lundi 8 mars 2021 - par taktak

#8mars : La bourgeoisie n’a cure des violences contre les femmes

Cette année, en France, les manifestations de ce 8 mars à l’occasion de la Journée internationale des femmes, sont plus « musclées » socialement que d’ordinaire. Tant mieux. Trente-sept organisations syndicales, féministes et politiques ont lancé un appel unitaire [1] à une « grève des femmes », sur les lieux de travail, de télétravail, donc à la maison et y compris pour les tâches domestiques, pour « mettre fin aux discriminations, et aux violences sexistes et sexuelles » que subissent celles que les organisatrices et organisateurs ont rebaptisées les « premières de corvée ». Des discriminations encore aggravées par la crise sanitaire et sa gestion calamiteuse par le gouvernement : « Le 8 mars, nous serons en grève avec les femmes du monde entier pour refuser toutes et tous ensemble de payer le prix de la crise avec notre travail, notre salaire, notre corps », ont déclaré lundi ces organisations parmi lesquelles la FSU, la CGT, Solidaires, Osez le féminisme, Les Effronté-e-s, le Planning familial, l’Unef ou le Collectif national pour les droits des femmes, rejointes par quelques partis politiques.

Les revendications d’augmentations de salaires, de revalorisations professionnelles et de création d’emplois, notamment dans les services publics où prédominent les femmes, de création de places dans les crèches figurent en bonne place dans les appels à cesser le travail à 15h40, heure à partir de laquelle les femmes travaillent gratuitement en comparaison de leurs collègues masculins et symbolisant le quart de salaire en moins que touchent les femmes, selon certains calculs. La précarité et la pauvreté accrues, encore renforcées par les mesures à hue et à dia du gouvernement, censées contrôler la propagation du Covid-19, frappent en tout premier lieu les femmes, qui « représentent 80% des temps partiels, 60% des CDD et 80% des familles monoparentales », affirme encore le communiqué. Qui rappelle aussi que la fragilisation du fonctionnement des écoles et des crèches oblige les femmes assignées au télétravail à s’occuper en même temps de leurs enfants, avec toutes les nuisances et conséquences néfastes que cela entraîne pour elles, physiquement et psychologiquement.

Les dénonciations des violences sexuelles ne sont pas oubliées pour autant, et mobiliseront certainement une majorité de jeunes femmes, lycéennes et étudiantes, très sensibilisées à cette question.

Pas de chèques sans provision

Cette mobilisation, dont le but ultime est de « faire de l’égalité entre hommes et femmes une réalité », et à laquelle le PRCF participera activement, pose néanmoins quelques questions aux militants franchement communistes, femmes et hommes. Clara Zetkin, la communiste allemande qui a proposé en 1911, il y a 110 ans, au Congrès international des femmes socialistes (la scission entre socialistes et communistes consécutives à la guerre et à la Révolution d’Octobre n’avait pas encore eu lieu), la création de la Journée internationale des femmes, journée qui se donnait, entre autres buts, celui de lutter pour le droit au suffrage féminin, le rappelait : « Les pays dans lesquels existe le suffrage dit universel, libre et direct, nous montrent qu’en réalité il ne vaut pas grand-chose. Il n’est ni plus ni moins qu’un chèque sans provision. […] L’émancipation de la femme comme celle de tout le genre humain ne deviendra réalité que le jour où le travail s’émancipera du capital. »

Cette remarque lucide vaut pour tous les droits formels qu’ont acquis, voire conquis, les femmes au cours du XXe siècle, et dont les féministes savent bien qu’ils sont aussi des « chèques sans provision ». Les femmes ont obtenu juridiquement les droits civils, politiques, économiques (très relatifs) et familiaux, notamment l’égalité entre le père et la mère dans l’éducation des enfants et l’inscription dans la loi de l’égalité des salaires (respectée dans la fonction publique). Mais ces droits restent en grande partie abstraits, car le formel, le juridique, ne crée pas le réel…

Aujourd’hui, l’oppression liée au sexe continue de peser de manière écrasante sur des milliards de femmes dans de nombreux pays, et en France aussi, même si c’est de façon atténuée — surtout dans certaines classes sociales plus privilégiées ! En témoignent évidemment les violences ignobles, et qu’il faut condamner énergiquement, dont beaucoup de femmes sont victimes, et dont les féministes petites bourgeoises tiennent un décompte macabre sans développer de revendications concrètes et pouvant être efficaces. En témoignent aussi, et surtout, les conditions de vie, de travail, de salaire et d’habitation imposées aux ouvrières, aux employées, aux femmes élevant seules leurs enfants.

