mardi 16 novembre 2010 - par Philippe Sage

TF1, France 2 : Mais Quel « Suspens » Dans Le Remaniement !

Deux ’JT’ (dimanche 14 novembre 2010), deux façons d’aborder le remaniement.

Une équipe réduite pour Tf1  : Claire Chazal et François Bachy en plateau ; Antoine Lefèvre dans la cour de l’Elysée ; soit une équipe totalement Tf1.

En revanche sur France 2, aux côtés de Laurent Delahousse, outre les « journalistes maisons », Michaël Darmon et Valérie Astruc (dans la cour de l’Elysée) on notait la présence de deux éditocrates  : Laurent Joffrin (Libération) et Yves Thréard (Le Figaro).

Or donc, il était clairement établi que sur Tf1, il n’y aurait pas de débat, que cela se résumerait à une aimable conversation entre « collègues », alors que sur France 2 on pouvait espérer une « autre musique ».
Encore eut-il fallu que ce remaniement en soit un.
Or, comme ce ne fut pas le cas, les différences entre les deux chaînes furent anecdotiques, bien que réelles.

« Suspens » [*] ce fut le terme commun aux deux ’JT’ pour allécher et, surtout, conserver le téléspectateur jusqu’à, au moins 20h15, soit l’heure communiquée (aux journalistes) par l’Elysée de l’annonce officielle du « nouveau » gouvernement (par l’inamovible Claude Guéant).

Aucun journaliste de Tf1 ou de France 2 ne dissertera sur cet horaire ! ... Pourtant il est important, non ? … Oh si, tout de même : la composition d’un gouvernement qui « tombe » en plein milieu d’un JT, ce n’est quand même pas le fruit du hasard !

Important car stratégique. Tant ça ne laisse pas beaucoup de temps à l’analyse. A moins de rallonger le JT et d’en faire « une spéciale ». Ce qui ne fut pas le cas. Ni pour TF1, ni pour France 2.
De fait, les deux chaînes se retrouvèrent (sciemment) réduites à commenter « en surface ».
Imaginons, que la liste fut donnée peu avant, ou en début de ’JT’ (comme souvent) et il y a fort à parier que les commentaires eût été moins « badins ».

Important itou, car c’est – dixit les journalistes – L’Elysée qui a arrêté cet horaire. Soit le couple Sarkozy/Guéant et non François Fillon (« Le nouveau Premier ministre » osera Claire Chazal).
Mais croyez-vous que nos journalistes le souligneront ? Du tout. Et même, au contraire ! Que ce soit sur Tf1 ou France 2, on enclumera plutôt sur un Fillon ayant désormais plus de « poids politique ».
Sur France 2, Thréard parlera même d’un « rééquilibrage » entre l’Elysée et Matignon :

« Au début du quinquennat, on disait qu’il y avait un collaborateur qui était Fillon et le président de la République qui était omnipotent, et on a l’impression, effectivement ce soir, qu’il y a un rééquilibrage qui s’est opéré, que … euh .. Fillon a pesé de tout son poids pour rester, c’est évident ».

Cette théorie figaresque sera même appuyée par l’homme-tronc, Delahousse :

« (...) à présent [Le collaborateur] se verrait bien dans la peau d’un hyper-Premier ministre ».

Et adoubée par Stéphane Rozès :

« C’est une victoire politique pour François Fillon car ce scénario n’était pas, au départ, celui du président de la République »

Même son de cloche (dans tous les sens du terme) sur Tf1 avec François Bachy :

« François Fillon dispose d’un poids politique beaucoup plus important qu’auparavant ».

