mardi 25 juin 2013 - par François Vieira - EPI Agency

Et si c’était vrai…

… que les flamingants de la Nieuw-Vlaamse Alliantie N-VA, parti politique belge séparatiste, en français Alliance néo-flamande, attendraient les élections législatives fédérales et régionales du 25 mai 2014, pour déclarer leur indépendance au nom de la "Republiek van Vlaanderen" ?

Évidemment, selon la formule consacrée, avec des Si on mettrait Paris et bien d’autres grandes Capitales en bouteille.

Puis, d’ici le 25 mai 2014, il se pourrait bien que la mégalomanie dont semble être atteint Mijnheer Bart De Wever, actuel Bourgmestre d’Anvers et Président de la N-VA, tombe à ras des pâquerettes.

"L'Éclatement de la Belgique" Dans la pratique, en cas d’éclatement du pays, si jamais cela devait arriver, "il n’y a pas de fumée sans feu" – souvenez-vous de l’émission spéciale "By, By Belgium", diffusée par la RTBF le 13 décembre 2006 – la "Republiek van Vlaanderen" ne fera pas pour autant partie de l’Union européenne. Plus tard, peut-être !

Dès lors, deux questions me taraudent l’esprit. À savoir  : 1° La Région de Bruxelles-Capitale, déclarée siège des Institutions européennes depuis 1997, se trouvant géographiquement en territoire flamand, que se passera-t-il si la "Republiek van Vlaanderen" venait à exiger que Brussels Hoofdstedelijk Gewest devienne désormais sa Capitale ? Et ce, malgré le fait qu’une large majorité de bruxellois est francophone !

2° Quid du statut des nombreux fonctionnaires européens flamands ? Y compris celui de Monsieur Herman Van, Président du Conseil européen, en poste jusqu’au 30 novembre 2014.

"Un peu d’histoire… qui ne manque pas de piquant". Le 11 juillet 1302 un impressionnant groupe de flamands en armes, à cette époque on ne parlait pas encore de flamingants, commandés par un certain Jan Breydel et Pieter De Konink, son fidèle lieutenant, a anéantit à Courtrai la redoutable armée du Roi de France Philippe le Bel.

Cette bataille remportée par les flamands, dite des Éperons d'Or, en raison du nombre impressionnant d'éperons abandonnés par les chevaliers français, avait déjà suscité l'inquiétude de certains européens. Cinq siècles plus tard, exactement 528 ans, la Belgique était née.

Sept siècles plus tard. Voilà que les flamands - ou plutôt les flamingants - reviennent à la charge. Sans mauvais jeu de mots, c'est bien d'une "charge à l'encontre des francophones" et autres étrangers eux aussi francophones qu'il s'agit.

"À décharge des flamingants". Il faut reconnaître qu’au fil des temps les flamands ont subi pas mal d'injustices et autres brimades stupides de la part d’un certain nombre de francophones, plus particulièrement des Wallons.

"Rejetés par la bourgeoisie flamande" En effet, au 19ème siècle la classe ouvrière flamande était tenue à l’écart par la bourgeoise flamande, en particulier à Anvers et à Gand ! À l’époque, chez les bourgeois flamands, il était de bon ton de s’exprimer en français. D’aucuns racontent même que les instituteurs flamands punissaient les élèves qui parlaient flamand entre eux au détriment de la langue de Molière. D’autres, et pas forcément des flamands, renchérissent en disant que certains plaidoyers et jugements au Palais de Justice de Bruxelles étaient prononcés en français alors que le prévenu ne comprenait pas un traître mot. C’était, ce qu’on pourrait appeler, les Injustices du Palais.

Cette fois, pas d'éperons d'Or à ramasser sur le champ de bataille, mais des voix électorales ! Il fallait s'y attendre. Sauf que cette fois, vu le succès remporté par la N-VA à Anvers, les flamands séparatistes ne surprennent plus personne. Sauf les naïfs du côté flamand, c’est-à-dire, celles et ceux qui ne veulent pas entendre parler de séparatisme.

