samedi 11 mai 2013 - par spartacus

Les chiffres ! Rien que des chiffres pour comprendre !

Pour comprendre une situation, il est bon de connaitre les chiffres.

Pour analyser il est interessant de les retrouver.

Pour dialoguer ou contreverser, partons de chiffres.

Les chiffres valent mieux qu'un long discourt.

Le total des impôts et des ressources annuelles de l'état est de 376 milliards.
Le triple net réel des ressources de l'état est de 219 milliards. (hors subventions aux collectivités, hors participation CEE, hors impôt négatif ).
Les dépenses annuelles de l'état sont de 294 milliards.
Le déficit annuel de l'état est de 79 milliards. Chaque année 27% du budget n'est pas provisionné.
Ça fait 40 ans d'affilée qu'on a des budgets en déficit.
Le dernier trimestre de chaque année, la France vit à crédit. Les fonctionnaires sont payés par l'emprunt.
0.1% de croissance envisagée. Il faut 2.5% de croissance pour simplement commencer a rembourser de la dette.
Pour la première fois depuis la guerre, le pouvoir d'achat a baissé en 2012. -0.4% pour les ménages, et -1% pour les seuls ou célibataires.
46.7% des foyers Français ne payent pas d’impôts sur le revenu.

Les dépenses publiques annuelles hexagonales depuis 1973 ont généré une dette qui augmente en permanence :
- en 2010 : 1 094 milliards d'euros
- en 2011 : 1 119 milliards d'euros
- en 2012 : 1 149 milliards d'euros
Les collectivités locales, ont contracté 174 milliards de dettes.
5500 villes ont contractés pour 24 milliards d'emprunts dit "toxiques".
L’État est caution, à hauteur de plus de 170 milliards d’euros pour AREVA, EDF, ADP, GDF, France Télécom, La Poste, SNCF, etc....Toutes ces entreprises ne sont pas en forme.
L'état est garant des dépôts bancaires. Les banques Françaises ont de mauvais bilans.
La France est le premier pays emprunteur d’Europe.
La dette cumulée entraîne chaque année 60 milliards d'euros d’intérêts, nous empruntons pour les payer...

La Sécurité Sociale, accumule un déficit à hauteur de 210 milliards d’euros.
La Caisse Maladie a vendu la totalité de son patrimoine immobilier elle n'a plus aucun actif.
Les retraites n’ont jamais été provisionnées. 900 milliards d’euros pour les fonctionnaires, 3600 milliards pour celles du secteur privé.
Il y a 2.2 millions de fonctionnaires actif pour 2.3 millions de fonctionnaires en retraite. En régimes spéciaux.
Il faut 3 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d'un retraité dans le privé.
Il faut 5 cotisants actifs pour financer 70% de la pension d'un retraité dans le public.
500 000 nouveaux retraités en 2012. En 2003 il y en avait 125 000. La croissance annuelle est à 2 chiffres.
Le régime par répartition en dessous de 3 cotisants pour 1 retraité n'est pas viable. Avec l'évolution démographique elle est obligatoirement condamnée.

L'école et l'enseignement supérieur représentent au budget 150 milliards (hors social et retraite). Soit 69% des ressources triple net de l'état (219 milliards).
Il ne reste que 69 milliards pour payer la totalité des services de l'état. Administration, aide publique, culture, défense, écologie, économie, justice, outre mer, travail, logement sport, sécurité etc...Largement insuffisant.
63% des enfants d’enseignants obtiennent un diplôme au moins égal à bac + 3, contre 52% des enfants de cadres.
98 000 sur les 850 000 enseignants sont payés à autre chose qu'enseigner et n'ont pas de classe affectée.
260.000 étudiants étrangers sont formés par la France.
50.000 nouveaux étudiants étrangers s'ajouteront en 2013.

Il y a 4.8 millions de chômeurs toutes catégories confondues.
L'assurance chômage c'est 36 milliards d’euros, dont 27 pour les allocations et 9 pour le fonctionnement.
Notre pays comptabilise 26 millions d'actifs de 65 millions d'individus.
5,3 millions ont un emploi à vie : fonctionnaire d'Etat, Territoriaux,de santé, et régimes spéciaux...)
1 jeune sur 4 sorti de l'éducation nationale est inemployable en l'état, et démarre chômeur dans la vie.
6,3 millions de personnes "vivent" des minima CMU-RSA, prévision de 7 millions en fin d'année.

Le code du travail comporte plus de 10 000 articles, 2800 pages, 8 tomes, classées en Livres, Titres, Chapitres, Sections, et Paragraphes, et en dernier les articles, (celui de la Suisse n’en possède que 54 articles).
3,6 millions d'entreprises en France. 63% ont moins de 10 ans.
67% des entreprises Françaises ont 0 salariés.
82% des nouvelles embauches sont des CDD.
Les embauche en CDI ont chûtés de 10% en un an.
La feuille de paye avait 23 lignes fin 2012.

Le déficit des allocations familiales est de 2.2 milliards.
33% des allocations et prestations sociales d'ayants droit ne sont pas réclamées.
Notre pays est le plus grand paradis social d’Europe pour les plus pauvres de la terre.
Quand un migrant arrive, il bénéficie de l'allocation ATA de 336€, l'accès au logement prioritaire, la santé AME est gratuite. (En Algérie, le salaire mensuel médian est de 80€, au Mali de 36€).
Seuls 12% des immigrés légaux hors CEE viennent pour le travail. l'immigration peu qualifiée est majoritaire.
88% des immigrés légaux hors CEE viennent pour d'autres raisons, regroupement, mariage etc...
La France accorde 2 millions de Visa par An.

62% des entreprises de moins de 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires n’ont qu’un seul partenaire bancaire.
60.000 entreprises ont déposé le bilan en 2012, en hausse de 2,7% par rapport à 2011.
Le déficit commercial Français 2012 est de 67,5 milliards d'euros. record historique.
Notre pays est un enfer fiscal pour les investisseurs, la cession des plus values est taxée dans certains cas à 64.5% et doivent être comparés aux 0% en Suisse, 0% Belgique, ou 0% Pays bas, 18% Angleterre.
Plongeon du capital risque investi en France 9.7 milliards en 2011, 6 milliards en 2012.
Plongeon des investissements étranger en capital risque. passage de 50% à 30% des capitaux levés en un an.
l'investissement dans les entreprises a reculé de 0,5% en 2012.

On été exclus de ces chiffres le PIB, puisque c'est un agrégat artificiel ,qui biaise la réalité économique utilisé par les politiciens pour masquer la réalité économique.

La richesse d'un pays n'est pas mesurable, il n'existe pas d'instrument pour mesurer le bénévolat, le travail au noir, les travaux personnels et la dépréciation.

Qu'en conclure ?.......Normalement la faillite de l'état est proche.

107 r�actions

Commentaires: 0 | 100

alberto 11 mai 2013 10:13

« Les d�penses publiques annuelles hexagonales depuis 1973 ont g�n�r� une dette qui augmente en permanence »

Tiens ? C’est marrant, toi aussi tu d�marres le d�but de la mouise en 1973 !

Mais que c’est-il donc pass� en 1973 ?

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- spartacus 11 mai 2013 10:37
  
  @par alberto
  
  Le p�trole pas cher d’apr�s guerre a permit le passage de l’�nergie du cheval au moteur a combustion. Une �nergie 40 fois plus forte pour pas cher. C’est la croissance des 30 glorieuses.
  
  -En 73, le p�trole augmente, les politiques n’adaptent pas cette nouvelle donne au budget du pays et pour se faire r�-�lire, pr�f�rent emprunter que de baisser les d�penses publiques...Laissant aux g�n�rations futures une dette.
  
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- foufouille 11 mai 2013 11:25
  
  @par crassus
  ce serait pas plutot les banques priv�es ?
  
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- alberto 11 mai 2013 13:17
  
  Sparta, tu te fous de la gueule de qui : tu nous prends pour des billes ?
  
  La loi du 3 janvier 1973 �a ne concerne pas le p�trole, mais le pognon !
  
  Auparavant, l’�tat empruntait � la Banque de France quasiment sans int�r�t, ce qui �videmment ne satisfaisait pas les banques priv�es qui voyaient une manne leur �chapper : qu’� cela ne tienne, dans la plus grande discr�tion, surtout sans en informer r�ellement quiconque y compris les parlementaires de l’�poque qui ont vot� cette loi comme des moutons, le lobby bancaire a fait la promotion de cette loi qui d’apr�s certains ne sert � rien d’autre que de rafler le pognon des contribuable via des taux d’int�r�ts « int�ressants » ...
  
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- spartacus 11 mai 2013 14:03
  
  Et en plus la banque de France a continu� a co�ter plus cher et embaucher des effectifs....
  
  On a m�me pas compens�.
  Dingue n’est ce pas ?
  
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- alberto 11 mai 2013 14:45
  
  L�, tu bifurques...
  
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- Karash 11 mai 2013 15:20
  
  C’est surtout le couplage mai 68/choc p�trolier qui a �t� d�sastreux, bien plus que la r�forme de la banque de force, qui a clairement �t� un non �v�nement, comme d�montr� par lior shamla et magali pernin.
  
  Les 68 ards, par leur opportunisme et leur irresponsabilit�, ont largement aggrav� les cons�quences des chocs p�troliers en refusant de s’adapter, s’enfermant dans le r�ve du « retour prochain � la croissance » pour rendre intellectuellement soutenable de s’endetter ou de vendre les bijoux de famille de l’Etat pour financer leurs gabegies.
  
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- Mmarvinbear 12 mai 2013 01:01
  
  Auparavant, l’�tat empruntait � la Banque de France quasiment sans int�r�t, ce qui �videmment ne satisfaisait pas les banques priv�es qui voyaient une manne leur �chapper : qu’� cela ne tienne, dans la plus grande discr�tion, surtout sans en informer r�ellement quiconque y compris les parlementaires de l’�poque qui ont vot� cette loi comme des moutons, le lobby bancaire a fait la promotion de cette loi qui d’apr�s certains ne sert � rien d’autre que de rafler le pognon des contribuable via des taux d’int�r�ts � int�ressants � ...
  
  Ce qui est totalement faux.
  
  - La Banque de France n’�tait autoris�e, avant 73, � ne pr�ter que 3 milliards de Francs � taux z�ro. 3 autres milliard �taient disponibles � taux r�duits mais le reste �tait emprunt� au taux du march�.
  
  Pour information, en 1972, la France avait un budget de 192 milliards de francs.
  
