samedi 12 mai 2018 - par Herv� Hum

Essai sur la soci�t� des citoyens responsables - de la relation entre coop�ration et comp�tition

"La plus grande partie de nos concitoyens est réduite par l’indigence (aujourd'hui intellectuelle) à ce suprême degré d’abaissement où l’Homme, uniquement préoccupé de sur(-)vivre, est incapable de réfléchir aux causes de sa misère et aux droits (et devoirs) que la nature lui a donné."

"Je ne suis pas le défenseur du peuple. Je n'ai jamais prétendu à ce titre fastueux ; je suis du peuple, je n'ai jamais été que cela, je ne veux être que cela ; je méprise quiconque a la prétention d'être quelque chose de plus. "

(Maximilien Robespierre, juste parmis les justes)

Avertissement

L’explication de ce qui va suivre ne peut pas être faites dans un seul article pour éviter trop de lourdeur., ni être compris par une lecture en diagonale ou rapide. Tous les éléments de compréhension se feront au fur et à mesure, donc, où j’ai dû faire l’impasse sur certains points dans un premier temps, que le lecteur critique ne manquera pas de faire. Mais encore une fois, il est impossible de tout aborder en même temps. Ainsi, dans un 1er temps, les lecteurs pourront penser que le texte défend le système actuel alors qu’il vise exactement le contraire, soit, son dépassement et l’avènement d’un nouveau modèle, basé sur le principe de responsabilité, définit comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs (1). L’exercice est donc difficile, mais la présentation du modèle peut se résumer en cette formule « ne rien changer sur la forme, pour tout changer dans le fond », alors que la politique actuelle et passé consistait dans son sens contraire, soit « tout changer sur la forme, pour ne rien changer dans le fond ».

Préambule

la volonté d’écrire en cet instant précis les articles qui vont suivre, est née en premier lieu de la situation de crise extrême que vit la société humaine, mais pour laquelle je me décidais pas sur l’angle d’approche. C’est finalement pour répondre à la réfutation d’un agoravoxien (maQIavel) lors d’une discussion sur la question ci-dessous, qui va décider de cet angle. Ceci, car ce qui va suivre découle d’une « théorie » que je n’arrivais pas à formuler, sinon à énoncer son titre et ses éléments de bases, à savoir, le principe de relations de causalité, avec ses trois piliers fondamentaux que sont la récurrence, l’itération et la division fractale. Tout ce qui suit s’appuie exclusivement sur ce principe.

La question posée est celle-ci

Le système économique dépend-il du libre arbitre humain, ou bien d’une loi supérieure à laquelle l’humain n’aurait de choix que de s’y soumettre ou de régresser, voir de s’auto-détruire ?

Autrement dit, le libre arbitre porte-t-il sur sur le choix de suivre ou non la raison et non de décider de celle-ci ? Que l’on peut aussi formuler et généraliser par « le libre arbitre de l’être porte-t-il sur les moyens ou bien uniquement sur les fins » ?

L’article ou plutôt les articles, tenteront de montrer qu’il n’y a de choix que celui de suivre la raison, donc, de s’y soumettre et en aucune manière de la dominer, si ce choix est de poursuivre l’histoire dans le sens de l’évolution et non de l’immobilisme qui dans un univers en mouvement, ne peut que conduire à la régression ou la destruction. En d’autres termes, dans la réalité physique, l’être a de choix que des fins, mais pas des moyens, ceux-ci sont le fait de la raison ou logique et d’elle seule. Si les moyens existent ou sont réalisables, la fin peut être atteinte, sans cela, elle reste une utopie tant que les moyens ne sont pas accessibles. Tant qu'ils ne sont pas crées et les conditions environnementales requisent, atteintes. La fin ne justifie pas les moyens, elle les nécessites. Peu importe qu'ils soient moraux ou non, éthiques ou non.

Compétition et coopération, deux théories à priori antagonistes

lorsqu’on parle de l’évolution de la vie, on est habitué, voire surtout conditionné, à penser à la théorie de la sélection naturelle énoncé par Darwin. Celle-ci posant le constat d’une part que seuls les plus capables à s’adapter aux conditions environnementales survivent et d’autre part, que les plus forts sont ceux qui ont le plus de chances ou probabilités de laisser une progéniture et ainsi, poursuivre l’évolution de la vie. Donc, d’une nature dominée par l’esprit de compétition.

Même si la théorie de Darwin ne s’arrête pas là et est bien plus profonde dans ses attendues, le commun des mortels n’a de connaissance de cette théorie, seulement le fait que dans la nature, ce sont les plus forts qui dominent et sont les plus aptes à survivre et à guider les autres, laissant ainsi penser qu’il n’y a d’autre choix que de suivre ces derniers dans un monde, une nature en compétition perpétuelle. Si le principe de la loi du plus fort n’est pas contestable en lui même, par contre, que cela conduise à ne considérer que la compétition, est contestable.

A cette affirmation qui ne laisse pas d’alternative possible, Darwin lui même l’a rejetée en ce qui concerne le cas spécifique de l’humanité, car il avait très bien noté le fait que la société humaine, par la domination qu’elle exerce sur le reste du monde animal, échappe à cette théorie et il parlait alors d’un monde artificiel par opposition au monde naturel ,ou nature domestiquée par opposition à la nature sauvage.

Ici, il ne s’agit pas de faire appel à la théorie de Darwin, mais de rendre hommage à ce dernier en soulignant sa totale intégrité intellectuelle et son souci de poser un cadre éthique ou plutôt pour lui moral. De noter que la pensée de Darwin sera réduite et insultée par la récupération qui en sera faites pour donner lieu à l’eugénisme et aux théories racistes du XIX ème siècle, pour justifier la colonisation extérieure de peuples entiers. Sans oublier bien évidemment le fait que les tenants du système capitaliste verront une sacralisation de leur doctrine.

Face à cette théorie, d’autres intellectuels quasiment inconnues du grand public tels que Kropotkine, vont faire le constat inverse, à savoir que dans le monde animal, les plus aptes à survivre sont ceux qui sont capables de s’unir face à l’adversité et donc de fonder les rapports non pas sur le mode d’opposition, mais sur le mode coopératif. Ce constat va donner le socle théorique à l’anarchisme. Malheureusement, trop d’insuffisances théoriques et de contradictions internes ne permettront pas à l’anarchisme de convaincre et sa diabolisation discréditeront quasi définitivement le mouvement anarchiste auprès des citoyens. Pourtant, et nous le verront plus tard, son principe reste valable et son idéal réalisable.

Du sens de la relation de causalité entre compétition et coopération

On voit donc qu’il existe deux théories à priori opposées entre elles, car partant d’un constat inverse. D’un coté, la compétition, de l’autre la coopération. Dans la réalité, le constat impose de retenir autant l’une que l’autre et la question posée n’est plus dans le choix de l’une ou de l’autre, mais de savoir quand l’une prédomine sur l’autre, donc, de déterminer les conditions qui imposent l’une face à l’autre comme moteur de l’évolution.

Et de fait, ce sont les conditions environnementales qui déterminent, seules, quand la compétition s’impose ou inversement, quand c’est la coopération.

Mais il faut bien insister sur le fait que prédominance ne veut pas dire suppression de l’un ou de l’autre, car quel que soit le domaine d’observation, tant du monde animal que de la société humaine, les deux continuent toujours d’agir. Autrement dit, il est impossible d’éliminer l’un ou l’autre des principes car alors, le résultat aboutit fatalement à l’incapacité de survivre aux changements des conditions environnementales, mais uniquement si celles ci sont figés. Ce qui veut donc dire, où il n’y a plus aucune évolution possible. Autrement dit, où l’Univers lui même ne pourrait pas exister tel que nous le vivons. Pour ne pas surcharger l’article, cette affirmation est posée comme postulat, mais elle peut être démontrée par l’analyse. Toutefois, les observations faites, tant par Darwin que par Kropotkine (entre autres), vont dans ce sens.

Pour bien comprendre le mécanisme d’inversion du sens de prédominance de relation de l’un sur l’autre, il faut voir sous quelles conditions environnementales l’un prédomine sur l’autre. Et c’est là qu’intervient le principe de la loi du plus fort.

Mais tout d’abord, revoyons la définition des mots compétition et coopération.

Compétition (source, cntrl) : Lutte, rivalité simultanée de plusieurs personnes ou groupes de personnes dans la poursuite d'un même but.

Coopération (source cntrl) : Action de participer (avec une ou plusieurs personnes) à une œuvre ou à une action commune

les conditions d’existences de l’un et de l’autre sont donc opposées. Pour la compétition, il faut un environnement où les éléments ou acteurs en présence sont exclusifs l’un à l’autre, c’est à dire, qu’ils n’ont pas d’intérêt commun, mais au contraire, un intérêt antagoniste, se disputant le même objet. A contrario pour la coopération, il faut un environnement où les éléments ou acteurs en présence sont inclusifs l’un et l’autre, c’est à dire, qu’ils ont intérêt à unir leur moyens, à partager.

Autrement dit dans le cas de la compétition, les forces s’opposent, se confrontent les unes aux autres, tandis que dans le cas de la coopération, les forces s’ajoutent, s’unissent les unes aux autres.

Jusque là, rien de spécial, sauf un détail qui bien qu’évident est savamment pris en défaut, c’est à dire, le fait que la compétition exige un environnement ouvert, divisé, alors que la coopération exige un environnement relativement fermé, donc, où les éléments sont contenues dans le même ensemble et non plus séparés. Toutefois, comme dit plus haut, la coopération vise à unir des forces alors disjointes, pour faire face à un environnement extérieur menaçant la survie de chacun des éléments jusqu’alors pouvant êtres eux mêmes ennemis.

Autrement dit, nous avons affaire à une dynamique de relations causales récurrente, itérative et fractale, puisque l’évolution des principes est identique (récurrence), mais évolues selon les conditions environnementales (itération), tout en changeant d’échelle (division fractale). Ceci est une apartée et n'a pas besoin d'être compris pour la suite de l'article.

Pour bien comprendre, il suffit de considérer la création des nations modernes, telles que la France. En effet, partant de petites communautés plus ou moins isolées les unes aux autres, celles-ci vont s’agréger les unes aux autres en fonction des rapports de forces, formant alors des entités toujours plus grandes. Passant de communautés locales, puis régionnales, jusqu’à la France telle que nous la vivons. C’est sur la base de ce même principe que l’UE sera vendue aux citoyens d’Europe. Ce processus vaut partout et en tout lieu. On peut noter qu’il vaut aussi pour tous les domaines observables dans l’Univers physique.

Mais revenons au coeur du sujet qui nous intéresse ici.

On voit donc très clairement que, chaque intégration d’éléments dans un ensemble supérieur ne fait que changer de dimension spatio-temporelle, les rapports de forces mettant en compétition ces nouveaux ensembles. Autrement dit, au fur et à mesure de l’agrandissement des ensembles, la notion d’espace ouvert réduit le nombre des protagonistes en compétition et augmente le nombre d’individus intégrés dans ces mêmes ensembles. Si on poursuit cette dynamique fractale, l’espace dans lequel nous évoluons étant fini, la compétition entre ensemble ne peut aller en dessous de la dualité, car sinon, on finit par l’unité d’ensemble et donc, où la compétition n’est plus, théoriquement et pratiquement, prédominante sur la coopération.

On peut résumer en écrivant que ; dans un même espace fermé ou intégré, c’est obligatoirement la coopération qui domine la compétition, alors que dans un espace ouvert ou non intégré, c’est obligatoirement la compétition qui domine la coopération.

Les conséquences du changement de relations de causalité.

Ici, (merci maQIavel) on pourrait faire appel à Machiavel (le vrai !) qui a très bien analysé la différence, c’est à dire, qu’il remarque parfaitement, qu’autant à l’intérieur d’une structure intégrée la loi du plus fort est de type collégiale et s’impose, théoriquement du moins, à tous ses éléments constitutifs, autant dans le cas de structures en compétitions la loi du plus fort se fait entre les éléments en présence. Autrement dit, dans le cas où la compétition est prédominante, il n’existe pas de lois collégiales s’imposant à des membres qui peuvent certes traiter des accords de coopération ponctuels, mais qui ne sont pas tenus de les respecter, tout simplement parce qu’il n’existe pas de force collégiale s’imposant à eux même, mais d’un rapport de force direct entre eux. C’est le chaos permanent. Là aussi, aucune observation, tant dans le monde animal et surtout dans l’histoire de l’humanité ne contredit cet état de fait (la situation internationale actuelle l’illustre le plus totalement !). En réalité, il s’agit là de l’application, stricto sensu, du principe du tiers exclu et de non contradiction qui domine la réalité physique de manière absolue. Nier ce principe ne le supprime pas, mais le rend tout simplement encore plus violent.

Ainsi, de tout temps, de toutes époques, aucun accord mettant en présence des nations souveraines n’a tenu. Après la 1ère guerre mondiale, la communauté internationale avait crée la société des nations qui fut une structure carrément morte née et si celle qui lui succéda après la 2ème guerre mondiale semble résister encore, ce fut uniquement en raison des armes nucléaires, c’est à dire, la présence d’une force menaçant la survie de ses propres utilisateur. Toutefois, l’histoire nous montre bien qu’aucun des dirigeants des quelques puissances disposant de l’arme nucléaire, ont obligation de respecter le « droit » international, mais uniquement ceux qui n’en disposent pas, sauf s’ils bénéficient de la protection d’une puissance nucléaire.

En d’autres termes, tant que la force n’est pas collégiale, c’est à dire, tant que les peuples veulent coûte que coûte conserver leur pseudo souveraineté nationale (nous verrons plus tard pourquoi elle est fausse, inutile et nuisible), le monde sera sous la coupe du système mafieux qui le gouverne depuis Babylone de manière absolue, car le système capitaliste est né non pas avec l’avènement de l’industrialisation, mais au néolithique dans son principe directeur, soit, la prédation humaine sur le temps de vie d’autrui. Simplement, sa domination totale ne s’est pas faite d’un coup, elle pris du temps, beaucoup de temps, c’est à dire, fut longtemps en concurrence avec les sociétés dites sans états telles que Clastres (anthropologue), entre autres, a pu les observer et qui perdureront jusqu’à nos jours dans des zones relativement isolés.