Mener le combat contre les violences sexuelles sur le seul plan sociétal et individuel a souvent pour conséquence, quoique les féministes s’en défendent, de pointer la seule responsabilité des « hommes », qui seraient violents par essence.

La bourgeoisie n’a cure des violences contre les femmes

Oui, certains hommes, encouragés par l’idéologie dominante et le cinéma hollywoodien qui glorifient le « justicier solitaire », le héros qui se passe des commandes et honore ses propres contrats à n’importe quel prix, y compris le meurtre, persistent dans une attitude de domination abjecte à l’égard des femmes. Oui, certains hommes, dédouanés par la brutalisation de la société, la guerre de classe féroce — on pense à la répression des Gilets jaunes mais aussi à celle des syndicalistes en lutte, hommes ET femmes, aux fermetures brutales d’entreprises, au traitement des chômeurs — menée sans merci contre les classes populaires par la classe dominante, se jugent autorisés à imposer leur volonté, par tous les moyens, à leur femme, compagne, sœur, fille. Il s’agit évidemment de dénoncer avec force ce machisme qui produit cruauté, violences, brimades, enfermement, voire meurtre, sans tomber, comme certaines féministes dites « radicales », dans une essentialisation des sexes. S’il est indéniable qu’il y a un problème de hiérarchie sexuelle entre les hommes et les femmes, où les femmes sont infériorisées, il y a également, et surtout, un problème économique, notamment pour la classe ouvrière et les classes populaires.

Il serait téméraire de soutenir que les violences voire les meurtres que subissent les femmes « arrangent » la classe dominante. Mais ce qui est sûr, c’est que ces violences ne la dérangent pas plus que ça, quoi qu’en dise Mme Schiappa. Parce que le MEDEF et autres patrons exercent en permanence des violences ignobles contre les femmes, comme contre les hommes, d’ailleurs : pression sur les salaires, chantage à l’emploi, licenciements, réforme du chômage, délocalisations, restructurations, avec droit de cuissage et plus si affinités. La classe des capitalistes a besoin, pour maintenir sa domination sur les classe ouvrière et populaires, de femmes surexploitées, harassées, soumises, maintenues dans la crainte — justifiée — de voir compromise la si fragile sécurité financière de la famille si leur compagnon se met en lutte et risque de perdre son emploi. La bourgeoisie a besoin de femmes « jetables » et « corvéables » dans les emplois de femmes de chambre, de nettoyeuses, de caissières et de remplisseuses de rayons dans les supermarchés, de femmes qui renoncent à se syndiquer parce qu’elles ont trop à faire entre le travail, les tâches domestiques et les enfants et craignent de perdre leur emploi précaire si elles relèvent la tête.

Et on attendrait des dénonciations féministes, même les plus énergiques, de cet état de fait, qu’elles suffisent à faire renoncer la classe capitaliste à des « arrangements » si bénéfiques pour elle ? Billevesées ! Sans compter que les luttes féministes « isolationnistes » tombent bien : opposer les femmes aux hommes, ces violents, ces tyrans (même s’ils existent, bien sûr !), divise la classe ouvrière.

Lutter contre les « stéréotypes » ne suffit pas

La « lutte contre les stéréotypes » prônée par les féministes du courant dominant prétend aller au-delà de l’égalité juridique, mais en reste hélas trop souvent aux dénonciations purement déclamatoires sans solutions pratiques allant dans l’intérêt des femmes des classes populaires.

Que peuvent faire les femmes victimes d’abus et de maltraitances en raison de leur sexe qui se situent « en bas de l’échelle » — et qui représentent une majorité —, qui n’ont pas les moyens matériels de fuir leur tyran et sont condamnées à le subir malgré sa brutalité, pour cause de salaires misérables, de conditions de logement indignes et de manque de structures collectives qui pourraient les décharger ? Elles ont impérativement besoin, pour vivre, de leur travail voire du salaire de leur compagnon, si brutal soit-il, et on peut parier que pour elles la question ne se pose pas dans les termes de « libérer la parole », mais, tout simplement, de la prendre et de s’engager concrètement dans une lutte collective.

