samedi 5 septembre 2020 - par heber

Mettre le système économique au service de la société : règles relatives au chômage

Le système économique doit être mis au service de la collectivité. A cet égard, il est nécessaire d'améliorer le fonctionnement et les règles d'accès aux indemnités de chômage. Les propositions émises complètent les idées précédemment exposées en relation avec le contrat d'emploi.

Tout travailleur à durée indéterminée mis au chômage est indemnisé selon les règles suivantes :

90% du dernier salaire perçu pendant la première année, 80 % pendant la deuxième année et 70% pendant la troisième année sachant que l’indemnité plancher perçue pendant ces trois ans ne peut être inférieure à 90 % du salaire mensuel minimal national (1500 euros indexés sur le coût de la vie, cf. article précédent), l’indemnité plafond ne pouvant, quant à elle, excéder 5000 euros.

Tout chômeur indemnisé peut librement exercer, au cours de cette période de trois ans, une activité partielle jusqu’à 4 jours ouvrés par semaine et percevoir à ce titre un montant de rémunération qui ne peut dépasser la différence entre le dernier salaire intégral qu’il a perçu et l’indemnité de chômage qu’il perçoit à un moment donné. Tout montant de sa rémunération excédant cette différence doit être reversée intégralement et directement par son employeur partiel aux services sociaux.

Cette disposition a pour but de faciliter la réinsertion du travailleur chômeur et de faciliter son retour à l’emploi.

Les chômeurs doivent tous, sans exception consacrer au moins une journée ouvrée par semaine à la recherche d’un nouvel emploi et à la formation, ceux n’exerçant pas d’activité partielle, devant suivre une formation à temps complet, 4 jours par semaine.

Le chômeur indemnisé qui fraude le système doit rembourser toute somme perçue supérieure à son dernier salaire et s’acquitter d’une amende égale à un mois d’allocation. L’employeur à titre partiel qui abuse le système est tenu de payer une amende égale trois fois le salaire annuel brut intégral des employés concernés. En cas de récidive, le chômeur fraudeur est rayé des registres et ne perçoit plus aucune indemnité tandis que l’amende de l’employeur fraudeur est multipliée par un facteur 10, le responsable concerné pouvant faire, en outre, l’objet de poursuites pénales.

Toute personne au chômage n’ayant pas retrouvé un emploi stable à temps complet à l’issue de cette période de trois ans se voit attribuer un emploi à durée déterminée de 3 ans dans les services municipaux, régionaux ou nationaux relatifs à l’aide aux personnes, à la protection et au nettoyage de l’environnement, à l’isolation, à la réfection et à l’entretien des bâtiments, à l’entretien des voiries et à la propreté publique ou dans tout autre secteur d’activité où il est en mesure de se rendre le plus utile à la société.

Cette activité au service de la collectivité ne peut pas être refusée. Les contrats sont rémunérés à hauteur de 85 % du salaire minimum national.

Dans ce cadre, les personnes concernées disposent d’une journée ouvrée par semaine pour rechercher un emploi. Toute autre activité rémunérée leur est interdite. Les bénéficiaires fraudeurs sont rayés à vie du système d’aide sociale.

A l’échéance de chaque période de 3 ans, le contrat peut être renouvelé jusqu’à l’âge de la retraite, si la personne n’a pas réussi entretemps à trouver un emploi lui convenant mieux.

Mutatis mutandis, ces règles s’appliquent également aux travailleurs à durée déterminée mis au chômage.

Un prochain article traitera de l'emploi de travailleurs étrangers européens et extra-européens.



23 réactions


  • binary 5 septembre 2020 13:48

    Je n arrive pas à comprendre le concept de 85% du minimum. Y a comme un truc qui cloche.

    A moins que vous confondiez avec la nov-langue, où le « M » de SMIC signifie, bien sûr, MAXIMUM.


