Obligation du Gardasil chez filles et garçons : un pan sur le bec du Canard !
En résumé : 12 ans après sa mise sur le marché, le vaccin anti HPV n’a toujours pas démontré qu’il pouvait diminuer le risque de cancer. Ses premiers résultats officialisés par les registres du cancer de tous les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies quelques années plus tard d’une augmentation du risque de cancer invasif.
La France peu vaccinée présente une incidence globale de cancer du col faible (6/100000) alors que les pays qui ont réalisé de larges campagnes de vaccination souffrent depuis d’un risque de cancer du col nettement plus élevé : 7,2 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 8,8 en Suède et 11,3 en Norvège montrant que le dépistage est plus efficace que l’association vaccination plus dépistage.
Pourquoi le Canard fait-il la promotion du Gardasil ? Compte tenu de son absence de besoin réel en France, du coût astronomique (> 3 Milliards € la première année) de l’obligation proposée et des complications rapportées, on ne comprend pas que le Canard ait ainsi pu s’empêtrer les plumes. Crédulité ? Soumission ? Nous espérons qu’il lèvera nos doutes dans une prochaine édition.
L’article récent du canard mérite un pan sur le bec. Comment le plumitif jadis bien informé s’est-il transformé en représentant de commerce de Sanofi ?
par le dr G Delépine chirurgien cancérologue et statisticien
Un article récent du canard[1] relaie le plaidoyer habituel du ministère et des services de communication de Sanofi sur la vaccination anti HPV. Ils évitent d’évoquer les questions cruciales pour les citoyens, menacés d’une obligation vaccinale supplémentaire, que constituent son absence de justification médicale réelle, la disproportion considérable entre son coût démesuré et un bénéfice fantasmé minuscule, ses résultats cancérologiques avérés inquiétants en cas de vaccination tardive et ses complications qui ont motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans plusieurs pays et justifié aux USA des indemnisations qui atteignent un montant considérable.
La vaccination contre les papillomavirus n’a jamais démontré qu’elle pouvait diminuer le risque de cancer. Les essais initiaux qui ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché ont seulement montré qu’elle pouvait diminuer les infections liées aux quelques souches visées par les vaccins[2] et des anomalies cytologiques[3] supposées précancéreuses chez les femmes non précédemment infectées tandis qu’elles étaient augmentées en cas d’infection HPV préexistantes[4]. L’INSERM dans sa revue de novembre - décembre 2011 précisait déjà : « des effets indésirables graves sont soupçonnés : augmentation du risque de cancer si l’infection est déjà̀ installée »[5] .
Un tel traitement dont on ne connait pas le résultat médical sur la maladie qu’il est censé traiter est par définition « expérimental » et ne devrait être proposé qu’avec le consentement libre et éclairé de ceux auxquels on le propose.
L’espoir d’un résultat lointain bénéfique ne peut pas dispenser de l’examen attentif des résultats cancérologiques à moyen terme ! Or les très nombreux articles [6] qui prophétisent l’éradication prochaine de cette maladie grâce à la vaccination ne sont que des prédictions [7] basées sur des hypothèses incertaines qui assimilent infection et cancer et ne tiennent pas compte des résultats cancérologiques avérés en populations réelles. L’invraisemblance de ces prédictions marchandes est d’ailleurs évidente lorsqu’on consulte les projections d’incidence des services officiels de statistiques qui reposent, elles, sur l’analyse des cas de cancers observés et qui sont très pessimistes pour les pays vaccinateurs tels que la Suède (augmentation du risque de 60% entre 2014 et 2034) ou la Grande Bretagne (augmentation du risque de 43% d’ici 2035).
Cette vaccination, même si elle était efficace ne serait guère justifiée.
