samedi 28 février 2009 - par infoslibres

Croissance-Décroissance et qualité de vie : Avoir plus ou avoir mieux ?

Après une longue période de croissance importante, nous vivons une période de décroissance dont nul ne connait la durée ni l’issue. Faut-il continuer à accumuler plus de richesse au détriment de notre qualité de vite ? Ou au contraire, partager les richesses pour améliorer notre qualité et notre niveau de vie globale avec des richesses moindres ?

Introduction

En 2009 la France, comme de nombreux autres pays, selon les estimations actuelles, devrait connaitre une décroissance d’au moins 2%. Conséquence d’une crise financière sans précédent, inadmissible car évitable.

Les financiers auraient du faire l’objet d’un minimum de contrôle de la part des instances de surveillance et de l’État.

En effet, les principaux coupables sont bien les financiers qui en montant des produits opaques et arnaqueurs, pour un profit maximum et immédiat, au détriment de la collectivité.
Les États ont également leur part de responsabilité, car ils ont laissé faire sous prétexte de liberté de marché.

En conséquence, l’année 2009 va voir remonter dramatiquement le nombre de :

  • Chômeurs.
  • Travailleurs précaires.
  • Sans logis.
  • Et la misère sous toutes ses formes.

Il en sera de même :

  • Des tension internationales.
  • De la faim dans le monde.
  • De l’asservissement des populations humaines, fragilisées et désespérées.

Historique

La période de croissance de la France

Pour ce qui est de la France, notre pays a connu une croissance quasi ininterrompue depuis plus de 60 ans.

Cette croissance a débutée par le redressement du pays à la fin de la seconde guerre mondiale. Elle a permis, jusqu’au début des années 1970, une réelle et efficace amélioration du niveau de vie général des Français.

La qualité de vie s’est améliorée par :

  • L’hygiène (distribution de l’eau courante, salle de bain,WC…).
  • La santé (alimentation abondante et variée, sécurité sociale, vaccination, hôpitaux, accès aux soins pour tous…).
  • L’accès au modernisme matériel (logement plus spacieux, électroménager…).
  • Le développement des transports (réseaux ferrés et routiers, aviation, automobile…)
  • Le développement des communications rapides (radio, télévision, téléphone, informatique…).
  • La démocratisation des loisirs (vacances d’été et d’hiver, sport, culture…).

Dans le même temps la misère a significativement reculée :

  • Disparition des bidons villes en périphérie des grandes agglomérations.
  • Quasi disparition de la mendicité (en dehors de quelques marginaux).
  • Le plein emploi avec un taux de chômage autour de 3%.
  • L’écart entre les plus riches et les plus pauvres s’en est trouvé réduit.

Nous pouvons donc conclure que cette croissance a été répartie sur toutes les couches de la population et plus particulièrement sur celle qui en avait le plus besoin.

La progression des inégalités

Hors depuis 1973 (premier choc pétrolier), malgré une croissance quasi permanente, nous constatons un recul, lent et continu, de toutes les améliorations réalisées les décennies précédentes.

Il y a également un retour croissant des facteurs de misère :

  • Chômage.
  • Précarité.
  • SDF.
  • Baisse des salaires.
  • Érosion du pouvoir dachat.
  • Diminution, suppression des avantages sociaux.

Le modèle mis en place après guerre ne fonctionne plus, la répartition ne se fait plus, la croissance profite essentiellement au plus riches.

Cet état risque fortement d’empirer et de s’accélérer en 2009 à cause de la crise économique que nous subissons.

Se poser les bonnes questions

Dans le même temps nous avons hypothéqués les ressources et l’équilibre de notre planète par :

  • Le pillage des matières premières.
  • La déforestation.
  • Les pollutions industrielles.
  • Les pollutions agricoles.
  • Le réchauffement de la planète.

Il est peut-être grand temps de se poser quelques questions afin de construire un avenir plus juste et plus durable.

Devons-nous et pouvons-nous continuer sur ce modèle qui aujourd’hui engendre la misère et la dégradation de notre planète limitée ?

La première question à se poser pour mieux comprendre les tenants et aboutissants n’est-elle pas : à qui profite le crime ?

Si nous analysons la masse économique totale, celle-ci se situe dans les mains d’une minorité : environ 10 à 20% de la population possède plus de 80% des biens.

N’est-il pas possible d’envisager une autre société où la qualité de vie et le partage prendrait le pas sur la croissance infinie et l’individualisme le plus cruel ?

En effet, remplacer une croissance qui profite principalement aux nantis et ses aspects négatifs, par une juste répartition du travail et des revenus dans le respect de l’environnement et des qualités humaines.

Solutions

Contrairement à ce que l’on pourrait penser cette façon d’aborder les choses n’est pas utopique. Actuellement l’utopie est du côté de ceux qui pensent que la croissance productive et consommatrice, voire destructrice, est illimitée et est applicable à l’ensemble de la planète.

Les ressources et matières premières non renouvelables sont en forte décroissance et les capacités de production agricole ont également des limites, les OGM ne feront pas de miracles.

