jeudi 5 septembre 2019 - par Sylvain Rakotoarison

Boris Johnson, apprenti dictateur ?

« C’est tout le problème des populistes : ils se réclament de la démocratie. Or ce système suppose une combinaison entre souveraineté populaire et état de droit. Le règne de la majorité, essentiel, est limité par les lois. Au-delà, nous entrons dans la tyrannie, serait-elle populaire. Tel est le drame de Bojo : comme César, il voulait contraindre les élus. Mais il confond le Rubicon et la Tamise. » (Laurent Joffrin, "Libération", 4 septembre 2019).



La chronique du Brexit annoncé n’est pas avare en subtils rebondissements. Jusqu’au dernier moment (à déterminer), le suspens dramatique est complet. Il reste chaotique. Les deux journées du mardi 3 et mercredi 4 septembre 2019 à la Chambre des Communes à Londres l’ont encore montré.

Nouveau Premier Ministre britannique depuis le 24 juillet 2019, Boris Johnson est-il un apprenti dictateur dans la plus vieille démocratie parlementaire du monde ? Le mot, dictateur, a été balancé à la figure de Boris Johnson par un député de l’opposition le 3 septembre 2019 et le Premier Ministre lui a répondu que lui voulait appliquer la volonté populaire, à savoir, faire le Brexit demandé par les électeurs britanniques lors du référendum du 23 juin 2016.

C’est tout le problème d’une démocratie complexe, la double souveraineté. La légitimité populaire et la légitimité parlementaire. La démocratie directe et la démocratie représentative. Les députés sont pourtant issus du peuple. Et Boris Johnson, en bon démagogue, est plutôt populaire même s’il représente un parti qui n’a même pas obtenu 9% des voix aux élections européennes du 23 mai 2019 (8,8% précisément) et qui, aujourd’hui, n’a plus de majorité à la Chambre des Communes (il l’a perdue le 3 septembre 2019).

L’éditorialiste du journal "Le Figaro" Yves Thréard remarquait le 4 septembre 2019 sur LCI que les leaders populistes, s’ils étaient populaires et pouvaient remporter les élections si elles avaient lieu maintenant, étaient souvent en délicatesse avec les institutions représentatives de leur pays. C’est le cas de Matteo Salvini, de Donald Trump. C’est aussi le cas de Boris Johnson, même s’il convient de bien distinguer ces trois personnalités aux idéologies et contextes très différents.

Comme tous les populistes, Boris Johnson ne cesse, en ce moment, de mentir aux députés britanniques et aux citoyens britanniques. Il leur explique qu’il est actuellement en cours de négociation avec l’Union Européenne pour tenter de trouver un nouvel accord pour le Brexit avant le 31 octobre 2019. Mais à Bruxelles, tous les acteurs expliquent qu’il n’y a aucune négociation, aucune discussion, aucune proposition nouvelle. Pourtant, l’Union Européenne est prête à aider le Royaume-Uni : personne ne gagnera à un Brexit sans accord, mais l’Union Européenne ne veut pas s’ingérer dans la vie politique intérieure du Royaume-Uni. Car il s’agit bien de cela, et seulement de cela, de batailles politiciennes internes au Royaume-Uni et dont le sujet européen n’est qu’un pâle prétexte.

Le Brexit, cela fait trois ans et demi que tout le Royaume-Uni est bloqué dessus, et l’Union Européenne également. Quand David Cameron, de manière assez irresponsable, a promis en mai 2015 un référendum sur le Brexit lors des élections législatives pour renouveler son mandat de Premier Ministre, il pensait surtout faire une concession à l’aile dure de son parti sans pour autant mettre en péril l’appartenance de son pays à l’Union Européenne. Mais la pugnacité antieuropéenne des brexiters, et leurs fausses promesses, leurs mensonges, ont réussi à faire basculer l’électorat et à faire passer le Brexit. C’était un jeu de poker menteur, et David Cameron a perdu. Depuis la campagne du référendum, le peuple britannique est divisé très profondément, pour et contre le Brexit, un peu comme l’affaire Dreyfus en France du début du XXe siècle. Il faut éviter ce sujet de conversation dans les réunions de famille.

Theresa May, prudente ministre, a pris la succession de David Cameron. Elle a mis un an à préparer la demande du Brexit, en organisant d’ailleurs des nouvelles élections législatives le 8 juin 2017 pour avoir une majorité derrière elle. Elle fut au contraire réduite à une majorité à un siège, et encore, dépendant d’un parti irlandais très exigeant. C’est cette Chambre des Communes, depuis deux ans, qui freine le Brexit car personne n’est d’accord sur rien (et insistons vraiment : l’Union Européenne n’est pas responsable du retard du Brexit : au contraire, son souhait le plus cher est que le Brexit soit passé pour s’occuper des projets d’avenir plus intéressants).

Le vrai problème du Royaume-Uni, c’est que le référendum était flou, car demandé en amont. Soit le maintien du Royaume-Uni dans l’Union Européenne, là, l’option était claire, soit le retrait, mais sans dire comment le pays se retirerait. Du reste, malheureusement, il n’était pas possible de dire comment avant de passer plusieurs mois ou années à négocier avec l’Union Européenne pour se mettre d’accord sur le comment. Et cette négociation ne pouvait donc pas avoir lieu avant le référendum, car elle aurait pu être inutile si le référendum avait rejeté le Brexit.

Bref, aujourd’hui, le Royaume-Uni est divisé, c’est-à-dire le peuple britannique, la Chambre des Communes, et même le parti conservateur sont divisés sur le Brexit entre ceux qui sont contre, ceux qui sont pour un Brexit avec un accord, ceux qui veulent le Brexit dans tous les cas, même sans accord et enfin, ceux qui ne veulent en aucun cas d’un Brexit sans accord. On pourra dire que c’est politiquement très compliqué.

C’est le problème des démocraties avancées. La complexité nécessite de ne pas seulement répondre oui ou non à une question, mais surtout de répondre à cette question extrêmement ouverte : comment ?

Theresa May a négocié prudemment et raisonnablement. En novembre 2018, elle a obtenu un accord avec l’Union Européenne, ce qui n’était pas une mince affaire. En effet, pour avoir un accord, il fallait l’unanimité des vingt-sept autres pays de l’Union Européenne. Cette unité n’a jamais failli et c’est sans doute le plus grand étonnement des brexiters : l’Union Européenne est toujours restée unie dans ce dossier (et le reste). Il faut le mettre à l’actif de Michel Barnier, négociateur en chef du Brexit à Bruxelles.

La difficulté pour Theresa May a été de faire passer l’accord à la Chambre des Communes. Elle n’est jamais arrivée à le faire passer. Mais surtout, la Chambre des Communes n’a jamais été d’accord sur le comment : majoritairement, elle a rejeté l’accord négocié par Theresa May, elle a rejeté l’idée d’un no-deal (Brexit sans accord) et enfin, elle a rejeté l’idée d’un second référendum. Elle a tout rejeté mais n’a jamais eu une attitude constructive : que veut-elle ?

Theresa May ne voulait pas d’un nouveau référendum car elle estimait que les électeurs avaient donné un mandat clair au gouvernement : réaliser le Brexit. Point. Mais là où elle se trompait, c’était que les électeurs ne lui ont jamais dit comment réaliser le Brexit. Faire un nouveau référendum n’aurait donc pas pour finalité de remettre en cause le principe du Brexit, mais de donner une idée sur le comment le réaliser. Or, quoi de plus démocratique (et populaire) que de demander au peuple lui-même comment il veut sortir de l’Union Européenne ?

Pour cette question, la méthode démocratique exigeait deux référendums, un en amont sur le principe, pour engager des négociations avec l’Union Européenne, et un autre en aval, une fois l’accord obtenu avec Bruxelles, pour ratifier cet accord par le peuple. C’est ce second référendum que Theresa May aurait dû organiser.

Sur le principe du Brexit, d’ailleurs, les sondages en août 2019 donnaient encore une majorité des sondés, environ 54%, en faveur du Brexit. Ce qui est nécessaire, c’est de savoir si c’est un divorce à l’amiable ou pas.

Le cataclysme électoral des élections européennes du 23 mai 2019 pour son parti a rendu nécessaire la démission de Theresa May. Par sa personnalité, son charisme, son volontarisme, Boris Johnson lui a succédé sans beaucoup de suspens, vu la vacuité de la classe politique britannique actuelle. Pourquoi Boris Johnson aurait-il réussi là où Theresa May a échoué, alors que rien n’a changé par ailleurs dans les données du problème ? Probablement parce qu’il n’est pas un prudent mais un fonceur. Un fonceur ambitieux, d’où sa joie d’être enfin Premier Ministre.

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J’ai écrit plus haut que les populistes populaires étaient souvent en délicatesse avec les institutions représentatives. Drôle de mot que celui de "délicatesse" (dont David Foenkinos a fait un livre) pour donner une expression qui dit le contraire de sa définition. Boris Johnson n’est pas un délicat. Il est comme un éléphant dans un magasin de porcelaines fragiles, car toutes les choses de la démocratie sont toujours fragiles, sensibles, un rien peut les faire casser.

Boris Johnson a un seul but aujourd’hui : qu’au 31 octobre 2019, le Brexit soit acté. Mais ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il veut un no-deal. Il veut un no-deal car il ne propose rien de nouveau pour aboutir à un nouvel accord avec l’Union Européenne et il met toute son énergie pour ne pas repousser la date fatidique du 31 octobre 2019. En clair, il veut rester dans l’histoire britannique comme le Premier Ministre qui a fait le Brexit. Mais avec les mêmes députés que Theresa May.

