé que cette fois-ci, ça valait la peine de rajouter une nouvelle racine, et le mot « blogo » a vu le jour. Comme en français, on a pris le mot d’origine et on l’a adapté aux normes de la langue, et voilà, un nouveau mot, chaud du four.

      Voilà donc la réponse à une partie de votre question. Si vous pouvez clarifier ce que vous entendez par « barbarisme », je vais essayer de répondre également à cela.

      *Pour continuer le thème de mon dernier message, la racine « urb- » donne accès immédiat à : une ville / une grande ville / une petite ville / un habitant d’une ville / un maire / urbain / urbainement (si ça existe en français, je ne sais pas) / « qui aime plutôt les villes qu’ailleurs » / et sans doute d’autres qui ne me viennent pas tout de suite à l’esprit. La série de mot en Espéranto serait : urbo / urbego / urbeto / urbano / urbestro / urba / urbe / urbema / ...


  • boumboum 22 novembre 2007 10:35

    Bon, je recolle mon message ici :

    Corneille est un chanteur, un corbeau est un oiseau.

    Je ne vais pas m’etendre sur la guerre un Iraq. Mais quand l’etats depense, consumption goes up, salaries goes up, inflation goes up, debt goes up, export goes up and so on... Bien sur y a des exceptions, mais ce sont les bases. L’argent va en effet dans les poches des mercenaires, des salaries de boieng (regardez l’evolution de leur stocks apres le 11 sept, guerre d afghanistan, Iraq) et autres compagnies, qui vont ensuite, ben, dans une nouvelle voiture, une nouvelle maison (facteur de l’explosion de la bulle des subprime ?), qui vont ensuite au macdo du coin, qui va ensuite dans les taxes, qui sont reinjectes pour ahcheter des munitions pour M249 saw, qui vont des les poches des salaries... C’est le cycle de la monnaie, le cycle eteeeerrnnneellleeuuuhh. Vous remarquerez egalement qu il n y a pas eu d’appel d’offre pour Dassault, ca va direct chez Boieng, c’est assez Keynesien comme comportement pour un gouvernement republicain...

    Maintenant de la a dire que ca a plus d’effets positifs que negatifs, je ne me prononcerai pas, meme si pour l’europe, cela a clairement un effet negatif. (le petrole de Saddam coutait moins cher, et l’inflation US nous les brises menu).

    Pour revenir au sujet.

    Pour le Francois de l’epoque, meme si l’UK etait plus puissante, beaucoup d’innovation etait Francaises, et l’ecart du « PIB » n’etait pas celui actuel. Ensuite il n y avait pas une telle necessite de communiquer, un paysan Allemand aurait fait « sagte was ? » si vous lui aviez parle Francais. A present, il connait quelque mot en anglais, « No problem man ».

    Recemment je me suis interresse un peu au Latin, et je me suis pris a rever. Si Napoleon ou un queconque Empereur avait impose le Latin a l’Europe concquise... (ou au moins a la France en ce qui concerne Napoleon a la place du Francais) Ca aurait ete tellement plus facile de construire l’UE.

    Si l’Esperanto a eu un jour une chance, il l’a rate. Vous imaginez vraiment les deputes Europeens parler Esperanto ? Ils ont des traducteurs et la majorite parleraient deja anglais si ils en avaient besoin. Et puis pour son evolution j’ai des doutes. Vu comme il est difficile d’apprendre une langue etrangere, je ne dirais pas a mes gosses, bon tu va apprendre le Francais, parceque je le parle, l’anglais, parceque tout le monde le parle maintenant mais qu’ils vont bientot arreter, et l’esperanto parceque c’est l’avenir. Rajoutez a cela la paresse naturel de l’etre humain... L’anglais a deja une inertie enorme, l’esperanto ne survivra que chez des gens comme vous, des gens passionnes et qui aiment rever, mais pas chez des gens qui doivent gerer des formations couteuses ou qui ont deja un probleme avec une seul langue etrangere apprise depuis 10ans. C’est un peu comme passer du DVD classique au blue ray, il y evolution de stockage, il y a une evolution de qualite, mais l’inertie du DVD actuel est tel qu’il va completement deborder le faible gain de qualite du DVD blue ray (qui plus est, en competition avec un autre formats, je ne sais plus lequel)