Conclusion

Ce qu’il ressort de ce premier volet, c’est que tant l’histoire humaine que la logique ou raison pure, disent toutes les deux, qu’il est impossible d’affirmer pouvoir instaurer des relations de paix durables entre pays, dont les citoyens défendent la souveraineté de leur nation via leur dirigeants, tant politique qu’économique, mais uniquement des moments de paix, dans un état ou menace de guerre permanent, donc, en état d’urgence permanent, condition d'existence du système capitaliste. Ceci, parce qu’un monde en compétition prédominante interdit de facto l’obligation pour ses protagonistes de devoir respecter le droit international, tel que définit sur la base de la déclaration universelle des droits humains. Car par définition, le devoir est une obligation et en aucun cas une liberté pour ceux qui y sont soumis. Dans le prochain article, nous verrons que la subordination des peuples, donc, leur renoncement à leur souveraineté absolue qu’implique la mise en place d’une force collégiale, reposant non pas sur la volonté de dirigeants politique, mais sur la volonté des citoyens eux même et à cette seule condition, n’implique pas une gouvernance mondiale issue du système actuel, mais bien au contraire, sa déchéance pure et simple. Que la politique actuelle des dirigeants occidentaux (surtout économique) ne peut s’expliquer de manière rationnelle, seulement par la peur de leur propre déchéance et l’avènement d’une société humaine responsabilisée et libéré, c’est à dire, d’une société passant de l’état de guerre ou d’urgence permanent, vers l’état de paix permanent. Ensuite, nous étudieront les modalités pratiques d’une telle société, c’est à dire, des moyens nécessaires à sa réalisation, se fondant sur ceux existants sans devoir ni en supprimer, ni en créer de nouveaux, mais seulement d’en changer les réglages. Comme nous le verrons, techniquement, ce changement peut s'opérer "du jour au lendemain" et seule la prise de conscience que cela exige l'interdit.

(1) lire l'article droits, devoirs et responsabilité

162 r�actions

Commentaires: 0 | 100

M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 15:15

Robespierre me semble un mauvais choix, mais soit ! Il ne s’agit de m’opposer � vous,... mais simplement d’ajouter mon de vue. Avant que les �tres humains arrivent � fonctionner en : moi et l’autre, il faudra encore de longues ann�es et celle-ci commence d�s le berceau avec l’�ducation des enfants. Mais bon, depuis le fameux Livre Noir, peu de chance que l’on revienne en arri�re d�s demain.

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Sparker 12 mai 2018 15:36

"le fait que la comp�tition exige un environnement ouvert, divis�, alors que la coop�ration exige un environnement relativement ferm�, donc, o� les �l�ments sont contenues dans le m�me ensemble et non plus s�par�s.«

C’est un peu ce qui arrive � l’humanit� pour laquelle le »monde« (plan�te) � longtemps �t� ouvert et � conqu�rir donc comp�tition pour les meilleures places et monopoles.
De nos jours cet espace devient ferm� � cause du nombre d’humains et aussi que tout ou quasiment � �t� conquis et est poss�d�.
Ca me rappelle un peu la »th�orie« de Theillard de Chardin et sa terre pleine qui fera se retourner le ph�nom�ne humain sur lui m�me.
En th�orie la mutation est en cours en passant d’un monde qui parraissait ouvert et plein de promesses et ce m�me monde qui nous apparait ou va nous apparaitre comme ferm� et par l� inqui�tant dans sa promesse.
Existera t-il une approche du r�el qui sera consciliable avec la survie dans un monde »ferm�" m�me coop�ratif ou faudra t-il se tourner r�solument vers l’espace pour retrouver une r�alit� ouverte (par exemple) ?

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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 15:43
  
  @Sparker
  
  Freud �tait pourtant clair, je vous offre un nouvel espace � conqu�rir : votre inconscient. Si chacun s’occupait d’abord de son propre espace, il y aurait quelques chances de l’ouvrir aux autres et de s’enrichir en �changeant. Non, comme cela s’observe sur tous les r�seaux sociaux, il s’agit d’avoir le dernier mot. Ce qui risque bient�t de m’�tre reproch�,... Donc effectivement, l’humain fonctionnera de plus en plus dans un autisme g�ographique et psychique.
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 15:51
  
  @Sparker
  
  Ce premier article explique la dynamique de la relation entre coop�ration et comp�tition, se basant sur toutes les observations faites par les plus grands scientifiques de la question, mais qui en faisaient une analyse s�par�.
  
  Normalement, c’est du niveau d’une th�se et donc, exigerait un livre pour le d�velopper, mais d’une part je n’ai pas le temps ni la volont� et d’autre part, ce n’est que le d�but.
  
  Ceci n’est que l’introduction de l’essai et non sa conclusion !
  
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- Sparker 12 mai 2018 15:54
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Certainement que la conqu�te de son espace int�rieur propre sera absolument n�cessaire aux humains futurs (cela devrait d�j� l’�tre mais c’est encore bien rare) sous peine de ne pouvoir transformer les tenant et aboutissant de son expression et l’objet de son action.
  Bon nous sommes plein de ressources et de surprises mais c’est vrai que sans stress existenciel nous ne bougeons pas beaucoup de nos pseudos acquis, wait and see, je ne saurais dire mieux pour le moment.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 15:58
  
  @Sparker
  
  Imaginez si Freud avait r�ussi son pari : ce serait : LE JERUSALEM CELESTE. H�laaas, l’individu est ce qu’il est, un animal � peine plus �volu�....et encore, il suffit d’observer une meute de loups, ils sont bien plus fut�s que l’humain.
  
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- kalachnikov 12 mai 2018 17:09
  
  @ M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  Visiblement, d�couvrir l’autre frappadingue vous a fait du bien. Mais au fond, pourquoi ne pas rester au fond de votre plumard � tripper � donf ? Parce que vous voulez imposer � tous votre v�rit�. Vous avez l’esprit de comp�tition - et naturellement, l’esprit de chicane qui va avec - mais comme dans la soci�t� il n’est pas permis de dire de but en blanc ’je vais te niquer’, vous d�guisez �a sous des grimaces altruistes, de grands airs, etc.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 17:17
  
  @kalachnikov
  
  en bonne freudienne, je vous r�pondrai que vous ne faites que projetez. Non, j’observe le monde comme un patient malade et ainsi imagine des portes de sorties. Vous m’aurez encore un certain temps dans les pattes parce que mon immeuble est en travaux. J’aime voir comment un groupe de personnes assez restreint (Agora.VOX compte plus ou moins une centaine de personnes) �voluent au fil de l’actualit�. J’ai moi-m�me travaill� dans une cr�che pour voir comment s’organisent des bambins en situation de groupe (domination, relation,....tr�s instructif). Et donc Agora pour moi est un excellent laboratoire. et mine de rien, j’engrange,...parce que je vous le rappelle, vous n’�tes pas seul sur Agora.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 17:19
  
  @kalachnikov
  
  avouez que votre description de vous m�me est « presque » parfaite. Sauf que vous n’en avez pas conscience....
  
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- kalachnikov 12 mai 2018 18:36
  
  @ M�lusine
  
  Jeudi, vous vouliez servir de guide ; vendredi, vous ne vouliez parler qu’� des gens de votre niveau et pas � tous. Et donc, aujourd’hui une nouvelle fredaine.
  Au-del� de ces habillages de circonstance, le commun est que vous ne vous prenez pas pour une merde par rapport aux autres, madame l’animal gr�gaire de comp�t qui aime bien se comparer et se situer intuitivement.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 18:41
  
  Oui j’ai �t� form�e en Centre de guidance. Mais comme le dit Bouddha : tu ne peux pas voyager sur le chemin sans �tre toi-m�me le chemin ;
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 16:07

Je suis seulement certaine d’une chose, les vieilles recettes ne marcheront plus. D�pass� le communisme et heureusement le nazisme. Si une d�couverte qui aurait pu changer la face du monde n’a pas �t� exploit�e, elle finit toujours par revenir d’une autre mani�re. La civilisation n’a jamais march� � reculons. Except� pour mieux �voluer. Les solutions « politiques » sont caduques« . Quant aux �conomiques, si elles consistent � enrichir de plus en plus les plus riches et appauvrir les »laisser pour compte". Perso, j’appelle cela une guerre qui ne dit pas son nom.

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La Voix De Ton Ma�tre 12 mai 2018 16:45

Suffit d’observer les animaux dans la brousse.

- Comp�tition absolue pour savoir qui est le chef qui a acc�s au harem
- Coop�ration absolue lors de la chasse
- Comp�tition lors de la bouffe, le chef mange le premier

Le choix de l’un ou de l’autre est un bon sens qui �merge de d�cisions tout � fait pratiques.
Si les membres du groupe s’en remettent � la mauvaise solution, ils le paient t�t ou tard.

- Si les animaux ne coop�rent pas lors de la chasse ils mourront de faim
- Si le chef mange trop il deviendra trop gros pour chasser, les autres trop faibles
- Si le chef n’est pas clairement d�fini, ils d�penseront trop d’�nergie � se chamailler
- Si le chef abuse de son pouvoir, il sera tu� par son groupe, voire cannibalis�

Si les hommes ne savent plus choisir quand se mettre en comp�tition et quand se mettre en coop�ration c’est tout simplement car ils ne sont plus affect�s promptement et directement par les cons�quences de leur choix.

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- foufouille 12 mai 2018 16:50
  
  @La Voix De Ton Ma�tre
  
  sauf que les animaux n’ont ni armes ni police ............
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 17:20
  
  @La Voix De Ton Ma�tre
  
  c’est exact, et pr�dominance de l’un sur l’autre ne veut pas dire suppression, mais sens d’un ordre dict� par l’efficacit�.
  
  Surtout, je d�cris une relation dans son principe g�n�ral, donc, valable partout, c’est � dire, qu’entre groupes distinct, la comp�tition domine, alors qu’� l’int�rieur d’un groupe, c’est la coop�ration qui commande et vos exemples ne disent pas le contraire.
  
  Maintenant, ne croyez vous pas que l’humanit� ne se trouve pas directement impact� par les cons�quences de ses choix ? Ce que je dis dans l’article, et comme vous le dites dans votre commentaire, la condition de la coop�ration, c’est la collectivisation de la force, or, ce que propose Trump est exactement le contraire, mais o� personne finalement dont les dirigeants russes entre autres, ne s’opposent car il est impossible de parler d’une collectivisation de la force tout en affirmant sa propre souverainet�. Cela en raison du principe de non contradiction qui est inviolable dans la r�alit� physique, sauf dans l’imaginaire !
  
  Une alliance ponctuelle n’est pas une coop�ration structurelle et Trump vient de le rappeler en se torchant le cul avec l’accord sur le nucl�aire iranien. Comme tous les dictateurs se sont torch�s le cul depuis le d�but avec la charte des droits de l’humain qu’ils ont pourtant sign�s.
  
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- La Voix De Ton Ma�tre 12 mai 2018 18:43
  
  @foufouille
  
  sauf que les animaux n’ont ni armes ni police ............
  
  L’arme est un outil, on a vu des singes les utiliser
  
  Quant � la police, elle se trouve chez des esp�ces vivant en grandes communaut�s. Les fourmis par exemple. Une fourmi s’en allant travailler � l’ext�rieur de la fourmili�re est bannie � jamais du centre de celle-ci. Elle est refoul�e par des fourmis d�di�es.Les fourmis ont aussi des arm�es, des infirmiers qui ramassent les bless�s.
  
  @ Herv�
  
  je d�cris une relation dans son principe g�n�ral, donc, valable partout, c’est � dire, qu’entre groupes distinct, la comp�tition domine, alors qu’� l’int�rieur d’un groupe, c’est la coop�ration qui commande et vos exemples ne disent pas le contraire.
  
  Tout � fait et sous l’angle du potentiel humain capable de cr�er maintes nouvelles coop�rations et comp�titions. Cependant la comp�tition pour �tablir un chef de groupe cela contredit momentan�ment le r�le uniquement coop�ratif.
  Et j’appr�cie l’article car je pense aussi qu’il faut commencer au commencement, rien que pour s’assurer qu’on a pas omis une chose fondamentale qui remet en cause une id�e que l’on pensait acquise.
  
  Maintenant, ne croyez vous pas que l’humanit� ne se trouve pas directement impact� par les cons�quences de ses choix ?
  
  Non, d’ailleurs je me suis demand� quel go�t pouvaient avoir les dirigeants du FMI qui se sont syst�matiquement tromp�s et ont fait tomber dans la mis�re des pays entiers. Le FMI ne se pr�sente-t-il pas comme l’arch�type de la coop�ration dans notre syst�me ?
  
  Ce que je dis dans l’article, et comme vous le dites dans votre commentaire, la condition de la coop�ration, c’est la collectivisation de la force,
  
  Vous ne changerez pas la nature de l’animal en changeant son environnement. Avec tout notre savoir, un requin survit une semaine en captivit�, et on ne peut �tre que qu’ulc�r� par l’agonie de cette bete pourtant si monstrueuse.
  Les communistes se chamaillent jusqu’� ce que le moins sinc�re d’entre eux prenne le pouvoir et applique l’inimaginable contraire � l’esprit de d�part.
  
  or, ce que propose Trump est exactement le contraire, mais o� personne finalement dont les dirigeants russes entre autres, ne s’opposent car il est impossible de parler d’une collectivisation de la force tout en affirmant sa propre souverainet�. Cela en raison du principe de non contradiction qui est inviolable dans la r�alit� physique, sauf dans l’imaginaire !
  