  - La loi de 73 n’a pas interdit � l’Etat de continuer � emprunter de cette fa�on. Elle a juste chang� les modalit�s d’emprunts. Avant, les d�put�s votaient pour autoriser le gouvernement � user de cette facilit� de cr�dit. Apr�s, le gouvernement pouvait le faire directement et informer l’assembl�e nationale ensuite.
  
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- mac 12 mai 2013 08:40
  
  La loi de 73 fait partie d’un ensemble d’actions men�es par des hommes politiques qui se sont nettement �loign�s du gaullisme m�me lorsqu’ils s’en r�clamaient et qui visaient � r�duire les capacit�s de l’�tat au profit d’int�r�ts priv�s. La destruction d’une partie du circuit de financement de l’�tat en constitue l’un de volet les plus importants et ne s’arr�te pas du tout � cette fameuse loi de 73.
  
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- Mmarvinbear 12 mai 2013 12:40
  
  Toi t’es pas du genre � �couter mais � ressasser comme un perroquet...
  
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- yoananda 12 mai 2013 19:32
  
  En 73 on a d�cid� qu’on allait emprunter a l’�tranger pour payer nos fonctionnaires. Ni plus, ni moins.
  La planche � billet n’est pas magique, sauf pour les neuneus qui ne comprennent rien a l’�conomie.
  
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- sam turlupine 13 mai 2013 11:07
  
  Si, si : pour les banques, la planche � billet est tout � fait magique, puisqu’elle a disparu, et �t� remplac�e par juste quelques �critures.
  Une banque a le droit de cr�er de l’argent ex-nihilo : 10 fois plus qu’elle n’en poss�de ; c’est l’argent de la dette.
  
  Jusqu’� 1973 ; voyez comme c’est bizarre : pas de dette.
  En 73, loi Giscard-Pompidou, suivie des Accords de la Jama�que, puis du Trait� de Maastricht, OBLIGEANT les �tats � emprunter aux banques priv�es, et hop, d�part exponentiel de la dette.
  
  Rappelons aux oublieux ou mal-comprenants, que l’argent emprunt� par l’�tat aux banques a D�J� �T� INT�GRALEMENT REMBOURSE ! le dette qui subsiste ne repr�sente que les int�r�ts ill�gitimes engendr�s par ce m�canisme d’usurier des �tats, ayant engendr� le march� sp�culatif, la financiarisation de l’�conomie, la privatisation et l’asservissement des �tats et des citoyens par les mafias financi�res.
  
  Les Mmarvin et autres spartacus feraient bien de fermer leur gueule ; �a leur �viterait qu’on s’aper�oive de leur collaboration � un syst�me mafieux et dictatorial.
  
  Les voil�, les vrais chiffes : (�volution de la dette fran�aise depuis 1950) ; bizarre, spartacucus ne nous les a pas sortis, ceux-l� !
  
  L’endettement des pays a, �videment, �t� cr�� de toutes pi�ces, pour IMPOSER le lib�ralisme, la privatisation du monde, et sa d�pendance aux mafias financi�res.
  
  Tous les �conomistes et analystes s�rieux le savent, le disent (le plus souvent dans le d�sert, tant leur discours est couvert par la doxa lib�rale soutenue par tous les m�dias) depuis des ann�es.
  
  Pour ceux qui s’int�ressent un minimum � ces choses, la seule chose claire est que ceux qui continuent le d�ni, et � d�fendre le syst�me actuel, sont ; soit ceux qui en profitent (au d�triment du plus grand nombre, c’est � dire des exploiteurs, des oppresseurs, des bandits), soit des collabos, qui esp�rent en profiter bient�t ou syndrome du larbin), soit des abrutis qui n’ont pas les capacit�s intellectuelles d’analyser les choses, au del� du discours TINA impos�.
  
  Dans tous les cas, des imb�ciles nuisibles.
  
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- spartacus 13 mai 2013 12:02
  
  Que r�pondre ?
  
  C’est tellement peu inform� et plein d’id�ologie.
  
  Jusque 73 pas de dettes...Faux !
  Il y a un h�ritage des 30 glorieuses, en 74 elle �tait d�j� � 57% du PIB.
  
  *l’argent emprunt� par l’�tat aux banques a D�J� �T� INT�GRALEMENT REMBOURSE FAUX !
  Tout le monde sait que « Les obligations d’�tat sont rembours� »in fin�". C’est a dire que sont rembours� en premier les int�r�ts, pas la dette.
  
  *feraient bien de fermer leur gueule ; �a leur �viterait qu’on s’aper�oive de leur collaboration � un syst�me mafieux et dictatorial.
  C’est juste de la collaboration a des confrontation d’id�es. Vous avez un probl�me avec le respect des contradicteurs ?
  
  *spartacucus
  D�former le pseudo donne une l�gitimit� sup�rieure ?
  
  *abrutis qui n’ont pas les capacit�s intellectuelles d’analyser les choses, imb�ciles nuisibles.
  
  Vous avez le droit de ne pas �tre en accord, c’est l�gitime, mais restez dans une limite de respect des contradicteurs, pas sur que cela appuie vos id�es bien au contraire.
  
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- sam turlupine 13 mai 2013 12:11
  
  Par Mmarvinbear (---.---.---.140) 12 mai 01:01
  
  Auparavant, l’�tat empruntait � la Banque de France quasiment sans int�r�t, ce qui �videmment ne satisfaisait pas les banques priv�es qui voyaient une manne leur �chapper : qu’� cela ne tienne, dans la plus grande discr�tion, surtout sans en informer r�ellement quiconque y compris les parlementaires de l’�poque qui ont vot� cette loi comme des moutons, le lobby bancaire a fait la promotion de cette loi qui d’apr�s certains ne sert � rien d’autre que de rafler le pognon des contribuable via des taux d’int�r�ts � int�ressants � ...
  
  Ce qui est totalement faux.
  
  - La Banque de France n’�tait autoris�e, avant 73, � ne pr�ter que 3 milliards de Francs � taux z�ro. 3 autres milliard �taient disponibles � taux r�duits mais le reste �tait emprunt� au taux du march�.
  
  Ah ! Sauf que le « taux du march� », justement, n’�tait pas dict� par les banques et organismes financiers ; � preuve, jusqu’en 1973, aucun endettement d’aucun pays ! Et d’une !
  Pour information, en 1972, la France avait un budget de 192 milliards de francs.
  
  - La loi de 73 n’a pas interdit � l’Etat de continuer � emprunter de cette fa�on. Elle a juste chang� les modalit�s d’emprunts.
  FAUX. La loi de 73 INTERDIT pr�cis�ment � l’�tat d’emprunter � la Banque centrale
  Avant, les d�put�s votaient pour autoriser le gouvernement � user de cette facilit� de cr�dit. Apr�s, le gouverneme
  nt pouvait le faire directement et informer l’assembl�e nationale ensuite.
  Encore FAUX, bien �videmment. Ni les d�put�s ni le gouvernement n’ont le moindre droit d’emprunter � la Banque Centrale : la loi les OBLIGE � emprunter aux banques et organismes priv�s.
  
  Marvinbear ou le roi du sophisme et de la d�sinformation.
  
  Soit tu n’es pas au courant ; auquel cas, tais-toi : �a t’emp�chera de dire des conneries ,
  soit tu es au courant, et tu joues l’embrouille : id�ologiquement, ou par int�r�t personnel ?
  
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- sam turlupine 13 mai 2013 12:23
  
  Par spartacus (---.---.---.149) 13 mai 12:02
  
  Que r�pondre ?
  
  C’est tellement peu inform� et plein d’id�ologie. :
  
  Jusque 73 pas de dettes...Faux !
  Il y a un h�ritage des 30 glorieuses, en 74 elle �tait d�j� � 57% du PIB.
  TOTALEMENT FAUX ; je vous ai post�, plus haut, le lien, qui indique l’endettement de la France, de 1950 � 2012 ; d�but 74, sous Pompidou, la France n’a AUCUNE DETTE , et est � 0,1% de b�n�fices. Je vous le remets, parce que manifestement, vous n’avez pas les yeux en face des trous..
  
  *l’argent emprunt� par l’�tat aux banques a D�J� �T� INT�GRALEMENT REMBOURSE FAUX !
  Tout le monde sait que � Les obligations d’�tat sont rembours� �in fin�". C’est a dire que sont rembours� en premier les int�r�ts, pas la dette.
  �a, c’est la meilleure !
  Ah oui, vous m’avez rembours� ce que je vous ai pr�t�, mais ce n’�tait que les int�r�ts : vous me devez encore’ la dette ! Dans le genre arnaque, on ne fait pas mieux ! Sauf que sans les int�r�ts, l’argent de la dette est bel et bien rembours�. Les int�r�ts, c’est justement l’arnaque du si�cle !
  
  *feraient bien de fermer leur gueule ; �a leur �viterait qu’on s’aper�oive de leur collaboration � un syst�me mafieux et dictatorial.
  C’est juste de la collaboration a des confrontation d’id�es. Vous avez un probl�me avec le respect des contradicteurs ?
  Non ; je n’ai pas affaire � un « contradicteur », mais � un adversaire : des pires qui soient, les collabos d’un syst�me dictatorial de pr�dation : contre un pr�dateur, on ne discute pas ; on se bat, pour l’emp�cher de nuire. Et je n’ai aucun respect pour les id�es que vous repr�sentez et que vous d�fendez ; je ne respecte pas celui qui veut me d�truire, et d�truire la majorit� pour son profit ; AUCUN RESPECT.
  
  Vous �tes un menteur, un d�sinformateur, et un pr�dateur ; � emp�cher de nuire, pour le bien de l’humanit�.
  
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- spartacus 13 mai 2013 17:46
  
  Que te dire sinon que tu vis dans le monde des bouc �missaires.
  A chaque probl�me son coupable, riches, banques, etc..
  Responsable mais pas coupable..c’est pas une phrase de gauche ?
  
  Y’a m�me des banques qui sont des coop�ratives, de dangereux coop�rateurs capitalistes et vautours...
  
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- spartacus 14 mai 2013 09:39
  
  J’avais oubli� l’oligarchie comme bouc �missaire !!!
  
  Quand a Chouard, un prof de gauche qui nous explique que la banque « cr�e de l’argent » alors que c’est l’emprunt qui cr�e de l’argent.
  
  Il appelle « riches » les « banques » ou les « pr�teurs » ce qui montre a quel point les profs sont incultes en �conomie et emfum�s de Marxisme.
  Comme si en �conomie on s’exprime comme cela.
  Dire que c’est un prof d’�conomie !
  Ils sont � 75% endoctrin�s dans une id�ologie Marxiste. Ils votent tous a gauche.
  