    Donc l’Esperanto ne passera pas. Pourquoi ? Parceque tout ca au dessus et plus encore.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 10:50

      c’est votre opinion mais rien n’est écrit d’avance, voir la chute du francais, à ces diplomates se gaussaient maintenant ils pleurent, après si l’être humain est assez maso pour continuer dans cette voie mais alors qu’il ne se plaingne pas des injustices resultant de ce moyen, voir par exemple la lente agonie de l’europe, alors que d’autres pays dans le monde sont bien plus puissants et plus competitifs


    • seespan 22 novembre 2007 11:06

      @ boumboum

      Pour l’aspect economique sur la guerre en irak, comme indiqué precedament je n’ai entendus aucun economiste americain soutenir ton opinion, qui me semble du niveau lycéen classe de seconde. Je t’ai aussi indiquer ou trouver des informations valable. C-span.org et le washingtonpost ne sont pas vraiment connue pour etre des repere de gaucho amateur.

      Ensuite pour le reste de ton discour les discussions de comptoir de commerce ne m’interresse pas.

      Nb : aucun respect pour les arguments du type,

      - mois je dis que

      - vous imaginer que

      Prend exemple sur asp il est d’une mauvaise foie total, mais au moins il prend la peine de construire son discour.


  • boumboum 22 novembre 2007 11:58

    Bon je ne parle plus d’Iraq vu que vous avez le site qui fait reference, et que je ne suis qu en seconde d’apres vous mais surtout ce n’est pas le sujet. Juste pour repondre a l’insulte, expliquez moi quel est la theorie de Keynes, et quelle est donc la relation entre depenses de l’etats et economie (en theorie, vu que je me susi garde de dire si a la fin du conflit cela aurait un impact positif ou negatif sur l’economie.)

    Pour les arguments sur l’esperanto, L’inertie n’en pas un ? La mondialisation non plus ? L’exemple du blue ray pour imager le rapport couts/ benefice est si mauvais que cela ? Au lieu de critiquer la forme « moi je »... Prenez le mot, par exemple : Inertie, rapport cout benefice, paresse intrinseque humaine, et prouvez moi que j’ai tort.

    Ce que je sais, c’est que dans les grandes entreprises, les gros lobbies, celle qui dirigent le monde, celles qui imposent tout ce qu’elles veulent aux autres. L’esperanto n’existe pas, et n’a jamais existe. D’un epart parceque personne ne cherche une autre langue que l’anglais, deuxiemement parceque personne ne peut travailler ici sans parler anglais.

    J’imagine (essayez d’imaginer aussi) un grand colloque ou tout le monde parle anglais (ca arrive regulierement dans le temps), le maitre de ceremonie declarer : « Bon a partir de maintenant, on va commencer doucement a changer de langue, nous allons apprendre l’esperanto, parceque c’est plus facile a apprendre, que ca ne provoque pas de conflit vu que c’est artificiel et que c’est plus precis. » Et la tout le monde se parlant en anglais, tu me comprend quand je te parle ? ben ouais, et on est en conflit ? ben non.

    https://www.skeptic.com/Merchant2/merchant.mvc?&Screen=PROD&Store_Code=SS&Product_Code=av176DVD


  • hamra 22 novembre 2007 15:02

    le débat est impressionnant, je m’excuse de m’être lassée et de ne pas m’etre attardée sur l’argumentation de certains.

    je ne prends pas position pour l’espéranto ou l’anglais. Je ne suis pas non plus neutre : j’apprécie à sa juste valeur le débat sur la problématique que se pose quotidiennement tout bon traducteur et tout interprète qui se respecte : et qui est confronté au malentendu qui dérive de la grammaire et la syntaxe.

    pour les germanophones dont je ne fais pas partie, je le regrette un peu, Schopenhauer a bien souligné l’appauvrissement de la culture et des scientifiques allemands (all - magne= tous grands) avec la suppression du latin comme langue de référence, et certaines incohérences voires appréciations des mots et de leurs dérives orales dans leur processus volontaires de simplification.(contexte nationnaliste oblige)

    pour les anglophones, etre confronté à l’apprentissage de l’anglais et à sa richesse ne laisse aucun doute sur son extreme précision, dans le sens noble du terme ou l’oral est intimement lié à l’écrit : je vous renvoie à Better english ponunciation de O’connor. ou aux ecrivains références comme Orwell et James Joyce.( voir plus haut une citation extraite d’un bouquin en anglais)

    Pour les hispanophones, les français ou francophones et en regle générale les peuples latins intimement lié par leur imaginaire aux grecs, l’appréhension du sens est plus dogmatique que naïve.

