lundi 15 juillet 2013 - par François Asselineau

L’Amérique du Sud accentue la pression sur les pays d’Europe et les Etats-Unis

De gauche à droite : les présidents de Bolivie (M. Evo Morales), d'Argentine (Mme Cristina Fernández de Kirchner), de l'Uruguay (M. José Mujica), du Brésil (Mme Dilma Rousseff), et du Venezuela (M. Nicolas Maduro) se sont réunis le 12 juillet à Montevideo, capitale de l'Uruguay, dans le cadre du Mercosur.

 

I - SUITE À L'AFFAIRE DE L'AVION DU PRÉSIDENT BOLIVIEN, L'ARGENTINE, LE BRÉSIL, L'URUGUAY ET LE VENEZUELA RAPPELLENT LEURS AMBASSADEURS EN FRANCE, ESPAGNE, ITALIE ET PORTUGAL

On a appris ce 12 juillet au soir que 4 États sud-américains membres du Mercosur, dont les 3 plus importants démographiquement et économiquement (Argentine, Brésil et Venezuela), ont décidé de rappeler leurs ambassadeurs en consultation dans les 4 États européens (dont la France) mêlés à l'affaire de l'avion du président bolivien Evo Morales.

Cette décision, annoncée à Montevideo, capitale de l'Uruguay, dans le cadre du Mercosur, est d'autant plus spectaculaire qu'elle a été prise conjointement et collectivement par des États qui n'ont pas été directement impliqués dans cette affaire, à savoir 4 des 5 États du Mercosur : Argentine, Brésil, Uruguay et Venezuela.

Seul le Paraguay manque à l'appel car ce pays a été suspendu de l'organisation il y a un an, à la suite de la destitution par le Congrès paraguayen du président de l'époque, l'homme de gauche Fernando Lugo (destitution où beaucoup d'observateurs voient la main de Washington).

En revanche, le président bolivien Evo Morales était présent, bien que l'adhésion de la Bolivie au Mercosur, signée le 7 décembre 2012, n'ait pas encore été ratifiée par tous les pays membres.

mercosur

Le « Marché commun du Sud », ou « Mercosur » selon l'espagnol « Mercado Común del Sur » ou « Mercosul » selon le portugais « Mercado Comum do Sul » est actuellement composé de l'Argentine, du Brésil, du Paraguay, de l'Uruguay et du Venezuela. Le Paraguay est cependant suspendu de participation par les autres États depuis le coup d’État de l’an dernier fomenté par les services américains. La Bolivie a signé son adhésion le 7 décembre 2012 mais il manque les ratifications des pays membres. Le Chili, la Colombie, le Pérou et l’Équateur sont pour l’instant « pays associés ».

Certains observateurs comparent le « Mercosur » à une sorte de construction européenne à l’échelle sud-américaine. S’il est vrai qu’il a été créé le 26 mars 1991 (il y a 22 ans) pour favoriser la libre circulation des biens, services et des facteurs productifs entre les pays, l’adoption d'une politique commerciale commune, la coordination de politiques macroéconomiques et sectorielles entre les États et la harmonisation des législations pour atteindre un renforcement du processus d'intégration, il n’en est pas moins vrai que ce processus est allé beaucoup moins loin qu’en Europe.

  • D'une part parce que les États-Unis, qui favorisent l’ALENA au niveau de l’ensemble du continent américain nord et sud, ne sont pas à la manœuvre dans les coulisses. L’anglais n’est d'ailleurs pas utilisé dans le Mercosur, dont les deux seules langues officielles sont l'espagnol et le portugais.
  • D'autre part parce que les États sud-américains sont extrêmement soucieux de préserver leur indépendance nationale. Depuis quelques années, le Mercosur a eu tendance à prendre une coloration anti-libérale et anti-états-unienne de plus en plus marquée, ce qui le distingue évidemment radicalement de la prétendue « construction européenne ».

Les présidents sud-américains réunis à Montevideo ont réaffirmé solennellement « le droit inaliénable de tout État à accorder l'asile (sans) restrictions ni limites ».

Visant expressément le cas d'Edward Snowden coincé à Moscou sur la pression de Washington, la Déclaration finale du Sommet n'y va pas par quatre chemins puisqu'elle précise qu' « il est fondamental d'assurer que soit garanti le droit des réfugiés à circuler en sécurité jusqu'au pays d'accueil » et « rejette toute tentative de pression, de harcèlement ou de criminalisation par un État ou des tiers. »

 

II - ANALYSE DIPLOMATIQUE DE LA DÉCISION

Le « rappel d'un ambassadeur en consultation » est une mesure de rétorsion diplomatique visible, qui témoigne d'une tension significative entre des États. Elle se situe à peu près à l'indice de gravité 4 sur une échelle de mesures de rétorsions allant de 1 à 10.

Un Indice 4 sur une sorte d'échelle de rétorsions allant de 1 à 10

Pour permettre à mes lecteurs de bien comprendre la situation, je crois utile de leur expliquer que, suite à un incident diplomatique où l'État X estime avoir subi un préjudice de la part d'un État Y, l'échelle des mesures de rétorsion possibles s'établit globalement de 1 à 10 comme suit, de la moins grave à la plus grave :

  • 1- contact informel (et non rendu public) entre un directeur du ministère des affaires étrangères du pays X et l'ambassadeur du pays Y pour faire part discrètement d'un problème ou d'une protestation.
  • 2- « convocation au ministère des affaires étrangères » (rendue publique) de l'ambassadeur du pays accrédité Y par le ministère des affaires étrangères du pays X pour lui faire part d'un problème ou d'une protestation.