Ces députés sont tous divisés : le parti conservateur comme le parti travailliste, certains sont contre le Brexit, ou contre le no-deal, pour un accord, ou contre, bref, tout cela avec des considérations politiciennes extrêmement soutenues, et en particulier, avec l’ambition de Jeremy Corbyn (qui n’a eu que des opinions fluctuantes sur le Brexit) de devenir Premier Ministre alors qu’il représente l’aile gauche qui effraie jusqu’aux électeurs travaillistes eux-mêmes (il propose un impôt sur la fortune de 20% !, il souhaite aussi nationaliser de nombreuses entreprises, etc.). Beaucoup de pro-européens préfèrent un no-deal à Jeremy Corbyn à la tête du gouvernement, cela donne une idée des divisions.

Seuls, les libéraux démocrates (lib-dem) sont cohérents et disent leur volonté de rester dans l’Union Européenne. Ils ont d’ailleurs fait un bon score aux élections européennes du 23 mai 2019 : presque 20% des voix (19,8%), deuxième parti du Royaume-Uni derrière le Parti du Brexit de Nigel Farage. Ce dernier est également un parti cohérent, mais il est absent de la Chambre des Communes.


Pour Boris Johnson, la seule manière de réussir là où Theresa May a échoué, c’est de "forcer" les députés ! En France, c’est chose relativement fréquente depuis une longue tradition pourtant républicaine qui n’a pas commencé en 1958 (il suffit de se rappeler la crise du 16 mai 1877). Mais au Royaume-Uni, le berceau du parlementarisme, c’est beaucoup moins ordinaire.

Certes, dans les règles, Boris Johnson n’a pas outrepassé, jusqu’à maintenant (formule de prudence), ses droits et devoirs de Premier Ministre. Il avait le droit de suspendre le Parlement britannique deux semaines de plus et la signature de la reine Élisabeth II n’a rien justifié, n’est pas une caution ni morale, ni constitutionnelle, encore moins politique, car elle n’avait pas le droit de ne pas signer.

La signature de quoi ? Le 28 août 2019, Boris Johnson a annoncé en effet qu’il suspendait le Parlement du 9 septembre 2019 au 14 octobre 2019. Cette suspension a un rôle, empêcher les parlementaires de barrer la route du Brexit prévu le 31 octobre 2019. Répétons bien la situation : si rien ne se passe jusqu’au 31 octobre 2019, par défaut, le Brexit sans accord a lieu. C’est la volonté de Boris Johnson : tout faire pour ne rien faire jusqu’à cette date. Et écarter au maximum la Chambre des Communes.

Sur le plan politique, on voit bien la volonté de Boris Johnson de bâillonner les parlementaires. Sur le plan institutionnel, c’est cependant peu choquant : le Parlement britannique est généralement suspendu plusieurs semaines (deux à trois) en septembre pour permettre aux partis politiques d’organiser leur congrès interne. Prolonger de deux semaines cette suspension n’est pas, en elle-même, choquant. Remarquons qu’en France, c’est le contraire : le Président de la République convoque généralement le Parlement français en session extraordinaire pour permettre de légiférer plus intensément (en juillet, en septembre, etc.).

Cependant, il y a de la graine d’intolérance chez Boris Johnson qui a annoncé le 2 septembre 2019, face à une possible fronde, que, en tant que leader du parti conservateur, il exclurait tout député conservateur qui s’opposerait dans ses votes à sa propre volonté de Brexit sans accord : « Je veux que tout le monde le sache : je ne demanderai en aucune circonstance un report à Bruxelles. Nous partirons le 31 octobre ! ». Pour un chef qui, à l’origine, n’était pas majoritaire dans son parti, c’est un peu fort de café. L’esprit démocratique a des limites. C’est évidemment un peu tôt pour parler de dictature, et justement, aussi confuse qu’est la situation politique actuelle, elle est passionnante, elle sera étudiée longtemps et de manière approfondie par les constitutionnalistes dans les décennies qui viennent…

Les députés ont réagi très rapidement. D’une part, il ne faut pas négliger que pendant le mois d’août 2019, Jeremy Corbyn a tenté de rassembler beaucoup de forces politiques pour éviter à tout prix le no-deal (qui serait une catastrophe économique et sociale). D’autre part, les députés ont mis à profit la semaine qu’ils avaient encore sous la main, cette semaine de rentrée parlementaire, du 3 au 6 septembre 2019 (la rentrée parlementaire avait lieu le 3 septembre 2019).

En deux jours, Boris Johnson a essuyé quatre défaites cinglantes. Deux par jour.

Le 3 septembre 2019, Phillip Lee, un député conservateur qui fut sous-secrétaire d’État parlementaire à la Justice du 17 juillet 2016 au 12 juin 2018, a quitté son parti et s’est déplacé (physiquement) pour se mettre dans les rangs de l’opposition (chez les lib-dem). Ce député a déclaré : « Le gouvernement conservateur poursuit de manière agressive un Brexit [aux conséquences] dommageables. Il met en danger des vies. (…) Le Brexit a transformé ce qui fut un grand parti en quelque chose qui ressemble désormais à une faction (…) infectée par le populisme et le nationalisme anglais. ». Résultat, Boris Johnson n’a plus de majorité à la Chambre des Communes, puisque celle-ci ne tenait qu’à un siège.

Autre défaite, encore plus cruciale, ce 3 septembre 2019, une véritable "humiliation" pour Boris Johnson (le terme est du journal "The Guardian"), ce fut le vote des députés pour prendre le contrôle de l’ordre du jour (essentiel pour savoir quelles questions seront mises au vote pendant ces quelques jours, c’est la règle SO24, pour standing order 24), et cela fut acquis avec 328 voix contre 301, soit 21 députés conservateurs qui ont rejoint l’opposition dans cette volonté d’éviter le no-deal, et parmi eux, des anciens ministres.

Le lendemain, le 4 septembre 2019, la voie était donc libre aux travaillistes pour présenter leur proposition de loi. Le texte a été adopté en deuxième lecture par la Chambre des Communes, infligeant un nouveau camouflet à Boris Johnson. Qu’impose le texte ? Que si le gouvernement ne parvient pas à obtenir un nouvel accord avec l’Union Européenne avant le 19 octobre 2019 (les 17 et 18 octobre 2019, il y a le prochain Conseil Européen), alors il devra demander un report du Brexit au 31 janvier 2020 ou à une autre date fixée par l’Union Européenne (il est probable que l’Union Européenne serait conciliante pour accorder ce nouveau délai). Cette loi impose ainsi qu’un no-deal ne puisse pas avoir lieu le 31 octobre 2019, le contraire de ce que voudrait Boris Johnson.

Dans sa logique, et dans une logique démocratique aussi (un dictateur ne réclame pas de nouvelles élections !), Boris Johnson a alors présenté à la Chambre des Communes une motion pour la dissoudre et provoquer de nouvelles élections législatives le 15 octobre 2019, juste avant le Conseil Européen. Cette motion a été rejetée dans la soirée du 4 septembre 2019, infligeant ainsi un quatrième grave désaveu à Boris Johnson. Il fallait une majorité des deux tiers pour que cette motion fût adoptée. La situation est donc bloquée.

De nouvelles élections législatives auraient eu pour effet de clarifier la situation car la campagne porterait exclusivement sur le no-deal ou pas le no-deal. Constitutionnellement, il faut au moins cinq semaines entre la dissolution et les nouvelles élections, pour permettre une campagne électorale digne de ce nom.

Boris Johnson est donc aujourd’hui dos au mur. Il est dans l’obligation légale de demander un report du Brexit. Ou alors, il s’enfonce dans l’illégalité. Autre hypothèse, il démissionne, ce qui ne résoudra rien non plus, car tant qu’il n’y a pas de nouveau Premier Ministre, le temps continue à passer et l’échéance reste la même, 31 octobre 2019.

L’histoire actuelle est passionnante mais effrayante. Les conséquences d’un Brexit sans accord seront désastreuses. L’Union Européenne, totalement unie, saura mieux affronter le désastre que le Royaume-Uni. Le champ des possibles est immense, l’incertitude gigantesque. Boris Johnson voudrait être comparé à Winston Churchill en 1940. Mais à ce compte-là, il faudrait comparer l’Union Européenne au Troisième Reich, ce qui serait complètement insensé et injurieux pour les 60 millions de victimes de la Seconde Guerre mondiale


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (04 septembre 2019)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
Boris Johnson, apprenti dictateur ?
Boris Johnson, le jour de gloire.
Union Européenne : la victoire inespérée du Président Macron.
Européennes 2019 (6) : le paysage politique européen.
Theresa May : Game over.
La reine Victoria.
Peter Higgs.
Texte voté à la Chambre des Communes le 31 mars 2019 (traduction en français).
Brexit : vote parlementaire surprise pour un 2e référendum le 26 mai.

Brexit : chronologie inachevée d’un chaos annoncé.
Michael Heseltine.
Les élections législatives britanniques du 8 juin 2017.
L’attentat de Manchester du 22 mai 2017.
Theresa May nommée Premier Ministre le 13 juillet 2016.
Peuple et populismes.
Intervention de Bruno Le Maire sur le Brexit le 28 juin 2016.
Le Brexit en débat chez les députés français.
L’Europe n’est pas un marché.
L’Union Européenne, élément majeur de stabilité mondiale.
Terre brûlée ?
Brexitquake.
Boris Johnson en campagne pour le Brexit.
To Brexit or not to Brexit ?
L’émigration irlandaise.
L’euro.
Le conflit syrien.
Les réfugiés syriens.
La construction européenne.
Jo Cox.
David Cameron.
Margaret Thatcher.
Les Accords de Munich.
Les 70 ans d’Israël.
La partition des Indes.
Karl Marx.
Jane Austen.
William Shakespeare.
David Bohm.
Stephen Hawking.
Alfie Evans, tragédie humaine.
Charlie Chaplin.
Le Prince Charles.
Winston Churchill.
Lord Louis Mountbatten.
Harry, un mari qui vous veut du bien.
Philip Mountbatten.
Lady Di.
Édouard VIII et George VI.
Élisabeth II.
Un règne plus long que celui de Victoria.
Vive la République !

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147 réactions


  • Laconique Laconique 5 septembre 2019 18:16

    Merci pour cet article.