En France, grâce au dépistage cytologique par frottis tous les trois ans, le cancer du col de l’utérus est devenu une maladie rare avec une incidence [8] inférieure à 6/1000000 [9]. Les avocats de la vaccination mettent en exergue les 1000 morts annuelles qui lui sont liées mais ne précisent jamais que 800 de ces femmes sont mortes alors qu’elles n’avaient pas pratiqué de dépistage cytologique selon les recommandations[10]. Si le dépistage était généralisé à toute la population à risque comme le ministère vient enfin de le promouvoir, on ne déplorerait plus en France que 200 morts annuelles liées à ce cancer. En l’absence de preuve d’efficacité anticancer, vacciner chaque année 800000 français est totalement disproportionné au gain espéré et constitue un pari risqué.
Ce pari douteux a un coût démesuré. Si ce projet d’obligation du Gardasil, récurrent et cher à la ministre se réalisait, son coût pour l’assurance-maladie serait effectivement colossal !
Notre calcul repose sur les recommandations de l’appel des 50 [11] qui représente la doxa officielle.
Le prix du vaccin Gardasil 9 prescrit en France est à 135,68 € la dose soit 407 euros pour les trois doses destinées aux adolescents de plus de 14 ans, et 271 euros pour deux doses destinées aux plus jeunes[12]. En incluant les consultations nécessaires à sa réalisation[13] ,le prix minimal de la vaccination à deux doses (valable pour les plus jeunes) atteint ainsi 411 euros. Trois doses sont prévues lors des vaccinations de rattrapage pour les adolescents : le coût unitaire de la vaccination passe alors à 533 euros.
Il y a en France depuis dix ans environ 800 000 naissances annuelles. Une classe d’âge qui arrivera à l’âge de la vaccination représente donc 800000 enfants. En France, les avocats de l’obligation vaccinale Gardasil désirent imposer la vaccination pour les jeunes filles et pour les garçons (par équité !) de 11 à 14 ans avec un rattrapage jusqu’à 19 ans. Autrement dit, la première année d’obligation vaccinale, ils désirent imposer la vaccination à 9 classes d’âge avec des vaccinations à 2 doses pour 4 classes d’âge (les 11,12,13 et 14 ans) et à 3 doses pour 5 classes d’âge (les 15,16,17, 18, et 19 ans). Un tel schéma nécessite, pour la première année, un peu plus de 18,4 millions de doses de vaccin pour un seul coût des vaccins d’environ de 2,5 milliards d’euros.
Le coût total des vaccinations (consultations comprises) la première année d’obligation s’élèverait à 1,315 milliard € pour les enfants à 2 doses et 2,133 milliards € pour les vaccinations de rattrapage chez les adolescents, soit au total trois milliards et demi €. Il faudrait ensuite dépenser 320 millions €, chaque année pendant 20 ans, avant d’espérer sauver quelques vies[14].
L’article du Canard propose donc de dépenser près de 10 milliards € pour espérer éviter peut-être 200 morts dans 20 ans (si toutes les hypothèses très optimistes du vaccin[15] étaient vérifiées). Ces milliards € « magiques » ne seraient-ils-pas mieux utilisés à rebâtir maintenant notre système de santé en piteux état[16] et à réconforter nos soignants à bout de souffle après 20 ans de gestion purement comptable et de dictature bureaucratique[17] ?
Quel banquier accepterait un pareil business plan ? Plaider pour une telle obligation en cette période de finances publiques atones est totalement irresponsable.
Ce pari cancérologique hors de prix est déjà perdu pour les vaccinations de rattrapage. Les registres officiels des cancers des pays qui organisé de grandes campagnes de vaccination montrent que depuis cette vaccination, le risque de cancer augmente chez les jeunes femmes vaccinées tardivement (en « rattrapage », après les premières relations sexuelles).
Nous avions déjà averti de ce danger dès août 2018 par une tribune sur agoravox[18] et la publication du livre « hystérie vaccinale : Gardasil et cancer un paradoxe »[19], averti le président de l’institut du cancer (qui n’a pas nié les faits objectifs publiés par les registres internationaux du cancer, mais demandé plus de recul …). Nous avons régulièrement publié les mises à jour des résultats cancérologiques publiés grâce aux analyses de ces documents statistiques par le docteur G Delépine (tant sur agoravox que sur notre site, par pays pour plus de lisibilité). [20] En voici la synthèse actuelle.
