lundi 23 septembre 2019 - par PRCF

Pour que le climat de la terre refroidisse, il faut que le climat social s’échauffe !

A propos de la reprise parallèle des « manifs pour le climat » et des luttes sociales de l’automne pour l’emploi, les services publics et les retraites.

  • Par , auteur de « Mondialisation capitaliste et projet communiste » (Temps des cerises, 1997), et du Nouveau Défi léniniste (Delga, 2017)

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Les médias dominants présentent avec sympathie l’opération (car c’en est une, et d’envergure planétaire !) Greta Thurnberg et les manifs mondialisées « pour le climat ». Elles se disent en effet « apolitiques », ne ciblent aucun ennemi particulier et semblent si « modernes », si différentes de ces manifs sociales si ringardes et si tendues pour les retraites, EDF, la SNCF et les acquis sociaux dévastés par Macron… Ne parlons pas de ces affreux Gilets jaunes si « archaïques » qui ont l’audace, alors qu’ils gagnent 1500 € par mois et qu’ils sont contraints par la spéculation immobilière de bosser à 100 km de chez eux, de refuser l’augmentation exponentielle du prix des carburants…

Eh bien nous, militants franchement communistes, ne tombons pas dans le piège grossier tendant à opposer les défenseurs de l’environnement aux militants de l’égalité sociale. C’est le même système failli, le capitalisme, dont la quête du profit maximal à court terme gaspille les ressources naturelles, provoque des guerres impérialistes et saccage partout les conquêtes des travailleurs. Et notamment, celles des plus jeunes d’entre eux, voués à la précarité par la casse de l’Education nationale, la dévaluation des diplômes et la destruction du Code du travail par Macron et les financiers de sa sorte. Déjà Marx notait, dans Le Capital, que « le capitalisme ne crée la richesse qu’en épuisant ses deux sources, la Terre et le travailleur ». Avant lui, Engels observait, dans La Situation de la classe laborieuse en Angleterre (1843), que le traitement infâme réservé aux ouvriers de Manchester par les industriels s’accompagnait de l’infect empoisonnement de l’air, des sols et des rivières de cette ville manufacturière anglaise.

https://www.youtube.com/watch?v=vI0GOQ84wnI

Mais aujourd’hui, c’est pire encore : historiquement périmé depuis longtemps mais provisoirement remis en selle par la restauration capitaliste en URSS en en Europe de l’Est, le capitalisme-impérialisme est devenu franchement exterministe  : que ce soit sur le plan militaire, où le complexe militaro-financier stimule une extravagante course mondiale aux armes nucléaires, sur le plan socioéconomique, où la course au profit creuse d’énormes inégalités entre les pays et à l’intérieur même de chaque pays, sur le plan culturel où la généralisation de l’« American Way of Life » et du tout-anglais envahissant arase la diversité culturelle de l’humanité, et bien sûr sur le plan environnemental – où la mondialisation néolibérale des échanges pollue irréversiblement les terres, les mers et les airs, la re-mondialisation du capitalisme consécutive à la destruction contre-révolutionnaire du camp socialiste est structurellement incompatible avec le développement durable, voire avec la survie simple ! – de l’humanité (et d’une bonne partie du vivant !). C’est l’idée pionnière qu’a toujours défendu le PRCF que « l’exterminisme est le stade suprême du capitalisme-impérialisme », et cela vaut évidemment au niveau environnemental. Et cette idée n’incline nullement à l’ « effondrisme » et à la « collapsologie » à la mode, mais à la mobilisation militante et révolutionnaire selon la combative devise de Romain Rolland et de Gramsci, « pessimisme de l’intelligence, optimisme de la volonté » !