  • heber 5 septembre 2020 15:05

    Binary

    Les personnes concernées travaillent 4 jours par semaine pour la collectivité soit au total 18 j par mois contre 22 j normalement pour un mois de 30 jours .Et 18/22= 82% arrondis à 85 pour ne pas être trop inférieur au salaire minimum .


    • binary 5 septembre 2020 17:37

      @heber
      Des personnes qui « travaillent » dans les collectivités !
      100 pour celui qui travaille dans le privé, c est à dire qui a une activité économiquement mesurable.
      85 pour celui qui fait , ou pas, ce que personne ne vérifiera jamais.
      J’en déduits la valeur ajoutée du travail facturable, qui est donc de 15.
      Pourquoi s en faire ?
      Quand comprendrez vous que vos méthodes « humanistes » vont toujours dans le même sens : baisser le salaire de ceux qui font quelque chose qui a une valeur marchande, afin d en récupérer une part de plus en plus grosse.
      Vous vous opposez à la finance en empruntant un chemin différent, pour finalement aboutir au même résultat.


  • Samson Samson 5 septembre 2020 17:00

    « ... ceux n’exerçant pas d’activité partielle, devant suivre une formation à temps complet, 4 jours par semaine. »
    Ce qui - nul n’en doute - leur permettra à terme d’être plus compétitifs encore que soit une main d’œuvre délocalisée à des barèmes propres à faire saliver les esclavagistes d’antan, soit les machines qui les remplacent en tournant 7 jours sur 7 et 24h sur 24h. smiley smiley smiley

    On peut rêver !


  • heber 5 septembre 2020 22:56

    Binary

    Je ne comprends rien à votre raisonnement.Les personnes au chômage touchant 90% la 1ère année puis 80 % la deuxième et et 70 %de leur dernier salaire  avec de toute façon un montant d’indemnité qui ne peut être inférieur à 90% du salaire minimum et qui n’ont pas réussi à trouver une activité complémentaire partielle doivent suivre une formation de 4 jours , cela me paraît tout à fait normal et dans leur propre intérêt et dans celui de la collectivité pour améliorer leurs chances de retrouver un emploi !

    Quant à ceux qui perçoivent 85 % du salaire minimum ce sont ceux qui n’ont trouvé aucun emploi pendant la période précédente de trois ans  et il est exclu de les payer au même niveau que ceux qui exercent un emploi à temps complet 5 jours par semaine au salaire minimum sinon où est la justice et où est la motivation pour chercher un emploi et travailler 5 jours par semaine ?

    En quoi est-ce que ce système baisse le salaire de ceux qui travaillent à temps complet ? 


    • binary 5 septembre 2020 23:31

      @heber
      Je parle de la baisse de salaire des revenus de la production. Bill Gate ne produit rien, et il est vrai que ses revenus ne baissent pas.

      L’indemnité chômage est une assurance. On reverse une partie de ce qui a été prélevé. Le chômeur ne la touche que s’il a travaillé, et donc produit avant.

      Le problème économique de nos sociétés, dites développées, c est ceux qui ne produisent rien, et qui sont de plus en plus nombreux, jusqu’à l’effondrement d’un système complètement anti-darwinien (qui empêche toute évolution). Votre solution consiste à pérenniser le nombre d improductifs, échec garanti.

      L’augmentation de la productivité permet d abord d’augmenter le niveau de vie de celui qui produit, pour ensuite augmenter le nombre de ceux qui ne produisent pas. Quand il devient non-rentable de produire, alors le système s’écroule.

      C’est bien pour cela que les dirigeants, qui font partie de ceux qui ne produisent pas, rêvent tout haut de robots et d’IA pour remplacer les producteurs qui vont disparaitre. Ils n ont pas compris que dans un éco-système en équilibre, l’animal le plus fragile est le prédateur, car c’est lui qui dépend des autres, quand le système devient instable, le prédateur devient une espèce en voie de disparition.
      Quand l argent ne vaut plus rien, il n y a plus de banquiers, ni d’allocs.