En Norvège[21], d’après Nordcan [22] l’incidence lissée[23] sur 3 ans des filles atteignant 15-24 ans en 2016, (vaccinées à plus de 80%) a commencé à augmenter deux ans après la campagne scolaire de vaccination. Entre 2010-2012 et 2014-2016, cette incidence a été multipliée par 3, passant de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ! Malgré le faible nombre absolu de cancer dans cette tranche d’âge, cette augmentation d’incidence entre les périodes 2009-2011 et 2014-2016 est statistiquement significative (coefficient de corrélation de Pearson cc = 0,969 p<0,01) et donc non liée au hasard.
En Suède[24] d’après Nordcan, dans le groupe d’âge 20-24 ans, vacciné à plus de 80%, l’incidence (lissée sur 3 ans) a baissé jusqu’en 2008, date de mise sur le marché du vaccin, pour augmenter ensuite à plus du double de la valeur initiale (1.49 en 2007 contre 3.73 en 2015). Malgré le faible nombre de cas observés cette augmentation d’incidence est très fortement significative (cc = 0,97 et p<0,001).
En Grande Bretagne[25], d’après Cancer Research UK[26] on observe le même type d’augmentation d’incidence dans le groupe d’âge le plus vacciné (20-24 ans) 3 ans après le début de la campagne scolaire de vaccination : cette augmentation d’incidence des cancers invasifs s’accompagne également d’une augmentation des cancers in situ[27] découverts par le dépistage. Les données de Cancer Research UK montrent en effet que l’incidence des cancers in situ, qui baissait continuellement des années 2000-2011 a commencé à augmenter 3 ans après la campagne de vaccination.
En Australie[28] les vaccinations commencées en 2007 n’ont pas concernées seulement les jeunes filles de 12-13 ans, mais ont été étendues par des vaccinations dites de rattrapage jusqu’à 26 ans[29]. Les groupes vaccinés exposés au risque de cancer[30] en 2014 (derniers chiffres par classes d’âge publiés en octobre 2019[31]) sont ceux des femmes de 20-24, 25-29 et 30-34 ans en 2014. Dans ces trois groupes, l’incidence a augmenté et cette augmentation ne peut pas être due au simple hasard (cette différence est statistiquement significative à 0,01 pour les 30-34 ans).
La vaccination peut-elle être incriminée dans cette augmentation constatée du risque de cancer ?
Démontrer qu’une politique de prévention est efficace peut prendre des décennies ; mais démontrer qu’elle ne l’est pas peut être rapide. La catastrophe du Titanic illustre tragiquement ce paradoxe. Avant le départ du paquebot, les ingénieurs de l’époque proclamaient : « les 20 prochaines années de navigation sur les mers les plus inhospitalières du globe démontreront que notre navire est insubmersible ». Mais il a suffi de quelques heures pour démontrer qu’il ne l’était pas…
Certains, pour innocenter le Gardasil de cette augmentation avérée et précoce du risque de cancer chez les vaccinées tardives, affirment aussi : « il faut dix à quinze ans pour que la malignité survienne ». Ils ont raison en cas d’évolution naturelle, mais rien ne permet de penser que cela reste vrai après vaccination. Toute vaccination modifie considérablement l’évolution naturelle de la maladie cible (c’est même pour cela qu’on la pratique !) et la vaccination transforme aussi l’attitude des vaccinés par rapport au risque de maladie[32]. La combinaison de ces deux facteurs est susceptible d’être délétère[33].