  Les pr�teurs sont des personnes morales, c’est a dire des fonds de pension (des retrait�s), des assurances (qui placent la tr�sorerie de milliers de souscripteurs), des (heidge fond) des associations d’investisseurs (majoritairement des petits), le placement individuel unipersonnel �tant inf�rieur � 15%.
  Loin du clich� des riches.
  
  Des ignorants en �conomie enseignent l’�conomie.
  Y’en a m�me une prof d’�co ignare qui c’est pr�sent� a la pr�sidentielle
  
  Il nous sort des « boboitudes » du genre que l’impot sert a rembourser les int�r�ts ce qui est vrai
  
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Stof 11 mai 2013 10:31

Choc p�trolier, fin des 30 « glorieuses ». C’est aussi la fin de la possibilit� d’�mettre librement des Francs pour la Banque de France.

A partir de cette �poque, la cr�ation mon�taire est adoss�e � de la cr�ation de dette. Ce qui signifie que la croissance, d�sormais, servira � rembourser la dette de l’�tat (donc du peuple).
En clair, les gains de richesse et de productivit� iront alors dans les poches des plus riches, ce qui explique pourquoi les in�galit�s ne cessent de se creuser.
Plut�t que de partager la prosp�rit�, on la concentre dans les mains d’une minorit�. La richesse ne « ruisselle » plus du haut vers le bas mais elle est d�sormais aspir�e dans la sph�re financi�re.

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- spartacus 11 mai 2013 10:52
  
  L’accusation mon�taire, c’est un leurre de politicien de gauche irresponsable qui vend des illusions, pour faire croire que l’on peut emprunter sans rembourser...Cette illusion a simplement comme but d’attirer des votes de ceux qui ne veulent pas avoir a rembourser les dettes....
  
  La cr�ation mon�taire �tatique g�n�re l’inflation. L’inflation p�se sur la croissance. Fait baisser le pouvoir d’achat et appauvrit les masses.
  Exemple, pendant les 30 glorieuses, l’Allemagne avec moins d’inflation aura 6% par an de croissance alors que la France seulement 5%.
  L’inflation en retournement de conjoncture est vecteur de ch�mage de masse.
  
  La cr�ation mon�taire est adoss�e au remboursement de cette m�me cr�ation.
  Une banque c’est une banque. Elle n’est qu’interm�diaire.
  
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- foufouille 11 mai 2013 11:26
  
  @ crassus
  mais si
  l’inflation est faite par les banques qui pretent 10 fois leur argent
  
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- Karash 11 mai 2013 15:22
  
  A gauche, on croit toujours qu’il existe une relation directe en inflation et chomage, via la courbe de phillips, m�me si dans le milieu acad�mique on ne donne plus aucun cr�dit � ces sornettes depuis belle lurette.
  
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- gaijin 12 mai 2013 18:33
  
  spartacus
  " c’est un leurre de politicien de gauche irresponsable qui vend des illusions, pour faire croire que l’on peut emprunter sans rembourser."
  dommage jusque l� votre propos avait l’air s�rieux
  c’est pas droite gauche droite gauche .......... ????
  dites donc un leurre de politiciens irresponsables tout court !
  du genre de ceux qui expliquaient fin des ann�es 90 qu’il fallait d�sindustrialiser la france
  
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- Stof 13 mai 2013 07:43
  
  Je ne dis pas qu’on peut emprunter sans rtembourser (ce que fait la droite aussi, au passage). Je dis qu’on peut �mettre de la monnaie sans rien devoir aux actionnaires d’une quelconque banque.
  
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jef88 11 mai 2013 11:02

1973 ! crise p�troli�re !
les ressources ne devaient durer que 30 ans !

Apr�s ce fut le duo Giscard Barre !
Mort aux canards boiteux ! disait ce dernier � la t�l� ....
Les canards c’�taient les PME et en g�n�ral les boites non cot�es en bourse .

Leur destruction dure depuis cette �poque !
TOUS les gouvernements de gauche et de droite ont jou� ce jeu !
Alors 40ans apr�s n’est il pas normal que l’on soit dans la d�che ?????

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- vesjem 11 mai 2013 23:42
  
  ok jef , j’ai �t� t�moins du rachat par les bo�tes allemandes (dans les ann�es 70) ,de bo�tes fran�aises en difficult� (crise 73) ,ayants un bon potentiel « brevets »
  
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foufouille 11 mai 2013 11:29
- L’�tat est caution, � hauteur de plus de 170 milliards d’euros pour AREVA, EDF, ADP, GDF, France T�l�com, La Poste, SNCF, etc....Toutes ces entreprises ne sont pas en forme.
et les autoroutes priv�es ...........
- L’�tat est garant des d�p�ts bancaires. Les banques Fran�aises ont de mauvais bilans.
??
- La France est le premier pays emprunteur d’Europe.
aupres des banques priv�es
- La dette cumul�e entra�ne chaque ann�e 60 milliards d’euros d’int�r�ts, nous empruntons pour les payer...
idem
- La S�curit� Sociale, accumule un d�ficit � hauteur de 210 milliards d’euros.
grace aux assurances priv�es et aux d�localisations
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- Stof 14 mai 2013 14:56
  
  Juste une question : comment un �tat surendett� peut il �tre garant de quoi que ce soit ? En cas de bank run ou de faillites bancaires il le prendra o� l’argent ? Il y a un fond de secours de pr�vu ? Non.
  
  De la th�orie � la pratique, la marche est tellement haute qu’on risque bien de se casser la figure.
  
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Rensk 11 mai 2013 11:32

Selon l’OCDE la France n’a que 6.0% d’�trangers en 2010, la Suisse 22.1% ( http://dx.doi.org/10.1787/888932647114 ) et que dire du fait que nous accordons 40’000 passeports et la France que 140’000 ? Le rapport ne joue pas-l� non plus... vu que par rapport � la population vous devriez en accorder 400’000 par ann�e... (donc plus que le nombre d’immigr�s par ann�e)...

Vous disiez « LES CHIFFRES » ?

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- Rensk 11 mai 2013 11:54
  
  Bien, je voulais juste vous dire qu’ont peu faire dire n’importe quoi aux chiffres :
  
  Comment interpr�tez-vous le fait que 33% des personnes, ayants des droits, ne les r�clament pas ?
  
  Chez-nous on a os� pr�tendre que les (petits)suisses sont trop fier pour passer par le social...
  
  Bien s�r, il doit y en avoir de ceux-l� mais... La majorit� des gens dans ce cas ne demandent rien car, ils ne savent pas, personne leurs a dit comment fonctionne la soci�t�. M�me l’�cole ne le fait dans ses cours « civiques »...
  
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- spartacus 11 mai 2013 12:42
  
  @ Rensk
  
  Le non recours aux minimas sociaux a �t� d�couvert par le d�put� Dominique Tian lors de l’�criture et l’analyse des chiffre su le rapport qu’il a fait sur les fraudes sociales.
  
  Ca se compose de plusieurs ph�nom�nes,
  -La complication de base. La majorit� des aides sociales Fran�aises ont �t�s pens�es pour en profiter pour « embaucher du fonctionnaire ». Elle sont donc ultra complexes pour les ayants droits.
  
  -Les « pauvres » ne souhaitent pas �tre class� comme pauvre. Ils ne veulent pas �tre « diff�renci�s ». C’est un ph�nom�ne naturel que l’on retrouve partout. Exemple la Tata en Inde, la voiture la moins ch�re du monde ne se vent pas car elle associe le conducteur � un pauvre.
  
  -Le laxisme de ceux qui ont le pouvoir de donner. La feuille d’imp�t pourrait donner sans attendre la demande. Elle pourrait automatiser un lien vers EDF pour que les ayants droit b�n�ficient de tarifs sociaux.
  
  En r�alit�, les pauvres, ne veulent pas de charit�, ni de RSA, ni de produits pour pauvres....Il s veulent l’autonomie et du travail. L’aide sociale n’est qu’une excuse politique de leur impuissance.
  Mais c’est plus facile d’emprunter pour aider sure les g�n�rations suivantes que d’aller chercher des investisseurs.
  
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- Ruut 11 mai 2013 12:52
  
  En effet si un citoyen a droit a quelque chose il devrait recevoir sans devoir demander.
  
  Lorsque ce m�me citoyen doit quelque chose, on luis r�clame alors qu’il n’as rien demand�.
  
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- foufouille 11 mai 2013 12:54
  
  « Comment interpr�tez-vous le fait que 33% des personnes, ayants des droits, ne les r�clament pas ? »
  
  ils y ont pas droit le plus souvent
  ensuite, il faut remplir de la paperasse comme dans le prive et l’envoyer
  souvent peu rentable
  
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- mac 12 mai 2013 08:51
  
  Aller chercher des investisseurs o� �a ? Chez les retrait�s anglo-saxons histoire de perdre encore plus notre autonomie ?
  
  L’�pargne fran�aise est colossale et ne demande qu’� �tre investie, � condition que l’�tat cesse de fusiller les PME au profit de multinationales qui ne jouent pas le jeu et sont aux mains de fonds d’investissement �trangers.
  Pourquoi le Japon met-il tant de temps � couler alors qu’il est endett� de fa�on monstrueuse ?
  Parce que jusqu’� pr�sent sa dette �tait aux mains des japonnais.
  
  Pourquoi en France on n’a pas su faire alors qu’on a des milliers de milliards qui dorment dans de banques ou des assurances ? Peut-�tre un peu parce que nos dirigeants n’ont pas jou� le jeu de France ?
  
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heliogabale 11 mai 2013 11:54

Qu’en conclure ?.......Normalement la faillite de l’�tat est proche.

Tant mieux ! On pourra alors d�financiariser l’�conomie...

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fg 11 mai 2013 12:48

Les chiffres seuls ne veulent rien dire : si j’ai la t�te dans un four allum� et les pieds dans un cong�lateur, en moyenne je suis parfaitement bien.

Il faut aussi ajouter les descriptions de ce que l’on compare.

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ecolittoral 11 mai 2013 13:27

C’est curieux cette habitude de parler toujours de d�penses de l’�tat mais jamais des recettes g�n�r�es par ces d�penses !!!!

Ou vont les d�penses des fonctionnaires, ch�meurs, retrait�s sinon dans la poche du boulanger, du concessionnaire automobile, du banquier pour les pr�ts immobiliers ou � la consommation, de l’entreprise X ou Y qui remporte le « march� public » etc....
�a aussi, ce sont des chiffres, rien que des chiffres !!!

« Normalement la faillite de l’�tat est proche. »
Evidemment ! Comme tous les �tats.

