lundi 9 mai 2022 - par Bernard Grua

Pourquoi tant de publications pakistanaises sont-elles supprimées des réseaux sociaux ?

Le gouvernement pakistanais a largement recours aux réseaux sociaux pour sa promotion ou pour encourager la désinformation, la haine et la xénophobie, voire la violence. Cela a un effet miroir sur la population du pays. D’autant que les mêmes réseaux sociaux servent déjà d’exutoire au strict cadre social, politique et religieux. En conséquence, on y assiste à une floraison de contenus outranciers qui enfreignent les règles généralement appliquées par les communautés de partage en ligne.

Cet article est précedemment paru sur le blog Medium de Bernard Grua

 

Bernard Grua, censure réseaux sociaux au Pakistan

 

TikTok supprime plus de 6,5millions de vidéos au Pakistan pour avoir enfreint les directives de la communauté (en)

Cela ne devrait pas être une surprise en raison de la politique et de la pratique générales en ce qui concerne les réseaux sociaux, du sommet de l’État aux citoyens ordinaires pakistanais.

La haine en ligne est un pilier de la gouvernance pakistanaise.

Fake-news, faux comptes, théories du complot, diffamation, discours de haine, cyberharcèlement, nationalisme radical, extrémisme religieux, xénophobie, loi de Lynch, dénonciations calomnieuses, diffamation, recrutement d’influenceurs étranger, fermes de trolls de Rawalpindi… ont été promus sur les réseaux sociaux, par l’équipe de l’ex Premier ministre, Imran Khan. Il en a fait un pilier de la gouvernance pakistanaise.

Communiqué Ministère des affaires étrangères Shireen Mazari
Shireen Mazari, la soi-disant « ministre pakistanaise des droits de l’homme », officiellement critiquée par le MAE français pour propos détestables, mensonges flagrants, idéologie de haine et de violence propagés contre le président français sur les réseaux sociaux

Lire : Paris condamne les propos « détestables et mensongers » d’une ministre pakistanaise envers Macron

Communiqué Ministère des affaires étrangères Arif Alvi, Bernard Grua
Le chargé d’affaires pakistanais convoqué par le MAE français pour Arif Alvi, Président pakistanais, propageant de fausses allégations d’islamophobie contre la France.

Lire : Paris proteste après des accusations du Pakistan sur l’islam en France

Ce détournement des réseaux sociaux par le Pakistan, à des fins de politique intérieure et extérieure, est officiellement connu sous le nom de lutte contre “la guerre de 5e génération”.

La diffusion de la désinformation est devenue une tâche facile grâce à la niche que représente Twitter, permettant aux utilisateurs de changer leur profil (nom et nom d’utilisateur).
Cet outil a été déployé par divers comptes de réseaux sociaux pakistanais pour propager un faux récit anti-indien. Les attentats à la bombe de Pâques au Sri Lanka [avril 2019], l’islamophobie en Inde, les affrontements dans la vallée de Galwan [juin 2020], la protestation des agriculteurs en Inde [2020–2021] ne sont que quelques-uns des nombreux incidents où le Pakistan a faussement accusé l’Inde d’en être l’architecte.
En juillet 2020, l’establishment pakistanais a décidé de créer une industrie de la fake-news à grande échelle par le biais du “South Asian United Social Media Front” (SAUSMF). Le site Web du SAUSMF était hébergé par le serveur d’un membre du gouvernement du Pakistan et proche collaborateur du Premier ministre Imran Khan — Jahangir Tareen.
Les principaux membres de cet écheveau comprenaient Aftab Afridi, Awas Javed Satti, Asim Khan qui partagent des liens directs avec l’armée pakistanaisel’équipe Imran Khan et l’homme d’affaires pakistanais Jahangir Khan Tareen, l’homme qui a assuré la victoire électorale d’Imran Khan.
A l’exception des utilisateurs pakistanais, tous les autres soi-disant membres des pays d’Asie du Sud sont des faux profils, gérés par des utilisateurs pakistanais, dont la plupart sont associés au parti “PTI” du [ex] Premier ministre pakistanais, Imran Khan. Parmi les entités qui amplifient la propagande du SAUSMF figure également la radio nationale pakistanaise.

