mardi 15 septembre 2015 - par Vincent Verschoore

Autotests de dépistage au Vih, aujourd’hui en France

 En ce jour de la mise sur le marché français des autotests de dépistage au Vih, il peut être utile de contextualiser un peu cette nouveauté. Ces tests existent aux USA depuis 2012 et en Angleterre depuis avril 2015. Le test anglais, BioSure, est très similaire au nouveau test français AAZ-LMB, tous les deux se faisant à partir d’un échantillon de sang (le test américain, réputé moins fiable, se fait à partir d’un test de salive).

Dans tous les cas, un autotest positif implique la vérification du diagnostic par un “vrai” test en laboratoire, selon la méthode classique ELISA + Western Blot. En France, en 2010 déjà Roselyne Bachelot militait pour une forme de test qui se ferait au sein d’associations avec un budget de 1 milliard d’euros sur 5 ans, petit cadeau de plus de l’ex-ministre à ses copains pharmaciens.

Le Test Rapide d’Orientation Diagnostique (TROD) est défini, selon ce document de la HAS, comme “un test unitaire, à lecture subjective, de réalisation simple et conçu pour donner un résultat dans un délai court (moins de 30 minutes généralement)”. Une grande différence avec un test de laboratoire est que le TROD n’est fiable qu’après un délai de 3 mois suite à un “événement risqué”, alors qu’un test en laboratoire est capable de détecter une infection après “seulement” 6 semaines suite au dit événement. Selon la théorie officielle du Sida, la primo-infection (juste après la contagion) est caractérisée par l’apparition de l’antigène p24 et une charge virale élevée. On est alors supposé devenir soi-même très infectieux, mais ce stade n’est pas détectable par les TROD. Après 3 mois se manifestent les anticorps au VIH-1 et VIH-2, et c’est sont eux que les TROD détectent. Ensuite, la charge virale reste détectable et la plupart des séropositifs entrent dans la phase dite asymptomatique, pouvant durer des années, où ils restent contaminants mais ne présentent pas de signes cliniques de maladie. Avant d’arriver, un jour ou l’autre si’ils ne se soignent pas (toujours selon la doctrine officielle bien sûr) au stade Sida proprement dit, où les défenses naturelles s’effondrent et la personne séropositive ne sais plus se défendre contre les maladies infectieuses opportunes.

En France, on estime qu’il y a de l’ordre de 30 000 séropositifs qui s’ignorent, et de 6000 à 8000 nouvelles infections annuelles. L’idée des TROD est de diminuer cette proportion de “séro-ignorants” en facilitant le dépistage et en mettant tout nouveau séropositif sous traitement antirétroviral, même s’il ne présente aucun signe clinique. Là est la clé du système : la nouvelle doxa, affirmée cet été lors de la conférence sur le Sida de Vancouver, est que tout nouveau séropositif doit être immédiatement traité afin de rendre sa charge virale indétectable et donc, non contaminante.

Autrement dit, et c’est en gros l’argument de vente de cette nouvelle posture, si on se soigne tout de suite après avoir été infecté au Vih on peut de facto continuer à vivre normalement, sans devenir soi-même contaminant. Pour autant que l’on ne soit pas contaminé par d’autres MST, les relations non protégées ne sont plus un problème entre séropositifs sous traitement et séronégatifs. Le nombre des nouvelles infections doit donc fortement diminuer du fait que les séropositifs traités ne sont plus contaminants (ça vaut pour les relations sexuelles et la transmission mère-enfant) et, à terme, la maladie disparaîtra faute de porteurs.

Scénario parfait, dont il convient cependant de revoir certains éléments de manière un peu plus critique. D’abord, le développement des TROD et la mise sous traitement de tout nouveau séropositif est une nouvelle manne fabuleuse pour l’industrie du Vih, qui va encore renforcer leurs mirobolants bénéfices même si des traitements génériques nettement moins onéreux existent dans certains pays (par un facteur de 100, le traitement-type annuel coûtant 10 000 USD dans les pays “riches”, passant à près de 100 USD en mode générique pour pays “pauvres”).