    et cela traduit bien les différentes appéciations de l’oralité et de l’écrit.

    la complexité de certaines langues et donc leur maitrise va de pair avec leur civilisation et leur histoire, soit leur évolution.

    comme il a été souligné dans un des commentaires que j’ai pu lire, et qui rejoint le point de vue que j’ai adopté : il est regrettable que le latin ait été abandonné néanmoins l’apprentissage des langues devient un impératif fondamental, les méthodes ont été toutes investies même celle du français à voir la méthode globale et ses ravages.

    espéranto : espérando, esperare, espérer, les sens sont variables et déclinables à souhait : en train d’attendre, attendre,...et espérer : le mot n’est pas inutile. Par contre le sens même du mot l’est ainsi que son appréciation dans son contexte.

    Enfin je remets à dispo pour qui veut l’adresse d’un site anglophone : Freessays123.com qui reprend un autre ensemble de points de vue sur les civilisations et leur problématique.

    Cordialement.


    • hamra 22 novembre 2007 15:22

      je mets aussi à dispo une autre adresse qui donnera une autre approche du débat en cours :

      philagora.net

      sur l’épistémologie.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 15:28

      Bonjour

      « pour les anglophones, etre confronté à l’apprentissage de l’anglais et à sa richesse ne laisse aucun doute sur son extreme précision, dans le sens noble du terme ou l’oral est intimement lié à l’écrit : je vous renvoie à Better english ponunciation de O’connor. ou aux ecrivains références comme Orwell et James Joyce.( voir plus haut une citation extraite d’un bouquin en anglais) »

      pourriez vous sur cette partie m’aidez à comprendre, la richesse des mots ou de la richesse de la capacité d’être precise ; tiens moi qui avait pensé que l’oral etait le plus important pour l’anglais comme l’écrit l’ai pour le francais

      « la méthode globale et ses ravages. » oui elle fait des ravages chez les enfants ou elle n’est pas adaptable, l’autre methode en fait aussi mais on en parle moins car cette dernier convient à la plus par des enfants, remarque il faur meraquer que dans l’appretissage les deux methodes sont en fait utilisées car elles se completent l’une l’autre

      bien sur des etudes ont montrés les ravages du global mais aussi ses avantages dans certains cas, mais comme le peuple aime la démolition à la construction, les degats semble mediatique plus importants que ce qu’ils sont

      merci de votre commentaire


    • hamra 22 novembre 2007 20:41

      simplement parce que le langage oral précède la grammaire.

      vous apprécierez ainsi mieux vos lectures et...vos traductions.

      regardez le simple mot : diphtongue. et considérez le dialogue comme un jeu de ping pong. (tongue en l’occurence en anglais signifie langue). Et quand la langue est de bois , on découvre assez vite la supercherie.

      et aussi le problème de la diérèse. ou encore du e-muet. si on me lance, sur ce sujet je serais intarissable et j’ai d’autres chats à fouetter ! smiley


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 21:30

      je n’arrive pas bien à vous suivre, desolé mais je tente quand même, si je comprend bien l’oral aide l’écrit, pour moi cela n’est pas toujours possible bien à vous


    • seespan 22 novembre 2007 21:39

      @ esperantulo

      Non je crois que harma parle de la sequence d’aprantissage.

      orale , ecrit et grammaire et enfin traduction. Ensuite se sont de simple jeux de mot.

      Nb : dans mon cas non plus l’oral ne m’a pas vraiment aidé pour l’ecrit smiley .


    • seespan 22 novembre 2007 21:50

      @ esperantulo

      D’ailleur pour ça que j’ai choisie medecine, les seules etudes scientifiques ou le concour d’entrée se fait en cochant des cases.


    • hamra 23 novembre 2007 09:10

      vous avez bien saisi la nuance : tout est dans la séquence d’apprentissage, et la manifestation physiologique des sonorités et le rythme soit fréquence des séquences voyelles/ consonnes. même dans l’apprentissage des chiffres.

      c’est la musicalité des langues (le ressenti du bruit) qui est mis en avant et leur assimilation au travers de l’acuité sensorielle du sujet.

      l’anglais est entièrement physiologique, d’où la richesse des sonorités en phonétique : richesse qui traduit bien la complexité de cette langue.

      pour ce qui est du latin, Rémy de Gourmont a écrit que c’était l’espéranto à une certaine époque. (Le Latin Mystique) editions du Rocher. Il est donc évident que sa suppression a aussi entraîné une évolution constante du langage, et la recherche d’une langue qui pourrait y suppléer.

