jeudi 3 février 2011 - par Garnier Denis

La fin de l’héritage est une bonne décision pour le plus grand profit de nos enfants !

« Le premier qui, ayant enclos du terrain, s'avisa de dire : « Ceci est à moi » et trouva des gens assez simples pour le croire fut le vrai fondateur de la société civile. Gardez-vous d'écouter cet imposteur, vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n'est à personne. Quand les héritages se furent accrus en nombre et en étendue au point de couvrir le sol entier et de se toucher tous, les uns ne purent plus s'agrandir qu'aux dépens des autres. De là commencèrent à naître la domination et la servitude. »

Ces quelques phrases du discours sur « l'origine de l'inégalité » de Jean-Jacques ROUSSEAU, à la veille de la Révolution Française, étaient un sage rappel et apparaissent aujourd'hui comme un mauvais présage (qui s'est) réalisé. Les uns ne s'agrandissent qu'aux dépens des autres et de la domination naît la servitude.

L'égalité entre les hommes apparaît aujourd'hui comme un combat perdu, utopique, où les inégalités sont devenues en France et bien au-delà, un état naturel incontestable, aussi réel que l'eau le gaz ou l'électricité. De la République de PLATON, à « L'Utopie » de Thomas MORE, de BABEUF, d'Auguste BLANQUI, de Pierre-Paul PROUDHON, de Karl MARX, à ce qu'on m'a dit et des communistes jusqu'au socialiste Michel ROCARD qui, militant du PSU, revendiquait la suppression de l'héritage, la propriété et sa transmission furent toujours sujets de philosophie qu'il fallait approfondir pour combattre l'inégalité entre les hommes. Tous, hommes, penseurs, philosophes et hommes politiques, ceux-la même qui recherchent les moyens de réduire les inégalités, concluent à la nécessité de réformer la transmission de la propriété, pouvant même aller, comme PROUDHON, jusqu'à remettre en cause la légitimité même  de la propriété privée.

La Révolution Française refonde le droit de propriété privée pour tous, afin de le substituer au droit seigneurial et féodal. La propriété est pour les révolutionnaires le tremplin de la liberté. C'est au prix d'un long travail que les révolutionnaires conçoivent la notion d'un droit de propriété privée suffisant pour fonder une économie libérale de marché.

Dans le « système ancien », la terre est le signe de la servitude, elle sera désormais le signe de la liberté.

Selon les constitutions révolutionnaires successives, « l'homme libre est celui qui ne dépend d'aucun autre, qui n'appartient à personne ». D'où le caractère « sacré » de la propriété privée révolutionnaire. L'évolution de ce monde voulu libre, conduit en fait à transformer le « tiers état » en une classe sociale, où comme par le passé, cohabitent dans la même inégalité, ceux qui possèdent (et) qui transmettent et ceux qui servent, (et) qui louent. La noblesse et le clergé, les plus gros propriétaires fonciers, surtout le clergé, vont perdre progressivement, et leur autorité et leurs terres au profit de ceux qui les remplacent aux affaires. Les nouveaux riches s'enrichissent et les pauvres poursuivent et accomplissent leur perdition.

La propriété privée de liberté

La terre, le sol, l'espace, mais également le fruit qui pousse sur la branche sont devenus domaine privé. L'homme est privé de liberté, privé d'aller et de venir, privé de sentir et de cueillir. La propriété privée est devenue un droit que nul ne peut violer sans prendre le risque de se retrouver dans une vétuste cabane. La Côte d’azur n’est-elle pas privatisée ? Il y a donc ceux qui possèdent le sol, ceux qui l'achètent, et ceux qui ne possèdent rien. A force d'échanges, de ventes et de reventes, certains paysages sont devenus de grands lotissements de plusieurs centaines de kilomètres où la nature est rongée par des cubes, des rectangles, des barres, des immeubles, des villas. On construit les pieds dans l'eau, sur l'eau, sur cette mer qui sera peut-être la prochaine conquête de l'espace, cette mer au bord de laquelle les accès se privatisent. Les campagnes deviennent le trop plein de la ville et les paysages exposent leurs pustules résidentielles. Comme disait Coluche ; « mais jusqu'où s'arrêteront-ils ? »
La propriété privée n'est plus vécue comme un accès à la liberté, mais se transforme en capitaux, symbole certes du libéralisme, mais un libéralisme bien éloigné de l'ambition révolutionnaire de liberté qui l'a fit naître. Figaro de Beaumarchais, pourrait à nouveau lancer : " Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela vous rend fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître !"

