lundi 5 septembre 2022 - par Arthur Beneditis

Graphologie de la signature de Macron et du logo de « En Marche ! » ? Arrested development ?

Macron : que révèle l'évolution le logo de « En Marche ! » et son évolution ? S'il y a un lieu où se condense l'identité d'un homme, ou d'un mouvement, et surtout lorsque l'un et l'autre ont été longtemps si peu distincts... c'est bien un logo... surtout quand celui-ci est travaillé à partir d'une signature présidentielle. L'analyse graphologique de cette dernière et du logo de En Marche ! (puis des avatars qui suivirent) en dit long sur l'homme.

D'abord, je tiens à remercier les nombreux commentateurs de l'article consacré à la morphopsychologie du visage de Monsieur Macron. Je me souviendrai toujours de cette remarque : « Après 40 ans, notre visage devient ce que nous en faisons ». Et on voit bien, en effet, apparaître sur les traits de notre président cette dureté et cette absence d'empathie qui paraissent de plus en plus le caractériser.

Maintenant nous allons parler grapho, mais avant un aparté...

Rares sont les présidents qui ont fait de leurs noms les emblèmes de partis. Cependant, Charles de Gaulle a donné son nom au mouvement qu'il a créé. Nommé pourtant le RPF (Rassemblement du Peuple français, créé en 1947), il devint vite le mouvement gaulliste : on était gaullistes, quand d'autres étaient communistes, socialistes, etc. C'était identitaire. A l'intérieur du parti socialiste, les courants étaient incarnés par les hommes : on était rocardien, mitterrandiste, chevénementiste, etc., mais on était « socialiste » pour le dehors. Même si tous ces mots ne veulent pas dire grand chose, dans les totalitarismes Mussolini était « fasciste », Staline « communiste », Hitler « national-socialiste ». Si l'on passe sur ces extrêmes, qui nous concernent peu par rapport à la situation française, le seul (relatif) culte de la personnalité a été celui du fondateur de la Cinquième République. Et encore, celui-ci n'a-t'il jamais revendiqué ne se représentant que lui-même, mais d'être à la fois « l'état, la nation et la France ». Ce qui est déjà assez mégalo et beaucoup : mais encore avait-il à son actif une énorme historicité, ce qui fut également le cas, dans une moindre mesure, de François Mitterrand. De Gaulle, une fois au pouvoir, ne fut tout de même pas l'ardent promoteur de la liberté d'expression, de la séparation des pouvoirs, de l'indépendance de l'audiovisuel. Il s'arcbouta contre les prises d'autonomie des journalistes mais fut, peu à peu, emporté par le vent de l'histoire et ne put rester hégémonique. Face à ces figures historiques, il faut bien dire que Monsieur Macron fait pâle figure... mais représente un grand risque pour l'état de droit.

En effet, à l'inverse de ses prédécesseurs, il profite d'un mouvement global où on assiste, au niveau mondial et, pour le moment, à une diminution du nombre des états démocratiques, à une montée des mouvements identitaires. Aux USA, Joe Biden vient de qualifier Monsieur Trump de « semi-fasciste ». Ceci n'est pas pour dire que Monsieur Biden est une figure exemplaire du mouvement démocratique : à ce que je sache, il tente toujours de faire venir Julian Assange dans ses geôles, alors que celui-ci n'a fait que son métier de journaliste.

Monsieur Macron est lui absolument non rattachable à une idéologie quelconque. Si c'était le libéralisme, par exemple, jamais avant lui l'Etat n'a eu autant recours à la dette publique, et n'a pesé autant de poids d'impôts (sur les classes moyennes et les petits entrepreneurs). Tout au plus est-il soupçonné par certains avoir organisé de grands transferts financiers vers les oligarques qui ont contribué à ses élections : alors ce ne serait pas une idéologie, mais du pillage.

Il est donc intéressant de de faire la graphologie du logo de « En Marche ! », devenu « La République en marche », puis « Renaissance ». Ces expressions et dénominations sont en effet étroitement liées à l'écriture elle-même de Monsieur Macron, dont elles découlent. Et l'analyse graphologique de tout cela donne un sens. Et, le moins que l'on puisse en dire, c'est qu'elle pourrait bien esquisser une pathologie.