  Il faudrait recenser tous les clans tous leurs int�r�ts dans la bouillie. Trump n’est d’ailleurs qu’une cons�quence de la col�re contre ses pr�d�cesseurs dont les politiques n’ont jamais pu �tre corrig�es et qui vivent dans la luxure aujourd’hui. On en revient � la cons�quence prompte et directe qui �vite � un syst�me de d�g�n�rer ne trouvez-vous pas ?
  
  Une alliance ponctuelle n’est pas une coop�ration structurelle et Trump vient de le rappeler en se torchant le cul avec l’accord sur le nucl�aire iranien. Comme tous les dictateurs se sont torch�s le cul depuis le d�but avec la charte des droits de l’humain qu’ils ont pourtant sign�s.
  
  L� vous rentrez trop dans le d�tail. Trump ne sait de l’Iran que ce que ses conseillers inamovibles ont bien voulu lui dire. Les conseillers : encore la cons�quence de la tol�rance de l’inefficacit�. C’est le m�me exc�s de tol�rance que tous les extr�mes d�noncent, manipul�es par des petits chefs ill�gitimes pour leur propre compte.
  Notre soci�t� est devenue une bouillie car elle est intrins�quement incapable de rejeter les mauvais leaders elle en est m�me devenue incapable de diff�rencier le bon du mauvais
  
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- foufouille 12 mai 2018 19:07
  
  @La Voix De Ton Ma�tre
  
  aucun singe n’utilise de fusils pour d�fendre son chef.
  l’exemple des fourmis est encore plus nul.
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 21:30
  
  @La Voix De Ton Ma�tre
  
  je vais t�cher de publier le second chapitre rapidement pour vous �clairer un peu plus sur le fond et ensuite les autres qui donneront une solution, fond� comme le titre l’indique sur le principe de responsabilit�.
  
  En tous les cas, content d’avoir un interlocuteur valable qui a pris le temps de lire et qui r�fl�chit par lui m�me et non de faire le perroquet des autres.
  
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- kalachnikov 12 mai 2018 21:50
  
  @ La Voix De Ton Ma�tre
  
  Votre argumentation n’est pas valide parce que, dans la nature, les organisations sont tr�s vari�es et propres � chaque esp�ce. D’autre part, les membres du groupe ne s’en remettent jamais � une mauvaise solution puisqu’ils sont guid�s par l’instinct. L’Homme a le privil�ge de pouvoir se tromper.
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 22:19
  
  @kalachnikov
  
  l’article traite de la relation entre coop�ration et comp�tition d’une mani�re g�n�rale et sur ce point, vous ne pourrez la contredire qu’en faisant passer l’exception pour la r�gle. Sur ce point, je d�fi n’importe qui de faire une r�futation invalidant la dynamique de la relation de causalit�.
  
  Par contre, il vous manque de lire le prochain article pour comprendre que si l’humain peut se tromper, dans le cas qui nous int�resse, c’est � dire, le syst�me actuel, il ne s’agit pas d’erreur, mais d’une solution guid� par le calcul et d’une redoutable efficacit� pour ceux qui l’ont pens�s selon leur int�r�t propres, � savoir, les pr�dateurs humains et qui sera l’objet de l’article � venir.
  
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- kalachnikov 12 mai 2018 22:44
  
  @ Herv� Hum
  
  Je ne crois pas du tout � la coop�ration, cette notion de coop�ration me semble relever de l’id�alisme et de l’utopie. Que cela soit chez des peuplades ’primitives’ (sic) ou chez nous, il n’y a pas de coop�ration, tout fonctionne sur le mode de l’obligation et de l’ob�issance � l’ordre.
  Peut-�tre est-ce li� au fait que le terme de coop�ration est inappropri� ? Confusion entre coop�ration entendue comme oeuvrer dans un but commun en tout conscience, par adh�sion �clair�e et coop�ration tenue comme existante parce que les moyens sont mis en commun mais souvent contre la volont� de l’individu ou par automatisme ?
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 23:19
  
  @kalachnikov
  
  je comprends ce que vous dites et j’ai �cris l’article en connaissance de cause. Mais comme je l’�cris, il est impossible de tout traiter dans un seul article. Il vous faudra donc attendre la suite.
  
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- La Voix De Ton Ma�tre 12 mai 2018 23:36
  
  @kalachnikov
  
  Ha, un petit probl�me survient pour vous si l’on vous peut d�montrer une forme d’ instinct de coop�ration.
  
  Et a vrai dire... je ne sais pas par ou commencer sur ce sujet !
  
  Allez au pif : conditions de coop�ration des rats dans le dilemme du prisonnier
  
  D’autre part, les membres du groupe ne s’en remettent jamais � une mauvaise solution puisqu’ils sont guid�s par l’instinct.
  
  Je ne sais pas si vous surestimez les capacit�s cognitives de l’homme ou si vous sous-estimez celle des animaux (que vous qualifiez opportun�ment d’instinct). Le consum�risme n’est-il pas l’exploitation d’un instinct animal de l’homme ?
  Dans les deux cas je peux vous guider vers la litt�rature scientifique appropri�e.
  
  Je ne crois pas du tout � la coop�ration
  
  Dit-il sereinement assis sur une chaise qu’il n’a pas produit, avec un alphabet que personne n’a �t� contraint � inventer par l’internet qui n’a pas �t� le fruit du travail d’un seul homme
  
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- La Voix De Ton Ma�tre 12 mai 2018 23:37
  
  @Herv� Hum
  
  En tous les cas, content d’avoir un interlocuteur valable qui a pris le temps de lire et qui r�fl�chit par lui m�me et non de faire le perroquet des autres.
  
  C’est la seule issue possible
  
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- kalachnikov 13 mai 2018 00:19
  
  @ La Voix De Ton Ma�tre
  
  De fa�on g�n�rale, je rejette toute comparaison entre la condition animale et l’homme parce que je tiens la culture comme une anti-nature par essence. De plus, que vous observiez certains comportements chez une esp�ce* n’implique pas que ce comportement se retrouve chez l’homme. L’existence des imp�ratifs basiques (interdits du meurtre, du mensonge, etc...) implique qu’une relative paix sociale n’existe que par la coercition et que la nature humaine semble naturellement peu encline � la coop�ration mais plut�t � la rivalit�.
  
  Concernant votre exemple (consum�risme), il ne s’agit pas de l’exploitation d’un instinct mais du d�voiement de celui-ci, de sa captation dans un but �tranger � la nature.
  
  Pour le reste, il faut s’entendre sur l’acception du terme coop�ration. Si pour vous la petite main chinoise coop�re, semble-t’il, je pense plut�t qu’elle subit.
  
  *dans une situation particuli�re et artificielle, du reste.
  
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- kalachnikov 13 mai 2018 00:20
  
  @ kalachnikov
  
  edit : comprendre ’la petite main chinoise qui fabrique la chaise’
  
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- La Voix De Ton Ma�tre 13 mai 2018 01:30
  
  @kalachnikov
  
  Je serai d’accord avec vous � une condition : que l’on ne raisonne pas au m�me niveau de granularit�.
  
  Si l’instinct, la raison, le comportement... seraient d�j� des concepts trop �lev�s au point que l’on doive redescendre dans le domaine simple de la causalit�. Alors l� nous serions d’accord. Pauvres esclaves de nos esprits limit�s que nous sommes.
  
  Mais je ne crois pas que l’on puisse jouer sur les deux niveaux et r�sumer que tout est coercition. L’�change que nous avons nous est-il vraiment impos� ? D’un point de vue causal OUI, mais d’un point de vue de domination �conomique : NON
  La m�re qui s’occupe de son enfant le fait-elle parce qu’elle est forc�e ? D’un point de vue cognitif OUI, mais d’un point de vue de pouvoir NON
  
  Concernant votre exemple (consum�risme), il ne s’agit pas de l’exploitation d’un instinct mais du d�voiement de celui-ci, de sa captation dans un but �tranger � la nature.
  
  C’est...ce que j’entendais par exploitation
  
  Pour le reste, il faut s’entendre sur l’acception du terme coop�ration. Si pour vous la petite main chinoise coop�re, semble-t’il, je pense plut�t qu’elle subit.
  
  Bien �videment, mais on raisonne d�j� � un niveau encore sup�rieur, celui de l’�conomie dans lequel l’argent joue le r�le de traducteur imparfait. Argent qui n’existe pas dans le r�gne animal et qui alt�re notre relation � la valeur (� cause par exemple des �conomies d’�chelles ou simplement car l’argent peut �tre appr�ci� pour ce qu’il est)
  La vie meilleure que recherchent les ouvriers de Foxconn (ceux des filets anti suicide en Chine) est � mon avis plus permise par les r�ves des paysans regardant la t�l� puis devenus ouvriers que par la force des dirigeants de l’usine qui profitent de cette masse de r�veurs na�fs qui iront se suicider face � l’impossibilit� d’expliquer l’arnaque � leur famille au village.
  Comment expliquez-vous que des migrants aient en pleine conscience d�pens� des dizaines de milliers d’euros en passeurs pour venir chez nous ?
  Autrefois les forts exploitaient les faibles avec une �p�e ou un fouet. Aujourd’hui les forts exploitent la na�vet� et l’ignorance des faibles. N’est ce pas un argument (os� mais) valable par rapport � votre simple coercition du fort ?
  
  Encore une fois, je le r�p�te. notre soci�t� est devenue incapable de diff�rencier le bon du mauvais ce qui ouvre la voie aux opportunistes psychopathes qui gouvernent et emploient.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 09:26
  
  @La Voix De Ton Ma�tre et kalachnikov
  
  le prochain article que je vais t�cher de proposer rapidement � la publication, traite de la diff�rence entre l’humain et l’animal et r�pond � vos interrogations. Car en effet, l’humain est un r�gne en lui m�me et donc, limite d’autant la comparaison, car ce qui est l’exception dans le r�gne animal, devient la r�gle dans le r�gne humain. Notamment, la perversion o� donc, celle ci est naturelle chez l’humain, mais n’est pas pour autant une fatalit� et on verra pourquoi !
  
  Je ne d�veloppe pas le sujet, je vais � l’essentiel, car sinon, il me faudrait, l� aussi, un livre entier pour �tayer la th�se. Mais ce que j’�cris est suffisamment solide pour r�pondre � toutes tentatives de r�futation. Qui sont toujours les bienvenue, puisque servent � appuyer la th�se et non la d�molir.
  
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- kalachnikov 13 mai 2018 15:33
  
  @ La Voix De Ton Ma�tre & Herv� Hum
  
  Les ouvriers de Foxconn ont-ils une conscience de classe ou bien sont-il individualistes, poursuivant le r�ve de l’american way of life ?
  
  Il me semble que le communisme est th�oriquement un id�al de coop�ration, non ? Et qu’auparavant il y a conscience de classe et lutte des classes ?
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 15:47
  
  @kalachnikov
  
  Il y a deux mani�re de cogiter. La premi�re, en restant dans le syst�me tel qu’il existe aujourd’hui, la seconde, en partant d’un syst�me m� par un ordre directeur diff�rent.
  
  Pratiquement tout le monde, des pseudos communistes aux pseudos socialistes lib�raux et autres anarchistes, tous ce beau monde se disant anti-capitalistes, r�fl�chissent en restant dans le syst�me et surtout pas en partant d’un autre syst�me. Pourquoi ?
  
  Parce que sinon, toute leur argumentation anti-mondialiste s’�croule. Et aussi, parce que ces gens l� ne lutte pas ou plus pour un id�al de coop�ration, mais pour conserver le peu de privil�ge acquis par le colonialisme qu’il leur reste. R�sultat ? Ce sont les pires r�actionnaires, conservateurs et d�fenseur du syst�me capitaliste.
  
  Mais tout cela sera abord� dans le 3�me chapitre � venir !
  
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- kalachnikov 13 mai 2018 21:14
  
  @ Herv� Hum
  
  Ce que je sugg�rais, voulais signifier, c’est que des id�aux sympathiques (le communisme) n’ont pas manqu� mais qu’ils sont toujours rattrap�s par la r�alit� de la condition humaine. Je ne crois personnellement pas � l’altruisme, � une sorte de conscience de l’esp�ce (je ne sais pas m�me comment formuler tellement cela me semble saugrenu), que l’individu dans une soci�t� organis�e puisse fonctionner autrement que par le ch�timent ou la r�compense, etc.
  
  Bon, je ne sais si c’est mon c�t� lucide ou pessimiste.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 22:15
  
  @kalachnikov
  
  par d�finition, l’altruisme est un acte gratuit et l’�conomie n’est pas un acte gratuit, mais dict� par des r�gles d’�changes. dans le syst�me actuel, cet �change est d�s�quilibr�, car fait pour permettre de pr�lever un imp�t dans tous les �changes, non pas pour la collectivit�, mais surtout pour une minorit� propri�taire de l’�conomie. Sans cela, l’enrichissement sans limite ne serait pas possible.
  
  Autrement dit, le principe de ch�timent et de r�compense n’est pas supprim�, mais sur la base de l’�quilibre et non plus du d�s�quilibre structurel. Les nations son le fruit de ce d�s�quilibre, construites pour justifier cet imp�t inique. Sans cet imp�t, la propri�t� particuli�re de l’�conomie n’a plus de raison d’�tre, n’existe plus en propre et les fronti�res gard�s par des arm�es ne sont alors plus n�cessaire et ce, sans que personne n’ait � craindre d’�tre envahit par les migrants, mais au contraire, de voir toute cette immigration retourner chez elle.
  
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- L’enfoir� 14 mai 2018 15:19
  
  @Herv� Hum bonjour,
  
  J’ai aim� le premier volet. Je me le suis accapar� en commentaire de mon dernier billet.
  Je suis curieux de lire la suite.
  La comp�tition existe d�s le plus jeune �ge.
  Elle se continue au boulot et aussi dans le sport.
  « Que le meilleur gagne » est une r�flexion tellement courante que l’on ne se rend plus compte de ce qu’elle comporte comme points n�gatifs d’�tre le meilleur.
  