Pour maintenir globalement notre niveau de vie et améliorer celui de ceux qui en ont besoin, il va falloir réfléchir à une gestion respectueuse des ressources et à une répartition équitable des biens et des revenus.

Cette gestion devra avoir une économie dynamique et efficace basé sur l’intérêt commun des individus et de l’environnement.

Il convient de penser aux répercutions à long terme de ce qui se décide maintenant. Et et de se demander à qui et à quoi profite chaque décision :

  • Au niveau de l’individu.
  • De la collectivité communale.
  • De la collectivité régionale.
  • Du pays.
  • De la planète.

Toutes les décisions et actions doivent profiter au plus grand nombre.

A moyen et long terme ce qui profite principalement à un individu ou à une multinationale ne peut être que négatif pour le plus grand nombre.

Les acteurs

Les nouvelles règles de comportement doivent être mises en place par les gouvernements et par des accords internationaux.
Même si cela paraît difficile, l’individu peut être un consommateur responsable et un électeur averti. Et ainsi jouer un rôle loin d’être négligeable.

La répartition peut passer par une fiscalité volontariste progressive et directement proportionnelle aux revenus dégagés.

De même si l’on peut considérer que l’équivalent d’un patrimoine moyen puisse être transmis en franchise fiscale. Au-delà une taxation progressive doit s’appliquer car aujourd’hui cette répartition n’existe plus.

Par exemple, en France il est autorisé de transmettre par donation, hors impôt, 151950 € par parent pour chaque enfant tous les 6 ans. Soit pour une famille de 3 enfants la somme de 911700€ tous les 6 ans.

L’équivalent d’environ 70 années de travail pour un smicard.
L’employé moyen n’est donc pas concerné par une telle défiscalisation.

En France, on naît riche ou, pour le plus grand nombre, pauvre et on le reste.

Le brasage et l’ascenseur social :

  • Par le travail.
  • Par la compétence.

ne fonctionnent pratiquement plus.

De plus avec le bouclier fiscal plafonnant l’impôt à 50%, les augmentations d’impôts ne s’appliquent plus aux plus riches (voir l’exemple du prélèvement social de 1,1% pour financer le RSA et des impôts locaux).

Conclusion

Nous devons réfléchir d’une manière globale, pour avoir mieux sans avoir forcément plus.

En répartissant l’ensemble des ressources de façon « égalitaire », toute l’humanité vivrait mieux et les populations a revenus moyens maintiendraient leur qualité de vie actuelle.

L’humanité est-elle capable de construire un monde où l’humain passe avant la finance ?
Où la qualité de vie prime sur l’engrangement des bénéfices ?

Compléments d’information



40 réactions


    • gimo 28 février 2009 13:42

       n’importequoi la qualité n’est point de croissance qui bien souvant sert les même riches 
      croissance zero c’est ce quil faut pour vivre bien .. !


    • gimo 28 février 2009 14:32

      à arthur la croissance zero en économie c’est de produire sans excès pour vivre bien
      car tout ce qui est débordement n(est pas bon
      la croissance ne donne pas forcement des emplois en 1949 oui pas maintemant c’est l’argent
      pour faire de ’argent on voit ou en n’est la société 
      en économie ce ne doit pas être ton fort arthur.. !!!
      cordialement


    • Francis, agnotologue JL 28 février 2009 16:07

      Cette idée reçue que ""il ne faut pas croire, par exemple, qu’on augmentera l’espérance de vie sans croissance. "" témoigne de la pauvreté des arguments des thuriféraires du PIB.

      Les Américains dont le poids moyen doit être supérieur d’une vingtaine de kilos sur la balance à celui des Français crèvent autant de leur propre PIB que les pauvres du Sud qui n’en pèsent pas la moitié, meurent pour ce même PIB.

      Et je ne parlme pas des pollutions en tous genres inhérentes à cettre sacro sainte croissance. L’argent a remplacé dieu dans l’imaginaire occidental : aujourd’hui on pensait que "quand dieu existe, tout est permis". Avec la crise, va-t-on dire que dieu-crédit est mort ? Ce serait une bonne nouvelle ! Et que meurent avec lui les entreprises les plus polluantes !


    • gimo 28 février 2009 18:00

      @ arthur
      le fruit même de la croissance. Sont-ce les riches qui vous l’ont donné ? 1
      nous attaquer aux nantis sans foi ni loi qui éventuellement persisteront à nous 2