Le pays X juge l'affaire suffisamment irritante, et doute suffisamment de la bonne foi du pays Y, pour en informer la presse et prendre à témoin l'opinion publique.

  • 3- remise par l'ambassadeur du pays X accrédité dans le pays Y d'une « note officielle de protestation » ; cette procédure est éventuellement doublée par la « convocation » de l'ambassadeur du pays Y accrédité dans le pays X par le ministère des affaires étrangères du pays X pour lui remettre la même « note officielle de protestation » (cas 2 + 3).
  • 4- décision prise par les autorités du pays X de « rappeler en consultation leur ambassadeur accrédité dans le pays Y ». Le pays X est suffisamment ulcéré par l'attitude du pays Y pour qu'il décide d'engager un bras de fer diplomatique en prenant à témoin les chancelleries de tous les pays du monde ainsi que l'opinion publique planétaire.

C'est cette décision de niveau 4 que viennent de décider solidairement l'Argentine, le Brésil, l'Uruguay et le Venezuela à l'encontre de la France, du Portugal, de l'Espagne et de l'Italie.

D'un point de vue technique, l'ambassade du pays X reste ouverte dans le pays Y, mais en l'absence de l'ambassadeur, le chef des services diplomatiques n'est plus qu'un "chargé d'affaires", généralement le n°2 de l'ambassade.

Cette situation peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Elle n'entraîne que rarement la mesure de rétorsion identique de la part des autorités Y.

  • 5- décision prise par les autorités du pays X de « réduire leur personnel diplomatique dans le pays Y et d'y rabaisser leurs relations diplomatiques au niveau des chargés d'affaires ». L'ambassade du pays X reste ouverte dans le pays Y, mais le fonctionnement est réduit à de maigres contacts et au traitement des questions consulaires (octrois de visas, etc.).

À la différence de la situation précédente, celle-ci peut durer plusieurs mois, voire plusieurs années.

Elle entraîne le plus généralement la mesure identique de la part des autorités du pays Y, qui réduisent - à leur tour - le niveau de leur représentation diplomatique dans le pays X.

Le pays X peut aussi demander au pays Y d'agir de la sorte en réduisant les accréditations sur son propre territoire.

  • 6- décision prise par les autorités du pays X d' « expulser l'ambassadeur accrédité par le pays Y  » ou de le « déclarer persona non grata ».

D'un point de vue technique, le pays qui décide cette expulsion, ou cette déclaration de « persona non grata », demande généralement qu'elle soit effective sous 48 ou 72 heures, une semaine tout au plus.

Elle entraîne selon les cas, soit la « réduction des relations diplomatiques au niveau des chargés d'affaires » (cas n°5 précédent), soit même la fermeture de l'ambassade et la rupture des relations diplomatiques (cas n°7 suivant).

Cette situation peut durer au moins plusieurs mois, souvent plusieurs années, voire plusieurs décennies.

La violence symbolique de la mesure (expulsion d'un ambassadeur) entraîne quasi-systématiquement la mesure de rétorsion identique de la part des autorités Y vis-à-vis de l'ambassadeur X.

Mais les autorités X ont en général devancé cette mesure en rappelant elles-mêmes leur ambassadeur dans le pays Y (cas 4) au même moment qu'elles expulsent l'ambassadeur du pays Y.

  • 7- « rupture des relations diplomatiques  » décidées par le pays X.

Cette rupture entraîne la fermeture des deux ambassades respectives, celle du pays X dans le pays Y et celle du pays Y dans le pays X.

La brouille diplomatique est désormais consommée entre les deux États, qui sont ainsi en conflit ouvert.

D'un point de vue technique, la « rupture des relations diplomatiques » dure en général plusieurs années, voire plusieurs décennies et peut conduire à deux types de situations différentes :

  • 7.1.)- soit l'absence totale de relations diplomatiques, même officieuses.

Ce cas est très rare.

Ce fut par exemple le cas entre les pays occidentaux et la République Populaire de Chine pendant les années 1950, et cela jusqu'à la reconnaissance diplomatique du régime de Mao par la France de Charles de Gaulle.

Ce fut aussi le cas avec le « Kampuchea démocratique » (Cambodge dirigé par les Khmers Rouges de 1975 à 1979), qui n'entretenait aucune relation diplomatique - quelle qu'elle soit - avec la très grande majorité des États du monde.

  • 7.2.)- soit le maintien de relations diplomatiques officieuses :

Le maintien de relations diplomatiques officieuses après la rupture des relations diplomatiques officielles peut s'effectuer de deux façons :

  • ou bien par l'ouverture de « bureaux de représentation », sortes d'ambassades qui ne disent pas leur nom

L'exemple actuellement le plus répandu est celui de Taïwan. La République Populaire de Chine refuse en effet avec intransigeance qu'un État qui noue des relations diplomatiques avec elle puisse continuer à entretenir en parallèle des relations diplomatiques officielles avec l'île de Taïwan, considérée comme en état de sédition par rapport au continent.

En conséquence, tous les États ont dû rompre leurs relations diplomatiques avec le régime de Taïpei au moment où ils reconnaissaient le régime de Pékin. Ce qui fait que la quasi-totalité des États du monde n'entretient plus de relations diplomatiques officielles avec Taïwan (il ne reste que quelques pays africains ou océaniens pauvres, qui bénéficient de larges subsides de Taïwan, ainsi que le Vatican, qui reconnaissent encore officiellement « la Chine de Formose »).