    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2019 20:16

      17,4 millions d’électeurs ont voté pour le Brexit (52%). Soit deux millions de plus que les antis. Trois ans plus tard, ils sont 54%.
      Et c’est BOJO le dictateur, quand il essaye de mettre en oeuvre le résultat de ce référendum ??
      Rako se fout de la gueule du monde, comme d’habitude. Il ose dire :
      « Le règne de la majorité, essentiel, est limité par les lois. Au-delà, nous entrons dans la tyrannie »
      Mais ce type est vraiment barjo...
      Et les députés qui trahissent le peuple devraient être mis en taule. A moins que ce ne soit le peuple qui se révolte en un coup d’Etat populaire ou une révolution, et ne mette leurs têtes au bout d’une pique. Ca arrive, parfois...


    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2019 20:46

      @doctorix
      Chers agoravoxiens.
      Sur l’appréciation globale de l’article, la première étoile se divise en deux parties.
      Si vous cliquez à droite, vous donnez 1 point.
      Si vous cliquez à gauche, vous lui donnez 1/2 point que du reste il ne mérite pas.
      En dehors de ces cadeaux immérités, cet article est noté 1,36/5, soit 0,36/4 (correction faite), soit 1,8/20.
      Il ne vaut pas plus.


    •  Adibou Adibou 5 septembre 2019 20:54

      Fin du communiqué de la direction prônant une redirection immédiate vers des articles sérieux comme les chemtrails, les mini bombes nucléaires au WTC 09/11 ou le frexit c’est la solution avant la mort. smiley


    • JulietFox 6 septembre 2019 09:59

      @doctorix
      L’adorateur du gourou Asselineau fait feu de tous bois.
      Frexit ? Très peu pour moi.
      Je ne suis pas du tout, mais alors pas du tout un macronphile. Je ne suis encarté nulle part.
      Je ne veux tout simplement pas voir ma pension de retraite déjà bien attaquée, par l’inflation, réduite à peau de chagrin, en revenant au franc.
      Changer la monnaie, quand on sait que un euro= 6,55997.
      Va nous falloir des brouettes pour aller faire les courses.(- :
      Sortir le l’Otan, passe encore..

      Pour en revenir à Bojo, le petit Trump, d’où sortez vous qu’il y aurait plus d’Anglais, qui revoteraient pour le Brexit : 54% ?

      Par chez moi, les anglais qui y ont des résidences, ou secondaires, ou à l’année, ont fait immatriculer en toute hâte, leurs véhicules, et pas mal, se font naturaliser français.


    • Lambert 6 septembre 2019 10:25

      @doctorix
      Selon qui les écrit, je ne lis pas l’article et vais directement aux commentaires où je suis heureux de vous retrouver ainsi que d’autres.

      Les bras m’en tombent. Ceux qui veulent respecter le vote de la population sont des dictateurs et ceux qui le foulent au pied sont des démocrates ! Voilà où nous en sommes. Et le même message est repris en choeur par tous les médias et ceux qui les écoutent. Ce sont les mêmes qui se moquent du 1% de l’UPR. Il ne sert à rien de discuter avec des gens pareils au milieu desquels je suis terrifié de vivre.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 10:56

      @JulietFox

      Bonjour,

      Ces Anglais résidant en France, sympathiques et charmants au demeurant, disposent pour la plupart de moyens financiers et font partie de ces classes privilégiées qui peuvent racheter des anciens mas, des vignes, des commerces, investir en France, à Paris ou en Province. Ils sont tous anti-Brexit et européistes. 
      Les classes privilégiées, qu’elles se situent en France ou en Angleterre, ont tout intérêt à voir perdurer l’UE.

      Mais quid des Anglais touchés de plein fouet par la crise, le peuple, et qui n’a guère les moyens d’aller se dorer la pilule à l’étranger, condamné à travailler et à subir les outrances de l’UE ? D’eux, vous n’en parlez pas. Bien sûr, ils n’existent pas.


    • quid damned quid damned 6 septembre 2019 11:05

      @JulietFox
      <>"Va nous falloir des brouettes pour aller faire les courses

      « ,

      Ah bon, expliquez-nous pourquoi ?
      Vous alliez faire vos courses avec une brouette quand nous étions au franc ?
      Qu’un euro vaille 6.556 francs ce n’est un taux de change. De plus, rien n’empêche de créer un nouveau franc qui vaille 1 euro au départ. Ensuite il est possible de dévaluer la monnaie, c’est ce que nous ne pouvons plus faire avec l’euro, nous ne pouvons plus adapter souverainement notre monnaie au marché, ce qui nous cause du tort pour les exportations notamment.
      Joseph Stiglitz prix nobel d’économie explique que ce sont les pays qui sortiront en premier de l’euro qui s’en sortiront le mieux.

      <> »Je ne veux tout simplement pas voir ma pension de retraite déjà bien attaquée, par l’inflation"

      C’est exactement le contraire qui se passe.
      C’est en restant dans l’ue que les retraites sont mises à mal.
      Voyez les Grandes Orientations Politiques Économiques (GOPÉ).

      Les Français et des pseudo-spécialistes de l’analyse politique découvrent avec effroi les réformes antisociales qui ont lieu depuis le début du quinquennat (SNCF, casse du droit du travail, rabotage de l’ISF, baisse de l’impôt sur les sociétés, hausse de la CSG, baisse de l’assurance chômage, stagnation du SMIC, désindexation des retraites sur l’inflation, hausse des taxes sur les carburants, privatisations tous azimuts, etc.) alors qu’il suffisait de lire les GOPÉ 2016-2017, 2017-2018 et 2018-2019 pour en anticiper l’adoption.

      <>"Par chez moi, les anglais qui y ont des résidences, ou secondaires, ou à l’année, ont fait immatriculer en toute hâte, leurs véhicules, et pas mal, se font naturaliser français."

      Ils font un très mauvais calcul. Prévenez-les ils vous remercieront plus tard.
      Par chez moi les anglais font du naturisme. Que dois-je en conclure ?

      Sondage. Plus de la moitié des Britanniques favorables à un « Brexit par tous les moyens »

      Une enquête d’opinion ComRes montre que 54% des personnes interrogées disent être d’accord avec la proposition suivante : « Boris Johnson doit réaliser le Brexit par tous les moyens, dont la suspension du parlement si elle est nécessaire pour empêcher les députés de le stopper ».



    • quid damned quid damned 6 septembre 2019 11:24

      @Lambert

      <>"Les bras m’en tombent. Ceux qui veulent respecter le vote de la population sont des dictateurs et ceux qui le foulent au pied sont des démocrates ! "

      C’est la vision européenne de la démocratie.
      Une anecdote que j’ai déjà évoqué :

      je discutais avec une amie prof d’anglais qui m’expliquait un travail qu’elle faisait avec ses élèves pour un exposé sur « la catastrophe Brexit ». Je convoquais toutes mes ressources pour ne pas exploser. A l’instar de nos voisins britanniques je parvins à garder mon flegme.
      Je me suis contenté de souligner le fait que le problème véritable et objectif était surtout démocratique et que les anglais faisaient actuellement face à un manque de fair-play de la part des européistes et de l’ue face au résultat du referendum. Réponse : « ouais, mais ils ont fait que 52%. » sous-entendu une légitimité bancale.
      Avant que mon flegme ne m’abandonne et que quelqu’un eût la présence d’esprit de changer de sujet j’ai eu le temps de rétorquer : « Et si ce résultat avait était en faveur des pro-ue ? » qui resta évidemment sans réponse.

      D’autant que 52% ce n’est peut-être que 2% de plus que 50% mais contre les 48% de remainers cela fait tout de même un différentiel de 4%.

      Si les remainers avaient obtenu 50,1% je parie que cela aurait suffit.


    • Francis, agnotologue JL 6 septembre 2019 11:36

      @quid damned
       
       ’’Si les remainers avaient obtenu 50,1% je parie que cela aurait suffit.’’
       
       Évidemment, puisque même avec 45% France en 2005, les européistes ont fini par gagner.
       


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 11:49

      @quid damned
      52%, c’était 1,4 millions de différence.
      Actuellement, ce serait 54%, soit 3 millions de différence.
      Ca ne suffit toujours pas ?


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 11:59

      @JulietFox
      Je vois que vous avez bien assimilé le petit livre blanc de la bonne européenne.
      C’est justement pour protéger les acquis sociaux qu’il faut sortir de l’ UE & de l’euro.

      « Il y a une vie après l’euro ! »


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 12:05

      @JulietFox
      d’où sortez vous qu’il y aurait plus d’Anglais, qui revoteraient pour le Brexit : 54% 

      D’ici :
      https://www.ouest-france.fr/europe/grande-bretagne/brexit/sondage-plus-de-la-moitie-des-britanniques-favorables-un-brexit-par-tous-les-moyens-6478159
      Une enquête d’opinion ComRes montre que 54% des personnes interrogées disent être d’accord avec la proposition suivante : « Boris Johnson doit réaliser le Brexit par tous les moyens, dont la suspension du parlement si elle est nécessaire pour empêcher les députés de le stopper ».
      C’est vrai que nous allons perdre 10% sur notre monnaie en cas de frexit. C’est même le but recherché, pour favoriser les exportations et minimiser les importations.
      Mais comme nous allons perdre aussi 2 millions de chômeurs dans un premier temps, le franc remontera très vite, et vous ne serez plus obligée de financer les chômeurs sur votre retraite.
      Et votre retraite ne sera pas affectée, car les français achèteront plus sur le marché intérieur, et moins à l’extérieur, c’est aussi le but. Les prix des produits intérieurs n’ont pas de raison d’évoluer, ou très peu.
      Ajoutez l’économie de 9 milliards sur notre participation-donation au budget de l’UE, ajoutez les économies liées à la fin des contraintes bureaucratiques et budgétaires, et vous ferez un très bon placement en frexitant.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 12:22

      @JulietFox

      L’adorateur du gourou Asselineau fait feu de tous bois.