Analyse graphologique : esquisse

Si on regarde à droite de l'image la signature de « En Marche ! », suivi par en-dessous de la signature de « Emmanuel Macron », et que l'on observe l'une des signatures de Monsieur Emmanuel Macron, que constate-t-on (une de ses signatures, je le souligne, parce qu'il en change souvent) :

- Emmanuel Macron est parti des majuscules de son prénom et nom pour décliner le nom de son mouvement « En Marche ». Cela n'est absolument pas neutre. On note, en haut comme en bas, les « jambages » des deux initiales comme très posés. Le « E » est bien assis, mais le « M » l'est beaucoup moins, puisque sa deuxième barre dépasse largement. Mais cela peut à la rigueur lui donner de l'enracinement, en symétrie avec le « n » minuscule de « En ». Mais si ces deux lettres poussent leurs racines, il n'en reste pas moins qu'elles flottent dans l'espace de l'affiche. Il faut donc qu'elles reposent sur quelque chose, qu'elles s'ancrent... Or, si elles se posent , c'est typographiquement sur la ligne inférieure, qui est la signature elle-même de... « Emmanuel Macron ». Et, ce qui intéressant, c'est que si le prénom « Emmanuel » est assis, posé, il n'en est pas du tout ainsi du nom, « Macron »  : le « M » majuscule est en déséquilibre prononcé. La première jambe du « M » est en effet comme recroquevillée, alors que la deuxième jambe du « M » s'étire longuement vers le bas, jusqu'à approcher de la limite inférieure de l'affiche elle-même. Essayez donc de poser quelque chose sur deux jambes dont l'une est plus courte de moitié !

Symboliquement, cela signifie que « En Marche » s'enracine sur « Emmanuel Macron », mais hélas « Macron » est en déséquilibre avec les deux jambages du « M » désaccordés...

Psychologiquement, cela signifie que l'homme se sent plus apaisé dans son prénom, mais que son nom lui pose problème.

Un déséquilibre ontologique autant que psychologique

Autrement dit : graphologiquement, ce sont deux déséquilibres posés l'un sur l'autre.

Si, à présent, nous regardons la deuxième signature, à la suite de sa phrase manuscrite (« Je veux qu'ensemble nous retrouvions l'énergie du peuple français : être fiers, libres et solidaires. Car le France est une chance »... ici, le sujet n'est pas de pointer en exergue à quel point cette phrase est creuse : mais on comprend mieux pourquoi l'homme a échoué à Normale sup'. ). Ici, à la suite de cette phrase (ou de cet emblème du vide), la signature est presque totalement dissemblable de la signature de l'affiche : plus dissemblable, ce n'est pas possible. « Emmanuel » y est longuement déroulé, non pas posé, mais penché vers le haut (symbole évident d'un désir d'ascension sociale), et dans « Macron » nous retrouvons à un point plus aigüe la disharmonie du « M » précédemment évoquée – le tout étant souligné, soit en double-affirmation du « Je ». En outre... il y a 7 lettres dans « Emmanuel » et 6 dans « Macron » : mais ici « Emmanuel » prend les deux-tiers de l'espace, n'en laissant qu'un tiers à « Macron ».

Donc nous retrouvons bien l'antagonisme « Emmanuel » vs « Macron » souligné dans l'affiche, où la signature apparaît en quelque sorte contrainte... mais exprimant, comme en catimini, cachée, cette dissociation entre le nom et le prénom.

Ensuite, « En Marche » est suivi d'un point d'exclamation. Pourquoi, si on est « En Marche », doit-on le souligner par un point d'exclamation ? Si on est « en marche », soit on ferme par un point ; ou on ouvre trois points ; ou par une virgule, ou par deux points, qui seraient suivis d'une deuxième séquence de phrase, nous expliquant pourquoi on est « en marche ».

Une affiche-phare semblable à une impasse hyper-urbaine

Là, rien de tout cela : le point d'exclamation semble arrêter le mouvement. Et, dans la composition de l'affiche, il vient se choquer sur l'arrière-gauche de la tête du personnage (Monsieur Macron ?) qui arrête l'effort dynamique de la phrase. Quant au personnage, il se présente de dos. Il est donc impossible de le saisir dans son expression : il nous tourne littéralement le dos !

Qui plus est, il regarde vers la Tour Eiffel, symbole du Dix-neuvième siècle ; et vers Paris, symbole de l'hyper-urbanité, à l'heure de la souffrance des Frances périphériques, totalement ignorées ici (pas plus qu'il n'y a un cm2 de nature).

