samedi 22 mars - par Laurent Herblay

Ukraine, Covid : la peur, l’atout cynique de Macron

Ces dernières semaines, entre les discussions sur l’Ukraine, les cinq ans du confinement et l’annonce d’un manuel de survie nous rappellent à quel point l’exécutif joue sur les peurs. Bien sûr, ce n’est pas nouveau, mais il est frappant de constater à quel point la grande majorité des médias finit par serrer les coudes autour du bloc central dans ce contexte. Le signe d’une démocratie profondément malade.

Ukraine, Covid : la peur, l'atout cynique de Macron

 

Chef de guerre complètement surjoué

Emmanuel Macron aime les graves crises, et il ne recule devant rien pour les dramatiser, les exagérer, et les exploiter politiquement sans la moindre retenue. Celui qui avait parlé de « guerre » contre la pandémie, évoqué brièvement, et de manière ridicule un « réarmement démographique », joue à nouveau sur cette corde depuis l’investiture de Donald Trump et l’accélération des discussions sur la fin de la guerre d’Ukraine. Pourtant, il est tout de même révélateur de constater à quel point Macron utilise cette guerre à des fins personnelles. Début 2022, il l’a exploité au maximum pour rentrer en campagne le plus tard possible, tout en s’auréolant du rôle de président de temps de guerre. La campagne présidentielle de 2022 a été lourdement manipulé par le camp présidentiel qui a cherché à limiter le plus possible le légitime questionnement démocratique en s’abritant et en exploitant massivement l’actualité de la guerre en Ukraine.

Il est aussi frappant de constater que Macron semble accorder une attention très variable à ce sujet, en fonction de son agenda personnel. Parfois, l’Ukraine semble être devenu un sujet secondaire, et, quand le président en fait beaucoup, cela semble venir à un moment où cela l’arrange politiquement. Et on ne peut pas dire que son action ait démontré une quelconque efficacité. Les discussions sérieuses ont lieu entre Trump et Poutine, ou en Arabie Saoudite, sans l’UE ou la France. Et notre continent, après trois ans de conflit, serait totalement incapable de suppléer les États-Unis, si nous le souhaitions, ce qui démontre que derrière les sommets et les grandes annonces, même si de l’argent et du matériel ont été envoyés, beaucoup de décisions sérieuses n’ont pas été prises. La communication et le soutien à courte vue, aussi utile soit-il, ont été privilégiés à l’action stratégique et à de véritables changements.

Il en va de même pour toute la question sanitaire. Le Grenelle de la Santé et les grands mots à destination de nos soignants n’ont pas été concrétisés de manière solide. L’exécutif continue à supprimer les lits qui nous ont manqué pendant une pandémie, ce qui signifie que toute nouvelle pandémie pourrait à nouveau mettre une pression supplémentaire sur un système hospitalier dont les difficultés ne cessent de s’amplifier, comme la tristement montré la hausse du temps d’attente aux urgences dans une étude récente cette semaine. Les efforts de relocalisation semblent limités et superficiels, Doliprane étant abandonné à un fond étranger. Bref, les graves crises semblent surtout des outils de communication pour le pouvoir en place, qui se vautre dans un activisme de façade, rarement questionné par des grands médias transformés en courroie de transmission du narratif de l’exécutif. La tonalité du Figaro depuis quelques mois est à ce titre particulièrement révélatrice, ne manquant aucune occasion de flatter macronie et majorité.