Cependant, les autorités de Taïwan et celles des États reconnaissant Pékin sont convenues d'ouvrir des « bureaux de représentation » ou des « instituts culturels » qui font office d'ambassades officieuses. Du moment que ce dispositif lui « sauve la face », le régime de Pékin ferme les yeux sur ce tour de passe-passe.

Entre la France et Taïwan, le régime du Guomindang a ainsi ouvert à Paris une représentation diplomatique officieuse dénommée « Bureau de représentation de Taïpei en France » (http://www.roc-taiwan.org/FR/mp.asp?mp=122), tandis que la France a ouvert à Taïpei une représentation diplomatique officieuse dénommée « Bureau Français de Taïpei » (http://www.france-taipei.org/). Tous les autres pays du monde agissent de la même manière.

  • ou bien par l'ouverture d'une « section d'intérêts » dans l'ambassade d'un pays tiers (ce qui nécessite l'accord d'un pays Z).

Par exemple, suite à la prise d'otages dans leur ambassade à Téhéran, les États-Unis ont rompu leurs relations diplomatiques avec l'Iran le 7 avril 1980. Cependant, ils ont décidé et obtenu - un an après - qu'un pays tiers (la Suisse) héberge quelques diplomates américains dans l'ambassade de Suisse à Téhéran. Celle-ci a donc ouvert, dans ses locaux, une « section des intérêts américains » en Iran, qui fonctionne depuis 32 ans comme une petite ambassade officieuse entre le gouvernement de Washington et celui de Téhéran. Cette « section des intérêts américains » permet notamment de faire passer des messages discrets aux autorités iraniennes ou de délivrer des visas d'entrée pour des Iraniens aux États-Unis.

De façon identique, les intérêts iraniens aux États-Unis sont représentés par la « section des intérêts iraniens » dans l'Ambassade du Pakistan à Washington.

Au-delà de l'échelon n°7, on bascule dans les mesures de nature coercitives et agressives :

  • 8)- mesures coercitives en matière consulaire : suspension de l'octroi de visas d'entrée sur le territoire du pays X pour les ressortissants du pays Y, etc.
  • 9)- mesures coercitives en matière commerciale ou financière : boycott des produits du pays Y, interdits d'importation dans le pays X, suspension des relations financières, gel des avoirs bancaires ou immobiliers détenus par l'État Y ou ses ressortissants dans l'État X, etc.
  • 10)- enfin arrive le déclenchement d'une opération militaire du pays X contre le pays Y, la guerre demeurant « ultima ratio » des relations d'État à État.

 

 

III - LA FRANCE, SOMMÉE DE S'EXCUSER PUBLIQUEMENT, SE RETROUVE ÉCHEC ET MAT.

La décision prise le 12 juillet par 4 États sud-américains membres du Mercosur, dont les 3 plus importants économiquement (Argentine, Brésil et Venezuela), de rappeler leurs ambassadeurs en consultation dans 4 États européens (dont la France), se classe donc au niveau 4 sur une échelle allant d'environ 1 à 10 en termes de gravité croissante.

Sans aller jusqu'à la rupture des relations diplomatiques, les 4 États sud-américains ont donc décidé de ne pas se contenter de protestations de pure forme, mais d'aller jusqu'à un début de crise ouverte.

Cette décision est bien calculée.

Passer au stade 5 (réduction structurelle des relations) ou au stade 6 (expulsion des ambassadeurs) aurait en effet été excessif car cela aurait permis aux 4 États européens visés de se sentir exagérément attaqués. Ils auraient légitimement pu prendre des mesures de rétorsion analogues.

En en restant au stade 4 du « rappel de l'ambassadeur en consultation », les autorités des 4 États sud-américains mettent donc les gouvernements des 4 États européens dans une position inconfortable.

Cette situation est rendue d'autant plus inconfortable que les 4 États sud-américains ont aussi décidé d'« exiger des excuses publiques des pays d'Europe qui ont agressé le président Morales », pour reprendre les termes utilisés par le président vénézuélien Nicolas Maduro.

Cette dernière demande est spécialement cruelle pour la France, dont le ministère des affaires étrangères avait déjà publiquement exprimé ses « regrets » pour le blocage de l'avion du président bolivien. Le mot « regrets » avait été soupesé au milligramme par nos diplomates, car il exprime l'idée que l'on est désolé d'une situation mais que l'on n'en endosse pas la responsabilité car celle-ci résulterait de faits extérieurs sur lesquels on ne peut rien (c'est le cas, par exemple, d'un hôtelier qui se déclare « au regret » d'annoncer à un voyageur qu'il ne peut pas l'héberger parce que son hôtel est complet).

Non seulement, notre pays ne peut décemment pas répliquer en « rappelant à son tour nos ambassadeurs dans les 4 États sud-américains en consultation », mais il se voit sommé d'aller plus loin que l'expression de simples « regrets ». Le mot « excuses » qui est attendu de la France est évidemment humiliant car il force notre pays à reconnaître à la fois sa responsabilité dans cette affaire, et qu'elle a eu tort d'agir comme elle l'a fait.

