vendredi 23 décembre 2011 - par François Asselineau

Non, le FN ne veut pas sortir de l’UE... ni même de l’euro !

À force d'entendre les partisans de Mme Le Pen, mais aussi tous les médias et les partis installés, prétendre que le Front national propose la sortie de l'Union européenne – ce que nous savons faux –, nous avons voulu proposer une vérification approfondie à partir des textes officiels de ce parti qui est, comme nous l'avons montré précédemment, un épouvantail consentant au service du système. Les paroles ont tendance à disparaître dans les airs ou à être mal interprétées, alors que les écrits, eux, restent, et que chaque mot compte... En examinant attentivement la prose du FN, le lecteur constatera que ce parti n’a aucune intention de sortir de l’UE, et n’a même pas véritablement l’intention de sortir de l’euro !
Reprenons point par point plusieurs propositions du programme du FN. Pour les sceptiques, elles sont disponibles sur ce site.

1. Europe

a) « Dans le cadre de l’article 50 du Traité de l’Union Européenne, il convient d’initier une renégociation des traités afin de rompre avec la construction européenne dogmatique en total échec. »
Le FN propose donc « d'initier une renégociation des traités », ce qui signifie discuter avec les gouvernements des autres pays membres de l'UE pour savoir s'ils seraient éventuellement d'accord pour accéder, peut-être, un jour, à nos requêtes. La détermination est donc plus qu'incertaine. Et la méthode est très douteuse. Le FN veut renégocier les traités « dans le cadre de l'article 50 ». Mais l'article 50 n'est pas fait pour renégocier quoi que ce soit, l'article 50 est fait pour sortir unilatéralement et complètement de l'Union européenne  : « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. »
Ainsi, invoquer l'article 50 pour aboutir à une renégociation des traités relève à la fois de l'erreur (volontaire) et du chantage. C'est doublement condamnable. D'une part, un candidat à la présidentielle ne peut se présenter comme un maître-chanteur ou un joueur de poker, c'est indigne de la fonction à laquelle il aspire. D'autre part, c'est évidemment méprisant pour les partenaires européens de la France, avec lesquels nous devons conserver de bonnes relations après notre sortie de l'UE – et toutes les bases sont là pour cela (traité d'amitié franco-allemand, Conseil de l'Europe, etc.).
Sous la pression de l'UPR, le FN mentionne pour la première fois l'article 50, mais de quelle manière ! Nous ne le laisserons pas salir et rendre confus ce formidable instrument de libération.
Remarquons au passage l'emploi de l'expression « rompre avec la construction européenne dogmatique en total échec » qui laisse entendre qu'une construction européenne non dogmatique pourrait être mise en place et réussir. Nous sommes ici parfaitement dans le registre de l' « autre Europe » (qui ne saurait avoir lieu, comme François Asselineau ne cesse de le démontrer).

b) « [Il faudra] que la contribution nette de la France au budget européen soit nulle, afin de dégager des marges pour le soutien notamment de notre agriculture. »
Une contribution nulle signifie : si je donne 100, je veux recevoir 100. Mais, au fait, si la France sort de l'UE, pourquoi avoir besoin de préciser ce point ? La sortie de l'UE serait le meilleur moyen de ne plus avoir l’occasion de déléguer à des autorités non élues le pouvoir d'accaparer et de dépenser l’argent collecté sur les impôts des Français.

2. Défense

« Recentrer notre stratégie et assurer notre indépendance. Il faut que la France soit en mesure de défendre par elle-même ses intérêts et de garantir sa sécurité. Pour cela, il faut dénoncer la participation de la France au commandement intégré de l’OTAN. »
Tiens donc, le FN veut sortir seulement du commandement intégré, donc il ne veut pas sortir complètement de l'OTAN. De plus, comme on ne sait pas si le terme « dénoncer » est ici à comprendre dans son acception juridique – utile ambiguïté... –, on est en droit d'affirmer que « dénoncer la participation de la France au commandement intégré de l’OTAN » (ce que prescrit le FN) et « sortir la France du commandement intégré de l’OTAN » (ce qu'il faudrait faire au minimum) sont deux choses tout à fait différentes.
Nous avons ici affaire à une figure classique de la langue de bois politicarde visant à séduire les électeurs distraits. Elle consiste à « dénoncer », à se « scandaliser » d'une situation dont on s'accommode en fait très bien. Si vous lisez attentivement, vous constatez que ces protestations verbales n'engagent à rien.

3. État fort

a) « La loi française retrouvera sa supériorité sur le droit européen dérivé (directive, règlement, etc.). Ces éléments feront l’objet d’une discussion avec nos partenaires européens dans le cadre de la renégociation nécessaire des Traités européens. La France se tiendra à sa doctrine en cas d’échec des négociations. »
Encore une renégociation. Nos partenaires risquent de se lasser… Pourquoi devoir préciser que la loi française restera supérieure à la loi européenne si nous devons sortir de l'UE ?

b) « Tous les bâtiments publics de France, qu’il s’agisse des administrations centrales ou locales, devront en permanence porter le drapeau français. Le drapeau de l’Union européenne ne sera plus autorisé. »
Pourquoi interdire les drapeaux de l'UE sur les bâtiments publics de France si nous sortons de l'UE ? Ces drapeaux n'auraient plus lieu d'être, tout simplement !

c) « Arrêt de la transposition des directives de libéralisation des services publics marchands. »
Pourquoi poser le problème des transpositions de directives si nous sortons de l’UE ? Ou si la loi française redevient supérieure au droit dérivé de l’Union ?

4. Services publics

a) « Une renégociation des Traités européens sur la question des services publics mettra fin au dogme de "la concurrence libre et non faussée", et à l’obligation de libéralisation des services publics.
Dans l’immédiat, l’application des directives européennes de libéralisation des services publics sera gelée, s’agissant en particulier du transport ferroviaire et des services postaux. »
Quatrième renégociation des traités ? Eh bien...

b) « [L]es tarifs de l’électricité et du gaz seront directement réglementés par l’État et la loi NOME abrogée. »
Oui, bien sûr, abroger la loi européenne dite « NOME » est une bonne chose ; encore faudrait-il que les renégociations avec nos partenaires européens sur la « supériorité de la loi française vis-à-vis de la loi européenne » (voir le point 3.a) débouchent sur un accord. Et qui peut croire que les 27 pays tomberont d'accord sur ce sujet (comme sur les autres) ? Les « souverainistes » prospèrent sur des promesses qu'ils savent irréalisables. Seuls leur aplomb et leur exposition médiatique leur permettent encore de faire illusion.

‎5. Agriculture

a) « La France abandonnera la PAC au bénéfice de la PAF (Politique agricole française) permettant un développement stratégique plus justement réparti entre petites et grosses structures agricoles.
Pour cela, la France adoptera cette politique agricole nationale ambitieuse financée par la réduction de sa contribution globale au budget européen, dans le cadre de la renégociation des traités européens qui sera entreprise dès 2012. »
Et encore une proposition suspendue au résultat – très hypothétique – d'une renégociation des traités européens. Il est profondément malhonnête et irresponsable d'essayer de faire son beurre électoral avec des promesses attrayantes lorsque l'on sait que les conditions pour atteindre l'objectif politique sont impossibles à satisfaire.

b) « La création d’un Conservatoire du patrimoine viticole et le refus des plans d’arrachage de vignes demandés par l’Union européenne. »
Si la France est sortie des traités européens, pourquoi aurait-elle besoin de refuser une demande de l'UE ?

6. Emploi, réindustrialisation

a) « [L]a France remettra en cause l’ensemble des contraintes absurdes imposées par l’Union européennes [sic] et qui interdisent, au nom d’une politique de la concurrence dévoyée, toute politique industrielle réelle.
En particulier, une renégociation des traités européens mettra fin au dogme de "la concurrence libre et non faussée", qui promeut en réalité la loi de la jungle. »
Une RENÉGOCIATION des traités... encore et encore... Autant de points de blocage possibles avec nos partenaires qui tous, de Malte à l’Allemagne en passant par la Lettonie, ont la même voix au chapitre !
Notons que l'expression « remettre en cause » fait aussi partie du répertoire de la langue de bois pseudo-volontariste. Quand on n'a pas vraiment l'intention d'agir mais que l'on veut donner l'impression de prendre les choses à bras-le-corps, on s'engage à « remettre en cause ».

b) « L’accès aux marchés publics des PME/PMI sera simplifié via la centralisation sur un site unique de toutes les commandes publiques et une loi qui donnera priorité aux PME/PMI dans l’attribution des marchés publics de l’État et des collectivités locales (équivalent du Small Business Act américain), après renégociation des traités européens qui les empêchent actuellement. »
L'application d'un « Small Business Act »... mais, bien sûr, après renégociation des traités européens... Le refrain est maintenant bien connu. Les Français devront prendre leur mal en patience en attendant la fin de ce bal des renégociations. Mais viendra-t-elle ?

7. Euro

« Afin d’accompagner la sortie de l’euro, un ministère chargé des Souverainetés devra prendre en charge techniquement et juridiquement la renégociation des Traités et la restauration de notre souveraineté nationale dans l’ensemble des domaines où elle a disparu, notamment monétaire. »
Passons sur l'absurdité du « ministère chargé des Souverainetés ». Pourquoi pas un « ministère chargé des Libertés » aussi ?La souveraineté, comme la liberté, sont les pré-requis absolus d'un système véritablement démocratique, un gouvernement au service du peuple français ne doit pas relativiser ces notions en leur consacrant un ministère (qui ferait quoi exactement ?).
Quand on pense qu'il suffirait d'invoquer l'article 50 du TUE pour éviter d'avoir à subir toutes ces (re)négociations qui, de plus, ne nous donnent AUCUNE garantie de résultat...
De fait, la sortie de l'euro n'est même pas acquise pour le FN. Il évoque la possibilité de conserver l'euro, probablement si les fameuses renégociations n'aboutissent pas : « Une taxation exceptionnelle des actifs extérieurs libellés en euro détenus par les banques sera établie pour compenser les coûts pour l’État de sa dette résiduelle en euro, dans l’hypothèse très peu vraisemblable où l’euro existerait encore.  »
C'est ce dernier membre de phrase qui est important. Le FN mise sur un échec de l'euro, mais il ne s'engage en aucun cas à abandonner l'euro. Il compte ainsi que les événements choisiront à sa place, mais si l’euro tient, à grands coups de cures d’austérité et de baisses des salaires, le FN acceptera de le maintenir. C'est la politique du chien crevé au fil de l'eau.
Revenons sur un épisode instructif : le 23 mai 2011, la présidente du FN est invitée sur France Info. Au cours de l'interview, la journaliste lui demande : « Est-ce qu'il faut sortir de l'Europe aussi, dans ce cas-là, Marine Le Pen ? » Et voici ce que lui répond l'intéressée :

« Mais, madame, je ne dis pas qu'il faut sortir de l'euro, je dis que l'euro va s'effondrer, voilà. »

Donc, non seulement Marine Le Pen ne répond pas à la question – « Faut-il oui ou non sortir de l'Europe ? » –, mais en plus elle nie être en faveur de la sortie de l'euro. Cela a le mérite d'être clair. Pour une fois.
Mais les choses furent encore plus claires le 15 décembre dernier dans un autre épisode radiophonique. Louis Aliot, vice-président du Front national et compagnon de Marine Le Pen, est l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC. Le journaliste lui demande : « Marine Le Pen est élue, immédiatement elle sort de l'euro ? ». Voici la réponse de M. Aliot :

« Non, pas immédiatement, nous sommes un État au milieu d'autres États européens et nous sommes liés à d'autres États, il faut donc repenser l'Europe, rebâtir l'Europe [...] je pense que la première chose que ferait Marine Le Pen, c'est de demander un sommet européen pour parler de la reconstruction de l’Europe, basée cette fois-ci sur l'Europe des patries... »


Ces formulations, tout comme l'expression « Europe des patries », sont typiques du jargon « souverainiste », c'est-à-dire alter-européiste. Lorsque l'on y regarde de près, on s'aperçoit que le FN ne s'oppose pas à la construction européenne. On découvre même qu'il n'est pas en faveur de la sortie de l'euro. Pourquoi les médias et les partis installés s'obstinent-ils alors à faire passer Mme Le Pen pour la championne de la sortie de l'euro ? Sur ce point, nous vous renvoyons à l'article précédemment mentionné. Quant au rôle plus général des « souverainistes » de droite et de gauche, nous vous recommandons ce texte : « Qu’est-ce que l’UPR pense des partis politiques français qui critiquent l’Union européenne ?  »

8. Démocratie, institutions

a) «  Il faut donc que la loi française retrouve sa supériorité sur le droit européen dérivé (directive, règlement, etc.). Ces éléments feraient l’objet d’une discussion avec nos partenaires européens dans le cadre de la renégociation nécessaire des Traités européens. La France doit maintenir sa position en cas d’échec des négociations. »
Le FN entend visiblement préserver les traités européens coûte que coûte. Il prévient ainsi ses électeurs que la France ne sortira pas de l'Union européenne même si ses partenaires n'entendent pas négocier. C'est ainsi qu'il faut interpréter la phrase : « La France doit maintenir sa position en cas d’échec des négociations. » Comme la très longue liste des points à (re)négocier ne peut en aucun cas aboutir à un consensus à 27, l’électeur français peut être assuré que la seule chose que fera le FN c’est de bouder ses partenaires, en restant dans l’Union européenne.
Nous sommes toujours surpris de voir les partisans de Mme Le Pen soutenir mordicus que le FN veut sortir de l'UE alors que les responsables du parti disent sans cesse le contraire, avec plus ou moins d'ambiguïté. Lorsqu'elle tient le 8 juin 2011 une conférence de presse commune avec Heinz-Christian Strache, président du Parti autrichien de la liberté (FPÖ), mouvement nationaliste anciennement dirigé par Jörg Haider, Marine Le Pen déclare :
« [J]e souhaite remettre en cause non pas l’Europe mais l’Union européenne, afin que les traités soient profondément renégociés et qu’une ineptie telle que Schengen soit dénoncée.
Et c’est sous cet auspice Monsieur Strache, et vous mes chers collègues et alliés européens, que nous travaillerons de notre mieux afin que des femmes et des hommes politiques qui ont à cœur l’intérêt de leurs peuples d’abord, l’avènement d’une autre Europe et finalement d’un autre Monde, arrivent au pouvoir. »

C'est une preuve supplémentaire que la poursuite de la construction européenne est bien l'horizon politique du Front national.