Pourtant, le rebond de popularité reste limité, avec près de 70% des Français toujours largement hostiles au président de la République. Que se passera-t-il si la guerre cesse sous l’égide de Donald Trump et avec des européens maintenus en marge ? Est-ce la raison pour laquelle l’exécutif vient d’annoncer l’envoi d’un « manuel de survie » aux Français dans quelques semaines, de manière à continuer à exploiter le filon de la peur, en cherchant à montrer qu’il agit ? Encore une fois, Orwell nous donne les clés de ce que fait Macron. Pour passer outre son bilan calamiteux, il joue la carte de l’ennemi et de la guerre qui menace, alors que pour le coup, il est bien ridicule de penser que Poutine pourrait jouer à Napoléon ou Hitler. Macron se moque de nous quand il évoque une menace russe sur la Roumanie. Il ment pour dramatiser la situation, nous sidérer, et tenter d’en ressortir un tant soit peu grandi dans l’opération.

Encore une fois, cette présidence se révèle détestable. Ses gesticulations diplomatiques excessives et très improductives mériteraient un décryptage sans concession des grands médias. Non seulement il n’a pas réussi grand-chose dans le domaine, hérissant souvent nos partenaires, mais il cherche surtout à se réaliser, et à exploiter les évènements pour sa gloriole. Ce président est misérable.



19 réactions


  • mac 22 mars 12:41

    Je ne sais pas pourquoi, tout ça me fait penser au film de Lelouch, les misérables, où des Thénardiers revisités à la sauce des années 40, maintiennent dans leur cave Boujenah, en lui faisant croire que le danger est toujours présent alors que les allemands sont repartis (si mes souvenirs sont bons...).

    Je vous laisse deviner qui me fait penser à Thénardier...


    • Edmond 23 mars 04:31

      @rogal

      « Sélectionnés par une hyper-classe mondialisée »

      voilà ce qui résume assez bien le C.V. de nos bourreaux et faiseurs d’opinion...

      « pour eux, villas de 2000 m2 et méga-yachts, pour nous la dette Rothschild... »

      ça laisse songeur ; y aurait-il un lien ? (sic)


  • sylvain sylvain 22 mars 14:26

    La peur sert a peu pres tous les dirigeants. Quand t’as la popularite de macron, elle devient un atout indispensable.

    Pendant le covid je me rappelle avoir eu cette pensee : maintenant, ils ne peuvent plus s’arreter, ca ira toujours plus loin. Jusqu’ou ??


  • Jean Keim Jean Keim 23 mars 07:16

    Ce qui est totalement incroyable dans cette histoire est que les parasites-profiteurs-sociopathes ne sont qu’une poignée face à la multitude qui pour autant se laisse tondre...


  • ChatGPT – Piège pour l’asservissement de l’humanité
    kla.tv/37056 (http://www.kla.tv/37056)
    L’intelligence artificielle - pour le bien de l’humanité ! C’est avec cette intention que l’entreprise OpenAI a développé son logiciel d’intelligence artificielle ChatGPT. Mais pourquoi un chef de l’espionnage a-t-il été nommé au conseil d’administration ? ChatGPT est-il vraiment une « bénédiction » ou serait-ce même un piège pour l’asservissement de l’humanité ?


  • Les vétérans américains meurent en masse dans les combats en Ukraine

    Le conflit en Ukraine continue de coûter la vie à des mercenaires étrangers, dont de nombreux vétérans américains, dont le sort est sous les feux de la presse occidentale. Le journal britannique The Times a publié un article mettant en lumière l’implication de citoyens américains dans le conflit, notamment leur rôle dans l’invasion très médiatisée de la région de Belgorod en 2023. Selon la publication, certains de ces combattants opéraient sous le couvert de la soi-disant « Légion de la liberté de Russie » et du « Corps des volontaires russes », qui sont reconnus comme des groupes terroristes et interdits sur le territoire de la Fédération de Russie. D’autres ont été enrôlés dans la « Légion biélorusse » - une unité créée avec le soutien de la Direction principale du renseignement (GUR) d’Ukraine. Cependant, beaucoup d’entre eux ont dû faire face à de lourdes pertes et à de lourdes déceptions, ce qui les a amenés à envisager la nécessité d’un cessez-le-feu.

