OGM...pas les vaccins
Alors que la presse quasi unanime fait tout son possible pour rassurer les français sur la vaccination, de nombreuses voix s’élèvent pour nous mettre en garde, et nous incitent à la plus grande prudence.
Ainsi, le professeur Axel Kahn, président de la LCC (Ligue contre le Cancer) a déclaré récemment qu’il n’était pas prêt à se faire vacciner avec plusieurs de ces vaccins, expliquant qu’il s’agissait de « vaccins OGM » (AstraZeneca, Johnson & Johnson, et spoutnik) et qu’ils n’ont pas été suffisamment testés.
S’exprimant dans les colonnes de « l’Usine Nouvelle » du 27 novembre 2020, il déclarait : « il convient d’exiger une étude d’innocuité très poussée avant de commencer à injecter les vaccins ». lien
Idem pour la députée Michèle Rivasi qui s’est insurgée : « ces vaccins OGM anti-Covid-19 sont des médicaments hautement expérimentaux. Nous ne savons rien sur leurs effets génétiques à moyen ou long terme ».
Elle déplore « une instrumentalisation des procédures d’urgence du Parlement par la Commission, afin d’éviter un débat démocratique, qui risquait de manquer d’unanimité et aurait soulevé des vérités qui dérangent en particulier sur le caractère expérimental des vaccins OGM et sur les multiples dérogations visant à faciliter leur mise sur le marché ». lien
Plus tard, le 2 décembre dernier, le Professeur Christian Perronne, vice-président du comité d’experts des vaccins de l’OMS pour la zone Europe avait lancé l’alerte : « ces vaccins aux OGM ne sont pas véritablement des vaccins, mais des produits de thérapie génique ».
Pour le professeur Perronne, s’exprimant sur l’antenne de Sud Radio : « on confond vitesse et précipitation et il va falloir beaucoup d’expérience et de recul avant de pouvoir statuer sur l’efficacité et la tolérance... » lien
Il ajoute : « il faut refuser catégoriquement ce type de vaccin, en tout cas dans l’état actuel des choses ». Lien
(Faut-il y voir un effet de sanction ? Toujours est-il que l’AH-HP (Assistance Publique des Hôpitaux de Paris) vient de le punir, mettant fin à sa fonction de chef de service, lui reprochant d’avoir affirmé que les malades du coronavirus représentaient une aubaine financière pour les médecins. lien)
Il s’agit ici, non pas d’injecter un virus désactivé ou atténué, mais d’injecter des acides nucléiques, dont les chercheurs espèrent secrètement qu’ils provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. lien
Cette technique déjà utilisée sur les fruits et légumes n’a jamais été employée sur l’humain, et nous n’avons aucun recul sur son efficacité, sa tolérance par l’humain, ses risques à moyen ou long terme.
Quand l’on sait qu’il faut au moins 10 ans avant qu’un vaccin ne soit homologué, on ne peut qu’être surpris du délai si court décidé pour ces vaccins OGM.
Pas étonnant que nos concitoyens ne soient pas enthousiastes à l’idée de se faire vacciner, à commencer par ceux qui dirigent le pays.
A ce stade de la réflexion, il faut s’intéresser au Professeur Alain Fischer, bombardé récemment « Mr Vaccin », qui, alors qu’il avait fait l’unanimité autour de lui, y compris de la part du Professeur Didier Raoult, Fischer avait récemment jeté un pavé dans la mare, avant de rétropédaler.