      Mais, le latin n’a pas été laissé de cöté en FRance ou ailleurs, excepté en Allemagne comme je l’ai précedemment souligné en commentant un livre de Schopenhauer. et cela en fait se justifie dans le contexte nationaliste de l’époque, et suite au traité sur l’éducation d’un FICHTE, que Schopenhauer dénigre en beauté, car FICHTE a donné une génération d’Allemands extrémistes et orgueilleux sur le role que l’Allemagne avait à jouer dans la conquete du monde...d’où le ressenti d’une terrible humiliation suite à la 1ere guerre mondiale. Et le sursaut de rancoeur ou la haine qui en a découlé et qui a conduit à la 2nde guerre mondiale.

      Bon, ai-je été assez explicite sur la manifestation physiologique de la douleur et des sons et les claquements de langues ?

      Bien cordialement.


    • seespan 23 novembre 2007 09:14

      @ hamra

      Le latin est certe une belle langue, mais le metriser pour la communication demande un apprentissage trop long. Historiquement c’est la langue des elites, les personnes le maitrisant etait extrement rare ( en general c’etait le medecin et le curée et le plus souvent pas un niveau tres brillant ).


    • Hermes esperantulo 23 novembre 2007 09:16

      oui pas de probleme je le connais, fallait juste me dire musicalité de langue et c’est bon pour comprendre


    • hamra 23 novembre 2007 11:06

      exact : il était réservé à l’élite, de tous pays, mais il était aussi utilisé oralement au quotidien d’où qu’il était en permanente évolution.

      d’où que la suppression de cette langue de référence pour tous les scientifiques a appauvri le discours et multiplié les malentendus et prérogatives ou discours nationalistes sur l’utilité d’une langue commune universelle, certes, mais qui éviterait surtout les difficultés de traduction.

      En ce qui me concerne, le français a livré un si dure bataille qu’il faut nécessairement l’apprécier à son mérite et au nombre de francophones dans le monde.

      Bien à vous.


    • seespan 23 novembre 2007 11:26

      @ harma

      Appauvri le discourt et multiplié les malentendus, certe car le latin est extrement preçis et avait servis dans le domaine scientifique depuis des siecles, la plus part des termes scientifique avait donc etait créer en latin. Passer a d’autre langue d’une part moins precise et d’autre part n’ayant pas ce bagage de terme scientifique a donc créer des problemes.

      D’un autre coté le temps d’apprentissage pour maitriser le latin etait tellement enorme ( comparer avec l’anglais plus simple et qui pose des problemes a certain scientifique, la j’ai l’exemple de mes prof de fac, car il le maitrise mal ) que je ne vois pas ça disparition comme une perte.

      Une langue c’est pour communiquer, les travails des scientifiques c’est la recherche, pas de passer leur temps a se former pour lire ou ecrire une publication dans un autre langage.

      Nb : avant pour etre medecin tu devais apprendre le latin, ce qui etait certe tres culturel, mais je ne pense pas qu’il soigner mieux a l’epoque. Maintenand la formation est plus accés sur la clinique et le raisonnement scientifique ;


    • hamra 23 novembre 2007 13:42

      taratata....

      do ré mi fa sol la si do....dos à dos ça donne quoi késako ou com ça ? ou et donc or ni car contre qui que quoi et donc par conséquent pourquoi qui que ce soit n’est pas apte à rendre le pourquoi du quoi et expliquer le contenu du QUID ?

      relisez l’encyclopédie universalis et l’histoire de la médecine comment ils (les médecins ) ont dû se battre autant contre l’église que contre des pratiques barbares et leur propre ignorance.

      je vous renvoie également au « Canon » ouvrage d’un médecin environnemental d’un Iranien du 12°siècle et à la tradition des herbiers ou médecine par les plantes.

      peut etre que j’appauvris effectivement le discours : mais les jeux de mots et le théatre de l’absurde : voyez-vous j’en suis vraiment excédée. Et mon objectif était de dissiper tout malentendu sur l’exigence morale nécessaire et la compétence des interprètes sollicités ainsi que la complexité de leur tâche qui demande une réactivité...et une implication dont je vous laisse juge et ce, quelsqu’ils soient.


    • seespan 23 novembre 2007 13:54

      @ hamra

      1 je ne vous est jamais accusé d’appauvrir le discourt. Le point que j’ai mit en avant est que les desavantages liée a la desafection du latin etait largement compensée par les desavantages liée a la difficulté d’apprentissage de cette langue, ce propos s’appliquant a la communauté scientifique.