=> Anatomie de la guerre de 5e génération au Pakistan (en), The Disinfolab, 2021

Une telle approche a des effets particulièrement toxiques, au Pakistan, dans ce pays de plus de 220 millions d’habitants. Le recours à l’outrance, au harcèlement et à la haine en ligne sont considéré, aujourd’hui, comme le moyen approprié pour « communiquer » ou pour partager une question de société en raison de la corruption ou de la non-existence de la justice ainsi que du sévère contrôle des organes de presse et des minorités, au rang duquel les confessions non-musulmanes ou non-sunnites, ainsi que les femmes dans leur ensemble.

La radicalité de la société pakistanaise se retrouve dans la radicalité de ses réseaux sociaux.

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Le modèle autoritaire de la haine au Pakistan ne peut pas être remis en cause.

Un tel dévoiement des réseaux sociaux par le Pakistan n’est pas remis en cause du fait du contrôle des médias, de l’assassinat ou de la disparition forcée de dissidents ainsi que de journalistes et, surtout, grâce aux deux outils parfaits de la tyrannie : la loi contre le blasphème et la loi contre le terrorisme. Celles-ci sont détournées à des fins d‘encadrement politique interne et à des fins d‘encouragement des meurtres islamistes dans d’autres pays tels que la France.

… le gouvernement du Premier ministre Imran Khan encourageait les partis politiques, les groupes islamiques radicaux, les avocats et les associations d’étudiants à descendre dans la rue par milliers pour dénoncer l’islamophobie perçue en France… En conséquence, alors que la France a déploré la décapitation choquante de Samuel Paty, au Pakistan, au contraire, beaucoup ont salué ce terrible incident et les médias sociaux ont félicité le « frère tchétchène » qui avait « vengé l’insulte du prophète Mahomet ». Dans un article paru dans un journal ourdou local, un membre du groupe terroriste Jaish-e-Muhammad, interdit par l’ONU, a approuvé le meurtre en le qualifiant d’aboutissement logique de l’acte de blasphème de Paty…[Imran Khan] a encouragé la vaste population composée d’éléments radicalisés du pays à appeler au jihad contre la France. En fait, le leader du Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP) Khadim Hussein Rizvi, dont les discours ont incité un ressortissant pakistanais à perpétrer l’attentat au couteau à Paris le 25 septembre [2020], a appelé, lors d’une grande réunion publique le 23 octobre, à l’utilisation de bombes nucléaires contre la France !… les discours outranciers de Recep Tayyip Erdogan et d’Imran Khan attisent les sentiments de haine contre la France et encouragent les groupes islamiques extrémistes et les individus isolés à entreprendre des attaques terroristes. …

=> Roland Jacquard, Pakistan et Turquie : Quand des gouvernements deviennent les parrains de la menace terroriste, GlobalWatchAnalysis, Octobre 2020

Francesca Marino, journaliste italienne publiant dans le média indien, “The Quint”, a clairement identifié le système mise en place. A part Roland Jacquard, je n’ai pas connaissance du fait que des auteurs français auraient mené ce type de réflexion.

Imran Khan a écrit à Facebook, en fait, juste pour accuser d’autres pays d’”islamophobie” et pour demander l’interdiction des contenus jugés “offensants” contre les musulmans. Mais les autres n’ont pas le droit de s’offenser d’être régulièrement insultés (ou tués) par ses compatriotes, semble-t-il… Cette campagne a commencé, il y a moins d’un mois, lorsque l’incendie de drapeaux français, les appels au djihad et les discours de haine au Pakistan, “approuvés” par Imran Khan et son ministre des Affaires étrangères Shah Maqmood Qureshi, ont apparemment “résulté” en l’attaque à l’arme blanche de deux journalistes devant l’ancien bureau du magazine satirique Charlie Hebdo. Après cela, un autre islamiste a décapité un instituteur, Samuel Paty, qui montrait les caricatures de Charlie Hebdo à ses élèves…

=> Francesca Marino, The Quint, Décapitation à Paris : Ce que le Premier ministre du Pakistan doit comprendre (en), 28 octobre 2020 [avant l’attentat de Nice]

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Les pays occidentaux sont aveugles aux menaces en ligne.

Ainsi, des tweets ont pu tranquillement prospérer en appelant à tuer les Français se trouvant au Pakistan, à égorger les citoyens d’un pays coupable dans son entier de blasphème, voire à en nucléariser le territoire sans que personne, au Pakistan ou en France, ne s’en émeuve.

Khadim Hussein Rizvi, TLP : "Permettez-moi de l’emmener (ambassadeur de France) à Kahota et de lui dire que les armes nucléaires, les missiles et les chars du Pakistan ne sont destinés qu’à l’honneur du Prophète et que nous pouvons vous tuer."
Khadim Hussein Rizvi, TLP : "Dites aux gens que Zaheer Hassan Mehmood (auteur du premier attentat terroriste de l’automne 20020 en France) appartenait au TLP".