Petit rappel ! N’oublions pas que les premiers à préconiser l’éclatement de la Belgique, en vue de la création d’une République libre de Wallonie, ce sont les Wallons ! Le Vive la République, prononcé en 1950 par un wallon, un certain Julien Lahaut, lors de la prestation de Serment du jeune Roi Baudouin, en est la preuve. Quant Julien Lahaut, on n’a jamais su si c’est vraiment lui. Ce qui n’a pas empêché les ultra-monarchistes pro-Baudouin, de l’assassiner sept jours plus tard.

"Bart De Wever à la Commission européenne" On s’en souvient, c’était au "lendemain" des élections du 13 juin 2010, fort de son succès électoral, Bart De Wever a aussitôt demandé à être reçu par le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.

Inhabituel pour un Président de parti, qui plus est n’avait aucune chance d’être désigné Chef du Gouvernement belge, on peut penser que l’entretien avec le Président de la Commission, qui achève son mandat six mois après les élections du 25 mai 2014, n’était probablement pas dépourvu d'intérêt pour les séparatistes de la N-VA.

"L’Union européenne, la vache à lait du Gouvernement bruxellois" Compte tenu des querelles communautaires belgo-belges à répétition, si les Institutions européennes venaient à devoir quitter la Région de Bruxelles-Capitale, il y a des fortes chances pour que cette dernière se trouver dans la situation de banqueroute que traversent aujourd'hui un certain nombre de pays de l’Union, la Grèce en particulier.

L’indépendance, un droit légitime "Sans aucune intention de comparaison malveillant, estimant d’ailleurs que chaque peuple a le droit d'aspirer à gérer seul à sa propre destinée, cependant, force est de constater, la campagne électorale menée récemment par la N-VA, ressemblait fort à la campagne menée par Hitler en 1933".

Quant à Hitler, alors chef du Parti National Socialiste-NSDAP, fort de ses vociférations prometteuses, à l'issue des élections, il a été nommé Chancelier par le Président Paul Von Hindenburg. Décrié, tout d'abord, comme étant un méchant fanatique, plus tard, lors des accords de Munich, Messieurs Édouard Daladier et Neuville Chamberlain, auraient déclaré : finalement "Hitler était un homme ouvert au dialogue" ! Nous sommes tous convaincus que les habitants des sudètes n’étaient certainement pas du même avis.

"N-VA ou Bart for Wever ?" Aujourd'hui, afin de glaner encore et encore des voix électorales, Bart De Wever joue le sauveur du peuple flamand soit disant victime de la mauvaise gestion de l’économie wallonne.

Ce qui n’est pas tout à fait faux ! "En effet, à la belle époque de la sidérurgie wallonne, la cigale wallonne chantait, partait en grève quand ça lui chantait… Tandis que la fourmi flamande bossait dur au nord comme au sud du pays.

"Gangrenée de l’intérieur par les affaires, les socialistes carolingiens en tête, sans oublier André Cools (PS), que d’aucuns appelaient le Parrain. André Cools fut assassiné en pleine rue. En raison, semble-t-il, d’une sombre affaire de rivalités au sein même du PS belge. C’est ainsi que, d’année en année, la Wallonie s’est affaiblie. Et oui, quand le ver est dans la pomme…" 

"En revanche, le monde politique flamand, plus prudent ou plus fin (allez savoir) dans leur façon de gérer "les affaires", n’a pas été tellement impliqué dans les "affaires de corruption".

Dotations Royales et impôts Enfin, il était temps, le Gouvernement belge a décidé de revoir à la baisse les scandaleuses dotations royales – véritables Méga Win for Life de la Loterie Nationale belge - accordées aux Princesses, Princes, et autres Reines à la retraite. Autres avantages : pas de loyer, pas d’impôts ni de TVA et pas d’accises non plus. En principe, tout cela devrait changer d’ici peu. On verra bien.

Quand on pense à toutes celles et ceux (belges et étrangers) qui ont contribué à l’enrichissement de la Belgique par leur dur labeur (mineurs, petits indépendants…) qui touchent aujourd’hui entre 1000 et 1400 Euros de pension par mois, une misère, il y a de quoi se mettre à fredonner le ça ira, ça ira….