      désolé tu dis la chose et son contraire !!!
      la croissance c’est pas un concept .. !!mais une réalité c’est produire pour les besoins nécessaires
      avec intelligence ré-sonnées
      sans gastillage sans polluer et mieux profiter des biens faits
      et non pour anrechir les voleur parasites que tu appeles les riches
      et ne nous donne rien comme ... !!tu dis au contraire ils profitent de la croissance qui est un surplus
      mal redistribuer alors tu vois la croissance tu dois pas connaître bien avec ton histoire de ""robinson""
      attention ARTHUR à la schizophrénie ?
      les riches ne donnent rien et c’est pas grâce à eux
      que le progrès et le développement a été fait mais par la classe ouvrière mal payée par les riches
      ils ont fait que profiter exploiter les richesses produites la croissance à 5% c’est un leurre
      aujourd’hui la saturation des produits est arriver à son comble.tout le monde à une tv un frigo etc..etc
      De la la surconsommation du gaspillage
      des produits pour donner un semblant de croissance et du travail c’est un leurre.. !!
      une exemple l Espagne AVAIT 10% de croissance tirer par le BTP parce que elle etait en retard sur les autres payes d’Europe et aujourd’hui elle est dans la dette la plus monumentale possible avec une inflation des appartements de plus de 10 fois PLUS sur le prix par rapport à des années 1985 1990 soit 1000%
      des appartements vides des gens sans travail pourquoi.. !! la croissance ne les a pas rendu plus riche
      mais les riches sont plus riches encore tu vois ARTHUR poster sur avox c’est bien
      mais savoir c’est mieux !!!!! aller ... !! j’arrête

      CORDIALEMENT


    • gimo 28 février 2009 19:40

       pardon ..
      j’ai oublier de mettre ( zero)  !!la croissance (zero)c’est pas un concept .. !!mais une réalité c’est produire pour les besoins nécessaires
      avec intelligence ré-sonnées


    • gimo 28 février 2009 19:48

       j’ai oublier de dire que
       
      il reste a inventer d’autres (travail/aux) emplois plus intelligents à des produits plus
      sérieux non polluants  !!exemple plaques solaires !! chauffages solaires le bio !! etc etc.. !!
      voire autre utiles et propres


    • Romain Desbois 28 février 2009 20:44

      je crois que le débat est faussé si l’on parle de décroissance. Je pense qu’il serait plus juste de dire que les décroissants sont pour une altercroissance ! (comme les anti mondialiste se sont renommés altermondialistes, plus audible).

      Le premier pas de l’altercroissance est la fin du gaspillage. Puis il faut privilégier la croissance du bien être en commençant par le plus démuni (pour faire court).

      Notre économie est fondée sur le superflu avant l’essentiel, ce qui creuse les écarts entre les plus pauvres et les plus riches

      Débat intéressant et de plus en plus d’actualité


    • Croa Croa 28 février 2009 22:22

      L’outil est né du progrès technique... Aucun rapport avec la croissance !

      Les riches ne donnent rien car ils veulent tout. Ils ne contrôlent pas encore l’outil...Profitons-en ! smiley 


    • gimo 28 février 2009 23:04

       @croa  
      voila un qui est pas con bravo la corneille sans ironie bien
      sa fait plaisir 


    • gimo 28 février 2009 23:45

       en 197.0 en Espagne j’ai une ami qui avait acheter un tres bon appartement de 5 pièces en plein ville de valencia avec la mer compris a 30 mint pour.100.000 pesetas soit en gros 700 € le prix d’une TV plasma Aujourdhui cet apparte c’est 300.000 € c’est 400 fois plus soit 4000 pour cent
      MËME avec une inflation à 10 % par année 1970 à 2009= 39 années soit à 10% =390 %
      alors pourquoi cette abyssale différence 3600 POUR CENT l 1..euro 2.. l’Europe3..la croissance
      à 10 pour cent la croissance rend les pauvres plus pauvre et les riches plus riches 
      salut


  • jjwaDal marcoB12 28 février 2009 13:22

    Peut-être aurait-il fallu sans tenir au titre et développer...
    Par ex avec une meilleure isolation de la maison on peut profiter
    du même confort en économisant un tiers de la facture de chauffage.
    Par ex on peut se déplacer en automobile en économisant 2/3 de l’énergie
    actuellement gaspillée dans des véhicules de même volume et capacités
    routières, mais en utilisant massivement les composites (fibres de carbone
    par ex) et avec un moteur électrique et des batteries.
    Dans les deux cas, service reçu identique mais décroissance de la consommation
    énergétique et du coût du service à terme.
    Quelle décroissance et de quoi et au service de quel projet ? Voilà un sujet
    que j’aurais préféré voir développé plutôt que des généralités.


    • plancherDesVaches 28 février 2009 14:27

      Marcob12
      Poser les généralités n’est pas plus mal, car c’est la base. Aprés, on creuse les détails.

      Coté croissance, il est vrai que cette "croissance indispensable" est uniquement bénéfique à ceux qui jouent sur les effets de leviers pour tirer du profit. Soient les banquiers et gros possesseurs d’une fortune qu’ils n’utilisent jamais complètement (ou pour des excés) avec la seule satisfaction d’avoir plus que les autres.

      Revenir à un mode de vie normal ne nous fera pas de mal, non plus : on sera moins intoxiqué par la télé.