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- kalachnikov 14 mai 2018 15:29
  
  @ Herv� Hum
  
  L’altruisme passe pour un acte gratuit, d�sint�ress� mais il n’en est rien. L’individu est toujours m� par des pulsions �go�stes qui sont en fait li�es au Vouloir-vivre. Donc, votre doctrine, si elle ne repose que sur des imp�ratifs conscients,rationnels et occulte la r�alit� interne de l’Homme fera le m^me parcours que des th�ories s�duisantes comme le communisme, l’id�al fran�ais, etc. Elle se fera rattraper t�t ou tard par la r�alit� la plus �l�mentaire, celle de la Nature.
  
  J’ai bien dit ’si’, je n’ai pas pris connaissance de la suite de vos travaux puisque vous ne les avez pas encore publi�s.
  
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- Herv� Hum 14 mai 2018 15:46
  
  @kalachnikov
  
  La base th�orique de mes travaux est toute enti�re contenue dans la d�finition de la responsabilit�
  
  � savoir
  
  la capacit� de r�pondre de ses droits et devoirs envers autrui.
  
  Cela veut dire qu’il n’existe pas de responsabilit� vis � vis de soi. Vis � vis de soi, il n’y a que la souverainet�, ceci, parce que vis � vis de soi on est juge et partie et c’est la d�finition m�me de la souverainet�.Idem pour la propri�t�, on est propri�taire de son temps de vie en raison de la souverainet� de soi m�me, mais vivant en soci�t�, cette souverainet� est conditionn� � celle d’autrui et ne peut s’exercer sur autrui... Dans un syst�me en �quilibre, mais uniquement en d�s�quilibre. Reste alors � d�finir les r�gles qui en d�coule et je vous l’accorde, c’est pas facile � voir, pour cela il faut certains outils que vous ne connaissez pas et que je n’ai pas r�ussi � expliquer. Peut �tre par ces articles !
  
  Les attendues sont si ph�nom�naux qu’il me faudrait sans doute beaucoup encore �crire et d’autres de poursuivre le d�veloppement, mais tout, absolument tout ne fera que suivre ce principe d’�quilibre, qui d�coule du principe qui fait tenir l’Univers physique lui m�me dans toutes ses dimensions observables.
  
  Autrement dit, ce principe ne peut pas se faire rattraper par la r�alit� la plus �l�mentaire qu’est la nature, car c’est en propre la r�alit� la plus �l�mentaire de la nature... La respiration !
  
  @ l’enfoir�
  
  merci, cela fait toujours plaisir � lire !
  
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- Hecetuye howahkan 14 mai 2018 17:50
  
  @kalachnikov
  
  Salut kalaschikov...
  
  propos int�ressant dans d’autres post .
  
  pour celui ci, je dirais ceci, croire veut dire : je ne sais pas...
  
  au lieu de dire je crois que, nous tous devrions peut �tre dire : ben je ne sais pas..mais non il faut � tout prix que l’on transforme je ne sais pas en je crois..je sais pourquoi long a rentrer dedans car il s’agit de vision du programme de la pens�e et pas de r�flexion ni d’analyse
  
  la notion de coop�ration n’est pas dans le seul programme qui nous reste dans le cerveau - psych�..ni la notion de voler non plus, ni la notion de soci�t� hi�rarchique financi�re donc sociale et r�ciproquement , ni la notion de guerre, ni la notion de torture etc
  
  la pens�e est une calculatrice plus ,moins, =, diviser, multipli�, totaliser, retrancher
  elle est aussi un radar pour piloter le corps
  elle est aussi un analyste qui va analyser ce qu’elle a d’abord m�moris� pour projeter le futur, pas n’importe quel futur celui que chaque pens�e ou « moi je » veut, le tout sera bas� principalement sur des d�sirs devenus inconscient dans leur majorit� car nous avons perdu des capacit�s autrefois en marche chez les humains cr�ant ces zones que nous ne percevons plus avec la pens�e superficielle qui est tout ce qui nous reste en marche conscient, et encore est on conscient de tout ? non et loin de l� tr�s loin de la..bas� sur le d�sir dont la peur, couple maudit et pervers..etc
  
  le ma�tre a r�ussi mais cela ne lui fut pas difficile � persuader l’immense majorit� des humains que vivre c’est combattre..il a appelle cela comp�tition car �a cache la principale action de cela, tout en sachant tr�s bien lui le ma�tre, et oui d�sol� mais le ma�tre est bien moins « con » voir pas « con », pervers narcissique donc un danger pour pas mal oui mais mois « con » que nous c’est sur.. car il sait lui que c’est de la foutaise, il sait lui que cela �limine et divise la masse tout en unissant le sommet...
  
  c’est terrible de ne pas avoir connu la fait de collaborer spontan�ment, naturellement ..c’est g�nial , mais cela qui est un effet secondaire de l’�tat mental ne peut se produire par l’action de la pens�e...elle est une cons�quence naturelle de l’ouverture de nos autres capacit�s en pannes..
  
  on les a tous potentiellement, elles ne sont pas analytiques donc ne cr�ent pas de divisions , de hi�rarchie .
  
  coop�rer de cette fa�on ne se pense pas, cela se fait , cela ne se d�cr�te pas non plus, n’est pas un id�al etc bref est totalement hors de port�e pour nous pour le moment et ce depuis des mill�naires quand nous avons pris la mauvaise route ,...cela am�ne entre autre une s�curit� relative physique que nous n’aurons jamais par l’�limination bien sur , c’est d’ailleurs la seule s�curit� qui peut exister dans la vie..elle est physique...organiser par la sommes des comp�tences et int�r�t la survie devient alors un vrai jeu, non pas d’enfants mais de vrais adultes..ce que nous ne sommes plus non plus ..
  
  bon etc..y’ en a pour des lustres..
  
  bon bon [email protected] un de ces jours
  
  je te salue
  
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- kalachnikov 14 mai 2018 22:08
  
  @ Hecetuye howahkan
  
  Ce que vous appelez pens�e analytique est en fait une hypertrophie de l’intellect qui est vraisemblablement g�n�r�e par le conditionnement social. Quand on dit hypertrophie, cela signifie
  atrophie d’un autre c�t�. La diffamation de la pens�e, comme Keim s’en est fait le sp�cialiste, rel�ve de l’incantatoire et ne m�ne nulle part.
  
  Pour comprendre :
  
  http://www.roseaupensant.fr/pages/textes/textes-sur-la-culture/mead-moeurs-et-sexualite-en-oceanie.html
  
  http://classiques.uqac.ca/classiques/mead_margaret/moeurs_sexuelles/moeurs_ sexuelles.html
  
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- Hecetuye howahkan 14 mai 2018 22:46
  
  @kalachnikov
  
  non pas du tout...
  
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- Aita Pea Pea 14 mai 2018 23:13
  
  @Hecetuye howahkan
  
  T’as beau tartiner...continue si �a te fais plaisir.
  
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- kalachnikov 14 mai 2018 23:18
  
  @ Hecetuye howahkan
  
  Je dois dormir, je suis naze. Bonne nuit.
  
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- Aita Pea Pea 14 mai 2018 23:33
  
  @Aita Pea Pea
  
  Ta tol�rance d’apparat n’est qu’une suffisance.
  
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- Hecetuye howahkan 14 mai 2018 23:43
  
  @kalachnikov..
  
  pas de probl�mes bonne nuit...
  
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- Aita Pea Pea 14 mai 2018 23:55
  
  @Hecetuye howahkan
  
  Agents sionistes...parano Soralien tu es ...mdr
  
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- Hecetuye howahkan 14 mai 2018 23:58
  
  @Hecetuye howahkan
  
  Salut Herv� d�sole d"empi�ter autant cela me semblait important..vire tout si tu veux ,cela me va totalement bien [email protected]+ pour a suite
  
  amicalement
  
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- Aita Pea Pea 15 mai 2018 00:05
  
  @Hecetuye howahkan
  
  Ahhh ...la censure des grandes plaines... Suis polyn�sien en partie ,du dur.
  
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- Herv� Hum 15 mai 2018 08:56
  
  @tous
  
  j’ai bloqu� arioul car il n’est pas l� pour discuter du sujet, mais uniquement pour vocif�rer envers un commentateur. Que ce dernier le lui rende par r�action est une chose, mais celui ci est d’abord venu pour poster un commentaire traitant du sujet. Peu importe la qualit�, c’est l� condition pour commenter.
  
  Je me contrefous des raisons, tout autant que je ne bloque personne quel que soit son commentaire d�s l’instant o� il est l� pour parler de pr�s ou de loin du sujet et non pour venir r�pandre son vomi.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 15 mai 2018 09:02
  
  @Herv� Hum
  
  Arioul ne s’en cache. Un trolleur qui vient de venger de se sentir : con.....
  
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Jean Roque 12 mai 2018 17:06

LA M�FIANCE INN�E DE L’ALT�RITE CHEZ LES ENFANTS

exp�rience marrante de sociologie

LA S�LECTION DE LA PARENT�LE

sociobiologisme. 1970 Hamilton et Price

Aucune esp�ce animal n’a de groupe social faisant toute l’esp�ce, contraire � la s�lection concurrentes de l’organisation sociale la meilleure possible.

� Le degr� d’altruisme entre des animaux d’une m�me esp�ce est d�termin� par la proportion de g�nes communs (des colonies d’amibes en lutte antibiotique aux mammif�res). Les insectes qui partagent la m�me reine forment la m�me soci�t�. La s�lection naturelle et la soci�t� agissent donc r�ciproquement g�n�tiquement... �

Ex, en Europe les fourmis sud am�ricaines, d’origine donc mono-soci�tales (une seule fourmili�re) se sont diff�renci�s g�n�tiquement en 2 fourmili�res (non interchangeables pour les individus fourmis, comme 2 ruches d’abeilles) afin de mettre les 2 soci�t�s en comp�tition g�n�tique au sein de la m�me esp�ce (cr�er 2 races)

Les islandais, tous cousins, sont tr�s solidaires donc, et leurs banksters ont fini en taule.
Une g�n�ration de cor�ens du sud s’est sacrifi�e au boulot par holisme.
Alors que le pr�dateur frelon capitaliste est peinard dans le pillage de la ruche multiethniqu�e booba, aucun insecte ben�t ne se bougera pour des g�nes diff�rents (surtout colons) ... Multiethnique et impera !

http://m.youtube.com/watch?v=6lNz5vmKEFA (2eme partie)

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- Herv� Hum 12 mai 2018 17:38
  
  @Jean Roque
  
  merci d’apporter de l’eau au moulin !
  
  pour mettre en comp�tition, il faut diviser les groupes entre eux et inversement, pour les mettre en coop�ration, les int�grer au sein d’un m�me groupe.
  
  Une lapalissade que l’humain nie de toute sa superbe arrogance.
  
  Cela dit, ce que tous les exemples du r�gne animal oublient, c’est que l’humain, en raison de ses capacit�s cognitives sup�rieures, est un r�gne � part et la comparaison n’est pas raison.
  
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- Jean Roque 12 mai 2018 20:03
  
  Non, l’humain est un mammif�re sup�rieur, avec instinct de territoire, sexuel, gr�gaire, berf d’identit�.
  Sauf le bobo gogochon, qui n’est que la patate bien lisse, bien ronde, bien soumise, d’un rhizome indiff�renci�, avec multiple trous utilisables, comme dit Deleuze.
  Marx voyait que les communisme primitifs �taient claniques (sioux, ch�rusques, etc...) et limit� � une tribu. Par id�alisme il a pos� l’homme comme universel, mais tout prouve le contraire. Quand la nation o� le peuple meurt ressortent la race, la religion, la superclasse etc. Hegel ne faisait pas cette erreur et ne croyait pas � la gouvernasse mondiale, et beaucoup de marxiste non-plus. M�me Rosa Luxemburg a fini par se ranger � cette avis (des austro-marxistes)
  
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- Jean Roque 12 mai 2018 20:07
  
  « Tout comme l’homme et la femme ne peuvent �tre m�mes, � savoir humains, qu’en �tant absolument diff�rents l’un de l’autre, ainsi, le national de chaque pays ne peut entrer dans cette histoire universelle de l’humanit� qu’en restant ce qu’il est et en s’y tenant obstin�ment.
  Un citoyen du monde qui vivrait sous la tyrannie d’un empire universel, parlerait et pen�serait dans une sorte de super esp�ranto ne serait pas moins un monstre qu’un hermaphrodite. » Annah Arendt
  
  « Le racisme ne s’interpr�te nullement comme une pathologie du nationalisme, mais au contraire comme une id�ologie ayant pour but de fournir un � ersatz de nation � � une �poque o� s’annonce d�j� la crise ou le d�clin de l’Etat national. Le racisme fournit la base id�ologique la plus adapt�e pour faire tenir ensemble une masse d�racin�e d’individus atomis�s, priv�s de liens sociaux par la d�sagr�gation des structures organiques et des solidarit�s traditionnelles induite par la modernit�. C’est cette masse d�racin�e qui va fournir le terreau des totalitarismes, avec leur volont� de � mobilisation totale �, d’arr�t de l’histoire et de cr�ation d’un � homme nouveau � L’imp�rialisme va alors de pair avec le racisme. » Hannah Arendt
  
  Pas de communaut� chez les multiethniqu�s, juste gogochon de supermarch�, seul, sous-humain. C’est pour �a que Soros paie NoBorder.
  