      Vous ne pouvez donc pas vous empêcher de tenir des propos de concierge ?
      Je vais vous donner quelques éléments de langage en plus de gourou : Pasqua, complotiste, enarque, secte, extrême droite, anti-américain, ainsi vous aurez le lexique complet.
      Désolé, ils n’ont pas trouvé autre chose, alors ils retournent ces mots dans tous les sens, en espérant convaincre.
      Mais regardez plutôt comment ils sont à la manoeuvre et prenez des leçons :
      https://www.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170309.OBS6370/frexit-cia-wikipedia-10-choses-a-savoir-sur-asselineau-le-candidat-surprise-a-la-presidentielle.html
      Vous voyez, vous pouvez faire beaucoup mieux.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 14:02

      @doctorix

      Et rajoutons en cas de Frexit le retour au bercail des millions d’euros entre les mains des escrocs qui les ont mis dans les paradis fiscaux, par des lois appropriées, et nous aurons récupéré les 3/4 de nos finances.
      Mais ce n’est pas tout, nationalisation des banques abrogation de la loi Pompidou-Rothchild de 1973, et bien sûr, abrogation de la dette illégale.
      L’UE est une machine à pomper le fric des contribuables. En cas de Frexit, annulation également de la loi d’intégration du droit européen dans le droit français, comme l’ont fait très récemment les Anglais de manière symbolique en attendant le Brexit.


    • keiser keiser 6 septembre 2019 14:41

      @doctorix

      « et ne mette leurs têtes au bout d’une pique. Ca arrive, parfois...  »

      A ben tu parles d’un Doctor !!!  smiley

      Tu es vraiment un malade.
      C’est consternant.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 14:43

      @Nicole Cheverney

      annulation également de la loi d’intégration du droit européen dans le droit français, comme l’ont fait très récemment les Anglais de manière symbolique en attendant le Brexit.
      Oui mais ça n’a rien de symbolique : par cette mesure, le Brexit est déjà entré dans les faits. Fini le contrôle supra-national. Fini d’obéir à Bruxelles.
      Il sera bien difficile à un parlement de revenir en arrière.
      C’est au moins une immense victoire de Bojo.


    • Shaw aka CVN42-OSe-F-HD Shaw 6 septembre 2019 14:46

      @doctorix

      Isn’it !? smiley smiley


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 16:37

      @keiser
      Il y a hélas des gens qui ne renonceront et ne comprendront qu’à ce prix.
      Le médecin peut s’en attrister, le révolutionnaire y serait prêt. Quand au peuple en colère, il peut devenir fou. Il faudrait que les élites en prennent conscience, question de survie. Parce que ce peuple ne fait pas dans le détail.
      C’est compliqué d’être médecin et révolutionnaire.
      Seriez-vous du genre à dire que vos opposants sont forcément fous ? On a déjà essayé ça.
      Et puis évitez le tutoiement, je le réserve à mes amis et aux gens que j’apprécie.
      Ca vous fait tellement bander de tutoyer un médecin ? Ca vous valorise ? Vous avez besoin de ça pour vous sentir exister ?
      Notez bien que ce n’est pas parce que je vous vouvoie que je vous respecte. C’est juste un minimum syndical.


    • Samy Levrai samy Levrai 6 septembre 2019 17:20

      @keiser
      plutôt que de les laisser sur le sol à dégueulasser les trottoirs, nous nous proposons d’y mettre de l’ordre et de les aligner en hauteur, rien de consternant sauf pour des punks, tu es punk ?.
      Nos ancêtres plus récents ont eu beaucoup de sens commun aussi, ils aimaient qu’aucun cheveu ne dépasse et s’en donnaient les moyens. 
      Il y a toujours tellement à apprendre des nos anciens.


    • Ecométa Ecométa 6 septembre 2019 17:41

      @doctorix

      Ce serait quoi votre définition du populisme ? 
      Présentez nous la...


    • Samy Levrai samy Levrai 6 septembre 2019 17:56

      @Ecométa
      En general ceux qui ajoute des suffixes à « peuple » sont les mêmes que ceux qui en ajoute à « souveraineté » pour en salir le sens...
      Le peuple n’est pas sale, c’est nous.


  • toyet 5 septembre 2019 18:26

    Boris a été élu par les membres de son parti,pour sortie la GB du machin, les députés qui ne représentent plus les citoyens mais la ploutocratie européenne ont le devoir d’obéir à leurs maîtres.Il y a du Churchill dans Boris, ça nous change du larbin micron.


    • Pere Plexe Pere Plexe 5 septembre 2019 20:15

      @toyet
      Churchill n’était qu’un aristocrate arrogant criminel et alcoolique.
      Pas franchement une référence.


    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2019 20:19

      @Pere Plexe
      Dans son cas, la fonction a créé l’organe.
      Chez nous, le pouvoir rabaisse.
      Chez les anglais, il peut élever.
      Churchill s’est hissé à la hauteur de sa fonction.


    • Pere Plexe Pere Plexe 6 septembre 2019 08:57

      @doctorix
      Aristocratie et démocratie sont antinomiques.
      Churchill à fait tirer sur des grévistes anglais, à fait massacre ses militaires aux Dardanelles, à utiliser la famine comme arme de guerre contre les ottomans, à fait bombarder les civils allemands (au moins 300.000 civils tués sans objectifs militaires).
      Permettez moi de ne pas être d’une admiration béate pour ce type !


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 09:47

      @Pere Plexe
      Sans doute, mais il a pris la tête de la lutte contre l’Allemagne, alors que Chamberlain avait voté les accords de Munich. Il est considéré par les Britanniques comme le symbole de la résistance aux nazis.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 10:26

      @Pere Plexe

      Bonjour, pour Churchill, je suis d’accord avec vous et toute comparaison avec des hommes issus du XIXe siècle, totalement décalé du fil de pensée anglo-saxon actuel n’a pas lieu d’être.

      Par contre, Bojo, lui, est un homme bien de son temps, le notre, et parfaitement capable de mesurer la distance qui le sépare et de loin, des spéculations sur l’avenir de l’UE
      1/ L
      a faiblesse de l’Union Européenne et l’incapacité de créer une société stable du point de vue monétaire, du point de vue social, économique, en Europe.
      2/ L’incapacité pour son pays sous l’égide de l’UE de créer des conditions économiques saines
      3/ De considérer les européistes complètement enfermés dans leur idéologie mercantile sans grand avenir, qui ne voient pas s’avancer comme je pense un Farage ou un Bojo, les innombrables opportunités qu’offre la « nouvelle route de la soie », en cessant de considérer la Russie, la Chine comme des ennemis.

      En fait, que veut Bojo ? c’est commercer, tout simplement et tranquillement avec les pays émergents et redynamise le commerce extérieur. il n’est pas Anglais pour rien, car il a compris que derrière son nom s’agrégeait non pas les petits mondialistes universalistes à la française, par exemple, mais un peuple anglais qui veut refaire de la triste Albion d’aujourd’hui, une Albion un petit peu plus dynamique avec moins de chômage, et des conditions d’import/export plus favorables, sans la poigne de fer de l’UE.

      Si le Brexit aboutissait, les medias ne pourront plus raconter leurs éternelles inepties, leurs mensonges, sans se ridiculiser un peu plus qu’ils ne le sont déjà au yeux de l’opinion publique.

      Et l’on se rendra compte que l’Angleterre ayant retrouvé sa souveraineté pleine et entière, que l’UE n’est qu’un leurre, et qu’elle coûte très cher aux contribuables européens.
      Le Bojo a la part belle, finalement. En face, ils n’ont que peu de marge pour empêcher le Brexit, à son heure, fin octobre, malgré leurs magouilles et tripatouillages institutionnels.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 11:34

      @Nicole Cheverney

      En face, ils n’ont que peu de marge pour empêcher le Brexit,

      En fait, ils en ont bien assez, et je suis très inquiet. Comment Bojo peut-il retourner la situation, et empêcher un nième report, qui sera suivi d’un autre ? On en est déjà au troisième, et bientôt au quatrième.
      Ce qu’on peut espérer, c’est une forte mobilisation populaire et de grandes manifestations. Reste à savoir si les britanniques sont assez motivés pour ça.
      Nous, on est des veaux. Mais ont-ils des taureaux ?


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 12:14

      @doctorix
      Je crois que la décision sur de nouvelles élections aura lieu lundi, si d’ici là rien ne change ... Johnson les voudraient le plus tôt possible et Corbyn, le plus tard possible.

      Il semble que Farage veuille aider Johnson. Il lui a proposé de ne pas mettre de candidat dans les circonscriptions gagnables par le Parti Conservateur.

      Si cela fonctionne on s’acheminerait vers un gouvernement de Coalition Conservateur + Parti du Frexit. Ce qui clarifierait peut-être les choses.

      PS : Corbyn s’est bien gardé pour l’instant de faire pareille proposition, mais ses revirements risquent de lui coûter cher.


    • Lambert 6 septembre 2019 12:18

      @doctorix
      Je ne sais pas si l’anecdote de la fin du film « Les heures sombres » est exacte mais elle m’a mis les larmes aux yeux. Dans le film, Churchill, très hésitant et près de se rendre aux arguments des lâches élus qui voulaient négocier avec Hitler, a l’idée de se rendre dans le métro (qu’il n’ avait, bien sûr, jamais pris de sa vie et où il est obligé de demander comment ça marche !) pour prendre le pouls de la population britannique. A la question qu’il lui pose : « Voulez-vous que l’on négocie avec Hitler ? », les personnes répondent à tour de rôle : « Never », jamais. 

      Et c’est au Parlement, auquel il se rendait (en métro !) qu’il a sorti la fameuse phrase : « We shall never surrender ! » Nous ne nous rendrons jamais.