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- fb 11 mai 2013 13:31
  
  C’est un bilan global. Donc les recettes indirectes li�es aux d�penses sont comptabilis�es. Autrement dit le budget est d�ficitaire sans m�me comptabiliser le principal (la dette) mais uniquement les int�r�ts qui augmentent en volume chaque ann�e � cause des emprunts.
  
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- Jagermaster 11 mai 2013 16:46
  
  C’est navrant � dire, mais la seule personne � avoir parler de la n�cessit� de r�duire le millefeuille administratif, c’est Parisot...
  
  Pourtant, c’est le plus urgent non ?
  
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Montagnais 11 mai 2013 13:34

Eblouissant tableau .. clair constat � l’attention de tous sans contestations .. 10 chiffres valent cent mille bla-bla

Et encore ! .. heureusement que le p�trole est presque gratuit .. A quel prix serait-il ?.. si on provisionnait les besoins de 3 ou 4 g�n�rations � venir ?

Vous dites :

« Pour la premi�re fois depuis la guerre, le pouvoir d’achat a baiss� en 2012. -0.4% pour les m�nages, et -1% pour les seuls ou c�libataires. »

C’est une tr�s bonne nouvelle ..

.. mais on vous croit pas : ce week-end, sur la c�te, on est une multitude, joyeuse et color�e, tous motos, belle autos puissantes, SUV .. � se pr�lasser sans souci, entour� de musique � fond les manettes .. Tout va bien, au contraire de ce que pourraient en conclure � tord certains � la lecture de votre rapport.

Bonne nouvelle ..

.. mais on vous croit pas .. pour revenir � un niveau �thique, �conomique, esth�tique .. de « consommation » et de cadence, il faudrait mettre proprole � l’eau, au smic � 400 Euros, 10 ou 20 ans de silence ..

Bien �videmment, les gras-riches � la potence ..

On va pas dans ce sens.

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L’enfoir� 11 mai 2013 13:39

Belle avalanche de chiffres.

« La richesse d’un pays n’est pas mesurable »
C’est le PIB qui refl�te pourtant cela de mani�re g�n�ral sous forme de bilan comptable d’un pays.

« il n’existe pas d’instrument pour mesurer le b�n�volat, le travail au noir, les travaux personnels et la d�pr�ciation. »

Un PIB peut se calculer de mani�re pr�cise ou approximative en fonction d’indices tr�s explicite. Le b�n�volat, le fait augmenter, donc pas de probl�me. Le travail au noir peut �tre diminu� mais est-ce vraiment toujours n�cessaire ? Il comble les manquement du travail officiel au niveau des petites d�nigr�s par les entreprises officielles. La d�pr�ciation du mat�rielle est parfaitement comptabilis�e. Quant � la d�pr�ciation due � l’�ge des hommes, l�, il y a des probl�mes � r�soudre dans l’allongement des carri�res ou par d’autres voies comme les robots.
.
Les dettes sont bien l�, la question est de savoir si elles sont int�rieures ou ext�rieures.
Le jeux de robinets s’installe ensuite.

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- L’enfoir� 11 mai 2013 13:50
  
  J’oubliais la d�valuation de la monnaie dans le processus d’�change pour augmenter les exportations, mais cette fois, c’est au niveau europ�en que cela se passe.
  
  Le mon�tarisme vaudou, comme il a �t� appel�.
  
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gege061 11 mai 2013 15:35

Lorsqu’on donne des chiffres il faut �tre pr�cis. Pour un domaine que je connais , celui de de la s�curit� sociale voila le chiffre habituellement admis. Il faudrait calculer ce que rapporte les soins par exemple en r�duisant l’arr�t de maladie, il faudrait connaitre le gain de rentabilit� en pouvoir d’achat redistribu� par les fonctionnaires qui travaillent dans un h�pital pour �tre exhaustif. Les chiffres donc :
pour 2009 le d�ficit �tait de 10 milliards
Pour 2011 le « trou » pour la S�cu de 19,5 milliards pour 2011
enfin pour 2012 il est de 18,5 milliards
Et ceci malgr� une augmentation annuelle de l’ONDAM d’environ 3% .

Et le bons sens alors ! http://papyencolere.over-blog.com/

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- spartacus 11 mai 2013 16:58
  
  @g�g�61
  
  D�ja dans un premier temps il fraudai calculer l’incurie de l’incomp�tence des dirigeants actuels !
  
  Quand le dirigeant de la CNAM nomm� en 2004 aligne un d�ficit cumul� de plus de 60 milliards d’euros en 8 ans sans rendre des comptes et est toujours en poste sans rien craindre de son conseil d’administration !
  Vous imaginez un pr�sident de conseil d’administration priv� avec actionnaires encore en place ?
  D’autant plus que ce looser refuse de communiquer les chiffres et s’oppose � l’open data.
  http://www.opendatasante.com/
  
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- gege061 11 mai 2013 17:42
  
  additif :
  
  La Contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) est un imp�t cr�e en 1996 pour r�sorber l’endettement de la s�cu. Le taux de la CRDS est fix� � 0,5 % quel que soit le revenu concern� (revenu d’activit�, de remplacement, du patrimoine, de placement mais aussi de ventes de m�taux, d’objets pr�cieux, de bijoux, d’objets d’art ou de collection et sur les jeux de hasard).
  
  Le terme � dette sociale � fait r�f�rence au d�ficit accumul� par le r�gime g�n�ral de la protection sociale � la date de promulgation de l’ordonnance. source wikipedia
  
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walden 11 mai 2013 15:59

absolument rien compris � l’�conomie, le gars. confond le num�raire et la valeur �conomique produite par l’activit� : les dettes ont une contre-partie, les cr�ances, ces cr�ances sont des pseudo cong�lateurs � valeur �conomique, le num�raire qu’elles repr�sentent n’est qu’un � valoir sur une production future.
la sacralisation du num�raire (et sa confusion avec la valeur �conomique) emp�che de voir la source de la richesse : le travail. on en vient � bl�mer les travailleurs pour leur co�t sans voir que le syst�me de dette (et de cr�ance, du coup) est forc�ment une pyramide de Ponzi : on ne peut r�mun�rer du capital non r�aliser sans ponction in fine sur le tr�sor public. bref, le probl�me, ce n’est pas de payer une dette impayable, c’est de trouver un mod�le �conomique
- qui permette une production qui corresponde aux besoins (on est loin de l’�ge de pierre, cela devrait �tre possible)
- qui redistribue les richesses de telle sorte que l’accumulation soit limit�e (pour �viter l’effet pyramide de ponzi)

tout le reste (oh, les m�chants, co�teux immigr�s ; oh les m�chants et co�teux fonctionnaires - qui r�alise du capital et produisent de la valeur �conomique ; oh, ma bonne dame, va bien falloir payer la dette en d�pit des d�fauts dont l’histoire de France n’est pas avare et de la nature des cr�ancier). l’argent est une invention humaine cr�� par les cr�ances que consentent les banques, il peut devenir - comme il l’a �t� - une institution nationale sans cr�dit et sans taux d’int�r�t. si l’argent est un probl�me, on a cas en faire.

j’oubliais la d�valuation �voqu�e dans l’un ou l’autre des commentaires n’est une piste int�ressante que pour un petit pays en crise entour� de grands pays prosp�res ... pas de chance, la France est un grand pays et son environnement �conomique ne lui permettra pas de trouver de d�bouch�s faute de demande ext�rieure.

par contre, les chiffres emp�chent toute r�flexion sur la p�rennit� de l’�conomie mat�rielle : que dire de ces comptables qui poussent au pillage des ressources naturelles, � l’agriculture st�rile, au d�classement de la main d’oeuvre ...

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- L’enfoir� 11 mai 2013 16:36
  
  « la source de la richesse : le travail »
  
  D�sol�, mais ceci est une id�e un peu obsol�te dans notre monde actuel. Ce n’est pas le travail r�p�titif qui gagne, mais les id�es qui rapportent. Le travailler plus de votre ancien pr�sident est une connerie. Travailler plus efficacement, c’est tout autre chose. Le travail tel qu’on le concevait, il y a peu, p�riclite. Les soci�t�s se sont rationalis�es � l’�conomie. Si vous n’avez pas remarqu� la mont�e de la Bourse alors que le ch�mage augment, vous n’avez rien vu..
  
  « - qui permette une production qui corresponde aux besoins (on est loin de l’�ge de pierre, cela devrait �tre possible) »
  
  Pourquoi exporte-t-on plut�t que de consommer sur place ? La r�ponse est simple, on produit plus que ce qu’on a besoin. Les machines sont l� pour acc�l�rer la production.
  
  « - qui redistribue les richesses de telle sorte que l’accumulation soit limit�e (pour �viter l’effet pyramide de ponzi) »
  
  Allez raconter cela � un Chinois, cela m’amuserait d’entendre sa r�ponse.
  
  « va bien falloir payer la dette en d�pit des d�fauts dont l’histoire de France n’est pas avare et de la nature des cr�ancier). l’argent est une invention humaine cr�� par les cr�ances que consentent les banques, il peut devenir - comme il l’a �t� - une institution nationale sans cr�dit et sans taux d’int�r�t. si l’argent est un probl�me, on a cas en faire. »
  
  Tout � fait, mais c’est au niveau de l’Europe que cela se passe les �changes bancaires..
  
  « la d�valuation n’est une piste int�ressante que pour un petit pays en crise entour� de grands pays prosp�res ... pas de chance, la France est un grand pays et son environnement �conomique ne lui permettra pas de trouver de d�bouch�s faute de demande ext�rieure. »
  
  - Une grande puissance, la France, contre les autres blocs mondiaux ?
  
  C’est fini le franc fran�ais, je rappelle.
  
  « que dire de ces comptables qui poussent au pillage des ressources naturelles, � l’agriculture st�rile, au d�classement de la main d’oeuvre ... »
  
  Les march�s s’en foutent, c’est tout. On fait du b�n�fice entre le prix de revient et le prix de vente. Le prix de revient, le co�t, est fix� par de multiples facteurs.
  