Conclusion

Le Front national, s'il prend soin de marteler régulièrement qu'il négociera avec ses partenaires, sait parfaitement que la construction européenne finira par l'emporter.
Il prépare même ses électeurs à l'échec car, au chapitre crucial sur la démocratie et les institutions, il avertit déjà qu' « en cas d'échec des négociations », la France ne sortira pas de l'Union européenne, mais se contentera de... « maintenir sa position ».
La belle affaire ! Le général de Gaulle a déjà tenté la politique de la chaise vide de juin 1965 à janvier 1966, et l'inertie européenne a eu raison de sa stratégie. Alors même que l'Union ne comprenait que six membres et que de Gaulle jouissait d’un prestige difficilement comparable, avec une France au beau milieu des Trente Glorieuses !
Une Union européenne à 27, 28 ou 30 ne fera qu'une bouchée de la « position maintenue » de Marine le Pen. Le FN, qui s'accommode très bien de la construction européenne et de la théorie du « Choc des civilisations » que celle-ci promeut, fait par avance le choix de la résignation.

Que personne ensuite n'aille dire qu'il n'était pas prévenu. Le Front national n'entend ni véritablement sortir de l'euro, ni se retirer des traités européens, dont il envisage au mieux de bloquer provisoirement le fonctionnement. Voilà qui mérite que l'on fasse le choix plus simple, plus direct, et finalement plus sûr, d'un candidat qui s'engage à faire jouer l'article 50 pour sortir sereinement et démocratiquement à la fois de l'Union européenne et de l'euro (tout en proposant aux Français de se rassembler provisoirement au-dessus du clivage droite-gauche).
C'est pourquoi l'UPR et François Asselineau feront savoir aux Français que « [t]out État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. » Les élections présidentielles de 2012 sont l'occasion de révéler les leurres et les impasses et de proposer un programme concret et ambitieux pour rétablir la démocratie et rendre au peuple français sa souveraineté et son indépendance.

Ce texte est cosigné par les responsables et adhérents de l'UPR suivants :
Maurice AEPLY, François ASSELINEAU, Christophe BLANC, Cyril CARBONNEL, Frédéric CECCARELLI, Loïc CHAIGNEAU, Jean-Philippe CHÉRU, David CHESNEL, Édouard CLAIR, Olga DARIC, Laurent DAURÉ, Samuel DEBERGUE, André FONTAINE, Franck FRESNEAU, Dominique GUILLEMIN, Roland LACHATRE, Thomas LACOSTE-GARANGER, Patrick CECCARELLI, Vincent LAMIC, Ewen MARÉCHAL, Nicolas MARTIN, Pierre MARTINEZ, Érick MARY, Hervé MULLER, Jérémy POIRIER, Eddy ROOS, Pierre TRIBOUILLARD



236 réactions


  • Mahler 23 décembre 2011 12:37

    Très bon article qui montre la fumisterie de ce parti traitre complètement dans la main de la bourgeoisie qui lui laisse accès aux médias qu’elle contrôle. Le FN comme tous les partis ayant accès aux médias joue un rôle dans cette gigantesque pièce de théâtre où la classe dominante distribue les rôles. Bien entendu il ne faut pas la gêner sinon censure.


    • HELIOS HELIOS 23 décembre 2011 21:44

      ... vous avez raison de vous attaquer au FN... qui, mème avec ses erreurs de communication propose quand même une alternative a la politique pourrie du PS ou de l’UMP

      La France seule, hors de l’union est une option, bien sur mais la majorite des français semblent vouloir garder la place de la France dans l’UE et l’Euro. dont acte : Il faut donc que le FN propose dans ce cadre la, des mesures de souverainete, et c’est ce qu’il fait.

      plutôt que de vous attaquer a un parti qui propose une vraie alternative dont les options techniques et democratiques auront bien le temps d’etre discutées, vous devriez concentrer vos efforts pour bouter hors des centres de decision et de responsabilite tous ceux qui nous ont mis dans la merde.

      A vous lire, l’auteur de l’article et vous, il vaut donc mieux persister et rester sous le joug de la classe politique actuelle plutôt que de s’en sortir :

      S’il fallait une union « sacree » pour que le peuple retrouve sa liberté, vous etes, comme l’UMP et le PS, un diviseur. Le savant resultat est la : nous auront probalement Hollande ou Sarkozy pour 5 ans de plus. Bravo !!!


    • Unjean 23 décembre 2011 22:21

      Non vous vous trompez, car a cet effet, ce que l’on vous démontre c’est que se sont pour tous ces parties des éléments qui font corps avec le système.
      L’UPR dénonce et démontre le cirque médiatique qui a court depuis trop longtemps, vous en êtes vous aussi a faire un amalgame avec les parties extrêmes mis en place tel des pions sur l’échiquier pour affaiblir là partie adverse, ne proposant aucune réelle alternative afin de rompre avec ce système.
      L’UPR n’a pas vocation a faire dans le compromis ni de s’accommoder avec quelconque partie, ne correspondant en rien en substance a répondre au problème de notre pays.
      D’une cohérence absolue de A a Z on se place au dessus du clivage actuel, on apporte avec des arguments précis et une analyse limpide, au sujet de l’état politique, de là construction et du principe même de l’Europe, qui par essence n’apporte rien de bon, nous enfonçant de plus en plus et se détachant de tout contrôle a venir.
      La stratégie mis en place n’est plus un secret, on y voit clair a présent et tout ce que vous trouverez sur le site de l’UPR le démontre de manière irréfutable, on ne parle pas de complot mais de réalité document a l’appuie.
      Alors chacun peut en prendre connaissance librement, il est vrai que nous n’aurons pas droit a une émission consacré sur France télévision et demains surement que internet sera verrouiller a son tour.
      La richesse de l’UPR mérite bien meilleure considération que tous ces pseudos parties évitant le débat, le vrai, les véritables problèmes et je ne peut vous laisser dire comme vous le faites que Le partie ne dénonce pas le système, c’est être de mauvaise fois.
      Prenez là peine de jeter un oeil, sa vaut le coup.


    • val049374 val049374 23 décembre 2011 23:41

      « ... vous avez raison de vous attaquer au FN... qui, mème avec ses erreurs de communication propose quand même une alternative a la politique pourrie du PS ou de l’UMP » .

      Je me permets de réagir à votre article.
      M. Asselineau, l’Union Populaire Républicaine, nous et quelques autres ... n’attaquons non pas le F.N, mais tous les partis qui n’inscrivent pas dans leur programme la sortie de la France de l’Union Européenne.

      Si vous aviez vu les conférences de M. Asselineau, vous comprendriez que rien n’est possible sans sortir de l’U.E. !

      Concernant la dette publique, centre d’intérêt planétaire pour lequel on vient de verser 480 milliards d’euros (excusez du peu ^^ ) à 523 banques en plus des milliards déjà dus (Grèce - 50 %, bien négocié ;) ), http://www.youtube.com/watch?v=ZE8xBzcLYRs

      Pourquoi sortir de l’ U.E ?
      Pour pouvoir changer le système de la dette publique ...... N’est-ce pas déjà une bonne raison ?

      Triple A, Ah, AH, AAAHHHH !!!!

      « La crise, quelle crise ??
      La crise ça rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres... je vois pas en quoi c’est une crise... » (Coluche)

      « La France seule, hors de l’union est une option, bien sur mais la majorite des français semblent vouloir garder la place de la France dans l’UE et l’Euro. dont acte : Il faut donc que le FN propose dans ce cadre la, des mesures de souverainete, et c’est ce qu’il fait. »

      Je ne suis pas d’accord avec vous, la majorité des français ne veulent pas garder la France dans l’ U.E !

      La preuve ?? oh, trois fois rien... c’est arrivé en 2005 ... un certain référendum sur un éNORme projet de traité constitutionnel Européen ... combien ont voté non ?? 55 % ?? il vous semble que les français veulent garder la France dans l’UE, je suis persuadé que vous vous trompez... remarquez, ça pourrait être régler avec un référendum, non ?

      François Asselineau propose d’organiser des référendums (pas des bidons qui ne seraient pas appliqués, des vrais) pour décider de tels sujets !

      « A vous lire, l’auteur de l’article et vous, il vaut donc mieux persister et rester sous le joug de la classe politique actuelle plutôt que de s’en sortir : »

      POUR S’EN SORTIR, SORTONS DE L’ U.E !

      - C’est dans le programme de l’ Union Populaire Républicaine -

      « S’il fallait une union »sacree« pour que le peuple retrouve sa liberté, vous etes, comme l’UMP et le PS, un diviseur. Le savant resultat est la : nous auront probalement Hollande ou Sarkozy pour 5 ans de plus. Bravo !!! »

      Je vous conseille vivement de consulter ce lien  : http://www.u-p-r.fr/lettres-d-information/11122011/index.html&nbsp ; qui est le discours d’investiture de M. Asselineau du 03 décembre 2011, dans lequel il propose entre beaucoup d’autres choses, de reprendre le programme du Comité National de la Résistance ou C.N.R., « Les jours heureux »

      POUR POUVOIR APPLIQUER LE PROGRAMME DU C.N.R, SORTONS DE L’ U.E !

      - C’est dans le programme de l’ Union Populaire Républicaine -

      Je n’ai jamais adhéré à aucun parti mais nous allons vers une telle catastrophe, que je remercie M. Asselineau pour son action et lui confie ma voix de citoyen très volontiers ... Il est de loin celui qui protègera le plus « le plus grand nombre ».

      Je reprends haut et fort la devise de l’ Union Populaire Républicaine :

      ***** L’UNION DU PEUPLE POUR RÉTABLIR LA DÉMOCRATIE *****
       
      Valentin


    • Nicosan Nicosan 24 décembre 2011 02:00

      « bien sur mais la majorite des français semblent vouloir garder la place de la France dans l’UE et l’Euro. dont acte : »
      Dont acte ?! Je n’ai pas souvenir qu’on leur ait posé la question, aux francais.... Enfin, si, en 2005 ! Et le traité a été massivement rejeté par les francais.
      A moins que l’ensemble des francais ne soit encore et toujours limité à la parole de la minorité dirigeante (qui est très souvent en violation de l’intérêt général).
      Aurais tu des liens pour justifier le « dont acte » ? STP.

       


  • Hieronymus Hieronymus 23 décembre 2011 12:44

    Asselineau et son obsession anti-FN
    decidement rien de nouveau
    meme pas de cadeau pour Noel ..


    • François Asselineau 23 décembre 2011 12:59

      Hyeronimus

      1) Vous avez mal lu : il ne s’agit pas d’Asselineau seul, mais de tous les responsables de l’UPR.

      2) Quelles sont vos réponses - point par point - à notre argumentaire : ZÉRO !
      Les lecteurs apprécieront.

      François Asselineau


    • l'Ami Ricoré l’Ami Ricoré 23 décembre 2011 13:05

      Vous attendiez-vous seulement à un commentaire argumenté M. Asselineau ?


    • implan-T implan-T 23 décembre 2011 13:22

      Quand vous êtes confronté quotidiennement à la réponse : « Vous voulez sortir de l’UE ?… mais alors vous êtes d’extrême droite ! », il est évident que tout cela doit être éclairci.

      Quand le FN est le pire mouvement d’enfumage qui existe, et que beaucoup de gens mal informés tombent dans le panneau, il est presque d’utilité publique de dénoncer cela, encore et encore, tant que les esprits ne s’éveillent pas, malheureusement.

      Donc oui, le FN fait de l’ombre à cette issue plus que nécessaire, la sortie de l’UE-euro-OTAN, en faisant croire à tout le monde que ces solutions sont d’extrême droite et donc « de mauvaises idées à écarter tout de suite sans réfléchir ».

      François Asselineau met au grand jour les manipulations politiques de tous les partis, et le FN étant l’un des pire en prend pour son grade, mais c’est très loin d’être le principal sujet de l’UPR, n’en déplaise à ceux qui ne vont pas plus loin dans leurs investigations : « Mais au fait, c’est quoi leur charte à l’UPR ? C’est quoi leur programme ? Quel est leur cheval de bataille ? »

      Soyez les créateurs de vos idées !!!
      Faites vos recherches et positionnez vous par conviction !!! C’est l’essentiel !


    • bertucat 23 décembre 2011 14:58

      Non le cadeau de Noël, c’est l’augmentation de salaire que veut s’octroyer les fonctionnaires Européens non élus... Surprise !!!!!!!!!!!
      L’UPR n’est pas anti-FN mais anti-clivage, ce que nous apportent à merveille les partis gauche-centre-droite. Surtout Marine le Pen et ses paroles ambigües pour endormir toute forme de révolutions souverainiste et qui revient de droit aux Français. L’ont peut tous jouer à ce jeux là en disant que l’UMP et anti-PS, le PS anti-UMP, l’UMPS est anti-FN, le FN anti- tout le monde j’en passes et des meilleurs...


    • Anaxarete Amaurea Anaxarete Amaurea 23 décembre 2011 15:12

      le probleme de Hieronymus c’est que l’UPR n’a rien contre les Nouars et les zarabes :p et oui pour lui tout ce qui n’est pas pur souche n’est que profiteur d’aides Sociale et seul le FN peut le sauver de cette scandaleuse islamisation de la france ! ^^


    • dédé 23 décembre 2011 18:30

      Je ne vois pas comment monsieur Asselineau peut être crédible pour gouverner le pays quand on sait que celui ci croit que ce sont les banques privées qui créent la monnaie ce qui bien sûr est completement faux


    • Liior 23 décembre 2011 18:39

      Et qui donc créé la monnaie ? -_- ?