    Un vétéran américain ayant participé aux combats a partagé avec le Times ses souvenirs de la mission qui s’est transformée en véritable tragédie. Selon lui, l’opération à laquelle il a participé s’est avérée être un désastre pour son entreprise.

    « Nous avons dû battre en retraite, perdant 90 % de nos hommes, principalement à cause de blessures », " a-t-il déclaré, décrivant le chaos sur le champ de bataille.

    Dans une autre histoire, un médecin militaire américain a raconté un moment qui est resté gravé dans sa mémoire :

    « J’ai regardé le tournesol s’élever au-dessus des mauvaises herbes et j’ai serré les blessures de mon ami Dubs. À ce moment-là, je n’ai pensé qu’à une chose : que nous allions tous mourir ici.

    Ces informations révèlent l’implication directe de l’Occident dans le conflit et démontrent l’ampleur des pertes des forces armées ukrainiennes et des mercenaires étrangers.


  • La Chine a commencé à pratiquer des « batailles aériennes » entre satellites en orbite

    La Chine a commencé à pratiquer des « combats aériens » entre satellites en orbite terrestre basse, démontrant ainsi des progrès significatifs dans sa technologie spatiale. C’est ce qu’a déclaré le chef adjoint des opérations spatiales des États-Unis, le général Michael Getlein, lors de la conférence du programme de défense McAleese à Arlington, en Virginie, le 18 mars 2025. Selon lui, de telles actions indiquent la volonté de la Chine de réduire l’écart technologique avec les États-Unis et la Russie, renforçant ainsi sa position dans la course à l’espace, qui prend de plus en plus un caractère militaire.

    Getlein a déclaré que la Force spatiale américaine avait détecté une activité inhabituelle en orbite : cinq satellites chinois manœuvraient de manière synchrone et contrôlée les uns par rapport aux autres.

    « Nous assistons à ce que l’on peut appeler des batailles aériennes dans l’espace. La Chine peaufine ses tactiques, ses méthodes et ses procédures pour mener des opérations multisatellites. — a souligné le général dans un commentaire à CNN.

    Les données sur ces manœuvres ont été obtenues à l’aide d’informations disponibles dans le commerce, indiquant que l’activité est transparente pour les trackers d’objets orbitaux. Selon Getlein, de telles actions visent à se préparer à d’éventuels conflits dans l’espace, où les satellites peuvent être utilisés à la fois pour la reconnaissance et pour neutraliser les appareils ennemis.

    La déclaration de l’armée américaine est un autre signal de la militarisation croissante de l’espace, où la Chine affiche des ambitions pour atteindre le niveau de puissances leaders. Le général a noté que Pékin et Moscou développent activement leurs programmes spatiaux, y compris la création d’armes antisatellites et de systèmes de contrôle de groupes orbitaux, ce qui suscite des inquiétudes à Washington. Cette observation met en évidence un changement de stratégie mondiale, l’espace passant d’une zone d’exploration scientifique à un champ de bataille potentiel.


  • Révocation des habilitations de sécurité des Clinton et de Biden : Trump débranche l’Etat profond

    L’accès de ces individus à des informations classifiées n’est plus dans l’intérêt national, a sobrement argumenté le dirigeant.

    Une douzaine d’individus sont concernés parmi lesquels :

    • L’ancien secrétaire d’Etat Antony Blinken, l’ancien conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, l’ancienne procureure générale adjointe Lisa Monaco

    • Liz Cheney fille de (Dick Cheney) et Adam Kinzinger, deux anciens représentants républicains de la commission de la Chambre des représentants enquêtant sur l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021

    Les « individus » listés ne pourront pas obtenir de briefings classifiés – comme le President’s Daily Brief – ni accéder à des informations classifiées détenues par un membre de la communauté du renseignement américain.

    Des informations précieuses pour torpiller l’action de Trump.


    • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

      En France se serait sécurisant que les écolos, les socialistes et surtout LREM soient débranchés pour l’accès au secret défense et autres doc classifiés.