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- julius 1ER 12 mai 2013 08:37
  
  ce Spartacus n’est qu’un affreux pessimiste !!!!!!!!!
  
  l’argent et le syst�me mon�taire ne repose que sur la confiance, quelqu’un d’endett� est un bon client et la France restera un bon client, et contrairement � ce que dit AYrault rembourser la dette et en faire une priorit� au d�triment de tout le reste de l’�conomie est la pire b�tise qui soit !! ce qui va arriver va �tre ceci, la banque centrale va cr�er quelques pi�ces de monnaie de 1000 milliards de valeur chacune que certains vont acheter et mettre au clou, et l’�conomie repartira car l’argent ne prend de la valeur que lorsqu’il est compens� par une activit�(seule cr�atrice de richesses) le reste n’est que litt�rature !!!!!!!!!!!!!!!!!!
  J’ ajouterai que la France est un pays hautement cr�dible car j’ai lu il y a quelques jours que son territoire maritime dans la r�gion du Pacifique est l’�quivalent gr�ce � ses �les, du territoire europ�en avec toutes les richesses que �� implique, en cela on arrive juste derri�re les USA alors, il faut arr�ter de nous parler de pays en voie de clochardisation, car quand un banquier vous pr�te de l’argent c’est parcequ’il sait que derri�re vous il y a le « backing »......
  ce pays a juste besoin de plus de justice sociale et d’une meilleure r�partition des richesses, pour le reste nous ne sommes pas plus b�tes qu’ailleurs !!!!!!!!!!!!
  
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- walden 12 mai 2013 09:28
  
  inutile de dire que l’intelligence humaine au service de la production de valeur �conomique, c’est du travail.
  
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- walden 12 mai 2013 09:35
  
  la france est une grande puissance en terme de consommation : vu la taille de son �conomie, il lui sera difficile de trouver des d�bouch�s ext�rieurs pour soutenir sa production int�rieure - qu’elle soit libell�e en florin, en dragme ou en bolivars ne change rien � l’affaire. je ne vois pas la France exporter une partie significative de sa production en chine ou aux �tats-unis qui pratiquent tous les deux la d�flation salariale ... ni en Allemagne qui s’en aussi fait une sp�cialit�.
  par ailleurs, au vu du montant de la dette fran�aise, si la France faisait d�faut, c’est le syst�me financier dans son int�gralit� qui s’�croulerait (c’est le cas m�me pour un petit pays comme le mien). il y a l� un rapport de force � exploiter : quand on a une dette d’un million, on a un dprobl�me, quand on a une dette d’un milliard, c’est notre banquier qui a un probl�me.
  au risque de me r�p�ter, la france est un pays de haute technologie, avec un personnel tr�s qualifi�, des infrastructures, un tissu industriel, une agriculture exportatrice, etc. les fran�ais ne sont pas des ha�tiens, n’en d�plaisent aux cassandres lib�raux.
  
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- walden 12 mai 2013 09:48
  
  par rapport � la chine, il faut signaler que la croissance chinoise correspond � une croissance des salaires - y compris des salaires minimaux - dans ce pays (ils sont en train de d�passer le mexique, par exemple, et subissent d’ailleurs les premi�res d�localisation � destination du bangladesh, par exemple). cette augmentation de salaire massive a permis l’�mergence d’une classe moyenne chinoise qui porte la croissance.
  aussi incroyable que cela paraisse, dans un r�gime capitaliste, le probl�me n’est pas de produire, c’est de r�aliser la production.
  
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walden 11 mai 2013 16:05

excusez mes fautes d’orthographe, j’ai �t� un peu vite mais j’oubliais,
le trou de la s�cu est facile � combler, il suffit d’augmenter les cotisations obligatoires, en aucun cas de r�duire les d�penses, ce qu’une num�romanie born�e pourrait sugg�rer.
� l’inverse, il faudrait augmenter lesdites d�penses puisqu’il s’agit de capital imm�diatement r�alis� qui permet de cesser d’entretenir la bulle sp�culative (financi�re, banqui�re, obligataire ou de produit d�riv�s). comme les agents �conomiques sont en concurrence, ils devront tous aligner leur prix sans perdre de part de march�.

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BA 11 mai 2013 16:57

A propos de l’Italie :

Toujours selon la banque centrale, les banques du pays ont renforc� leurs avoirs en obligations souveraines italiennes, � 363 milliards d’euros au total, contre 351,6 milliards en f�vrier. Ce montant est le plus �lev� depuis 15 ans que la Banque d’Italie en compile la statistique et il repr�sente une augmentation de pr�s de 25% depuis mars 2012.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/reuters-00520264-italie-banques-les-creances-douteuses-en-forte-hausse-en-mars-565185.php

Les banques italiennes pr�parent l’avenir : les banques italiennes se chargent en obligations de l’Etat italien.

Quand la prochaine crise bancaire arrivera, les banques italiennes diront � l’Etat italien :

� Maintenant, tu vas lever des imp�ts suppl�mentaires pour nous renflouer. Si tu le fais, tout ira bien. Si tu ne le fais pas, nous faisons faillite, mais nous t’entra�nons dans notre chute. Il n’y aura plus personne au monde pour te pr�ter de l’argent. Quant aux milliers de milliards d’euros que vont perdre les �pargnants italiens, tu t’expliqueras avec eux. �

En clair : les banques italiennes tiennent l’Etat italien par les c… , et elles le tiennent tr�s fort.

Pronostic :

- Les banques italiennes vont faire faillite ET AUSSI l’Etat italien va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques grecques vont faire faillite ET AUSSI l’Etat grec va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques irlandaises vont faire faillite ET AUSSI l’Etat irlandais va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques portugaises vont faire faillite ET AUSSI l’Etat portugais va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques espagnoles vont faire faillite ET AUSSI l’Etat espagnol va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques chypriotes vont faire faillite ET AUSSI l’Etat chypriote va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques slov�nes vont faire faillite ET AUSSI l’Etat slov�ne va se d�clarer en d�faut de paiement.

- Les banques belges vont faire faillite ET AUSSI l’Etat belge va se d�clarer en d�faut de paiement.

(Liste non exhaustive)

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- L’enfoir� 11 mai 2013 18:23
  
  Je crois qu’il faut voir cela en �levant le niveau � celui de l’Europe.
  
  Les d�ficits budg�taires et d�ficits publiques en Europe
  ceux des Etats-Unis.
  ceux du Japon
  La diff�rence entre les trois, c’est quoi ?
  La confiance... dans la monnaie, dans les potentiels de d�veloppements et ceux de pouvoir r�agir � un probl�me donn� et la solution � donner.
  Quand vous devez organiser une r�union � 27, combien de temps faut-il ?
  On parlait hier des jours f�ri�s en France.
  Les graphiques de ce « No-vacation nation » ne vous dit rien ?
  
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travelworld 11 mai 2013 17:27

Personne n’�voque la sp�culation immobili�re qui fait beaucoup de mal, l’Espagne �videment, mais aussi le Japon dans les ann�es 90, les c�l�bres « subprimes »aux U.S etc.
Le ralentissement de la consommation en France vient de l� �galement.
Autrefois le fondateur de Sony ou Honda je ne sais plus visitant les USA d�clar�t :« Vous formez des avocats, nous des ing�nieurs »
Nous pourrions dire nous formons des agents immobiliers, mais pas assez d’ing�nieurs, les Fran�ais investissent tr�s peu dans leurs entreprises, les petits porteurs ont d�sert� la bourse, moi le premier....
L’absence de politique industrielle et recherche depuis Chirac, en gros, nous a fait beaucoup de mal !!!

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Pyrathome 11 mai 2013 17:39

Des chiffres ?

+ de 25 000 milliards dans les paradis fiscaux.....

Fraude fiscale en France = + 200 milliards s’�vaporent chaque ann�e....

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- spartacus 11 mai 2013 20:54
  
  @par pyrathome
  
  Les chiffres cit�s dans l’article, correspondent a des publication v�rifi�es.
  
  Sans la nier, personne ne connait la r�alit� des fonds dans les paradis fiscaux et la Fraude fiscale.
  Les chiffres que vous donnez sont en g�n�ral des propagandes destin� des client�les politiques r�ceptives a la stigmatisation pour d�tourner des vrais chiffres que chacun devrait connaitre...
  
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benyx 11 mai 2013 18:21

Spartacus, arr�tez d’appliquer un raisonnement de micro-�conomie � une logique macro-�conomique. Vous faites une erreur de d�butant ignorant des bases de l’�conomie. Vos r�actions et vos articles sont des inepties �conomiques, celles que r�p�tent les n�o-lib�raux (par ignorance ou par int�r�t). Lisez Keynes, vous comprendrez (je l’esp�re), vous gagnerez du temps � ne plus �crire n’importe quoi !

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- spartacus 11 mai 2013 20:48
  
  Semble t-il les Keyn�siens n’aiment pas la critique.....
  
  Avec votre Formidable Keyn�sianisme et 1149 milliards de dette pour la cr�ation de relance par l’emprunt, nous devrions tous �tre au plein emploi, mais 4.8 millions de ch�meurs.
  
  Et dire que c’est le Keysianisme qu’on instruit � l’ENA et Science Po et l’�ducation nationale.....
  
  Vous n’avez pas l’impression que les faits vous donnent tors ? Il est vrai qu’il vous reste la langue de bois pour ne jamais admettre l’�croulement des id�es Keyn�siennes...
  
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- vesjem 11 mai 2013 23:32
  
  on peut aussi penser par soi-m�me ,apr�s avoir analys� les infos locales et globale ,et tent� de faire une synth�se sans faire r�f�rence � untel .
  les raisonnements macros et micros sont utiles et compl�mentaires .
  salutations
  
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- walden 12 mai 2013 09:25
  
  non, la dette fran�aise est due � 85% aux int�r�ts. ces int�r�ts proviennent du mode de financement de ladite dette : l’�tat emprunte aux banques priv�es. ce qui est remarquable, c’est que ces banques empruntent elles-m�mes aux banques publiques � un taux (presque) nul. en derni�re instance, la cr�ation mon�taire est le fait de la banque publique ou du cr�dit. quand elle est le fait du cr�dit, la masse de dette cro�t plus rapidement que la masse mon�taire puisque les cr�ances sont r�tribu�es.
  si l’�tat fran�ais s’�tait directement financ�, sa dette serait de 200 mds actuellement pour les m�mes d�penses.
  il est �galement remarquable, en France, que la question de la dette demeurait un probl�me de faible port�e pendant les trente glorieuses keyn�siano-gaulliennes.
  
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vesjem 11 mai 2013 18:22

je ne peux que faire confiance � spartacus et ses chiffres ;
un petit exemple : quand l’europe « pond » une directive technique , elle y associe une prime � ex�cution ; toutes les villes d’europe , pour obtenir la dite prime , se lancent inconsid�r�ment dans ces travaux (souvent inutiles) , � grands renforts d’emprunts toxiques ou non ; ceci depuis des lustres ; n’avons-nous pas tous observ� depuis une dizaine d’ann�e, une acc�l�ration de travaux gigantesques dans nos agglom�rations ;tout-�-l’�gout ici , couloirs de bus l� , destructions/reconstructions imb�ciles des cit�s (au lieu de c�der aux locataires , ces logements depuis longtemps rembours�s) , etc ... autant de dettes (et pas des petites) qui gonflent celle globale ; la derni�re nouveaut� sont les « partenariats public / priv� » , qui retardent une dette que nous laisseront � nos enfants , et de plus ,en truquant les bilans des municipalit�s ;
j’ai questionn� ma mairie sans succ�s ; je suis preneur d’explications plus pr�cises .