L'absence de verbe possède un sens tout simple. Pas de verbe, pas de phrase, pas de dynamique, pas de sens. Je pourrais écrire aussi bien : « En course » ; « En stabulation » ; « En l'état » ; « En transit », etc.

Mais le mieux est encore à venir : dans la campagne de 2017, on a repris la même thématique, mais en enlevant tout ce qui est manuscrit. « En marche ! », quant à lui, devient « Ensemble ! ». Comme si l'on souhaitait dépersonnaliser la communication, en remplaçant le tout par une typographie très basique, sommaire (ce serait du times, par exemple... mais ça ferait sans doute trop littéraire). Et de nouveau un point d'exclamation vient à droite arrêter le tout : pourquoi ce point d'exclamation ? Le fait d'être supposé « Ensemble » est-il si étonnant qu'il faille le souligner par un point d'exclamation ? Pas plus que dans la communication de 2017, on nous donne ici nulle explication sur pourquoi nous sommes ensemble, exactement (ou voudrions l'être). On nous indique juste : « majorité présidentielle »... Et là, aucune majuscule... Tout en petites majuscules. « Ensemble ! » en majuscules repose ici sur « majorité présidentielle » - qui repose sur un fond blanc, donc sur rien.

En fait, ce qui nous est dit ici implicitement c'est que le sujet est clôt.

Donc en départ nous étions « En marche ! » assis sur un déséquilibre graphologique, soit « Emmanuel Macron ».

Une renaissance qui serait une involution mais non une évolution : arrested development ?

Cinq ans passent : nous voici alors « Ensemble ! » assis sur une « majorité présidentielle ».

Mais nous ne savons toujours pas pourquoi, pour aller vers où. Le « E » de « Ensemble » renvoie, lui, à l'initiale de « Emmanuel ». « M » et « Macron » ont, donc, disparus symboliquement dans l'affaire : reste juste l'initiale de « Emmanuel », devenu celle de « Ensemble ». En quelque sorte, nous sommes emmanualisés (ou on nous propose de l'être)... et, pourquoi pas, vassalisés ?

Souvenez-vous : on connaît les rois par leurs prénoms, moins par leurs noms.

Pour savoir vers quoi nous allons concrètement, peut-être devrions-nous alors faire l'exégèse de la phrase de 2014 : « Je veux qu'ensemble nous retrouvions l'énergie du peuple français : être fiers, libres et solidaires. Car le France est une chance »... En 2017, c'est au final comme si l'on avait repris cette phrase, enlevé tous ses mots pour ne plus laisser que « ensemble ».



30 réactions


  • hans-de-lunéville 1 5 septembre 2022 11:48

    Vous allez vous faire Méluniser.


  • Gasty Gasty 5 septembre 2022 12:25

    Une étude graphologique ne vaut pas grand chose pour déceler la personnalité d’une personne surtout quand on sait qui est la personne. Ces études graphologiques servent à déceler des ressemblances ou tentatives de dissimulations dans l’écriture ou création de faux documents.

    Pas besoin d’une étude graphologique pour savoir qui est Macron. Il y a suffisamment d’éléments plus révélateur dans ses comportements.


    • Mirlababo 6 septembre 2022 21:37

      @Gasty
      Moi j’en avais besoin. Cela fait 5 ans que j’attendais une expertise d’un expert renommé sur Agora.

      Ne boudez pas notre plaisir, ne gâchez pas notre joie.


    • Clouz0- Clouz0- 11 septembre 2022 21:48

      @Mirlababo
      Nabsolument !

      Une nexpertise ça change tout. surtout quand c’est un nexpert qui la produit.

      Et là... Même dans le journal de Mickey ils ne font pas mieux.  smiley
      C’est dire la qualité de la nexpertise !


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 13:21

    Parfaitement expliqué dans l’article de soleil de lumère. La lettre MEM (la mort au Tarot). Et comme par hasard elle désigne LA GRAND MERE. (dont on connaît l’importance dans la vie de Macron (une des étymologie : MACQUART). Vous y verrez la différence en Ma et MI. Ma, la matière qui incline à la phase involutive vers la MAtière. Pour un philisophe. Traduction : ses chaussures collent dans la boue... 