Ne pas voir un intérêt commercial derrière l’approche du tout-traitement serait faire preuve d’une certaine naïveté, l’industrie pharmaceutique étant reconnue pour la puissance de son lobby corrupteur, son cynisme et sa recherche du profit quitte à manipuler les tests cliniques. Voir par exemple, sur ce blog, ces articles Big Pharma à l’amende ou La moitié des études biomédicales seraient fausses. La communication à la gloire du tout-traitement a aussi tendance à passer sous silence les effets secondaires, plus ou moins importants selon les cas, mais il serait tout aussi naïf de croire que la prise à vie d’une telle chimiothérapie n’ait pas, en soi, d’effets délétères sur la santé des personnes concernées.

 Ensuite, les définitions des termes de “charge virale” et de “séropositivité” sont encore et toujours suspectes. Certes, l’effet observé des antirétroviraux sur la charge virale est sans doute réel, mais à quoi cela correspond-il vraiment ? Que mesurent réellement les tests de séropositivité ? Sujet déjà abordé sur ce blog au sein de plusieurs articles, mais un article de référence à été publié en 2014 par Patricia Goodson, sous le titre Questioning the HIV-AIDS hypothesis : 30 years of dissent (1). Goodson ne fait pas partie d’un quelconque mouvement dissident, elle est une professionnelle de la santé à la Texas A&M University et son article, paru dans Frontiers in Public Health, a subit une évaluation par comité de lecture avant publication. Ce qui ne veut pas nécessairement dire grand chose, j’en suis conscient (2).

Goodson aborde un certain nombre de points et cite un grand nombre de références qui font la richesse de son article. Je résume ici, très brièvement, deux de ces points, la notion de test au Vih et la notion de charge virale.

Le test de séropositivité n’est pas universel. Différents pays utilisent différentes définitions de ce que constitue un test positif. A titre d’exemple, en Afrique un test Western Blot réagissant à au moins deux des protéines p160, p120 ou p41 est considéré positif, alors qu’au Royaume-Uni l’une d’elles suffit à condition d’avoir également une réaction avec les protéines p32 et p24. Sachant que p24 se détecte aussi chez certains individus séronégatifs. Donc, quelqu’un réagissant à p160 et p120 est considéré séropositif en Afrique mais pas au RU, à l’inverse une réaction à p41, p32 et p24 est considérée positive au RU mais pas en Afrique. Et on peut faire les mêmes comparaisons pour plusieurs zones géographiques, les USA, le Canada, la Russie etc… ayant leur propres définitions.

La charge virale n’est pas exactement une mesure d’une supposée quantité de virus dans le sang des séropositif, mais le résultat d’une manipulation chimique dite ARN PCR, qui est une extrapolation à partir de ce qui est prélevé dans le sang. Pour l’inventeur du PCR lui-même, Kary Mullis, qui reçu en 1993 le prix Nobel de chimie pour cette découverte, l’usage du PCR pour détecter la présence d’un virus n’a pas de sens. Le PCR permet une analyse qualitative d’un composé, mais pas une analyse quantitative. De plus cette méthode ne détecte pas le virus lui-même mais certaines protéines qui lui sont associés. Associations qui, malheureusement, ne sont pas spécifiques au Vih.

Bref, je ne puis que conseiller la lecture de cet article très documenté, et fait écho à un autre article de la même veine, paru en avril dans le JAAPS et précédemment présenté sur ce blog (3).