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- L’enfoir� 12 mai 2013 18:21
  
  Rebonjour vesjem,
  
  « Je ne peux que faire confiance � spartacus et ses chiffres »
  J’ai confiance aussi.
  D�sol� de revenir.
  
  « quand l’europe � pond � une directive technique , elle y associe une prime � ex�cution »
  
  Il ne faut pas voir le pouvoir de l’Europe sous ce angle. La CE fait des injonctions mais n’offre pas de primes � l’ex�cution.
  Le r�le de la CE et son mandat s’�tablit ainsi : « La Commission europ�enne promeut l’int�r�t g�n�ral de l’Union et prend les initiatives appropri�es � cette fin. Elle assure la repr�sentation ext�rieure de l’Union � l’exception de la PESC et des autres cas pr�vus par les trait�s (art. 17 TUE). Elle assure �galement les relations avec les organisations internationales et met en place les d�l�gations aupr�s des pays tiers. »
  
  Les grands travaux sont r�alis�s et financ�s au niveau du pays, de la r�gion ou de la mairie (commune pour nous). L’Europe ne se permettrait pas de s’immiscer dans les affaires d’un Etat. Celui-ci doit se d�brouiller pour trouver les sous.
  
  « la derni�re nouveaut� sont les � partenariats public / priv� � »
  
  Exact. Il y a seulement une r�gle de conduite, l’obligation de trouver un nombre d’entreprises priv�es candidates pour faire certains travaux importants. Il y a eu assez d’affaires qui se sont termin�es en justice pour raison manquement � cette r�gle.
  Si vous ne vous souvenez pas des affaires contre Microsoft et d’autres multinationales.
  Pas de monopole....
  
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- vesjem 13 mai 2013 12:04
  
  salut enfoir�
  je suis au regret de te dire que tu retombes dans tes travers ; ne vois pas en moi un ennemi ;
  l’europe subventionne (m�me petitement) les travaux qu’elle « pr�conise » ; est-ce vrai ou non ?
  
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benyx 11 mai 2013 21:31

C’est quoi les trente glorieuse comme politiques... Une politique keynessienne a l’�chelle Europ�enne, Chinoise ou autre grand bloc avec le contr�le des march�s vous relance l’�conomie que la politique n�o-lib�rale � d�truit en 30 ans.

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- spartacus 11 mai 2013 23:05
  
  Les 30 glorieuses on le paye encore aujourd’hui.....
  
  Cet apr�s guerre c’est aussi fait par une dette sur les g�n�rations suivantes....
  
  Vous avez vu un jour une politique lib�rale en France ?....Vous �tes bien le seul.
  
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- walden 12 mai 2013 09:27
  
  de nouveau, l’essentiel de la dette est post�rieure au keyn�sianisme des trente glorieuses keyn�sienne, bien plus, elle s’est surtout accumul�e apr�s ... le tournant de la rigueur de triste m�moire : regardez l’historique des chiffres.
  
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yoananda 12 mai 2013 00:20

Bravo.
Bon courage car Agoravox est compl�tement noyaut� par des fonctionnaires gauchistes qui refusent tout dialogue et toute remise en cause.

J’avais fait le constat de la ruine de l’�tat d�s 2010.

http://yoananda.wordpress.com/2010/09/23/la-france-en-ruine/

Compl�tement d’accord avec vous : les politiques mon�taires ne sont qu’une cause lointaine du vrai soucis : le choc p�trolier des ann�es 70, a partir duquel tout � chang�. Nombre de courbes en attestent.
D’ailleurs 2005 est aussi un choc p�trolier, mais bon, ... autant pisser dans un violon.

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mortelune 12 mai 2013 02:12

Les chiffres sont une bonne chose et leur interpr�tation en est une meilleur. Cette avalanche de chiffres ne m�rite pas les maux de t�te qu’elle va entrainer et l’aspirine qu’il va falloir prendre. Sans le vouloir vous participez au d�ficit de la s�cu...

« l ne reste que 69 milliards pour payer la totalit� des services de l’�tat. Administration, aide publique, culture, d�fense, »

Puisque vous �voquez la d�fense. Pourquoi cacher ce poste de d�pense � cot� de la culture et des aides publiques ? La d�fense nationale repr�sente 13% du budget de la nation ce qui en fait le troisi�me poste de d�pense. Quand on parle de ’d�fense nationale’ il est bon d’ajouter que notre arm�e passe davantage de temps � tuer des hommes, femmes et enfants � des milliers de kms de nos fronti�res au lieu de nous prot�ger des attaques des financiers de la City et de Wall street.

Comme des graphiques valent mieux que des miriades de chiffres tr�s mal comment�s voici une page beaucoup plus simple � lire : les d�penses de l’�tat

NB. Tout votre article pour montrer que les fonctionnaires coutent chers aux fran�ais, vous auriez pu aller directement au fait. De mon cot� j’ai le sentiment que les gens comme vous coutent bien plus cher � la soci�t� et que lorsque je vois une infirmi�re ou un(e) coll�gue enseignant(e) je vois quelqu’un d’honn�te qui fait son travail le mieux qu’il peut.

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- spartacus 12 mai 2013 09:00
  
  @Mortelune
  
  Je n’ai rien voulu d�montrer, sauf exposer aux bonimenteurs la r�alit�.
  Ce n’est que de la transparence.
  Quand on est prof comme vous aux Dom Tom au soleil, et qu’on b�n�ficie de privil�ges de double paye et autres privil�ges de retraite avanc�e, et qu’on d�nonce ses voisins de la d�fense..On en conclus ce que l’on veut.
  
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- mortelune 12 mai 2013 13:14
  
  Chacun m�ne la vie qu’il peut Spartacus et il n’y a rien � renier sauf � d�plorer que des gens comme vous ne puissent pas imaginer une seconde que tout le monde � le droit au bonheur et que celui-ci ne se trouve pas forc�ment au pied des chemin�es d’usines. Vos chiffres ne sont pas de la transparence puisqu’il s’agit surtout pour vous et d’autres de les manipuler pour en faire un outil de propagande � deux sous. Vous �tes un sionistes et fier de l’�tre et �a je vous le met dans la figure sans h�sitation. J’ajoute m�me que la terre se porterait bien mieux sans des arrivistes comme vous. R�fl�chissez-y deux minutes et retournez faire travailler vos ouvriers je suis certaine que vous avez hates de leur filer un coup de pieds aux fesses pour le grand bien de votre rentabilit�.
  
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- spartacus 12 mai 2013 18:16
  
  Menez la vie que vous voulez, et prenez du bonheur aux frais du contribuable, mais �vitez de donner des le�ons de justice soi disant sociale, quand on b�n�ficie de privil�ges c’est toujours amusant de voir le ma�tre nageur ne pas savoir nager.
  
  Sioniste ? N’�tant ni juif, ni Isra�lien, je ne comprend pas l’allusion. Vous avez des probl�mes antis�mites ? C’est la culture communiste ?
  
  Et l’arriviste que je suis ne demande rien � l’�tat de le prendre en charge et mes salari�s sont libres.
  Et la rentabilit� est la logique m�me, sauf pour les emploi � vie de la puissance publique qui vivent sur la b�te de l’�tat.
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 18:28
  
  +1 Spartacus.
  
  « tout le monde � le droit au bonheur » dit Mortelune.
  
  Tout � fait d’accord et pas n�cessairement en effectuant un travail ab�tissant.
  Il y a le PIB et il y a le BIB, le Bonheur Int�rieur Brut" comme je l’ai appel�.
  Un rapport avait �t� command� � Stiglitz en 2008 par Sarkozy.
  Le bonheur un question de mesure... bien plus difficilement chiffrable.
  
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- HugoS 12 mai 2013 19:08
  
  R�sum� de la discussion entre @Spartacus et @Mortelune :
  Spartacus : « MOI J’AI LE DROIT DE DONNER DES LECONS AUX AUTRES ET DE LES TRAITES DE COMMUNISTES HAINEUX, MAIS PAS TOI, NA ! »
  
  Le pire c’est que je caricature � peine.
  
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- spartacus 13 mai 2013 08:32
  
  @gauche normale
  
  Je lui en d�j� ai fait la r�flexion, et elle l’a confirm�. Vous qui �tes envieux, vous ne savez pas que l’imp�t sur la fortune en Nouvelle Cal�donie est principalement pay� par les m�nages de profs en double paye ?
  La grande diff�rence, c’est que l’entrepreneur ne prend pas son argent sur le contribuable ni de privil�ges sur le dos du bien collectif.
  On peut louer des yacht pas cher a Madagascar, aujourd’hui chacun peut se payer une belle limousine, on trouve des Lexus sur le bon con, et disposer d’un logement sur Dubai ne me choque pas.
  
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- spartacus 13 mai 2013 11:47
  
  Ha�t celui qui est plus riche que toi.....Sortez de cette pleine culture Marxiste aveuglante, imaginez que la richesse s’obtient majoritairement par le travail et le talent, et arr�tez de confondre exceptions avec g�n�ralit�s....
  
  Que les fonctionnaires m�ritent leur salaire je n’en doute pas, mais les privil�ges, d�sol� �a ne marche pas. Surtout quand on sait ce que cela co�te.
  
  Parlez pas de cotisations compar�es, vous connaissez le brut de brut d’un fonctionnaire, vous vous aventurez sur un terrain qui n’est pas favorable aux oblig�s de l’�tat ?
  
  B�n�ficier d’un doublement de salaire pour vivre en Nouvelle Cal�donie, et une retraite am�lior�e payable sur le contribuable..et de l’autre nous faire un d�ferlement sur les « privil�ges »....
  
  Maintenant si vous estimez que le contribuable pr�f�re payer avec les imp�ts, des primes de vacances pour des corporation au d�triment de se payer avec des biens pour lui...Pour vous le monde est beau.
  
  Mais il vrai que pour vous l’argent tombe du ciel, les ressources de l’�tat sont incommensurables, et les oblig�s sont des gens qui doivent prioritairement profiter de la manne contribuable.
  