      Attendons de voir si les Britanniques ont changé.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 12:34

      @Lambert
      macron n’a sans doute jamais pris le métro de sa vie.
      Mais même s’il y descendait, ça n’en fera pas un grand homme, et il continuerait à chier sur le peuple.
      Dans ses bains de foule, il est prudent : ne s’approchent que ceux qui ont le petit brassard alloué par sa clique. Ca évite les glaviots.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 13:33

      @doctorix

      Bonjour, vous inquiet ? Moi pas ! Les Anglais sont testards, et le peuple encore plus. Souvenez-vous des grandes grèves des mineurs prêts à sacrifier leur vie. Ils se souviennent de Thatcher.
      Et ils savent très bien à qui ils doivent leur déconfiture permanente depuis qu’ils sont dans l’UE.


  • Clocel Clocel 5 septembre 2019 18:44

    Joffrin... Joffrin... ?

    Le copain de camping de Jean-Marie ??? smiley

    Qui peut bien avoir intérêt à faire exploser le Royaume-Uni ?


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 septembre 2019 19:50

    On retrouve toute la panoplie de la propagande européiste : dictateur, populiste, anti démocrate, apprenti dictateur, Salvini, Trump, graine d’intolérance, illégalité,complot contre la représentation nationale, bingo, tout y est !

    En somme, les démocrates sont ceux qui veulent retarder, encore et encore, la sortie de l’ UE ! Quel aveu ! Que se passera-t-il si la GB sort sans accord le 31 octobre ? Il ne se passera rien, absolument rien !

    Bruxelles appliquera les taxes aux exportations britanniques entre 3% et 5%, comme à tous les pays extérieurs à l’ UE, pas de quoi s’accrocher aux lustres.

    Et le Gouvernement britannique appliquera les taxes qu’il voudra aux importations dont les Britanniques ont besoin, y compris 0% s’il le souhaite. Et c’est tout. Les problèmes techniques qui n’auront pas pu être réglés avant, le seront après, et pi c’est tout. Le souci de démocratie n’a pas été aussi net en 2008 pour le Traité de Lisbonne..., un oubli sans doute. 

    Si les européistes font tout un foin, ce n’est pas à cause de Johnson, c’est à cause de ce qui se passera après la sortie. Si les Britanniques et l’économie de la Grande Bretagne se portent bien, cela va donner l’idée à d’autres peuples, de se barrer aussi, et c’est bien là le pire qu’il puisse arriver aux européistes :

    « Le pire qui puisse nous arriver ? Que l’économie britannique finisse par bien se porter après le Brexit. Ce serait une gifle terrible… »

    Les européistes veulent rendre la sortie de l’ UE la plus difficile possible, la plus anxiogène possible et salir le plus possible celui qui a promis la sortie aux Britanniques le 31 octobre.

    Ces attaques viennent de toutes les forces capitalistes qui tirent des profits énormes de l’ UE, en GB et sur le continent, ainsi que de leurs larbins et collabos, qu’ils soient politiques, journalistes ou militants.

    Dont Corbyn, ce traitre, qui devrait être le premier à soutenir la classe populaire qui a voté pour le Brexit, un nouveau Tsipras au catalogue de la Gauche, plus européiste encore que la Droite, ce qui n’est pas peu dire... ! 


    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2019 20:27

      @Fifi Brind_acier
      Le plus marrant, c’est qu’il a suffit de la trahison d’un seul député, Lee, pour que Bojo perde sa majorité. Sans le moindre pot-de-vin sans doute.
      Le vote d’un seul traìtre vaut plus que celui de 17,4 millions d’électeurs.
      Il ne doit plus se sentir pisser, celui-là...
      Un vrai démocrate sauce Rako.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 5 septembre 2019 22:28

      @Fifi Brind_acier
      Merci à toi, cher « Fifi Brind_acier » d’avoir eu la patience de lire tout cela et de te donner la peine d’y répondre.
      La pugnacité des européistes ne cessent de m’étonner. Ils ne reculent devant rien. Ils oseront bientôt reprocher aux peuples d’être des dictateurs qui refuse de se soumettre à l’Union Européenne.
      Heureusement, nous sommes confiants et il semble bien qu’ils ne passeront pas à côté du Brexit.
      Quels seront alors leurs discours ? Je crois qu’ils perdront la mémoire et ne se souviendront pas avoir écrit toutes ces sottises.
      La génération qui a connu l’occupation allemande a ainsi oublié toute la lâcheté qu’a
      été celle de la majorité des français qui ont accepté la collaboration. Aucun d’eux ne se souvient avoir travaillé pour l’organisation Todd. Quand on leur demande qui a construit les blockhaus qu’on voit sur nos côtes, ils répondent : « ce sont les allemands ». Comme si les allemands avaient envoyé des ouvriers en France. Et si on leur parle des juifs...
      Les collabos de l’Union Européenne oublieront demain qu’ils ont été d’ardents collabos... Des traitres.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 06:55

      @Jean Dugenêt
      Je pense plutôt qu’ils joueront les résistants faux culs de la dernière heure :
      « Je vous avais bien dit que l’ UE était une dictature ! ».
      « J’ai toujours critiqué l’ UE & l’euro »...
      « L’UPR avait raison ! »
      La pugnacité est à l’échelle des enjeux financiers investis dans l’ UE, considérables..


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 08:14

      @Fifi Brind_acier
      Ce matin, Thomas Legrand , la carpette de Bruxelles, nous dit qu’il y a trois ans, les britanniques ne savaient pas ce qu’ils faisaient...
      « Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font »
      Encore un journaleux qui se prend pour Dieu ?...
      Il a osé dire aussi qu’en 2005, les Français ne savaient pas non plus ce qu’ils faisaient...


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 08:59

      @doctorix
      Bien sûr les électeurs sont intelligents quand ils votent pour l’UE et des inconscients dans le cas contraire ! C’est bien pour cela qu’il existe les larbins, journalistes, politiques & militants, pour leur expliquer combien ils se trompent...
      Il a bien mérité son salaire, celui là !


    • Olivier Perriet Olivier Perriet 6 septembre 2019 14:03

      @Fifi Brind_acier
      Que se passera-t-il si la GB sort sans accord le 31 octobre ? Il ne se passera rien, absolument rien !

      Comme le rappelle à juste titre Rakoto, plutôt que de donner des leçons depuis la France, c’est aux Britanniques que vous devriez expliquer qu’il n’y a aucun problème.

      Les atermoiements viennent d’eux.

      Il faut croire que tous ces parlementaires sont des idiots.

      Si l’UPR le dit c’est que c’est vrai.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 14:34

      @Olivier Perriet

      Il faut croire que tous ces parlementaires sont des idiots.
      Certainement pas.
      Comme les nôtres, ils roulent pour eux.
      Leur motivation ? La prochaine échéance électorale.
      Le peuple ?
      Fait chier, le peuple.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 19:33

      @Olivier Perriet
      Il faut croire que tous ces parlementaires sont des idiots

      Ils ne sont pas idiots, ils sont européistes ! Ils ne veulent pas du Frexit.
      On a les mêmes à la maison.

      La Suisse, la Norvège et l’ Islande ne sont pas dans l’ UE, ils commercent avec les pays de l’ UE, sans aucun problème. Les pays tiers, du reste du monde commercent aussi. Pourquoi le Brexit serait la fin du monde ?

      La Suisse a des frontières avec cinq pays  : l’Autriche, le Liechtenstein, l’Allemagne, la France et l’Italie. Il y a des problèmes aux frontières de la Suisse ? Aucun.

      La France a recruté plusieurs centaines de douaniers qui sont prêts depuis mars dernier en vue du Brexit. Et pour tous les scénarios envisagés.

      Les transporteurs préparent le passage sous forme de télédéclarations, les informations de passage sont automatisées, les douaniers font des contrôles aléatoires, et tout fonctionnera très bien.


  • lautrecote 5 septembre 2019 19:51

    Citer Joffrin en tête d’article décrédibilise, s’il en était besoin, l’article complet.


  • Pere Plexe Pere Plexe 5 septembre 2019 19:55

    C’est bien connu que les dictateurs sont ceux qui respectent le vote des citoyens.

    Alors que les démocrates sont ceux qui n’en tiennent pas compte.Pour le bien du peuple of course ! 

    Demander son avis à ce con de peuple passe encore, mais qu’il vote comme on lui dit de le faire ! Sans quoi le vote n’aura aucune valeur. Faut pas déconner

    Comme la guerre qui est trop sérieuse pour la confier au militaire, la démocratie ne doit être confier au peuple. C’est bien trop dangereux !

    C’est bien ça ?


    • Buzzcocks 5 septembre 2019 20:18

      @Pere Plexe
      Un dictateur, c’est juste un mec qui raconte en boucle des bobard pour être élu, faire peur, cajoler le peuple peu instruit et trop feignant pour raconter les âneries proférées et donc Johnson fait partie de cette catégorie là.
      C’est une sorte de Zemmour, le mec balance strictement n’importe quoi, des chiffres bidons, des faits historiques totalement faux mais comme personne n’ira vérifier, ça passe comme une lettre à la poste.


    • mac 5 septembre 2019 21:19

      @Buzzcocks
      Alors on a eu beaucoup de dictateurs en France car pour ce qui est de raconter des bobards pour être élu, on a eu notre compte.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 5 septembre 2019 22:14

      @Buzzcocks
      Assurément, rien de ce que vous affirmez là n’est vérifiable.
      Pourriez vous ne formuler des accusations qu’avec des faits vérifiables ? Que sont ces « chiffres bidons » et ces « faits historiques totalement faux » ?


    • Buzzcocks 5 septembre 2019 22:29

      @Jean Dugenêt
      Exemple, zemmour dit en plateau à une nana qu’il regrette qu’elle ait un prénom étranger (Hapsatou) et que du temps de Napoleon, ce dernier avait instauré une loi imposant des prénoms « catholiques », mais les méchants socialistes ont permis de mettre n’importe quoi.
      Bon bah, c’est faux... c’est bien pour ça qu’on a un président s’appelant Sadi Carnot au 19eme siècle. Et la loi napoléonienne permettait donc des prénoms exotiques.