    • heber 6 septembre 2020 09:42

      @binary
      Je pense que mon système pousse à la mise au travail car les revenus diminuent progressivement pour ceux qui ne travaillent pas.En outre, le travail des chômeurs de plus de trois ans devient obligatoire dans un des secteurs que j’ai cités.En cas de refus, les allocations sont définitivement coupées.
      En d’autres termes , personne n’est abandonné au bord de la route mais tous doivent contribuer , à la mesure de leurs capacités, aussi faibles soient-elles, au bien-être de la collectivité .
      Il est rentable de produire puisque, tout en augmentant très fortement le salaire minimum, en modifiant les règles de distribution des bénéfices et en poussant la participation des salariés aux décisions et résultats , je laisse l’échelle des salaires intacte et ne la compresse pas contrairement à ceux qui veulent plafonner les salaires ce qui détruit inévitablement l’incitation à travailler et à innover ( d’où l’échec du système soviéto-communiste et du socialisme pur et dur).La motivation au travail reste donc intacte.Par contre , le compteur est remis à zéro à chaque changement de génération puisque lors de la transmission du capital , les capitaux et biens excédentaires sont prélevés au profit de la collectivité .
      Cette opération périodique , rythmée par la disparition d’une génération et le passage de relais à l’autre permet d’éviter la reconstitution de la situation actuelle, aberrante et stupide, où 1% de l’humanité possède une part énorme de la richesse globale sans en avoir besoin ni sans être capable de l’utiliser ,si bien que cette richesse est stérile et inutile aux riches comme aux pauvres.
      Bien entendu, ce système de mise à niveau périodique devrait être précédé une opération’’ one-off ’’ de redistribution de la richesse excédentaire accumulée et inutile soit sur une base volontaire ( on peut toujours rêver !) soit obligatoire via des prélèvements , taxes et impôts.
      La faisabilité de cette transformation du système est considérée comme impossible et illusoire par la plupart pour ne pas dire par tous .OK mais c’est pourtant ce qu’il faudrait faire pour sauver l’économie globale en rétablissant une équité nécessaire et une solidarité effective au sein de nos sociétés.
      Et rien n’empêche de réfléchir à des solutions au lieu d’attendre passivement que survienne la catastrophe qui frappera les riches comme les pauvres et , bien entendu, comme d’habitude, les pauvres encore plus durement que les riches.

      Mais de gré ou de force , en tout état de cause,les classes super-riches devront bien se résoudre à trouver une solution pour éviter l’effondrement total du système, miné par la raréfaction des ressources,par l’impossibilité de poursuivre une croissance économique ad libitum, par la montée de la contestation , par la multiplication des conflits , par la généralisation du désordre et par les attaques de plus en plus ciblées contre leur classe s’ils veulent éviter de tout perdre .
      Sans doute parviendront-ils à se préserver dans un premier temps des atrocités que provoquera l’écroulement du système mais pour combien de temps si 99% de l’humanité les prend pour cible.
      La guerre et les révolutions ruinent le climat des affaires sauf pour une très, très petite minorité qui s’enrichit encore plus mais cette toute petite minorité peut-elle survivre dans un climat généralisé d’hostilité et de haine à leur encontre et continuer à vivre agréablement dans l’insécurité que ce climat générerait inévitablement contre eux et leurs familles.
      Je suis contre les guerres, la haine , la vengeance, la violence en général et les règlements de compte , d’où mes propositions qui constituent une méthode douce pour résoudre ces problèmes- en leur donnant , en plus, s’ils collaborent à la mise en place du nouveau système , le beau rôle de la générosité- et qui évite de les spolier de tous leurs biens puisqu’ils pourraient conserver la partie de la fortune qu’ils sont , avec leurs familles, en mesure d’utiliser et de consommer.
      C’est ça ou l’anarchie et la perte totale de leurs biens et peut-être de leur existence, si la chienlit se généralise.Espérons que le bon sens prévaudra chez les ultra-riches comme auprès de l’ensemble de l’humanité.