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- Mycroft 13 mai 2013 13:56
  
  Jusqu’� preuve du contraire, Spartacus, la grande majorit� des fonctionnaire, et la totalit� des enseignant, sont issus de concours. On ne n� pas fonctionnaire, c’est un poste qui s’obtient par travail et m�rite.
  
  Contrairement � celui d’entrepreneur, qui est li� � l’h�ritage, que ce soit les grandes entreprises ou les petites.
  
  Les profs, que vous l’acceptiez ou non, sont une �lite intellectuelle. La preuve en est, ils arrivent � �duquer leur enfants, qui r�ussisse massivement (ce qui est rassurant dans une certaine mesure, �a prouve qu’ils font bien leur taf et que le probl�me est massivement dans l’incomp�tence des parents). Et ne venez pas parlez de tricherie, les concours sont anonymes.
  
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- spartacus 13 mai 2013 15:13
  
  @par Mycroft
  
  Vous avez raison, n’est pas enseignant qui veut, j’en convient sans aucune �quivoque.
  Comme entrepreneur, j’ai d�marr� � 0, et une grande majorit� aussi, votre vision de l’entrepreneur que vous enseignez, en est rest� � Zola, Hugo ou Marx....
  
  La pr�dominance des r�sultats de profs vient principalement de leur connaissance du syst�me et des fili�res d’orientation complexe et opaques pour les quidams.
  
  Quand a votre vision de l’« �lite » elle ressemble surtout a une corporation jalouse et profiteuse sur le dos de la collectivit�s de privil�ges.
  Un privil�ge est un avantage garanti au d�triment des autres. Et les autres se sont les contribuables.
  En Suisse le statut de fonctionnaire n’existe plus.
  En Italie et Autriche, Su�de, l’emploi � vie n’existe que pour les professions r�galiennes. Les profs n’en font pas partie.
  Se consid�rer comme une �lite est pr�somptueux !
  
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- rocla (haddock) 13 mai 2013 15:31
  
  Se consid�rer comme une �lite est pr�somptueux !
  
  Surtout si on vit sur le dos des autres .
  
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- Mycroft 14 mai 2013 12:49
  
  Pour votre gouverne, je ne suis pas enseignant ou fonctionnaire, mais bien salari� du priv�. Et plus utile pour ma boite que son fondateur qui se trouve �tre mon employeur.
  
  Vous pr�tendez �tres partie de z�ros. Je ne doute pas que vous en soyez convaincu. Je ne doute pas non plus que �a soit faux. Vous avez sans aucun doute b�n�fici� de pr�ts pour vous lancer dans votre aventure. Pr�ts qui ne s’obtiennent pas sans un minimum de garantie. Et quand bien m�me vous seriez cette perle rare, cet r�el self made man, �a ne fait pas de vous le mod�le de entrepreneuriat.
  
  Vous citez le nombre de fils d’enseignant qui r�ussissent (chose qui s’explique simplement, puisque un enfant d’enseignant est �duqu� 24h/24 par des professionnels alors que les autres ne le sont que 8h/24) pouvez vous citez le nombre d’entrepreneurs fils de pauvre ? Comment expliquez vous ce chiffre qui doit �tre abyssalement bas ?
  
  Contrairement � l’enseignant, qui a besoin d’une certaine maitrise intellectuelle, un entrepreneur n’a pas besoin d’�tre un as. Il lui suffit d’avoir des contactes comp�tents et pas ambitieux (ce qui, pour une raison qui m’�chappe, correspond � la majorit� des gens comp�tents).
  
  Le syst�me d’orientation n’a rien d’opaque. Le seul probl�me du syst�me d’orientation, c’est la FAC, qui ne sert � rien, except� au niveau du doctorat et pour quelques autre domaines pour lesquels ils n’existent pas d’�cole d’ing�nieur. Mais il n’y a pas grand besoin d’�tre un connaisseur pour savoir quelle formation suivre. Except� quand on a pas le niveau de faire des �tudes sup�rieurs, ce qui est le cas de plus de la moiti� de ceux qui se lancent dans l’aventure.
  
  Un privil�ge n’est choquant que s’il est l’apanage d’une caste h�r�ditaire, certainement pas quand il r�sulte d’une m�ritocratie, la meilleur d’entre elle �tant celle du concours.
  
  Se consid�rer comme une �lite, avant d’�tre pr�somptueux, c’est, quand on comprend r�ellement comment fonctionne les math�matiques et la science, �tre r�aliste.
  
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- spartacus 14 mai 2013 14:14
  
  Pour l’entrepreneur, chaque bilan annuel est un concours.
  
  Perso, les entrepreneurs que je coutoie sont des gens de toutes origines, et l’ambition est souvent le moteur.
  
  Pour l’entrepreneur, chaque bilan annuel est un concours, et nous n’avons pas le m�me sens des droits et privil�ges.
  
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- Mycroft 14 mai 2013 16:26
  
  Comme si un bilan annuel �tait un moyen de juger le travail et la comp�tence d’une personne. Ca d�pend de tellement de chose qu’on est en droit de se demander si la comp�tence de l’entrepreneur entre en compte. Un concours, c’est un moyen clair et efficace de s�lectionner une �lite. Pas forc�ment parfais, mais il n’existe pas, � l’heure actuelle, de meilleurs syst�me de s�lection.
  
  Vous avez raison, les entrepreneurs sont en effet souvent des gens ambitieux. Mais pr�sentez leur une publication pointue, un brevet, ou n’importe quoi de technique, et vous les larguez rapidement, � quelques exceptions pr�s.
  
  Ceux qui font tournez les boites, ce sont les experts techniques. Ing�nieur, scientifiques, ceux qui font des publications et des brevets. Ceux l� cr�er des richesses. Bien plus que ce que leur maigre salaire repr�sente. Apple n’existe pas gr�ce � Steves Job mais � Steve Wozniak. Et c’est tout le temps comme �a. L’homme de l’ombre, l’expert, fait le vrai boulot, le « dent longue » rafle la mise. Sauf pour les entreprises artisanale, pour lesquels il n’y pas vraiment d’innovation, mais peut on vraiment penser que ces entreprises cr�ent de la richesse � l’heure d’aujourd’hui ? Elles sont un r�sidus du pass�, certainement pas un exemple. Une soci�t� structur�e a besoin d’ouvrier, pas d’artisan.
  
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Montagnais 12 mai 2013 04:39

A benyx

Vous seriez pas �l�ve en Hypokeynes vous ? en tout cas ..

Vous �tes bien p�remptoire petite t�te du haut de vos 15 commentaires, sans un papier sans un article, bizarrement accroch� aux th�ses du vieux baron godon antic comme une bigote � sa fiole d’eau b�nite .. Vade Retro Spartacus !..

Spartacus, lui, a r�alis� des trucs .. vous .. qu’avez fait ? minaud� ?.. Keynes affich� comme nouvelle paire de pompes, Converse et Nik� !..

Keynes, jeune fleur primesauti�re, sachez, ne sert plus qu’aux deuxi�me ann�es d’action co et aux �lus de Clochemerle-les-Bouriquots .. pour expliquer l’�conomie aux pompiers et aux rombi�res .. briller au repas de faim damn�e ..

Les conditions historiques se sont modifi�es de fa�on empyr��que .. Truisme Montagnais !..

Keynes aux questions �conomiques de maintenant - et encore plus pour le futur - , c’est Bourvil dans la r�volution technologique, de Fun�s et Tom Ripley ministres de la culture ..

Vous faites une erreur de d�butant ignorant de la r�alit� du moment

Lisez le Washington Post d’avant-hier, ou le Los Angeles Times d’aujourd’hui .. vous comprendrez (je l’esp�re), vous gagnerez du temps � ne plus �crire n’importe quoi !

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L’enfoir� 12 mai 2013 08:56

Spartacus,

D�sol� de le dire, mais vos commentaires sont mous. Il ne suffit pas d’�noncer les chiffres, mais de savoir ce qu’on en fait.
J’ai �t� un homme de chiffres pendant ma vie active. Les graphiques, leur interpr�tation, je connais.
On vous dit que « ’appliquer un raisonnement de micro-�conomie � une logique macro-�conomique », ce que je trouve tout � fait exact, vous r�pondez � c�t� de la plaque.
La marco-�conomique n’a rien � voir avec votre petit business dans vos coins o� vous avez d�cid� de d�poser vos valises.
Il faut prendre du recul devant des chiffres, faire le bilan et en tirer des conclusions pour les am�liorer.
Bien s�r que les dettes devront �tre pay�es dans le futur, mais tout d�pend de ce qu’on fait des emprunts. Si une dette est fait pour une am�lioration de la situation, elle sera rembours�e par elle.
« Les chiffres sont une bonne chose et leur interpr�tation en est une meilleur » dit Mortelune, et il � 100% raison. Quand on investit pour d�truire, c’est � fond perdu.
Quand � vos attaques contre les fonctionnaires, ils sont un peu p�rim�s. L’Etat agit aujourd’hui comme un chef d’entreprise. Il �lague l� o� il faut, pour faire des �conomies. La Cours des Comptes de la France, je ne connais pas assez, mais chez moi, c’est le cas.
Alors, SVP, racontez-nous dans un prochain articles dans quel cas vous avez fait �volu� le schmilblick dans le bon sens.
C’est de la micro�conomique, mais, au moins, de cela vous pouvez parler.
@+

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- spartacus 12 mai 2013 09:37
  
  @par l’enfouar�
  
  Mes articles passent rarement la censure des mod�rateurs de gauche en surnombre sur Agoravox.
  Ca peut vous donner une id�e de « mollesse »
  
  Contrairement a ce que vous pensez je n’ai rien contre les fonctionnaires en soi, juste leur nombre.
  