 

Notes

(1) http://journal.frontiersin.org/article/10.3389/fpubh.2014.00154/full#T1

(2) http://rhubarbe.net/blog/2015/09/07/les-dessous-du-peer-review-ou-la-falsification-des-evaluations-par-les-pairs/

(3) http://rhubarbe.net/blog/2015/04/28/fausses-illusions-de-la-medecine-moderne-la-causalite-vih-sida/



24 réactions


  • adeline 15 septembre 2015 18:37

    Comme vous dites , opération commerciale sans intérêts.


    • njama njama 15 septembre 2015 19:44

      @adeline
      commercialement cela ne touchera que les « milieux à risque » et encore ... car je ne suis pas sûr que les autres se sentiront concernés
      A très bas prix peut-être ferait-il le test ...

      En France, on estime qu’il y a de l’ordre de 30 000 séropositifs qui s’ignorent, et de 6000 à 8000 nouvelles infections annuelles.
      Si les 30 000 s’ignorent comment être sûr qu’ils existent ? ce genre d’allégation n’est que de la projection statistique, une modélisation mathématique sur la population , alors que à priori le VIH ne prospère pas dans tous les milieux


    • njama njama 15 septembre 2015 21:52

      on estime qu’il y a de l’ordre de 30 000 séropositifs qui s’ignorent, ...
      les porteurs sains qui ne développeront jamais la maladie, c’est valable pour tous les virus (rhume ou autres), comme pour les bactéries
      Cela me paraît un peu simpliste de les intégrer par anticipation dans les cas pathologiques


  • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno 15 septembre 2015 21:40

    Quel est le pourcentage de faux positifs ?
    Quel est le pourcentage de faux négatifs ?
    .
    Comment vont réagir les personnes qui vont découvrir un résultat positif sans professionnels à côté d’elles ?


    • njama njama 15 septembre 2015 22:54

      @Giordano Bruno
      c’était déjà vrai pour les tests Elisa ou Western Blot
      je suis p’t-être bête, mais comment peut-on prétendre qu’il y aurait un syndrome acquis (irrémédiable ? sur une simple mesure ponctuelle à l’instant T ?
      sachant que de nombreuses pathologies (tuberculose ou autres) peuvent induire un déficit immunitaire momentané qui se rétablira par la suite
      Je trouve ça assez « assassin » de plomber dans la tête des gens un diagnostic sur un test à 3 sous  !


  • njama njama 15 septembre 2015 21:59

    Test sans ordonnance à moins de 30 €

    sauf cas de suspicions, je ne crois pas que les français vont craquer 3 boules sans remboursement SS pour se faire tirer les cartes, les jeunes surtout ...
    Le test de dépistage du VIH vendu en pharmacie : cinq choses à retenir avant de l’acheter
    http://www.huffingtonpost.fr/2015/09/14/auto-test-vih-pharmacie-sida_n_8132574.html


    • Monolecte Monolecte 16 septembre 2015 09:32

      @njama
      Comme le faisait remarquer un auditeur du Téléphone sonne — l’émission qu’on aime écouter pour s’énerver en moins de 30 secondes — les autotests sont injustifiables dans un pays où il existe des tas de centres de test anonymes et gratuits… sauf à parier que la gratuité ne sera plus de mise assez rapidement…


  • Le p’tit Charles 16 septembre 2015 09:03

    Le gouvernement table sur le chiffre de 30.000 personnes infectées par le VIH... ?
    C’est comme pour le chômage du grand n’importe quoi...
    TEST pour TOUS sans dérogation..OBLIGATOIRE...le VIH TUE


  • foufouille foufouille 16 septembre 2015 09:50

    tu donnes ton sang, pour ceux qui peuvent, et le test est gratuit.