Certes, parce qu’il a gagné la bataille des « Premiers ministrables » (qui n’étaient qu’au nombre de deux : lui et Borloo – ce qui, au passage, est assez maigre pour un parti aussi puissant que l’UMP, voire : inquiétant) et obtenu quelques miettes, comme le maintien de son « amie » et soutien, Roselyne Bachelot (qui hérite de la « cohésion sociale » chère à .. Borloo) ou le départ de quelques-unes (Fadela Amara, Rama Yade ..) on peut effectivement considérer qu’il a marqué un point face à Nicolas Sarkozy.
Mais qui décide de l’horaire de la divulgation de « son » gouvernement ?
L’Elysée.
Qui va détailler ce « nouveau gouvernement » ?
Nicolas Sarkozy, mardi soir sur Tf1, France 2 et Canal+ (à noter que sur Tf1, François Bachy, lui, l’aura souligné : « C’est le chef de l’Etat qui détaillera cette feuille de route, sans doute, dans une émission de télévision, la semaine prochaine »).
Il n’y a donc, en aucun cas, « rééquilibrage » entre l’Elysée et Matignon, comme ont tenté de nous le faire avaler nos charmants intervenants de Tf1 et France 2. C’est toujours Nicolas Sarkozy (et Guéant + Hortefeux) qui garde le contrôle de ce gouvernement. Fillon, au fond, ne devenant qu’un « collaborateur-en-chef » chargé, cette fois, non d’une « nouvelle politique » mais de « garder » (au sens « nounou ») toute cette fine équipe en vue de l’élection présidentielle de 2012.
Et sur ce point, en revanche, ils étaient, sur Tf1 et France 2, totalement d’accord.
Ainsi Thréard :

« C’est un gouvernement resserré autour de personnes en qui Nicolas Sarkozy a une confiance totale, et c’est un gouvernement, faut pas se le cacher, de combat pour 2012 (…) un gouvernement très électoral ».

Et c’est marrant, on croirait entendre du Bachy dans le texte :

« On a un gouvernement resserré (…) C’est enfin un gouvernement qui a une base électorale qui est très rétrécie ».

De là à en conclure que Tf1 et le Figaro, c’est kif-kif, y’a pas loin.
D’autant plus que, rappelons-le, il n’y avait aucun contradicteur sur le plateau de Tf1.

Nonobstant cet « enfumage » consistant à nous faire croire en un Fillon « Hyper-Premier ministre », il y eut donc quelques petites différences entre Tf1 et France 2.

Si sur la chaîne du service public, on présenta, par la voix de Michaël Darmon, cet remaniement comme non pas « un rassemblement » mais comme un « éclatement de la droite » en insistant sur l’amertume de Borloo et Morin, avec de probables conséquences politiques (« électorales ») pour 2012, sur Tf1 on préféra vanter le « professionnalisme » des membres de ce gouvernement Fillon III, et plus étonnant, « ses nombreux changements » par rapport au précédent.
Ainsi, François Bachy :
« (…) il y a beaucoup de changements puisqu’il y a plus de la moitié, je pense, des membres de l’ancien gouvernement qui quittent leur poste (…) il y avait trente-huit membres, y’en a trente (…) C’est aussi un gouvernement qui s’est féminisé puisque, au lieu de cinq femmes ministres, on en a désormais huit, si j’ai … euh .. bien compté ! ».
Et il en remettra une couche en fin de JT :
« Il y a dix-sept départs … Donc c’est un gouvernement profondément renouvelé comme tous les gouvernements qui sont d’une deuxième phase de quinquennat ; c’est un gouvernement plus professionnalisé avec des postes ministériels qui sont très étoffés, c’est-à-dire, que chacun a des départements maintenant très élargis, et parmi ces ministres de poids, eh bien, il y a maintenant plus de femmes qu’auparavant, il faut le noter : donc huit femmes en tout dans ce gouvernement ».

Certes, il y a seize départs (et non dix-sept) mais seulement neuf arrivées ; et parmi ces neuf, seuls trois sont vraiment ministres, les six autres étant soit « ministres auprès du ministre » ou secrétaires d’Etat, ce qui, soi-dit en passant, est la même chose.
C’est maigre pour un gouvernement « profondément renouvelé ».