  • Arconus 28 février 2009 14:38

    Quand vous allez acheter une machine à laver, la garantie normale est de 2 ans, et vous devez payer pour la faire passer à 5 ans. Qui la paye ? Ceux qui ont les moyens, donc ceux qui pourraient aussi plus facilement assurer une réparation une fois passés les 2 ans.
    Une vraie politique de décroissance, ça serait par exemple que la loi impose pour une machine à laver une garantie de 10 ans, durée d’utilisation qui serait totalement normale étant donné l’investissement de départ. La machine serait sans doute plus chère à l’achat, mais largement plus économique sur la durée. On consomme moins, on pollue moins, et on s’y retrouve à la fin. Et surtout, en dépensant moins, on peut se permettre de gagner moins, et pourtant vivre mieux.
    L’exemple de la machine à laver pourrait être étendu à beaucoup de choses. Mais les fabricants seraient bien en peine s’ils ne pouvaient plus nous refiler leurs nouveaux modèles de plus en plus vite, car eux perdraient leur relai de croissance dont ils ont tant besoin (ce qui se passe dans la téléphonie est ainsi sans doute la plus belle démonstration de l’absurdité de cette façon d’inciter à la consommation).
     


  • Marco Marco 28 février 2009 19:02

    Cela ne se pose pas en ces termes là...

    Le premier problème à régler sur cette planète, c’est celui de la démographie, il y a bien trop de personnes sur cette terre, et si on devait tout leur fournir un cadre de vie adéquat (alimentation, logement, route, médecine, égouts, eau, électricité etc.) et bien ca ne serait pas possible il y a pas assez de ressources naturelles pour répondre à la demande, de plus l’accroissment de population n’engendre que des problèmes en matière sanitaire, d’écologie et de violence.

    Donc le vrai problème c’est celui de la démographie, tant qu’on aura pas régler ce problème, inutile de se poser d’autres questions car tout en dépend.

    Alors oui à la décroissance de la natalité !


    • gimo 28 février 2009 20:24

      @ marco
      non marco c’est pas la démographie car 6 MILLARDS de personnes c’est facile de dire ça désolé
      c’est rien c’est 10% DE LA SURFACE de la planète le vrai pb c’est le gaspillage fait justement par cette mer.... de croissance qui profite toujours riches voleurs
      qui à léchelle de la société en France piller par les riches

      Ele est de même sur le monde sur les richesses  des matières premières piller 95 % par 40% DES pays riches et rien pour les autre pays 60%
      CAR SUR LA Planète il y a largement pour tous et pour longtemps* en place et en matières premières 
      LE VRAI  !! PB  le pillage et le gaspillage des pays riches .. !! pas la démographie

      longtemps* si le pillage s"arrête si non c’est le chaos 


    • gimo 28 février 2009 20:49

      à marco

      pardon j’ai oublier de mettre les énérgies nouvelles mieux que le petrole et gaz ( le solaire)
      la plantation des arbres des vegetaux et autres la terre a moult richesses et decouvrire et a faire

       SI IL Y A DES PAUVRES SUR CETTE PLANETE CE N EST PAS LES RICHESSES QUI MANQUES
      MAIS DE LA CONSCIENT HUMAINE QUI FAIT DEFAUT AUX POURRIS DE CETTE PLANETE QUI PLILLENT LES RICHESSES

      LES PAUVRES SONT PROVOQUES  VOULU PAR LES PAYS DEVELOPPES par les subventions et autres statèges qui fasse les marchés et QUI METTlENT Des guignols dictateurs installer qui travailent pour eux en ruinant
      leurs peuples

       exemple pour l’Afrique 
      c’est le vase communiquant tout d’un côté et rien de l’autre 
      la terre est belle dommage !! qu"il y a des cons qui l habitent !


    • Marco Marco 1er mars 2009 01:15

      Ce n’est pas un problème de surface mais de ressources naturelles disponibles.

      On ne pourra pas fournir à plus de 6 milliards de personnes de l’eau potable, de la nourriture, de l’électrcité, des logements,des égouts, des stations d’épuration, des soins médicaux, des routes, des moyens de transports, des écoles, des hopitaux etc.)

      Ca me parait tellement évident de dire ça que le nier c’est purement de l’idéalisme délirant et un manque total de pragmatisme.


    • antyreac 1er mars 2009 11:56

      Mais si mais si

      mais ce n’est pas avec des idées comme toi qu’on y arrivera


    • antyreac 1er mars 2009 11:57

      les tiennes


  • hunter hunter 28 février 2009 19:14

    @ Marco,

    Vous avez tout compris merci. J’ajouterai aussi que la natalité doit aussi décroitre dans nos pays dits "développés", car il existe une certaine tendance à dire que ce sont les "autres" qui ont trop de croissance démographique ! (je l’entends tous les jours)
    C’est bien comme vous le dîtes, un problème planétaire, auquel tous les habitants doivent contribuer, quel que soit le pays qu’ils habitent.

    Cordialement

    H /

    PS : j’ai personnellement choisi de ne pas avoir d’enfants il y a bien longtemps, ce qui m’a valu de perdre l’amour de ma vie. Mais question d’honnêteté intellectuelle, ce que je pense, je me l’applique d’abord à moi-même.


  • Kalki Kalki 28 février 2009 19:17

    Qualité de vie ?

    On peut penser que cela va décroitre ?

    C’est fort possible au sens absolue.