    24 janv. 2013 — Le mem est la lettre de l’eau, symbole de l’écoulement de la vie et de la sagesse divine. La lettre mem suggère simultanément le révélé et le ...

    http://soleildelumiere.canalblog.com/archives/2013/01/24/26239902.html


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 13:30

    Le « ma » est involutif. Il entraîne vers la mort. Je me souviens du décès au début du mandat d’une « marcheuse »...STRESS !!! comme par hasard l’accès au Site de Soleil est bloqué... En résumé : MA, c’est la descente. Mi le sens évolutif vers le spirituel. A t-il seulement lu PLATON ? Et en wallon : Macron donne Makralle (sorcière)....


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 13:39

    Ces eaux sont essentiellement une matrice. Lorsqu’une mère porte un enfant dans son ventre, elle reconstitue ses eaux primordiales, car le liquide amniotique dans lequel baigne l’enfant, a la même teneur que l’eau de mer. Et celui qui doit être le maître de ces eaux matricielles c’est Yod, les eaux sont grosses de Yod. 

    Dans le deuxième jour (jour symbolique) de la Création, Dieu sépare les eaux d’en haut qui sont appelées le MI, le monde archétypique, principiel, incréé, des eaux d’en bas qui sont appelées le MA, le monde créé, le monde de la manifestation, celui auquel nous appartenons. Et tout aussitôt que Dieu eut séparé ces eaux, Il les relie comme en témoigne le mot « SHAMAIN », l’étendue, c’est-à-dire qu’elles sont séparées et pas séparées, ce qui est encore une de ces contradictions fondamentales. 

    Le mot Shamaïn est fait de ce même Maïm avec en plus la lettre SHIN que nous étudierons plus tard et qui contient, qui symbolise, la réserve énergétique qui se trouve dans les profondeurs de la Création et dans les profondeurs de chacun de nous, réunissant le monde des archétypes et le monde de la manifestation en nous. La lettre SHIN est la charnière du monde d’en haut et du monde d’en bas. 

    Il aurait gagné à inverser le sens : de Macron à Emmanuel. En plus « cron » en Belgique signifie : bossu...


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 14:18

      Merci @L’autre côté cela colle avec la sortie du silence de Zemmour (son anniversaire n’étai pas loin...(31 aout). Hier, c’était l’anniversaire de la date de naissance de Moîse : un QUATRE bien sûr.... Car vaut mieux marcher sur quatre pieds. Il s’agit alors de changement de chiffrage ou de changement de mesure. Lorsque deux mesures différentes sont utilisées en alternance (régulière ou non), par exemple un 3/4 suivi d’un 4/4 de manière cyclique, on utilise parfois un double chiffrage au début (ici 3/4 et 4/4) afin d’alléger la partition. Néanmoins, il est admis qu’une mesure asymétrique conviendrait mieux (ici un 7/4 en 3+2+2).


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 13:44

    Donc un temps. On retrouve cela dans beaucoup de mythes. Il faut dix années avant que Thésée aille affronter le Minotaure. Cela représente également une porte à passer. Il en est de même pour le séjour de Noé dans l’Arche. Lorsque la colombe qui indique le temps ne revient pas, Noé sait qu’il doit quitter l’Arche. S’il n’en sort pas, il meurt. Ce n’est que lorsqu’on a obéi à tous ces espace-temps, qu’on dépasse le temps. Et le psalmiste chante alors : « Il n’y aura plus ni jours, ni nuits (symboles de l’espace-temps), car Yod-Hé-Vov-Hé, aura rejoint la lumière à toujours ». L’homme, devenu Yod-Hé-Vov-Hé, aura rejoint les archétypes, il aura complètement dépassé la dualité espace-temps. 

    Il faut entrer dans la matrice pour naître. La connaissance, c’est « naître avec ». Le véritable enseignement n’est pas celui qui nous est donné de l’extérieur, c’est ce que Socrate découvrait avec la maïeutique. Nous portons la connaissance en nous, nous sommes des êtres parfaitement connaissants dans les profondeurs de notre être.

    Quarante ans..... 


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 13:48

    Le mot : EN MARCHE signifie qu’il a sauté l’étape de la maturation (4-40-400) pour arriver au pouvoir.


    • Gasty Gasty 5 septembre 2022 14:12

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      « En voiture Simone »Ca voudrait dire quoi ???