Quant à la « féminisation », le précédent gouvernement comptait quatorze « femmes en tout », or elles ne sont plus que … onze !
Considérant que les membres du gouvernement sont passés de trente-huit à trente, c’est plutôt le statu quo en matière de « féminisation ».
Et concernant les huit femmes ministres « au lieu de cinq » en réalité on en compte … toujours cinq (Lagarde, Alliot-Marie, Bachelot, Kosciusko-Morizet, Pécresse) ; les trois autres (Morano, Jouanno et Penchard) n’étant que « ministres auprès du ministre » soit : secrétaires d’Etat.
Mais bon, quand on a rien à se mettre sous la dent, que voulez-vous, il faut bien trouver quelque chose, surtout pour le téléspectateur à qui, rappelons-le, on avait prédit du « suspens » [*]

Il faut croire que François Bachy trouvera lui-même sa copie peu convaincante, et pour tout dire foireuse, puisqu’en conclusion, sourire aux lèvres, content de lui, il nous en sortira une énorme :
« Et puis une petite plaisanterie ou un pied-de-nez de l’Histoire puisque François Baroin devient le porte-parole de cette équipe et il était le porte-parole du gouvernement de Chirac en 1995 » ..
... Une « petite plaisanterie » qui ne fait rire que M. Bachy, vous l’aurez compris, tant on atteint là, le degré zéro de l’analyse politique.

Mais à sa décharge, il faut préciser que Tf1 s’est fait empapaouter copieux, en annonçant en début de journal l’entrée de « poids-lourds » dans ce « nouveau gouvernement » : Alain Juppé et .. Gérard Longuet. Du moins, était-ce dans les « hypothèses », dixit un bien beau reportage de Valérie Nataf :
« C’est son grand retour sur la scène nationale, le maire de Bordeaux s’installe au ministère de la Défense (…) Reviennent aussi des politiques chevronnés : Xavier Bertrand (…) et Gérard Longuet, qui n’avait pas eu de portefeuille depuis 1994 » (itou, toujours d’après Valérie Nataf, deux femmes dont on n’entendra plus jamais les noms, par la suite ...).

Seulement voilà, de Gérard Longuet, il n’y eut point. Et croyez-vous que Tf1 y revint ? Oh, surtout pas ! C’est pas le genre de la maison de « commenter » une erreur d’ « hypothèse ».
Mais du coup, cela bousillait le « conducteur » du ’JT’, Chazal s’empêtrant dans les « poids-lourds » entrant dans le gouvernement, hein, François Bachy, qui bien emmerdé, devait reconnaître qu’à part Juppé, eh bien, il n’y en avait pas d’autre(s).
On se demande, d’ailleurs, Tf1 avait été pêcher ce Gérard Longuet, d’autant plus que sur France 2, Valérie Astruc précisait bien que « aucun journaliste n’a été autorisé à pénétrer dans la cour de l’Elysée pour préserver l’anonymat des visiteurs et préserver, bien sûr, l’effet de surprise ! ».
L’effet de « mauvaise surprise » aura donc fait une victime : Tf1.

Or donc, il ne restait aucun os à ronger, sinon, comme le reconnaissait (enfin !) Claire Chazal :

« On l’a bien compris, l’un des faits marquants de ce remaniement, c’est le départ de Jean-Louis Borloo qui était pressenti pour être le n°1 »

Voilà, c’était aussi simple que ça.

Tenir près d’une demi-heure avec « ça », « le départ » de Borloo, moi je dis : bravo ! Quel « suspens » ! ... Et quel grand moment de non-journalisme avec une nouvelle fois au commande, un homme : Nicolas Sarkozy.
Avec lequel les mêmes ont rendez-vous mardi.
Or donc, rien n’a changé, tout continue comme avant le remaniement : CQFD.


[*] Antoine Lefèvre pour Tf1 : « Fin du suspens dans quelques minutes (…) Voilà, tout est prêt, les lumières sont allumées (…) le praticable a été installé pour les nombreuses caméras et les nombreux photographes ».
Valérie Astruc pour France 2 : « (…) la fin d’un suspens devrait arriver très vite, vers 20h15 ».
Delahousse (France 2) : « Qu’est-ce qui ressort de cette séquence présidentielle qu’on est en train de vivre, beaucoup de suspens ».