Cette totale liberté de vendre et d'acheter, exercée par les riches propriétaires du sol, devient le moyen de dominer ceux qui n'ont rien, de les réduire à l'état de servitude par des loyers exorbitants ou par des prix de terrains insultant le bon sens. Cette évolution contre nature, contre la nature, permet au fil des décennies d'amplifier les inégalités au point d’observer bouche bée, les « sans abris » dormant dans leur duvet sur le trottoir des plus beaux immeubles libres de tout occupant. Le nouveau droit opposable au logement, est à peu près aussi efficace qu'une planche de coffrage pour contenir un tsunami, aussi efficace que l’ingénierie de la communication.

En 2007, selon le Ministère du logement, la France consomme chaque année pour se loger entre 55.000 hectares et 60.000 Ha de terres agricoles, soit l'espace agricole d'un département moyen tous les 5 ans, soit la surface totale d'un département tous les 10 ans. Le mètre carré parisien ne saurait se comparer à celui du département de la Creuse, de l'Ardèche ou bien encore à celui de la Gironde qui m'entoure. Ces hectares principalement arrachés à l'agriculture, sont le fruit de négociations privées dans lesquelles l'Etat n'exerce aucun droit, aucun pouvoir et « les uns s'agrandissent aux dépens des autres ».

Et maintenant ?

Il n'est pas nécessaire de remettre en cause la jouissance de la propriété privée, comme ont pu le faire les communistes en leur temps avec les succès que l'on connaît, où de partager l'assertion de PROUDHON « la propriété c'est le vol ».
Mais l'héritage sans plafond, sans contrainte, sans règle, nourrit la rente au détriment du travail, accentue les inégalités et fait naître de la propriété la domination et la servitude qu'appréhendait Jean-Jacques ROUSSEAU.

Figaro n'aurait pu dire : « L'enfant, s'est donné la peine de naître pour encaisser les loyers ! Que celui occupant les lieux travaille pour les lui payer ! »

Mais que faire ? Que pouvons-nous y faire ? Que doit-on faire ?

Point de Révolution où l'homme risque de perdre sa tête. Juste quelques évolutions pour hisser progressivement tous les hommes au rang de citoyens dignes, bien logés et bien instruits pouvant ainsi pleinement exercer leur liberté, leur citoyenneté.

 Quelques propositions.

Les terrains sont récupérés par un grand service du logement de l'Etat aussi important que peut l'être celui de la sécurité sociale (mais sans déficit.)

· La transmission des biens est plafonnée (entre cinquante et cent mille euros par enfant ?)

· Les terres agricoles deviennent propriété d'Etat et sont mises gratuitement à la disposition des agriculteurs qui en tireront revenus.

· Le logement locatif est progressivement reversé dans le domaine public qui en fixe le prix et les évolutions.

· Le citoyen peut ériger une maison sur un terrain qui ne lui appartient pas et qu'il laissera à son décès. Elle est louée ou vendue par l'Etat qui indemnise les descendants.

· Seules les transmissions d’entreprises, des monuments historiques, le patrimoine protégé, et quelques ajustements nécessaires pour garantir le bien collectif, pourraient bénéficier d'un droit protégé visant à en faciliter la transmission.

· Et toutes autres mesures visant le même objectif.

En moins de cinquante ans, cette évolution de la propriété privée devenue précaire, n'offrant de liberté que pour la génération présente, gommera à terme la principale source d'inégalité entre les hommes et dégagera d'importants moyens pour donner à chacun de meilleures chances pour s'émanciper.

Les premiers profits permettront de loger un plus grand nombre de foyers dans des loyers abordables (30% du salaire) et d’utiliser une grande partie du reste à l’apurement de la dette de la nation qui coûte plus de 50 milliards d’euros d’intérêts par an !

La liberté révolutionnaire ne sera pas celle de la propriété mais celle de l'émancipation de l'individu par l’abandon de l’héritage.

L'Egalité, réhabilitée sur les frontons de la République, entraînera celle de la Liberté et de la Fraternité.

Et les enfants ? C’est vrai ça ! Vous y pensez aux enfants ?

Il est à souhaiter qu’ils aient pu réaliser leurs rêves avant d’attendre anxieusement l’héritage de papa et maman et les disputes qui vont avec ! 