"Les sempiternels compromis à la belge" "Si ça se trouve, à l’issue des élections de 2014, les partis francophones finiront peut-être par reconnaître que Bart De Wever, si jamais ce dernier venait à réussir l’éclatement de la Belgique, en laissant* la Région de Bruxelles-Capitale aux francophones, en raison de cela, il serait devenu finalement un homme ouvert au dialogue" ! Messieurs Daladier et Chamberlain n’auraient pas dit autrement.

*La "Republiek van Vlaanderen" avait-elle réellement le choix ?

Et si c’était vrai… qu’après multi-supputations, et autres à qui mieux mieux prédira l’éclatement du pays, que la Belgique va rester unie.

S’il est vrai que l’Union fait la force, devise de la Belgique, c’est le moment de le prouver.

Qu’en pensez-vous ?

Images de la manifestation pro-Belgica du 16 mai 2010

Texte et crédit image  : François Vieira – EPI Agency - Tous droits réservés



11 réactions


  • cardom325 cardom325 25 juin 2013 19:46

    Ay Marieke Marieke je t’aimais tant
    Entre les tours de Bruges et Gand
    Ay Marieke Marieke il y a longtemps
    Entre les tours de Bruges et Gand

    Mijn platte land mijn Vlaanderland

    l’inéluctable destin du plat pays .......consternant


  • asterix asterix 25 juin 2013 19:56

    Et bien, moi je vais vous dire ce que j’en pense !

    D’abord, que vous n’avez nulle part écrit dans votre article que le flamingant Bart De Wever est un homme d’extrême-droite !!! Un pur, un vrai, un dégueulasse. Un historien négationiste issu d’une famille de collabos notoires. Le chef de file de 57 milices flamingantes adeptes des thèses raciales, celle du flamand persécuté, brimé et travailleur.
    La seule différence avec La Pen, c’est que le bougnoul n’est pas l’étranger, mais le wallon.
    J’epère qu’il s’agit de votre part d’un simple oubli, mmh ?
    .
    Une autre précision toute aussi importante : en cas de séparation du pays, n’allez pas croire un seul instant que Bruxelles sera automatiquement enclavé dans le nouvel état flamand. Loin de là ! Vous auriez pu préciser que la fameuse frontière linguistique votée par le Parlement le fut majorité flamade ABSOLUE contre majorité francophone ABSOLUE. Au cas où le nouvel état « republiek van Vlaanderen » voit le jour, il ne sera jamais accepté en Europe sans autodétermination des populations concernées. A ce moment-là, Bruxelles sera au moins deux fois plus grand qu’il ne l’est aujourd’hui, c’est tout simple.
    Et c’est bien pourquoi les AUTRES partis flamands n’en veulent pas, préférant, c’est encore plus retors, garder un état BELGIUM vidé de toute sa substance.
    Vous auriez également pu préciser que dans la Communauté européenne, les impôts se payent sur le lieu de travail. Or, 300.000 flamands travaillent à Bruxelles. Cela fera 300.000 revenus de moins pour maman Flandre, près du 1/7ème de son budget..
    Croyez-vous vraiment que tous les Flamands sont aussi cons que De Wever ?
    Par pragmatisme pur, certainement pas !
    Quant au nationalisme, hein... Ils le sont tous, SANS EXCEPTION !!!

    Un peu d’histoire également...
    La bataille des éperons d’or fait partie du mythe flamand, comme cele du pauvre soldat flamand sacrifié pour la Patrie Belgique en 14/18.
    La bataille des éperons d’or a été gagnée grâce à l’apport des troupes francophones du Duché de Namur. Ce fut une GRANDE victoire, précédée et suivie de MULTIPLES défaites.
    On dirait du Fidell Castro, tiens !
    Et pour 14/18 dont vous ne parlez pas, 7 soldats anglais sur 10 moururent. Un flamand ET un wallon sur 30 également.
    Qui en a fait L’HOLOCAUSTE de tout un peuple ?
    Les Anglais ?
    Mais non : les pauvres flamands. Ils sont si menteurs, si pervers... . 