La conséquence logique de tout cela, c’est que tous ceux qui veulent vraiment la survie de l’humanité, doivent combattre le capitalisme  : un peu d’écologisme superficiel mène à la dépolitisation, beaucoup d’écologie citoyenne conduit au contraire à l’engagement anticapitaliste ! N’ayons pas peur de rouvrir l’horizon et de réfléchir à une autre société, le socialisme-communisme, que celle, proprement INVIVABLE, à laquelle nous mènent les partis du capital et leurs institutions mortifères, Union européenne en tête, avec leur avalanche de directives antisociales, d’ « économie ouverte sur le monde où la concurrence est libre et non faussée », et leurs traités commerciaux néolibéraux et irresponsables passé avec les financiers d’Outre-Atlantique : CETA, TAFTA et autre accord UE/Mercosur conclu par Macron aux dépens des circuits courts agricoles, industriels et artisanaux… 

Bref, si je veux défendre le climat pour du bon sans me faire manipuler par les médias du système capitaliste, sans devenir un bisounours vert pâle à la Jadot, je dois AUSSI combattre Macron-MEDEF et ses contre-réformes, je dois faire montre d’esprit critique envers l’euro-béatitude et envers l’anticommunisme que l’on m’inculque soir et matin dans les médias, et aussi hélas à l’école « républicaine ». Je vais certes aux manifs « pour le climat » (comme le font les Jeunes pour la Renaissance Communiste en France), mais en brandissant des pancartes anticapitalistes et en restant solidaire des travailleurs en lutte que la police de Castaner éborgne et mutile sans merci sur les Champs-Elysées à coups de tazers, de lacrymos à tir tendu et de flash-balls.

Bref, pour que l’humanité, aujourd’hui conduite par les joueurs de pipeau du grand capital, cesse d’être « en marche » vers le suicide climatique, économique et guerrier, je combats la course mondiale insensée au profit maximal que suscite la super-ringarde propriété capitaliste sur les grands moyens d’échange et de production. Bref, face au capitalisme-exterminisme, il est temps de reprendre l’appel révolutionnaire de Fidel et du Che à tous les résistants de notre époque : « le socialisme ou la mort, nous vaincrons ! ».

https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/pour-que-le-climat-de-la-terre-refroidisse-il-faut-que-le-climat-social-sechauffe-marcheclimat-acte45/



19 réactions


  • Coeur de la Beauce France Républicaine et Souverainiste 23 septembre 2019 13:15

    Retrouvons notre indépendance en sortant de l’Europe des banques d’affaires et donnons le pouvoir au peuple (proportionnelle intégrale pour les assemblées et comités de quartiers citoyens). Il faut réaffirmer le programme du CNR, synthèse patriotique et sociale pour servir l’intérêt général !


  • Attila Attila 23 septembre 2019 14:37

    On veut nous faire croire que la protection de l’environnement ne peut s’effectuer que grâce à l’écologie. Or, l’écologie est une idéologie et une religion bourgeoise : le culte de la Nature. L’idée de la Nature est totalement étrangère aux cultures non-occidentales ainsi qu’aux cultures populaires occidentales : jusque dans les années 1970, les classes populaires ignoraient la notion de nature et de naturel. C’est essentiellement la télévision qui a diffusé cette idée.

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    Pour défendre les classes populaires, il faut commencer par ne pas adopter le langage et les concepts de son ennemi de classe.

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     "Déjà confrontée à la crise de la forme traditionnelle des partis, voilà donc la gauche percutée de plein fouet par une énième crise. Avec les mobilisations de type « gilets jaunes », elle est au pied du mur : contrainte de s’interroger sur ses bases et de revoir de fond en comble son propre logiciel idéologique. Son rapport au pouvoir d’achat, à l’écologie, à la fiscalité… "

    La gauche face aux « gilets jaunes », du malaise au soutien

    .

    Les projets de dictature écologiste avancent désormais à visages découverts, et les garde-fous sociétaux n’opèrent plus : impossible d’éviter ce constat en lisant le titre de l’interview du climatologue François-Marie Bréon dans Libération du 29/07 : « La lutte pour le climat est contraire aux libertés individuelles ».

    Le climat contre la démocratie

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  • Armelle Armelle 23 septembre 2019 15:39

    Encore un qui jette le bébé avec l’eau du bain...

    Si seulement ça pouvait en même temps refroidir votre cerveau...