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- Jean Roque 12 mai 2018 20:15
  
  POURQUOI COLLABO NOBORDER EST FINANC� PAR SOROS :
  
  « L� vivaient des masses qui n’avaient pas la moindre notion du sens de la patria, la plus vague id�e de responsabilit� envers une communaut� partag�e par tous et nettement d�limit�e. C’�tait le probl�me de la � ceinture de population m�l�es �, de la Baltique � l’Adriatique. Le nationalisme tribal naquit de ce climat de d�racinement. »
  
  ’L’Imp�rialisme’ Hannah Arendt
  
  « La s�paration est la m�re des �tres, et sans �tres distincts, il n’y a pas de cosmos � organiser. Le � cosmopolite � m�me n’est possible que parce qu’il existe des � polis � distinctes, dont les interactions forment le cosmos. » Regis Debray
  
  � Le cosmopolite repr�sente le dernier degr� de l’inhumanit� capitaliste […] Pour le cosmopolite, l’homme est un personnage sch�matique, “citoyen du monde” sans famille et sans peuple, sans traditions ni particularit�s nationales. Pour le marxiste, au contraire, l’homme est le produit d’un d�veloppement social d�termin�, d’un certain nombre de conditions pr�cises qui lui conf�rent une formation psychique d�finie, un caract�re national. �
  
  Georges Cogniot, PCF (avant P... Collabo... Faux-cul)
  
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- Herv� Hum 12 mai 2018 22:03
  
  @Jean Roque
  
  dois je r�pondre � Jean Roque ou bien � Hannah Arendt, R�gis Debray ou Georges Cogniot ?
  
  Le hic, c’est qu’Hannah Arendt, pas plus que les deux autres sont l� et je doute que Jean Roque soit en mesure de les remplacer. Tout comme il ne semble pas �tre capable d’argumenter sur ce qui est dit ici, car la r�ponse est en germe quand j’�cris
  
  "En effet, partant de petites communaut�s plus ou moins isol�es les unes aux autres, celles-ci vont s’agr�ger les unes aux autres en fonction des rapports de forces, formant alors des entit�s toujours plus grandes. Passant de communaut�s locales, puis r�gionnales, jusqu’� la France telle que nous la vivons. C’est sur la base de ce m�me principe que l’UE sera vendue aux citoyens d’Europe. Ce processus vaut partout et en tout lieu. On peut noter qu’il vaut aussi pour tous les domaines observables dans l’Univers physique."
  
  et que j’aurai aim� avoir Hannah Arendt ou les deux autres comme contradicteurs.
  
  Cela dit, R�gis Debray �tant toujours vivant, je viens de lui envoyer un message sur sa page facebook, des fois que. Pour les autres, il me faudrait �tre ou faire appel � un m�dium.
  
  Pour vous, rien que pour vous, ce que j’�cris veut dire que l’agr�gation de cultures au sein d’un ensemble plus grand ne signifie pas la perte des identit�s locales, mais seulement leur s�dimentation disons culturelle et qui permet autant sa diversit�, car sans �change, sans cette agr�gation respectant les particularismes locaux, le principe m�me des interactions dont parle R�gis Debray et formant le cosmos ne serait pas possible. Cela veut dire que la perte ou non des cultures locales ou nationales d�pend uniquement de la volont� de ceux qui les composent, ind�pendamment de la pr�sence ou non d’une culture universelle. Cette derni�re �tant que la couche ultime que l’histoire humaine � fa�onn�, enfant� le plus souvent dans la douleur.
  
  Nous verrons si R�gis Debray en personne donnera suite ou non.
  
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- RICAURET 12 mai 2018 23:50
  
  @Herv� Hum
  SI VOUS N AVEZ PAS LU LE LIVRE LE PRINCIPE DE LUCIFER DE HOWARD BLOOM
  
  puis je vous le conseiller
  pierre JOVANOVIC vous le pr�sente mieux que moi
  a tous ce n est pas un livre sur les forces diaboliques mais sur le mal dans l homme et la nature
  
  https://www.youtube.com/watch?v=vpr5kE2GHys
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 07:26
  
  La gouvernasse mondiale et l’Humanit� Universelle bobo est un oxymore (Hegel entre autres) et un attrape couillons pour gochistes. Vos « particularit�s locales » sont d�truites dans le multi-akulti indiff�renciant, juste MacDonaldisation g�n�ralis�e mais halal, v�gan et biobio ; r�apparaissent d’autres particularit�s insignifiantes ; celle de gogochon, le club branlette d’entre-soi des bobos snobs avec son coach sportif, celles de barbu, mais plus vraisemblablement plus rien qui lie m�taphysiquement, nihilisation, fin du holisme.
  
  « Qui dit Humanit� veut tromper » PdM Proudhon
  
  La volont� de burkini et de souchien le gland remplac� de faire qqchse ensemble est proche du 0 absolu, et Capital le sait (pas le gocho qui se branle � la foi droitdelhommiste universaliste)
  Faites appel � votre m�dium pour L�vi-Strauss, Baudrillard aussi alors, tous savent que gocho est l’idiot utile du Capital. Sloterdijk est vivant.
  
  � Au lieu d’�tre essentiellement li�s, les gogochons multiethniqu�s sont au contraire essentiellement s�par�s. Et alors que dans la communaut� traditionnelle les humains restaient li�s en d�pit de tout ce qui les s�pare, dans la soci�t� moderne les gogochons restent s�par�s en d�pit de tout ce qui les lie [le Supermarch� de la branlette] � Ferdinand Tonnies
  
  � La modernit�, a perdu l’impulsion id�ologique de la raison et du progr�s et se confond de plus en plus avec le jeu formel du changement. M�me ses mythes se retournent contre elle (celui de la technique, jadis triomphal, est aujourd’hui lourd de menaces). Les id�aux, les valeurs humaines qu’elle s’�tait donn�s lui �chappent. La libert� y est formelle, le peuple y devient masse, la culture y devient mode. Apr�s avoir �t� une dynamique du progr�s, la modernit� devient lentement un activisme du bien-�tre. � Jean Baudrillard
  
  � C’est une absence de sol abyssale qui a pris possession des europ�ens. Une absence qui s’exprime dans l’obsession de faire bonne figure, en chute libre, et de maintenir avant une fin que l’on pressent comme imminente, l’apparence de la belle vie [la branlette du gogochon] � Peter Sloterdijk
  
  � L’humanit� devra r�apprendre que toute cr�ation v�ritable implique une certaine surdit� � l’appel d’autres valeurs, pouvant aller jusqu’� leur refus sinon m�me � leur n�gation. […] Pleinement r�ussie, la communication int�grale avec l’autre condamne, � plus ou moins br�ve �ch�ance, l’originalit� de sa et de ma cr�ation. � Levi-Strauss
  
  « La fronti�re, c’est la modestie [gogochon est tr�s p�dant] : je ne suis pas partout chez moi. J’accepte qu’il y ait de l’autre et pour faire bon accueil � un �tranger, il faut avoir une porte � ouvrir et un seuil o� se tenir, sinon ce n’est plus un h�te mais un intrus [un colon]. » Regis Debray
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 09:15
  
  @Jean Roque
  
  Je comprend pourquoi vous n’�tes pas capable de r�pondre par vous m�me, mais uniquement par des citations des autres.
  
  En effet, �crire « la gouvernasse mondiale et l’Humanit� Universelle bobo est un oxymore » esgt un pl�onasme et non pas un oxymore. Si vous n’�tes pas capable d’aligner une phrase sans �crire une b�tise, c’est s�r, ne recopiez que par citation.
  
  Apprenez donc � comprendre le sens des mots que vous utilisez. Vous avez des yeux, mais � priori pas de cerveau (Voltaire) !
  
  sinon, tout ce que disent vos penseurs que vous recopiez tel un perroquet, ne font que le culte de la soumission, de la souffrance et de l’ali�nation � une classe pr�datrice qui semble vouloir gouverner le monde, alors qu’elle le gouverne depuis longtemps, parce qu’elle � toujours gouvern�s les nations. Qui veulent certes une gouvernance �conomique mondiale, mais font tout pour maintenir les populaces qui constituent les nations en comp�tition. Leur gouvernance mondiale, c’est l’union des pr�dateurs et la division des proies, c’est � dire, tous les autres.
  
  La fronti�re gard� par des arm�es, c’est l’�tat d’urgence permanent, la crainte et la peur permanente de l’autre et qui s’�tend jusqu’au seuil de votre porte. C’est la n�cessit� de cette �lite pr�datrice pour mener � l’abattoir la populace, avec son soutient.
  
  S’il faut avoir une porte � ouvrir et un seuil pour se tenir pour accueillir son h�te, on ne le re�oit pas avec un fusil et on ne menace pas d’aller chez lui pour y mettre le feu. Et pour cela, il faut instaurer la confiance. De m�me, si vous polluez chez vous ou lui chez lui, la pollution ne conna�t pas de fronti�re. De la m�me sorte, s’il vous manque quelque chose pour vivre, vous aurez � aller frapper � sa porte et lui proposer soit d’�changer, soit d’essayer de le voler. Mais si vous n’�tablissez pas de r�gles communes auxquelles les deux parties sont tenues de se plier, alors, retour � la case d�part, c’est � dire, que vous recevrez toujours votre « h�te » avec le fusil et la paranoia de savoir s’il ne vient pas pour vous voler ou pire.
  
  pour avoir un chez soi et vivre en paix avec son voisin, il faut se plier aux m�mes r�gles et non clamer sa souverainet�, c’est � dire, chier sur le droit de l’autre et dire qu’on se garde le droit unilat�ral de venir le piller quand on le veut, sans pr�avis et alors, tout le monde vit l’arme au poing. Pour le plus grand plaisir du vendeur d’arme bien �videmment !
  
  vos grands penseurs, parlaient de paix en vendant la guerre !
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 09:49
  
  @Jean Roque
  
  tiens, j’avais pas lu ce passage
  
  � Au lieu d’�tre essentiellement li�s, les gogochons multiethniqu�s sont au contraire essentiellement s�par�s. Et alors que dans la communaut� traditionnelle les humains restaient li�s en d�pit de tout ce qui les s�pare, dans la soci�t� moderne les gogochons restent s�par�s en d�pit de tout ce qui les lie [le Supermarch� de la branlette] � Ferdinand Tonnies
  
  rien � redire, c’est tr�s juste, mais encore faudrait t-il conna�tre des raisons qu’il donne pour l’expliquer !
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 10:02
  
  Non un oxymore, je vois aucun rapport avec pl�onasme.
  
  Vous �tes un shiteux « grand subversif » ?
  
  « Qui dit Humanit� veut tromper » veut dire Humanit� est un oxymore, un attrape couillon car contradiction logique en-soi.
  Le reste n’est que psalmodie convenue de n�grier � Soros. Branlette aux vertus en lieu et place de concept. Niveau bas clerg� mondialiste sans int�r�t.
  
  � Les valeurs, c’est ce qui d�truit radicalement la cause � Soros
  
  � Quand l’homme est con�u comme individu [gogochon de supermarch�] ind�pendamment de tous les r�les [sociaux] qu’ « homme » cesse d’�tre un concept fonctionnel [...] c’est pr�cis�ment parce qu’il n’existe dans notre soci�t� aucun moyen �tabli [holisme] de trancher entre ces pr�tentions [normatives] que le d�bat moral semble n�cessairement interminable [les branlettes m�morielles victimaires concurrente des multiethniqu�s... du noir au corse...] Tout jugement moral devient l’expression d’une pr�f�rence, d’une attitude ou d’un sentiment [pleurnicheries des minorit�s] �
  Apr�s la virtus de l’hoplite, la branlette aux vertus du multiethniqu�.
  Alasdair MacIntyre, Ed. du Gogochon
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 10:11
  
  La raison en est la d�cadence du gogochon d�g�n�r�, 68 et multiethniquage alibi du cpitalisme lib�ral-libertaire, soci�talisme branletteur, « care » et « vivre ensemble » masturbatoires, fin du holisme et de l’id�al pour « jouir sans entrave » et « chacun pour sa pomme dans l’entre-soi » de Cohn le tripot� et autres gochos collabos morts id�ologiquement mais qui remuent encore en eux-m�me par le pouvoir de l’Argent mondialiste.
  
  � Un tournant capital dans le chute de Rome est le moment o� les hommes de bonne volont� cess�rent d’�tayer l’imperium et d’identifier la continuation de la civilit� et de la communaut� morale avec le maintien de cet imperium. � McIntyre (comme la trahison des �lites de Latsch)
  
  � Il faut favoriser une culture du dissensus œuvrant � approfondissement des positions particuli�res [geek, p�dophile o� barbu] et une ressingularisation des individus et des groupes humains [ghettos multiakulti et consum�ristes] �
  
  Felix Guattari et Cohn Le Tripot�, revue du Purinement Sexialiste Universel
  
  https://fr.sputniknews.com/societe/201307271022641657-cohn-bendit-et-les-verts-allemands-toujours-plus-accuses-de-pedophilie/
  https://books.google.fr/books?id=NMMGxzzDxj8C&pg=PA131&lpg=PA131
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 11:04
  
  @Jean Roque
  
  vous �crivez que le mot « humanit� » est une « contradiction logique en soi »
  
  tr�s bien,
  
  expliquez donc moi cela et si possible, sans copier coller et sans vulgarit� qui ne servent � rien, sinon � masquer votre manque de capacit� � argumenter.
  
  car vous aimez surtout les positions d’autorit�s sans rien d�montrer, sinon votre vulgarit�.
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 16:23
  
  Car si l’Humanit� existe c’est que l’homme est indiff�renci�, format�, le bobo bien rond, bien lisse, du dernier sable mondial, sans culture original (sinon il y a comp�tition entre diff�rents identifi�s, 2 quartiers de colonie par ex... o� 2 groupes de voleurs financiers bobos concurrents). Et on retombe sur l’enfer de la totalisation pr�c�demment d�crit par Arendt o� Levi-Strauss
  L’instinct de comp�tition de l’humain ne trouve plus d’entraide abstraite politique particuli�re pour le sublimer, puisque ne reste que les individus mondialis�s, et que �tre solidaire avec tous veut dire avec personne, puisqu’il n’y a pas d’identification possible � une totalit� humaine (sauf si Mars attacks),
  Mais la coop�ration/comp�tition se r�ifie dans l’hyperclasse internationale et sa conscience de domination �conomique et l’ali�nation dans la servitude volontaire du troupeau avec des solidarit�s de circonstance infrapolitique, insignifiantes historiquement.
  