      Un autre scandale .
       https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-dessous-pas-tres-propres-de-l-agence-francaise-de-developpement-partie-2-le


      Les dessous pas très propres de l’AFD - partie 2 : le détournement de pouvoir ou de fonds ?

      Partie 2 - Le détournement de pouvoir ou de fonds (Partie 1 : le financement)

      Cette enquête est extrêmement compliquée, tant il y a pléthore d’intervenants plus ou moins identifiables, et des financements peu lisibles. Des financements rendus très difficilement lisibles par une comptabilité « synthétisée », comme les « global leaders » en ont le secret. Un secret que les « initiés » se gardent bien de révéler. Y compris à l’intérieur de leurs propres cercles. Ceux où logent les véritables décideurs, ces hommes et ces femmes qui soumettent l’accession aux secrets aux « initiés » de rangs subalternes, afin qu’ils aient la faculté de décoder les artifices symboliques et métaphoriques utilisés (1). Secrets réservés aux initiés qui le méritent. Les artifices présents dans la version brute (accessible à tout le monde), qui permettent d’accéder à la version qui est donc ainsi réservée uniquement aux initiés capables d’y accéder.

      (ndlr : (1) le visible et l’invisible, le haut et le bas, le Ciel et la Terre, etc. : la dualité ésotérique et métaphorique du langage des oiseaux)

      Toutefois, cette méthode a une faille : une fois « le code source » décelé, craqué, il suffit pour accéder à tous des secrets des membres de la Cabale de réfléchir selon la logique hégémonique et expansionniste de la cathédrale du Mal, à moins de se conférer au conseil de Rocard de « toujours privilégier la connerie au complot ».

      Alors, allez : profanons ! Glissons-nous à l’intérieur de l’édifice sacré. L’édifice interdit. L’univers obscur de l’Agence Française de Développement (AFD).

      <


  • Celui qui gagnera à coup sûr la guerre en Ukraine…
    par Daniel Kersffeld, Argentine