    • dédé 23 décembre 2011 20:05

      ce sont les banques centrales qui créent la monnaie et les banques privées la font circuler en créant des créances/dettes


    • Hieronymus Hieronymus 23 décembre 2011 22:19

      les scores de vote sur cet article sont absolument insenses !
      a croire qu’il n’y a que les groupies d’Asselineau
      qui passent par ici (et en votant plusieurs fois)

      qui est donc ce compte Francois Asselineau ?
      pas l’auteur de l’article car sinon il serait en « rose »

      sur Asselineau, le FN, Marine le Pen, je suis deja intervenu
      sur des articles anterieurs d’Asselineau avec arguments effectifs
      en particulier celui essentiel a mes yeux de l’arithmetique electorale
      celui plus delicat, du ressentissement visceral d’Asselineau envers MLP
      point de reponse ne fut en dehors de sophismes et propos desobligeants


    • Unjean 23 décembre 2011 22:50

      C’est plutôt votre haine a vous qui vous aveugle, a tel point que vous en accusez Agoravox ou je ne sait, qui pourtant vous semblez soutenir par votre badge.
      Mis a part
      Gardez vos remarques insipide et indigne reflétant votre intérieur malsain et nauséabond, des préjugés d’une autre époque en voilà des arguments ! ce ne serait pas vous la « Groupie » desfois ?
      Vos explications passer, vous êtes sérieux ? Vu comme sa si c’était de vrai arguments vous n’aurez nul besoin d’aller chercher ceux ci, quand j’écris un commentaire il n’y a rien de préconçu sa viens comme je le pense, sachant de quoi je parle qui n’est pas non plus sortie d’un chapeau.
      Libre et conscient.
      On peut faire des erreurs sa arrive, mais là vous ne démontrez rien toujours en dehors de votre vindicte récurrente n’ayant rien a voir avec les valeurs de là France.


    • Ronald Thatcher rienafoutiste 23 décembre 2011 22:58

      mais bien sur des groupies , les mêmes qi sévissent chez morisse et la devanture de la galerie marchande, av n’est plsu qu’une tribune néfaste pour la démocratie dans l’esprit de ceux qui pense que le plus grand nombre à forcément raison


    • ©HIBROX ©HIBROX 23 décembre 2011 23:30

      Ahahah, je vous renvoie à la base http://fr.wikipedia.org/wiki/Création_monétaire & http://fr.wikipedia.org/wiki/Monnaie_scripturale parce qu’apparemment vous avez encore besoin d’étudier un peu vous...


    • John Foster 23 décembre 2011 23:31

      « ce sont les banques centrales qui créent la monnaie et les banques privées la font circuler en créant des créances/dettes »


      Eh bah pour certains, ya encore du boulot...

      Les banques centralent créent la monnaie centrale. Essentiellement les billets et les pièces.

      Pour faire (très) simple : Environ 9% de toute la monnaie présente sur les comptes en banque a une contrepartie papier. Le reste est de la monnaie créée par les banques commerciales en contrepartie des crédits accordés aux particuliers et entreprises.

      Les crédits font la monnaie. Les dépots ne font pas les crédits.

    • ©HIBROX ©HIBROX 23 décembre 2011 23:31

      message destiné @ dédé... pardon.


    • John Foster 23 décembre 2011 23:40

      C’est drôle, vous n’avez pas produit un seul argument en réponse à l’article. Vous vous contentez de pleurnicher parce que l’UPR prouve par A + B que le FN n’a aucune intention de sortir de l’UE.

      Si vous vous estimez persécuté, démontrez-nous le contraire.

      Quant à vos attaques à l’encore d’AVox, c’en est sérieusement comique. Au lieu de vous remettre en question 5 minutes, vous concluez que : 

      1/ puisque l’article a des votes positifs

      2/ puisque vous n’êtes pas d’accord avec l’article (sans toutefois avoir réussi à produire un argumentaire quelconque)

      => C’est que les groupies Asselinesques ont débarquées en masse et truqué les votes (les vilains Hackers de l’UPR). Le tout avec la complicité de la modération et peut être même de la CIA.

      Petite suggestion pour vous : détendez vous, faites vous une bonne tisane et envisagez la possiblité que si l’article a une bonne note c’est parce que la majorité des lecteurs sont lucides, logiques et en accord avec l’analyse effectuée.

    • val049374 val049374 23 décembre 2011 23:45

      Réponse à cette affirmation dans l’article ma réaction à l’article précédent.
      Val


    • Hieronymus Hieronymus 24 décembre 2011 05:00

      @ Unjean l’orthographeur et aux autres
      ici c’est comme une secte, si on va contre le gourou, ses sicaires nous tombent tous dessus a bras raccourcis, NON666 a obtenu exactement le meme message copie/colle et meprisant que votre interlocuteur, preuve de la qualite du debat
      il y a ici foule d’objections adressees a F.Asselineau et qui restent sans reponse
      mes critiques ne visent pas tant ses analyses que sa strategie electorale qui me semble desastreuse, aussi sans reponse
      bon, grosse fatigue


    • cyrilcab cyrilcab 24 décembre 2011 06:25

      Les banques centrales créées la monnaie ? comme la FED par exemple ? 


    • dédé 24 décembre 2011 14:34

      pour ce qui croit à la création monetaire par les banques privées comme Asselineau c’est du grand n’importe quoi et je sais de quoi je parle ayant un poste élevé dans une banque. Pourquoi croyez-vous que la BCE vient d’ouvrir le robinet à liquidité sur 3 ans à 1% aux banques privées ? eh bien tout simplement parce que les banques ne trouvent plus à se refinancer sur le marché interbancaire ! si les banques faisaient de la création monétaire pourquoi auraient t elles besoin de refinancer les prêts qui arrivent à echéance (on appelle cela faire rouler la dette) ?
      vous confondez monnaie scripturale et monnaie centrale !!! mais c’est normal vous ne travaillez pas dans la finance.


    • dédé 24 décembre 2011 14:36

      Pour ceux qui croient à la création monetaire par les banques privées comme Asselineau c’est du grand n’importe quoi et je sais de quoi je parle ayant un poste élevé dans une banque. Pourquoi croyez-vous que la BCE vient d’ouvrir le robinet à liquidité sur 3 ans à 1% aux banques privées ? eh bien tout simplement parce que les banques ne trouvent plus à se refinancer sur le marché interbancaire ! si les banques faisaient de la création monétaire pourquoi auraient t elles besoin de refinancer les prêts qui arrivent à echéance (on appelle cela faire rouler la dette) ?
      vous confondez monnaie scripturale et monnaie centrale !!! mais c’est normal vous ne travaillez pas dans la finance.


    • zoumzoum 24 décembre 2011 15:04

      il n’a jamais été question pour le Fn de quitter l’ue !!! ce n’est pas parce que vous et les médiats faîtes l’erreur d’amalgamer zone euro et UE qu’il y tromperie sur la marchandise avec le FN...le Fn est clair,il veut inciter les autres pays européens à construire une autre europe,une europe des nations,alors autant essayer de le faire d’abord par la négociation et si cela échoue ...claquer définitivement la porte ..cela me semble plutôt sage non ???

      enfin bref,comme je l’ai déjà dit, vous feriez mieux de vous alliez au Fn plutôt que de vous obstiner
      à lui taper dessus sur des broutilles,aidez le plutôt à revoir peut-être certaines choses..car entre nous ;le Fn a certainement plus de chance de passer le 1er tour que vous...chaque voix sont importantes,à faire ce que vous faîtes vous prenez la lourde responsabilité de faire perdre l’unique alternative qui s’offre à nous et ça c’est dramatique..à votre conscience.


    • François Asselineau 24 décembre 2011 15:29

      @zoumzoum
      Avez-vous bien lu notre article et notamment la démonstration que nous faisons ?

      Vous nous affirmez que le FN n’a jamais voulu sortir de l’UE ?
      Mais notre article dit que le problème tient justement au fait que les responsables du FN le font pourtant croire à beaucoup de leurs électeurs ! Et pas seulement à leurs électeurs :
      parlez donc autour de vous ; vous constaterez qu’un très grand nombre de Français sont convaincus que le FN veut sortir de l’UE et de l’euro.

      Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle ce débat clé est tabou pour 80% des Français, que les seuls mots « FN » et « Le Pen » révulsent.

      Notre article, toutes preuves écrites posées sur la table, prouve que les responsables du FN usent donc délibérément d’un discours constamment et savamment ambigu sur cette question centrale et les médias sont complices pour entretenir cette ambiguïté permanente.

      Par ailleurs, affirmer que c’est « une broutille » que de ne pas vouloir sortir de l’UE est à la fois un un gag et un aveu. A cette aune, ce qui séparait de Gaulle de Pétain était aussi « une broutille ».... Pensez donc ! Le premier voulait libérer la France de la « Nouvelle Europe » hitlérienne, alors que le second s’en accommodait et voulait seulement la réformer pour que la France y ait une place convenable. Une « broutille »....

      Nous vous remercions d’avoir ainsi montré que le FN enfume les Français sur ce sujet capital, en entretenant une obscurité et une confusion constantes sur les tenants et aboutissants de la construction dite « européenne ».


    • zoumzoum 24 décembre 2011 16:58

      Vous nous affirmez que le FN n’a jamais voulu sortir de l’UE ?
      Mais notre article dit que le problème tient justement au fait que les responsables du FN le font pourtant croire à beaucoup de leurs électeurs ! Et pas seulement à leurs électeurs :
      parlez donc autour de vous ; vous constaterez qu’un très grand nombre de Français sont convaincus que le FN veut sortir de l’UE et de l’euro.

      Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle ce débat clé est tabou pour 80% des Français, que les seuls mots « FN » et « Le Pen » révulsent.

      Notre article, toutes preuves écrites posées sur la table, prouve que les responsables du FN usent donc délibérément d’un discours constamment et savamment ambigu sur cette question centrale et les médias sont complices pour entretenir cette ambiguïté permanente.

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      l’erreur de beaucoup de monde est de confondre zone euro et UE,on nous bassine tellement depuis des années avec la zone euro que l’ inconscient collectif a enregistré que l’UE c’est la zone euro en zappant complètement que L’UE se compose de 27 pays et que sur ces 27 pays, 17 sont dans la zone euro ..nos politiques ne dérogent pas à cette règle,marine le pen non plus,mais de là à dire que c’est volontaire je ne le crois absolument pas,il ne faut pas être sortie de saint-cyr pour comprendre que lorsqu’elle parle de quitter L’UE et parle de la zone euro,sinon pourquoi s’obstinerait-elle à nous parler de construire une autre UE (celle des coopérations des nations) ??? c’est à nous aussi de faire marcher un peu notre cerveau et retenir quelle ne veut absolument quitter l’EU mais construire une autre UE..par contre si,une fois au pouvoir,elle n’arrivait pas à convaincre, par la négociation,nos partenaires européens sur la construction d’une europe des nations ,là il est clair quelle les laisserait se démerder
      entre-eux et quelle appliquerait sa propre politique et non les directives de L’UE ...l’important n’est donc pas de savoir si elle veut quitter ou pas l’UE,l’important est de savoir quelle fera tout pour que notre pays retrouve enfin sa pleine souveraineté ..c’est tout ce que nous avons à retenir..le reste c’est vraiment pour chercher la petit bête.

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      Par ailleurs, affirmer que c’est « une broutille » que de ne pas vouloir sortir de l’UE est à la fois un un gag et un aveu. A cette aune, ce qui séparait de Gaulle de Pétain était aussi « une broutille ».... Pensez donc ! Le premier voulait libérer la France de la « Nouvelle Europe » hitlérienne, alors que le second s’en accommodait et voulait seulement la réformer pour que la France y ait une place convenable. Une « broutille »....

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       dois-je vous rappeler que le général de gaulle défendait l’idée d’une europe des nations ??? ...là votre comparaison est grotesque..à ce que je sache nous ne sommes pas en conflit armé avec un occupant !! alors svp comparez ce qui est comparable et je réaffirme que vos dénonciations ne sont que des broutilles ,sûrement plus dû à un malentendu,que vous avez tout à fait raison de relever,que de la tromperie.

      Nous vous remercions d’avoir ainsi montré que le FN enfume les Français sur ce sujet capital, en entretenant une obscurité et une confusion constantes sur les tenants et aboutissants de la construction dite « européenne ».

      mais oui mais oui...mettez plutôt vos compétences aux services du pays en apportant votre aide au FN,nous n’avez aucune chance de remporter la mise,par contre, vous, vous pouvez,par vos broutilles,faire perdre de précieuses voix au seul parti qui peut changer vraiment les choses..quand je vous écoute ,vous n’êtes guère très loin,concernant l’UE,des idées défendues par marine le pen ...vous pourriez justement lui dire de bien faire attention de pas faire l’amalgame entre zone euro et UE smiley))



    • ©HIBROX ©HIBROX 24 décembre 2011 18:56
      @ dédé

      Bon ben... apparemment il va falloir encore re-visiter les fondamentaux au vu de votre explication évasive :

      Monnaie privée

      La monnaie privée est un type de monnaie dont l’émission et la garantie sont assurées par un organisme indépendant de l’État, typiquement une banque, par opposition aux monnaies habituelles, garanties par un État et soumises à un monopole d’émission monétaire assuré par l’état lui-même ou accordé à une banque centrale.
      Il a existé quelques exemples historiques de monnaies privées. Aujourd’hui, la monnaie banque centrale est officiellement l’outil dominant, mais la réalité des choses est plus complexe : s’il n’y a officiellement quasiment pas de monnaie privée, les instruments financiers librement émis par le système financier se distinguent assez peu d’une monnaie.
      Le concept de monnaie privée est essentiellement mis en avant par quelques libéraux, comme Friedrich Hayek ou David Friedman, en tant que moyen pour diminuer la capacité de l’État à manipuler l’économie à son propre avantage.