En effet, lors de sa prise de fonction, il avait précisé « que les premiers vaccins étaient certes fort prometteurs, mais qu’il lui fallait encore quelques informations supplémentaires et précises pour écarter les zones d’ombre ». lien
Début octobre, les français, étaient, en majorité favorables à se faire vacciner (59%), puis, les semaines passant, la tendance a basculé, et un mois après, ils n’étaient plus que 46 % à être prêts à se faire piquer. lien
Le Professeur Raoult n’est pas resté silencieux sur cette campagne de vaccination, et dans un entretien accordé à Cnews, il a critiqué de façon caustique, la stratégie gouvernementale de vaccination des français, estimant que « c’est vraiment de la folie » d’imaginer rendre les vaccins obligatoires, et affirmant que « si on s’amusait à rendre ce vaccin obligatoire, vous auriez une révolution ». lien
Devant le désastre qui s’annonce, le gouvernement fait feu de tout bois, et Véran y va de son discours, assurant : « le vaccin contre la peur, c’est la connaissance »... et Castex en a remis une couche déclarant : « il faut être altruiste et se faire vacciner pour protéger les autres... »... et argument définitif : « ce sera gratuit ! »...lien
Pourtant le 1er ministre semble oublier le vrai sens du mot « altruiste » qui signifie « généreux, désintéressé »...sauf que l’on peut être généreux sans pour autant avoir une sage prudence.
Il semble donc que la partie ne soit pas gagnée, d'autant qu'Albert Bourla, le grand patron de Pfizer, n’a pas l’intention de se faire vacciner, argumentant : « j’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc il n’est pas recommandé que mon groupe se fasse vacciner maintenant ». lien
En attendant, le chef de l’état est positif au coronavirus, (lien) son premier ministre en quarantaine, et les participants d'un diner qui s’est récemment éternisé à l’Elysée, ne sont pas trop rassurés...lien
Il semble que lors d’échanges récents avec Macron, ils soient nombreux à avoir été contaminés, comme Pedro Sanchez, le président espagnol, mais aussi Charles Michel, lequel s’est placé en quarantaine « par précaution »... tout comme le président de l’assemblée nationale, Richard Ferrand. lien
Les réactions polies du monde politique affluent, mais celle de la sénatrice LR Valerie Boyer, mérite le détour : « si le président est un malade considéré comme précoce, va-t-on savoir si le produit qui lui est administré est celui préconisé par Didier Raoult, puisque l’hydroxychloroquine a été réhabilitée dans plusieurs pays ? ». a-t-elle demandé avec humour.
Quant à François Ruffin, sa réaction n’est pas dépourvue d’humour non plus : « apparemment, Emmanuel Macron n’a pas fait aussi le nécessaire » a-t-il Twitté, faisant référence à la déclaration de Ferrand qui, récemment, déclarait : « si nous sommes malades demain, c’est parce qu’à un moment donné nous n’avons pas fait attention que nécessaire ». lien
Le chantre insoumis en a remis une couche, taquinant le président, lui rappelant les mots durs qu’il avait eus contre les français, leur reprochant de ne pas respecter les gestes barrière. lien
Lors du diner marathon à l'Elysée du mercredi 16 décembre, ils étaient au moins une dizaine, à déguster crevettes et autres fruits de mer, longtemps après minuit, et l’un des visiteurs a commenté : « c’est ce qu’on appelle un cluster ». lien
En attendant, Macron et son virus inquiète d’autres derniers contacts... vu qu’il a participé au dernier conseil européen, et les principaux responsables politiques n’étaient pas toujours masqués...lien
Mais revenons à nos vaccins...
L’avenir nous dira si le message gouvernemental faisant la promotion du vaccin est bien passé, car on ne doute pas que ce gouvernement ait encore en mémoire le fiasco du vaccin H1N1, avec ses millions de doses pour rien... ou presque. lien
2 milliards d’euros partis en fumée, et un député parisien rappelait judicieusement à l’époque que cela avait coûté « plus que le déficit cumulé de tous les hôpitaux publics, ou 3 fois la somme allouée à la recherche contre le cancer ». lien
C’était en 2010... et il semble bien que, 10 ans après, la leçon n’ait pas été encore comprise.
Comme dit mon vieil ami africain : « la mère est celle qui prend le couteau par la lame ».
Le dessi illustrant l’article est de Karim
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
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