Cet affichage justificateur de fonder ses décisions pour le bien être des enfants est d’une hypocrisie affligeante. Lorsqu’un couple choisit de bâtir une maison, ou d’acheter un logement pour y habiter, c’est pour être mieux logé, pour ne plus dépendre d’un propriétaire, pour donner une chambre à chacun des enfants, etc. Ce n’est certainement pas pour leur permettre de mieux démarrer leur vie !

Ensuite, il faut regarder le monde tel qu’il est !

Que laissons nous à nos enfants ?

Aujourd’hui nous leur laissons une planète polluée, asséchée, pillée de ses matières premières, qui va rapidement devenir inculte à l’agriculture. Nous augmentons les inégalités dans des proportions qui n’ont jamais été atteintes, sauf peut-être avant la Révolution Française. Nous laissons faire les banquiers maffieux avec la complicité des droites occidentales, à la tête des affaires qui pillent les Etats, et reportent la facture sur nos chers petits ! (1.500 milliards de dettes en France en 2010 sur 1.900 milliards de richesses produites - 50 milliards d’intérêts à payer par an sans rembourser le capital !)

Alors le « tout pour les enfants » est une foutaise qui ne masquera pas longtemps le peuple coupable d’inertie !

Vous êtes indigné !

Je suis acteur pour laisser à nos enfants un monde meilleur que celui qui m’a accueillit.

Gardarist



47 réactions


  • Robert GIL ROBERT GIL 3 février 2011 11:48

    C’est aussi en grande partie la propreiété privé des moyens de production, moyen qui ne se develloppent que par l’exploitation des travailleurs qui devrait etre remises en cause !


  • foufouille foufouille 3 février 2011 12:27

    bonne idee sauf que l’etat est deja pas foutu de gerer quoi que ce soit sans favoritisme


  • Cocasse cocasse 3 février 2011 12:31

    Je me suis fabriqué une flute en bois, que j’ai taillé, orné.
    Elle est magnifique et surtout, elle possède le son dont je rêvais.
    Je lui porte une grande valeur affective, et j’ai tellement joué avec qu’elle porte une part de mon âme.

    Selon vos théories :
    - Cette flute est-elle la mienne ?
    - Puis je la léguer à mes enfants ?


    • Sachant Sachant 3 février 2011 17:31

      Je me suis fabriqué une flute en bois

      La première tentative a donné une flute dont le son ressemblait à un cri d’animal
      J’ai fait mettre à mort celui qui l’avait taillée

      La seconde a donné un instrument au son assez mélodieux que l’on entendait à deux pas
      J’ai fait fouetter celui qui l’avait taillée

      La troisième ravissait les allentours du plus pur des son divins
      J’ai fait venir un des enfant de celui qui l’avait taillée
      L’enfant l’a ornée de belle gravure
      J’ai renvoyé chez eux le père et l’enfant, sains et saufs
      Avec deux boulettes de riz chacun

      Selon vos théories :
      - Cette flute est-elle la mienne ?
      - Puis je la léguer à mes enfants 


    • Traroth Traroth 4 février 2011 09:02

      Et vous avez fabriqué tous les objets qui vous entourent ? Vous portez une « grande valeur affective » à votre usine de baskets au Viet-Nam ?


      Allons, un peu de sérieux, ce n’est pas de flûtes en bois qu’il est question ici !

  • cathy30 cathy30 3 février 2011 12:51

    bonjour Gardarist
    Jusqu’où s’arrêteront-ils ? Mais ce n’est pas fini, il y aussi ceux qui achètent d’anciens entrepôts d’usines, cela fait flamber des territoires modestes. Ceux qui vont acheter aux Magrehb ...
    Vous faites bien de dire que cela ce fait au détriment de terres agricoles. Tout cela aura une fin, il y aura nécessairement une bulle immobilière.
    Nous ne pouvons avoir le beurre et l’argent du beurre. Le capitalisme se mange la queue, il n’achète pas tout. L’homme s’auto-détruit pour l’amour de l’argent.


  • pirkiller pirkiller 3 février 2011 14:53

    Bonjour,

    Je pense qu’il y a un certain nombre de personnes qui doivent bien rire en ce moment je citerai juste une petite citation pour résumer la pensée de certains.

    « Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie et je me moque de qui fait les lois ! ».
    citation attribuéé à Mayer Amschel Rothschild, fondateur de la dynastie banquière des Rothschild ...