Autant dire que la France se retrouve échec et mat :

  • soit le gouvernement français s'exécute et présente publiquement ses « excuses », ce qui revient à humilier encore davantage notre pays à la face du monde, et ce qui aura au passage la conséquence de nous fâcher avec Washington ;
  • soit le gouvernement français estime qu'il n'a pas à présenter publiquement ses « excuses » et en reste aux seuls « regrets ». Auquel cas, le rappel des ambassadeurs sud-américains risque de durer longtemps. Et la France en sera réduite à attendre piteusement que le courroux des pays sud-américains s'apaise, en jouant profil bas.

C'est la première fois depuis des décennies que la France se retrouve dans une posture diplomatique aussi détestable avec l'ensemble des pays sud-américains. Je suis même bien persuadé qu'une telle dégradation dans nos relations avec l'Amérique du sud, et une telle unanimité dans la réprobation à notre encontre, sont sans précédent historique.

Je rappelle au passage que le Mercosur représente 83% du PIB total de l'Amérique du Sud et constitue la zone économique et la plateforme industrielle la plus dynamique et compétitive de tout l’hémisphère sud. En perdant pied sur ce continent, la France sape à la fois son rayonnement culturel et linguistique, son influence politique et son assise économique et commerciale. Bravo M. Hollande !

hollande-echec-et-mat

 

IV - DÉNONCIATION PRÉCISE ET OPÉRATIONNELLE CONTRE L'ESPIONNAGE DES ÉTATS-UNIS

Enfin, ce Sommet du Mercosur a donné l'occasion à la présidente brésilienne, Dilma Rousseff, de mettre les pieds dans le plat publiquement, en dénonçant l'espionnage américain, dont son pays a été victime selon les documents fournis par Edward Snowden depuis Moscou.

Elle a estimé que ces événements étaient l'occasion pour le Mercosur de « marquer une limite » et les autres chefs d'État du Mercosur lui ont emboîté le pas sans hésitation.

La déclaration finale du Sommet demande donc « aux responsables de ces actions qu'elles cessent immédiatement » ainsi que « des explications sur leur motivation et leurs conséquences ».

Les présidents ont annoncé par ailleurs qu'ils saisiraient les instanc es internationales compétentes pour l'adoption de normes relatives à la régulation d'internet, en relation avec la sécurité cybernétique « afin de préserver la sécurité des communications et la souveraineté des États. »

On imagine ainsi que les pays du Mercosur ont l'intention de lancer un vaste déballage mondial à la tribune de l'ONU, probablement à l'occasion de l'Assemblée Générale qui se réunira cet automne comme tous les ans.

Autant de décisions annoncées à la face du monde, qui ne peuvent qu'accentuer la pression sur Washington et les pays de l'Union européenne, qui apparaissent ainsi pour ce qu'ils sont : les principaux fauteurs de trouble de la paix, de la liberté et de la sécurité mondiales.

François Asselineau

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51 réactions


  • Capone13000 Capone13000 15 juillet 2013 09:39

    Il ne reste plus qu’aux Français à se réveiller et comprendre que cette construction européenne nous coupe du reste du monde et nous place sous tutelle de l’empire américain.

    Vous aurez beau tourner le problème dans tous les sens, seule l’UPR apporte véritablement la possibilité de quitter ce système euro-atlantiste.
    Alors mettons de coté provisoirement nos divergence (gauche/droite) et comme l’a fait le CNR, unissons-nous tous dans un but commun : retrouver notre indépendance.


    • Anaxandre Anaxandre 15 juillet 2013 13:26

        C’est pas faux... Malheureusement, l’auteur étant aussi médiatisé que l’information qu’il partage ici, ses analyses et son programme risquent d’avoir autant d’impact que cet article... Et croyez bien que je le regrette.

        Le vrai problème, au-delà de nos méprisables dirigeants, c’est que la masse s’en contrefiche : elle ne se sent plus concernée que par son « pouvoir d’achat ».

    • PhildeFer 15 juillet 2013 13:45

      Pour être plus médiatisé, peut être aurait il fallu qu’il soit plus ....médiatique.... Asselineau n’a toujours pas compris que pour réussir en politique quand on a autant de charisme qu’une serpillière humide, il faut pouvoir être désigné puis imposé par le système....
      Alors, amusez nous M. Asselineau, au lieu de nous assommer avec vos textes et vos conférences interminables....
      Ou alors, achetez vous un tambour et débutez chacune de vos conférences par un tonitruant « ATTENTION, AVIS À LA POPULATION ! »


    • Anaxandre Anaxandre 15 juillet 2013 15:11

        Vous confondez, la « serpillière humide », c’est monsieur Van Rompuy, selon l’euro-député Nigel Farage. Ensuite, si vous ne cherchez que des amuseurs, vous avez l’embarras du choix dans le monde de la politique spectacle largement relayée par nos grands médias, sans vous « assommer avec (les) textes et (les) conférences interminables » de F. Asselineau que, me semble-t-il, personne ne vous force à vous « infuser ».


    • Baarek Baarek 15 juillet 2013 15:16

      Si pour réussir, il faut obligatoirement les aviators de Sarko, sachez que je suis fier de penser le contraire. Je vote pour un programme pas pour une gueule.


    • PhildeFer 16 juillet 2013 21:12

      Je ne suis pas le seul que ça saoule.... 189 voix à Villeneuve.... Vous rêvez de conquérir le pouvoir au cours de ce XXIe siècle à l’UPR ? moi je pense plutôt que Bouboule en sera à sa 10000 ième conférence et vous n’aurez toujours pas d’élu....