      Concepts fondamentaux

      Une monnaie est un bien ayant trois propriétés fondamentales : il peut servir de numéraire (moyen de paiement pour acheter tout autre bien), de réserve de valeur (il garde à peu près la même valeur d’un jour à l’autre) et d’unité de compte. Pour servir de monnaie, un bien doit donc être facile à transporter et échanger (numéraire), facile à diviser et mesurer, et le stock disponible doit rester à peu près constant (la fonction de réserve de valeur suppose à la fois une grande durabilité de la monnaie existante, et une limite à la dilution de pouvoir d’achat provoqué par l’émission nouvelle) .
      Rien dans cette définition n’implique l’intervention d’un état. Il faut cependant que l’émetteur inspire une confiance suffisante pour que sa monnaie soit acceptée, ce qui est une condition fortement limitante.
      Historiquement, les billets de banque naissent en Chine au xe siècle à partir de reconnaissances de dettes commerciales (Effet de commerce : lettre de change, billet à ordre, etc.) ; un dépôt de pièces de monnaies ou de marchandises chez un intermédiaire de confiance (banque, commerçant réputé) sert de garantie au billet, sorte de dette au porteur, par lesquelles l’agent débiteur s’engageait à payer la somme stipulée sur la créance à toute personne se présentant avec le billet de banque. L’administration Song les adopte à son tour. Lorsque, plus tard, les états établissent un privilège d’émission monétaire et que les banques doivent cesser d’émettre leur propres billets, elles reprennent l’émission des formes commerciales de quasi-monnaie (lettre de change et billet à ordre) et inventent progressivement au cours du xviie siècle le chèque.
      De nos jours, si l’émission de monnaie de base (billets et pièces) est généralement un privilège d’un institut d’émission sous le contrôle de l’état, la monnaie émise par les banques reste très largement prépondérante. Émis avec une grande liberté par les banques, crédits, chèques et autre cartes bleues sont autant d’instruments monétaires. Ils remplissent complétement deux des trois fonctions d’une monnaie (moyen de paiement, réserve de valeur) et partiellement la troisième (c’est la monnaie banque centrale qui officiellement sert seule d’unité de compte, néanmoins chaque banque compte ses crédits d’une façon aussi rigoureuse que la monnaie de banque centrale). Ainsi, si les monnaies bancaires ne sont pas officiellement des monnaies privées, la différence est très ténue. Certains considèrent même (voir infra : #Développement des marchés financiers) que le système actuel est de facto privatisé.
      Il suffirait de déconnecter le lien qui existe actuellement entre les monnaies bancaires et la monnaie banque centrale pour que le caractère complétement privé de ces monnaies se manifeste.
      La proposition de la monnaie privée serait de se dispenser de la banque centrale en donnant à la banque émettrice du prêt deux capacités :
      au lieu de fournir de la monnaie émise par la Banque Centrale à l’emprunteur, elle lui donne une matérialisation du contrat (billet, certificat, etc.) permettant au porteur de cette certification d’obtenir de la banque prêteuse la valeur du prêt sous la forme monétaire de son choix ;
      la banque peut vendre comme elle l’entend la reconnaissance de dette de l’emprunteur à tout autre agent économique.
      L’argument fondamental en faveur d’une telle possibilité serait que le taux d’escompte serait déterminé par le marché plutôt que par l’autorité gouvernant la Banque Centrale. Sous l’hypothèse que le marché conduit à des équilibres efficaces, cela permettrait l’établissement de taux d’intérêt directement déterminés par les besoins de l’économie, alors que les dirigeants de la banque centrale peuvent avoir des objectifs contradictoires avec l’efficacité de l’économie.

      Fonctionnement d’une monnaie privée

      En l’état, les marchés financiers permettent le plus souvent aux banques de renégocier les créances dont elles disposent, à des taux déterminés par le risque de non-recouvrement de la créance (l’emprunteur ne peut pas ou ne veut pas rembourser). Le problème conceptuel de la monnaie privée est donc de concevoir comment les agents privés pourraient émettre des titres ayant fonction de monnaie. Pour ce faire, il faut considérer la façon dont serait déterminée la valeur de la monnaie ainsi émise, la manière de déterminer la valeur de la monnaie en question et les garanties que peut offrir un émetteur potentiel.

      Le contrat de monnaie

      Fondamentalement, la monnaie privée prendrait la forme d’un contrat, signé par l’émetteur, liant ledit émetteur au possesseur légitime du titre. Afin que ce contrat puisse servir de moyen de paiement, l’identité du possesseur n’est pas stipulée, ce qui permet la cession de ce contrat d’un agent à l’autre selon les règles de l’offre et de la demande. Ce contrat est appelé « contrat de monnaie » ou « contrat d’émission monétaire » ou encore « contrat de création monétaire ».
      Le point central de contrat de monnaie est la définition de ses conditions de réalisation, c’est-à-dire les conditions sous lesquelles le possesseur du contrat peut obtenir de l’émetteur l’échange du titre contre d’autres biens. Il stipule ainsi le degré de liquidité du titre (remboursable à vue ou avec un délai) ainsi que la nature du remboursement. Celui-ci serait lié à la définition d’une grandeur économique et d’un bien servant à effectuer le remboursement. Ce couple (bien/grandeur) est appelé « valorimètre ».
      En outre, le contrat de monnaie peut limiter les possibilités de transaction, par exemple en interdire la cession aux membres d’une liste d’agents, imposer un maximum ou un minimum de monnaie réalisable sur une période donnée. Toutefois, toute provision de ce type tend à limiter la liquidité de la monnaie ainsi émise, et donc à en diminuer l’intérêt pour l’emprunteur.
      Enfin, le contrat de monnaie pourra stipuler les modalités du contrôle des comptes de l’émetteur, les garanties de réserves que celui-ci offre, les conditions de remboursement en cas de manque de liquidités et le droit et le tribunal compétents en cas de litige ou de banqueroute.

      Valorimètre d’une monnaie privée

      Un rôle fondamental de la monnaie est celui d’unité de compte : dans une économie donnée, tous les prix sont exprimés dans la même unité. Dans le cas de monnaie privée, le problème est de déterminer une unité de référence, appelée « valorimètre », à laquelle le titre émis (le contrat de monnaie) sera lié.
      En pratique, le valorimètre est constitué d’un couple (bien, grandeur économique) quelconque. Par exemple, on peut imaginer un contrat de monnaie dont la valeur serait une quantité donnée d’or, augmentée de l’évolution d’un indice des prix entre la date d’émission et celle de la réalisation. Le bien de référence peut également être constitué d’un panier d’autres monnaies, et l’indice peut être un indice quelconque, calculé par tout organisme préalablement choisi.

      Garanties de l’émetteur

      La valeur à l’échange d’une monnaie est fondamentalement une mesure de la confiance en la capacité de l’émetteur à rembourser la valeur de la créance exprimée par le contrat de monnaie. Par sa capacité à lever des impôts à volonté, voire à confisquer les biens de ses habitants, l’État dispose dans ce domaine d’une confiance à court terme quasi-illimitée (voir emprunts d’État). Une banque libre, qui est émetteur de monnaie privée, ne dispose pas de ces garanties. Sa principale garantie est la valeur des créances qu’elle possède, créances provenant des emprunteurs. La garantie donnée par une banque libre est que la valeur de ses actifs reste durablement supérieure à la masse monétaire émise qu’elle a mise en circulation.
      Dans le contrat de monnaie, l’émetteur peut s’engager à posséder à tout moment un montant de créances prédéterminé ou calculé en fonction de la masse monétaire qu’il aura émise. Il peut également définir la composition de ces actifs de réserve : créances commerciales, prêts à long terme, monnaies étatiques, monnaies privées, actifs physiques (usines, terrains, bâtiments), autres actifs financiers. L’émetteur peut également offrir la garantie d’autres banques ou entreprises qui s’engagent à participer au remboursement de tout ou partie de la monnaie émise, engagement formalisé par un contrat entre la banque émettrice et l’entreprise garante.

      Incitations économiques à la création de monnaie privée

      Dans le système actuel, les banques commerciales sont dites « banques de second rang ». Après création monétaire de la part d’une banque commerciale, lorsque ses clients utilisent la monnaie créée pour payer des agents économiques ayant leurs comptes dans d’autres banques commerciales, il est nécessaire à cette banque commerciale de se refinancer. Pour obtenir un refinancement, elle peut notamment escompter ses créances auprès d’autres confrères de la place ou, en dernier ressort, auprès de la Banque Centrale afin d’équilibrer son bilan. Les autres banques commerciales comme la Banque Centrale imposent sur les créances ainsi échangées un taux d’escompte. Si les banques commerciales avaient la possibilité d’émettre une monnaie privée sans fuite vers un autre circuit monétaire, elles toucheraient l’intégralité de la valeur de la créance.
      Par ailleurs, un émetteur pourrait permettre à d’autres agents d’émettre sa monnaie privée contre paiement d’une franchise. Symétriquement, les institutions garantissant l’intégrité des comptes de l’émetteur ou les indices utilisés dans le contrat de monnaie pourraient demander une rémunération à l’émetteur.
      Toutefois, la crise monétaire et financière de l’automne 2007 (dite « crise des subprimes ») a poussé un certain nombre d’économistes à tempérer ce point de vue. En effet, cette crise, apparue à la suite d’une titrisation poussée et complexe de dettes de clients peu ou pas solvables, a démontré que le système monétaire privé pouvait arriver à générer de graves crises de liquidité. Il semble que seules les opérations de refinancement massif autorisées par les banques centrales européenne (BCE) anglaise (Bank of England) et américaine (Federal Reserve, ou Fed) aient permis d’éviter un véritable crack financier, qui aurait probablement été suivi d’un effondrement de l’offre de crédit (credit crunch). De ce fait, l’existence de banques centrales décidées à agir, en cas de besoin, de façon appuyée et concertée est à ce jour considéré par nombre d’économistes comme un garde-fou majeur contre l’extension des crises financières à l’économie réelle.

      Période historique

      Historiquement, des monnaies privées ont souvent coexisté avec des monnaies étatiques, en particulier lorsque la confiance en celle-ci était affectée par des évènements politiques. Ainsi, les banques écossaises ont émis de la monnaie de 1750 à 1850. Ce n’est qu’entre le xviie siècle et le xxe siècle que le monopole de la monnaie a été totalement transféré à des banques centrales. Pendant la première guerre mondiale et les années vingt, de nombreuses monnaies de nécessité ont circulé en France et à l’étranger, parallèlement aux monnaies nationales.

      Période contemporaine

      En Europe

      Au Royaume-Uni, certaines banques privées d’Écosse et d’Irlande du Nord ont le droit d’émettre leurs propre billets. Il s’agit, en Écosse de la Bank of Scotland, la Royal Bank of Scotland et de la Clydesdale Bank ; en Irlande du Nord, de la Bank of Ireland, la First Trust Bank, la Northern Bank et l’Ulster Bank. L’Écosse a ceci de particulier que tous les billets, y compris ceux de la Banque d’Angleterre, n’y ont pas cours légal mais y sont considérés comme des moyens de paiement, à l’instar d’un chèque ou d’une carte bleue. Au Royaume-Uni il y a aussi ce droit plus étendu pour l’Île de Man, Gibraltar, les îles de Guernesey et Jersey, l’Île Sainte-Hélène et les Îles Falkland. Au Grand-Duché de Luxembourg jusqu’à la parution de l’euro circulaient des billets de 100 francs luxembourgeois émis par la Banque internationale de Luxembourg , BIL. Ces billets de banque de la BIL étaient acceptés comme moyen de paiement dans le Grand Duché.

      Système d’échange local (SEL)

      Le SEL (Système d’échange local) est une monnaie privée qui bénéficie de la tolérance de l’État pour la pratique des échanges multilatéraux entre des particuliers. Cette tolérance est limitée par des règles fiscales. Le fonctionnement d’un SEL subit ainsi un risque juridique constant.

      Développement des marchés financiers

      Si l’émission de monnaie reste à l’heure actuelle le monopole des banques centrales et un attribut régalien fondamental, l’émergence de nouvelles formes de marchés financiers a ôté une grande partie de son intérêt au concept de monnaie privée. En effet, le fort développement depuis le début des années 1980 des marchés à terme d’instruments financiers et des autres produits dérivés permet aux entreprises et aux banques de constituer sur mesure et de détenir des titres présentant toute combinaison raisonnable de liquidité et de risque. De ce fait, les échanges de titres sur les marchés financiers ont accaparé une grande partie des bénéfices que pourraient trouver les banques à l’émission de monnaie privée. Le montant quotidien de tels échanges est ainsi supérieur à la totalité de la masse monétaire mondiale, à tel point que certains économistes (Maurice Allais, Joseph Stiglitz,...) estiment que la monnaie est désormais de facto essentiellement privée, les banques centrales n’ayant en quelque sorte plus d’autre choix que de suivre le mouvement global imposé par les banques commerciales.

      Autres monnaies privées contemporaines

      Le crédito argentin, émis par la Red Global de Clubes de Trueque Multirecíproco (RGT) en 1995 et qui connut un grand essor lors de la crise économique argentine de 2001, mais connut ensuite l’échec à cause de l’hyperinflation et de la contrefaçon.
      le Liberty Dollar de 2008
      devises en or numérique
      le balboa, monnaie panaméenne equivalente au dollar.
      l’euro WIR, anciennement « euro SWIFT », monnaie scripturale équivalente à l’euro
      le bitcoin, une devise cryptographique conçue en 2009.

      Difficultés

      À l’heure actuelle rares sont les économistes défendant la nécessité d’une monnaie privée. D’une part, le développement des marchés financiers a répondu à un certain nombre des inefficacités signalées par les promoteurs originels de l’idée. D’autre part, le mouvement général d’indépendance des banques centrales a considérablement réduit la capacité des États à manipuler la monnaie, ce qui était le souci principal des libéraux.
      Surtout, le fonctionnement pratique d’une monnaie privée poserait des problèmes informationnels importants. Avant toute transaction, les agents devraient ainsi lire attentivement toutes les conditions du contrat de monnaie, tous les contrats n’étant pas aisément comparables en raison du grand nombre de termes contractables. Cette difficulté serait encore augmentée en l’absence d’une unité de compte commune, rôle aujourd’hui tenu par les monnaies étatiques. La plupart des économistes s’accordent ainsi à penser que les coûts de transaction en présence d’une multiplicité de monnaies privées seraient très élevés. L’alternative serait une circulation minoritaire de monnaies privées, la monnaie étatique servant de référence commune. En pratique, cela est très peu différent de l’existence de marchés financiers très liquides tels qu’ils se sont développés depuis les années 1980.