    On profite allègrement, chaque jour qui passe, des fruits du capitalisme et on le dénigre pour ses conséquences dont certains profitent plus que soi... C’est la devise même du coco moyen. A la question « c’est quoi un riche pour toi » posée à un communiste local, celui-ci a répondu, avec une conviction déconcertante ; « c’est quelqu’un qui gagne plus que moi »...Y a pas de hasard...la bêtise se marie bien avec la malhonnêteté...

    En fait le climat, l’écologie, vous n’en avez rien à foutre, la seule chose qui vous mène c’est le pognon et la jalousie. Et puisque vous avez compris que le changement climatique n’a rien d’anthropique, ce sujet ne vous sert alors qu’à ramener votre incessant discours au sujet de ce soi disant pays merveilleux qu’est le communisme. Ce n’est plus de la persévérance à ce stade, c’est de l’entêtement. Vous n’aviez pas remarqué que vous étiez tout seul ??? Un pays de clones, ça ne tente personne, même les plus démunis...

    Pourquoi s’évertuer à convertir un pays entier alors que votre bonheur existe déjà, à l’est ça ne manque pas. On ne vous retient pas !

    La politique aura été une formidable aubaine pour excuser les bons à rien et mauvais en tout...


    • Aimable 23 septembre 2019 16:05

      @Armelle
      Vingt dioux Armelle , vous avez manger du lion .


    • Armelle Armelle 23 septembre 2019 17:22

      @Aimable
      J’en ai juste marre de ces gens qui politisent tout pour justifier leur situation et pour se rassurer face à une situation dont ils sont en partie responsables. La politique ne règle pas tout, loin de là, et si chacun, plutôt que d’attendre perpétuellement que ça tombe du ciel, se bougeait un peu le c.. nous n’en serions sans doute pas là aujourd’hui... En 50 ans ces politiques de merde seront venues à bout de la classe moyenne à force de pomper, pomper et pomper encore...occasionnant au passage des coûts exorbitants comme les charges sociales faisant que notre coût du travail n’a aucune chance de survie face à nos voisins. Continuons encore comme ça, et il n’y aura plus rien à pomper...
      Il y a pire que l’échec ; le fait de ne pas essayer. Et c’est cela qui caractérise notre pays aujourd’hui, une population léthargique qui ne se repose que sur le rayonnement de notre beau système social, lequel est clairement à bout de souffle aujourd’hui.
      J’interviens pour un juge commissaire dans un tribunal de commerce et j’en ai ras le bol de voir cette escalade de dépôts de bilan, de redressements et de mise sous surveillance. Sans parler des problème actuels de finance internationale, nous allons de toute façon dans mur et croire qu’une poignée de pantins au château va trouver une solution relève de la maladie mentale. 
      C’est à chacun de faire ce qu’il peut (et ce qu’il doit faire) à son niveau, comme pour l’écologie pour voir les choses changer...(Soi d’abord le changement que tu veux voir dans le monde)
      La devise du colibris...aussi devrait être dans tous les esprits


    • foufouille foufouille 23 septembre 2019 18:05

      @Armelle

      que dit ton juge sur ta délocalisation offshore au Belize ? plus mytho que toi tumeur.


    • Armelle Armelle 24 septembre 2019 09:57

      @foufouille
       smiley
      Pauvre foufoune avariée, la jalousie te tuera...


  • Claude Courty Claudec 23 septembre 2019 16:16

    Richesse et pauvreté existant en tout l’une par l’autre, sont relatives. Un pauvre ne peut enfanter que des pauvres, comme un riche ne peut donner naissance qu’à des riches ; quels que soient les aléas heureux ou malheureux de l’existence de chacun par la suite.

    Et si l’enrichissement individuel comme collectif n’a aucune limites autres que celles de l’ambition de ceux qui le convoitent et les ressources dont il est tiré, LA PAUVRETÉ A LA SIENNE, QUI EST LE NIVEAU ZÉRO DE LA RICHESSE.

    C’est cette incontournable condition qu’il faut vaincre, autrement que par une archaïque lutte des classes qui n’a fait que l’aggraver depuis des millénaires, les inégalités sociales n’ayant fait qu’augmenter depuis la nuit des temps, en suivant l’évolution constante du binôme démographie-économie, avec toutes conséquences sur notre environnement.