      Zemmour peut donc dire strictement n’importe quoi, ni Hapsatou Sy, ni Ardisson, pas davantage que le public ne savent le contenu des textes napoléonien sur les prénoms. Et donc, voilà, du temps de Napoléon, Hapsatou, ce serait appelé Corinne d’après l’autre blaireau.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 07:28

      @Buzzcocks
      Et quel rapport avec la choucroute de Rakoto ?


    • révolté révolQé 6 septembre 2019 10:11

      @Buzzcocks,
      dommage, mais Sadi Carnot était son nom de famille :

      "Sadi Carnot, né le 11 août 1837 à Limoges et mort assassiné le 25 juin 1894 à Lyon, de son nom complet Marie François Sadi Carnot."

      Allez, un petit coup de wiki ,une fois n’est pas coutumes.

      https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=sadi+carnot


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 10:33

      @Buzzcocks

      Bonjour, vous faites un parrallèle totalement arbitraire, entre un journaliste habitué aux déclarations trépidentes pour faire le buzz, Zammour, un histrion du petit écran,

      Et un homme politique en train de remettre sur pied son pays, l’Angleterre minée de l’intérieur et de l’extérieur, par l’Union Européenne. Qui veut en sortir, et s’apprête à ébranler tout le système UE mis en place par les banques. Ce qui ne manque pas de sel, au pays de la City. Ce qui ne veut pas dire non plus que Bojo n’ait pas de défauts intrinsèques. Mais la moindre de ses qualités, c’est sa clairvoyance sur l’état des institutions européennes, l’UE !


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 6 septembre 2019 11:24

      @Buzzcocks
      Oui. Vous avez entièrement raison et j’ai dû faire une erreur dans ma dernière intervention qui n’était pas vraiment justifiée. Mais ce n’est pas grave. C’est même bien que vous ayez eu l’occasion de préciser ainsi, avec des faits, votre affirmation


    • Buzzcocks 6 septembre 2019 12:00

      @Nicole Cheverney
      Mais Johnson utilise les mêmes ficelles qu’un Zemmour. Lors de la campagne sur le brexit, il a énoncé des tas de chiffres totalement faux, comme par exemple la contribution britannique à l’UE, tout en omettant de dire combien son pays recevait etc...
      Ce qui est drôle, c’est que l’europe n’est pas ma tasse de thé non plus, et j’espère que les anglais vont se barrer... et si on pouvait virer aussi tous les pays de l’est, je prends.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 12:22

      @Buzzcocks
      Ce ne sont pas les déclarations de Pierre, Paul ou Jacques qui ont joué dans le vote du Brexit, mais bien les conditions de vie des classes populaires.

      Carte des votes 2016.

      Ont voté pour rester dans l’ UE, les centres villes et les banlieues chics.
      Les petites villes, les banlieues pauvres, le milieu rural a voté pour la sortie.


    • quid damned quid damned 6 septembre 2019 12:39

      @Buzzcocks

      La Grande-Bretagne est contributeur net, donc quelle que soit la somme qu’elle reçoit en retour de l’UE, elle est perdante, tout comme la France, l’Allemagne et l’Italie.

      https://www.touteleurope.eu/actualite/budget-europeen-pays-contributeurs-et-pays-beneficiaires.html


    • quid damned quid damned 6 septembre 2019 12:55

      @Fifi Brind_acier

      Vous êtes dure avec la choucroute.

      J’ai longtemps pensé que Rakote la radote était un bot. Il ne répond jamais aux commentaires (non qu’il soit perché tout là-haut dans son nuage en guimauve expansée) mais tout simplement l’intelligence artificielle a ses limites et certains malins seraient ainsi capables de démystifier la supercherie.

      En fait, l’auteur est artiste de génie, pince-sans-rire de haute volée.
      C’est de l’art du second degré paroxysmique.
      C’est une lanterne, que dis-je un phare qui guide nos rafiots de pensées égarés.
      Il en faut de l’abnégation pour inlassablement, jour après jour, rédiger avec autant de rigueur et méticulosité la méta-synthèse de la pensée faconde unique.

      Non pas de la choucroute mais de la bouillasse, du gloubi-boulga périmé.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 13:36

      @Buzzcocks

      Je répète : quel rapport entre Zemmour et Johnson ? Peut-être est-ce le personnage en lui-même qui vous déplaît ? Personnellement, je m’en fous, mais je vois ce qu’il est en train de faire pour son pays.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 13:49

      @Buzzcoks,
      J’ai oublié de signaler un fait qui a eu toute son importance lors de la campagne du Brexit, c’est que les Britanniques bénéficient d’une presse pluraliste, qui a relayé aussi bien les discours de Farage, des pro, que des anti Brexit.

      Pas comme nous, en France, où règne la pensée unique dans tous les médias.


    • Poujade51 6 septembre 2019 13:56

      Même un peuple peu instruit, feignant a le droit de se prononcer sur ce qu’il l’engage : Ne t’en déplaise
      Laisse faire les choses : La majorité à vôté ! Seul le temps nous dira qui avait raison ou tort mais j’aimerai savoir : Tu es Anglais, Irlandais, Écossais ??? Sinon pourquoi crois tu avoir ne serait ce que le droit de parler au nom des autres : des feignants et des peu instruits ?


  • Legestr glaz Legestr glaz 5 septembre 2019 20:05

    Vous écrivez, sans rire, sans doute avez-vous des informations que les autres n’ont pas, ou bien lisez vous dans les boules de cristal, pour proférer une telle absurdité : «  L’’histoire actuelle est passionnante mais effrayante. Les conséquences d’un Brexit sans accord seront désastreuses ».

    Est-ce que vous pouvez développer le contenu de ces « conséquences désastreuses », vous le pouvez ? Oui il le peut !


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 septembre 2019 20:20

    La conclusion de l’article vaut son pesant de cacahouètes, Rakoto lance ses derniers missiles « de la propagande de la peur » :

    " L’histoire actuelle est passionnante mais effrayante. Les conséquences d’un Brexit sans accord seront désastreuses. L’Union Européenne, totalement unie, saura mieux affronter le désastre que le Royaume-Uni. Le champ des possibles est immense, l’incertitude gigantesque. Boris Johnson voudrait être comparé à Winston Churchill en 1940. Mais à ce compte-là, il faudrait comparer l’Union Européenne au Troisième Reich, ce qui serait complètement insensé et injurieux pour les 60 millions de victimes de la Seconde Guerre mondiale…"

    Le point Godwin est atteint !

    Et c’est quoi les conséquences désastreuses d’un Brexit sans accord ??


    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2019 20:35

      @Fifi Brind_acier
      à ce compte-là, il faudrait comparer l’Union Européenne au Troisième Reich, ce qui serait complètement insensé et injurieux pour les 60 millions de victimes de la Seconde Guerre mondiale

      En fait, cette idée de Rako est loin d’être sotte : c’est même le seul de ses propos qui ne soit pas une sottise.
      L’UE est bien un nazisme déguisé, version soft. C’est la reproduction exacte du Grand Reich tel qu’Hitler en avait rêvé.
      Et les 60 millions de victime de WW2 ont une nouvelle raison de pleurer.
      Ne vous servez pas des morts, rako : c’est minable


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 5 septembre 2019 20:41

      @doctorix
      Oui, c’est vrai, le projet économique d’Hitler pour l’ Europe après la guerre ressemble beaucoup à l’ Union européenne !


    • Trelawney 6 septembre 2019 10:13

      @Fifi Brind_acier
      Et c’est quoi les conséquences désastreuses d’un Brexit sans accord ??

      Tout à bord rien à battre de Hitler et le troisième Reich c’est du passé ! 

      Actuellement la £ est passé de 0.8 euro à maintenant 0.91 euro et continue de descendre pour arriver à trés prochainement une parité euro livre.
      Vous allez me dire qu’avec ce taux de change, ce sera pratique d’aller visiter Londres. A cela je vous répond que l’Angleterre importe beaucoup et que les prix vont augmenter en conséquence et que se sera tant pis pour les touristes et dramatique pour les autochtones. D’ailleurs les anglais stockent en prévision.

      On parle de visa pour habiter Londres et idem pour les anglais en France ou ailleurs. Ca n’est pas vraiment le problème car avec un taux de change aussi bas, l’Angleterre ne sera plus attractive pour le travail et que pour cette unique raison on verra une cohorte d’expatriés revenir dans leurs pays d’origine. Et aussi on verra une cohorte d’anglais quitter nos campagnes car n’ayant plus les moyens de vivre dans un pays avec une monnaie aussi forte.

      On peut encore en citer d’autres comme les taxes sur l’importation et les accords de transfert (tunnel Irlande etc).
      On peut aussi parler du départ des grandes entreprises (Easyjet, Lloyd etc) car elles ne pourrons plus vivre dans un pays fermé aux autres pays
      Etc, etc etc

      Je ne parle que des conséquences économiques qui ne peuvent pas être atténuées ou même entravées par des décisions politiques, car l’économie n’est pas le thermomètre, mais la température.

      Les politiques anglais sont comme tous les politiques (UPR compris) Ils cherchent avant tout à préserver leurs intérêt mercantile au détriment de l’intérêt du peuple. Ils essaient de conserver un posture en sachant que le 31 octobre le tsunami breixit emportera tout et ne laissera qu’une coquille vide anciennement nommé Royaume Unis (l’Ecosse et l’Ulster auront déjà quitté le navire pour leur plus grand bonheur)


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 11:02

      @Trelawney

      Actuellement la £ est passé de 0.8 euro à maintenant 0.91 euro et continue de descendre pour arriver à trés prochainement une parité euro livre.