    • gorgonzola 27 décembre 2011 23:16

      Il faudra aussi qu’il sorte du révisionnisme européen qui consiste à faire croire que De Gaulle était pour l’Europe...

      http://www.u-p-r.fr/dossiers-de-fond/de-gaulle-et-l-europe/la-propagande


  • Robert GIL ROBERT GIL 23 décembre 2011 12:47

    Le FN est pour le protectionnisme. D’accord, mais est-ce que cela concernerait juste la Chine ou aussi nos partenaires européens, sachant que 80% de nos échanges se font avec eux. Et, quelles mesures de rétorsion prendraient les autres pays  ? Marine veut aussi sortir de l’euro, mais de manière concertée ; ce n’est pas possible. Il faudrait que tous les pays soient d’accord, alors qu’ils ont des intérêts différents. Et si elle le fait séparément, nos engagements financiers avec l’étranger continueraient à exister ! Quelle valeur aurait le franc sur le marché international ......
    http://2ccr.unblog.fr/2011/12/20/que-nous-dit-le-fn/


  • le journal de personne le journal de personne 23 décembre 2011 12:52

    Le toc des civilisations

    Je crois que notre époque a renoncé à la vieille opposition entre l’universel et le particulier.
    Pour consacrer la seule véritable opposition entre le particulier et le particulier.
    Les particuliers vont devoir s’affronter pour toujours et à jamais.
    Particuliers contre particuliers
    Luttent à mort... pour une vie de lutte
    Mal nécessaire... pour un bien universel

    http://www.lejournaldepersonne.com/2011/12/le-toc-des-civilisations/


    • jaja jaja 23 décembre 2011 13:17

      Je dois partir mais avant tiens à tiens à dire ceci :

      La tentation souverainiste est une illusion. Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit.

      Les Asselineau boys ont déja critiqué cette position comme étant « européiste » et « alliée du système » en faisant semblant de ne pas voir qu’en cas de soulèvement populaire victorieux dans un seul pays européen comme la France, par exemple,  la sortie de l’UE est inévitable ainsi que la sortie de l’Euro... comme l’a déja affirmé le NPA. C’est d’ailleurs ce qu’exigent les anticapitalistes grecs qui sont par ailleurs pour la construction d’une Europe des travailleurs et contre un simple repli nationaliste étroit...

      Repli nationaliste donc repli sur « l’intérêt national » qui n’est en fait que l’intérêt du Capital toujours au pouvoir (pourvu qu’il soit bien Français) et bien plus puissant que les travailleurs. Non exploiteurs capitalistes et exploités n’ont jamais le même intérêt. L’on voit bien dans le schéma d’Asselineau que c’est toujours la Bourgeoisie qui est au pouvoir car comme le dit l’UPR elle-même elle n’est pas « anticapitaliste »........

      Asselineau comme MLP travaillent en fait tous deux pour leur classe : la bourgeoisie « nationale » et donc la continuation de l’exploitation capitaliste pour les prolétaires actifs ou contraints au chômage......

      Ces deux « anti-système » ne sont que poudre aux yeux pour les travailleurs....


    • Anaxarete Amaurea Anaxarete Amaurea 23 décembre 2011 15:13

      c’est quoi le NPA ?


    • gorgonzola 23 décembre 2011 15:39

      "La tentation souverainiste est une illusion. Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit.« 

      Vouloir récupérer le droit de décider nous-même de la politique de la France est-il une illusion ? Non c’est la norme pour 98% des pays de la planète. Par contre ça : » Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit.", oui c’est de l’illusion pour moi... ça veut dire quoi le service publique pour des pays ultra-libéraux comme le R-U, l’Autriche ou les Pays Bas ?


    • gorgonzola 23 décembre 2011 16:12

      Je précise aussi que l’Union Populaire Républicaine n’a pas comme le NPA vocation a substituer une nouvelle idéologie à celle existante. Ce qui nous fait nous rassembler tous c’est que nous prenons conscience de l’urgence devant la situation et qu’il nous semble raisonnable d’oublier pour un temps nos querelles idéologiques pour nous réunir au sein d’un nouveau consensus qui est : rétablir une authentique démocratie en France, cesser notre subordination a des intérêts étrangers non élus, empêcher la captations de nos services publics et le pillage de notre patrimoine national par des fonds de pension privés, refuser l’appartenance à l’OTAN et l’engrenage guerrier qui en découle et arrêter notre appauvrissement collectif. Ce qui passe obligatoirement par la sortie des traités de Lisbonne et Maastricht donc par la sortie de l’UE. Sur ces points là il y en a au moins 3 qui VOUS concerne directement en tant qu’être humain... Posez-vous cette question : qu’aurait fait le NPA s’il avait existé du temps du CNR ?


    • aveclotanvatoutsenva 23 décembre 2011 17:16

      @ Anaxarete,

      Pour répondre à votre question « C’est quoi le NPA ? », je dirai que le NPA est à la gauche ce que le FN est à la droite.

      L’un comme l’autre évitent soigneusement de mettre en avant la solution la plus rapide, la plus simple, la plus légaliste et pacifique (et donc la moins aventureuse) de libérer la France des USA, des multinationales et de leur cheval de Troie qu’est L’UE : faire sortir la France de l’Union européenne en se servant de l’article 50 du traité de Lisbonne.

      Lorsque les gens du NPA disent attendre qu’un « soulèvement populaire » règle les problèmes de la France, ils se paient la tête des Français ; exactement comme les gens du FN se paient la tête des Français lorsqu’ils leur disent que le FN va « renégocier » les traités européens...


    • simir simir 24 décembre 2011 11:04

      L’Europe des travailleurs ! Les vieilles lunes trotskystes. On fait quoi avant que les hollandais,les autrichiens et les espagnols qui viennent de voter à droite se décident ? C’est un peu comme en 1917 l’impossibilité selon eux d’édifier le socialisme dans un seul pays.
      Je l’ai déjà dit mais le répète les trotskystes sont les idiots utiles du capitalisme


    • jaja jaja 24 décembre 2011 11:10

      Tiens Simir ce fervent partisan du capitalisme d’État et du goulag qui vient en grand uniforme d’apparat sucer l’extrême droite nationaliste...


    • jaja jaja 24 décembre 2011 11:20

      « On fait quoi avant que les hollandais,les autrichiens et les espagnols qui viennent de voter à droite se décident ? »

      C’est écrit dans plusieurs commentaires. Si un seul pays se décide et fait une révolution on fait comme l’exigent les anticapitalistes grecs : sortie de la BCE et de l’euro et dénonciation unilatérale des traités européens....

      Vous parlez pour ne rien dire Simir... Juste cracher sur les trotskistes que vous ne pouvez plus hélas, ni enfermer ni assassiner....


    • agocount 25 décembre 2011 20:52

      «  »On fait quoi avant que les hollandais,les autrichiens et les espagnols qui viennent de voter à droite se décident ?"

      C’est écrit dans plusieurs commentaires. Si un seul pays se décide et fait une révolution on fait comme l’exigent les anticapitalistes grecs : sortie de la BCE et de l’euro et dénonciation unilatérale des traités européens....

      Vous parlez pour ne rien dire Simir... Juste cracher sur les trotskistes que vous ne pouvez plus hélas, ni enfermer ni assassiner..."

      Si
      et seulement si un pays ce décide à faire une révolution Or par expérience historique les peuples font une révolution dans 2 cas : 1/ parce qu’ils ne peuvent pas manger, 2/ parce que ils sont attaqués physiquement par l’État via sa police ou son armée.

      Et bien évidement les banques et les politiciens qui sont leurs paravents ont la bonne idée de ne pas déclencher de révolution, d’ailleurs les révolutions sont numériques aujourd’hui, c’est à celui qui cliquera mieux que l’autre avec sa souris à 6 boutons ou avec son écran à quatre mains...

      Bref l’enfumage marche bien et les peuples vivent dans des prisons dorées, s’ils ne veulent pas se réveiller, et bien l’industrie les tuera avec des OGM, des produits chimiques nombreux et variés fabriquer par IG Farben and co et l’UE qui est leur création en sera le moyen cf Dr Rath http://www.dailymotion.com/video/xgfe4i_les-magouilles-de-l-industrie-pharmaceutique-dr-rath-1-4_lifestyle

      Et oui l’UE c’est une histoire de gros sous et de pouvoir car derrière les gros sous il y’a le vrai pouvoir : les riches, les très très riches, les banques et les industriels donc.




  • l'Ami Ricoré l’Ami Ricoré 23 décembre 2011 13:04

    « Non, pas immédiatement, nous sommes un État au milieu d’autres États européens et nous sommes liés à d’autres États, il faut donc repenser l’Europe, rebâtir l’Europe [...] je pense que la première chose que ferait Marine Le Pen, c’est de demander un sommet européen pour parler de la reconstruction de l’Europe, basée cette fois-ci sur l’Europe des patries... »


    Et ils veulent construire une « autre europe » (refrain bien connu depuis 30 ans tant à droite qu’à gauche) avec les 26 autres partenaires ? Ils vont faire comment svp ? Leur demander poliment ? Taper du poing sur la table ? Leur dire d’aller se voir (chez les grecs) ?

    Tout citoyen normalement constitué comprend bien que c’est parfaitement infaisable... L’Europe restera telle qu’elle est ! Si nous voulons retrouver notre démocratie et son corollaire notre souveraineté, la seule et unique solution est d’en sortir en bonne et due forme en utilisant l’article 50.

  • non666 non666 23 décembre 2011 13:06

    Ce qui est drole, c’est de voir a quel point le systeme se mord la queue aujourd’hui.

    Pendant des decennies, aussi bien au RPR qu’au PS, TOUS les collabos du système se moquaient des « souverainistes » et expliquaient a quel point etre contre les abandons de souveraineté etait depassé, synonyme de refus de l’Europe, synonyme de passeisme....

    La, patatras, le système se casse la gueule, EXACTEMENT sur les sujets que les souverainistes ont toujours montré du doigt.
    Et du coup, sans aucune gène, tous les enarques collabos du systeme essaient aujourd’hui de nous expliquer que ce sont ceux qui ont toujours été contre qui sont en fait pour.... !
    Le FN, l’ex-PFN, Ordre Nouveau, Occident, les socialistes « souverainistes » (Chevenement) , les gaullistes et autres identitaires etaient donc dans le vrai, dans le juste eta avaient globalement raison !
    Il faut donc les salir, minimiser leur victoire et faire du « negationnisme » (comme on le dit au diner du CRIF) des discours precedents.
    Les memes serviteurs zélés qui ont conseillé les ministres RPR ou PS dans les voies de la mondialisation, de l’abandon de souveraineté au profit de l’Europe lèvent les mains face à la fureur des peuples et chantent « Pas nous, pas nous ».

    Monsieur Asselineau, s’il y a bien une chose qui n’est pas possible en propagande, c’est de lutter contre une image qu’on a soi-meme erigé. En diabolisant les nationalistes et en organisant le rire a leur encontre sur le sujet de l’Europe , de l’Euro, de la mondilisation, vous les avez tous vous meme credibilisé aujourd’hui.

    En essayant de le nier aujourd’hui pour vous « sarkozifiez » vous meme.
    Plus personne ne croit Sarkozy parce qu’il a trop menti a trop de monde.
    Plus personne ne peut croire non plus que le sujet sur lequel on voulait rire du FN (et des autres souverainites) n’etait pas authentique, au moment ou il devient une evidence pour tous.


    • François Asselineau 23 décembre 2011 13:08

      Non666

      1) Vous avez mal lu : il ne s’agit pas d’Asselineau seul, mais de tous les responsables de l’UPR.

      2) Quelles sont vos réponses - point par point - à notre argumentaire : ZÉRO !
      Les lecteurs apprécieront.

      François Asselineau


    • l'Ami Ricoré l’Ami Ricoré 23 décembre 2011 13:11

      Etes-vous ce genre de souverainiste/nationaliste qui ne souhaite sortir ni de l’euro, ni de l’Europe, ni de l’OTAN ?


    • appoline appoline 23 décembre 2011 18:39

      Il est une chose certaine Monsieur Asselineau, c’est que le prochain gouvernement quel qu’il soit, devra s’entourer de solides gestionnaires, non de policards sortis de l’ENA, qui confondent biens de l’état et biens propres.


      Pourquoi les français voteront FN simplement parce qu’ils ont été trompés depuis plusieurs décennies par la gauche et la droite. Ils n’ignorent pas le programme du FN, ils n’adhèrent probablement pas à toutes ses idées, mais ils en ont assez de passer de la droite à la gauche et inversement et s’indignent que leurs priorités soient foulées aux pieds par des guignols que se pensent importants, indispensables, irremplaçables. 

      Oui mon anciens, dont mon père doivent se retourner dans leur tombe s’ils aperçoivent ce que les néo-collabos ont fait de leur pays.

    • Liior 23 décembre 2011 18:41

      Sachez que la majorité des membres du gouvernement actuel (les membres importants du moins) ainsi que notre cher Président de la République, ne sont pas des Enarques .. Faut arrêter la phobie des énarques, ça ne veut strictement rien dire ..


    • gorgonzola 23 décembre 2011 22:09

      @Appolline : parceque vous croyez sincèrement que le FN changera les choses ? L’article prouve justement que non. Les contorsions du FN sont devenues tellement énormes qu’il est difficile de ne pas les voir. Dernières en date : la rencontre de Marine Lepen avec l’extrême-droite oligarchique israélienne de l’AIPAC (voir ici : http://www.medialibre.eu/france/marine-le-pen-rencontre-laipac-le-super-crif-americain/11376) ou l’élu FN roi du Halal (ici : http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-article/t/72421/date/2011-11-01/article/le-fn-abrite-le-plus-gros-producteur-de-viande-halal-du-nord-pas-de-calais). C’est sûr qu’avec ça le FN ne prend pas les français pour des guignols...


    • bdoume bdoume 23 décembre 2011 22:44

      Cela n’est que votre point de vue. Il n’engage que vous et quelques soumis incapables de raisonner eux même.


    • John Foster 23 décembre 2011 23:44

      Appoline, que pensez vous de Florian Philippot ?


      Cordialement.