    ....La vérité est ailleurs ...  smiley)


  • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 15:05

    Vous faites référence à Proudhon, vous oubliez qu’après les slogans provocants de sa prime jeunesse (comme « la propriété, c’est le vol ! »), il a dit :
    "Voilà donc tout mon système : liberté de conscience, liberté de la presse, liberté du travail, liberté de l’enseignement, libre concurrence, libre disposition des fruits de son travail, liberté à l’infini, liberté absolue, liberté partout est toujours ! C’est le système de 1789 et 1793 ; le système de Quesnay, de Turgot, de Jean-Baptiste Say (...) La liberté, donc, rien de plus, rien de moins. Le « laisser-faire, laissez-passer » dans l’acception la plus littérale et la plus large ; conséquemment, la propriété, en tant qu’elle découle légitimement de cette liberté : voilà mon principe. Pas d’autre solidarité entre les citoyens que celle des accidents de force majeure (...) C’est la foi de Franklin, Washington, Lafayette, de Mirabeau, de Casimir Périer, d’Odilon Barrot, de Thiers... "

    Ce qui semble en contradiction avec votre démonstration.

    Le vol est la pire des violences :
    Voler la vie (tuer, donc) c’est voler le futur.
    Asservir, c’est voler le présent.
    Extorquer, voler un bien, c’est voler le passé.

    Car un bien est le résultat d’un travail antérieur. Et une fois que l’on possède ce bien, la vrai justice, c’est de pouvoir en disposer pleinement (dans la limite du respect de la même liberté des autres). Extorquer sous prétexte de redistribuer, c’est condamner le travail et l’épargne (on dirait aujourd’hui l’anti-gaspi) pour favoriser l’oisiveté. Cela s’appelle l’esclavage.

    La générosité n’a rien à voir avec ce vol. La générosité c’est le don volontaire, responsable et libre.

    Il est aussi intéressant de constater que c’est dans les pays où l’économie est la plus libre que les disparités de moyens s’attenues le plus :
    Grâce au technologies développées dans les économies libres, de plus en plus de personnes confient à des machines (machines à laver ...) ce qui était exécuté par ne nombreux serviteurs pour le compte de quelques-uns.

    Les plus pauvres bénéficient des progrès développés pour les plus riches : Automobile, santé, équipement de la maison ... dont les coût de développement ont été pris en charge par ces derniers, et deviennent accessibles au plus grand nombre.

    La plus grande injustice actuelle, c’est le non-accès au marché de l’emploi pour 5 millions de français, et la dépendance extrême des chômeurs envers l’état. Dépendance créée et entretenue par celui-ci.


    • Ced 3 février 2011 16:36

      jesuisunhommelibre> Tu es surtout un hypocrite et un menteur. Non ce n’est pas l’état qui crée les chomeurs.
      Et le don sois disant responsable et libre, c’est de la pure connerie et de la démagogie. Je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais surement pas le même que la majorité des français, sans parler du reste des habitants du monde...


    • Sachant Sachant 3 février 2011 16:59

      Difficile d’être en désaccord avec la première partie de ce commentaire

      Je serai plus réservé par la seconde
      Par exemple

      « un bien est le résultat d’un travail antérieur »
      Oui, mais quand il s’agit du travail de quelqu’un d’autre ?
      Serge Dassault a-t-il révolutionné l’hélice dans le monde de l’aviation ?
      Martin Bouigues a-t-il fondé un empire a partir de son métier d’entrepreneur (en BTP) ?
      Pour ne citer que les plus célèbres de nos héritiers et les plus en vu de nos entrepreneurs
      (J’ai volontairement laissé de côté Loréal afin de ne pas tout mélanger)

      « Extorquer sous prétexte de redistribuer, c’est condamner le travail et l’épargne »
      Le mot extorquer est partisan
      Mais si l’on prélève pour investir dans l’Education des futurs travailleurs,
      La recherche ou la création de PME innovantes

      « La générosité c’est le don volontaire, responsable et libre »
      Parfaitement exact
      Il se trouve juste que je suis très (très) égoïste et ne donne rien à personne, jamais
      Serait-il illégitime de m’inciter à la générosité malgré mon cruel manque d’altruisme ?