« Le 8 mars : un jour de rébellion des femmes travailleuses contre l’esclavage de la cuisine » (affiche soviétique de 1932)

Contrairement aux droits individuels, les droits économiques et sociaux ne sont pas des abstractions, et toute lutte collective pour les traduire dans la réalité hérisse la classe des capitalistes. Pour que les droits formels et rassurants concédés aux femmes, y compris la sécurité et la santé en matière sexuelle, deviennent concrets, ils doivent devenir des droits collectifs et pas seulement individuels ; ils sont liés, pour le moins, à l’accès pour tous, hommes comme femmes, à un emploi rémunérateur, à une éducation et à une santé publiques dignes de ce nom, à des structures collectives qui déchargent les femmes des corvées domestiques, qui prennent en charge les enfants lorsqu’elles travaillent ou militent dans une association, un syndicat ou une organisation politique.

Tous unis contre la cruauté capitaliste

C’est vrai, le sexisme traverse les siècles et les continents. On sait que la société cubaine, par exemple, est une société traditionnellement « machiste ». Et pourtant, la condition des femmes à Cuba, même si elle n’est pas parfaite, devrait faire envie à des milliers de femmes en France si elles étaient au courant des mesures concrètes prises par le gouvernement révolutionnaire cubain depuis la Révolution de 1959 dans le but transformer les rapports entre les sexes. Des mesures qu’il a poursuivies et renforcées jusqu’à aujourd’hui, malgré le blocus criminel imposé par les États-Unis depuis 1962. Ainsi, la Cuba révolutionnaire a immédiatement érigé la santé et le bien-être des femmes comme priorité nationale. Cela signifie, par exemple, une loi imposant une égalité salariale absolue entre les hommes et les femmes, l’accès des femmes à toutes les professions, la possibilité pour les mères de s’occuper à plein temps de leur nouveau-né tout en percevant l’intégralité de leur salaire un mois et demi avant l’accouchement et trois mois après la naissance de l’enfant, le congé de maternité pouvant durer un an, avec 60% du salaire et la réintégration automatique dans leur travail. La prostitution, qui a ressurgi à partir des années 1990 avec la « période spéciale » due à la destruction de l’URSS, au durcissement des sanctions imposées par les États-Unis et au tourisme de masse, fait l’objet d’un travail de prévention et de persuasion pour lutter contre ce fléau. Quant à la violence physique et psychologique faite aux femmes, elle est sévèrement sanctionnée, la violence conjugale étant considérée comme une circonstance aggravante.[1]

Même s’il est vrai qu’avant de s’unir et afin de s’unir, les opprimés doivent définir leurs propres besoins et revendications spécifiques, l’approche féministe isolationniste affaiblit et divise le combat de classe, le combat de toutes les classes travailleuses, celles qui n’ont que leurs bras et leur intelligence pour assurer leur survie. Plus les femmes et les hommes seront égaux, plus le combat de classe sera fort. Engels affirmait, à propos de l’Irlande opprimée par l’Empire britannique, qu’« un peuple qui en opprime un autre ne saurait être libre » : il en va de même d’un sexe qui en opprime un autre, si bien que l’émancipation des hommes concerne AUSSI la libération des hommes qui eux aussi, d’une certaine manière, sont opprimés par le machisme et les fausses « obligations » qu’il leur crée.

Le PRCF et ses militants, femmes et hommes unis, se fixent pour tâche de lier les deux combats, de rassembler les luttes ouvrières et populaires avec les luttes contre les oppressions spécifiques, et en particulier celle des femmes. C’est dans cet esprit qu’il a publié un premier numéro de XX-elles présentant les portraits de six femmes combattantes, qui ont bravé tous les dangers afin de mettre en évidence que dénoncer ne suffit pas, qu’il faut lutter, s’organiser, hommes et femmes unis, contre la cruauté capitaliste.

Car comme l’affirmait l’Union des femmes vietnamiennes pendant la longue et valeureuse guerre de libération contre l’agression des États-Unis :

« Nul ne peut réclamer sa libération s’il ne participe pas activement à la libération de tous les opprimés. »

[1] http://www.grevefeministe.fr/

[2] https://www.lesamisdecuba.com/femmes-a-cuba-la-revolution-emancipatrice/

 

https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/plus-que-jamais-le-8-mars-doit-etre-rouge/



25 réactions


  • Étirév 8 mars 2021 13:48

    L’homme éparpillé n’a de la femme qu’images émiettées ; de la totalité il ne peut saisir qu’une facette. Au lieu de reconstituer l’unité, de voir sous l’apparent l’éternel, il multiplie les miroirs et effigies. Seul celui qui est un et nu peut regarder la femme sans voile, nudité insupportable, insoutenable sauf à l’être pur.
    Mais nous sommes à l’aurore d’un monde nouveau, la femme est entrée dans la lice et le flambeau de la vérité éclaire ses pas.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 mars 2021 16:09