  • doctorix, complotiste doctorix 16 septembre 2015 23:56
    Je vais être un peu long, pardonne-moi. Mais vous ne serez pas déçus, promis.
    Une première chose à dire est que les tests Elisa et Western Blot ne sont pas fiables du tout, ils sont de plus d’interprétation variable et vous pouvez être séropo d’un côté d’une frontière et négatif de l’autre.
    Une seconde est que le fait d’être contaminé par le VIH ne veut probablement pas dire que vous avez ou aurez le Sida. 
    Je mets probablement par respect pour les fanatiques.
    Le VIH est probablement un virus banal et sans plus de conséquence qu’une grippe.
     Les tests prouvent seulement que vous l’avez croisé sur votre chemin. Vous avez donc logiquement des anticorps, mais le virus a disparu, n’est-ce pas le rôle des anticorps ? (on ne le retrouve jamais chez un séropositif, ni même chez un malade de façon directe. Il faut amplifier certains de ses éléments supposés par une méthode rejetée par son inventeur lui-même pour le trouver, d’une manière nullement spécifique, puisque d’autres affections provoquent l’apparition des mêmes éléments).
    Bon, vous avez eu le malheur de rencontrer ce foutu virus, et l’autre malheur de vous être faire tester au mauvais moment.
    Vous voilà donc séroposif.
    Dans un premier temps, vous mourrez de peur, pour rien.
    Mais vous venez de pénétrer dans l’antre de Big Pharma, qui va vous agonir de substances toxiques le reste de votre vie.
    Et tout le monde dira que ça fonctionne, puisque vous ne mourrez pas.
     L’autre hypothèse étant que si vous ne mourrez pas, c’est parce que vous n’avez jamais été malade par ce virus et ne l’auriez jamais été (ce qui ne vous empêchera pas d’être malade par les drogues toxiques supposées le combattre).
    Big Pharma réalise ici sa plus formidable arnaque, qu’on n’est pas prêt d’égaler : chapeau, l’artiste !
    Le Sida n’est définitivement pas une maladie en soi, c’est un déficit immunitaire acquis, c’est dans son nom, et c’est la seule chose exacte.
    Ce n’est pas le VIH qui vous procure ce déficit, mais des causes variées telles que drogues, malnutrition et manque d’hygiène, d’autres sans doute.
    Les maladies qui vous tueront alors sont alors au nombre d’une quarantaine, tuberculose, pneumocystose, kaposi, et même une simple rougeole, rien de spécifique, et rien que des maladies connues depuis longtemps.
    La seule chose qui ne vous tuera pas, c’est le VIH.
    Ce qui vous guérira, non pas du VIH inoffensif mais de votre déficit immunitaire mortel, c’est l’arrêt des agressions contre vous-même (drogues), une meilleure hygiène de vie, et une alimentation saine, vous faisant retrouver des défenses naturelles normales.
    Montagnier, quand même « l’inventeur » du virus, ne dit pas autre chose :
    Bien sûr, il ne dit pas que le VIH est innocent (comment pourrait-il le dire, l’ayant inventé, et promu au rang de grand coupable ?), mais reconnaissez qu’il lui donne ici un rôle tout à fait secondaire, pour ne pas dire inexistant.

    Pour revenir au sujet, ce test mirobolant ,il va peut-être vous dire que vous avez rencontré le VIH, que vous l’avez combattu, et vaincu.
    Et alors ?

    • foufouille foufouille 17 septembre 2015 09:43

      @doctorix
      "Ce n’est pas le VIH qui vous procure ce déficit, mais des causes variées telles que drogues, malnutrition et manque d’hygiène, d’autres sans doute."
      mdr !!
      et le diabète, ça se guérit pareil ?
      donc en fait, dans le passé les gens vivaient tous 120 ans car la nourriture était saine ?
      comme les grecs ou les romains.


    • philippe913 17 septembre 2015 09:58

      @foufouille
      Laisse tomber avec Doctorix, toujours la même chose, ils raconte toujours les mêmes conneries, on lui mets des liens directs pour lui montrer que non, il se trompe à 100%, il n’en tient absolument pas compte et ressort ses mêmes absurdités la fois d’après.


    • foufouille foufouille 17 septembre 2015 11:47

      @philippe913
      oui mais comme tous les mythos, c’est drôle de lui faire dire une grosse connerie.