      « Automobile »
      Vous ne côtoyez donc aucune personne n’ayant pas les moyens d’acquérir entretenir et assurer une auto ?
      La participation des entreprises aux abonnements de transport en commun
      Sur décision arbitraire et autoritaire de l’état
      Est plus bénéfique au plus grand nombre que la création d’un haut de game de prestige

      « Santé »
      Ca, c’était vrai quand il y avait une sécurité sociale
      Ca l’est de moins en moins
      Sauf à avoir les moyens de souscrire à une bonne complémentaire santé

      « équipement de la maison »
      C’est vrai, mais avec des qualités et fiabilités très variables selon les moyens qu’on y met

      « dont les coût de développement ont été pris en charge par ces derniers (riches) »
      Exact encore une fois mais dont les coûts de travail ont été pris en charge par ces premiers (pauvres)
      Quand on investi de l’argent on gagne de l’argent
      Quand on inverti du travail on gagne... du travail ou un licenciement

      « La plus grande injustice actuelle, c’est le non-accès au marché de l’emploi »
      Avec vous, pleinement

      « la dépendance extrême des chômeurs envers l’état »
      Là, non !
      Les chômeurs dépendent de l’état pour la règlementation
      Qui défini les modalités de d’indemnisation et de la fin des droits
      Financièrement, ils dépendent de l’organisme auquel ils ont cotisé, sur leur salaire
      Auquel l’entreprise à cotisée aussi, mais puisque c’est elle qui peut licencier le cotisant
      Ca n’a rien d’illogique

      « Dépendance créée et entretenue par celui-ci (Etat) »
      Toujours pas
      La dépendance vis a vis des ASSEDIC provient des entreprises qui licencient
      L’entretient de la dépendance aussi
      Si on ne licenciait pas, il n’y aurait pas eu besoin d’ASSEDIC
      (ou Pôle Emploi fusionné ASSEDIC/ANPE)


    • DG. DG. 3 février 2011 17:00

      si l’etat entretien le chômage avec la complicité du grand patronat. ce dernier d’ailleurs, déteste le jeux de l’offre et de la demande.
      exemple : on fait des lois pour vous obliger a vous assurer, dans tous les domaines ; on crée des marché artificiel comme le contrôle technique (on se demande pourquoi mon garagiste ne peux pas certifier mon véhicule !!!) ; on fait des lois pour obliger l’Etat a emprunter, ce qui fait que l’impôt sert a engraisser les financier (a mettre en relation avec la loi sur les assurances) . l’administration autorise des vaccin qui ne servent a rien, pire des médicaments dangereux.....ect. on paie des taxes pour payer les artistes/majors (culture d’Etat ???).

      les plus assisté en europe c’est pas les citoyen, c’est les entreprises. A haut niveau le patronat, c’est comme les soviétique. 


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 17:20

      @ Sachant

      Merci pour vos réponses détaillées.
      Je ne voudrais pas alourdir la discussion en commentant moi-aussi point par point vos propres commentaires. Néanmoins, voici quelques réactions :
      Tout d’abord, concernant les ASSEDIC : Je replace ici un lien concernant un texte clairvoyant de 1850 sur la sécurité sociale, et ce qui est dit s’applique avec la même acuité à l’assurance chômage : http://bastiat.org/fr/secusoc.html.

      Vous me demandez aussi, « Mais quand il s’agit du travail d’un autre ? ».

      Ce travail a-t-il été rémunéré ? Si oui, la question n’a pas lieu d’être. Sinon, c’est de l’esclavage.

      Ou plutôt, cela correspond à la fin de mon intervention : Sans capital (c’est à dire sans outil de travail) il n’y a pas de travail. Donc pas d’emploi pour le travailleur, ni de produit pour le consommateur.

      Il est donc juste que le capital soit lui aussi rémunéré.

      Pour cela, un autre texte (beaucoup plus long que le premier, hélas) qui est une polémique passionnante entre Frédéric Bastiat et Proudhom sur la gratuité du crédit.

      Le talent et la qualité des intervenants m’empêche de développer plus et doit vous inciter à prendre le temps de lire ces textes. Quitte à passer du temps à lire des discussions sur internet, autant que ce soit des textes plus solides que les miens.

      Bonne lecture !


    • Sachant Sachant 3 février 2011 17:36

      Merci, il a y du travail (de lecture)
      Mais on a rien sans rien

      Sinon l’idée était que la vitrine du libéralisme est aussi belle que la vitrine du communisme
      Mais que...


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 19:25

      @ DG.

      Je suis en phase totale avec vos dénonciations. Quand l’état s’occupe de tout, il y a nécessairement des collusions avec le monde des affaires.

      Les contre-pouvoirs n’existent plus.