    Alors que le conflit avec la Russie commence à se refroidir grâce à l’intervention directe de Washington, les banques, et notamment les « fonds vautours », y jouent un rôle clé. Ils attendent impatiemment d’encaisser (et surtout de tirer leurs profits) pour les services fournis en Ukraine, tout en commençant à planifier l’avenir économique de ce pays en garantissant leur propre avantage. BlackRock, le plus grand groupe de fonds d’investissement au monde, avec un actif d’environ 12billions de dollars, PIMCO (Pacific Investment Management Company), la sixième plus grande société d’investissement internationale au monde, et JP Morgan Chase, la plus grande banque du monde, forment un puissant conglomérat financier basé aux Etats-Unis. Il est resté fidèle à l’Ukraine ces dernières années, ce en échange de contrats lucratifs.
    Les relations entre Kiev et BlackRock remontent à 2014, lorsque le fonds d’investissement est devenu l’un des principaux créanciers de la dette publique ukrainienne après le coup d’Etat pro-occidental contre le Président d’alors, Viktor Ianoukovitch.
    Ce lien devait toutefois s’approfondir sous le gouvernement actuel de Volodimir Zelensky et surtout depuis le début de la guerre contre la Russie, en février 2022, lorsque d’autres entreprises spécialisées dans la maximalisation des profits et la spéculation financière s’y sont associées, avec des pratiques d’extorsion sans cesse renouvelées. Et ce, après avoir repris une partie de la gigantesque dette extérieure de près de 170 milliards de dollars convenue avec le FMI et la Banque mondiale.
    Alors que la guerre était déjà en cours, BlackRock et PIMCO se sont mis d’accord à suspendre la charge d’intérêts pour deux ans. Début 2024, l’accord a été prolongé d’une année supplémentaire, à condition que Zelensky charge ces entreprises de trouver des investissements privés pour la reconstruction de l’après-guerre. Ces « fonds vautours » ont joué un rôle de premier plan dans ce nouveau développement économique, en leurrant de diverses entreprises intéressées par des gains rapides en Ukraine dans ce domaine ainsi qu’en leur facturant convenablement cette activité.
    En plein Forum de Davos en janvier dernier, Zelensky a tenu des réunions secrètes avec les principaux PDG et CEO de multinationales pour conclure, pratiquement à l’abri des regards, des transactions risquées de l’ordre des dizaines de millions. Toujours coordonné par les organisations alliées, le Président ukrainien a rencontré les dirigeants d’entreprises du monde de la finance internationale comme Bridgewater Associates et Carlyle Group, des entreprises axées sur les investissements immobiliers comme Blackstone, des centres informatiques comme Dell et des conglomérats sidérurgiques comme ArcelorMittal.
    L’influence des entreprises financières occidentales dans les négociations de paix est incontestablement grande, à tel point qu’elles ont déjà fixé leur propre plan pour l’Ukraine d’après-guerre, qui va bien au-delà des privatisations rapides et de l’annullation de contrats gênants dans le secteur public.
    Avec le soutien de l’administration de Donald Trump, le principal intérêt des fonds d’investissement est la création prochaine d’une « banque de reconstruction », inspirée de leur propre expérience en tant que société de capital-risque et gérée à l’échelle internationale. Ce projet est très éloigné du « plan Marshall 2.0 » proposé par les principales capitales européennes pour favoriser certaines entreprises dans les domaines de la défense, des transports ou de l’industrie en Ukraine. Tout porte à croire que c’est face à ce genre de plans que l’Europe se trouve à l’écart de cette première phase du « dialogue ».
    Les créanciers des emprunts ukrainiens, en dépit de prendre Zelensky pour leur allié le plus important et ne craignant pas de barrières politiques pouvant bloquer la récupération des paiements échéants, ont déjà obligé le cabinet d’avocats Weil Gotschal et l’entreprise de conseil PJT Parkers de préparer, face au conflits imminents, une dispute juridique.
    Enfin, la fin de la guerre ne correspond en rien à celle tant attendue aux Etats-Unis, et encore moins en Europe où l’OTAN est à genoux face à une Russie victorieuse. En outre, dans les mois à venir des changements imprévisibles mais importants pourraient se produire en Ukraine, notamment si des remaniements majeurs interviennent sur la scène politique et militaire. Mais le plus important est qu’un grand groupe d’obligataires, représenté par des « fonds vautours », espère obtenir 23 milliards de dollars du fond destinée à la restructuration de la dette ukrainienne, qui sera immédiatement lancée dès le début de l’après-guerre.
    Pendant ce temps, BlackRock, PIMCO, d’autres fonds d’investissement et un nombre croissant d’entreprises, de banques et de multinationales espèrent réaliser déjà de grands bénéfices économiques avec une Ukraine extrêmement affaiblie et lasse de guerre. A condition, bien sûr, que leur partenaire privilégié, Volodimir Zelensky, reste à la tête de l’Etat acceptant de rembourser intégralement toutes les dettes, notamment en cédant des ressources minières et des terres à diverses entreprises économiques, et ce de manière probablement largement incontrôlée.•


  • Coup d’Etat contre Trump en 2016 : « Le marteau de la justice arrive », prévient Elon Musk

    « Il y aura des conséquences pour ceux qui ont fomenté » des complots de prétendue d’ingérence russe »

    Entre l’élection de Trump en 2016 et son inauguration, en janvier 2017, l’Etat profond d’Obama avait lancé l’opération « Russiagate ».

    Obama avait ordonné lors d’une ultime réunion, deux semaines avant la passation de pouvoir à Trump, de garder l’enquête du FBI secrète –techniquement, une haute trahison.

    Premier homme à abattre pour les comploteurs : Michael Flynn.