  • heber 5 septembre 2020 22:59

    SAMSON Et votre solution , c’est quoi, laisser les chômeurs de longue durée croupir sans aucun espoir de trouver un nouvel emploi s’ils n’ont pas une qualification suffisante ou en faire des assistés sociaux à vie  , déclassés et se sentant inutiles ?


    • Buzzcocks 6 septembre 2020 11:36

      @heber
      Du boulot, y en a mais encore faut il avoir envie de le faire.... et niveau motivation, y en a quand même beaucoup qui préfèrent quémander des aides sociales que de se bouger le cul.
      J’entendais un patron d’un restaurant dire qu’il ne trouvait personne alors qu’il ne demandait AUCUNE formation. Ils tombaient sur des jeunes qui ne voulais pas bosser le week end, pas le soir, et qui le plantaient sans prévenir du jour au lendemain. Ils voyaient même des mecs préférer des CDD au CDI, car ils préféraient alterner repos au chomage et période de boulot sans motivation juste pour recharger les droits.

      Bref, des coups de pieds au cul, voilà pour ma réforme du chômage.


    • foufouille foufouille 6 septembre 2020 11:45

      @Buzzcocks

      toute ta famille est pété de thunes ou tu es le seul con de droite ?

      ton patron payait un demi smic et le reste au black, c’est bien pour toi aussi, grosse merde.


    • Buzzcocks 7 septembre 2020 08:45

      @Nounouille
      Marrant dès que je poste un truc ici, j’ai nounouille qui vient poser sa crotte.
      Pour nounouille, je suis de droite, pour moderatus, je suis un gauchiste droit de l’hommiste, donc c’est cool, je suis tout à la fois.
      Vous me faites rire en tout cas, j’ai toujours eu un faible pour les cassos.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2020 09:37

      @Buzzcocks

      vu ta remarque débile tu es un libéral et de droite.

      faudrait songer à buter les retraités de ta famille.

      ça dates de sarkozy, un sans emploi est obligé d’accepter certains boulot donc ton histoire est de la pure connerie.


    • Buzzcocks 7 septembre 2020 11:51

      @Nounouille
      L’autre jour vous me classiez bobo... maintenant, je suis libéral de droite, demain, je serais quoi ?
      Vous par contre, vous êtes assez constant dans la médiocrité.
      Pole emploi n’a pas les moyens de contrôler les gens mais comme vous avez 80 ans et proche de la mort, vous n’en savez rien.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2020 12:07

      @Buzzcocks

      si justement et paul emploi ne se dérange pas pour pousser au suicide depuis longtemps.

      ton truc est un gros hoax vu que pour la plonge, ton patron vas embaucher un sans papiers.


    • Buzzcocks 7 septembre 2020 16:43

      @Nounouille
      Vous n’en savez rien du tout pauvre tache du front national.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2020 17:17

      @Buzzcocks

      mais si gros con surtout que le smic est plus élevé que rien quand tu as moins de 25 ans et aucun diplôme et plus que le rsa pour un célibataire.

      certains jeunes font les vendanges et dorment sous une tente.


    • Buzzcocks 7 septembre 2020 19:56

      @foufouille
      Oui, et d’autres font la manche avec des chiens ... et le camping, c’est amusant, non ? Seulement vous êtes triste à mourir donc justement, allez mourir.
      Je vous signale juste que la France est le pays le plus redistributif du monde, donc ok, certains galèrent mais ailleurs, ils crêveraient vraiment de faim. Ici, faut juste se bouger le cul et avoir envie. 


  • zygzornifle zygzornifle 7 septembre 2020 09:18

    C’est de la science fiction ....