    • Traroth Traroth 4 février 2011 09:07

      L’argent n’est que du stockage de valeur, et la seule chose qui créé de la valeur, c’est du travail. Les gens qui ont beaucoup de d’argent devraient donc avoir beaucoup travailler. Pourtant, ce n’est pas ce qu’on constate : la valeur qu’ils stockent est issue du travail des autres !


    • xbrossard 4 février 2011 16:48

      @jesuisunhommelibre


      Ce travail a-t-il été rémunéré ? Si oui, la question n’a pas lieu d’être. Sinon, c’est de l’esclavage.

      non, la question à lieu d’être, parce que la rénumération a été décidé par un autre ; le salarié est subordonné aux désidératas de son supérieur

      donc, être payé selon le bon vouloir de son employeur, c’est être partiellement esclave

      parce que être au choix esclave ou être payé juste de quoi manger, quel est la différence ?

  • Sachant Sachant 3 février 2011 16:05

    Pourquoi plafonner l’héritage ?
    Chacun voudrait alors plafonner en fonction de son potentiel d’héritage

    Plus d’héritage patrimonial du tout !

    Il restera l’héritage des réseaux et relations au sein de la classe sociale
    Et l’injustice qui en découle
    De toute façon

    C’est déjà pas mal, non ?


    • Romain Desbois 3 février 2011 16:58

      On pourrait trouver un compromis comme par exemple considérer que la valeur de l’héritage soit déclarée dans l’Impôt sur le Revenu.
      Rendant ainsi progressif l’impôt sur les successions, le pauvre qui hérite serait moins taxé que le riche.


    • pirkiller pirkiller 3 février 2011 16:58

      Personnellement je préférerait :
      1 - que l’on reprenne possession de la création monétaire.
      2 - que l’on récupère les bijoux de familles : autoroutes, énergie etc ..

      et qu’avec les dividendes on donne du patrimoine à ceux qui n’en ont pas ... smiley


    • jpm jpm 3 février 2011 20:26

      Romain, vous y venez finalement au compromis smiley Quoiqu´il en soit l´idée d´intégrer l´héritage dans l´impôt sur le revenu me semble une excellente idée.

      J´en ai profité pour lire votre article sur l imposition unique (voir lien ci-dessous pour les autres) et je trouve que vous développez de bonnes idées. J´aime assez la progression constante de l´imposition. Je mettrais juste un Bémol pour la TVA que vous proposez de supprimer. Ok cet impôt peut sembler injuste mais ça reste un rempart efficace contre les produits d´importations... A ce propos certains (pas forcément à Droite ni maire de Meaux) proposent le concept de TVA sociale.

      En fait, le vrai problème de la TVA c´est de pouvoir la payer... et que souvent lorsqu´on est pauvre on n´a pas d´argent. C´est pourquoi je suis un fervent défenseur de l´allocation universelle ou revenu de vie... qui devrait permettre à tout citoyen d´un pays, de pouvoir consommer, même modestement, et donc de payer sa TVA.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Allocation_universelle

      http://appelpourlerevenudevie.org/


      http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/ma-revolution-fiscale-l-impot-72277


    • Romain Desbois 3 février 2011 21:35

      jpm

      Merci d’être allé lire mon article et pour votre commentaire.

      "TVA que vous proposez de supprimer. Ok cet impôt peut sembler injuste mais ça reste un rempart efficace contre les produits d´importations"

      En fait pas vraiment car la TVA est due que ce soit un produit local ou non, en plus actuellement , vu que la TVA est proportionnelle , cela ne compense pas la différence des prix.

      L’équivalent de ce que rapporte la TVA prélevé sur les revenus permet d’élargir l’assiette à tous les revenus même ceux qui ne servent pas à la consommation mais aussi de rendre cette TVA progressive.

      La TVA sociale est une astuce pour déplacer les charges patronales vers les consommateurs, même si pour le coup cela permet de faire payer les produits importés.

      Mais bon on rajoute une couche et j’ai aussi l’obsession de la simplicité.

      S’il faut mettre une taxe sur les produits, je penche plutôt pour une taxe kilométrique (qui du coup englobe la taxe carbone et une taxe sur les délocalisations).



      Je suis aussi pour l’allocation universelle ou le salaire de vie ;

      En vérité, nous n’en sommes plus très loin :

      De l’allocation familiale au minimum viellesse en passant par le RSA, à part un trou de quelques années, l’on peut toucher quelque chose sans rien faire.
      Bien sur il faudrait améliorer grandement mais sur le principe , nous y sommes .