      2 Je n’ai fait aucun commentaire sur les traducteurs et n’en est aucun a faire.

      NB : Si c’est la preçessision que vous rechercher dans une langue, je vous conseil de vous renseigner sur le lojban.


  • Negravaski 22 novembre 2007 16:48

    Erastel (IP:xxx.x52.0.129, 20 novembre 2007, 10H22) se demande quel intérêt il y a à apprendre l’espéranto. On ne peut l’expliquer qu’en faisant quelques distinctions concernant le champ d’application et le temps.

    Pour ce qui est du champ d’application, l’intérêt de l’espéranto est dans les rapports entre citoyens ordinaires. Pour le moment, au niveau commercial, industriel et scientifique, surtout s’il s’agit d’un haut niveau, l’anglais est nécessaire. S’il est loin d’être idéal, il fonctionne. Malheureusement, son acquisition exige un temps énorme. Au bout d’une scolarité normale, l’élève moyen ne fait que le balbutier, dit Philippe Viallon, professeur de communication à l’Université de Genève, et ce faible niveau est confirmé par d’innombrables études. Or, cela représente entre 6 et 10 années de cours avec entre 3 et 5 heures par semaine. C’est un investissement en effort et en temps totalement disproportionné par rapport à un piètre résultat qui, en plus, se révèle très fragile. Trois ou quatre années sans occasion de pratiquer, et presque tout est oublié. L’espéranto, lui, a un rapport efficacité / coût digne d’intérêt. La revue russe Filolingvia exposait dans son numéro du 18 novembre dernier le programme par lequel la Faculté de droit de l’Université européenne Yousto, à Moscou, donnait à ses étudiants les bases de l’espéranto en 7 jours, bases à partir desquelles l’étudiant acquiert en peu de temps la maîtrise de la langue. Et toutes les personnes qui pratiquent l’espéranto connaissent des jeunes qui, en trois mois, ont acquis dans cette langue une capacité de communication qu’ils n’avaient pas encore en anglais au bout de six ans.

    Pour les personnes qui ont envie d’avoir des contacts avec des gens du monde entier en ne consacrant à l’acquisition du moyen de communication qu’un nombre d’heures raisonnable, l’espéranto est idéal. Qu’on souhaite rencontrer des gens du cru lorsqu’on voyage ou simplement avoir des contacts par courriel, de discuter par Skype, de participer à des groupes de discussion d’ampleur réellement mondiale sans être bloqué par une insuffisance linguistique, l’espéranto est la formule la plus intéressante. Pour des raisons qui relèvent de la neuropsychologie (voir les vidéos http://www.youtube.com/watch?v=zYN7x1TcHrI et http://www.youtube.com/watch?v=ReN_3v-E5Mg, 10 minutes chacune), l’espéranto assure une grande aisance et sécurité au moment où l’on s’exprime et il se récupère très vite après des années sans pratique.

    Quant au facteur temps, il intervient de la façon suivante. Si l’on observe comment communiquent en anglais deux citoyens ordinaires de langues différentes, on relève tous les symptômes de l’aphasie : la communication est frustrante, laborieuse, souvent nulle. L’investissement fait pas les États dans l’enseignement de l’anglais est donc sans rapport avec ses résultats. Or l’expérience prouve que l’espéranto permet d’éviter cette aphasie avec un investissement 20 fois moins important. Par ailleurs, il met tout le monde sur un pied d’égalité, et enlève aux Anglo-Saxons la supériorité qu’ils ont dans tout contact interculturel. Il est donc dans l’intérêt de notre société mondialisée, à terme, de remplacer l’investissement peu rentable par l’investissement très rentable. Bien des signes donnent à penser qu’une bonne partie de la population est en train de découvrir ce fait. La propagation de l’espéranto se faisant à un rythme de plus en plus rapide, en grande partie grâce à Internet, il est raisonnable de penser que le moment n’est pas si loin où les instances dirigeantes en tiendront compte. Beaucoup de gens, surtout dans les milieux riches de Grande-Bretagne et des États-Unis, envoient leurs enfants dans des écoles où ils apprennent le chinois, parce qu’ils prévoient que ce sera la langue à savoir d’ici une ou deux décennies. Il n’est pas forcément plus bête de se mettre dès aujourd’hui à l’espéranto, d’une part, parce que c’est amusant et que les progrès sont rapides, et d’autre part, parce que la probabilité qu’il aura un statut officiel d’ici quelque temps n’est pas si faible qu’on le prétend dans certains milieux, où personne n’a étudié le dossier. Dans l’industrie, quand une firme applique un procédé qui permet de grandes économies et de meilleurs résultats, tant quantitatifs que qualitatifs, les concurrents s’empressent de se procurer les brevets nécessaires pour l’adopter. Ou tout au moins ils font une étude pour déterminer ce qu’il en est exactement. Une firme qui rejette sans s’être documentée sur ce qu’elle rejette a peu de chances de résister à la concurrence. Rien ne permet de dire que cette rationalité évidente ne sera jamais appliquée au domaine de la communication linguistique.