 

Réseaux sociaux Pakistan, Bernard Grua, hashtag tuez l'ambassadeur de France

 

Réseaux sociaux Pakistan, Bernard Grua, haine contre les Français

 

Réseaux sociaux Pakistan, Bernard Grua, tuez les Français

 

Nos analystes occidentaux prompts à s’observer, à se copier les uns les autres et à approfondir les sujets déjà mis en avant, font preuve d’un suivisme et d’une absence de curiosité consternants. Il est devenu de bon ton de discourir jusqu’à plus soif sur les trolls russes. Mais l’opinion et la presse française ne se sont pas penchés sur l’origine et sur les mécanismes mis en oeuvre depuis le Pakistan pour aboutir à la vague des attentats islamistes de l’automne 2020. De même, puisqu’ils ignorent le modèle des réseaux sociaux du Pakistan, nos “penseurs” ne font pas attention à celui mis en place par le parrain chinois d’Islamabad ou dans les pays africains, lesquels ont l’avantage de bénéficier d’intervenants francophones à très faible prix de revient. Pourtant une telle curiosité aiderait nos politologues à comprendre pourquoi les deux tiers de la population mondiale ne se joignent pas aux sanctions occidentales contre la Russie, laquelle est créditée d’avoir le courage d’entrer en guerre contre l’OTAN.

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La frustration exacerbée par la ségrégation des genres est propice à la création d’innommables contenus

Le Pakistan n’est pas seulement le deuxième pays musulman le plus peuplé du monde. C’est une terre de patriarcat, de puritanisme exacerbé, en façade, et de strict apartheid des sexes. C’est une source de frustration intense, de dissimulation, de fantasmes et de comportements déviants, pour le genre masculin où, souvent, les femmes et même les enfants ne sont plus que des objets.

La maltraitance des enfants, ainsi que l’enregistrement et la diffusion d’images en ligne ont atteint des proportions épidémiques… Ceux qui produisent ces vidéos et ces photographies ainsi que les enfants qui sont victimes de sévices sont souvent ceux des pays en développement… Comme les Pakistanais le savent bien, il y a pléthore de pédophiles pakistanais. Les rapports réguliers sur des tout-petits et des bébés maltraités et tués ne sont qu’une petite indication de la prévalence de la pédophilie au Pakistan même. Bien que le problème existe, peu d’efforts sont déployés pour expliquer aux parents et aux responsables des écoles les dangers que représente la pédophilie et pour leur apprendre à combattre le problème. Il y a encore moins d’informations sur la façon dont Internet, en particulier le « dark net », est utilisé pour diffuser des images d’enfants maltraités ou des images pornographiques impliquant des enfants.

=> Rafia Zakaria, Les prédateurs d’enfants (en), Dawn, 2 octobre 2019

En 2018, la Fondation Sahil, une ONG pakistanaise qui travaille dans le domaine de la maltraitance des enfants, a signalé une augmentation de 11 % des cas de maltraitance d’enfants par rapport à l’année précédente. Sur les 3 832 cas de maltraitance d’enfants enregistrés, 55 % des victimes étaient des filles et 45 % des garçons. Les chiffres de 2019 sont encore plus inquiétants : pas moins de 1 304 enfants pakistanais (729 filles et 575 garçons) ont dû faire face à une forme d’abus sexuel au cours des six derniers mois...

=>Quratulain Tejani, Une nouvelle vague de pédophilie et maltraitance infantile frappe le Pakistan (en) , GlobalVoices, 19 Novembre 2019

Le Khyber Pashtunkhwa, province à l’islam extrêmement rigoriste, peuplée de Pathans (appelé aussi Pachtounes), dont la capitale est Peshawar aux innombrables madrassas, célèbre pour son “Université des Talibans”, est un des très haut lieu de la pédophilie la plus sordide, tournée contre les jeunes garçons.