  • heber 7 septembre 2020 14:51

    zygornifle

    la science fiction se révèle parfois être prémonitoire ! 


  • Jean Keim Jean Keim 8 septembre 2020 11:50

    Il me semble que partager et le travail et ce qu’il produit, le tout dans une fourchette de salaire étroite, serait dans un premier temps un projet de société extraordinaire.


  • heber 8 septembre 2020 12:11

    Jean Keim

    Dans l’idéal, le partage du travail semble être une bonne idée mais il est très difficile à mettre en place à cause des problèmes de qualification, on ne peut pas partager un travail qu’avec des gens compétents en la matière et en fonction des rigidités inhérentes à notre histoire personnelle ( lieu de logement et de vie par rapport à lieu de travail etc ).Je crois donc que c’est une idée très difficile à mettre concrètement en oeuvre voire impossIble.

    Quant à la réduction de l’échelle des salaires , c’est une fausse bonne idée qui ne peut que conduire à un alignement vers le bas des performances, les meilleurs et les plus capables n’ayant plus aucune motivation pour créer, innover et travailler davantage que le travailleur moyen voire pire que le tire-au-flanc exploiteur du système ( on a vu ce que cela a donné dans les faits dans les régimes soviétiques et socialistes-URSS-Corée du Nord-Venezuela etc )

    A mon avis,ce qu’il faut ,c’est rehausser très fortement les bas salaires sans réduire les autres, distribuer le capital progressivement via la participation des travailleurs et le partage équitable des résultats, redistribuer la richesse accumulée et oisive qui est stérile et ne sert ni aux riches qui dorment sur leur tas d’or- ni aux pauvres et , périodiquement , prélever lors de chaque changement de génération, l’excès de capital qui aurait été reconstitué


    • Jean Keim Jean Keim 8 septembre 2020 20:11

      @heber

      Non ! Je ne partage pas votre point de vue, pour que l’idée du partage du travail et de ce qu’il produit soit possible, il suffit d’avoir des gens vertueux, si vous pensez, si d’autres pensent, si la majorité des gens croient que la vertu est ringarde ou inexistante, alors notre civilisation est foutue.

      De même qu’ une conscience un tant soit peu vertueuse point comprendre qu’une heure de travail consacrée à la collectivité est une heure de vie donnée, alors faut-il classer la rémunération d’une heure de travail en fonction du genre de travail effectué, il est peut-être temps justement de faire évoluer les consciences.

      Quand aux difficultés elles sont du même ordre qu’en son temps, l’abolition de l’esclavage, du servage, la journée de 8 h sur 5 jours, l’allocation chômage, les congés payés, la sécurité sociale, la retraite...


  • heber 8 septembre 2020 21:32

    Jean Keim

    Certes ,il suffirait d’avoir des gens vertueux mais je ne crois pas que l’homme soit vertueux.

    Peut-être le deviendra-t-il au fil de longs millénaires d’évolution à venir mais , jusqu’à aujourd’hui, il faut , hélas , le constater, l’homme est une sale espèce, méchante, envieuse, cruelle, égoïste,stupide à l’exception d’une petite minorité . Je ne table donc pas sur la vertu mais avant tout sur l’intérêt , la motivation et la soif de reconnaissance des riches comme des pauvres ,pour avancer sachant que la solidarité et l’entraide sont bien entendu le but réel , ultime, et le seul valable, à mon avis, de notre aventure humaine car c’est la seule façon de donner un sens à notre vie , trop courte et trop dérisoire , pour se borner au plaisir et à la consommation si on réfléchit un tant soit peu.

    J’ai le regret de vous dire que je pense qu’aussi belle soit votre pensée,actuellement elle relève du rêve.

    Mon but est , si possible, de faire en sorte que votre pensée devienne réalisable , dans un lointain avenir, après une très longue évolution que je crois possible de susciter avec des propositions du type de celles que j’énonce.

    Cordialement.


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