    En ce qui concerne la précision, je dirai que l’anglais fonctionne, mais que l’espéranto fonctionne mieux. Le résultat, sur ce plan-là aussi, est bien mieux proportionné à l’investissement. Des ambiguïtés comme more accurate information (« des informations plus exactes » ? « davantage d’informations exactes » ?), the amendments to the draft resolution submitted by the Government of India (qu’est-ce que le gouvernement indien a déposé, les amendements, ou le projet de résolution ? en l’occurrence il s’agissait des amendements, mais le traducteur a mal interprété), a homeless lawyer (« un avocat SDF » ? « un avocat qui défend les SDF » ?) a cold remedy « un médicament qui donne une impression de froid » ? « un médicament contre le rhume » ?) SLOW CHILDREN (« Ralentissez, il y a des enfants » ?, « Attention ! Enfants retardés mentaux » ?). L’espéranto évite toutes ces ambiguïtés, comme il évite la difficulté de percevoir si un Japonais ou un Coréen dit third ou first, mots extrêmement difficiles à prononcer pour un habitant d’Asie orientale. Je le sais, j’y ai travaillé.

    Enfin, ramener la vaste problématique de l’intercompréhension au cas de cadres ou d’ingénieurs de firmes discutant avec des Chinois, Japonais, Coréens ou autres Vietnamiens de même niveau revient à nier l’ampleur des difficultés réelles. Les situations où le handicap linguistique est gênant sont de tous les instants et touchent toutes sortes de secteurs de la population. Réfugiés ; travailleurs migrants ; police ; malades, médecins et personnel infirmier ; commerçants ; jeunes profitant des facilités qui leur sont faites pour parcourir le monde ; europarlementaires ; sportifs participant à des compétitions continentales ou mondiales ; étudiants ; touristes et d’innombrables autres groupes de citoyens ou d’étrangers ont à souffrir des inconvénients du régime linguistique actuel, qui n’existent pas dans le monde espérantophone. Il serait donc facile de les éviter. Il suffirait d’une volonté politique d’informer objectivement et de recommander l’étude de l’espéranto à tous, ce qui équivaut à y consacrer chaque jour pendant trois mois moins de temps que ne demande un sudoku ou un mots-croisés.


    • seespan 22 novembre 2007 20:18

      @ lymb

      « Esperantulo, c’est bien la première fois qu’on parle de moi comme d’un doux rêveur... J’ai jamais prétendu avoir une grande connaissance scientifique, cela ne m’empeche pas de m’y intéresser. Toutefois, je ne vois pas le rapport avec le sujet qui nous occupe »

      Lymb tu connais noam chomsky, un des points qu’il repete souvent a propos des campagnes electorales americaines et que les sujets qui ont une impacte sur la vie des americains n’y sont pas traités. La raison etant que les campagnes se deroule a coup de spot publicitaire, il est impossible de traiter sur un format de cette longeur un sujet complexe. Les campagnes sont donc organisé par les meme personnes et par les meme techniques servant a vendre du tube dentifrice. Si tu veus avoir une opinion sur un sujet complexe il faut minimum deux heures ( et c’est abregé ).

      Or l’esperanto, ses avantages inconvenient et implantation sont un sujet complexe et extrement chargé emotionnellement. Convaincre quelqu’un de son utilité sur le format du post est impossible par contre convaincre de son inutilité est relativement facile.

      Les etudes scientifiques sur l’esperanto :

      - le role propédeutique de l’esperanto, a savoir que le temps passer a aprendre l’esperanto est compensé par le temps qu’il fait gagner dans l’aprentissage d’une troisiéme langue.

      - Le rapport capacité d’expression / temps d’aprentissage , favorable d’environs un facteur dix par rapport à l’anglais pour un européen, et de cinq a huit pour un non européen.