      En mathématique financière, ça s’appellerait plutôt une remontée de la livre, puisqu’il faudrait plus d’euros pour l’acheter.
      Aucune importance puisque vos chiffres sont complètement faux.
      Les chiffres exacts sont un minimum de 1,06 euros le 9 Aout, et un maximum de 1,11 euros aujourd’hui (1,12 hier). La livre est en fait remontée de 5 ou 6% au fur et à mesure que le Brexit dur s’annonçait comme probable. Ca vous la coupe, hein ?
      Personne ne sait ce qu’elle va devenir maintenant que la perspective du Brexit semble s’éloigner.
      Au moins, à l’UPR que vous dénigrez, on sait compter.
      Donc, pour vos vacances, un bon conseil : l’Angleterre, ce n’est pas le moment. Allez plutôt au Venezuela où vos amis américains font du bon boulot : vous serez le roi du pétrole.


    • Guiver Guiver 6 septembre 2019 11:44

      @Trelawney
      Plus on lit les européistes, plus on rigole :

      Donc, la dévaluation de la livre entraine une augmentation des prix des importations, on est d’accord. Mais vous oubliez de dire qu’elle entraine également une diminution des prix des exportations non ? Ce faisant, le RU diminue son déficit budgétaire et développe son industrie. Ce qui entraine une augmentation des offres d’emploi, entrainant à son tour une augmentation des acquis sociaux.
      Vous remarquerez que tout comme vous, j’emploie des affirmations péremptoires sans aucune sources, si vous arrivez à convaincre de cette manière, je peux essayer moi aussi (mais je n’y crois pas trop).
      Vous en rajoutez en plus "tant pis pour les touristes « , comme si une livre moins chère faisait fuir les touristes (NONNNNNN mes euro me rapportent plus de livre que l’année dernière, comment vais-je faire !!).

       »On parle de visa pour habiter Londres et idem pour les anglais en France ou ailleurs« 
      Je vous remercie d’avoir abrégé avec le ’ailleurs’, parce que lister les 170 pays avec lesquels il faut un visa c’était un peu long à lire.

       »taux de change aussi bas, l’Angleterre ne sera plus attractive pour le travail

      « 
      Euh, quoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ? C’est un libéral, mondialiste ou capitaliste qui me sort cette phrase ? J’aimerai savoir pour la ressortir en face du bon interlocuteur. Comme on dit, SÇPÇP ! (Si Ça Passe, Ça Passe !)

       »On peut encore en citer d’autres comme les taxes sur l’importation et les accords de transfert (tunnel Irlande etc).« 
      Ah mais oui, les affirmations péremptoires sans la moindre preuve on peut en citer autant que vous voulez. Si on veut du concret en revanche, on dit »Ils pourront choisir librement leurs taxes et les accords directement avec les personnes concernés« . De la à dire que ce sera bien ou mauvais, je ne franchis pas ce pas.

       »On peut aussi parler du départ des grandes entreprises (Easyjet, Lloyd etc) car elles ne pourrons plus vivre dans un pays fermé aux autres pays« 
      Ok, donc les entreprises international qui sont la bas vont devoir partir à cause de la dévaluation de la livre. Ah non, je me suis trompé pardon, vous êtes tellement brouillon. Je reprend : car ce pays n’est pas dans l’UE.
      Si seulement Easyjet créait une nouvelle compagnie à Vienne appelé ’EasyJet Europe’ pour avoir les même droits tout en gardant son siège social en RU, il pourrait peut-être s’en sortir. Ah mais je suis bête, ils l’ont annoncés... en 2017. J’espère que les autres ont eu le temps de trouver une solution.... (En janvier 2019, Lloyd obtient une licence bancaire en Allemagne pour sa nouvelle filiale créée à Berlin en vue du Brexit).

       »Je ne parle que des conséquences économiques qui ne peuvent pas être atténuées [...]"
      Non, vous parlez dans le vent, avec du vent. Aucune recherche, ni historique ni économique n’a été faite pour écrire ce pavé rempli de tout sauf d’arguments et de faits.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 12:39

      @ Trelawey,

      en sachant que le 31 octobre le tsunami breixit emportera tout et ne laissera qu’une coquille vide anciennement nommé Royaume Unis

      Vous avez oublié dans votre liste ce qui va arriver à la nature et particulièrement aux blaireaux en cas de Brexit... 


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 12:43

      @Trelawney
      La livre est au même niveau qu’après la crise de 2008, elle a connu une remontée passagère en 2015. Elle est parfaitement stable depuis 2016 et l’annonce du brexit.
      https://www.google.com/search?q=cours+de+la+livre&oq=cours+de+la+livre&aqs=chrome..69i57j0l5.4663j0j4&sourceid=chrome&ie=UTF-8
      Où elle est, la panique boursière ?


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 12:46

      @Fifi Brind_acier
      Les blaireaux une espèce qui peine à survivre au Royaume-Uni, seront-ils les premières victimes du Brexit ? »

      Je pense qu’on parle ici des travaillistes et de Corbyn, non ?


    • nono le simplet 6 septembre 2019 13:15

      @doctorix
      Elle est parfaitement stable depuis 2016 et l’annonce du brexit.

       smiley smiley
      lien
      parité au 01/01/2002 1.64€
      écroulement en 2008 ...
      parité en 2016 1.40€
      parité aujourd’hui 1.10€ 22% de perte depuis 2016 ... c’est une sacrée stabilité ...


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 13:32

      @nono le simplet
      La France, avec l’euro, ne peut pas dévaluer la monnaie, elle est donc contrainte de faire « une dévaluation interne », en contractant la masse salariale, d’où les réformes du Droit du travail, des retraites, des indemnités chômage, des APL etc.

      L’inventeur de l’ euro avait un but précis : « envoyer les Etats Providence aux égouts. »Les ravages sociaux de l’ euro, une stratégie délibérée"


    • nono le simplet 6 septembre 2019 13:45

      @Fifi Brind_acier
      La France, avec l’euro, ne peut pas dévaluer la monnaie

      je parle avec assurancetourix de la parité €-£ qu’il dit stable depuis 2016 ...
      et toi tu me réponds France et « dévaluation interne » ... « dévaluation interne » surtout pratiquée par l’Allemagne dans les années 2010 ...
      en tous cas aucun rapport avec ce que l’on disait ... smiley


    • doctorix, complotiste doctorix 6 septembre 2019 14:12

      @nono le simplet
      Vous êtes de mauvaise foi
      entre 2015 et 2016, il y a eu une baisse de la livre régulière, entre 1,42 et ,1,28, avec tendance à la baisse constante, pour d’autres raisons que le référendum puisqu’il n’était pas annoncé.
      Après le référendum, la spéculation a entrainé une baisse de dix points et plus (1,11), mais il n’y a pratiquement plus de baisse depuis.
      C’est précisément cette baisse de la Livre qui a permis une reprise économique et des exportations, et une baisse du chômage qui est actuellement à 3,9%.
      Nous, c’est plutôt 9%.


    • nono le simplet 6 septembre 2019 17:36

      @doctorix
      Après le référendum, la spéculation a entrainé une baisse de dix points et plus (1,11),

      en gros tu dis le contraire de ce que tu disais plus haut ... fastoche ...


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 20:12

      @nono le simplet
      Après le référendum, la livre a perdu 15%, depuis elle varie en fonction des épisodes du feuilleton, et avec Johnson elle a encore baissé.
      Ce qui convient aux touristes et aux exportations.


  • Laconique Laconique 5 septembre 2019 20:51

    L’écrivain Stephen King a twitté : « Members of Boris Johnson’s party have stood up against his craziness. It’s a shame Senate Republicans don’t have such moral courage. »


  •  Adibou Adibou 5 septembre 2019 21:10

    Un bien bel article.

    Merci


  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 5 septembre 2019 22:08

    "C’est tout le problème d’une démocratie complexe, la double souveraineté. La légitimité populaire et la légitimité parlementaire. La démocratie directe et la démocratie représentative. « 

    Je me suis arrêté là car il est évident qu’avec des formulations ampoulées comme celle-là pour parler d’une chose aussi simple que la démocratie, il y a l’intention de tromper le lecteur, de faire passer la dictature pour la démocratie et l’inverse. La démocratie c’est le pouvoir du peuple. Point final ! C’est simple et c’est clair ! Le pouvoir du peuple c’est la souveraineté populaire. Le premier glissement par rapport à cette définition simple consiste à dire : la démocratie c’est voter. Non ! Pas toujours. Pas dans n’importe quelle condition. Si vous faites voter ensemble une poignée de corrompus pour qu’ils décident pour tout un peuple cela n’a rien de démocratique.

    Alors on vous voit venir avec »la démocratie complexe, la double souveraineté« . Le peuple britannique s’est exprimé par un référendum. Le peuple français aussi d’ailleurs en 2005. La démocratie c’est le respect de cette décision populaire exprimée clairement de manière incontestable. Mais la dictature européiste refuse de se plier à ces décisions du peuple. Elle refuse la souveraineté des peuples. Et voilà que pour tenter de justifier cette dictature il vous faut tout embrouiller et d’emblée vous inventez une »démocratie complexe« et une »double souveraineté« . Votre »démocratie« doit en effet être très complexe pour que vous puissiez opposé un quelconque processus à la décision du peuple. Quant à votre »souveraineté« il faut bien qu’elle soit »double« puisqu’à la souveraineté du peuple vous voulez opposer un autre pouvoir.

    Bien évidemment, vous inventez une »légitimité parlementaire« qui viendrait s’opposer à la légitimité populaire. Il n’y a aucune autre légitimité que celle du peuple mais nous savons bien que la dictature de l’Union Européenne multiplie les procédures qui lui permettent de retarder la mise en œuvre du Brexit dans l’espoir d’ailleurs qu’il ne s’appliquera jamais. C’est ce que tout le monde a compris. C’est l’ensemble de ses magouilles parlementaires avec le sabotage de Theresa May et tous les développements actuels que vous appelez »la légitimité parlementaire« . A la démocratie directe vous voulez opposer »la démocratie représentative« . Cette opposition apparait effectivement quand des parlementaires refuse d’appliquer les décisions du peuple. Ceux qui font cela sont précisément ceux qui refusent la démocratie.