Se déroulant principalement à Peshawar, le film montre des garçons sans abri d’âges différents se remémorant leurs expériences d’exploitation sexuelle…
Le documentaire allègue que 9 enfants sur 10 à Peshawar ont été victimes de pédophilie. Il contient également des entretiens avec des camionneurs qui ont commis de tels crimes…
Étonnamment, l’un des chauffeurs avoue, sans aucun remords, avoir violé 11 ou 12 garçons

=> Une honte dissimulée au Pakistan : Un documentaire révèle les horreurs de la pédophilie dans le Khyber Pashtunkhwa (en), Dawn, 3 septembre 2014

Dans l’islam ultra rigoriste, la femme pakistanaise est tellement dévalorisée et cantonnée au rôle d’outil de reproduction et de servage domestique, que certains considèrent qu’une vraie romance ne peut se concevoir qu’entre hommes. L’homosexualité est la confirmation de l’hypocrisie des discours publics individuels rigoristes et de leur contradiction avec les comportements privés.

Parmi les pays les moins tolérants interrogés se trouve le Pakistan, où seulement 2% des personnes interrogées ont déclaré que la société devrait accepter l’homosexualité… Au moment d’écrire ces lignes, le Pakistan est en volume le leader mondial des recherches sur Google des termes « sexe transsexuel », « sexe anal chez les adolescentes » et « homme qui baise un homme », selon Google Trends. Le Pakistan se classe également au deuxième rang mondial (après le Kenya également intolérant envers les homosexuels) pour le volume de recherches du terme de recherche “gay sex pics”…. Mais au Pakistan, ce qui est encore plus étrange, c’est que le plus grand nombre de requêtes pour certains de ces termes, dont « sexe transexuel », ne proviennent pas des centres cosmopolites du Pakistan, mais de Peshawar, un bastion de l’islam conservateur.

=> Alex ParkPourquoi le Porno Gay est-il si Populaire au Pakistan ?(en), Mother Jones, Juin 2013

La réalité sociale, incomplète et mutilée, est compensée par une réalité virtuelle fantasmée sur des réseaux abusivement qualifiés de sociaux.

Une autre conséquence de la ségrégation sexuelle est la ruée des Pakistanais sur les utilisatrices féminines des réseaux sociaux, surtout si elles ont une peau blanche. Ceci permet de comprendre le nombre inconcevable d‘abonnés, dont les influenceuses occidentales peuvent bénéficier au Pakistan. Cela explique aussi pourquoi ces influenceuses telles qu’Eva Zu BeckCynthia D. Ritchie, etc. font partie intégrante de la « guerre de 5e génération » au Pakistan. Elles sont utilisées pour donner une image abusivement favorable du pays vis à vis de l’extérieur. Certaines allant jusqu’à louer le sort enviable et la liberté dont jouissent les femmes pakistanaises. A l’intérieur du Pakistan, elles confortent l’opinion masculine dans sa fausse certitude de l’unanime admiration que suscite le pays et ses dirigeants de la part de l’étranger, surfant sur le schizophrénique “gora complex”. C’est-à-dire l’importance qu’a le jugement d’une population blanche, malgré une haine anti-occidentale largement répandue. Lire mon papier de mars 2020 à ce sujet sur AgoraVox : Vlogueurs, Instagrameurs Blogueurs présentent-ils un Pakistan en trompe l'oeil ?

Depuis la parution de ce document, le Pakistan a encore amélioré la méthode. Comme présenté ci-dessus dans l’article de Disinfolab (2021), il crée des faux profils de femmes blanches qui célèbrent le Pakistan. Son “amitié” avec la Chine est régulièrement vantée. Cela marche tout aussi bien. Avant que le cas de “Katerine Georges” n’explose, j’ai alerté de nombreux Pakistanais, sur le caractère certainement fictif de cette personne. Comme les autres utilisateurs contestant cette réalité, je n’ai reçu majoritairement des rebuffades agressives. Les réponses les plus mesurées dont j’ai été destinataire disaient, en substance : “peu importe que cela soit vrai ou faux, du moment que j’y lis ce que j’ai envie d’y trouver”. Twitter a finalement supprimé le profil de “Katerine Georges”.

Pakistan, faux compte de Katherine George

J’ai fait une expérience très simple mais au résultat probant. J’ai environ 1 100 amis Facebook de différents pays, y compris musulmans. J’ai partagé un mème mentrant une jeune femme blanche en short de sport qui disait : “quand une femme fait son jogging, se sont dix hommes qui courrent”. Les seuls “likes” reçus venaient du Pakistan, de la part d’homme, a priori, normaux. Il est évident qu’ils n’auraient pas toléré une telle tenue de la part d’une femme de leur famille. Pour toute autre, ils l’auraient immédiatement considérée comme une immodeste prostituée, soit pour l’en blammer, soit pour espérer jouir de ses faveurs en lui attribuant des moeurs légères.