      - le cout economique du tout anglais, pour les pays non anglophone de l’europe.

      on etait faite a plusieur reprises dans le cadre rigoureux d’un protocole scientifique.

      Des etudes desaprouvant l’un de ses points n’existe pas. Concernant asp tu peus verifier qu’il t’assene des verités sans apporté d’autre preuve que leur apparente vraisemblance. Ce qui peut etre assez convaincant, regarde des debats entre creationniste et scientifiques, tout les arguments scientifique et etude sont d’un seul coté ce qui n’empeche pas les creationnistes de contre argumentés a longeur de debat et de repartir aussi convaincu qu’il etait arrivés.

      Suivant l’avis de chomsky si tu veus avoir une idée objective de l’esperanto tu devras verifier les sources par toit meme et y passer un minimum de temps.

      Une source simple d’accés le rapport grin

      http://cisad.adc.education.fr/hcee/documents/rapport_Grin.pdf

      Titre :L’enseignement des langues étrangères comme politique publique

      Tu pourras verifier que

      1 Le haut conseil d’evaluation de l’ecole est une organisation tout a fait fiable, et ne dependant pas d’une organisation esperantiste ( ou alors t’aime vraiment vraiment les complots )

      2 Demande a n’importe lequel de tes enseignants possedant un doctorat, il te confirmerat que cette etude à etait redigée de maniere non biaisé et n’est aucunement un document de propagande.

      Ou tu peus ecoutés asp qui de son aveux meme n’a aucune formation scientifique (il est plus dans la finance si je ne me trompe. Ce qui est tout a fait respectable mais ne donne pas autorité pour juger un tel document), mais te diras :

      - que ce document est l’oeuvre de propagandiste fanatique

      - ne prouve rien

      - ne merite pas qu’il perde sont temps au combien preçieux a le lire quand il a des choses d’une bien plus grande importance a faire. Ce qui semble etre en l’occurence trouver des arguments contre l’esperanto.

      - que de toute façon les choses ont toujour tres biens marchée comme elles etaient et que seul des esprit chagrins et particullierement desoeuvrés affirme le contraire. Argument faciles les scociétées foedals marchaient aussi tres bien ( comme tout systéme en equilibre ).

      Ect ect ect

      Ensuite fait comme tu veus c’est ta vie pas la mienne, et que tu penches d’un cote ou de l’autre avec l’esperanto n’auras a mon avis pas beaucoup d’impacte sur le deroulement de ton existence. Comme le fait de pencher plutot contre ou pour le systéme metrique n’a pas beaucoup d’influence sur la vie d’un americain. C’est plus le proçessusse qui te fais pencher d’un coté ou de l’autre qui compte. Etre plus influencé par les faits ou le style .


    • hamra 22 novembre 2007 20:26

      le bras de fer entre le français et l’anglais !!!!!!!!!!

      I (aïe)....aïe aïe. ça dérouille : l’égo en prend pour son grade ! en français c’est i. le cri s’apprécie différemment. dans les deux langues il signifie je. Et il est associé à la douleur.

      je crois qu’on a sous-estimé les acteurs de la mondialisation.

      le conflit conceptuel de base sujet/objet : qui est le propre du dialogue.

      restons en pour l’instant au français, pour ma part j’appécie grandement ce dernier commentaire : l’espéranto peut etre demain je ne sais pas. Et je préfère prendre mon temps pour le découvrir.


    • Fanfan la tulipe 22 novembre 2007 20:50

      bonsoir negra : bon mon petit point de désacord, on ne sait pas ce que serat fait donc il n’est pas possible d’affirmer l’avenir de l’esperanto de manière absolue mais il est possible de le penser, mais te connaissant depuis un certain temps, je sais que t’a langue à un peu fourché la dessus

      par contre il est vrai qu’il soit possible qu’une revolution d’une taille pour l’instant inconnu vers le chinois soit en train de se produire dans les pays anglos saxons, cette information je l’avais eut dans un article du monde en juin dernier je crois et cet article montrait un changement important dans l’éducation des langues, presque une revolution, maintenant on verrat ce que cela donne,