    Nous verrons qui aura raison sur le futur. Annick de Souzenelle : sa version du signe du verseau. https://revue-reflets.org/annick-de-souzenelle-les-premices-dun-grand-retournement/ ou celle plus réaliste de cet auteur : http://www.zodiac-city.com/pages/ludique/horreur/horreur-pour-le-verseau.html. Le verseau, ne l’oublions pas déteste toutes les limites, est très individualiste (si j’ai envie de faire pousser un cactus sur mon bras, c’est mon droit, comme de changer de sexe trois fois par jour,...on le dit spirituel. non, ce sont les poissons qui ont le sens de la spiritualité. Les verseaux sont des intellectuels froids et sans éthique (GPA, PMA, transhumanisme). La croix ansée (TAU) qui intègre le féminin, n’est pas verseau mais Taureau....J’avoue être partagée. Un peu comme le signe du verseau qui porte sa propre contradiction : URANUS ET SATURNE (la limite). Ou le chaos ou l’harmonie...Nous sommes à la Croisée des chemins entre l’horreur absolue, le chaos la psychose, la fin de la civilisation ou l’harmonie. Harmonie était la fille de Zeus et d’Electre. Etrange, mais le signe du verseau est aussi celui de l’électricité (AIR). Electre qui descend des Atrides (quel karma,... !!!)


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 mars 2021 16:13

    Mon commentaire s’adresse surtout à l’article d’Onfray. Mais une bizarrerie d’internet m’empêche de me connecter sur Agora.vox T.V. Onfray ou ATTALI....Quel suspense...


  • Le421... Refuznik !! Le421... Résistant 8 mars 2021 17:20

    La bourgeoisie ?

    Celle de Trump ?

    Qui prends les femmes par la chatte...

    Faut croire qu’elles aiment ça finalement puisqu’il y en a plein qui votent pour ce genre de lascar.

    Je me pose quand même des questions...  smiley


  • ZenZoe ZenZoe 9 mars 2021 09:58

    Franchement, que vient faire la lutte des classes là-dedans ?

    La cause des femmes est une cause à part entière qui n’a pas à être adossée à une autre pour exister. Je n’aime pas du tout ces amalgames douteux, qui s’apparentent à de la récupération politique.


    • Ben Schott 9 mars 2021 10:20

      @ZenZoe
       
      « La cause des femmes est une cause à part entière »
       
      La cause des femmes, ça n’existe pas. Quand on est caissière au Franprix, on a aucune solidarité de genre avec la patronne qui vous exploite.
       
      Oldies but goldies...
       
       


    • ZenZoe ZenZoe 9 mars 2021 11:13

      @Ben Schott
      La cause des femmes, c’est aussi leur permettre de devenir patronne du Franprix.


    • Ben Schott 9 mars 2021 11:16

      @ZenZoe
       
      Pour qu’elles puissent exploiter à leur tour d’autre caissières...
       
       
      Prenez le temps de réfléchir sérieusement à tout ça...  smiley
       


    • ZenZoe ZenZoe 9 mars 2021 12:18

      @Ben Schott
      C’est tout réfléchi. La cause des femmes, c’est aussi permettre à des hommes de devenir caissiers. Ah mais !


    • Ben Schott 9 mars 2021 12:41

      @ZenZoe
       
      « C’est tout réfléchi. »
       
      J’ai dit sérieusement. Vous finissez par dire des choses extrêmement stupides.
       


    • Jonas 9 mars 2021 13:45

      @Ben Schott

      Vous qui réfléchissez comme un arabo-musulman , c-à-d à côté de la plaque. Essayez de comparer la situation des femmes françaises , bien qu’elle ne soit pass parfaite et mérite beaucoup d’amélioration. 

        Est-ce qu’à votre avis les femmes des pays arabo-musulmans sont-elles mieux loties mieux considérées , plus libres , plus instruites , que les femmes occidentales , par exemple au Maroc, Algérie, Libye, Tunisie , Egypte , Syrie, Irak , Jordanie , Liban , Soudan , Somalie Qatar , Koweït , Arabie saoudite , Emirats arabes unis etc où les femmes des pays musulmans non arabes comme tels que la Turquie, Iran , Bangladesh, Afghanistan , Pakistan , Indonésie, Tchetchénie, Kazakhstan , Ouzbékistan etc.