    Mais est ce que tout ceci :
    en fait les besoins, l’assouvissement, le bonheur, le consumérisme et le matérialisme ...

    Ce ne sont que des Vues de l’esprit, des projections selon notre sensibilité et nos schéma mentaux.

    Le temps est relatif, il l’est aussi dans notre perception. Les choses peuvent se passer plus ou moin vite, on peut avoir besoin de plus ou moin de temps.

    De même pour les besoins ... pourquoi ne pas revenir à l’"essentiel’" ?

    Dans notre système  on nous à privés de nos libertés, on nous a privés du "Pouvoir" Politique, Economique, Morale (liberté de penser et d’etre soi meme)..

    Une des solutions c’est reprendre cette liberté qu’on nous vole.

    Ils nous transforment en mouton, en nous volant notre liberté économique et il nous laisse une liberté dans notre vie privé ( et encore cela est en train de changer, avec les envies des nouveaux tyrans).

    Reprenons notre liberté d’entreprendre ENSEMBLE, pour vivre et nous accomblir tous les jours.

    Espoir : L’autogestion, la liberté économique


    Sur agoravox TV.


    OCCUPER. RESISTER. PRODUIRE. À la suite de la crise économique argentine de 2001, trente ouvriers au chômage dans la banlieue de Buenos Aires occupent leur usine abandonnée par les patrons et refusent de la quitter. Ils demandent le droit de faire repartir les machines, de reprendre le travail.

    	 Espoir : L’autogestion, la liberté économique

    OCCUPER. RESISTER. PRODUIRE. À la suite de la crise économique argentine de 2001, trente ouvriers au chômage dans la banlieue de Buenos Aires occupent leur usine abandonnée par les patrons et refusent de la quitter. Ils demandent le droit de faire repartir les machines, de reprendre le travail.

    L’autogestion, c’est possible !

    L’autogestion d’une usine par ses ouvriers. La mise en coopérative de près de 200 entreprises en Argentine, de l’emploi pour 15 000 personnes avec de vrais salaires, une productivité croissante, c’est possible !



    • gimo 28 février 2009 21:28

      KALKI 

       VOILA UNE PERSONNE QUI FAIT AVANCER LE PB et fait plaisir malgrè des ignorants sur vox
       j’ai déjà vu ce filme il y a un an sur  arte 
      c’est un exemple  tout et a refaire sur cette planète
      quand je vois des eleveurs de porcs se faire tondre de 0.80centines payer au k  !!!à eux 
      par les hypermarchés et le revendre à 5.€ voire 7 € le k .. voire plus 

      je pense qu’ils auront intérêt a faire une coope à eux pour vendre leurs viandes eux même
      et gagneraitent bien leurs vies et de meilleur qualité et le consommateur aussi ...
      bref faut renverser ce systeme de M....... OU TOUS EST MALADE par des requins plein à crever par le fric
      c’est pas compliqué davoir des idées  m.errrrrrrrrrrrrrrr...........


  • idyllique 28 février 2009 19:53

    Chaque être humain doit prendre conscience qu’il a un rôle primordial pour détruire les prisons mentales dans lesquelles on nous a tous enfermés : religions, cultures, crétinisme, productivisme soit un capitalisme destructeur de vie et de bonheur.
    A commencer par avoir transformé les femmes en pondeuse : 7 milliards d’êtres humains qui souffrent chaque jour d’être nés dans un monde qui permet à une minorité de produire des aliments pollués de produits chimiques qui empoisonnent , détruit la santé et nous tuent de plus en plus tôt (voir les stats de l’explosion des cancers dès l’enfance et dont plus 50% sont dus à un environnement et alimentation pollués.

    Il semble évident qu’il faut mener une politique dénataliste, et enclancher la culture biologique, revoir les modes de fabrication des matériaux et obliger les usines à dépolluer avant de rejeter dans l’environnement leur saleté.
    Aucune famille n’est épargné par les maladies dites de civilisation ! Il est temps de se réveiller et réfléchir à que l’on balance dans nos chariots le samedi ! Acheter BIO ; faire une cuisine simple et de réclamer une vie bio (envoyer des mails aux directions des carefours, rungis, gouvernement rejoigner les associations ! )
    Si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour vos "chers" enfants et petits enfants !
    Croyez-moi c’est pas drôle de voir mourir un enfant ... à l’hôpital à cause de nos autismes de politique de l’autruche
    Nous sommes tous coupables !


    • jjwaDal marcoB12 28 février 2009 21:24

      D’accord avec vous sur l’essentiel, mais je pense utile de rappeler que si on donnait
      accès aux techniques modernes de contraception à toutes les femmes de la planète
      le problème de l’exédent de natalité serait résolu. On ne peut exiger d’êtres humains
      une abstinence dont nous sommes incapables pour la plupart...
      Par ailleurs, même si un occidental moyen est dix fois plus néfaste qu’un habitant du
      3/4 monde pour "la planète" nous faire hara kiri n’y change rien. C’est notre mode de
      vie qui est à revoir entièrement (entièrement d’accord avec vous sur ce point, mais je le
      vis déjà, ça aide), car c’est notre modèle qui s’impose aux autres que nous le voulions ou
      non. Oui aussi pour revoir l’agriculture et les matériaux qui nous environnent.
      J’ai connu une petite fille morte d’une tumeur au cerveau (dans une autre vie) et je comprends
      ce point de vue. Mais la culpabilité n’est pas équitablement répartie, croyez-moi...