NB : à retenir aussi ce télescopage dans un reportage de Valérie Nataf sur Tf1 concernant Alain Juppé.
Commentaire off de Nataf : « « Il commençait à se lasser de Bordeaux ».
Suivi de Juppé : « Je suis pleinement heureux à Bordeaux ».
On se demande Nataf a été pêcher cette info, peut-être chez la même source qui annonçait Gérard Longuet dans Fillon III …



16 réactions


  • glopy1 16 novembre 2010 10:14

    ce qui etait assez hallucinant sur TF1, organe du pouvoir, on nous annonce un gouvernement « fortement remanié »....

    mais on a l’habitude maintenant, ça ne nous énerve presque plus. Tout comme ce soir je ne regarderait pas l’auto invitation de Sarkozy, avec une absence de question qui fache, de débat, pas de contradiction, je n’ai donc pas envie de voir de la prropagande.

    par contre belle surprise sur france 4 hier de voir le spectacle de christophe Alevèque, extrèmement courageux, completement politisé anti sarkoziste sans oublier d’égratigner le ps non plus.


  • Gabriel Gabriel 16 novembre 2010 10:53

    C’est vrai que c’est plus intéressant, plus urgent et plus grave que les dix millions de personnes en France vivant avec moins de 900 € par mois dont deux millions d’enfants et deux cent mille SDF ! C’est juste un léger problème de priorité, de graduation dans l’échelle des valeurs pour savoir ou se situe l’altruisme et l’humanisme. Oh pardon ! J’ai dit deux gros mots (Altruisme et humanisme)…


    • kiouty 16 novembre 2010 11:08

      Oh pardon ! J’ai dit deux gros mots (Altruisme et humanisme)…

      C’est parce que tu es un de ces bobos droit-de-l’hommistes complètement utopiste et que tu es probablement un fervent soutien au communistes !! (oué moi j’ai réussi à placer 4 gros mots !!! Qui dit mieux !)


    • kiouty 16 novembre 2010 11:09

      Ah oui sans compter que tu es probablement un de ces angélistes de gauche qui finance le terrrorisme djihadiste en achetant ton pain de mie au hal’shop !


    • kiouty 16 novembre 2010 11:13

      Et peut-etre même que tu es non fumeur !


    • glopy1 16 novembre 2010 11:16

      Bon vous allez taffer les 2 feignasses la ! ou vous a pas dit de partager ! tout pour le patronnat, y a des petits gniakoués qui gagnent 3 € par jour en bossant 15 heures jour, faudrait pas vous appitoyer sur vos derniers privilèges !


    • Gabriel Gabriel 16 novembre 2010 12:01

      @Kiouty

      Alors là ça vole haut ! A ce degrés là, ça s’appelle être confit de connerie ! Essaye de passer un scanner de la tête mon petit bonhomme et aux vues des résultats tu auras une réelle approche de ce qu’est la vacuité.


  • ZenZoe ZenZoe 16 novembre 2010 12:40

    Holà holà, suspens par ci, suspens par là ...

    Il me semble que vous voulez parler de « suspense » et non pas « suspens » ?

    En plus, vous mettez le mot partout et dans la bouche de nombreux journalistes, qui connaissent peut-être mieux l’orthographe de ce mot que vous.

    Vous me copirez 20 fois : « le suspense est terminé pour Woerth, dont le sort était en suspens ».

    Amicalement,


    • Philippe Sage Philippe Sage 16 novembre 2010 13:22

      @Zenzoé : Merci beaucoup de cette aimable leçon.
      Sauf que ...

      ... Les deux orthographes sont admises.

      Exemple.

      Bonjour chez vous !


    • ZenZoe ZenZoe 16 novembre 2010 16:27

      Admises par qui ?