    • Danièle Dugelay Danièle Dugelay 17 juillet 2013 03:08

      Je suis assez âgée pour ne pas me méfier de ceux qui sont ou ont été proches de Pasqua.


  • Yvance77 15 juillet 2013 10:21

    Salut,

    Malheureusement cela n’ira pas plus loin. Et pourtant, ils devraient se serrer plus les coudes et nous donner des leçons de démocratie, car l’on pourra dire ce que l’on voudra de ces pays, mais certainement pas qu’on a leur apprendre ce qu’est une dictature !

    Respect à tous ces pays car eux au moins ont fait fieremen,t face dans les années 80 au prix aussi de sang, et s’en sont sortis dignement... nous par contre ...


  • superyeti superyeti 15 juillet 2013 11:51

    Très belle réussite diplomatique du gouvernement UMPS, les félicitations du jury s’imposent, le doute que l’Europe en général et la France en particulier font allégeance aux USA est levé pour de bon ce coup-ci, cette avenir d’une Europe acceptant les diktats des USA sans broncher ne me convient pas du tout, désormais mon vote lors de futures élections tiendra compte de ce fait.


  • PhildeFer 15 juillet 2013 12:26

    Je m’excuse de venir casser l’ambiance...
    Ne trouvez vous pas pour le moins « étrange » toute cette affaire Snowden ? Tout cet amateurisme... Cet ex-agent secret américain qui, parti de Hong Kong où il avait cru judicieux de se dévoiler et de faire venir « secrètement » un journaliste correspondant d’un canard occidental...et qui s’est retrouvé coincé comme un blaireau depuis 3semaines dans un hall de transit en Russie... d’où il envoie autant de demandes d’asile politique qu’un chômeur en fin de droits qui a des huissiers aux fesses envoie de cv... qui est supposé détenir des « secrets » à faire trembler les USA..... et qui jusqu’à présent n’a fait qu’enfoncer des portes ouvertes... même si tous les gvt d’Europe feignent de s’étonner d’apprendre par la presse qu’ils sont espionnés par la NSA (vous même, M Asselineau, avez dénoncé dans une de vos conférences « bibliques » l’incohérence de notre défense nationale qui soustraite à Microsoft ses programmes informatiques sensibles...alors que vous le disiez vous même, tout le monde connaît l’existence de back doors dans ces systèmes...)
    Ne croyez vous pas que nous assistons plutôt à la mise en place de pièces sur un échiquier politique où chaque camp est en train de marquer ses alliés et ses ennemis ? Ceci en prélude à des événements à venir....
    Obama ou l’un de ses conseillers connaît sans doute Platon - livre VIII La République :

    “Mais quand il en a fini avec ses ennemis du dehors, en s’arrangeant avec les uns, en ruinant les autres, et qu’il est tranquille de ce côté, tout d’abord il ne cesse de susciter des guerres, pour que le peuple ait besoin d’un chef. Et aussi pour que les citoyens appauvris par les impôts soient forcés de s’appliquer à leurs besoins journaliers et conspirent moins contre lui. Et s’il soupçonne que certains d’entre eux ont l’esprit trop indépendant pour se plier à sa domination, il a dans la guerre un prétexte pour les perdre, en les livrant à l’ennemi”.


    • PhildeFer 15 juillet 2013 20:30

      @Topaze
      Asselineau n’a aucune vision politique... Il ne sait pas distinguer les véritables enjeux... Il s’attarde longuement sur des détails qui ne passionnent que lui et ses quelques aficionados... Imaginez le en charge de l’ÉTAT... Hollande fait semblant de jouer les imbéciles...il est là pour ça et sera grassement payé pour ça... Asselineau, lui est honnête et sincère.... finalement, c’est encore pire...


    • Rensk Rensk 15 juillet 2013 23:55

      Pour les derniers intervenants... La France est en train de perdre la Suisse (et pas a cause des banques française installé dans le pays)... Le chantage sur l’héritage par exemple où encore votre vision de votre nombril concernant vos frontaliers qui ne dépendent plus du chômage... Plusieurs trucs « faux-jeton » depuis la « gauche umps » au pouvoir ; pire qu’avant...

      Tiens, pour dire, votre héros Pierre Condamin Gerbier :
      - « Les autorités suisses continuent à tout faire pour empêcher la transparence en matière bancaire ». C’est le président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac, Charles de Courson, qui le dit.
      - Yann Galut, se dit « surpris de cette interpellation », qu’il interprète à ce stade comme un « message menaçant envoyé par la Suisse à l’intention des lanceurs d’alerte ».

      Drôle de « lanceur d’alerte » qui a juré craché dire la vérité aux juges et a votre « commission d’enquête »...

      Il dit chez-vous qu’il s’est « trompé » qu’une fois de carte de crédit alors qu’il a été condamné pour 192 (l’ordonnance P/1045/2006 de la justice genevoise, 3 mois d’emprisonnement avec sursis et délai d’épreuve de 3 ans) vol (détournements et faux dans les titres, abus de confiance)
      Il a des actes de défaut de bien et des poursuites pour 165’071.- Francs
      Il n’est pas diplômé HEC comme prétendu devant les juges et commission = Delphine Wahrmby, HEC Paris, Directeur de la communication...
      Licenciement pour « abus de confiance », licencié « séance tenante » est son parcours en banque...
      Médiapart a dû corriger son article vu qu’eux aussi l’ont cru « sur parole »...