    En raison des menaces de Flynn durant 2016, à l’égard d’Hillary Clinton et de son directeur de campagne, John Podesta, dont la correspondance électronique avait été divulguée par WikiLeaks.


  • Krokodilo Krokodilo 23 mars 16:00

    En Ukraine, il paraît que les recruteurs mettent maintenant des cagoules ; la peur est partout pendant les guerres.


  • Jean Keim Jean Keim 24 mars 07:32

    En fait plus ou moins inconsciemment, plutôt plus que moins, comme en 14, je crains que les gens finiront par accepter l’état de guerre.

    Partout où il y a eu, où il y a et où il y aura des guerres, l’acceptation à fait, fait et fera consensus.

    Comme en 14 on nous désignera l’ennemi, et on nous demandera de faire bloc contre lui, en face ils en feront de même, les mots comme patrie, devoir, honneur, sacrifice, courage..., seront serinés ad nauseam.

    Ainsi la guerre est présente dans notre mode de penser.


  • ETTORE ETTORE 24 mars 11:06

    HN1N1.....

    COVID.....

    UKRAINE....

    Même motif, même combat, même ukase, même finalité.....Mêmes bénéficiaires.

    En attendant le prochain ticket, du train fantôme , qui seras certainement, la chute chronométrée d’un météore, qui finiras d’écraser les esprits encore à genoux ( mais avec sac à dos, pour équilibre )

    Cette matrice puante, à déjà été employée, et déployée combien de fois ?

    ET PAR QUI  ?

    Ce QUI, qui, est TOUJOURS Là !

    Et qui continue son train train d’arrière garde, en projetant le peuple de France, toujours plus au fond, du goulet d’étranglement, dont LUI se gausse d’être l’entonnoir qui conduit à la mise en bière, par une inique élucubration à la voix de castrat :

    «  Nous sommes en guèèèèère », destiné à faire passer, au forceps de la relance économique, par fabrication d’arme, un « coute que coute », qui couteras bien la vie

    à ceux qui l’écoutent.


    • chantecler chantecler 24 mars 11:14

      @ETTORE
      Le gentil couple élyséen se targue d’être « transgressif » !
      Mais à la réflexion le cambrioleur se sent lui aussi transgressif : « ce qui appartient aux autres est pour moi » !


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 mars 11:23

      @ETTORE
       
       ’’ Même motif, même combat, même ukase, même finalité.....Mêmes bénéficiaires. ’’
      >
       « Nous sommes en guerre . covid19.. Blablablabla  » (micron en chef de guerre)
       
      Remplacez covid19 par Poutine et vous avez le discours d’aujourd’hui.


  • placide21 24 mars 17:33

    Explication du scénario à venir (en anglais malheureusement) :https://youtu.be/OOGfzE6O5no?t=95


  • ETTORE ETTORE 24 mars 22:41
    chantecler 24 mars 11:14

    @ETTORE
    «  »«  »Le gentil couple élyséen se targue d’être « transgressif » !
    Mais à la réflexion le cambrioleur se sent lui aussi transgressif : « ce qui appartient aux autres est pour moi » !«  »«  »

    ...................................................................... .....................

    Trans-agréssif, sûrement ! lol

    Mais je me marre, mais alors, je me marre....

    Vous parlez à juste titre de « cambrioleur ».....

    Vous vous rappelez le sketch de Murielle Robin....Le noir ?

    Eh bien, c’est ce qui a été servi, sur un plateau scé-nique, à ces « par-ans », par la fille, couplée à Hanounah. ( vous pouvez le lire dans l’autre sens, c’est un palindrome, c’est pratique, il est réversible, comme ça... welcome to AIM-SCIé )

    Chez les Auziere, c’est...Ozé, .....Quand même !

    Une forme de « conjugaLiaison », ou de « déclin-Niaison » de la Trans Spermissivité, à la limite de l’agrée-ment-passivit-é .

    LOL !

    Je crois qu’on as pas fini de se marrer !


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