La maladie de Marek constitue un exemple démonstratif de vaccination anticancer au résultat paradoxal. Cette infection aviaire, responsable de lymphome et d’atteinte nerveuse, était peu virulente jusqu'en 1950, et rarement mortelle. Après l’application de nouveaux vaccins, des souches pathogènes de plus en plus virulentes sont apparues susceptibles d’entraîner la mort de 100 % des oiseaux non vaccinés et de causer plus de dommages chez les oiseaux vaccinés. Cet exemple de vaccination à visée anti cancéreuse démontre qu’elle peut être à l'origine de l'aggravation de la virulence d’un virus et aboutir au résultat inverse que celui espéré. On peut donc craindre que les vaccins anti HPV exposent potentiellement au même risque. De même les premiers candidats vaccins contre le Sida ont été abandonnés après les essais Step et Pampryl parce qu’ils augmentaient le risque de la maladie. Et la catastrophe vaccinale toute récente du Dengvaxia aux Philippines a rappelé qu’une vaccination mal étudiée peut aboutir à l’effet contraire de celui espéré et dans des délais beaucoup plus courts que l’évolution naturelle aurait pu le laisser supposer.
Le rôle possible, voire probable, de la vaccination dans cette augmentation peut être évoqué parce que, dans tous les pays vaccinateurs, les augmentations du risque de cancer ne touchent pas l’ensemble de la population, mais spécifiquement les groupes d’âge vaccinés, alors que l’incidence continue à diminuer chez les femmes de plus de 50 ans. Cette suspicion est renforcée par l’analyse temporelle des tendances (break point analysis) qui prouve que l’augmentation d’incidence survient habituellement deux à trois ans après le début des vaccinations scolaires. La recherche des causes de l’augmentation du risque de cancer après vaccination, qui devrait intéresser le ministère, est cruciale pour définir la meilleure politique de prévention : dépistage (qui a fait la preuve de son efficacité) ou association dépistage et vaccination aux résultats inquiétants.
Quelle politique de prévention du cancer du col s’est-elle révélée à ce jour la plus efficace ?
Pour visualiser l’efficacité des politiques différentes sanitaires, on peut comparer les courbes d’évolution[34] des 20-29 ans[35] en Australie, Grande Bretagne et Norvège, (apôtres de la vaccination), à celle de la France entre 2007 (date des premières campagnes de vaccination) et 2012. Durant cette période des débuts de la vaccination, la France peu vaccinée a bénéficié d’une baisse continue de l’incidence des cancers invasifs du col alors que Norvège, Suède, Grande Bretagne et Australie ont souffert d’une augmentation du risque.
Les données publiées par Nordcan en 2019 comparant l’évolution des suédoises et norvégiennes de 20-24 ans (en 2016) vaccinées à plus de 80% à celle des danoises de même âge, peu vaccinées depuis la médiatisation des accidents neurologiques post Gardasil dans ce pays confirment le phénomène : en 2014-2016, après les campagnes de vaccination, la Suède et la Norvège se retrouvent derrière le Danemark alors qu’en 2006-2008 ces pays avaient une incidence de cancers plus basse. En 2006-2008 la Suède avec une incidence de 1.49, précédait la Norvège (3,28), et le Danemark (3,97) ; en 2014-2016 le Danemark est passé premier du groupe (3,06), devant la Suède (3,73), et la Norvège (4,60) avec l’incidence de cancer du col la plus basse.
Que ce soit en France ou au Danemark, le dépistage seul parait ainsi paradoxalement plus efficace que l’association dépistage plus vaccination !
La vaccination anti HPV, comme tout autre traitement actif, n’est pas dénué de risques. Notre ministre comme les autres chantres de la vaccination proclament à chaque occasion que le vaccin est sans danger. Pourtant La notice officielle de l’Agence Européenne du Médicament précise qu’il faut l’éviter en cas d’allergie (car plusieurs cas de morts par anaphylaxie ont été reconnus et indemnisés[36] dans différents pays).
Aux USA, les essais cliniques américains du Gardasil 9 rapportent des décès inexpliqués, des risques significatifs de thyroïdites, sclérose en plaque et diabète de type 1 intégrés depuis dans le plan de pharmacovigilance. Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) totalisait, en juin 2019, 51968 effets secondaires (41829 après Gardasil, 5337 après Gardasil 9 et 3579 après Cervarix). Globalement, dans ce pays les vaccinations anti HPV ont été suivies de 328 décès (266 après Gardasil and 5 après Gardasil 9), de 834 complications ayant menacé la vie et de 2011 cas d’invalidité permanente dont des stérilités, des crises d’épilepsie, des troubles de la conscience, des paralysies, insuffisances musculaires, fatigue intense, myalgies, arthralgies, maux de tête, nausées, dyspnées…
Au Japon, le ministère a évalué le risque d’effets secondaires graves à 245.1/million de vaccinations pour le Cervarix, et à 155.7 /million de vaccinations pour le Gardasil[37].