    • antyreac 28 février 2009 21:38

      Ca y est idyllique et femmes pondeuses c’est une obséssion

      Non les femmes ne sont pas des pondeuses ce ne sont pas des poules où autres volatilles

      Un peu de considérations pur le genre féminin


    • Marco Marco 1er mars 2009 01:02

      Ce n’est pas simplement un problème de contraception mais aussi un problème cutlurel.

      Autre point important, l’homme a amené un mode de vie qui n’a plus rien de naturel :

      En 1830, la population humaine a atteint le premier milliard d’individus de toute son histoire ; il aura fallu 100 000 ans pour y arriver. Pour atteindre le deuxième milliard, il a suffi de 100 ans supplémentaires. Puis, grâce à une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et des soins médicaux, particulièrement ceux destinés aux enfants, la démographie s’est emballée : de 1930 à 2000, on passe de deux à six milliards. Depuis 1930, le taux de reproduction de notre espèce ressemble plus à celui d’une population de lapins qu’à celui d’une population normale de primates.

      Cyrille Barrette professeur de biologie de l’Université Laval préconise de relaisser faire la nature en laissant la misère sous toutes ses formes (famines, épidémies, guerres, génocides) faire son oeuvre, c’est-à-dire en se soumettant aux forces de la sélection naturelle.

      http://www.ledevoir.com/2008/12/20/224243.html


  • antyreac 28 février 2009 21:32

    La croissance zéro une bêtise infantile inventait en mai 68 par des étudiants en panne d’idées constructives.

    Idée qui heureusement n’a pas était prise en compte sinon on serait pas actuellement à l’heure des ordinateurs que laplupart d’entre vous affectionnent tant.

    Ce genre d’idée il vaut mieux laisser expérimenter aux promoteurs pour qu’il s’aperçoivent assez rapidement que c’est une connerie de plus


    • gimo 28 février 2009 22:59
      @ ANTIREAC 

      Déjà antireactionnaire le pseudo ne convient pas c’est plutôt réactionnaire qui s’oppose aux changements. La croissance zero on y est prèsque déjà ( saturation)  ne pas confondre progrès
      et croissance 
       
      1.
      croissance c’est utile pour des pays en retard alors pas pour la France ni l’allemagne et autres
      2. ne sont plus compétitifs  voir délocalisation voir prix
      3.saturation de tout alors on provoque le gaspillage voir automobile
      4. incapacité de faire de vrai produits de pointes en grandes quantités exemple plaques solaires 
      5. 
      de se remettre en question
      la croissance c’est produire toujours plus et mal et mauvais (pèsticide cancer plus gaspillage injustice pauvre)
        les arbres ne poussent pas jusq’au ciel
      les banques faillites des dettes abyssales guerres misèe
       


      le progès c’est la qualité le propre le durable technique de pointes la santé 
      la mecanique quantique le nano les... !! molécules vivantes et les énergies renouvelable
      le bio .. 
      la santé le vrai bient être le repect des humains
       
      voila chèr monsieur qui sait tout de rien 
      sans aller plus loin .. si non on passera des journées a les découvrirs


      cordialement
       

    • antyreac 1er mars 2009 09:58

      Tu racontes n’inporte quoi pourvu que çà mousse


  • loco 28 février 2009 23:37

    bonsoir

     je ne suis pas certain que les propos que je lis soient fondamentalement différents selon qu’ils émanent de pro-croissance ou de pro-décroissance. Sur le fond, vous semblez tous très décidés à être efficaces, concernés, performants...... Pas un qui propose le remède le plus simple du monde, mis en textes éloquents dès les premiers philosophes et appliqué sans discontinuer jusqu’à la génération de nos parents ruraux : rester peinards !!! Juste un exemple : ma bagnole, qui marche sans me faire d’ennuis, et bien pourquoi la remplacer ? Consommation, carbone, look, aspects pratiques.... rien ne vaut ni la peine ni que je perde mon temps à m’adapter à un nouvel engin alors que celui ci va bien. Essayez ce type non de raisonnement, (facile !!! ) mais de comportement, ça vous donnera la liberté et le temps d’élaborer un projet de société des hommes, et non des matières.


  • Croa Croa 28 février 2009 23:53

    à l’auteur :

    à ta question :« N’est-il pas possible d’envisager une autre société où la qualité de vie et le partage prendrait le pas sur la croissance infinie et l’individualisme le plus cruel ? » Je répond aussi OUI !

    En effet,
    La crise sociale était déjà présente. smiley

    Une crise écologique monte lentement. smiley

    Par ailleurs le progrès technique continue son petit bonhomme de cheminsmiley

    Les richesses réelles sont toujours là sauf les ressources naturelles (en voie d’épuisement.)