Tentez, vous-même, comme je l’ai fait, une autre expérience. Créez vous un faux profil de jeune femme blanche sur Facebook ou Twitter, en le domiciliant au Pakistan. Postez quelques publications flattant le Pakistan. Vous allez être rapidement sollicité par des milliers de demandes “d’amis” avec de nombreuses offres de messages privés. Certaines vidéos jointes à ces messages seront plus qu’explicites. Elles seraient immédiatement bannies si elles étaient publiques. De toute évidence, le but du flot d’utilisateurs n’est pas l’amitié, ni le flirt, mais le sexe, tout au moins virtuel.

Violence, pédophilie, sexe explicite, discours de haine, il n’est pas nécessaire de chercher plus d’explications sur les raisons pour lesquelles tant de vidéos pakistanaises sont rejetées par les réseaux sociaux.

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17 réactions


    • chantecler chantecler 10 mai 2022 08:04

      @Captain Marlo
      C’est un bon celui là ,
      Spécialiste de privatisations au profit de grandes multinationales
      Et récemment chargé d’imposer le passe vaccinal pour l’UE .
      Visiblement il n’y a que le coté lobbying qui l’intéresse .
      La qualité , la pertinence du produit vendu par des grosses boites pharmaceutiques il n’en a rien à faire , il n’est pas payé pour ça .
      Le coté « scientifique » du vaccin , son efficacité , son absence de dangerosité incombent à d’autres crapules , stipendiées , vendues aux ordres de ces mêmes lobbys industriels et politiques .


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 mai 2022 08:39

      @Captain Marlo
       
      ’’Le Camp du Bien veut notre bien, quelle chance nous avons !
      C’est Thierry Breton, Commissaire européen élu par personne  qui explique la fin de nos libertés.

      ’’

      Le commissaire européen Thierry Breton nous explique la prochaine censure mise en place contre les GAFAM : une règlementation à l’échelle européenne pour les obliger à mettre en place un dispositif simple de signalement et y donner suite sous peine d’amendes de 6% de leur CA et blocage si nécessaire.
       
      Ça se voit à peine que les technocrates mondialistes européens ont tricoté cette règle pour tenter de museler Twitter dans lequel ils voient aujourd’hui la plus grande menace pour leur propagande.
       
      L’empire du mensonge c’est pas seulement les États Unis.


  • Bernard Grua Bernard Grua 9 mai 2022 16:41

    Merci aux modérateurs qui ont validé la parution de cet article.


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 10:22

      @Mondot

      Faut pas les remercier, c’est des copains !

      Mon post s’adressait aux auteurs qui ont partagé au moins quatre articles et qui sont modérateurs sur Agoravox. Ceci ne concerne donc pas ceux, qui, comme vous, n’ont fait aucune publication. Votre commentaire n’est pas pertinent.

    • Bernard Grua Bernard Grua 11 mai 2022 15:36

      @rugueux

      Cet individu est bloqué pour insulte. Je rappelle que je suis ouvert à la contradiction mais que je signale les commentaires qui ne respectent pas la charte d’Agoravox et je bloque leurs auteurs. 


  • blablablietblabla blablablietblabla 9 mai 2022 18:44

    L’islam a pris une tournure dramatique au Pakistan, tout comme son voisin l’Afghanistan .


    • Bernard Grua Bernard Grua 9 mai 2022 22:09

      @blablablietblabla

      L’islam a pris une tournure dramatique au Pakistan, tout comme son voisin l’Afghanistan .

      Entièrement d’accord. Mais on sous-estime terriblement le danger que représente le Pakistan. En Afghanistan, il y a une opposition au discours des Talibans. Au Pakistan, plus de 90% de la population souscrit au discours islamo-nationaliste.

  • Albert123 10 mai 2022 07:37

    « Créez vous un faux profil de jeune femme blanche sur Facebook ou Twitter, en le domiciliant au Pakistan. »

    non merci, on vous laisse ce petit plaisir de troll pervers et on voit parfaitement ce a quoi vous occupez vos journées


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 08:25

      @Albert123

      « Créez vous un faux profil de jeune femme blanche sur Facebook ou Twitter, en le domiciliant au Pakistan. »

      non merci, on vous laisse ce petit plaisir de troll pervers et on voit parfaitement ce a quoi vous occupez vos journées

      Intéressant de lire ce commentaire de la part d’une personne qui opère sous un compte anonyme, sans photo de profil et sans description de profil, entièrement à l’inverse de l’auteur de ces lignes, qui joue la transparence.