Ces complications post vaccinales ont motivé des manifestations publiques contre le Gardasil dans plusieurs pays : Japon, Colombie[38], Irlande. Et on ne peut pas qualifier ces manifestants d’antivax puisque ces parents ont fait vacciner leurs filles et qu’ils ne protestent pas contre les vaccinations en général, mais uniquement contre les vaccins anti HPV !
Le déni officiel permanent du risque post vaccinal ajoute le mépris aux souffrances des victimes, décrédibilise la parole publique, dessert les vaccinations et les progrès de la science.
En résumé
12 ans après sa mise sur le marché, le vaccin anti HPV n’a toujours pas démontré qu’il pouvait diminuer le risque de cancer, et ses premiers résultats officialisés par les registres du cancer de tous les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies quelques années plus tard d’une augmentation du risque de cancer invasif.
La France peu vaccinée présente une incidence globale de cancer du col faible (6/100000) alors que les pays qui ont réalisé de larges campagnes de vaccination souffrent depuis d’un risque de cancer du col nettement plus élevé :7,2 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 8,8 en Suède et 11,3 en Norvège montrant que le dépistage est plus efficace que l’association vaccination plus dépistage.
Pourquoi le Canard fait-il la promotion du Gardasil ? Compte tenu de son absence de besoin réel en France, du coût astronomique de l’obligation proposée et des complications qui ont été rapportées on ne comprend pas que le Canard ait ainsi pu s’empêtrer les plumes. Crédulité ? Soumission ? Nous espérons qu’il lèvera nos doutes dans une prochaine édition.
[1] « Le vaccin est resté coincé dans la seringue » Le Canard du 24 12 2019
[2] Alors qu’il en existe plus de 150 qui infectent l’espèce humaine dont au moins 18 réputés cancérigènes.
[3] Les anomalies cytologiques bénignes dites de haut degré CN2 et CN3 sont observées dans les antécédents des femmes cancéreuses (risque cancérologique de 5% des CN2 et de 12% pour les CN3)
[4] VRBPAC Background Document Gardasil™ HPV Quadrivalent Vaccine May 18, 2006 VRBPAC Meeting Table 17. Study 013 : Applicant’s analysis of efficacy against vaccine-relevant HPV types CIN 2/3 or worse among subjects who were PCR positive and seropositive for relevant HPV types at day 1. [From original BLA, studyhttp://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf.
[5] ) Pharmacovigilance : l’urgence des réformes, Science et Santé n° 5 novembre-décembre 2011 (magazine de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), p. 42 http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/science-sante/science-sante-n-5-nov-dec-2
[6] Tous rédigés par des personnes liées financièrement aux fabricants de vaccin ou qui vivent de la vaccination car employés des agences qui organisent les campagnes de vaccination.