    • jpm jpm 4 février 2011 08:57

      Romain,

      à propos de l´allocation universelle ou revenu de vie, je suis d´accord qu´en terme de fonds alloués, nous n´en sommes pas très loin. Mais je ne suis pas aussi optimiste sur l´aspect fondamental du concept qui reste son inconditionnalité. Pour le moment nous en sommes très loin, et dans les faits et dans les mentalités.

      L´allocation universelle et inconditionnelle est donnée à tout citoyen d´un pays sans autre justification que d´être né et encore en vie. Plus besoin donc de fournir un tas de papiers à une administration tatillonne qui ne cherche qu´une chose, vous éliminer de ses listes au moindre faux pas. Malgré tout cette allocation encourage à garder ou trouver un emploi ou une activité lucrative car tous les autres revenus s´ajoutent a l´allocation sans jamais la remettre en cause. Evidemment les autres revenus deviennent alors taxable, selon le barème en vigueur (avec si possible une progression constante).

      Evidemment, j´entends déjà les cries d´orfraie de ceux qui « travaillent » dur et se lèvent tôt le matin... quoi on va payer des fainéants avec l´argent de nos impôts ! Entre nous soit dit, c´est déjà le cas, sauf qu´aujourd´hui il faut au moins faire semblant de chercher un travail ou une formation, ce qui cache souvent le plaisir de glander en toute tranquillité smiley Et pourtant qui sait si ce fainéant au cours de ses rêveries ne va pas développer un talent génial et devenir un jour millionnaire, et alors payer plein d´impôts pour payer les soins des premiers devenus dépressifs smiley

      Dernier petit point pour les allocations familiales... certains voudraient les supprimer pour les ménages riches... ce qui permettra de créer une forte activité administrative de contrôle. En France on n´a pas de travail mais on a beaucoup d´idées smiley Ca serait tellement plus simple de les donner à tout le monde (y compris les vilains riches) et de les rendre imposables... Ca serait un premier pas vers le principe d´allocation universelle et inconditionnelle smiley


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 17:39

      C’est exactement de cela que crève une partie de l’Afrique : Les terrain n’appartiennent à personne. Alors, à quoi cela peut-il servit de les dé-pierrer, de les irriguer. C’est un système où un chef s’arroge le pouvoir de décider qui va cultiver telle ou telle parcelle. Ca fonctionne vaguement avec une population clairsemée, cela est invivable avec une population dense.

      Ce qui manque cruellement à l’Afrique, ce sont des notaires et des géomètres !

      Voyez l’expérience d’ Hernando de Soto.


    • Traroth Traroth 4 février 2011 09:10

      Mais si elles n’appartiennent à personne, qui les vend ? C’est absurde !


  • foufouille foufouille 3 février 2011 16:45

    "La plus grande injustice actuelle, c’est le non-accès au marché de l’emploi pour 5 millions de français, et la dépendance extrême des chômeurs envers l’état. Dépendance créée et entretenue par celui-ci."

    plutot par le medef


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 17:34

      Même si le MEDEF défend des idées parfois conservatrices et protectionnistes, il n’est pas de l’intérêt des patrons d’être dans une société de chômeurs. Un producteur, quel qu’il soit a besoin de clients avant tout.


    • foufouille foufouille 3 février 2011 18:25

      mais si
      le manque d’emploi fotce les chomeurs a accepter un petit salaire
      ce qui arrange le medef


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 19:29

      Cet intérêt, si vous prenez la peine d’y réfléchir ne vient qu’en deuxième position : D’abord des clients, puis, si possible, baisser les coûts de production.

      Il est donc urgent de tout faire pour augmenter la création d’entreprises, seules créatrices de richesses et d’emplois. Or, cela ne se peut sans capitaux.


    • foufouille foufouille 4 février 2011 10:44

      non cela en fait parti
      il suffit de chercher NAIRU
      le medef ne tient pas a ce que l’homme soit libre
      un consommateur precaire est toujours oblige de consommer


  • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 17:30

    C’est une attitude très « catho » de penser que si quelqu’un à de l’argent, il l’a eu au dépend des autres, et donc que c’est mal. « Chassez les marchands du temple ! ».

    A mon humble avis, il aurait été plus judicieux d’en chasser les prêtres.