    • gorgonzola 24 décembre 2011 01:38

      Ce que vous appelez point de vue, j’appelle ça du factuel... mais je serai curieux de lire vos justifications ^^


    • appoline appoline 24 décembre 2011 15:54

      @ Gordonzolo,


      Je ne crois plus à grand chose comme beaucoup. La seule que je sais c’est que la France est mon pays et qu’il y a assez de le voir maltraité de la sorte.

    • appoline appoline 24 décembre 2011 16:00

      @ John,


      Je ne connais pas trop ce monsieur, même s’il a fait l’ENA, il a aussi fait HEC, ça peut aider.

    • gorgonzola 27 décembre 2011 19:47

      @Appollinne :

      C’est aussi mon cas et celui de bon nombre d’adhérents de l’UPR qui en avait marre qu’on les prenne pour des cons et qui ne pensaient pas qu’un jour ils adhèreraient à un parti jusqu’à ce qu’ils découvrent les conférences d’Asselineau et qu’ils lisent la charte du mouvement de l’UPR... Comme quoi vous voyez il reste encore un petit espoir...


    • gorgonzola 27 décembre 2011 19:48

      Et je rajouterais : joyeuses fêtes !

      Cordialement


  • jaja jaja 23 décembre 2011 13:19

    Je dois partir mais avant tiens à tiens à dire ceci :

    La tentation souverainiste est une illusion. Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit.

    Les Asselineau boys ont déja critiqué cette position comme étant « européiste » et « alliée du système » en faisant semblant de ne pas voir qu’en cas de soulèvement populaire victorieux dans un seul pays européen comme la France, par exemple,  la sortie de l’UE est inévitable ainsi que la sortie de l’Euro... comme l’a déja affirmé le NPA. C’est d’ailleurs ce qu’exigent les anticapitalistes grecs qui sont par ailleurs pour la construction d’une Europe des travailleurs et contre un simple repli nationaliste étroit...

    Repli nationaliste donc repli sur « l’intérêt national » qui n’est en fait que l’intérêt du Capital toujours au pouvoir (pourvu qu’il soit bien Français) et bien plus puissant que les travailleurs. Non exploiteurs capitalistes et exploités n’ont jamais le même intérêt. L’on voit bien dans le schéma d’Asselineau que c’est toujours la Bourgeoisie qui est au pouvoir car comme le dit l’UPR elle-même elle n’est pas « anticapitaliste »........

    Asselineau comme MLP travaillent en fait tous deux pour leur classe : la bourgeoisie « nationale » et donc la continuation de l’exploitation capitaliste pour les prolétaires actifs ou contraints au chômage......

    Ces deux « anti-système » ne sont que poudre aux yeux pour les travailleurs....


    • jaja jaja 23 décembre 2011 13:20

      Désolé pour le doublon.... smiley


    • gorgonzola 23 décembre 2011 15:40

      "La tentation souverainiste est une illusion. Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit."

      Vouloir récupérer le droit de décider nous-même de la politique de la France est-il une illusion ? Non c’est la norme pour 98% des pays de la planète. Par contre ça : " Le NPA est partisan d’une autre Europe, l’Europe des travailleurs, avec socialisation de toutes les banques, y compris la BCE, et la création d’un pôle bancaire européen unique et de service public ayant la main-mise sur la monnaie et le monopole du Crédit.", oui c’est de l’illusion pour moi... ça veut dire quoi le service publique pour des pays ultra-libéraux comme le R-U, l’Autriche ou les Pays Bas ?


    • gorgonzola 23 décembre 2011 16:12

      Je précise aussi que l’Union Populaire Républicaine n’a pas comme le NPA vocation a substituer une nouvelle idéologie à celle existante. Ce qui nous fait nous rassembler tous c’est que nous prenons conscience de l’urgence devant la situation et qu’il nous semble raisonnable d’oublier pour un temps nos querelles idéologiques pour nous réunir au sein d’un nouveau consensus qui est : rétablir une authentique démocratie en France, cesser notre subordination a des intérêts étrangers non élus, empêcher la captations de nos services publics et le pillage de notre patrimoine national par des fonds de pension privés, refuser l’appartenance à l’OTAN et l’engrenage guerrier qui en découle et arrêter notre appauvrissement collectif. Ce qui passe obligatoirement par la sortie des traités de Lisbonne et Maastricht donc par la sortie de l’UE. Sur ces points là il y en a au moins 3 qui VOUS concerne directement en tant qu’être humain... Posez-vous cette question : qu’aurait fait le NPA s’il avait existé du temps du CNR ?


    • implan-T implan-T 23 décembre 2011 17:07

      @jaja, je me dois d’intervenir, car vous ne connaissez visiblement ni la charte de l’UPR de monsieur Asselineau, ni son programme, ni son mode de fonctionnement.

      La première question est : qu’est-ce que l’Union Européenne ?
      L’UE est à l’image d’un syndic dans un immeuble de 28 (29, 30, etc) appartements.
      Quand les décisions du syndic ne vous conviennent pas, vous pouvez en effet protester, mais en gros, il ne vous reste plus qu’à déménager (sortir de l’UE).

      Alors la seule solution qui fait L’UNANIMITÉ DE LA SCÈNE POLITIQUE FRANÇAISE, est de « Changer l’Europe ! » (en une Europe des travailleurs par exemple).

      Deuxième question : comment changer l’Union Européenne ?
      Croyez-vous vraiment que le syndic vous a donné à vous (locataire) tous les moyens et/ou le pouvoir de révolutionner ce syndic en place ? D’imposer « votre » modèle ?

      Et c’est là qu’est tout le problème !
      Le problème de fond, le premier à résoudre !

      Renseignez-vous sur les moyens dictatoriaux dont dispose l’UE pour mettre en place et imposer SA politique ultra-libérale et SES directives contraignantes, et comment cette Europe s’est soigneusement appliquée à élaborer tout ce qu’il fallait pour s’assurer que personne ne pourrait la changer (du moins sur le fond) et encore moins supplanter ceux qui la dirigent réellement (3e question : qui dirige l’Europe ?)

      Quand vous comprenez profondément ça, vous vous retrouver dans une urgence à vouloir sortir de cette « machine européiste » ultra-libérale et dictatoriale.

      Vous vous apercevez alors que les politiciens qui prônent une « autre Europe » sont soit mal informés et donc incompétents pour présider, soit au courant et donc manipulateurs et/ou corrompus et/ou soumis.
      Nous ne croyons pas à la totale incompétence des politiques, d’où la mise en catégorie « européiste » dès que le responsable politique d’un mouvement ne dévoile pas cette réalité et joue sur le slogan que nous nous tapons depuis 30 piges « Une Autre Europe ».

      Regardez Mélenchon qui veut changer l’Europe à lui-même déclaré (étant député européen) « qu’en réalité un eurodéputé a encore moins de pouvoir qu’un parlementaire national dans des institutions européennes ». Et il nous dit qu’il veut changer l’Europe. Devons-nous croire qu’il est sincère et/ou convaincu de ce qu’il dit ?

      Jospin, 1er ministre, est parti à Bruxelles en disant « nous allons négocier ». Il est revenu en disant « ils n’ont pas voulu ». Merci, au revoir… suivant !!!

      "en cas de soulèvement populaire victorieux dans un seul pays européen comme la France, par exemple,  la sortie de l’UE est inévitable ainsi que la sortie de l’Euro« 
      Vous pensez à la Grèce en disant ça ? Qui vient de se faire remplacer de façon dictatoriale son 1er ministre par un banquier incompétent ?
      Vous croyez vraiment à un soulèvement »victorieux«  ? A moins d’avoir l’armée avec soit et de réaliser un vrai putsch, je ne vois pas comment vous aller les virer de leur trône. Ça me paraît bien plus utopiste qu’un Asselineau au 1er tour.

       »un simple repli nationaliste étroit« 
      Parce que quand vous en venez à déménagez à cause d’un syndic complètement nul et dépensier, vous appelez ça un »repli étroit«  ? Vous pensez qu’il faut savoir affronter les difficultés, ne pas déménager, et continuer à se battre tout en subissant et en étant dans l’utopie que le syndic finirait par écouter votre voix, la voix de la sagesse ?
      Et votre liberté dans tout ça ?!!
      A l’UPR cela ne s’appelle pas un »repli nationaliste étroit« , mais bel et bien une »libération nationale« , à l’image du Conseil National de la Résistance d’après-guerre.

      Si l’UPR ne se veut pas anticapitaliste, elle n’en est pas pour autant pro-capitaliste et de très loin ultra-libérale. Attention également de ne pas comprendre uniquement le côté négatif du mot ( »Le capitalisme est un concept à la fois économique, sociologique et politique. L’Académie Française propose une définition simple : le capitalisme est un « régime économique dans lequel les moyens de production sont propriété privée »« .). Dans le contexte, c’est je pense le sens qu’Asselineau lui donnait.
      J’en veux pour preuve, l’UPR entend faire »retour à la nation« des secteurs primordiaux pour un peuple à savoir l’énergie, les télécommunications, la santé, l’éducation, etc, tout en laissant la place au secteur privé d’exister. Si ça c’est être capitaliste… ^^

      D’ailleurs l’UPR ne définie pas de politique plus de droite ou plus de gauche. Elle est avant tout (cette Union Populaire Républicaine) un mouvement de »juste mesure« pour reprendre les termes d’Asselineau, un mouvement de rassemblement pour refonder les bases de la démocratie en France d’où le terme de »libération nationale« . Ensuite les sujets qui divisent les gens (en droite-gauche par exemple) seront départagés grâce aux référendums d’initiative populaire, une des mesures cités dans le programme de l’UPR.

       »Repli nationaliste donc repli sur « l’intérêt national » qui n’est en fait que l’intérêt du Capital toujours au pouvoir« 
      Vous persistez dans la mauvaise interprétation de départ et faites en plus un raccourci primaire qui vous fait penser que l’UPR serait »contre l’intérêt national« , c’est-à-dire »contre l’intérêt du peuple« .
      Il suffit de lire le programme pour s’apercevoir que c’est tout le contraire !! Un programme qui s’apparenterait même à de l’extrême gauche à la vue des nationalisations importantes qui sont proposées (citées en partie plus haut), avec en plus l’inscription dans la constitution des services publiques qui ne sont pas privatisables par nature, dans l’intérêt du peuple, pour faire en sorte de régler ce problème définitivement (ou tant qu’un autre président n’aura pas décidé de supprimer ce texte, évidemment).

       »L’on voit bien dans le schéma d’Asselineau que c’est toujours la Bourgeoisie qui est au pouvoir« 
       »Asselineau comme MLP travaillent en fait tous deux pour leur classe : la bourgeoisie « nationale » et donc la continuation de l’exploitation capitaliste pour les prolétaires actifs ou contraints au chômage"
      Citez moi un exemple en rapport à l’UPR qui pourrait vous faire croire cela.
      Si c’est le fait qu’Asselineau ait un langage châtié (ou de part son parcours) que vous croyez cela, c’est que pour vous l’habit fait le moine et que vous n’êtes évidemment pas allé plus loin pour savoir ce que proposait l’UPR.

      La révolution ? Elle est dans le programme de l’UPR.
      Aucun autre programme ne lui arrive à la cheville.
      Je ne vous demande pas de me croire, mais je ne peux pas m’informer à votre place.
      Vérifiez par vous-même.
      http://www.u-p-r.fr/presidentielles-2012/le-programme-de-l-upr


    • aveclotanvatoutsenva 23 décembre 2011 17:24

      @ jaja,

      Juste une question : quand vous dites « les travailleurs », est-ce que ça inclut les bobos aux mains manucurées qui forment l’état-major du NPA ?...


    • jaja jaja 23 décembre 2011 23:57

      Messieurs les moinsseurs en bande du guide j’ai dit ce que j’avais à dire....
      Apparemment peu m’ont lu puisque jamais je n’ai exclu une sortie unilatérale de l’UE et de l’euro...
      Quand aux guignols qui croient que quoi que ce soit de sérieux peu passer par les urnes je les invite à se pencher sur l’histoire....


    • jaja jaja 24 décembre 2011 00:02

      Quand à aveclotanvatoutsenva qu’il s’occupe des mains de son maître et s’il veut voir les nôtres qu’il n’hésite pas à se déplacer aux manifs anti-Otan ou anti-G8-G20 où on ne voit jamais la bande de l’UPR. On lui les montrera avec plaisir.....


    • John Foster 24 décembre 2011 00:13

      Oui moi aussi un jour j’ai manifesté contre l’OTAN puis contre le G8 puis contre la réforme des retraites. J’ai même crié très fort. Je suis devenu tout rouge. Je me suis dit qu’on ne devait pas être assez à être tout rouge puisque rien n’a changé.


      Puis j’ai compris que le seul moyen d’en sortir était d’abord de sortir de l’UE. Après avoir franchi les 5 rideaux d’agents de sécurité, j’ai demandé aux organisateurs de la manif si c’est ce qu’ils proposaient. Devant leur tentatives de Noyades Poissonnières Affligeantes, j’ai été convaincu qu’il n’y avait qu’un seul mouvement qui se donnait les moyens d’appliquer ses propositions, et que ça ne devait pas être une coincidence pour qu’il ne soit jamais médiatisé.

    • jaja jaja 24 décembre 2011 00:46

      "Seuls les anti­capitalistes peuvent proposer l’alternative d’une autre Europe, en rupture avec les traités et institutions existants, fondée sur la démocratie, la collaboration et la solidarité entre les peuples, l’harmonisation sociale par le haut, le développement de services publics communs. Une Europe dont le but n’est pas de payer les dettes publiques pour enrichir encore les riches mais de la répudier pour défendre les conditions de vie des travailleurs et des pauvres  ; une Europe qui ne se propose pas de sauver les banques telles qu’elles existent aujourd’hui mais de les saisir et les socialiser, afin de mettre l’économie au service du plus grand nombre. En bref, une Europe qui commence à rompre avec le capitalisme."