[7] N Delépine : Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information, Agoravox 19 octobre 2018
[8] Nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes
[9] Ce taux de 6/100000 est le seuil qui définit une maladie rare d’après l’Organisation Mondiale de la Santé
[10] Tous les 3 ans à partir de 25 ans
[11] https://www.lefigaro.fr/sciences/2019/03/20/01008-20190320ARTFIG00094-l-appel-de-50-societes-savantes-pour-la-vaccination-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus.php
[12] Deux doses chez les plus jeunes censés ne pas avoir eu de relations sexuelles. Trois doses pour les plus âgés, espérant que la troisième dose compenserait la faible efficacité prouvée chez les sujets ayant eu des relations, ce qui évidemment n’a jamais été prouvé
[13] Le prix d’une consultation d’un pédiatre en secteur 1 est de 28 euros. Une vaccination à deux doses nécessite 3 consultations (87 euros) et celles à 3 doses 4 consultations (126 euros)
[14] Prix de revient de la vaccination supérieure à notre calcul initial car le prix du vaccin a augmenté de 20 € par injection. https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/300-millions-eur-an-pour-les-219458
[15] Il faudrait en autre que les souches de HPV des vaccins soient les seules causes possibles de cancer, qu’elles soient toutes éradiquées la vie durant, qu’il n’y ait pas d’apparition de résistance ou de phénomène de remplacement par une des 140 autres souches
[16] N Delépine Système de santé en urgence absolue : quelques remèdes à appliquer sans délai Agoravox Mai 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/systeme-de-sante-en-urgence-204533
[17] N Delépine La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau Agoravox Juin 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-204868
[19] Fauves éditions novembre 2018 N et G Delépine
[21] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-de-lincidence-du-cancer-du-col-de-luterus-en-norvege-depuis-la-vaccination-le-programme-de-vaccination-des-filles-a-commence-durant-lannee-scolaire-2009-2010-chi/ avec les courbes détaillées.
[23] On entend par incidence le nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes ; lorsque les cas observés sont peu nombreux on peut observer des fluctuations importantes d’une année sur l’autre dues au seul hasard ; dans ces circonstances la moyenne des incidences sur plusieurs années consécutives (incidence lissée) représente plus fidèlement la tendance réelle.
[24] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-suede-depuis-la-vaccination-par-gardasil/
[25] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-invasif-du-col-de-luterus-en-grande-bretagne-depuis-la-vaccination-par-gardasil/
[26] https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence
[27] On entend par cancer in situ un cancer superficiel, purement intra épithélial, qui n’a pas franchi la basale ; les cellules tumorales de ce cancer in situ peuvent être dépistées par les frottis plusieurs années avant que le cancer ne devienne invasif ; le dépistage permet de traiter ce cancer in situ avant qu’il ne devienne invasif. Si la vaccination était efficace elle aurait dû faire chuter l’incidence des cancers in situ
[28] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/
[29] Ainsi que le montre les rapports et le calendrier du « National Centre for Immunisation » australien
[30] Le risque de cancer du col est nul jusqu’à 15 ans, infime de 16 à 20, apparaît entre 20 et 24 ans et culmine entre 25 et 45 ans. La population à risque est donc celle des femmes de plus de 20 ans. Compte tenu du faible recul actuel des registres du cancer (7-8 ans) on ne peut actuellement qu’évaluer les vaccinations administrées aux adolescentes de 13-18 ans qui avaient 20-25 ans au dernier relevé publié des registres sauf pour Australie où les vaccinations de rattrapage ont été étendues jusqu’à 26 ans
[31] 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : AIHW. http://www.aihw.gov.au/acim-books> Australian Health and welfare
[32] La publicité mensongère des vaccins HPV fait croire aux femmes qu’elles sont protégées du cancer du col et peut les inciter à ne plus pratiquer de dépistage et à adopter une activité sexuelle plus importante.
[33] Diane M Harper, Pekka Nieminen, Jorma Paavonen, Matti Lehtinen Cervical cancer incidence can increase despite HPV vaccination www.thelancet.com/infection  ;  ; Vol 10 September 2010
[34] Publiées en 2019 par International Agency for Research on cancer IARC agence de l’OMS située à Lyon http://ci5.iarc.fr/CI5plus/Default.aspx
[35] Les publications de l’IARC ne permettent pas d’étudier spécifiquement le groupe des 20-24 ans mais seulement des groupes de dix ans
[36] En Espagne, au Japon, aux USA (https://newyork.legalexaminer.com/health/fda-prescription-drugs/family-found-to-have-met-burden-of-proof-that-gardasil-caused-daughters-death/ ) et même en France (cas d’Orlane)
[37] The Japan times JUN 15, 2013
[38] Charles Buchanan Mystère en Colombie : des centaines de jeunes filles frappées par un mal étrange. THE CANADIAN PRESS AP, Daily Free Press, 7 9 2014