    Donc, la crise dont on parle est uniquement financiéresmiley ce qui est justice car la finance est responsable de tout (rions... jaune smiley ) avec les politiques toutefois plus complices qu’acteurs (nos élus sont des fantoches.)
    Puisque c’est financier quelques règles simples devraient pouvoir corriger ça !

    Là, pourtant, t’oublie de rappeler que nos gouvernants ont un devoir qu’ils ne remplissent plus : Battre monnaie. Cette condition est incontournable pour qu’une gestion équitable des richesses redevienne possible, ainsi qu’un arrêt de cette mortelle nuisance qu’est la croissance ! (Un gouvernement indépendant peut battre monnaie et lui seul peut prêter sans intérêt.)
    Il faudrait aussi réparer les dommages financiers à l’origine des premiers maux, donc procéder à une remise à plat des dettes (toutes : quitte à devoir créer des tribunaux spéciaux et des lois responsabilisant les banques au moins autant que les emprunteurs, généralement abusés ou complices dans le cas des collectivités. Cela signifie qu’il faudra procéder à de nombreux effacement de dettes.) 

    à tous : Car la finance n’est que la reprèsentation des richesses réelles. Celle-ci peut être manipulée afin d’aspirer une part de richesse à partir de créations sans correspondance réelle (La principale création non couverte est essentiellement l’usure -qui devrait être interdite ! - )
    La croissance n’est qu’une nécessité financière (elle n’a donc rien à voir avec le progrès technique comme semblent le croire certains intervenants). Elle sert à couvrir les ponctions financières indues, essentiellement l’usure. Mais comme ces charges croissent de manière exponantielles (même en baissant les taux ou en essayant de compenser par destructions de richesses réelles = augmenter le chômage) c’est une fuite en avant ! La crise fini toujours par atteindre le système et l’autodétruire (là, ne riez pas :-l car ce que les escrocs ont acquit reste acquit ! ) 


    • plancherDesVaches 1er mars 2009 02:32

      Bien vu, Croa.

      Ainsi, vous comme moi comme TOUS, réclamont simplement de la justice. Aprés tant de tromperies destinées à protéger des intérêts personnels, ce serait un minimum.


  • gimo 1er mars 2009 03:21

    @ marco

    c’est un faux

    il y a 300 150 années en arrière les gens mouraitent à 35/ 40 ans

    aujourd’hui 85 ans

    tu diras à ce prof que c’est un âne de dire que"" laisser faire la nature""un gamin de 9 ans le sait et surtout avec une progression des cancers de 20% et les pesticides le stress

    les morts sont inéluctables

     

     

     

    les primes encourageant les """ventres""de France prenatales prime sur 2 enfants aloc

    la France EST VIDE 70% DE SA SURFACE campagnes vide village fantomes etc...etc

     

    la planète aussi est vide 90 % TERRE MER COMPRIS

    le pb c’est les gens veulent vivre tous dans les mêmes endroit

    est peut supporter 400 milliads de vies humains tranquille

     

    le vrai pbcest la folie des politiques avec leurs requins de financiers et la pollution

    et le manque de démocratie ... dû asssurément à une démission des citoyen/nes

    sur les affaires de leurs pays et si il y a des corruptions il doit y avoir des corrupteurs

    cordialement

     

    pb la démographie


  • Reinette Reinette 1er mars 2009 12:08

    CUMULER PLUS, POUR GAGNER PLUS !
    € € € € € € € € € € € € € € € € € € € € €


    « Il faut se serrer la ceinture, l’heure est aux économies  ». En cette période de crise, ces mots sont devenus une vraie rengaine.

    Sarkozy l’a clairement exprimé lors de ses voeux en 2009 : « Pour nous en sortir, chacun devra faire des efforts »

    Observons le salaire* des 577 députés (ceux qui nous représentent !)

    Les prix sont par mois (prix et non salaires car ça coûte au contribuable).

    Salaire : 5 126 € net d’impôts
    Il s’agit d’un très bon salaire pour un responsable politique qui découpe son travail en trois tiers : un tiers du temps, il travaille dans les commissions de l’Assemblée nationale pour préparer les propositions de lois et les textes présentés en séance plénière, un tiers du temps il siège à l’Assemblée nationale, d’octobre à juin, avec souvent une session extraordinaire en juillet. Et le reste du temps, le député sillonne sa circonscription...

    Frais de mandat : 6 223 € non imposable

    Puisqu’il s’agit d’une indemnité, elle est non imposable. Avec cette somme, les députés sont donc censés couvrir toutes leurs dépenses de représentations : déplacement sur le terrain, costumes et autres frais divers.


    + collaborateurs  : 8 853 € ( c’est toujours mieux de se tourner les pouces à deux voire trois)
     

    Souvent, les députés embauchent des membres de leurs familles, sans qu’ils n’aient de formation particulière. Le temps de travail d’un collaborateur n’est d’ailleurs soumis à aucune règle. Certains députés, très consciencieux, ont donc un véritable staff, d’autres, plus dilettantes, se contentent d’une secrétaire ou d’un collaborateur. Une partie du crédit alloué part alors dans la poche du député.