      Pour ma part je ne ferai rien qui ira dans le sens de nos exploiteurs. L’UPR dit ouvertement qu’elle n’est pas anticapitaliste. C’est donc un parti qui est sans intérêt pour les travailleurs mais qui peut intéresser une fraction de la Bourgeoisie et de l’oligarchie politique dont est d’ailleurs issu Asselineau.....
      Le jour où elle aura besoin de ce politicien qui l’a déja bien servi jusqu’aux côtés de Pasqua, ce truand du patronat ou de Longuet le facho elle le sortira du placard....


    • gorgonzola 24 décembre 2011 01:53

      "Quand aux guignols qui croient que quoi que ce soit de sérieux peu passer par les urnes je les invite à se pencher sur l’histoire...."

      Alors pourquoi présenter Poutou à la présidentielle dans ce cas ? Pour faire de la pub à votre parti ?
      ...

      Ah tiens au fait vous avez enfin réussi à vous départager au sujet de votre candidate voilée ?

      Je repose ma question : si le NPA avait existé au temps du CNR qu’auriez-vous fait ?


    • jaja jaja 24 décembre 2011 02:06

      « Alors pourquoi présenter Poutou à la présidentielle dans ce cas ? Pour faire de la pub à votre parti ? »

      Exactement...... Gagné vous avez trouvé......

      Le CNR, vaste question... qui pose d’abord celle de la remise des armes de la Résistance pour une « union nationale » et en plus la soumission à l’impérialisme américain...

      1936, 1945, 1968, trois occasions ratées de prendre le pouvoir... Vos traîtres ne sont pas les miens...


    • jaja jaja 24 décembre 2011 02:13

      « Ah tiens au fait vous avez enfin réussi à vous départager au sujet de votre candidate voilée ? »

      S’il n’y avait que cette question en débat. C’est tellement plus facile avec un gourou, énarque de préférence, qui donne une ligne à la con aux adhérents potiches, tout juste bons à coller des affiches et à fermer leur gueule.....


    • gorgonzola 24 décembre 2011 03:12

      "C’est donc un parti qui est sans intérêt pour les travailleurs mais qui peut intéresser une fraction de la Bourgeoisie et de l’oligarchie politique dont est d’ailleurs issu Asselineau.....« 

      Le programme de l’UPR prouve le contraire. Il propose entre autre chose de réformer le système de financement et la visibilité médiatique des partis politiques (nouvelle répartition des subventions publiques, enquêtes de téléspectateurs...) afin que les »petits" partis puissent bénéficier de la même visibilité que les gros et donc des mêmes chances (n’est-ce pas le NPA).

      On peut ne pas avoir les mêmes idéologies politiques mais avoir tous de même des buts communs et s’entendre pour les obtenir. C’était l’esprit du CNR auxquels se sont rallié des partis à l’époque qui aujourd’hui seraient considérés comme d’extrême gauche. C’est le sens du mouvement UPR et c’est pour cela qu’il rassemble au dessus du clivage droite-gauche. Je ne pense pas trop me tromper en disant que Poutou ne sera pas président et quitte à attendre la révolution vous n’auriez absolument rien à perdre en votant pour l’UPR.

      PS : pour votre information, Asselineau n’est pas issu d’une grande famille bourgeoise (je crois savoir que ses grand parents étaient agriculteurs), et pour rentrer à l’ENA il a passé le concours qu’il a obtenu... aucune oligarchie ne lui a accordée de passe-droit. L’UPR il l’a crée à partir de rien et avec l’aide de personne (surtout pas des politiques qui lui ont tous tourné le dos), il ne l’a pas hérité de son paternel. Ses représentant régionaux sont des viticulteurs, des chercheurs, des commerçants, bref des gens de la base. Quand à ceux qui pense qu’Asselineau est un sous-marin de tel ou tel parti politique c’est risible, il a commencé a parcourir la France il y a 4 ans pour faire des conférences sur l’explosion de l’euro parfois dans des patelins devant 10 personnes. Quel sous-marin s’infligerait ce genre de chemin de croix. Et pour finir si l’UPR peut se prévaloir d’un gage de sérieux, sachez qu’il n’a pas déviés d’un iota en 4 ans (date de création du mouvement) de sa ligne de conduite et de ses analyses... quel parti peut en dire autant ? Comme vous le voyez nous avons toutes les raisons de penser que l’UPR est un mouvement franc et sincère.


    • Mahler 24 décembre 2011 12:32

      « une fraction de la Bourgeoisie et de l’oligarchie politique dont est d’ailleurs issu Asselineau..... » Je ne vois pas en quoi Asselineau est issu de la bourgeoisie, la bourgeoisie c’est celle qui possède les moyens de production en exploitant le travail des autres. Faudra me dire en quoi F.A possède les moyens de production et exploite le travail des autres. C’est un haut fonctionnaire qui a la base ne fait pas de politique. Puis il a travaillé aussi pour en arriver là


    • jaja jaja 24 décembre 2011 12:54

      Mahler il faut apprendre à lire.....

      « Et de l’oligarchie politique dont est issu Asselineau » qui effectivement émerge aujourd’hui de cette oligarchie en nouveau prophète à plus de 50 ans passés.... après avoir servi des Pasqua, Longuet et j’en passe...

      "C’est un haut fonctionnaire qui a la base ne fait pas de politique"
      Même après avoir été candidat sur les listes de droite du très honnête Tibéri. à Paris ? Vous nous prenez pour des truffes non ?.....


    • Mahler 24 décembre 2011 13:35

      Vous plaisantez au sujet des dates pour prendre le pouvoir. En 1936 la situation ne s’y prêtait pas du tout, en Allemagne Hitler était déjà au pouvoir et il fallait faire barrage au fascisme, la situation n’était pas du tout prompte à une révolution, dans certaines situations il faut savoir faire un compromis avec la bourgeoisie. Regardez pendant la monté du nazisme les communistes allemands ont refusé de s’allier aux « socialistes » résultat ça aurait pu empêcher hitler d’arriver au pouvoir et bien non, on connait la suite. Les communistes allemands ont agit comme des gauchistes sur le coup. Pour l’impérialisme américain au contraire la résistance l’a empêcher et c’est avec l’Europe que ce met en place cet impérialisme que de Gaulle savait retenir.

      Pour 1945 et la prise de pouvoir, elle était impossible, ou du moins dangereuse, les conditions matérielles ne s’y prêtaient pas. A l’époque on avait les Etats Unis et l’Union soviétique qui se partageaient le Monde ce qui rendait une prise de pouvoir en france par les communistes complètement dangereuse et folle. Entre l’armée américaine, des résistants en nombre très importants non communistes dont certains étaient anticommunistes, la faiblesse en nombre des résitants communistes et un armement loin d’être super, la « révolution » aurait été un échec sanglant.

      Quant à Mai 68 je rigole, cette « révolution de gauchistes » avec des gens qui y ont participé et qui sont devenus de bons bourgeois. la bourgeoisie à cette époque rêvait de jours sanglants auxquelles les gauchistes en bon alliés qu’ils sont de la bourgeoisie auraient aimé se jeter pieds et poings liés. Le Parti Communiste a très bien agit. Mai 68 une pauvre révolte d’étudiant bobos petits bourgeois. Quant aux ouvriers ils ne voulaient pas de révolution mais des conquêtes sociales, les conditions matérielles là aussi ne permettaient pas une révolution, Le PCF a bien agit en restant proche de la classe ouvrière et non comme les gauchistes qui font que parler de révolution dans le Vent.

      Dans la vie il faut parfois faire des compromis, là c’est sortir de la domination de l’impérialisme américain, c’est ce que propose l’UPR, une alliance provisoire. Mais bon vous êtes visiblement un gauchiste vous ne pouvez pas comprendre.


    • jaja jaja 24 décembre 2011 13:45

      Vous voyez bien Mahler que l’« unité nationale » est impossible entre les gens comme moi et ceux qui pensent comme vous... Je vous combattrai vous et les vôtres de cette droite réac jusqu’à mon dernier souffle....
      Oui je sais vous allez me dire que vous êtes de « gauche »....
      Continuez à tordre l’histoire dans votre sens ici sur Avox aidé par une petite bande qui n’a d’autre terrain militant qu’Avox et le Net....personne n’est dupe, vous êtes des ennemis de classe....


    • Mahler 24 décembre 2011 13:51

      "Même après avoir été candidat sur les listes de droite du très honnête Tibéri. à Paris ? Vous nous prenez pour des truffes non ?..." Et alors nul Homme n’est parfait, vous pensez que les êtres humains sont des personnes figées incapable d’évoluer ? A l’époque F.A comme beaucoup d’être humain a été naif et n’a pas hésité à rejoindre Pasqua parce qu’il était convaincu que celui ci voulait sortir de l’UE. Il a fait ça par idéologie, par naiveté anti UE parce qu’il voyait ce que faisait réellement l’UE. Bref il a fait une erreur et s’en est rendu compte. Dans la vie on progresse grâce aux erreurs et je préfère quelqu’un qui en a fait et qui s’en rend compte et claque tout, qu’un gars sois disant parfait. Et pour Longuet il a travaillé en tant que haut fonctionnaire il a fait d’ailleurs une interview où il s’est expliqué dessus. Écoutez la ça ne fait jamais de mal.

      Après la façon dont vous dite que asselineau est issu de l’oligarchie laisse à penser que celui ci en faisait parti et était un bourgeois(au sens marxisme du terme) mais j’ai sans doute mal compris je veux bien le reconnaitre.

      C’est dommage vous avez l’air sincère dans votre combat mais je vous trouve un peu trop soumis au gauchisme et à l’idéologie finalement.


    • Mahler 24 décembre 2011 16:22

      Mddr c’est bien le comble de me traiter de réactionnaire de droite. Désolé de vous décevoir mais je suis marxiste(Marx est mon philosophe préféré avec Nietzsche), j’ai même tous les tomes du Capital de Marx, alors c’est pas vous qui allez me l’apprendre mais je ne suis pas un gauchiste et je reste ouvert d’esprit, c’est quelque chose d’essentiel, le dogmatisme ne mène à rien, si ce n’est qu’à repousser les gens. Qui vous dit que on n’est pas sur le terrain, vous nous connaissez peut être ? Vous nous épiez pour savoir ?

      Et je ne tords pas l’histoire, je l’analyse normalement et sur ce point que j’ai émis comme les marxistes de la grande époque quand le PCF était puissant l’on analysé(parti qui était anti europe comme tous les marxistes encore qui d’ailleurs ont dénoncé l’impérialisme de la monnaie euro). Effectivement il ne peut y avoir d’alliance avec les gauchistes alliés objectifs de la bourgeoisie. D’ailleurs le NPA est tellement anti système qu’il a même le droit à passer dans les médias bourgeois, magnifique ! Quel grand parti de révolutionnaires marxistes !!!


    • jaja jaja 24 décembre 2011 16:35

      Je maintiens mon qualificatif, vous êtes un chantre de l’union nationale« qui ne peut-être que l’alliance contre-nature des exploités et des exploiteurs...

      Vous dites qu’il n’y a pas d’alliance possible avec les »gauchistes« .... Punaise mais c’est ce que je vous dis depuis le début. On ne s’alliera jamais avec des gens comme vous et on combattra toujours votre nationalisme étroit au service de la bourgeoisie dite »nationale« ....

      Et puisque vous lisez Marx et êtes marxiste vous avez dû louper le passage où il dit : »Les prolétaires n’ont pas de patrie"

      Prolétaires de tous les pays, unissez-vous » clôturant le Manifeste de celui dont vous vous prétendez disciple....


    • Mahler 24 décembre 2011 17:38

      Quand j’emploie l’adjectif gauchiste je l’oppose à marxisme et je fais une référence à Lénine. Et c’est quoi cet amalgame, comme quoi être contre l’Union Européenne c’est être nationaliste ? Voila bien qui prouve que la classe dominante impose ses idées en les faisant passer pour les intérêt de la société toute entière. En gros ce qui l’arrange et qui va dans ses intérêt c’est bien l’UE qu’elle arrive à faire croire à la société que c’est ses intérêts voir même ses idées que être pro européen, et elle arrive même à faire en sorte que être anti Union européenne c’est être nationaliste, pour le repli national etc... Un vrai tour de passe passe. Je ne suis absolument pas nationaliste, mais je suis anti union européenne, et anti impérialiste, or l’UE sert les intérêts des américains, donc je veux sortir de l’UE pour libérer la France et sans doute les peuples européens par la suite du joug américain, c’est pas bien compliqué.

       Merci je connais le manifeste et honnêtement c’est pas mon bouquin préféré de lui, je préfère « l’idéologie allemande » ou encore "Les luttes des classes en France" que je trouve plus intéressants. Et puis faut pas non plus lire Marx comme les saints écritures et qu’il aurait raison sur tout mais je suis d’accord les prolétaires n’ont pas de parties, mais ça les empêchent pas d’utiliser leur nation pour lutter contre l’impérialisme.

      Je rappelle ce que disait Lénine sur une Europe Unie : "Au point de vue des conditions économiques de l’impérialisme, c’est-à-dire des exportations de capitaux et du partage du monde par les puissances coloniales «  avancées » et « civilisées », les Etats-Unis d’Europe sont, en régime capitaliste, ou bien impossibles, ou bien réactionnaires." il a été visionnaire sur le coup avec le mot réactionnaire, c’est exactement ça et on le voit de plus en plus avec ce qui se passe notamment en Grèce et en Italie. Avec l’UE il n’y a eu aucuns avantages sociaux pour les travailleurs justement, au contraire, c’est plus de rigueur, moins de pouvoir d’achat, plus de délocalisation(et donc destruction de plus en plus importante de la classe ouvrière française), plus de chômage etc... je ne vois aucun raison de rester dans ce truc irréformable, crée par les multinationales et par wall street(voir à qui appartient la CIA). l’Europe social est un mythe, un mirage, donc je ne vois pas pourquoi je me battrai pour un Mythe et un truc impérialiste sclérosé où en plus les pays de l’est ont connu le socialisme et visiblement n’en veulent plus(pour l’instant du moins) et sont pro américains, ce qui rend impossible « l’Europe sociale » (qui n’est finalement qu’un truc réformiste).