    Je suppose que tout le reste de votre article est du même acabit. Nous ne connaissons que trop bien toute cette mauvaise »littérature".


  • dr.jambon-beurre dr.jambon-beurre 5 septembre 2019 23:29

    Sylvain Rakotoarison, apprenti journalope ?


    • Ruut Ruut 6 septembre 2019 15:09

      @dr.jambon-beurre

      J’espère qu’il ne fait pas honnêtement ces articles.

      Il est probablement payé pour les écrire.

      C’est trop énorme dans le mensonge et politiquement orienté pour venir d’un journaliste honnête et sincère.


    • Kostic 7 septembre 2019 09:03

      @dr.jambon-beurre
      À moins qu’il ne soit qu’un prestitué ?


  • Initiativedharman Initiativedharman 6 septembre 2019 00:09

    On pensait qu’il n’y avait pas pire que Trump, hé bien si, nous Boris Johnson. Côte à côte, ces deux là forment une jolie paire de têtes d’abrutis.


  • nono le simplet 6 septembre 2019 05:03

    c’est là qu’on voit bien les limites d’un referendum ...

    les anglais ont voté majoritairement pour une sortie de l’Europe, d’accord ... mais pas les écossais à 62% ... ni les irlandais du Nord à 56% ...

    les habitants du RU ont voté majoritairement pour une sortie de l’Europe, d’accord ... mais pour quelle sortie ? quid de la frontière entre les deux Irlande ? No Deal ou Deal ? et si Deal, lequel ? ...

    Bojo est partisan d’un Brexit dur No Deal ... on sort et on négocie après avec comme « chantage » ou « atout » la dette d’une cinquantaine de milliards d’euros ...

    qui a raison ? qui est légitime ?

    les opinions sont multiples et se radicalisent ... et tout ça pour un referendum imbécile et flou lancé par Cameron, sûr de le gagner ...


    • nono le simplet 6 septembre 2019 05:27

      petite réflexion sur le referendum de 2016
      les partisans du « Remain » comme ceux du « Leave » n’ont obtenu qu’un gros tiers des inscrits si on considère les votes blancs ou nuls et les non exprimés (28%) ...
      peut être faudrait il obtenir une majorité des inscrits et non des exprimés pour considérer le résultat « net et sans bavure » d’un referendum de ce type ...


    • Shaw aka CVN42-OSe-F-HD Shaw 6 septembre 2019 06:00

      @nono le simplet

      Mangez des pommes ! &#128569;&#128540;


    • Shaw aka CVN42-OSe-F-HD Shaw 6 septembre 2019 06:04

      @nono le simplet

      Comme pour toutes les élections dites « démocratiques » des pays occidentaux, élection du PR français en tête !

      Et j’aime pas ce « type » là, c’est ses dernières minutes à me faire de l’ombre !

      Capito ?


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 07:19

      @nono le simplet
      Vous pensez que si le remain avait obtenu 52% des voix, ils y auraient renoncé, et aurait offert le Brexit aux perdants pour leur faire plaisir ? Rêve !

      Chaque fois que le peuple a « mal voté » à un référendum, soit on les a obligés à revoter jusqu’à ce qu’ils votent oui, ou bien, par une entourloupe, on a transformé le non en oui.

      Ce qui se passe en GB est l’équivalent de ce qui s’est passé en 2005 en France.
      La classe politique européiste n’a pas supporté le résultat du referendum et l’a torpillé en 2007 au Congrès de Versailles.

      Comme a dit Junker aux Grecs : « Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens », c’est la définition même d’une dictature.

      Les peuples peuvent donner leur avis, sous réserve qu’ils ne remettent rien en question et soient toujours d’accord avec ce qu’on leur impose. Ils appellent cela la démocratie, et en plus, ils vous donneront des leçons. 


    • nono le simplet 6 septembre 2019 08:10

      @Fifi Brind_acier
      Vous pensez que si le remain avait obtenu 52% des voix, ils y auraient renoncé, et aurait offert le Brexit aux perdants pour leur faire plaisir ? Rêve !

      aucun rapport avec ce que j’écris ... strictement aucun ...
      le « peuple », comme tu dis, c’est tout le monde, même ceux qui ne votent pas ou qui votent « blanc » ...
      ça pose le problème de la légitimité de nôtre président d’ailleurs, élu avec 18 % des inscrits au 1er tour et 43.6% au deuxième tour ... soit moins de la moitié du « peuple » !


    • nono le simplet 6 septembre 2019 08:15

      et seul un gros tiers du « peuple » anglais a voté pour le « Leave »
      ça plait ou ça plait pas mais c’est un fait smiley


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 09:27

      @nono le simplet

      Bonjour, oui d’accord le peuple c’est « tout le monde ».

      Mais il se trouve que parmi ce « tout le monde », 52 % ont voté pour le Brexit. C’est ça qui défrise.

      52 % c’est une très large majorité, et je ne pense pas que le peuple anglais se laisse voler par les anti-Brexit leur référendum.

      Qui sont les électeurs pour le Brexit ? le peuple anglais de l’Angleterre profonde oui, elle existe saccagée par l’UE et le mondialisme. Classes populaires et classes moyennes. Les plus méprisées par les mondialistes et les européistes. Les plus touchées par la récession. Ils ne veulent plus de l’UE qui les écrase et les condamne au chomage, à la paupérisation permanente. Comme chez nous.

      Qui sont les électeurs anti-Brexit ?

      Le strict opposé de ce pauvre peuple anglais touché par la crise qui perdure depuis des décennies. L’hyper classe londonienne, les privilégiés,rajoutons à cela les couches populaires issues de l’immigration manipulées par les mondialistes, que l’hyper classe a condamné au servage de l’ubérisation de la société, comme chez nous, et qui se contentent des miettes des aides du gvt anglais,
      Et les classes privilégiées des professions libérales.

      Etant donné que le Brexit c’est le peuple anglais dans ses profondeurs, il sera bien difficile pour la finance apatride qui sous-tend la merde en plaque UE, de reprendre la main, malgré une mediatisation outrancières des anti-Brexit. Malgré toutes les tentatives de sabotage de ces escrocs patentés.

      C’est tout simplement une question de rapport de forces mathématique. 52 % pour le brexit, qui pèsent de tout leur poids.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 septembre 2019 09:32

      @nono le simplet
      Il faudrait combien de participation pour que le vote soit valable, selon vous ?
      90% ? 100% ?

      En 1992, pour le Traité de Maastricht en France, participation : 69,69% .
      Le oui l’a emporté, les européistes n’ont rien trouvé à redire. Silence radio.

      Referendum sur le Brexit, il y a eu 72,2% de participation.
      Plus que pour le référendum pour Maastricht qui a enchanté les européistes.
      Mais le non l’a emporté, alors rien ne va plus !

      Referendum en 2005, en France : 69,36% de participation.
      C’est la même participation que pour Maastricht, qui convenait très bien en 1992.
      Mais c’est le non qui l’a emporté, là rien ne va plus ! Et la classe politique française a refusé le résultat et à voté le contraire 2 ans plus tard. 

      Vous cherchez le poil dans l’ œuf.


    • Legestr glaz Legestr glaz 6 septembre 2019 09:37

      @nono le simplet

      « Quid de la frontière entre les deux Irlandes ». écrivez-vous. Mais c’est une farce cette affaire là ! Une manipulation totale !

      La Suisse appartient à l’Espace Schengen et la circulation des personnes y est totalement libre dans cet espace. En revanche, la Suisse n’appartient pas à l’Espace économique européen et les taxes douanières sont appliquées aux produits, entrants et sortants. Est-ce que cela pose un quelconque problème depuis l’accession de la Suisse à l’Espace Schengen en 2009 soit il y a 10 ans ? Aucun problème à l’horizon malgré des frontières suisses avec la France, l’Italie, l’Allemagne et l’Autriche.

      Seriez vous assez naïf pour croire à cette fadaise de la frontière irlandaise ?

      https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/le-brexit-et-le-trompe-l-oeil-de-213998


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 09:52

      @Nicole Cheverney

      Petite précision supplémentaire : les anti-Brexit européistes veulent de nouvelles élections ? Qu’ils y aillent.
      En Angleterre, il n’y a qu’un tour et c’est le % le plus élevé qui remporte la mise.
      N’oublions pas le score très élevé de Farage, qui est pro-Brexit.


    • Yukimuras 6 septembre 2019 09:54

      @nono le simplet
      En effet. Mais c’est marrant car quand le vote va dans le « bon » sens, les médias et politiques corrompus n’en font pas état ni de remise en question du résultat ... 


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 09:57

      @nono le simplet

      1/3 ne fait pas la majorité. La majorité, c’est 52 %. Point barre !

      Il ne s’agit pas de la France, où avec moins d’1/3 d’électeurs, vous vous retrouvez Président de la République.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 6 septembre 2019 10:41

      @nono le simplet

      Qui a raison ? Qui est légitime ?

      Ca vous dérange à ce point qu’un peuple vote à une large majorité pour un Brexit ?
      Vous lui trouvez quoi de si affriolant, À L’UE ?

      Un référendum imbécile et flou lancé par Cameron.

      Auriez-vous qualifié ce référendum d’imbécile et flou si les Anglais avaient voté à 52 % contre le Brexit ? 

      Non !

      Vous auriez gentiment refermé votre petite boite à outils européiste, comme vous vous rangez en ce moment derrière la bien-pensance générale mediatique.


    • nono le simplet 6 septembre 2019 10:49

      @Nicole Cheverney
      parmi ce « tout le monde », 52 % ont voté pour le Brexit

      non, non 37.2% des anglais ont voté pour le « Leave »
      52% ce sont les votants exprimés

      Il ne s’agit pas de la France, où avec moins d’1/3 d’électeurs, vous vous retrouvez Président de la République.

      encore faux ... 43.6% des français ont voté pour Macron au deuxième tour ... vous êtes fâchés avec les chiffres à l’UPR ? remarque, je m’en doutais ...


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