      Vos politiciens et votre ambassadeur sont en train de creuser votre trou... le peuple risque fort de devoir voter sur une signature entre Paris et Berne... Ne vous en déplaise.


  • Ricquet Ricquet 15 juillet 2013 12:39

    Rien aux infos...

    Faut croire que c’est anecdotique.
    Motus de l’info Mercosur sur Google actualités, les radios...
    Bref, autant pisser dans un violon.

    • Akerios Akerios 15 juillet 2013 19:10

      En effet cela en dit long sur les médias ..............il faut trouver l’information sur internet et même sur internet la désinformation fait rage.

       

       


  • spartacus spartacus 15 juillet 2013 14:34

    Quelle litanie de supercheries de chiffres.. 

    Si t’enlève le Brésil le Mercosur des autocrates il pèse pas grand chose.

    Franchement exposer les pays autocrates comme « la plateforme industrielle la plus dynamique et compétitive de tout l’hémisphère sud. » C’est se foutre du monde. 
    Les pays autocrates ont une économie en déliquescence et en récession. Les magasins Vénézuéliens y’a pénurie de tout une inflation démesurée. La Bolivie, le secteur économique le plus porteur c’est le commerce de la drogue. 
    Les vociférations des autocrates non seulement ça va pas aider la population, mais devrait certainement pousser encore vers le bas l’économie de leur pays. 
    Le Brésil a réussit à sortir grâce à Cardosso qui a fait les bonnes réformes, et un Lula qui ne les a pas détruites. Normalement avec la socialo démago qui vient d’arriver on devrait voir le pays basculer en récession. Elle a commencé un interventionnisme malsain de l’élite sur l’économie.

    • mac 15 juillet 2013 15:18

      Morales « autocrate » selon spartacus a été réélu avec plus 63% des voix, peut-être pense-t-il que les élections ont été truquées ? Si c’est la cas qu’il donne quelques preuves.
      C’est vrai , certaines grandes puissances on peut-être trouvé mieux que les élections pour apporter la « démocratie » : la force des canons...


    • Ricquet Ricquet 15 juillet 2013 15:58

      J’ai pas l’impression que tu es lu les grands titres de l’actualité, mais puisque tu es dans le dénigrement systématique, voici les principaux (tirés de google actualité de ce jour).

      Si on prend l’international voici les 3 infos jugées essentielles par ce canard :
      l’acquittement de George Zimmerman pour le meurtre de Travyon Martin.
      Belgique : l’ex-Premier ministre en short et sandales au JT
      Hollande : « Probabilité très forte » que Philippe Verdon soit mort.

      Je ne veux pas hiérarchiser l’intérêt d’une dépêche, 
      mais QUAND MÊME !!! (pour plagier Manuel Valls) smiley

    • Akerios Akerios 15 juillet 2013 19:12

      Ricquet 

       

      .........................tu as raison ! 


  • asterix asterix 15 juillet 2013 14:40

    L’exemple le plus célèbre du cas numéro 7 ( le maintien d’un bureau de représentation ) est celui de Cuba avec les Etats-Unis dont l’immeuble à La Havane règle les conflits d’espèce via le drapeau suisse. Faut voir cet immeuble pour le croire : il est entouré de grilles de 15 mètres de haut et dispose de systèmes de sécurité hyper sophistiqués.
    Il est gardé en permanence par de jeunes volontaires ( ? ) de la FEU - fédération des étudiants universitaires. Pour le protéger de la vindicte populaire, à ce que dit Fidel.
    Entre lui et les dirigeants US, la vraie question, c’est à savoir qui est le plus menteur des deux.
    Elle risque de ne jamais être tranchée...


  • bernard29 bernard29 15 juillet 2013 15:09

    aux dernières nouvelles, les pays d’Amérique du sud, se sont dégonflés.... Seraient ce des « baudruges » ??? courageux mais pas téméraires ???

    http://www.mediapart.fr/journal/international/120713/snowden-demande-lasile-moscou-face-des-sud-americains-courageux-mais-pas-téméraires 


    • Unghmar Gunnarson Unghmar Gunnarson 15 juillet 2013 16:40

      Bonjour,

      Aux dernières nouvelles ( et si j’ai bien compris ), Edward Snowden a demandé l’asile politique à la Russie pour « régulariser sa situation » en vue de pouvoir quitter la zone de transit internationale, les États-Unis ayant annulé passeport. C’est de l’accord ou non de la Russie que dépend à priori le possible départ de Snowden pour l’Amérique Latine ...


    • Captain Marlo Pilou Camomille 15 juillet 2013 17:47

      bernard 29 :
      Si vous vous informez chez Mediapart , vous êtes sûr d’être bien désinformé...
      En dehors des enquêtes franco-françaises pour attirer la confiance des lecteurs, Mediapart est atlantiste plein pot ! Lisez ce qu’il publie sur la Syrie...


    • PhildeFer 15 juillet 2013 23:51

      Asselineau est une sorte de « vieux Snowden »... ou alors c’est Snowden qui est peut être un « jeune Asselineau » en devenir ????
      Nous avons déjà un capitaine de pédalo.... et là je pressens un capitaine de zodiac.... avec toute son armada de shadocks pour pomper... ils sont 16 ! si si facile à compter : il suffit de lire le nombre de (-) sur le moindre message ne rendant pas gloire et hommage éternel à Asselineau.. le seul, l’illustre... le phare... le nouveau « mais si »....