  Quand a croire que l’�tat agit comme un chef d’entreprise on en est loin, tr�s loin.
  Les politiciens agissent pour se faire r��lire en fonction de « client�les ».
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 09:51
  
  « Mes articles passent rarement la censure des mod�rateurs de gauche en surnombre sur Agoravox. »
  
  Je m’en doute. Je ne suis pas contre vous, j’essaye de vous aiguiller. Parler d’�conomie, c’est sortir d’un pays pour le retrouver au niveau g�n�ral et mondial. La France, cela repr�sente quoi dans le monde ? Les Droits de l’Homme,... et encore. Ils sont en perte de vitesse.
  Ce qui est int�ressant puisque vous aimez les chiffres et leur contenu, c’est de partir par le bas, par votre exp�rience, parler de votre v�cu, des bons et des mauvais points que vous rencontrez sur votre chemin. Soyez plus intimiste, que diable.
  Il faut se mouiller la chemise quand on �crit comme on le fait dans la vie de tous les jours.
  C’est ��, sortir de la mollesse.
  La mod�ration, j’en ai fait pendant un an. Je n’en fais plus. Perdues dans ce monde de mod�ration qui ne dit plus son nom ne m’int�resse plus. C’est du sable mouvant �tre mod�rateur apr�s avoir publi� quelques articles ;
  
  Ok, pour les fonctionnaires. Il y a fonctionnaire et fonctionnaire. Il y a un esprit fonctionnaire, c’est exact, mais il est occup� � en recevoir plein la gueule. Vous ne connaissez peut-�tre pas le BPost avec les tourn�es qui sont g�r�es par un logiciel Georoute (qui est d�j� � sa ni�me version)
  
  « Quand a croire que l’�tat agit comme un chef d’entreprise on en est loin, tr�s loin. »
  Vous parlez encore une fois pour la France, qui a �norm�ment de retard dans beacuoup de domaines
  
  « Les politiciens agissent pour se faire r��lire en fonction de � client�les �. »
  
  Yes, rien de nouveau sous le soleil.
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 09:55
  
  Au niveau, de ce que je vous disais au d�but de mon commentaire, sachez que pour donne l’envie d’entreprendre, la t�l� belge (La1) donne tous les jours des exemples de PME qui r�ussissent en d�pit de la crise, sous le titre g�n�rique de « Made in Belgium ».
  
  C’est exactement ce que vous devriez faire ici, sur cette antenne, si votre t�l� n’en est pas capable.
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 10:12
  
  En d’autres mots : faites votre bilan personnel.
  
  L�, on pourra compter les points.
  
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- vesjem 12 mai 2013 13:26
  
  enfoir� , pourquoi t’excites-tu comme une puce ; as-tu besoin de reconnaissance ? tu tournes les commentaires en d�rision de mani�re un peu simpliste pour qu’on te r�ponde ; voil� , c’est fait ; je n’ai rien dit de constructif pour te signifier que tu fais du vent ; applique-toi ,si tu veux bien ,tu as s�rement de bonnes id�es enfouies en toi ,mais tes r�voltes te les masquent .
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 16:32
  
  Vesjem,
  
  « pourquoi t’excites-tu comme une puce »
  
  Parce que j’aime la puce. C’est un petit animal qui n’en a rien � faire de l’endroit o� il s’installe.
  Il chatouille, il grattouille quand les autres se mouillent.
  
  « as-tu besoin de reconnaissance ? »
  
  Ah, non, j’adore l’ombre. Justement comme une puce.
  
  « tu tournes les commentaires en d�rision de mani�re un peu simpliste pour qu’on te r�ponde »
  
  Ben oui, c’est un tort, d’apr�s toi ?
  
  « voil� , c’est fait ; je n’ai rien dit de constructif pour te signifier que tu fais du vent »
  
  J’aime le vent, aussi. Son souffle me permet de sauter bien plus loin.
  
  « applique-toi ,si tu veux bien ,tu as s�rement de bonnes id�es enfouies en toi ,mais tes r�voltes te les masquent »
  
  Les r�voltes et les masques ?
  A y r�fl�chir, oui, c’est le r�le de la puce, elle masque ses r�voltes...
  
  Robert Clausard a �crit un po�me, la « Puce-chien » que je ne trouve pas mal.
  J’esp�re qu’il vous plaira aussi.
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 18:01
  
  Merci de m’avoir donn� l’opportunit� de changer mon avatar
  
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- spartacus 12 mai 2013 19:20
  
  @par l’enfouar�.
  
  Parler de mon v�cu sur le terrain pourrait �tre pr�judiciable a mes activit�s.
  La France n’est pas la Belgique, c’est un pays de jalousie extr�me. La France est l’un des pays ou l’entrepreneur est ostracis� et doit vivre cach�.
  Agoravox doit rester un amusement, c’est pour cela que je suis toujours rest� g�n�raliste...
  Mais je retiens de parler plus de mes d�placements, et de la place per�ue de la France � l’ext�rieur.
  
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- L’enfoir� 12 mai 2013 20:18
  
  +1 Spartacus
  
  « La France n’est pas la Belgique, c’est un pays de jalousie extr�me. La France est l’un des pays ou l’entrepreneur est ostracis� et doit vivre cach�. »
  
  Je ne connais la France que pendant des p�riodes courtes de vacances. J’en ai entendu parl�, c’est tout. Mais je m’instruis en votre pr�sence.
  
  « Agoravox doit rester un amusement, c’est pour cela que je suis toujours rest� g�n�raliste... »
  
  Ok, Je comprends. Pour moi aussi. A une certaine �poque, la base m’a invit� � y publier. Aujourd’hui, je ne fais plus que commenter en �tant revenu sur ma base de d�part.
  
  « Mais je retiens de parler plus de mes d�placements, et de la place per�ue de la France � l’ext�rieur. »
  
  Agoravox existe en Belgique. Cela s’appelle medium4you.be
  C’est moins agit�.
  
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cr�tin alpestre 12 mai 2013 09:05

Bonjour spartacus

Je suis nul en �conomie et j’aurais deux questions :

Quelle est la nature de la dette publique (en France ou ailleurs), ou plus pr�cis�ment, sur quelle contre-valeur tangible est-elle adoss�e ?
Ensuite, quel �tat dans le monde pratique une politique lib�rale, selon les crit�res du lib�ralisme �conomique actuel ?

Pouvez-vous m’�clairer ? Merci...

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- L’enfoir� 12 mai 2013 09:13
  
  Nul en �conomie et en recherches sur Internet ?
  
  Il suffit de quelques clics et vous avez la r�ponse � votre question.
  
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- spartacus 12 mai 2013 09:29
  
  @bonjour cr�tin alpestre
  
  La dette est assise sur le PIB. Le PIB est « soi disant » la richesse produite.
  La richesse produite par essence n’appartient pas � l’�tat.
  C’est donc sur le pouvoir de coercition, c’est a dire le pouvoir de lever des imp�ts que la dette est adoss�e.
  
  Une politique est lib�rale, le lib�ralisme est une �thique, pas une id�ologie.
  Les pays sont d�mocrates ou socialistes ou communistes.
  Par exemple la Chine en �conomie applique une certaine forme de lib�ralisme, mais ne peut �tre qualifi� de pays lib�ral, puisque la libert� doit �tre aussi politique et individuelle.
  
  On retrouve principalement le lib�ralisme dans les pays d�mocrates.
  On dit qu’un pays suit une politique lib�rale, mais pas qu’un pays est lib�ral.
  Hong Kong, la Suisse, Singapour, le Canada, la Nouvelle Z�lande, l’Australie, Barhein ont des politiques lib�rales.
  Le Chili et le royaume unis depuis 2010 ont des nouveaux gouvernements lib�raux depuis 2010.
  Au Chili le ch�mage a baiss� de 7 � 6% en 2 ans. En Angleterre de 9.5 � 7.8 en 2 ans.
  
  Il existe des auteurs simples � lire qui expliquent l’�conomie pour ceux qui veulent s’instrure en �conomie rapidement comme Henry Hazlitt et Hayeck
  Exemple : Sources Henry Haslitz « Economics in One Lesson ».
  
  Sa lecture en Fran�ais est gratuite sur Internet
  http://herve.dequengo.free.fr/Hazlitt/EPL/EPL_TDM.htm
  
  Une fois avoir lu lisez Hayeck La Route de la servitude qui est aussi assez simple a lire, m�me si les r�f�rences au r�el sont assez anciennes.
  
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- walden 12 mai 2013 09:43
  
  chiffre pour chiffre, il est utile de pr�ciser que dans certains quartiers d’Edimbourg, l’esp�rance de vie atteint le chiffre remarquable de 56 ans, presque aussi bien qu’en Inde. effectivement, si le taux de ch�mage indemnis� est le crit�re ultime, alors l’angleterre est l’exemple mais si l’on parle de la dette publique, de la sant� publique, de la productivit�, du devenir du tissu industriel, alors l’Europe du nord ou la France me semblent des exemples plus int�ressants. � vous de voir s’il faut diminuer le taux de ch�mage indemnis� � tout prix ou s’il faut vivre en bonne sant� avec des usines qui tournent ...
  pour hayeck, rappelons que toute d�pense est inflationniste : les investissements et la formation ne constituent pas des placements � terme int�ressants, ils n’ont pas d’effet sur la production de valeur. formidable. du coup le lib�ralisme ram�ne lentement mais s�rement � l’�ge de la pierre � coup de ’capitaine d’industrie’ et de ’cr�ateur de valeur’.
  
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- foufouille 12 mai 2013 11:52
  
  Le Chili et le royaume unis depuis 2010 ont des nouveaux gouvernements lib�raux depuis 2010.
  
  et en GB, ils ont deja plus de 10000 morts ..........
  
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- spartacus 12 mai 2013 18:42
  
  @Walden et Gauche normale prennent des « r�f�rences » communistes....
  
  PIB, esp�rance de vie, taux de pauvret�, c’est une constante et une culture des partis de gauche historique de leur propagandes de r�f�rence stupides utilis�es pour arriver au pouvoir.
  La culture de la r�f�rence « bidon » forc�ment mis�rabiliste !
  
  L’esp�rance de vie est fonction de toute une vie. C’est une h�r�sie de faire une analyse dessus.
  Exemple : esp�rance de vie sur 2 personnes. Une personne morte par �v�nement naturel � 25 ans et une autre morte a 100 ans, l’esp�rance de vie est de 62.5ans.
  Autre exemple : esp�rance de vie sur 2 personnes mortes de mort naturelle � 70 ans. l’esp�rance de vie est de 70 ans.
  
  Le taux de pauvret� est une analyse sur la base d’un seul en France et en valeur absolue dans les pays anglo saxons.
  
  A part les cocos qui se gargarisent de ces chiffres pour exposer leur haine, rien n’est analysable sur ces chiffres qui sont des agr�gats propagandistes.
  Par exemple le « pauvre » am�ricain a 2 voitures, la clim et une maison de 6 pi�ces.
  
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- HugoS 12 mai 2013 19:04
  
  @Spartacus :
  "PIB [...] c’est une constante et une culture des partis de gauche historique de leur propagandes de r�f�rence stupides utilis�es pour arriver au pouvoir.«
  Plus haut dans l’article :
  »0.1% de croissance envisag�e. Il faut 2.5% de croissance pour simplement commencer a rembourser de la dette."
  Et la croissance on la mesure avec quoi hein ?
  
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- rocla (haddock) 12 mai 2013 19:06
  
  la croissance se mesure avec des pains au chocolat .
  
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Les chiffres ! Rien que des chiffres pour comprendre !

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