    Si nous ignorons cela, nous ne pourrons jamais :

    - ni maîtriser notre condition

    - ni éradiquer la pauvreté profonde

    - ni nous réconcilier avec notre environnement.

    sans ignorer que le temps nous est désormais compté.

    https://docs.google.com/document/d/1AH7rPVc27X7P52rgIpaaQo-gzhDhRVWHkETb_GuRW0I/edit

    - https://pyramidologiesociale.blogspot.com


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 24 septembre 2019 08:58

      @Claudec

      Rappelons l’épitre de Jacques 5 et le passage d’Amos 8 qui va régler la question des riches frustrant injustement les moissonneurs de leurs champs. « A vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous…. » https://www.biblegateway.com/passage/?search=Jacques+5%3A1-6%3BAmos+8%3A4-8&version=LSG

    • Trelawney 24 septembre 2019 10:57

      @Claudec
      Richesse et pauvreté existant en tout l’une par l’autre, sont relatives. Un pauvre ne peut enfanter que des pauvres, comme un riche ne peut donner naissance qu’à des riches ;
      L’héritage n’est rien d’autre qu’une dilution de la richesse. Ce qui fait que le riche enfantera un moins riche jusqu’à ce que ce dernier devienne pauvre.Inversement c’est le travail et surtout l’opportunité qui crée la richesse.
      Intéressez vous de connaitre l’origine des grandes fortunes actuelles Google, Facebock, LVMH, Amazon, Mittal, Apple, Samsung etc etc et vous verrez que leurs propriétaires ne sont pas des héritiers, et qu’une majorité d’entre eux viennent de la pauvreté.

      Votre théorie ne tient donc pas


    • Claude Courty Claudec 25 septembre 2019 09:04

      @Trelawney

      Si vous étiez un peu plus attentif, vous verriez que je mentionne que le sort – donc la fortune – de chacun dépend non seulement de sa naissance, par ses antécédents sociaux, génétiques et culturels, mais aussi des aléas, heureux et malheureux de son existence par la suite.


    • Claude Courty Claudec 25 septembre 2019 09:12

      @Daniel PIGNARD

      Les textes les plus anciens et les plus romantiques ne changent rien à la réalité, ici et maintenant.
      Les malheurs qui nous arrivent sont loin de concerner les seuls riches, dans une société qui croît de 250 000 individus quotidiennement, dont 70% de “pauvres”.
      Jacques et quelques autres auraient été plus avisés de se soucier de pyramidologie sociale et de démographie.

      https://pyramidologiesociale.blogspot.com


  • the clone the clone 24 septembre 2019 04:13

    Foutez nous la paix avec le réchauffement , ça devient barbant , on a autre chose a faire ....


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 24 septembre 2019 09:11

      @the clone

      Ah ! Si vous aviez laissé passer les 3 articles que j’avais proposés à Agoravox ayant pour titre : « Prophéties éclaircies », « Le ptérodactyle vole-t-il encore », « La recherche d’Alésia par André Berthier », l’esprit de chacun se serait haussé d’un degré à chaque fois, on aurait pu compter les ennemis de la vérité et en remettre une couche pour les confondre, mais non, vous avez négligé les articles 10 et 11 des droits de l’homme de 1789 en préférant faire taire  les arguments contre la philosophe dominante.

  • cilaos 24 septembre 2019 14:48

    le capitalisme... Qui détruit la nature ? Le GRAND CAPITAL vient de vendre 12 sous marin de guerre à l’Australie.... pardon l’état actionnaire à 62% de Naval Group et ce même état fustige le Brésil qui déforeste pour donner du travail en France les travailleurs se salissent les mains pour vendre des armes mais de ça personne en parle !


  • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 24 septembre 2019 18:01

    Pourquoi la science est-elle falsifiée ?