  Pour �tre plus th�orique, la libert� porte la n�cessit� comme ali�nation mais la n�cessit� ne porte pas la libert� comme accomplissement.
  
  O� pour le dire plus simplement pour vous, de goche donc tautologiquement limit� pl�onastiquement, l’amour b�at de l’humanit� apporte la douceur du bisounours, l’�galit� r�v�e du nuit debout, la mod�ration bien-pensante avantageuse pour le Capital, l’indulgence du droitdelhommiste soumis etc. ; mais il n’inspire aucune volont� politique. L’amour est la volont� d’une perp�tuation de qqchse de politique (et l’hiver d�mographique de l’UE est le sympt�me de cet effondrement id�el) Et c’est ce qu’on constate, d�politisation du libidineux, et les revendications superficielle o� inconsistantes ds le TINA, plus d’auge, c’est tout.
  
  Bon je pourrait en �crire 20 pages... Mais on ne refait pas les gogochons qui gobe la pens�e dominante de Soros.. Le dominateur pr�che la charit� et la vertu pour baiser le peuple, tt anarchiste le sait, il aime les �tres « purs », bien lisses, bien ronds...
  
  � L’�tre pur, Sein, [petit Gogochon � l’�cole] ne doit �tre fait d’aucune pr�supposition, il est le commencement [tout commencement est un dieu, avec des Nikes]. Il est n�cessairement d�pourvu de tout contenu [Pass� honni du souchien], il ne doit �tre m�diatis� par rien [pas de prof ni culture impos�...]
  Il doit devenir l’�tre pur [du Capital], sans aucune d�termination ult�rieure [except�e l’attirance irr�pressible vers le n�ant de l’auge pour tous les indiff�renci�s].
  L’�tre pur et le n�ant pur sont... la m�me chose [on d�finit ainsi le Gogochon]. Ce mouvement du dispara�tre imm�diat de l’un dans l’autre a d�j� �t� vu par Parm�dide, [El�ate] et H�raclite [tout Gogochon coule vers Carrouf] � La Grande Lologique bobo, Na�ade Vagino B�cassine Ed. Sorosiennes
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 16:50
  
  La raison peut se dire en 3 mots : Humanit� est Nature
  
  Mais bon, pas adapt� � GogochonVox, pour les non-bobo d’ED voil� 3 citations d’Hegel pour mettre sur la piste. L’Humanit� est essence naturelle, la politique substance �thique, 2 niveaux logiques diff�rents.
  
  � L’organique est un objet […] qui a chez soi le proc�s dans la simplicit� du concept. […] Chez l’�tre organique, toutes les d�terminit�s par lesquelles il est ouvert pour d’autres choses sont li�es sous l’unit� organique simple ; aucune ne surgit comme d�terminit� essentielle, qui aurait une relation libre � autre chose ; et l’organique se conserve donc dans sa relation m�me. [...]
  C’est dans cette nature propre � ce qui est, et qui est d’�tre dans son �tre son propre concept, que r�side tout simplement la n�cessit� logique ; elle seule est le raisonnable et le rythme du tout organique ; elle est tout autant savoir du contenu, que le contenu est concept et essence – ou encore : elle seule est le sp�culatif. La figure concr�te, en se mouvant elle-m�me, fait d’elle une d�terminit� simple, et par l� s’�l�ve � la forme logique et est dans son essentialit� ; son existence concr�te n’est que ce mouvement et est imm�diatement existence logique. �
  
  � L’Argent est la vie de ce qui est mort, se mouvant en soi-m�me. � Hegel
  
  � La guerre est l’esprit et la forme dans lesquels le moment essentiel de la substance �thique autonome � l’�gard de tout �tre d�termin�, est pr�sent dans l’effectivit� et dans la confirmation de soi de la substance �thique � PhG Hegel
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 18:29
  
  @Jean Roque
  
  « Car si l’Humanit� existe c’est que l’homme est indiff�renci�, format�, »
  
  le hic, c’est que l’humanit� n’est pas une th�orie, un concept, c’est un fait. Il y a la terre et dessus, l’humanit�, c’est � dire, l’africain, l’asiatique, l’europ�en, etc. Vous pouvez le nier, mais cela ne l’emp�che pas d’exister en tant que telle.
  
  Il y a ainsi une �conomie globalis�e, des institutions mondiales, des stars plan�taires, des �v�nements sportifs, culturels plan�taires. Vous utilisez votre ordinateur et sans doute votre portable comme tout �tre humains sur la plan�te et seulement les humains. L’humanit� quoi.
  
  Vous pouvez �crire 20 pages, 200, 2 millions de pages, vous ne supprimerez pas la r�alit� du fait que l’humanit� existe sur cette plan�te, seulement dans votre imaginaire.
  
  Vous pouvez m�me vouloir revenir � l’�ge de pierre, l’humanit� existait d�j� en tant que telle, sauf qu’elle n’en avait pas la connaissance/conscience. Qu’elle � us� de cet espace-temps pour constituer ses diff�rences culturelles et les as stratifi�s, s�diment�s en couches successives, jusqu’aux nations actuelles.
  
  Et de fait, si on tient compte de votre th�orie, les nations n’auraient pas d� se constituer et l’humain ne pas aller au del� du n�olithique donc, ne jamais vouloir accepter la d�mographie, la division politique des petites communaut�s.
  
  Une fois cela pos�, vous faites la confusion entre le fait de la r�alit� de l’existence de l’humanit� et la mani�re dont cette humanit� s’organise et c’est pas du tout la m�me chose. La France est constitu� de sa richesse culturelle locales et non d’une uniformisation qui les aurait toutes d�truites, mais qui a �t� � un moment donn� la volont� politique des dirigeants. Mais autant parler � un mur.
  
  Maintenant, dire que cela aboutit � la dilution, la perte d’intensit� est une �vidence, mais votre solution pour l’�viter consiste � poursuivre sur la voie de la violence syst�mique. Autrement dit, j’esp�re que vous �tes pr�t � ce que demain, vous devez recevoir des bombes sur la gueule, voir si vous survivez, revenir � vivre comme � l’�ge de pierre. L�, vous reviendrez � une grande intensit� de la vie. Le dilemme est plut�t ardu, mais il n’y a pas d’alternative possible.
  
  En fait, avant d’arriver � une telle dilution, il y a � vivre une p�riode d’euphorie et de prosp�rit�. Que cette forme ne vous plaise pas est une chose, mais votre solution est � mon sens la pire de toutes, celle d’une personne guid� par la haine, ceux qu’on appelle les misanthropes.
  
  Pour finir c’est vous et vous seul qui dites que je d�fend la mondialisation telle que vendu par les tenants du syst�me actuel et ce, uniquement pour pouvoir me contredire et vous donner raison. Sauf que ce qui vous �chappe, c’est que la condition est de rester dans le syst�me actuel, sans cela, toute votre argumentation s’effondre. Autrement dit, vous �tes condamn� � la mondialisation actuelle uniquement pour pouvoir la critiquer, souhaiter la guerre totale et vous interdire de penser la mondialisation fond� sur d’autres rapports.
  
  Pour ce qui est de Hegel, d�sol�, c’est une soupe imbuvable pour moi.
  
  la libert� porte la n�cessit� comme ali�nation mais la n�cessit� ne porte pas la libert� comme accomplissement.
  
  d�sol�, je pr�f�re �crire « la libert� exige une grande discipline int�rieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune, car la discipline est impos�e de l’ext�rieur ».
  
  Autrement dit, sans discipline int�rieure port� comme n�cessit�, il n’y a pas d’accomplissement possible de soi et s’il n’y a que la n�cessit� sans discipline int�rieure, alors, il n’y a pas de libert�, mais ali�nation.
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 19:30
  
  Vous n’avez pas compris, quand Proudhon dit « Humanit� » il parle de la branlette droitdelhommiste, celle d’un Bush o� d’un Soros, Humanit� Globalis�e, charit� alibi, d�mocratie pour tous etc. Rousseau dit de m�me (bobo s’occupe des mongols...)
  
  « Quant � la Loi, � la pi�t� [antiraciste] et � la Religion, qui elles aussi ont pr�ch� ce principe de solidarit�, nous savons qu’elles l’ont simplement escamot� pour en couvrir leur marchandise - leur prescription � l’avantage du conqu�rant, de l’exploiteur, [du Seigneur Mondialiste], et du pr�tre [le pr�bendier n�grier du Capital, pay� par lui � cot� de la journalope...] »
  
  Piotr Kropotkine - La morale anarchiste [modernis�e]
  
  � C’est au nom d’une conception toute id�ale de l’homme que de nouveaux pr�tres assoiront bient�t leur pouvoir et leurs int�r�ts. Ils en enr�leront d’autres et porteront la guerre aux quatre coins du monde, d’autant plus facilement qu’ils pr�tendront lutter contre le mal. C’est au nom de la morale que l’on cessera de faire le bien � Nietzsche
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 19:47
  
  *@Jean Roque
  
  si, c’est vous qui ne voyez pas que pour soutenir votre argumentation, il vous est impossible de sortir du syst�me actuel, car alors, toute votre argumentation s’effondre.
  
  Tous les copier/coll� que vous mettez ne parlent de la mondialisation que sous le syst�me actuel, jamais ils font une projection, un essai d’une mondialisation hors du syst�me actuel, car alors, c’est toute leur argumentation qui s’effondre. Pourquoi cela ? Parce qu’ils sont incapable de penser en dehors du syst�me et n’ont alors d’autres alternatives que de dire le plus grand mal de la mondialisation, sauf que soutenir le nationalisme, c’est aussi soutenir le syst�me actuel. Tout simplement parce que les nations elles m�mes sont la cr�ation des tenants du syst�me. Vous n’avez pas compris l’article ici pr�sent qui d�crit un principe physique observable partout.
  
  le 3�me article est particuli�rement consacr� aux anti-mondialistes gogochon comme vous dites. Le second �tant consacr� aux pr�dateurs humains, ceux qui dominent la majorit� de l’humanit� depuis quelques mill�naires.
  
  Quand � Nietzsche, il proph�tise le pass�, c"est � dire, que c’�tait d�j� la r�alit� du monde dans lequel il vivait. Chose que n’importe quel abrutit peut faire !
  
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- Jean Roque 13 mai 2018 20:13
  
  nation = entraide « abstraite » = concept = politique (cr�ation possible)
  l’Humanit� = Nature = apolitique (statu quo politique, juste intendance technico-�conomique)
  
  « Le concept cr�e » Hegel
  
  effectivement , contrairement � votre boboisme, comme Marx, je crois � la mondialisation actuelle, � l’absolue oligarchie qui vient, qui sera renforc�e par le transhumanisme et la puissance de l’IA pour contr�ler. l’oligarchie au del� des races, des peuples et des �tats, celle de Nietzsche, de Coudenhove-Kalergi. Puis la r�gression � l’am�ricaine en Occident, UE => USbis (multiethniquer = lib�raliser). Puis la mort de la Mort am�nera la r�volution.
  
  � la libert� exige une grande discipline int�rieure [ext�rieure celle d’une communaut� politique conceptuelle et non de la vertu branletteuse...l’autolimite du holisme], la servitude un minimum et l’esclavage aucune, car la discipline est impos�e de l’ext�rieur [la Nature par ex, la Technique o� le March�] �.
  
  En quoi Nietzsche dira que le bobo libidineux de la branlette du Supermarch� remonte dans l’arbre, de la Nature r�ifi�e dans le RU et les robots gavant les gogochons du « jouir sans entrave » de votre « prosp�rit� »
  
  � La soci�t� capitaliste aujourd’hui est une soci�t� qui, � mes yeux , court � l’ab�me � tous points de vue parce que c’est une soci�t� qui ne sait pas s’autolimiter. Et une soci�t� vraiment libre, une soci�t� autonome, comme je l’appelle, doit savoir s’autolimiter. [...] L’autod�ploiement de l’imaginaire radical comme soci�t� et comme histoire– comme le social-historique – se fait et ne peut se faire que dans et par les deux dimensions de l’instituant et de l’institu�. L’institution, au sens fondateur, est cr�ation originaire du champ social-historique – du collectif anonyme [contre l’individu hypostasi�] � Castoriadis (marxiste grecque)
  
  Oui Hegel est incompr�hensible si on ne sait pas ce qu’il veut dire avant de le lire... Mais c’est le papa de Marx, et y a pas plus puissant en logique (m�me L�nine l’a reconnu...).
  
  la haine s’appelle la conscience de classe (celle du souchien) oui.
  
  Le social cosmopolite est un attrape nigauds.
  
  « La haine des nations est l’internationalisme des imb�ciles » L�nine
  
  La r�volution des gogochondins NoBorder aussi.
  
  � C’est aux classes fortun�es que vous voulez transf�rez la puissance. Vous voulez diviser la nation en deux classes, dont l’une sera arm�e pour contenir l’autre [la garde nationale o� il fallait payer son �quipement] � Robespierre aux gogochondins d’Onfray, f�te de la f�d�ration 14 Juillet 91.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 22:04
  
  @Jean Roque
  
  votre commentaire est en tout point identique aux pr�c�dent, incapable de voir autre chose que le syst�me actuel et interdisant tout autre.
  
  En fait, vous etes vous meme un gogochon qui s’ignore, car vous avez la meme position qu’eux � ce qu’il me semble, c’est � dire, anti-mondialiste’ !
  
  bon, je vous laisse � votre gogoisme...
  
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- Jean Roque 14 mai 2018 09:41
  
  @Herv� Hum
  
  La mort de La Mort, dans 15 milliards de surpondus import�s par Capital et n�grier gocho, dans l’espace vital b�tonn� et d�truit, sera aussi celle de l’Avoir du Caddie dieu du gogochon.
  