    • gaijin gaijin 17 septembre 2015 18:48

      @foufouille
      « on m’a donné un prix nobel pour un virus que je n’ai jamais découvert »
      pr Montagnier

      un mytho ....... ?


    • foufouille foufouille 17 septembre 2015 19:58

      @gaijin
      un gâteux ou il s’est fait lavé le cerveau ..........


    • gaijin gaijin 18 septembre 2015 10:03

      @foufouille
      ou bien sur ses vieux jours il trouve la liberté de dire la vérité ?
      c’est ce qu’il y a de bien avec les croyances ( fussent elles scientifiques ) peut importe la quantité de faits qui sont contre .......


    • foufouille foufouille 18 septembre 2015 12:34

      @gaijin
      je ne pense pas que ce soit le cas sinon ce serait facile à prouver.
      comme les jeux videos qui donnent l’épilepsie ......


  • doctorix, complotiste doctorix 17 septembre 2015 14:10

    Il est bien difficile de répondre à une argumentation structurée et intelligente telle que j’essaye de la fournir.

    Aussi la dérision est la dernière option de mes détracteurs, et je n’ y répondrai pas. A vrai dire, leur ignorance et leur incohérence, leur manque d’arguments, me fatiguent.
    Je préciserai par contre que je connais bien les maladies virales, et qu’elles se caractérisent toutes par la facilité qu’i y a à découvrir le virus causal, présent dans l’organisme infecté, par milliards.
    Or ici on nous présente un crime sans criminel. On le cherche, mais il est introuvable.
    On nous dit q’untel est passé par là, et qu’il est donc coupable. Et aussi que les absents ont toujours tort.
    En Justice civile, on dirait qu’untel s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.
    Mais en médecine, tous les criminels restent présents sur le lieu du crime jusqu’à ce que mort s’ensuive.
    Si le criminel est éliminé, il n’y a a plus de crime, et c’est ce que nous médecins, nous efforçons de faire, par exemple par l’usage des antibiotiques.
    Dans le cas du Sida, un modèle d’infection « révolutionnaire », on nous dit qu’il faut détruire un agent pathogène qui n’est plus présent, avec des drogues extrêmement coûteuses et pleines de dangers .
    Il faut quand même avoir la foi rivée au corps pour entreprendre une telle démarche.
    Ou alors être un peu con.

    • doctorix, complotiste doctorix 17 septembre 2015 15:01

      QUELQUES CHIFFRES POUR COMPRENDRE LES ENJEUX DE CE TEST

      40 millions d’euros pour la seule année 2015. C’est le montant dépensé par les firmes pharmaceutiques et leurs représentants dans le cadre de leurs activités de lobbying à Bruxelles. Les rencontres avec les fonctionnaires européens de la commission Junker se comptent par dizaines. La seule Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA) totalise plus de cinquante réunions en moins de cinq mois.

      15 fois plus de moyens que la société civile 

      Au total, 40 millions d’euros ont été déclarés en 2015 pour un an d’activités de lobbying : un peu plus de la moitié par les firmes elles-mêmes (au premier rang desquelles Bayer AG, GlaxoSmithKline, Novartis), le reste étant partagé entre les associations commerciales et les entreprises de lobbying ad hoc. Ce montant est quinze fois supérieur à celui déclaré par les organisations européennes de consommateurs et de la société civile dédiées aux questions de santé publique.
      « Ce rapport confirme ce que l’on n’a cessé d’affirmer ces dernières années : le lobby pharmaceutique a pris un pouvoir incroyable à Bruxelles », pointe la députée européenne EELV Michèle Rivasi, qui a lancé un appel pour une opération mains propres sur la santé début 2015. 

      Les restes de cette info ici :
      http://www.wikistrike.com/2015/09/big-pharma-40-millions-d-euros-en-2015-pour-corrompre-bruxelles.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

      A votre avis, on est dans la médecine ou dans le business ?