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 14:10

    La patience est un arbre dont la racine est amère, mais dont les fruits sont doux...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 14:25

    Mais la Royal a ouvert la voie... (encore un signe de la vierge : mercure). Mars est pour cinq mois dans le signe des gémeaux. Signe qui représente aussi le SPHINX des médias ou journaleux..... 

    Revoilà Eric Zemmour. Après sa débâcle à l’élection présidentielle puis ses revers aux élections législatives qui ont suivi, le président de Reconquête ! avait pris distance avec tous les médias.

    Mais il vient de sortir du silence en accordant une interview à BFMTV. Dans celle-ci, Eric Zemmour revient sur les raisons de son échec. « Les thèmes de la campagne n’intéressaient ni les médias, ni les gens », confie l’homme politique, qui estime que la guerre en Ukraine a totalement chamboulé la campagne. Cette dernière a « basculé dans un autre univers » lorsque que le conflit a commencé, assure-t-il.

    S’il justifie son faible score à la présidentielle (7%) par cette raison principale, Eric Zemmour reconnaît qu’il n’y a pas que cela qui a joué. « Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’erreurs ici et là », a-t-il ainsi avoué, avant de confier qu’il avait beaucoup écrit durant l’été « pour comprendre ce qu’il s’était passé ».

    Finalement, le président de Reconquête ! reste assez déterminé. « J’ai réfléchi, j’ai pensé arrêter et puis je me suis dit : je ne me suis pas lancé en politique pour avoir des postes ou diriger un parti. Je me suis jeté à l’eau pour tenter d’arrêter la disparition programmée de la France. » Avant d’ajouter : « J’ai eu tort électoralement mais pour l’Histoire, j’ai eu raison. Je me suis dit : tu es le seul à pouvoir porter ce combat. »

    A noter qu« Eric Zemmour est également revenu sur les propos polémiques de Ségolène Royal, qui mettait en doute les crimes de guerre en Ukraine (l’ex-compagne de François Hollande a finalement présenté ses excuses ce samedi !). L’essayiste a pour sa part pris sa défense :  »Il est courageux de ne pas accepter le discours imposé par les médias et moi, je le fais. Il y a une doxa imposé par les médias, et les gens comme Ségolène Royal et moi, nous la contestons."



  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 14:28

    A moins d’un évènement exceptionnel : 2026 verra le bout du tunnel... Courage...


  • zygzornifle zygzornifle 5 septembre 2022 14:40

    En marche puis renaissance, on change le nom mais une merde restera un caca, une crotte ou un étron quelque soit son nom ..... 


    • Samson Samson 5 septembre 2022 17:06

      @zygzornifle
      Absolument !
      Il n’en reste pas moins que - par la grâce pavlovienne du marketing et de ses slogans publicitaires répétés en boucle et jusqu’à la nausée dans la petite lucarne et ailleurs - cette évidence semble désormais échapper à une majorité d’électeurs suffisamment formatés et lobotomisés pour l’avoir triomphalement réélu ! smiley

      En Marche vers Nulle Part, on avance à toujours plus grands pas !

      Pauvre France ! smiley


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 5 septembre 2022 14:45

    8 septembre fête de Marie. Décès de Pierre Bergé. Quand Marie écrase le serpent....


    • Lynwec 5 septembre 2022 21:05

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      Une question ( malicieuse voire impertinente ) me vient à l’esprit .

      Seriez-vous payée au message ? Votre production sur chaque fil semble inégalée et inarrêtable (même si je n’ai pas pris la peine de comptabiliser...)


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 septembre 2022 09:35

      @Lynwec rien de tout cela. Toute ma vie je m’amuse à faire des liens. De par ma profession ou quand j’étais lissière ou même q’e je me détendais en montant des pulls irlandais. On parle de pensée en arborescence. Certains parfois son bons. D’autres moins. Cela me permet de bien démarrer la journée.... C’est ainse. Dans un arbre, cerains fruits sont meilleurs que d’autres et apportent des vitamines. D’autres trop acides, pas mûr. Chacun cueille ce qu’il veut ou crache dessus. C’est une moyenne imagée de l’humanité... Il m’arrive de me contredire. D’aller sur un chemin et constater qu’il n’est pas le bon. L’important n’est pas la certitude, mais le réflexion....