  Et la r�volution ne sera pas bobo.
  
  « Que faire, quand un navire transportant des centaines de passagers chavire brusquement et qu’ il n’ y a qu’ un seul canot de sauvetage ? Lorsque la chaloupe est pleine, ceux qui ha�ssent la vie vont essayer de le charger avec plus de naufrag�s et de couler tout le monde. Ceux qui aiment et respectent la vie prendront la hache de bord et trancheront les mains suppl�mentaires qui essayent de s’accrocher au bastingage. » Pentti Linkola fureur des Petits Hommes Verts
  
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- Herv� Hum 14 mai 2018 09:52
  
  @Jean Roque
  
  juste pr�cision, le gogochon est anti-mondialiste, c’est le bobo qui est mondialiste b�at. Les deux �tant des cons. Le bobo, c’est le hippie des ann�es 70, qui faisait bosser sa femme et lui de fumer des tarp�s � longueur de journ�e en criant « peace and love », avec la femme charg� de tout faire, mais � l’�poque, c’�tait le f�minisme consistant � jouer les travailleuse et leur hommes � jouer les femmes aux foyers, mais sans les t�ches m�nag�res qui vont avec. Faut pas pousser !!!
  
  Pour votre exemple, non, ceux qui aiment la vie, construiront des radeaux, mettrons les vivres sur le canot pour que personne ne puisse se barrer avec comme avec le radeau de la m�duse. Car non, ceux qui haissent la vie, se laisseront noyer et se moquent des survivants. Par contre, ce sont ceux qui haissent les autres, ont une opinion d’eux m�me sup�rieure et m�prises « la populace », qui essaieront de s’emparer de la chaloupe et de trancher la main de tout ceux qui essaieront de monter � bord.
  
  Faudrait que vous commenciez � cogiter par vous m�me et cesser de copier/coller comme un ben�t, c’est � dire, comme un pur gogochon.
  
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- Jean Roque 14 mai 2018 16:24
  
  « La traite n�gri�re de Soros est une chance pour Boobaland de Rothschild »
  
  SuperGogochon, 2012, Marseillistan
  
  VOILE ISLAMIQUE DE LA PR�SIDENTE DE L’UNEF � LA SORBONNE
  
  UE, poubelle du monde.
  
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- Herv� Hum 14 mai 2018 18:13
  
  @Jean Roque
  
  Si vous croyez pouvoir r�gler le probl�me avec les armes, sachez que c’est exactement ce que veux Soros et cie.
  
  Attiser la haine, tout en disant le contraire. C’est le principe du pompier pyromane.
  
  cela permet aussi de faire diversion. Donc, faire d’une pierre, deux coups. En fait, on trouverait d’autres raisons, comme maintenir les esprits en �tat de sid�rations, ne sachant qu’elle position tenir et ainsi, �tre s�r qu’ils ne pourront pas r�fl�chir correctement aux causes profondes de leur malheurs. Mais inutile d’en rajouter.
  
  Tout gogochon que vous �tes, vous ne marchez pas, vous courrez !
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 12 mai 2018 18:09

Merci d’inclure les nombreux manipulateurs pervers qui sont en constante augmentation dans la soci�t� et n’en ont absolument rien � cirer,.....

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�tir�v 13 mai 2018 09:57

L’auteur s’interroge, et demande : � le libre arbitre porte-t-il sur sur le choix de suivre ou non la raison et non de d�cider de celle-ci ? �
Quelques mots sur le libre arbitre et le rationalisme.
Pr�cisons que pour que l’homme puisse prendre sa raison pour guide il faut que la raison de l’homme soit droite.
Or, il y autant de degr�s dans la justesse de raisonnement des hommes qu’il y a d’individus. La raison n’est pas une entit�, une et absolue, que l’on puisse consulter avec assurance, c’est l’expression d’une somme intellectuelle qui varie suivant l’individu qui parle.
Faire appel � la raison pour croire ou nier est une erreur, attendu que la raison n’explique rien et ne juge que les apparences qui sont, presque toujours trompeuses.
La raison ne nous dit pas que la terre tourne, ni que les premi�res formes travers�es par l’homme pendant son d�veloppement � la surface terrestre, ou pendant sa vie embryonnaire, ne ressemblaient en rien � sa forme actuelle, c’est la � science � qui nous dit cela.
Donc, la v�rit� ne peut pas �tre trouv�e par les hommes qui n’ont d’autre guide que leur raison. Elle est le privil�ge de ceux qui sont en possession de connaissances acquises.
Aussi, le libre examen ou libre arbitre, que nous avons cru si longtemps �tre le dernier mot du progr�s, est, au contraire, une cause de d�sordre et de discorde si on le donne � ceux qui ne savent pas s’en servir.
Donc, proposer l’examen des v�rit�s aux ignorants, c’est livrer la science � ses ennemis, c’est retourner � la barbarie, au chaos intellectuel, c’est perdre tout le b�n�fice acquis par les hommes de g�nie qui nous ont pr�c�d�.
Rappelons, pour finir, que les th�ories de Darwin sur l’�volution ou celles de Newton sont des exemples notoires de raisonnements faux qui ont entrav� les progr�s des sciences naturelles et physiques pendant deux si�cles.
Cordialement.

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- Herv� Hum 13 mai 2018 10:32
  
  La raison ob�it � des principes connues depuis longtemps, c’est � dire, le tiers exclu et la non contradiction. Aucune exp�riences scientifique n’invalide ces principes quand � leur validit� dans l’Univers physique, car sans ces principes, l’Univers physique ne pourrait pas exister.
  
  La raison repose sur ses propres postulats et non sur ceux que l’humain voudrait qu’il soit, sauf pour tromper son prochain. C’est l’art de la manipulation via la confusion et qui consiste � faire passer une contradiction pour une v�rit� non contradictoire. Mon pr�c�dent article traite du sujet, m�me si je n’ai pas publi� toute la d�monstration.
  
  De plus, d�sol�, mais c’est bel et bien la raison qui fait et dit que la terre tourne et la passion humaine, via la religion qui dit qu’elle ne tourne pas. Copernic a utilis� seulement sa raison pour dire qu’elle tourne, mais pour conserver sa t�te, s’est bien gard� de le dire de son vivant et Gallil� a bien faillit la perdre malgr� que lui en faisait la preuve par l’observation.
  
  autre chose, s’il fallait r�server l’examen des v�rit�s seulement � ceux qui ont des connaissances acquises, pour reprendre vos termes, alors, l’humain serait toujours un singe. C’est l’ignorance d’une r�alit� qui motive son examen et permet l’acquisition de sa connaissance. Cela, toujours selon le principe du tiers exclu et de non contradiction.
  
  Vous cogit� selon un enseignement biais�, fait pour vous interdire de sortir de votre propre ignorance en vous faisant croire que vous �tes instruit.
  
  Enfin, c’est la passion qui aveugle et qui fait que chacun voit midi � sa porte et la raison qui unit et fait qu’on peut s’accorder sur des valeurs communes telles que l’�thique de r�ciprocit�, la notion de m�rite personnel, d’universalit� de la condition humaine.
  
  sinon, vous ne dites rien sur l’objet de l’article, � savoir de la relation de causalit� entre coop�ration et comp�tition !
  
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- Gollum 13 mai 2018 11:24
  
  @Herv� Hum
  
  Bonjour. Vous devriez vous int�resser � la logique non-aristot�licienne de St�phane Lupasco : https://fr.wikipedia.org/wiki/St�phane_Lupasco
  
  La logique d’Aristote que vous �voquez est particuli�rement apte et f�conde dans le domaine physique et mat�riel. Lupasco montre qu’elle est inapte dans le domaine biologique.
  
  � ce propos, comp�tition et coop�ration sont des contraires polaires dialectiquement reli�s. La nature utilise intelligemment les deux, � quasi �galit�.
  
  La pr�dominance d’un p�le sur l’autre am�ne forc�ment un surcroit de d�s�quilibre et donc d’entropie pour le syst�me consid�r�.
  
  La comp�tition est de droite, politiquement, et elle s�duit les temp�raments plut�t favorables � celle-ci. La coop�ration est de gauche et s�duit ceux du camp d’en face. Aucun camp n’a tort bien �videmment et c’est une connerie que la politique s’affronte sur des contraires n�cessaires � l’existence.
  
  Donc pour que l’humanit� puisse fonctionner sur ses deux p�les il faut qu’elle cesse de penser de fa�on aristot�licienne. Il faut une r�volution de la logique. Il faut penser de fa�on dialectique. La logique d’Aristote est une logique de l’affrontement.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 11:54
  
  @Gollum
  
  merci de votre lien
  
  j’y ai juste jet� un coup d’oeil et cela me suffit pour savoir que j’ai d�j� �tudi� ce qu’il dit et sans doute plus profond�ment que lui et tout ce que j’�cris repose sur cette connaissance. Mais comme je l’�cris, je n’ai pas trouv� le moyen pour traiter directement le sujet de mani�re condens�. Il me faudrait �crire un gros livre et je n’en ai pas la volont�.
  
  cela dit, le principe de tiers exclu et de non contradiction n’est pas une logique artistot�licienne, c’est Aristote qui suit la logique conditionnant la r�alit� physique.
  
  De plus, la dynamique d�crite ici, implique le principe dites du tiers inclus, puisque je parle de la relation de causalit� entre la coop�ration et la comp�tition.
  
  Sinon, le principe de causalit� d�crit par Aristote n’est pas valide, est abscons et on peut alors parler de logique non aristot�licienne. Je parle alors de principe de relations de causalit�s et qui s’appuie sur trois piliers, soit, la r�currence, l’it�ration et la division fractale.
  
  Comme le remarque tr�s bien St�phane Lupasco, l’�nergie est une diff�rence de potentiel entre deux poles oppos�s, sans cela, il n’y a pas d’�nergie possible. Toutefois, cela implique bel et bien un sens, donc, un d�s�quilibre relatif entre les poles, sans cela, si les p�les sont en parfait �quilibre, il n’y a pas de mouvement observables. Autrement dit, nous serions face � une �nergie potentielle, mais non active. Neutre.
  
  Toutefois, pour passer d’un syst�me ou dimension d’espace-temps logique � un autre, il faut que les lois d’�quilibre du syst�me en it�ration, c’est � dire, en recherche d’�quilibre soient pos�es, sinon, le processus d’�volution est bloqu�.
  
  Mais ce n’est pas le sujet de l’article, du moins dans l’imm�diat, m�me si c’est le support logique.
  
  Donc, d�sol�, mais cela m’�loigne trop du sujet...
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 12:12
  
  @Herv� Hum
  
  L� o� Macron se trompe totalement de strat�gie c’est qu’il pense renforcer la navire en enrichissant les plus riches, mais il n�glige les marins. Relisez le Ma�t. Bien plus �quilibr� et se r�f�rent � THOTH Herm�s. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma%C3%A2t. Ma�t �tait la femme ou la m�re suppos�e d’Herm�s Trism�giste. C’est ce que Bernard Maris assassin� le 7 janvier a tent� de mettre en pratique. Le principe de la ruche. Le probl�me : les fourmis et les Freslons. Ma�t vient de Ma�a l’abaille comme la soeur de M�lusine, M�lior (de miel). Lisez plut�t Pythagore. Bien plus instructif.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 12:52
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  � Pratique la justice et tu dureras sur terre.
  Apaise celui qui pleure ; n’opprime pas la veuve ;
  Ne chasse point un homme de la propri�t� de son p�re ;
  Ne porte point atteinte aux grands dans leur possession ;
  Garde-toi de punir injustement. �
  
  euh, d�sol� de vous d�cevoir, mais Macron applique � la lettre « ne porte point atteinte aux grands dans leur possession », au contraire, il les renforcent !
  
  Faut faire attention, il y a une contradiction entre pratique la justice et de l’autre, pr�serve la propri�t� et les riches. Car la richesse mat�rielle des uns se fait sur la mis�re des autres.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 12:58
  
  @Herv� Hum
  
  Ce qui me diff�rencie de vous sur ce point. Tuer le Roy fut la Reine fut une tr�s mauvaise id�e. surtout que l’image d’une Marie-Antoinette en riche hyst�rique se moquant de la pauvret� �tait totalement fausse. La guillotine fut une erreur grossi�re. Apaise celui qui pleure et n’opprime pas la veuve entrant en contradiction avec le point quatre ne porte point atteinte,...bla bla,.... Non. Suffit d’augmenter l’imp�t, pas de tuer.....
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 13:00
  
  Lire ; tuer le Roi et la Reine. Nous payons encore un lourd tribut karmique de cet assassinat ou oserais-je dire : boucherie,....
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 14:03
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  o� voyez vous que je parle de tuer le roi et la reine ?
  
  La v�rit� historique est souvent diff�rente de ce que les historiens racontent, mais l� n’est pas le sujet de l’article.
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 14:11
  
  @Herv� Hum
  
  Simplement le lien avec Macron et Brigitte dont certains r�veraient une petite reproduction � la Kennedy.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 14:24
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  ce que vous faites ici, cela s’appelle un proc�s d’intention, que vous construisez de toute pi�ce.
  
  Bref, voyez du cot� de ceux qui « r�veraient une petite reproduction � la Kennedy ».
  
