Les métastases du cancer politique

Non au cancer politique

D’abord l’interdiction du chanvre depuis 1955, puis récemment de l’engrais naturel qu’est le purin d’ortie, et maintenant contre les herboristes au profit de leurs brevets sur le vivant entièrement payé en monnaie de singe. Une plante comme la pervenche de Madagascar, reconnue pour ses 90 alcaloïdes pouvant être la source des meilleurs remèdes au cancer, est introuvable chez les pépiniéristes. Par contre, la prolifération de systèmes ultra coûteux tel le cyclotron, brandi comme progrès ultra moderne, financé par la communauté, et promulguée sur les carnets d’adresse des associations, s’impose à grand renfort de pub sur papier glacé s’il vous plait, et devant le parterre de notables qui détiennent le portefeuille.

Dernier bastion, l’eau

L’ordre de ces lents renforcements des interdiction finira bien à terme en dernier recours par l’eau de pluie ou du puits, car l’eau, contaminée par le poison chimique dérivé du coca ou soda, contaminée par le bisphénol contenu dans les emballages plastiques, contaminée par les traitements qui lui donnent un goût désagréable au robinet, contaminée par les canalisations vétustes dont les curseurs sont alignés en fonction des normes fixées par les législateurs, et enfin, contaminée dans les puits par les épandages massifs d’engrais chimiques, si cette eau a bien une mémoire, le rappel pourrait être brutal. Quand l’eau sera révélée dangereuse, il faudra alors la faire interdire.

Faudra-t-il prohiber l’eau ?

La légalisation que revendiquent aussi quelques députés y compris européens n’est pas d’actualité alors qu’elle fonctionne relativement bien dans les pays européens qui l’ont appliquée. En Hollande le programme de construction sur le long terme de prisons a vu bien trop large, au point que cinq mille places restent disponibles pour loger des prisonniers étrangers de pays voisins. C’est cette absence qui entraine sans aucun débat préalable, la récente histoire des salles de shoot, entièrement indexée sur la contamination du cancer US. Ces salles ne sont que la solution adoptée en conséquence des proliférations de drogues de plus en plus dures alors que leur expansion pourrait être entravée par une légalisation simple envers une plante naturelle dont la culture ne demande d’ailleurs, que très peu d’eau.

Légaliser sans tapage public

Le gouvernement français, lui même complice de ce cancer politique, renforce encore l’inégalité dans l’harmonie européenne souhaitée par tous, en augmentant à nouveau le tabac. Cette décision peut motiver encore plus les migrations commerciales vers nos frontières pourtant disparues. Le tabac n’est pas à recommander ni encourager, certes, mais il est un palliatif efficace pour supporter l’inégalité entrainée par le système de soumission au marketing idéologique dans lequel tombent nos semblables et nos proches. En clair, je fume une clope pour désamorcer mon envie profonde de mettre une claque aux idiots utiles inféodés dont a besoin le commerce US, qui recrute des consommateurs victimes de sa propagande télé-générique parmi mes proches. Je suis moi même d’ailleurs aussi victime de ce système quand j’achète très cher ces résidus de gazon tondu, alors que je peux très bien fumer mes feuilles d’automne qui tombent toutes seules des arbres de ma cour si j’ai envie. Les jeunes fument pour se donner l’air d’être ainsi adultes, par simple similitude envers leurs ainés modèles, mais contaminés. Ils font bien plus riches s’ils achètent leurs cigarettes toutes faites qu’ils payent sans se poser de questions presque cent fois plus cher que leur baguette de pain. La plus grande part des jeunes lycéens manifestent en ce moment exactement dans le même esprit, l’assimilitude.

En cas de rencontre avec un crs 

Immobilisez-vous. Ne paniquez pas. Restez calme, ne criez pas et ne faites pas de mouvements brusques, parlez-lui doucement, n’essayez pas de vous approcher pour mieux le voir ou pour prendre une photo, et ne le coincez pas, laissez-lui toujours un corridor de fuite. laissez-lui suffisamment d’espace pour qu’il fasse demi-tour, évitez de le regarder dans les yeux car il peut percevoir ce geste comme une menace, s’il avance, ne courez pas, ne grimpez pas à un arbre et ne vous enfuyez pas à la nage, évaluez rapidement la situation et essayez de déterminer le genre de rencontre. Surveillez toujours puis reculez lentement jusqu’à ce qu’il soit hors de vue, il est recommandé de ne pas faire le mort, de rester plutôt attentif à la situation et soyez prêt à lui faire face en cas d’attaque. S’il attaque, défendez-vous avec tout ce qui vous tombe sous la main : roches, bâton, rame, hache, etc, haussez la voix, criez et gesticulez car vous devez l’impressionner, si vous êtes près d’un immeuble ou d’un véhicule, entrez-y avec précaution.

Contre les casseurs masqués

Ces jeunes n’ont donc rien à voir avec les bandes qui rejoignent les queues de cortèges, détruisent de vitrines et pillent des magasins. Ils n’ont rien à voir non plus avec les bandes masquées et cagoulées, organisées pour s’intègrer au milieu des cortèges de manifestations et vandalisent pour rien, en protégeant leur périmètre d’action et se préservant un corridor de fuite. Malgré cela, les médias n’entament leur sujets aux jts focalisant sur ces derniers et les téléspectateurs les amalgament aux premiers. Le rôle réel des présentateurs prompteurs des jts n’est il pas ainsi, de laisser proliférer la désinformation totale entre la motivation innocente des premiers concernés par ces manifs, et celle des parasites. Nos médias de terrains et les forces de police, pourtant bien armés en puissants téléobjectifs sont capables de retrouver les jeunes mineurs voleurs de boutiques de fringues, mais pas de démasquer ces casseurs parasites ...

Conclusion

Les cinq cents lycées de mille élèves, écoles professionnelles et étudiants d’université descendus dans la rue se font voler la vedette, par dix mille mineurs répartis issues de soixante dix quartiers et quelques centaines de membres de bandes de casseurs organisés. Tout ceci est établi pour prodiguer le climat apte à renforcer les lois de prohibitions, promulguées pour l’occasion par ces pompier pyromanes. Ils nous demanderont un jour prochain de payer l’eau utile à éteindre les feux qu’ils ont eux même participé à laisser lâchement allumer, et en toute connaissance de cause.

L’eau gratuite des sources, un franc les mille litres selon le propriétaire du puits, trois cent fois plus chère selon les grandes chaines de distribution.