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 septembre 2022 09:46

      Je n’ai pas du tout l’impressions d’envahir. Agora, excepté les articles polémiques, est une île déserte...


    • Jean Keim Jean Keim 6 septembre 2022 18:50

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      Je pense que parfois vous prenez des vacances et pendant ce temps un nègre, parlant petit nègre, vous remplace et ne se relit pas, lequel des deux est authentique.


  • Samson Samson 5 septembre 2022 16:45

    « Souvenez-vous : on connaît les rois par leurs prénoms, moins par leurs noms. »

    Ben, en anagramme, Macron donne Monarc, ce qui s’entend Monarque.

    Eu égard au narcissisme exacerbé du personnage, nul doute qu’il n’ait sinon dès l’enfance dès l’adolescence fait le lien pour s’élaborer une destinée hors commun, ce pourquoi il s’est jusqu’ici pas trop mal débrouillé.

    Quant à l’usage du point d’exclamation dans les sigles « En Marche ! » et « Ensemble ! », on peut l’interpréter comme l’introduction sans verbe d’une forme d’impératif !

    Quant aux buts visés par ces impératifs « En Marche ! » ou « Ensemble ! » ainsi que la teneur exacte sinon l’élire de « notre projet », peut-être valait-il mieux pour notre giton de Rothschild et larbin attitré du Nouvel Ordre Mondial ne pas trop le préciser s’il voulait garder ne serait-ce qu’une chance d’être élu !

    Un des principes de la com’ managériale pour mieux vendre du vent, c’est qu’il convient de soigneusement maintenir le chat dans un sac bien fermé jusqu’à ce qu’il soit fourgué : mission accomplie ! smiley smiley smiley


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 septembre 2022 10:15

    En plus, cette « dualité » correspond aux signes chinois de Brigitte et Emmanuel. Serpent de feu et serpent d’eau. Pour bien fonctionner, ils leur manque le bâton central teminés par une pomme de PIN ( On disait qu’Asclépios s’était servi de ce bâton pour blesser un serpent ... Ornée de 4 pommes de pins ( symbole de sagesse et de la glande ...) le troisième oeil ou glande pinéale..... Caducée d’HERMES. La question : maIs où se trouve Hermes qui seul permet de rassembler les opposée et acccorder le MI et le MA ? Ce n’est pas « en même temps ». Mais en alternance. Inspir, et expir. Je pense qu’il a du mal a trouver le rythme. Devrait se mettre à la musique. Mais paraît qu’il n’a aucun hobby (excepté le Jet sky). Ce n’est pas Soliman le Magnifique.... ces temps là sont révolus..... ? . Pour le moment il tente le gris : le mélange, reste une marionnette. Comme il y a eu le petit père des Peuple (Staline) avec Marie. Il y a le petit mari, bientôt marri (de Marie). On lui a soufflé écologie. Bon, O.K. on tente le coup. Mais rien ne vient de lui.... 


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 septembre 2022 10:18

    Hommage à Soliman. 

    À la tête de son empire en pleine expansion, Soliman instaura des changements législatifs concernant la société, l’éducation, l’économie et le système judiciaire. Son code civil (appelé Kanun) fixa la forme de l’empire pour plusieurs siècles. Soliman était non seulement un poète et un orfèvre, mais également un mécène qui supervisa l’âge d’or de l’art, de la littérature et de l’architecture ottomanes. Il parlait quatre langues : le turc ottoman, l’arabe, le tchaghataï (un dialecte turc apparenté à l’ouïghour) et le persan.

    En rupture avec les traditions ottomanes, Soliman épousa l’une des filles de son haremRoxelane, qui devint Hürrem Sultan ; ses intrigues en tant que reine à la cour et son influence sur le sultan assurèrent sa renommée. Leur fils, Sélim II, succéda à Soliman à sa mort en 1566. Le règne de près de 46 ans de Soliman demeure le plus long de l’histoire de l’Empire ottoman.


  • Jean Keim Jean Keim 6 septembre 2022 18:40

    Il serait intéressant de le voir apposer sa signature, pour en observer le rythme et les séquences.

    Le E de Emmanuel est écrit en 3 traits et résultat il ressemble au symbole de l’euro (€) lui également dessiné en 3 traits, c’est un énorme lapsus, finalement il n’assume en aucun cas la signification de son prénom ‘’Dieu (Jupiter) parmi nous’’.


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