    Je suis assez d’accord avec vous sur l’image que vous apportez du wallon ( et de la famille royale également )
    Mais je me permets de bondir lorsque vous parlez d’« un certain Julien Lahaut ». Ce mec était un homme de gauche convaincu, un leader ouvrier, un visionnaire « . Un VRAI ouvrier, pas un Mélanchon si vous voyez ce que je veux dire...

    La Belgique de grand-papa n’était pas un pays où l’on parlait français et flamand. Encore aujourd’hui, un limbourgeois - flamand - ne comrend pa bien un falandrien ostendais ...et les Hollandais se foutent des deux. Un xallon ne parlait pas français non plus : il parlait un dialecte et celui de Charleroi et de Liège étaient deux langues distinctes.
    Seule la bourgeoisie parlait français. Elle n’était comprise ni par les uns, ni par les autres.
    L’erreur historique fut de ne pas avoir adopté le principe » un pays, une langue " . Les américains l’ont bien fait et l’anglais l’a emporté ...d’une voix !
    Moi qui suis flamand de sang, je suis devenu francophone.
    Allez savoir pourquoi !
    Pour les raisons que vous énumérez ?
    Non !
    Parce que mon grand-père est allé habiter à 30 km du berceau familial, tout simplement. Il devait travailler et à l’époque, il n’y avait du travail qu’en Wallonie.
    La Belgique a aidé la Flandre, lui a donné une infrastructure économique.
    Mais elle s’est gourrée en pensant que l’industrialisation allait être éternelle. Aujourd’hui, le Wallon a été remplacé par le Chinois.
    Et la Flandre crie qu’elle la spolie.
    Non Monsieur : vous auriez dû écrire sur ce thème : la Flandre est égoïste, fut la meilleure alliée d’Adolf et n’attend qu’une chose : Vlaanderen voor Christus en Chistus voor Vlaanderen.
    Cette future nation sera fasciste.
    L’Europe n’en voudra jamais.
    Donc : VOTRE DE WEVER, C’EST DU VENT !!!

    Mes salutations, j’ai quand même voté + et n’ai pris que quelques minutes à vous répondre.
    Elle se porte bien votre agence EPI ?


    • imprécateur 26 juin 2013 13:13

      Il est une chanson de Jacques Brel sortie en 1978 toujours interdite sur les ondes belges « Les Flamingants, chanson comique ! » qui décrivait très bien cette mentalité arrogante des nationalistes flamands, surtout lorsqu’il disait :
      -« a vous souffler dans le cul pour devenir autobus,
      vous voila acrobates et vraiment rien de plus »
      puis :
      -« nazis durant les guerres, et catholiques entre elles
      vous oscillez sans cesse du fusil au missel »
      allusion à la prédominance du CVP de l’époque !
      Bien sûr que Bart de Wever (Bart doux réveur !) n’aspire qu’a être le Caudillo d’une « république flamande », mais nombreux sont ceux qui ont facilité cette ascension,(c’est là où votre comparaison hitlérienne fait sens, au risque de ramasser un point Goodwin), on se souvient des nombreux appuis dont le Fuhrer bénéficia de la part des industriels germains et autres(L.Renault par exemple) dans son accession au pouvoir.
      Ici, une frange européiste a longtemps encouragé les revendications régionalistes car c’était un bon moyen de déforcer les états nations, seulement l’infection peut à présent gagner d’autres terres Catalogne, Ecosse, Corse ect...
      Ces régions faisant Sécession provoqueraient un Tsunami économique peu propice à l’enrichissement néolibéral (sauf pour un éventuel complexe militaro-industriel).
      La question de BXL est la plus délicate, 80% de francophones, nouveau couloir de Dantzig, il faudra que ces francophones s’ils ne veulent être davantage brimés qu’ils ne le sont à ce jour, se rebiffent réellement, mais le Belge par nature est paisible...
      De Gaulle avait tenu un jour un propos assassin à l’encontre du royaume belge :
      -« La Belgique n’est pas une nation, c’est une entité politique ! »
      et le propre d’une entité politique est d’être centre de forces opposées ...