    Ce qui suit est tiré de www.pensee-unique.fr/pourquoi.html

     

    Les écologistes, sous une apparence bonhomme et sympathique, sont mus par une véritable stratégie qui est bien loin de la Science. Voici une phrase de l’ancienne ministre de l’environnement Canadien (Christine Stewart) à laquelle on expliquait que les données climatiques avaient été falsifiées et détournées et que rien n’était prouvé :

    (traduite en français) "Peu importe que la science soit complètement bidon, il y a des bénéfices collatéraux pour l’environnement... Le changement climatique nous donne la meilleure chance d’apporter la justice et l’égalité dans le monde. C’est un excellent moyen pour redistribuer les richesses "

     

    Emma Brindal est une responsable de l’organisation les "Amis de la Terre". Elle est tout à fait sur la même ligne que Christine Stewart. Elle n’a pas dissimulé son objectif final dans l’ambiance surchauffée qui régnait lors de la dernière réunion de Bali, en décembre 2007. Elle a déclaré que : (traduit en français) "La redistribution des richesses et des ressources doit être au coeur de la réponse au changement climatique".

     

    Tout aussi inquiétant, voici une affirmation de Stephen Schneider (National Center for Atmospheric Research Boulder, Colorado) dans un interview à Discover Magazine en 1989 :
    (traduit en français) "Nous devons présenter des scénarios effrayants, proférer des affirmations simplistes et catastrophiques sans prêter attention aux doutes que nous pourrions avoir. Chacun d’entre nous doit choisir entre l’efficacité et l’honnêteté ".

     

    Vous n’êtes toujours par convaincu sur la philosophie profonde des écologistes ? Voici une citation de Maurice Strong, le créateur du mouvement « New age » qui est à l’origine de la mouvance « verte » américaine. Il était encore, jusqu’en 2005, le conseiller spécial de Kofi Annan, secrétaire général de l’ONU, pour les questions environnementales. Strong a mis sur pied et dirigé la mise en place des protocoles de Rio de Janeiro et de Kyoto. Strong a dit en public : (traduit en français) : "Il est possible que nous en arrivions au point où, pour sauver le monde, la solution sera l’effondrement de la civilisation industrielle".

    ...

    Pour un amoureux de la liberté de penser, ça fait froid dans le dos, non ? Pour tous ces gens-là, la fin justifie les moyens !
    Voilà, au moins, qui a le mérite d’être clair. Ces écologistes militants qui occupent des postes à haute responsabilité sont convaincus que

    • Peu importe que la vérité scientifique soit falsifiée, détournée, bref que l’on vous raconte des histoires, si l’on agit avec un but politique (que l’on estime) bénéfique.
    • On doit imposer la justice et l’égalité dans le monde en profitant de la frousse inspirée à ses contemporains.
    • Il vaut mieux être efficace qu’honnête.
    • Le but n’est pas de convaincre avec des arguments scientifiques : il suffit de créer une Pensée Unique.
    • Il faut traiter la question du réchauffement climatique comme une nouvelle morale religieuse.
    Comme vous le voyez, on est très mal parti pour des questions qui devraient rester sur le plan de la discussion scientifique !
    Bref, toutes ces citations assez récentes, montrent bien quel est le but profond de l’écologie politique : Imposer sa vision politique du monde voire installer une sorte de nouvelle religion en utilisant les malheurs (supposés) de la Planète. Autrefois, on utilisait la peur de l’enfer, maintenant, c’est la peur de la planète. Bien joué ! Surtout que les écologistes sont bien aidés par les médias, toujours à l’affût, qui invitent nos prédicateurs et répercutent "l’information”, même bidon, sans enquêter le moins du monde. Surtout, ils prennent soin de ne jamais donner le point de vue adverse, ou alors, en le ponctuant du fameux “Mais ne craignez vous pas de démobiliser... ?”. Bref, les médias amplifient la panique. Les politiques bombent le torse : "Ne craignez rien, je suis un responsable, je m’en occupe !" Le tour est joué. Tout le monde est content : on vous a innoculé la Pensée Unique.


  • biquet biquet 25 septembre 2019 17:15

    Les chrétiens croient en l’immaculée conception et les marxistes au grand soir, 2 choses très crédibles mais non encore vérifiées.


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