  • CATAPULTE CATAPULTE 10 mai 2022 09:38

    On ne peut pas croire à une exception pakistanaise...

    En Inde, en Iran, en Indonésie comme là-bas, les archaïsmes sont tenaces et les nouvelles technologies pour les entretenir non moins développées...

    Certes, l’auteur ne prétend ici que traiter le cas du Pakistan...

    Mais puisqu’il est question plus haut de maltraitance des enfants sous des prétextes moraux ou religieux, on pourra s’intéresser aussi aux enfants du sénégal captés par les écoles coraniques...


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 09:57

      @CATAPULTE

      Merci pour ce commentaire qui concerne l’article. C’est apprécié.

      On ne peut pas croire à une exception pakistanaise...

      En Inde, en Iran, en Indonésie comme là-bas, les archaïsmes sont tenaces et les nouvelles technologies pour les entretenir non moins développées...

      Certes, l’auteur ne prétend ici que traiter le cas du Pakistan...

      Mais puisqu’il est question plus haut de maltraitance des enfants sous des prétextes moraux ou religieux, on pourra s’intéresser aussi aux enfants du sénégal captés par les écoles coraniques...

      Effectivement, je ne prétend que parler du cas du Pakistan. Même s’il existe des points communs avec d’autre pays, je crois que le Pakistan représente un risque très spécifique. La maltraitance des enfants dans les écoles coraniques sénégalaise ne fait aucun doute, si l’on en croit certains reportages. En revanche, je n’ai pas ressenti, au Sénégal, l’atmosphère de haine et de violence comme j’ai pu la ressentir au Pakistan. A mon sens, nous sommes plus près culturellement des Sénégalais que ceux-ci ne le sont des Pakistanais. 
      Le leader du Sénégal, ne prétend pas diriger le monde musulman en abusant d’une ignoble loi sur le blasphème, que ses concitoyens voudrait voir appliquer en France. Le fil conducteur du Pakistan sur les réseaux sociaux est l’islamo-nationalisme. Je pense que ce n’est pas le cas du Sénégal. 


  • CATAPULTE CATAPULTE 10 mai 2022 09:57

     la ruée des Pakistanais sur les utilisatrices féminines des réseaux sociaux

    .

    Très juste. Un phénomène tangible et facilement observable même sur des plateformes aussi populaires que Youtube... et pas seulement lorsque la publication est centrée sur la jolie personne de l’auteure...

    Un nombre de commentaires important de « gens de là-bas » sous des vidéos qui, a priori, ne les intéressent pas ou ne les concernent pas. Une sur-repésentation surprenante...

    Une série intitulée « Géographie now », rien de typiquement érotique, a suscité l’intérêt de commentateurs « indo-pakostanais » au-delà de ce qu’on pouvait attendre... Un intérêt manifesté plus particulière lorsque que la série traite de pays occidentaux aux moeurs réputées libérales... 


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 10:02

      @CATAPULTE

      Très juste. Un phénomène tangible et facilement observable même sur des plateformes aussi populaires que Youtube... et pas seulement lorsque la publication est centrée sur la jolie personne de l’auteure...

      C’est excessivement frappant au Pakistan. Il faut se plonger directement dans ce sujet pour découvrir ce qui peut paraître, pour nous, et pour bien d’autres pays, absolument inconcevable. Je me permets de mentionner les effarant excès que cela peut engendrer. Je rappelle l’Affaire des viols collectifs de Telford menés par la communauté pakistanaise en Grande Bretagne.

  • CATAPULTE CATAPULTE 10 mai 2022 10:33

    Les pays occidentaux sont aveugles aux menaces en ligne.

    .

    Des menaces publiques et nombreuses, certes... mais à quel point représentatives du véritable sentiment de la société pakistanaise ?

    On n’est pas ici sans penser au travail de sape de l’Occident par la Russie tel qu’observable sur les réseaux sociaux... Une industrie de manipulation de l’opinion qui n’est pas en soi l’opinion.

    Si « l’atmosphère de violence et de haine » est si palpable au Pakistan, n’est-ce pas essentiellement par perméabilité à ces flots numériques outranciers, intrusifs et incessants ?

    Si danger il y a qui devrait alerter les pays occidentaux, ça semble n’être ici que celui d’une volonté politique des pouvoirs publics et « para-public » pakistanais d’organiser la haine de l’Occident... qu’importe ensuite le prétexte de la moralité islamique... ce qui pose en définitive la question de la réalité et de l’étendue de la haine de l’Occident au sein de la société pakistanaise.