    + train : gratuit en 1ère classe

    + avion : 40 vols gratuits

    + taxis parisiens : gratuit

    + voiture (avec chauffeur je vous prie) : à disposition, le plus scandaleux étant les députés qui demandent une voiture pour aller dans des restos chics de la capitale se situant à 700m de l’Assemblée (ensuite ils vous diront que "ce n’est pas bien de polluer les enfants")
    Autrement dit, la plupart des déplacements sur le terrain sont financés par l’Assemblée nationale, le député n’ayant pas besoin alors de piocher dans sa cagnotte de 6 223 euros de frais de mandat. Rien n’oblige le député à dépenser l’intégralité de ses indemnités. Il peut alors les garder pour lui, à condition que l’ensemble des indemnités perçues personnellement ne dépasse pas les 8 100 euros depuis une loi qui date de 1992)

    + hôtels haut de gamme : tarifs préférentiels

    + restaurant de l’Assemblée : environ 7 € le repas ! Table très haut de gamme ! Si je ne dis pas de bêtises, le café à l’Assemblée nationale est à 0,50 € (sans compter les cigares).

    + prêts à taux réduit : 2 à 3%


    Les députés non réélus percevront « à vie » 20 % de leur traitement : soit 1 390 € par mois. C’est ce que nous pouvons appeler les « golden parachutes » de nos députés. Bien entendu cette généreuse « indemnité chômage » est totalement inconditionnelle, et l’heureux bénéficiaire de cette jolie rémunération de 5 ans, n’est tenu à aucun engagement quelconque, comme par exemple, justifier de la recherche d’un nouvel emploi, d’une visite mensuelle auprès d’un conseiller .

    Toutes les sommes reçues par le député s’élèvent donc à 20 208 euros. Le député est libre de les dépenser comme bon lui semble.

    Au total, les 577 députés perçoivent donc un peu de plus de 11 millions d’euros cumulés par an. Mais cette somme globale n’est que la partie émergée de l’iceberg. Car sur les 577 députés en place en janvier 2007, 439 possédaient un autre mandat (maire, conseiller général ou régional) et 80 en possédaient deux autres.
    Autrement dit, 90% des députés cumulent leur fonction nationale avec une fonction locale rémunérée, bien évidemment !


  • Reinette Reinette 1er mars 2009 14:19

    ALLONS-NOUS RESTER SIMPLES SPECTATEURS DEVANT CETTE FAILLITE DE LA DEMOCRATIE ?

    Pourtant le Collectif contre l’exploitation outrancière (LKP), qui regroupe 47syndicats, partis et associations de Guadeloupe, nous montre la voie à suivre.

    Ici, dans l’hexagone, nous ne sommes pas mieux lotis.


    Et n’attendons pas le signal des grands chefs syndicaux de la Cgt, Cfdt, Fo, etc... qui sont bien installés dans leurs fauteuils moelleux et ne sont là qu’en qualité de " Partenaires sociaux ", espèces de soupapes de sureté pour empêcher l’explosion.

    Ne perdons plus de temps, il y a urgence

    ORGANISONS
    -NOUS par localité, par quartier, par ville, par département, par région... et AGISSONS  ! nous ne sommes pas les esclaves des élus qui se gavent.


    • gimo 1er mars 2009 14:33

      @ reinette salut 

       tiens une autre
      Les dépenses des villes, des départements, des régions, explosent. Les impôts aussi.
      les collectivités locales , train de vie.

      s’intéresser à l’organisation administrative de notre pays, au nombre de couches du millefeuille locale, à leurs rapports entre elles et à leur éventuel regroupement, c’en est une autre d’expliquer les causes de l’excès de dépenses et d’impôts que ces collectivités dégagent.

      Dépenses somptuaires, palais régionaux ou départementaux aussi coûteux qu’inutiles, communication tous azimuts, subventions aux associations (l’affaire des associations de PACA est en pleine actualité), les occasions de dépenses ne manquent pas.
      Du coup les impôts locaux grimpent dans les mêmes proportions, sans que le contribuable comprenne très bien comment et pourquoi.

       c’est clair. On comprend d’abord que l’une des origines des dépenses excessives des collectivités locales est l’absence de vrai contrôle des dépenses.


  • gimo 1er mars 2009 15:31

    Ceci explique que ma pensée va plus vite de mon grimoire
    à bien des égards
    révérence nest point favorable pour voir
    qui pour ma personne delègue une entrave
    sur l’ obligation d’étre un esclave
    de rosser de la sorte mon clavier
    ce qui me met souvent sur mon agacé
    en le déplorant le premier
    sans rancune
    dû à ma plume (gimo )


  • la_gata la_gata 2 mars 2009 16:34

    ça fait du bien de voir que a chaque fois de plus en plus de gens se retrouvent sous l’idée de la decroissance .
    à l’epoque on etait vu comme peu moins que des fous .. mais le temps et la realité nous donnent finalement la raison ...


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