      Suspens dans le sens où vous l’entendez existe bel et bien, mais son usage est littéraire. Les dictionnaires font bien la différence entre les deux mots, qui ont la même origine mais dont le sens diffère.

      Quant au DVD de Hictchcock, ce n’est pas une preuve, les orthographes farfelues se trouvant partout maintenant.


    • Philippe Sage Philippe Sage 16 novembre 2010 16:53

      Vous répondez vous-même à votre question : son usage est littéraire. Donc, c’est admis.
      Mais n’en tirez aucune conclusion. Il se trouve que je préfère « suspens »« à »suspense« , voilà tout !
      Pas vous, en l’occurrence.
      So what ?
      Puisque les deux orthographes sont correctes.

      Dans un autre style, vous pouvez aussi bien dire : »continuer à« ou »continuer de« . Le second étant plus littéraire.
      Itou, l’on peut dire »un après-midi« ou »une après-midi".
      Etc.
      La liste est rudement longue.


  • fhefhe fhefhe 16 novembre 2010 17:47

    SarfaceSkosy , évoquera t-il l’une de ses promesses electorale quant aux pouvoir d’achat des Français , dont près de 500 000 vont se retrouver en fin de droit ???

    Remaniement pourquoi faire ? Gérer , admnistrer et gouverner la France ?? mais nôtre Président REGNE .

    Le lapsus de Mme Lagarde est révèlateur...ce remaniement ,est un virage à 360°... !!!!!!!

    A qui va profiter en 2012 , la colère « Centriste » : Borloo , Morin , Bayrou ?

    Quelles vont être les promesses du candidat SARKOSY qui a rayé le « ministère à l’immigration » ? 

    Qu’en est -il de l’ Ecologie ? sa nouvelle Ministre ( qui est , pour , moi une surdouée ) pourra t-elle revenir sur le Grenelle de l’environnement mis au placard ???

     

     




  • Traroth Traroth 16 novembre 2010 18:44

    Qu’ils s’en aillent tous !


  • djanel Le viking- djanel Le viking- 16 novembre 2010 23:13

    Par kiouty (xxx.xxx.xxx.98) 16 novembre 11:08


    Oh pardon ! J’ai dit deux gros mots

    >>>>>>>>>>>>>>>>>><<<<<<<<<<<

    Tu t’embrouilles dans les chiffres, banane, puisque juste après dans le même commentaire tu te vantes d’en avoir dit 4. Se réclamer des droits de l’homme ne peut pas être considéré par les sarkomaniaque comme une injure puisque ils s’en servent pour justifier la guerre en Irak en Afghanistan et aussi pour agresser l’Iran. Ils ne peuvent donc pas les renier, triple buse.

    Kiouty est donc aussi nul à chier que son mentor. Continue donc comme ça et à la fin on pourra accuser les militants de l’UMP de n’être que des tartufes aux langueS fourchueS.  

    Dans 18 mois sera ta défaite avec seulement 10% des voix au lieu des 31 au premier tour des présidentielles et législatives. L’UMP se retrouvera en faillite en devant indemniser la mairie de Paris comme ils se sont engagés à pouvoir le faire.  

    Hé oui, chaque voix obtenue aux élections rapporte de l’argent ce qui veut dire que chaque voix manquante t’en fera perdre. Qui devra mettre la main à la poche pour renflouer les caisses ? Les militants inscrits qui verront leurs cotisations augmenter.

    Je me marre, dingue dingue comme on peut se marrer avec des mectons comme kiouty.


  • Philippe Sage Philippe Sage 17 novembre 2010 01:48

    Oh !
    Y’a du nouveau, dites-moi !

    La preuve : ICI  !


    • djanel Le viking- djanel Le viking- 17 novembre 2010 02:16

      Tu parles d’un changement. Il cause à l’imparfait du subjonctif, le plus que parfait ne devrait pas tarder à arriver comme zorro sans se presser le bon zorro.


Réagir