    • Fanfan la tulipe 22 novembre 2007 21:06

      oui le principal argument aspien et qui est le seul qui soit vrai est de l’inutilité actuelle de l’esperanto dans le monde professionel et cela aucun esperantiste ne le ni, par contre il ne mentionne pas son utilité pour sa culture personelle ;

      comme je l’ai dit ,le monopole de l’anglais, ne permet pas de faire une comparaison avec d’autres moyens de communication

      microsoft aussi à le monopole et en habuze souvent mais recemment, en fait depuis un an les logiciels gratuits (pas que les logiciels libres) de google et autres sont en train de commencer à attaquer le monopole microsfoft (info venant de BFM d’aujourdhui), donc il se prepare dans un avenir proche un remaniement au niveau logiciel

      repartons sur l’esperanto, le fait qu’il soit libre economique et surtout gratuit par l’internet lui permet de concurrencer de maniere potentiel le monopole anglais (remarque c’est la seule langue qui soit capable de le faire actuellement), il suffirait un certain nombre de oubs de marketing bien placer dans des leiux strategiques d’information pour montrer cette alternative à l’anglais

      par contre si cela se ferat et dans combien de temps, je n’en sais absoluement rien, après aux personnes de choisir, moi j’ai choisi la cohabitation anglais et esperanto actuelement, et j’en suis pas encore mort.


    • seespan 22 novembre 2007 21:15

      @ fanfan la tulipe

      Comme disait piron, l’esperanto souleve un buzz tout les 20 ou 30 ans puis retombe dans l’oublie. Cette fois avec la conjonction, internet + probleme l’inguistique dans l’europe + ( voir si ça ce maintient ) baisse de l’importance strategique US, la donne a de bonne chance d’etre differente.


    • Hermes esperantulo 22 novembre 2007 21:20

      à enfin avec mon vrai pseudo

      a seespan oui il y a eu la periode chinoise, puis la periode amerique du sud, us, et maintenant internet avec entrée en afrique et pays arabes, mais comme toujours un rien suffit à tout changer


    • Asp Explorer Asp Explorer 22 novembre 2007 22:27

      Un buzz sur l’espéranto ? Une douzaine d’agités du ciboulot qui découvrent internet dans « le web pour les nuls » et se disent brutalement « tiens, si on faisait notre pub là-dedans, ça coûtera moins cher que de mettre des affiches ».

      Quand je dis une douzaine, c’est parce que j’ai fait des recherches sur le web francophone pour voir qui parlait d’espéranto sur les forums. Quand c’est pas Skirlet, c’est Masson, quand c’est pas Masson, c’est Krokodilo ou Esperantulo. Ils sont une douzaine au plus. Et il y a aussi un rigolo qui poste sur tous les forums qu’il trouve « Je cherche un autre espérantophone en Tunisie, y’a quelqu’un ? ».

      Un buzz ? Une tentative pitoyable de faire monter une sauce gâchée depuis longtemps. Une tentative dont la maladresse est illustrée par la récente bévue multipseudotatoire de masson/vendredi. Une maladresse qui se lit encore dans la navrante insistance du groupe espérantiste à faire de la retape pour le wikipedia espérantiste, dans le but de faire dépasser la barre fatidique des 100 000 artikoloj et de se classer enfin dans la cour des « grandes langues » (égalant ainsi le très mort volapük, dont les rarissimes militants ont tout de même réussi à fabriquer 112799 articles, allez savoir comment). Et tout ça pour quoi, pour pouvoir s’écrier joyeusement sur les forums et dans les lettres forcément confidentielles de la Communauté : « Youpij, grande victoire, vikipedio dépasse les 100000 articles, voyez comme l’espéranto est à la mode, les djeuns des cités s’y mettent ! ».

      Pathétique.


    • Asp Explorer Asp Explorer 22 novembre 2007 22:28

      J’oubliais dans ma liste : il y a aussi Wang et Asphodèle qui sont actifs. Et c’est tout.


    • seespan 22 novembre 2007 22:36

      @ asp explorer

      Pour le volapuk tres simple, les volapukistes allemands ont utilisé un system de traduction automatique pour traduire les articles allemands. Par pour essayer de faire revivre le volapuk mais comme simple exercice intellectuel. C’est pour ça que le taux de changement des articles ( nombre de fois ou il y a une modification ) est de zero.

      Pour le reste j’ai deja eu une discussion a ton sujet avec esperantulo. Tes arguments sont toujours le meme et franchement m’ennuis ( bien vue sur le volapuk cependant, toujours autant de temps a perdre a chercher des arguments anti esperanto et un projet d’occupation que tu jugerais constructif non ? c’est ce que je pensais ).

      Je prefere encore damien west au moins de temps en temps un truc marrant . Dernierement c’etait ça copine ex star du porno.


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