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 12:14

      @CATAPULTE

      Des menaces publiques et nombreuses, certes... mais à quel point représentatives du véritable sentiment de la société pakistanaise ?

       Je ne peux pas faire plus. « On » m’a reproché, ci-dessus, d’avoir fait du copié-collé, car, justement, j’ai tenté de répondre à cette question de manière non-subjective et en ne me basant pas sur mes seules conclusions concernant ce pays que je décortique depuis 2018. Je vous ai mis des liens avec des vidéos de Khadim Hussein Rizvi du Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP). Je vous ai copié des tweets de pakistanais. On y lit clairement l’appel à tuer des Français et à nucléariser notre pays. Je vous ai mis des citations d’articles, et pas seulement des liens. Je vous invite à faire des recherches Instagram, YouTube, Facebook et Twitter avec « Pakistan France ». Vous me direz que ceci est peut-être minoritaire, car les réseaux sociaux, ne seraient pas le pays réel. Il n’empêche que cela rejoint mes propres constats.
       Vous pouvez croire qu’une personne est modérée, car elle condamne les attentats... dans son pays, mais pas à l’étranger, en l’espèce, en France. Vous pouvez avoir des liens très cordiaux, voire amicaux, avec des Pakistanais. Mais quand vous entrez un peu plus dans le débat, vous êtes accusés d’ingérence et de double standards, même de la part de personnes instruites. Le Pakistanais croit à une France islamophobe. Car c’est ce qu’il veut croire. Peu importe que vous expliquiez que Charlie Hebdo a plus attaqué la religion chrétienne et la religion juive. Peu importe ce que disent les autorités musulmanes en France. La France « manque de respect » aux musulmans, donc au prophète. Les Français sont donc des blasphémateurs. Ils n’ont que ce qu’ils méritent. Ils doivent être châtiés.

      On n’est pas ici sans penser au travail de sape de l’Occident par la Russie tel qu’observable sur les réseaux sociaux... Une industrie de manipulation de l’opinion qui n’est pas en soi l’opinion.

       Je vous laisse la paternité de votre comparaison avec la Russie. Au Pakistan, l’opinion est manipulée, car elle veut bien être manipulée. L’armée depuis 1947 entretient un état de guerre permanent. C’est, pour reprendre un terme à la mode, dans l’ADN du Pakistan. La propagande islamo-nationaliste d’Imran Khan est allée très loin. A tel point qu’il vient d’être écarté du poste de Premier Ministre comme je l’appelait de mes voeux ici,sur Agoravox, il y a un an déjà : Pakistan : comment porter le coup de grâce à Imran Khan, parrain du terrorisme en France ?

      Si « l’atmosphère de violence et de haine » est si palpable au Pakistan, n’est-ce pas essentiellement par perméabilité à ces flots numériques outranciers, intrusifs et incessants ?

       Oui, nous sommes bien d’accord. Ces flots numériques poussent à la haine. C’est bien ainsi que les réseaux sociaux sont exploités au Pakistan. Je vous renvoie à cet article remarquable que je cite régulièrement « Anatomie de la guerre de 5e génération au Pakistan ».(The Anatomy Of Pakistan’s 5th Generation Warfare) D’une nuisance régionale aux conséquences funestes, le Pakistan est devenu une menace globale. La France n’en a pas conscience. Je mentionne toutefois l’exception du Français, Roland Jacquard, qui confirme la démonstration de l’Italienne Francesca Marino, les deux figurant dans mon papier.

      Si danger il y a qui devrait alerter les pays occidentaux, ça semble n’être ici que celui d’une volonté politique des pouvoirs publics et « para-public » pakistanais d’organiser la haine de l’Occident... qu’importe ensuite le prétexte de la moralité islamique... ce qui pose en définitive la question de la réalité et de l’étendue de la haine de l’Occident au sein de la société pakistanaise.