  Pour ma part, remettre chacun � sa place suffira amplement. Inutile de couper des t�tes. La loi n’est pas r�troactive, elle change � partir du pr�sent, pas du pass�. Autrement dit, que Macron, Brigitte et consort, gagnent leur salaire en fonction de leur m�rite personnel et non plus en fonction de leur capacit� � exploiter leurs semblables.
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 10:06

Ayant parfaitement �tudi� le sujet et surtout sur le terrain de l’exp�rimentation id�al : une classe d’�l�ves. Pour qu’il y ait coop�ration, il faut un objectif �lev�. Je m’explique, des psychologues ont constat� que si le but �tait de gagner ensemble plus d’argent, les individus sont ramen�s � leurs plus bas instincts, et leur motivations sont tr�s moyennes et m�me proche de z�ro. Par contre, si le projet est �lev� et porteur d’un certain id�al, cela fonctionne bien mieux. Je l’ai exp�riemnt� avec des jeunes en d�crochage scolaire qui se sont retrouv�s � choisir l’orientation : m�canique automobile. Nous avions d�cid� de construire ensemble une ambulance pour aider les bless�s de la guerre. M�me les plus fain�ants s’y sont mis. Il y avait un vrai but (qui inconsciemment les r�parait eux-m�me).

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- Herv� Hum 13 mai 2018 10:42
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  effectivement !
  
  une mondialisation o� il s’agit de mettre toujours plus les �tres en comp�tition motive bien moins qu’une mondialisation o� il s’agit de mettre les �tres en coop�ration.
  
  Le syst�me actuel repose sur la comp�tition et non sur la coop�ration. Le hic, c’est que depuis le d�but, ce syst�me c’est impos� gr�ce � la perversion et � la violence syst�mique et ne peut pas r�sister � un monde en paix o� la coop�ration domine. C’est la contradiction fondamentale de ce syst�me qui le pousse � la mondialisation mais qu’il ne peut atteindre sans s’auto-d�truire. Cela explique la n�cessit� pour ses tenants de faire la guerre en permanence, sauf que les armes sont si destructrice qu’ils se retrouvent bloqu�s, mais ne doutez pas qu’ils travaillent pour trouver une arme capable de d�truire juste les �tres humains sans toucher au reste...
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 11:22
  
  @arthes
  
  il y aura plusieurs billets et � vrai dire, je ne sais pas encore combien
  
  Cela dit, si vous ne l’avez pas lu, vous pouvez lire celui qui sert de base, c’est � dire, « droits, devoirs et responsabilit� »
  
  Bien qu’�vidente, la r�ponse n’en est pas moins difficile � donner et � percevoir, ceci, en raison des chausses-trappes dans lesquelles le cogito humain est plong� depuis quelques mill�naires, mais qui atteint aujourd’hui un niveau extr�me.
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 21:56
  
  @arthes
  
  Juste une remarque ; A moins que vous ne l ayez �voque, il y a aussi l �me des nations qui fait que des peuples tiennent � leurs fronti�re, et leur souverainet�.
  
  dans cet article, j’explique qu’il est physiquement impossible de conserver la souverainet� et d’obtenir la paix entre les nations. Principe de non contradiction que seul le cerveau humain viole dans son imaginaire, mais pas dans la r�alit� physique. Simplement, il ne cesse de s’�tonner que cela ne fonctionne pas et sans s’en rendre compte pour les citoyens de tous pays, sombrent dans la folie selon la d�finition qu’en donne Einstein, � savoir, que la folie « c’est de refaire toujours la m�me chose et de s’attendre � un r�sultat diff�rent ».
  
  Je ne crois pas � l’�me des nations, car c’est un objet construit et non un �tre en tant que tel. C’est don un objet qu’on peut se d�faire, comme on peut se d�faire de sa voiture et qu’on garde que par f�tichisme. Idem pour la culture, sa conservation ne s’impose pas, ni sa destruction d’ailleurs, mais repose uniquement sur la volont� des gens de la conserver. De la faire vivre.
  
  Par contre, la nation est le moyen id�al pour envoyer se faire massacrer des millions de personnes volontairement et ce, pour le seul b�n�fice de ceux que la plupart des anti-mondialistes pr�tendent combattre. L� aussi, cela fait quelques milliers d’ann�es que cela dure et pourtant, les gens sont toujours partant pour aller se faire tuer ou envoyer leur prog�niture et de pleurer les morts et de v�n�rer les bourreaux.
  
  Sinon, le but des articles est de donner une solution qui permette la libert� individuelle et des peuples, mais avec une m�thode r�aliste et pouvant �tre mise en place instantan�ment, techniquement parlant. La v�ritable question est de savoir comment sortir les gens du conditionnement dans lequel ils sont si profond�ment plong�s et qui leur interdit de penser autre chose qu’un syst�me fait pour les maintenir ali�n�s.
  
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- Herv� Hum 14 mai 2018 08:10
  
  @arthes
  
  je ne rejette pas la nation en tant que culture, histoire, langue ou m�me religion, j’�cris que c’est un objet et non un �tre en tant que tel. On peut s’y attacher comme s’en d�tacher sans perdre son �me, alors qu’on ne peut pas se d�faire de son �me propre. Je vous invite � lire mon premier article « la fourmi dans la fourmili�re ».
  
  Toutefois, et c’est cela qu’il faut bien comprendre, c’est que la nation au sens de tout ce que vous d�crivez, ne r�side pas dans la souverainet�, mais dans la volont� des �tres qui lui donne pr�cis�ment leur �me de la faire vivre ou mourir.
  
  la souverainet�, c’est �tre juge et partie, c’est donc l’arbitraire et non la justice, c’est l’interdiction de passer d’un monde en guerre perp�tuelle et �tat d’urgence permanent, vers un monde en paix relationnelles.
  
  La perte de souverainet� nationale, ne fait pas perdre la nation dans tous ses autres attributs, mais permet au contraire de garantir � toutes les nations, petites et grandes, les m�mes droits et devoirs dans une communaut� o� c’est la conscience de vivre sur une seule et m�me plan�te qui guide la passion, par la raison. Parce que cette derni�re repose sur ses propres postulats et non sur l’arbitraire de la passion humaine, permet d’�tablir et d’imposer des r�gles d’�quit�s pour que chacun puisse vivre sa passion sans nuire � celle d’autrui.
  
  L’article c’est juste content� qu’on ne peut pas conserver la souverainet� et en m�me temps, vouloir un monde en paix relationnelles. C’est physiquement impossible, on ne peut avoir que des moments de paix dans un �tat d’urgence permanent, ce que veulent mettre en place les tenants du syst�me actuel et qu’Attali rappelle tr�s bien, parce que cet �tat d’urgence permanent est la condition n�cessaire du maintient du syst�me actuel.
  
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- Herv� Hum 14 mai 2018 18:01
  
  @arthes
  
  Je ne vois pas de contradiction avec ce que j’�cris. Je vous dit que l’�me des nations est la somme des �mes individuelles qui la composent et non une �me en propre.
  
  Cela veut dire que s’il n’y a plus d’�mes humaines pour la faire vivre, il n’y a plus d’�me de nations qui survivent. C’est une loi universelle qui fait qu’une plan�te, une �toile n’existent que par la somme des atomes qui l’a composent et seulement par cette somme.
  
  Autrement dit, je respecte totalement les �tres, et la solution qui �mergera consistera pr�cis�ment � permettre de sauvegarder au mieux la diversit� de ces �mes, non de les d�truire ou de les fondre dans un ensemble plus grand. Mais pour le comprendre, il faut comprendre le principe de division fractale, qui ne supprime aucun niveau, mais au contraire, se construit par l’existence m�me de chaque niveau et � cette condition, sinon, tout s’effondre.
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 10:18

Jean Roque est un cas, un pic un ROC. Ses copier-coller me font plut�t rire. Mais il oublie bien s�r que nos anc�tres � tous �taient des cueilleurs chasseurs qui allaient l� o� la r�colte �tait la meilleure et le climat le plus cl�ment (je leur dois mes sourcils noirs). Cela dit, sur certains aspects, il n’a pas tout � fait tort. Il n’est jamais bon de planter un arbre dans un terre qui ne lui convient pas de prime abord. Le d�racinement brutal peut faire de nombreux ravages sur le plan mental. Nos anc�tres ont probablement agit de mani�re bien plus progressive et par �tapes (Revoir les paliers dans le film : LE GRAND BLEU). Pour le reste, les m�langes g�n�tiques sont bien s�rs sup�rieurs au niveau de la qualit� des g�nes.

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- Herv� Hum 13 mai 2018 10:51
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  en Am�rique du nord, les nations iroquoises par exemples �taient chasseurs cueilleurs, mais s�dentaris�. Ils avaient une tr�s grande connaissance de leur milieu. Savaient g�rer les ressources naturelles et stocker des vivres.
  
  Pour interdire la dictature et apr�s des guerres sanglantes qui avaient �puis�es toutes les nations en conflits, il finirent par se conf�d�rer et r�diger une constitution (orale) avec des r�gles communes, donc, avec une force coll�giale. Constitution connue sous le nom de « grande loi de paix »
  
  Toute tentative de prise de pouvoir conduisait soit au bannissement, soit � la mort du chef incrimin�. En fait, le pouvoir du « chef » �tait de parler et d’�tre le porte parole, mais pas de commander.
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 10:35

Comme Herve Hum �vite soigneusement de se confronter � mes commentaires, j’en d�duis que je suis la tierce exclue.

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- Herv� Hum 13 mai 2018 10:44
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  d�sol�, je viens de vous r�pondre et ne manquerait plus de le faire
  
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- M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 11:13
  
  @Herv� Hum
  
  Merci, LE LIENS. Petite anecdote perso. Je sais, on me reproche de raconter ma vie. Je suis belge et du c�t� de mes grands-parents paternels, ma grand-m�re, il y avait des catholiques pers�cut�s par les protestants qui ont fui vers l’Or�gon. Je l’ai appris par G�n�anet. Un film raconte l’histoire d’une jeune de ces familles qui a fui pour vivre avec les indiens. Il m’arrive de penser que cette anc�tre communique avec moi par t�l�pathie et sympathie. Voici le film en question et son superbe titre. http://www.lalibre.be/culture/cinema/canaan-le-nouveau-film-revolutionnaire-du-belge-jan-bultheel-58c2646fcd705cd98ddb3ad6
  
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- Herv� Hum 13 mai 2018 11:28
  
  @M�lusine ou la Robe de Saphir.
  
  ma foi, les protestant pers�cutaient les catholiques, qui les pers�cutaient aussi.
  
  le lien est ici
  
  j’irai jeter un oeil sur le film.
  
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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 11:14

Le LIENS SANS « S » mais c’�tait symbolique.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 12:03

Re-bonjour, remplacez comp�tition par �mulation. Exemple : j’adore jouer au scrabble. En toute logique, j’avais appris � jour CONTRE mon adversaire. Mauvaise tactique. Celui-ci m’ expliqu� un autre point de vue bien plus int�ressant : se concentrer sur le jeu et faire A DEUX, le maximum de points. En confrontant nos lettres,... Essayez, vous verrez, c’est instructif.

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M�lusine ou la Robe de Saphir. 13 mai 2018 12:15

Corrig�. Re-bonjour, remplacez comp�tition par �mulation. Exemple : j’adore jouer au scrabble. En toute logique, j’avais appris � jour CONTRE mon adversaire. Mauvaise tactique. Celui-ci m’a expliqu� un autre point de vue bien plus int�ressant : se concentrer sur le jeu et faire A DEUX, le maximum de points. En confrontant nos lettres,... Essayez, vous verrez, c’est instructif.

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eric 13 mai 2018 12:55

Je n’ai pas lu l’article, mais je voudrai vous signaler une petite erreur d’orthographe. Toute sa vie, Maximilien a sign� De Robespierre.

Il ne semble pas qu’il existe des exemples d’une autre signature ; C’est apr�s sa mort que vraisemblablement, ses sectateurs on chang� l’orthographe, pour tenter, sans doute , de faire oublier ce c�t� pr�tentiard et populiste de cet aristo en devenir. Car � c�t� de cela, il semble aussi qu’il ait fait mine de se faire nommer juste Robespierre, en public, et dans certains cas. Cela est d’autant plus significatif que le seul vrai noble d’�p�e de cette bande �tait Saint-Just. Et ce malgr� les pr�tentions des autres. Comme la plupart des r�volutionnaires, Danton est issu de la bourgeoisie de robe et de finance, en voie d’agr�gation � la noblesse par l’achat de charge de judicature et de fiefs. Marat, ou Monsieur De Marat, comme il se faisait appeler, ne parvint pas � faire reconna�tre son titre de conte, maisil n’en pense pas moins.

Que cette joyeuse bande d’arrivistes, d’aristocrates demi-soldes, se fasse passer comme « du peuple » ne serait nous surprendre. Cet h�ritage a en effet �t� conserv� jusqu’� nos jours.

Aujourd’hui encore, d�s qu’on choppe un gaucho incendiaire, c’est un fils de...
NB On se souvient que L�nine appartenait � la noblesse de robe.

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- Herv� Hum 13 mai 2018 14:15
  
  @eric
  
  Maximilien Robespierre ou de Robespierre peu importe. J’aurais �cris le nom avec la particule, il y aurait eut quelqu’un pour dire le contraire.
  
  Simplement, de Robespierre ou Robespierre n’�tait pas le monstre que les historiens en ont fait pendant longtemps.
  
  ce qui m’importe, c’est de savoir si oui ou non Robespierre mettait en pratique quand il dit
  
  "Je ne suis pas le d�fenseur du peuple. Je n’ai jamais pr�tendu � ce titre fastueux ; je suis du peuple, je n’ai jamais �t� que cela, je ne veux �tre que cela ; je m�prise quiconque a la pr�tention d’�tre quelque chose de plus. "
  
  et l�, d�sol�, mais les faits montre qu’il pensait ce qu’il disait, par contre, vous, je ne vous connais pas pour juger de vos motivations ni de vos sources pour affirmer que Robespierre �tait un arriviste. Par contre, le fait d’amalgamer Robespierre aux autres est une vieille technique pour disqualifier, d�nigrer quelqu’un.
  
  pour finir, le sujet de l’article que vous n’avez pas lu et ne semblez pas vouloir lire n’est pas Robespierre et donc. Bonsoir et au plaisir de ne plus vous lire.
  
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Essai sur la soci�t� des citoyens responsables - de la relation entre coop�ration et comp�tition

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