      Au fait, et si Asselineau nous faisait une petite conférence de 5/6h ou un petit texte de 10/15 pages sur l’incarcération en Suisse de Pierre Gerbier Condamin ?.... ça serait plus d’actualité... et que pense donc le « phare universel » et son groupuscule d’illuminés de cette horde de jeunes qui aurait dépouillé les victimes de Brétigny ? Des sujets certes bien dérangeants.... surtout pour un « haut fonctionnaire » placardisé payé je vous laisse imaginer combien à faire je vous laisse imaginer quoi....


    • Captain Marlo Pilou Camomille 16 juillet 2013 08:21

      Phildefer,

      L’info était fausse, il y a eu 1 téléphone portable volé à Brétigny. Point.
      Le reste a été une mayonnaise de la fachosphère, mais qui semble vous faire tellement plaisir que vous la relayez sans rien vérifier.


    • bernard29 bernard29 18 juillet 2013 12:14

      mais ça me plait ce qu’ils disent, sur la Syrie, à Médiapart.


    • politzer politzer 19 juillet 2013 09:10

      bonjour


      C est toi qui es un faux ambulant guignol ! l info non seulement est exacte mais tous les media font ce qu ils peuvent pour minimiser l affaire à défaut de l’occulter complètement because la concurrence pour vendre des images et du papier à tout prix ! (Lénine disait dans le même esprit :« ils nous vendront la corde pour les pendre »)
      Les européistes et les immigrationistes qui sont à peu près les mêmes , grands démocrates qui se sont assis sur la volonté affichée et traduite en vote négatif en 2005 de mettre fin à l immigration ( contre la directive bolkenstein notamment mais pas seulement) , font flèche de tout bois pour étouffer les frasques voire les crimes des rejetons voyous de leurs protégés communautaires.
      Mais tout le monde va morfler dans l affaire , tôt ou tard , et succomber sous les coups ( économiques et politiques ) répétés des maîtres ultra libéraux et de ceux des voyous issus des communautés immigrées qui ne connaissent que des blancs ou des Français et non des pro ou anti immigration : issue classique des politiques de Gribouille !

  • mac 15 juillet 2013 15:43

    J’ai contacté plusieurs fois, par mail, le parti de monsieur Asselineau pour leur demander s’ils voulaient relayer la lettre pétition d’excuse au président Morales.
    Je n’ai eu aucune réponse de leur part.
    Il est possible qu’ils ne trouvent pas cette initiative judicieuse. Son but est pourtant simplement d’exprimer la surprise ou la colère de certains citoyens français, sans étiquette politique particulière, face la décision qui a été prise d’interdire notre espace aérien à l’avion du président Morales pendant plusieurs heures.
    Si c’est la cas qu’ils me le disent au moins clairement mais une pétition ne chasse pas l’autre et il me semble que monsieur Asselineau a largement exprimé son désaccord avec nos dirigeants dans cette affaire.


  • rico 15 juillet 2013 16:27

    cher mac,
     à quoi bon répondre à spartacus, il est l’exemple typique du « noniste ».
    Il niera à mort que les dirigeants du Mercosur ont été tous élus avec ces scores qui font pâlir d’envie n’importe quel « dirigeant »- j’allais dire marionnette, suis-je bêêête, européen.
    Laisse les pisse-vinaigre se mordre la langue, c’est à eux de prendre ce risque d’empoisonnement.
    Je te salue.
    rico


  • Captain Marlo Pilou Camomille 15 juillet 2013 17:51

    mac,
    J’ai lu votre pétition sur la page Facebook d’ Asselineau, il y avait même un commentaire de vous, et plein de commentaires de gens qui approuvaient votre initiative, vous vous plaignez de quoi ?


    • mac 16 juillet 2013 00:35

      @ Pilou Camomille
      Tant mieux si la pétition lettre a été relayée. J’avoue ne pas utiliser Facebook par principe et comme ça ne répondait pas avec le mail de contact de leur site, je trouvais dommage l’absence de réaction.


    • Captain Marlo Pilou Camomille 16 juillet 2013 08:13

      mac,

      Vous pouvez aller sur la page Facebook d’ Asselineau sans être inscrit.
      Vous pourrez lire les billets et les commentaires, mais vous ne pourrez pas répondre, c’est tout.

       


    • PhildeFer 17 juillet 2013 16:23

      @ Mac

      Son « excellence », sa « haute luminescence », « l’astre parfait réincarné » « le Sauveur »,« l’Unique » est très très occupé entre ses très nombreuses conférences marathon (sur tout ce qui est secondaire...) et une tâche de « haut fonctionnaire » où il doit justifier de très importants émoluments alors qu’il est consigné depuis des années à ne rien faire dans un bureau sans doute sans fenêtre pour ne pas avoir voulu trimbaler une valoche pleine de billets de banque pour le compte de son chef Pasqua... Etait ce bien la peine de faire tant d’études prestigieuses prédestinant à de « hautes responsabilités politiques » pour se dégonfler lors de la 1ere mission de confiance ???
      Heureusement, « Sa Grâce » ou « Sa Grasse »... a de fidèles collaborateurs zélés aux noms hautement évocateurs comme « pilou camomille » et qui ont pleine délégation pour répondre à sa place...


  • Captain Marlo Pilou Camomille 15 juillet 2013 17:56

    Topaze,
    Les commentaires doivent respecter la Charte de l’ UPR, sinon ils sont supprimés.

