mardi 24 novembre 2020 - par olivier cabanel

On achève bien nos p’tits vieux

 

De gros doutes s’accumulent sur la réalité des « morts du covid », notamment, sur le comptage de ceux décédés dans nos maisons de retraite.

C’est une litote d’affirmer que nos anciens sont, parmi la population, ceux qui courent le plus de risque de souffrir de ce coronavirus.

S’il faut en croire le Dr Grégoire Cozon, immunologue au CHU de Lyon, « les chercheurs chinois ont démontré que les formes graves d’infection à coronavirus touchaient essentiellement les personnes de plus de 80 ans » (lien)... et d’autant plus lorsqu’ils sont enfermés dans les Ehpad, avec l’interdiction, comme ça a été le cas récemment, de recevoir des visites.

On imagine dans quelle détresse ils ont alors été plongés, et manifestement beaucoup se sont laissés mourir, plus de détresse que suite à une possible infection.

Dès le 12 avril, Éric Ciotti affirmait « on a laissé mourir nos vieux  »... ajoutant qu’on avait refusé d’hospitaliser des personnes malades qui étaient dans les Ehpad et qu'on les a laissé mourir...lien

Un internaute m’a affirmé avoir entendu sur FR3 Languedoc/Roussillon, le 17 novembre dernier, vers 19h10, une infirmière déclarer avoir reçu l’ordre d’enlever l’oxygène à des personnes âgées pour le mettre à des personnes plus jeunes.

D’après Santé Publique France, depuis le 1 mars 2020, on compte 13 263 décès chez les résidents en Ehpad, sur les 42 207 morts du covid-19... (lien) mais sur ces 13 263 décès, combien sont réellement morts à cause du virus... ou à de mauvaises pratiques thérapeutiques... ou même de désespoir.

Ils sont de plus en plus nombreux à avoir des doutes sur la réalité de ces « morts du covid », supposant que leurs décès avaient une autre origine...

A preuve un témoignage glaçant relevé sur Tweeter lequel fait état, par la voix d’un infirmier de la détresse de ces personnes : « il y eu beaucoup de décès de personnes âgées qui sont mortes de chagrin et de l’isolement », et qui ont été étiquetés « décès/covid-19 ». lien

D’autres témoignages le confirment : « cela a été notre cas, maman testée négative 4 jours avant son décès a été classifiée Covid. Elle est décédée seule dans sa chambre, impossible de la visiter cause confinement. Pas de messe, pas d’amis, pas de proches. Ils lui ont volé sa dignité, son honneur, notre famille est dévastée ».

Mais il y a pire... si on peut dire.

Ce pire a un nom, le remdésivir.

En effet, on pouvait lire dans les colonnes de « Sciences & Avenir » que l’OMS recommandait de ne pas administrer de remdésivir aux malades hospitalisés suite au virus, ce qui n’a pas réjoui la direction de l’entreprise, d’autant qu’elle a admis avoir engrangé près d’un milliard de dollars au troisième trimestre.

Pourtant, dès début octobre, la Commission Européenne a annoncé avoir conclu un accord avec Gilead pour la fourniture de 500 000 doses.

Interrogeons-nous sur les raisons de la décision de l’OMS : dès le 2 octobre, l’EMA (Agence Européenne du Médicament) signalait la possibilité de « problèmes rénaux aigus » provoqués par la prise de ce médicament.

Quant à la HAS (Haute Autorité de Santé) jugeait que son intérêt était « faible ».

Les experts de l’OMS avaient déjà souligné « la possibilité d’importants effets secondaires » et selon eux, à ce stade le fait que son efficacité n’ait pas été prouvée conjugué à ses inconvénients les conduits à ne pas le recommander, les personnes âgées étant les plus fragiles. lien

En tout cas, une pétition a été lancée, et elle recueilli plus de 50 000 signatures. lien

Et si on parlait du Rivotril ?

Le 28 mars, un décret autorisait l’utilisation de ce produit. lien

Or ce « médicament » pose quelques problèmes...il s’agirait de « donner la mort sur ordonnance »...comme on peut le découvrir dans cette audition commission enquête AN.

Extrait : « s’agissant du Rivotril, l’état a pris acte de ce que les équipes de soins palliatifs ne disposaient plus d’Hypnovel, nécessaire pour la prise en charge des fins de vie, notamment dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. (...) la profession s’en est émue car elle s’est demandé si l’on ne donnait pas du Rivotril aux patients dont on pensait qu’on ne pourrait pas les transférer à l’hôpital.... »

Dans le blog « profession-gendarme », on s’interroge : « à une époque où on laisse des gens agoniser des mois durant en leur parlent de dignité humaine alors qu’ils réclament qu’on les aide à partir, les victimes du Rivotril n’ont pas été consultées pas plus que leur familles en contradiction avec toutes les arguties qu’on oppose aux partisans du suicide assisté ». lien

Un internaute, Franck Renda a témoigné dans une courte vidéo sur le thème « ils ont tué nos anciens et j’en ai la preuve », mettant au défi ceux qui voudraient le démentir : « j’aimerais sincèrement que vous me prouviez que j’ai tort », a-t-il écrit.

Il s’inquiète des plus de 6860 décès sur 15 jours survenus après l’autorisation d’utiliser le Rivotril... alors que le nombre de morts du coronavirus, pour la même période était de 10 345. lien

Comment ne pas s’interroger ?

A ce stade de la réflexion, que penser de la déclaration du Dr Laurent Alexandre, lequel n’a pas hésité à dire : « on peut prendre le risque de vacciner les personnes âgées très vite parce qu’elles ont une « espérance de vie résiduelle ». lien 

Pour terminer sur une note relativement plus gaie, on pourrait citer une vidéo plutôt cocasse, dont l’information a fait l’objet d’une brève dans « l’observateur »... un dermatologue a envoyé un kit de test PCR n’ayant jamais été utilisé, et le test a été catalogué positif, alors qu’il n’avait visité pas la moindre narine. lien

En attendant, les coups de gueule fleurissent sur le net, comme celui-ci, sur le thème « monsieur le Président », cher à Boris Vian, signé d’un certain Jean-Paul Pelras.

Ça n’empêche pas Macron de vouloir faire briller son égo une xième fois, puisque le 24 novembre au soir, il se réserve le droit de prendre la parole lorsqu’il s’agit, sous la pression populaire, de desserrer un peu l’étau.

Comme dit mon vieil ami africain : « la nuit peut durer longtemps, mais le jour finit toujours par arriver  ».

Le dessin illustrant l’article est de Deligne

Merci aux internautes pour leur aide précieuse.

Olivier Cabanel

Articles anciens

Mon beau vaccin, roi des banquiers

Vaccin glin glin

Quoiqu’il en coûte

Mâtin quel réveil !

Ces banques qui mènent la danse

le virus ne tue que la nuit

Quand Véran sinistre la santé

La planète Taire

Pas sur les yeux

Bonjour la parano !

Castex et casse toi sont dans un bateau

Bas les masques

Et maintenant

Plus ça change, moins ça change

Macron tend un piège

Ras le masque

Le revers de la médaille

Une coronavirus fiction

Je vais lui montrer qui c’est Raoul(t).

Le pouvoir change de main

Pandémie, retour à l’anormal

Non, je n’ai pas changé

Pandémie, un échec français

Macron, la grande mascarade

Poison d’avril

Bas les masques

Pan...démi...démission

La république des amateurs

Buzyn fait le buzz

Les virus ont la peau dure

Une info virale

A l’hôpital et la charité




Réagir