      Je rappelle aussi que les communistes et Mao(loin d’être ma référence) avait fait une alliance TEMPORAIRE avec les nationalistes de tchang kai chek pour lutter contre l’impérialisme Japonais. L’impérialisme est l’ennemi suprême. Une fois la France sorti de l’UE elle pourra choisir sa politique, en espérant que les français fassent le bon choix. En attendant je vais pas m’embarrasser de l’UE sous prétexte que ça serait être nationaliste. C’est vachement révolutionnaire d’écouter les autres et tous ces « intellectuels » qui servent le système et ne rien faire sous prétexte que selon eux ça serait.... Je n’en ai que faire de leur idéologie pourrie. Visiblement une explosion de l’UE où ne serait ce que vouloir en sortir leur fait peur à tous ces bourgeois et petits bourgeois, et bien allant jusqu’au bout.


    • jaja jaja 24 décembre 2011 17:53

      Mon cher Mahler je m’en vais réveillonner... Merci de m’avoir fait hurler de rire avec votre :

      « les prolétaires n’ont pas de parties »

      Relisez-vous que diable où alors vous allez vous faire étriper à chaque fois.... smiley


    • gorgonzola 24 décembre 2011 17:55

      Décidément nous ne sommes pas sur la même planète que Jaja, sa planète à lui c’est la planète Marx. Il aime a dire qu’Asselineau est notre gourou mais à lire ses écrits et les miens j’ai l’impression que le fanatique de secte ici ce n’est pas moi :)


    • jaja jaja 25 décembre 2011 00:55

      @ Mahler : "et qu’il aurait raison sur tout mais je suis d’accord les prolétaires n’ont pas de parties, mais ça les empêchent pas d’utiliser..."

      Ca alors Marx aurait affirmé que les prolétaires n’ont pas de parties. Pourquoi pas les traiter de sans-couilles à votre tour non plus ? smiley smiley


    • Mahler 25 décembre 2011 03:06

      Je ne vois absolument pas ce que vient faire ce commentaire, l’ironie et le « sans couilles » (d’ailleurs vous répondez pas aux arguments mais bon). Marx a affirmé, et tout le monde le sait ,que les prolos n’ont pas de patrie et je disais que j’étais d’accord avec cette affirmation, (oui je ne suis pas d’accord avec tout, ce n’est pas les saintes écritures) vu que vous l’avez aimablement cité. Où est le problème là dedans ?

      Enfin quand on à rien à dire on dit n’importe quoi. De toute façon vu comment bouge le peuple en ce moment on peut se demander si il en des « couilles ».


    • Mahler 26 décembre 2011 01:28

      Ah oui mince je viens de voir(désolé quand j’ai vu ça hier soir à 3h00 du mat je n’ai pas fait gaffe que j’avais mal écrit, du coup je ne comprenais vraiment pas votre com), enfin j’ai fait une faute de frappe en tapant rapidement, ça ne vous arrive jamais ? Effectivement je ne me relis que rarement sur le net quand je fais de long com. De toute façon vous avez très bien compris ce que j’ai voulu dire sauf si pour vous les fautes de frappes sont impossibles à faire. Cela aurait été plus interessant si vous auriez argumenté sur ce que j’avais dit dans sa totalité.


  • Joe Liqueur 23 décembre 2011 13:25

    Félicitations aux camarades de l’UPR (et à son président) pour cette analyse implacable (je regrette seulement que l’on évoque les liens personnels entre Louis Aliot et Marine Le Pen : c’est tout à fait déplacé, et puis on s’en fout !).

    Il va de soi que l’on pourrait faire exactement la même analyse pour le programme du Front « de gauche ». Sans parler des billevesées moisies du genre « protectionnisme européen ». Je rappelle cet excellent aphorisme de Jacques Sapir (proche du Front « de gauche », et modérément eurosceptique, je sais…) : un pays peut avoir la souveraineté sans la démocratie, mais l’inverse n’est pas possible.


    • Lucho 23 décembre 2011 16:26

      "(je regrette seulement que l’on évoque les liens personnels entre Louis Aliot et Marine Le Pen : c’est tout à fait déplacé, et puis on s’en fout !"
      Il me semble au contraire que c’est tout sauf annodin. Cela reflète bien a quel point ce parti est gangréné par le népotisme. Ceci dit il serait malhonnete de dire que ce problème est uniquement celui du FN, les autres partis officiels sont gangrénés de la même manière.


    • François Asselineau 24 décembre 2011 13:55

      En quoi est-il « tout-à-fait déplacé » de dire ce que toute la presse dit, à savoir que M. Aliot est le compagnon de Mme Le Pen ?

      D’une part, ce n’est un secret pour personne.

      D’autre part, il est au contraire très important de rappeler que le FN est dirigé par le père, la fille et le gendre (et que la petite-fille est déjà sur les rangs). C’est en effet l’un des aspects essentiels du FN, qui est le parti de France où le népotisme sévit le plus.

      La liste interminable des cadres du FN qui en ont claqué la porte s’explique notamment par cette conception familiale et dynastique de la politique, aux antipodes exacts de la République.


  • mahatma mahatma 23 décembre 2011 14:08

    Merci pour votre article ...

    De toute façon, le FN et ses dirigeants ne manqueront surement pas, rapidement de répondre ou de clarifier leur position concernant les points que vous soulignez ...
    Chacun jugeront les arguments qui seront alors avancé


    personnellement, je considère la place que prend ce parti dans cette course vers 2012 comme un pièce essentielle dans la stratégie de réélection de Mr Sarkozy.
    D’où le sésame ouvert pour l’image de Marine éclairées par les phares médiatiques.

    Si vous étiez dans une combine quelconque en faveur de Sarkozy, nous aurions le plaisir de vous voir bien plus souvent dans les médias « conformes » ...
    A part les troyens, les faux experts, les portes voix du monarque, qui d’autres pourraient avoir accès aux arènes médiatiques possédées par les « amis » partisants ?

    Cordialement ...


  • Louis Matisse Louis Matisse 23 décembre 2011 14:53
    C’est la fabrication politique depuis des décennies de cet amalgame scandaleux entre extrême-droite et souveraineté nationale - ce qui est un non-sens historique et politique - par un parti qui en réalité fait semblant de défendre la souveraineté nationale. C’est doublement inacceptable et tout à fait abject envers les électeurs.

    La souveraineté n’appartient à personne si ce n’est à la nation. C’est un grand principe inaliénable que la France doit restaurer pour être une nation libre et indépendante. C’est aussi une condition nécessaire mais non suffisante pour qu’il y ait la démocratie. 

    Enfin, verra-t-on des personnes qui réfutent l’analyse de l’UPR avancez des contre-arguments ? Au regard de commentaires passés, je peux déjà affirmer que que comme d’habitude il ne sera questions que d’attaques personnelles. Se déplacer sur le champ du débat d’idées leur serait bien évidemment funeste.

    • l'Ami Ricoré l’Ami Ricoré 23 décembre 2011 14:57

       @ Louis Matisse


      « Enfin, verra-t-on des personnes qui réfutent l’analyse de l’UPR avancez des contre-arguments ? Au regard de commentaires passés, je peux déjà affirmer que que comme d’habitude il ne sera questions que d’attaques personnelles. Se déplacer sur le champ du débat d’idées leur serait bien évidemment funeste. »

      Je partage on ne peut plus votre commentaire...

  • alain_àààé 23 décembre 2011 15:58

    je ne suis pas d accord avec l auteur car cela et du rechauffer car a chaque election du présidant de la république on nous fait le meme manege sous mitterrand apres les elus du F N FIN fin 80 on s est mis de droite ou de gauche a expliqué aux electeurs qu ils ne votepas pour le F N mais en méme temps ces gens socialistes et de droites n avez aucun programme pour l éléction de CHIRAC il ne restait en liste que CHIRAC ET LE f N tous les partis mais surtout les socialistes en premier on dit de voter CHIRAC alors que le F N n avais aucun chance de gagné on vois bien la ce qu est la gauche et la droite


  • interlibre 23 décembre 2011 16:21

    Je me considère comme Européen. J’ai voté oui en 2005. Depuis j’ai compris mon erreur, ma naïveté. Je suis absolument contre l’Europe tel qu’on nous la vend, tel qu’on nous l’impose. Cependant je reste favorable a une communauté Européenne du social, de la recherche, des grands travaux. Bref une Europe Humaniste ou la France ne serait pas une brique ultralibérale supplémentaire pour le mur dans lequel nous fonçons à toute vitesse. Sortir de cette Europe oui mais pour construire quelque chose de meilleur et de démocratique en l’expliquant à nos voisins.


    • Augustule Augustule 23 décembre 2011 16:41

      Si vous pensez toujours qu’une Autre Europe est possible, je vous renvoie à la conférence de M.Asselineau.

      Pourquoi l’Europe est-elle comme elle est ?


    • John Foster 23 décembre 2011 16:54

      J’ai longtemps pensé comme vous. Seulement je me suis aperçu que l’Europe (la construction politique UE) est comme elle est car elle ne peut pas être autrement. Elle est à croisée des intérêts de 27 Etats (et plus car affinités).


      Sortir de l’UE ne veut pas dire s’isoler. La France continuera de siéger dans les commission internationales dont elle fait partie et conservera ses ambassades et postes consulaires. La France restera le deuxième réseau diplomatique du monde derrière les États-Unis ainsi que le deuxième domaine maritime mondial. Elle conservera ses entreprises multinationales dont au moins une est présente dans le top 5 de chaque secteur d’activité (aviation, luxe, cosmétiques, énergie, médias, publicité etc.)

      Cela signifie simplement que la France ne sera plus dépendante des limites que Bruxelles lui fixe en terme d’accords économiques internationnaux. Pourquoi restreindre le périmètre des partenariats aux seuls Etats membres quand on peut choisir de s’allier avec tous les pays du monde sur des projets particuliers (Ariane, Airbus, Galileo etc.).

      Donc je ne vois vraiment pas en quoi sortir de l’UE serait s’isoler. La France était-elle isolée avant ? La Suisse et la Norvège sont elles isolées aujourd’hui ? La Grande Bretagne s’isolerait-elle si elle sortait ?

    • gorgonzola 24 décembre 2011 04:02

      La question est : faut-il une Europe pour être humaniste ? L’Europe c’est la paix est un slogan qui nous a été mis dans la tête par les même personnes qui on mis en place l’Europe que vous et moi détestons et ce n’est pas un hasard. La vérité est que l’UE est la face d’une médaille dont le revers est l’OTAN (OTAN qui est emmené par les États-Unis et qui sur le faux prétexte de « guerre humanitaire » fait de l’ingérence dans des pays pourtant souverains). La vérité est qu’il est tout a fait tendancieux et pas du tout prouvé de dire qu’en liant des pays par leurs intérêts économiques on évite la guerre et que si nous n’avons pas eu de grande guerre en Europe depuis 60 ans c’est peut-être dû au fait qu’on a découvert l’arme atomique, qu’il s’en est suivi la guerre froide et que l’évolution a fait que la guerre entre grandes puissances se mène maintenant via les marchés et les mass-medias...

      Arriver à faire une Europe sociale à 27 pays s’est très peu probable pour ne pas dire impossible, par contre faire des coopération entre pays souverains c’est tout à fait possible et c’est d’ailleurs ce qu’on fait déjà dans le cadre de certaines organisations telles que le Conseil de l’Europe (qui n’a rien à voir avec l’UE et qui comprend la Russie). C’est d’ailleurs ce que font aussi les autres pays qui ne sont pas dans l’UE. Une coopération c’est une collaboration entre pays qui ont un intérêt commun, une fédération c’est un mariage forcé pour le meilleur comme pour le pire et avec une zone aussi hétérogène que l’UE il fallait bien s’attendre au pire.


  • non667 23 décembre 2011 16:47

    à upr
    je ne réponds pas directement à un procès d’intentions qui interprète faussement des écrits du fn  ! mais je fais un copier coller d’une réaction à jaja qui l’attaquait aussi faussement !

    si le pen à été proche des usa c ’était uniquement par ANTI- COMMUNISME PRIMAIRE qui à duré même après la chute du mur !
    son père étant artisan pêcheur , politiquement il a toujours(même étudiant ) été (même étudiant )pour un « capitalisme » de boutiquier (Centre National des Indépendants et Paysans = aujourd’hui pme,pmi ) contre les multinationales mondialistes !
    sur l’échiquier politique comme anti N.O.M. personne ne lui est antérieur (surtout pas l’ l’UPR )alors à moins d’être un sous marin /taupe du N.O.M. il est absurde de mettre en doute sa sincérité .ce que sont tout les souverainistes qui mégotent leurs soutiens au fn et là asselineau est en tête qui attaque + le fn que l’umpsmodemeelv

    le nom de F.N. est clair et franc ,sous entend un programme(tous les français d’ abord ) bien plus que les adjectifs démocrate ou républicain (UPR )qui ne distinguent plus rien dans la mesure ou tout le monde l’est ! (oui même le fn qui respecte sans manifester le suffrage même quand celui ci lui est défavorable même quand le scrutin est magouillitaire

    donc pour ’en sortir il faut d’abord se rincer l’esprit de la propagande/manipulation du N.O.M. qui commence par le racisme du fn ,l’antirépublicanisme ,etc..... !

    il est plus vrai que ceux qui défendent/ aiment les étrangers haïssent la france (rappeur )
     que ceux qui défendent/ aiment la france haïssent les étrangers.

    on est dans le mur. en 2012 il n’y a que 2 alternatives :

    -le N.O.M. avec ses valets umpsmodemeelv , ses taupes upr fdg 

    -ou le fn

    le ps et l’ump représentant une alternance pour une même alternative !


    • John Foster 23 décembre 2011 16:58

      « je ne réponds pas directement à un procès d’intentions qui interprète faussement des écrits du fn ! mais je fais un copier coller d’une réaction à jaja qui l’attaquait aussi faussement ! »


      Meuhhh oui. Interprète faussement. Les paroles s’envolent les écrits restent. Libre à vous de faire votre choix (il a l’air d’avoir été fait donc bonne chance à vous).

      PS : Si vous voulez être crédible, vous gagneriez justement à démontrer clairement que l’interprètation est fausse. Point par point. Mais entre nous, on sait bien que vous n’en ferez rien ;)

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