    Essayez d’aller sur les pages Facebook des autres Partis politiques, de Gauche comme de Droite y poster n’importe quoi, vous verrez bien si vos commentaires y restent longtemps...

    Vous faites partie des trolls payés par Bruxelles pour venir cracher votre venin sur ceux qui veulent sortir de l’ UE ?


    • PhildeFer 16 juillet 2013 00:30

      Ne soyez pas inquiet Topaze ! Asselineau ne sera jamais plus que président sur Agoravox... Marie-France Garraud, qui elle, est une vraie « bête de politique » l’a très bien compris à la 1ere minute qu’elle l’a vu.... et l’animal est assez fut-fut pour s’en vanter... c’est peu dire... ^^
      Il n’a aucun réseau ! Personne ne le suit à part sa bande de shadocks qui n’ont même pas trouvé le moyen de s’habiller correctement et de se coiffer pour figurer sur le trombinoscope du site officiel.... on dirait le site d’une association de danses folkloriques... et ça prétend maîtriser le bouton nucléaire ?....

      Vous avez vu le nombre ridicule de personnes qu’il a su convaincre à Villeneuve ? et il trouve le moyen de s’en féliciter ! A la place de Hollande, il trouverait sans doute que la France ne s’est jamais si bien portée que depuis qu’il en est président....


    • Rensk Rensk 16 juillet 2013 00:38

      @ Topaze, t’est vraiment un naze...

      Celui qui pond un article ici doit passer par des lecteurs/pondeurs... (pas toujours évident de passer cette frontière) puis le site garde le contrôle de ce dernier et c’est lui (le site) qui supprime en premier lieux ceux qui dépassent les bornes

      Charte de bonne conduite pour les forums d’AgoraVox

      Puis seulement après... le pondeur de l’article peu sucrer des interventions. Suis sûr qu’il pense un peu comme moi ; dans une démocratie mieux vaut savoir ce que pense l’ennemi... et donc il ne sucre pas souvent !


    • Captain Marlo Pilou Camomille 16 juillet 2013 08:08

      Topaze,
      Je parlais de la page Facebook d’ Asselineau, pas d’ Agoravox.


    • balorom balorom 16 juillet 2013 00:44

      Coluche n’en n’avait-il pas dja eu l’ide .... ??? Ses timbres auraient t plus russit... 




  • Mr-J 17 juillet 2013 15:27

    La destitution de nos gouvernants et une nécessité, le pouvoir au peuple : enfin, que la république soit refondue pour que les débats se fassent entres les français par le biais de l’internet ainsi que les votes ; il faut que le président ne soit plus qu’un simple représentant de nos idées, de nos volontés de nos aspirations en un mot de nos intérêts. Le temps de notre asservissement à cette élite carriériste doit arriver à son terme ! Il en vas de même pour les technocrates européens qui ont été formés aux USA et dont les intérêts se mêlent maladroitement à la politique, honte à eux car ils sont des traîtres et honte à nous car nous laissons les ennemis de la nation nous malmener trop occuper que nous sommes à courir après l’argent, alors que la richesse et là dans vos encéphale hautement développé et les moyens de l’acquérir sont omniprésent pour nous l’espèce doté d’un pouce préhenseur. L’argent doit arrêter de déterminer notre politique, il est honteux pour un état d’être en déficit et de mendier auprès de son peuple, il est honteux que l’impôt ne soit pas encore abrogé, inadmissible que l’état se complaise en aide alors que les chômeurs demandent un travail digne . Les partis politiques responsables de cette situation n’ont qu’à payé à notre place et faire appel au volontariat de leurs adhérents, quoi de plus normal que ceux nous ayant endetté paie les pots cassés. La France à perdu sa puissance militaire, économique et est en train de perdre sa puissance culturelle, nous devons soutenir les pays d’Amérique du sud en décidant de sanctions européenne contre les USA, ainsi que de demander l’arrêt de sa politique impérialiste face aux états souverain, indépendant et qui ont un projet autre que de récolter les miettes que veulent bien leurs laissé les enfants de l’oncle Sam !



  • patrickluder patrickluder 18 juillet 2013 00:53

    L’Amérique du Sud me fait plaisir, malgré tous les problèmes, ils ne se prostituent pas face à leurs voisins du Nord.


  • politzer politzer 19 juillet 2013 09:35

    bonjour


    Le problème politique dans tout ça c est que les trotskystes et les anars sont des partisans du tout ou rien comme des gosses impubères . Ils n ont toujours pas compris que les ennemis de mes ennemis sont mes amis et que pour cette raison FA récolte ici la majorité des votes positifs et de loin ! Et que a fortiori si les nouveaux dirigeants d’Amérique du Sud ne sont pas tout à fait comme nous les aimerions , nous avons avec eux au moins un ennemi commun : l ’impérialisme yankee qui est l ennemi principal , le maître du monde, enfin la marionnette qui le représente. Mais ça les gauchistes , les communautaires, les immigrationistes, les partisans du système de l esclavage salarié ne le voient pas ou ne veulent pas le savoir !

  • kalon 21 juillet 2013 18:02

    De même, la démission du gouvernement Luxembourgeois n’est apparue nul part dans la presse « alignée » et pour cause.

    Cette démission fait suite à la« découverte » du réseau GLADIO a l’intérieur de leur service de renseignement et directement impliqué dans les attentats de 80.

     Obama interdit aux politiciens européens de parler de GLADIO, et faut qu’ils obéissent, hein !


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