    • foufouille foufouille 17 septembre 2015 18:25

      @doctorix
      business pour la plupart des médecins également charlatans compris.


    • doctorix, complotiste doctorix 17 septembre 2015 23:38

      @foufouille

      Les noms des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lisent comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

      le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,

      le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard,fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,

      le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `

      le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,

      le Dr Gordon Stewart, Professeur Emérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,

      le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,

      et bien d’autres !

      http://www.sidasante.com/critique/escro.htm

      Que des crétins, sans doute. Heureusement, en face, il y a foufouille...Je poursuis avec quelques extraits significatifs tirés du lien précédent, dont je conseille la lecture complète :

      CITATIONS DIGNES D’ETRE CITEES !

      « Le VIH ne provoque pas le SIDA... Ce que personne ne comprend, c’est que tous les rapports écrits par Gallo sur le VIH ont été déclarés frauduleux...L’hypothèse du VIH était basée sur ces rapports. »Dr Peter Duesberg Professeur de Biologie Moléculaire de renommée mondiale, Université de Californie, Berkeley.Académie Nationale des Sciences.

      « Pour moi, le fait que des scientifiques se taisent face à un tel doute équivaut à de la négligence criminelle. » Dr Charles A. Thomas, Jr. Biologiste à Harvard.

      « Je vous le demande, quel est ce genre de scientifiques qui continuent à défendre une hypothèse qui ne réussit pas à expliquer, qui ne parvient pas à prédire ?. » Harvey Bialy Editeur en Biotechnologie.

      « Les scientifiques ne sont pas là pour croire,mais pour avoir des preuves... Il n’y a aucune preuve consistante (en référence au VIH comme cause du SIDA). »Kary Mullis Prix Nobel.

      « L’effet de la duperie statistique du Centre pour le Contrôle des Maladies est de sous-estimer d’au moins 50% les consommateurs de drogue par voie intraveineuse en tant que groupe à risque, ce qui a pour résultat d’interpréter le SIDA comme une maladie vénérienne, plutôt que comme une maladie provoquée par la drogue. » John Lauritsen et Hank Wilson - Auteurs de « Death Rush », Pagan Press.

      « Le fait est que toute cette affaire SIDA/hétérosexualité (homo ?NDDoctorix) est un canular. » Gordon Stewart, Epidémiologiste britannique, Organisation Mondiale de la Santé.

      « J’ai essayé de démontrer que le HTLV-1 n’était pas impliqué dans le SIDA, mais aucun journaliste n’a accepté de publier ça. » Dr Joseph Sonnabend, Fondateur Fondation Médicale pour le SIDA.

      « La présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie n’est pas plus une preuve qu’il en soit la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches soient la cause des ordures. » T. C. Fry Auteur et éditeur

      Table des matières

      LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA

      I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre !

      II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité.

      III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA.

      IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement.

      V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux.

      VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile.

      VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie.

      VIII. L’immuno-déficience acquise est la cause de la plupart des maladies.

      IX. L’Immuno-Déficience Acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues,médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes - soit individuellement, soit combinés.

      X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA.


    • foufouille foufouille 18 septembre 2015 09:37

      @doctorix
      comme pour les vaccins, c’est un petit groupe de viux bourgeois ou charlatans.
      c’est le même truc pour le diabète ?
      ou pas ...........


    • @doctorix
      Bonjour doctorix,

      J’ai une question qui n’a pas de lien, a ma connaissance, avec ce sujet. Je me permet tout de même :

      Ma question concerne l’ail cryogénique en capsule (de marque Swiss par exemple). 

       Y-a-t-il des contre-indications ou des effets négatifs a long terme ? (SVP, ne tenez pas compte du prix)


  • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 18 septembre 2015 18:43

    Salut Doctorix


    C’est pas gagné :))

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