    • Samson Samson 9 mars 2021 14:27

      @ZenZoe
      « Franchement, que vient faire la lutte des classes là-dedans ? »

      De fait, la cause des femmes est une cause à part entière !
      Il n’empêche que sans lutte des classes et par les sombres temps qui courrent, l’égalité entre les sexes s’expose à s’aligner par le bas et, plutôt qu’améliorer la condition féminine, y réduire la condition masculine !

      Au nom de l’égalité des sexes, l’âge de la retraite pour les femmes est passé en Belgique, de 60 à 65 ans, avant d’être sans discrimination relevé pour toutes et tous à 67 ans  : pas la manière dont j’envisage personnellement le progrès en matière d’égalité des sexes !

      En vous présentant mes respectueuses salutations ! smiley


    • ZenZoe ZenZoe 9 mars 2021 14:31

      @Ben Schott
      Vous finissez par dire des choses extrêmement stupides

      Déjà, mon dernier commentaire était une boutade, mais l’humour vous manque peut-être ? Et plus sérieusement (puisque vous aimez les choses sérieuses), vous connaissez sans doute l’adage : les insultes commencent lorsqu’on est à court d’arguments.


    • ZenZoe ZenZoe 9 mars 2021 14:34

      @Samson
      En vous présentant mes respectueuses salutations !

      Et laissez-moi vous présenter mes plus sincères remerciements pour votre respect smiley


    • Ben Schott 9 mars 2021 14:34

      @ZenZoe
       
      Oui d’accord, mais où avez-vous vu la moindre insulte ?
       
      Les arguments, je vous propose justement de vous en enrichir, mais ça va vous demander un peu de travail.
       

       

       


    • Samson Samson 9 mars 2021 14:50

      @ZenZoe
      « La cause des femmes, c’est aussi leur permettre de devenir patronne du Franprix. »

      De fait ! Et si je doute que la condition soit suffisante, il me sera nécessaire pour croire en une réelle évolution de la cause féminine dans l’opinion publique en République des droits de l’homme et du citoyen que le jour où le suffrage citoyen aura mené une femme si possible, ni Ségolène Royal, ni Marine Le Pen, et si possible encore, pas une émule de Lady Thatcher ! à la fonction présidentielle !

      Autant dire qu’il y a encore du travail !


  • arthes, Britney for ever arthes 9 mars 2021 11:33

    En Russie, la journée de la femme....N’est pas politisée.

    Les hommes offrent des fleurs à toutes les femmes, ils sont chevaleresques , et quant aux femmes, elles s’apprêtent plus coquettes que d’habitudes.

    En France, c’est la politique, les revendications , bref l’occasion de faire une guerre sexiste et victimaire afin de trouver un thème de lutte des classes .

     C’est une journée de merde , et pas de fleurs, et pas de jolies robes , mais un clito géant devant la tour Eiffel avec un bras d’honneur en prime.


    • Aristide Aristide 9 mars 2021 12:29

      @arthes

      Les hommes offrent des fleurs à toutes les femmes, ils sont chevaleresques , et quant aux femmes, elles s’apprêtent plus coquettes que d’habitudes.

      Le paradis communiste !!! Gnarff, gnrafff .... Et la loi qui remplace pour des violences domestiques la prison par des amendes, c’est qui qui . Poutine !!!


    • arthes, Britney for ever arthes 9 mars 2021 13:45

      @Aristide
      T’es féministe ?

      Parce que les mecs féministes, c’est très tendance en ce moment, une autre manière de drague, puis de se sentir « une povre pitite chose », le néo mâle dégénéré occidental en quelque sorte.

      Si tu préfères te faire couper les c. par les femen....
      Et la Russie de Poutine elle t’emm.


    • Ben Schott 9 mars 2021 13:51

      @arthes
       
      Une réponse qui a de la couille.
       
       
       
       smiley
       


    • Aristide Aristide 10 mars 2021 09:27

      @arthes

      Parce que les mecs féministes, c’est très tendance en ce moment, une autre manière de drague, puis de se sentir « une povre pitite chose », le néo mâle dégénéré occidental en quelque sorte.

      Non, pas féministe ni contre d’ailleurs, simplement respectueux des autres quelques soient leur sexe, age, origine, ... En fait le contraire de vous.

      Sur la loi qui autorise les violences envers les femmes vous devriez vous en émouvoir en place de désigner je ne sais quelle invention russe du « néo male dégénéré occidental ».


  • Samson Samson 9 mars 2021 14:09

    Pas mieux à dire !

    Bravo et merci !


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