    • L'enfoiré L’enfoiré 28 juin 2013 06:41

      Je n’ai pu que te plusser, Asterix.

      L’âme zinneke du Bruxellois n’est pas une caricature, elle est bien réelle.
      L’erreur monumentale de la Wallonie, c’est de ne pas avoir nommé Bruxelles comme sa capitale.
      Aujourd’hui, elle veut corriger l’erreur avec la Fédération Wallonie-Bruxelles.
      Elle a compris que cela ne marche pas fort.
      Alors, elle vient de créer un nouveau sigle distinctif de la Wallonie. Wallonia.be
      Coût de l’opération, un demi million d’euros. Une petite paille.
      Cela vaut bien ça pour l’image, puisque Lyon en dépense un million tous les ans.
      Bruxelles ne veut être ni la Flandre, ni la Wallonie, mais une région fédérale à part entière. 
      Cherchez l’erreur, s’il y en a.
      La semaine prochaine, j’apporterai quelques idées dans un article fait maison

    • L'enfoiré L’enfoiré 28 juin 2013 06:44

      Imprécateur,

      +1 aussi
      J’ignorais que la chanson de Brel que vous citez soit interdite.
      Votre commentaire est bon.

  • Monique 25 juin 2013 23:10

    Bonsoir,

    J’approuve entièrement l’analyse que vous faites de la situation belgo belge qui est ô combien délicate. Nous les belges, flamands, wallons et germanophones, le savons bien.

    Hélas, sans doute en raison de notre « petit confort », on n’ose pas (pas encore !) se révolter pour crever une fois pour toutes cet « abcès linguistique » qui nous divise et pourrit la vie depuis des années. On proteste, on proteste, mais à l’issue de chaque scrutin on retrouve toujours les mêmes têtes. Alors, finalement, à qui la faute ? En premier lieu, certes, au monde politique qui nous mène en bateau au lieu de nous gouverner, mission pour laquelle ils sont d’ailleurs largement payés. En second lieu, à la population, y compris moi-même, qui n’ose pas descendre en masse dans la rue pour exiger de la part de nos « chers politiciens » : a) L’engagement solennel qu’ils respecteront leurs promesses électorales - b) Que les vrais « forces démocratiques », s’il en existe encore en Belgique, excluent une fois pour toutes, les partis et autres adeptes de l’extrême droite. Faute de quoi, non seulement l’ensemble des électeurs bloquerait l’accès aux bureaux de vote mais refuserait de voter lors du prochain scrutin.

    Oui, bien sur, c’est du rêve tout ça... je m’en rends compte. Car, vous l’aurez compris, une telle prise de position déboucherai certainement sur une intervention musclée des forces de l’ordre. Malheureusement, la Belgique manque de « jeunesse » au propre comme au figuré.

    Lors de votre prochain article, je pense que vous devriez développer le sujet !

    J’aime beaucoup le site de votre agence EPI. Simple, certes, mais facile à consulter et toujours à jour. Par ailleurs, détail qui a attiré mon attention, le copyright des textes en français et des photos - dont 12 Rubriques différentes - est partout le même : François Vieira - EPI Agency !

    Vous avez même un département d’édition littéraire Editions EPI. Et là aussi, je trouve votre nom, y compris dans le graphisme de la couverture, la mise en page, photos, suivi imprimerie et attaché de presse de l’auteur du livre Les Vingt Mystères du Rosaire, par Guy Bouchez, que je viens d’acheter. Comment faites-vous pour gérer tant de tâches à la fois ? En tout cas, bravo, je vous félicite ! 

    Enfin, ne vous découragez pas si l’un ou l’autre intervenant fait un commentaire « acidulé », voire même « provocateur ou médisant » sur l’un ou l’autre de vos articles. Il ne s’agit peut-être pas de méchanceté mais probablement d’ignorance.

    Petite question : avez-vous déjà écrit quelque chose au sujet des collabos wallons durant le second conflit mondial ? Par exemple, sur Léon Joseph Marie Ignace Degrelle qui, sauf erreur, n’était pas flamand ! 