       Le danger n’est pas que celui d’une volonté politique même s’il y tient une grande part. Ce sont les échecs économiques, sociaux et militaires d’Imran Khan qui l’ont poussé à revendiquer un leadership du monde musulman, pour faire diversion. Cela a très bien marché auprès de son opinion, pas seulement sunnite. Enfin, le Pakistan avait le statut international que la population espérait ! Cela comblait un peuple avide de reconnaissance. Que le plan ait foiré, que les radicaux islamistes aient mis le feu au pays, que les attentats reprennent, que le monde arabe n’ait pas supporté cette concurrence, et que le « skipper », la marionnette de la Chine et de l’armée, ait été éjectée par ceux qui tirent les ficelles, c’est une autre affaire. Mais la haine de l’Occident est bien là, elle repose essentiellement sur l’islamo-nationalisme et sur tout ce que l’on peut trouver, anticolonialisme, antisémitisme, admiration du nazisme, #BLM (Black Lives Matter), #POC (People of Color), #Metoo (!), woke y compris fake-news, pour alimenter son ressentiment. C’est une menace moderne qui englobe tous les outils et tous les discours envisageables, même s’ils peuvent nous paraître incompatibles. C’est QAnon dans sa version orientale touchant des dizaines de millions si ce n’est des centaines de millions de personnes.  


  • xana 10 mai 2022 14:10

    Laissons aux pakistanais le soin de se débrouiller tout seuls, sans notre « aide » (évidemment désintéressée, comme tout le monde le sait sauf les Occidentaux).

    Je vois que Bernard Grua est préoccupé par la montée de la haine de l’autre côté du monde. Mais n’a t-il pas remarqué la montée de la haine de NOTRE côté ?

    N’a t’il par remarqué le climat de russophobie instillé jour après jour par les médias ? sans doute ne regarde t’il pas la télé, ne lit-il pas les journaux (un seul suffit, ils disent tous le même chose) ?

    Supposons (je dis bien : Supposons) que le président Russe soit assez démoniaque pour refuser de se soumettre à l’Empire, crime abominable s’il en est, cela rend-t’il le moindre moujik (abreuvé de vodka, évidemment) responsable de la mort de quelques Nazis innocents ?

    .

    Non, évidemment. La nuance n’est jamais le point fort de la propagande. Nos médias en choeur tirent sur tout ce qui est Russe, y compris les chats.

    Et les mougeons, Bernard Grua en tête, ne remarquent rien.

    La haine ? C’est dans l’autre camp, nous nous bombardons avec amour.


    • Bernard Grua Bernard Grua 10 mai 2022 15:16

      @xana

      Laissons aux pakistanais le soin de se débrouiller tout seuls, sans notre « aide » (évidemment désintéressée, comme tout le monde le sait sauf les Occidentaux).

      Je vois que Bernard Grua est préoccupé par la montée de la haine de l’autre côté du monde. Mais n’a t-il pas remarqué la montée de la haine de NOTRE côté ?

      C’est un article sur le Pakistan. Si vous avez des informations à partager sur ce pays, vous êtes le bienvenu. Si le sujet ne vous intéresse pas, ce n’est pas nécessairement le cas d’autres lecteurs d’Agoravox. Personne ne vous oblige à lire cet article et encore moins à le commenter.
       —

      N’a t’il par remarqué le climat de russophobie instillé jour après jour par les médias ? sans doute ne regarde t’il pas la télé, ne lit-il pas les journaux (un seul suffit, ils disent tous le même chose) ?

      Supposons (je dis bien : Supposons) que le président Russe soit assez démoniaque pour refuser de se soumettre à l’Empire, crime abominable s’il en est, cela rend-t’il le moindre moujik (abreuvé de vodka, évidemment) responsable de la mort de quelques Nazis innocents ?

      Ce n’est pas un article sur la Russie, sur l’Ukraine ou sur Poutine. Votre commentaire n’est pas pertinent. Je vous renouvelle ma précédente remarque dont vous étiez déjà co-destinataire, ici, à 09:46

      Je ne doute pas que le point que vous invoquez vous tient à coeur. Je vous suggère de partager un article sur ce thème et d’ouvrir un fil spécifique pour en parler.

      « Je cite la Charte de bonne conduite pour les forums d’AgoraVox
      Conseils pour faciliter la conversation :
      Evitez le hors-sujet, concentrez-vous sur le sujet de l’article. » 

      Et que j’ai renouvelée auprès de @CATAPULTE à 12:16.

      Pour ce qui est de la Russie, de l’Ukraine ou de Poutine, vous pouvez toujours écrire votre premier article sur ce sujet. Vous pouvez aussi commenter un de mes NEUFS articles sur la Russie et/ou l’Ukraine. 

      A toute fin utile, compte-tenu de la sensibilité du sujet russe en ce moment, je vous rappelle, là aussi, la Charte de bonne conduite pour les forums d’AgoraVox

       

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