     Au plaisir de vous lire,

    Monique


  • Renard 25 juin 2013 23:41

    votre article n’est pas mal du tout ! On sent que vous en avez envie d’en découdre avec le monde politique ! N’est ce pas ?

    Votre site, que je consulte souvent depuis que j’ai lu votre article sur l’environnement Le Monde ne marche...mais vers quoi avance-t-il, n’est pas mal du tout. J’ai même découvert que vous êtes sculpteur et avez été graphiste publicitaire !

    Donc, vous êtes alors le Lauréat du fameux Iris bruxellois. Qui, malgré le temps écoulé, plus de 20 ans, a fait l’objet tout récemment d’un article intitulé : Bruxelles : Label arnaque ?

    Continuez à écrire et merci pour vos articles !

     


  • Ruut Ruut 26 juin 2013 15:36

    Comment une institution (la commission européenne) composée grosso modo a 60 % de travailleurs flamands, et a 90 % de sous traitants flamands, peut elle ne pas intégrer la Flandre ?

    2 langues officielles de travail l’Anglais imposée pour tout et le Français dénigrés et interdit pour presque tout.


    Quand a la Belgique son système électoral ne peut conduire qu’a un éclatement.
    Puisque lors de ses élections ni les wallons, ni les flamands n’ont accès a l’ensemble des candidats.
    Le clientélisme politique finissant le travail.

    A l’image des élections Européennes.

  • non666 non666 26 juin 2013 16:00

    Il faut revenir au commencement.

    Quand DeGaulle fout les yankees dehors, quitte le commandement intégré de l’Otan, les anglo-saxons sont obligé de trouver un autre site d’hebergement.

    Ils choisissent la Belgique car il faut maintenir les français et la francophonie sous contrôle faute de quoi une « Otan-bis » sous commandement français pourrait émerger.

    Quand , dans les années 80 l’idée d’une réunification des francophone avec une Wallonie devenant la 23eme région française apparait, les états unis réagissent.

    D’abord avec les tueurs fous du Brabant wallons qui ciblent systématriquement la famille dont le représentant a émis ces idées saugrenues de « réunification francophone » et qui possèdent des supermarchés....

    Ensuite en préparant une contre-offensive en organisant avec les autres germains, les flamands, l’idée d’une Belgique séparée des francophones.

    La Différence entre les deux idée tiens essentiellement dans le contrôle de la région de Bruxelles.....et dans le redécoupage des frontières internes dans un sens plus favorable aux germains.

    En phase 1, les flamands ont d’abord fait croire aux naifs wallons que si ils acceptaient le redecoupage des frontières, la Belgique resterait unie.

    Ils exigeaient aussi que Bruxelles peuplée a 90% de francophone reste neutre....

    En phase 2 (c’est maintenant), ils n’ont plus qu’a exiger « l’indépendance » des parties qu’ils contrôlent.

    La Wallonie a financer la Belgique du temps de la splendeur des industrie lourdes.

    Mais maintenant que la Flandre est plus riche, la sidérurgie exsangue et les banquiers aux commandes, pourquoi maintenir une unité qui risquerait de couter si cher aux flamands ?

    Encouragée par les anglo-saxons , les flamands attendaient juste que la France s’effondre et ne soit plus en mesure de rappeler l’Histoire et défendre les marches de son Empire.

    Rappelons que depuis Cesar la limite entre les gaulois et les germains est sur le Rhin.

    Les flamands sont des envahisseurs, arrivés pendant les grandes invasions germaniques

    Car n’oublions pas qu’Anvers, par exemple, est une création Française...

    Evidemment avec Hollande, membre de la French -american foundation et amis d’israel et son Jumeau Sarkozy, on ne risque pas de voir les interets de la France et des gaulois defendus contre les barbares germaniques.


    • L'enfoiré L’enfoiré 28 juin 2013 07:39

      « Il faut revenir au commencement. »


      C’est ce que je vais faire, mais bien avant De Gaulle.
      de Villeroy, cela vous dit quelque chose ?
      La France a plusieurs fois envahi le territoire de la Belgique
      Si vous ne voyez pas, j’en parlerai la semaine prochaine.

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