    Il est une autre attitude plus positive, et aussi plus réaliste, qui est de penser que au plus quelqu’un apporte de services aux autres, au plus il s’enrichit. Si un service ou un produit ne vous convient pas, vous n’allez pas l’acheter. Et si beaucoup de personnes pensent comme vous, le producteurs ne s’enrichira pas. Mais si, au contraire, le produits ou service, répond à un grand besoin, les consommateurs sont satisfaits et le producteur s’enrichit. Qu’il y ait une part de chance, bien-sur, nous sommes dans la vraie vie. Qu’il y aient aussi des tricheurs et des voleurs, encore oui. Cela est vrai quelque soit le système. Mais dans une société basée sur le droit, plutôt que sur les passes-droit, une partie des tricheurs peut être éliminé. Dans une société collectiviste, ce sont eux qui prennent le pouvoir et il est très difficile de les en déloger.


    • foufouille foufouille 3 février 2011 18:26

      faut pas oublier le matracage publicitaire et la vente forcee


    • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 3 février 2011 19:38

      @ Gelone,

      C’est un petit peu plus compliqué que ça.

      Si les traders sont payé aussi cher, c’est bien qu’ils rendent des services. Je vous rappelle que les traders sont des salariés.

      Tout ce que vous pouvez dire, il me semble, c’est que vous ne savez pas à quoi ils servent. C’est un peu court pour condamner quelqu’un à l’écartèlement, vous ne pensez pas ?


    • Annie 3 février 2011 20:30

      @Marc Gelone,
      Je suis d’accord avec vous à propos de Soros. Il a obligé en 1992 la GB à sortir du système monétaire européen. Connu sous le surnom de « l’homme qui a fait sauté la banque d’Angleterre ».


  • Le péripate Le péripate 3 février 2011 17:32

    S’il est interdit de donner, alors il est interdit de posséder, et d’abord de se posséder soi-même.

    C’est alors que l’on est un esclave.


  • missionaryman missionaryman 3 février 2011 17:51

    Et si je donne tout à mes enfants, ou effectue une vente bidon, avant de mourir ?
    Si je meurs et pas ma femme, a-t-elle le droit de rester dans notre maison ?
    Vous qui avez manifestement la science infuse, dites-moi si le système que vous proposez a déjà été mis en place dans un pays, et si oui, quelle est la situation économique de ce pays ?
    Tous les penseurs que vous citez n’ont jamais eu à appliquer leurs théories...
    Au fait Rousseau ce n’est pas ce type qui a écrit un essai sur l’éducation (l’Émile, ou De l’éducation) et qui a abandonné tous ses enfants à l’assistance publique ?
    Vous avez des enfants ? Si oui, sympa pour eux...


    • rocla (haddock) rocla (haddock) 3 février 2011 18:54

      T’ as raison Missionaryman ,

      On cite Rousseau , on élabore de grandes théories théoriques et dans la réalité on est le salaud se déguisant dans des draps qu’ on voudrait immaculés et en mettant un chapeau à plume de paon dont la roue sert d’ écran «  inspire-expirez  » mettant en danger de manque d’ oxigène à leur cerveau délabré .

      Parler d’ anciens internautes avec de telles blessures d’ amour propre relève de n’ importe quel psy .


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 3 février 2011 17:57

    Picasso , communistre et dessinateur de costumes de toréador en bon homme de gauche a laissé sa fortune à sa progéniture .

    C’ est ceux qui ont rien qui veulent tout partager .

    Ca n’ a rien à voir , en Suisse on paye une vignette 40 euros pour rouler toute l’ année sur l’ autoroute , en France on paye chaque trajet et ça augmente chaque année .

    Y a beaucoup d’ exemples du genre , cherchez l’ erreur .


  • Annie 3 février 2011 18:47

    Je n’ai pas d’argument économique à opposer à cette suppression, si ce n’est qu’un patrimoine n’est pas toujours monétaire, même si c’est sous cette forme qu’il s’est constitué. Je ne parle pas des grandes fortunes ou des moyens de production.

    Si je dois vraiment aller au bout de mes idées, je dirai que je ne vois aucune différence entre me faire déposséder par l’un ou par l’autre, même si l’autre est l’état. Le fait que cela soit pour le bien commun ne m’est pas d’un grand réconfort. Que l’on paye des frais d’héritage, d’accord, en plus d’impôts, toujours d’accord, le principe est accepté, mais que l’on reverse tout l’acquis d’une vie de labeur dans une caisse commune m’est inconcevable. Après tout, tant que l’on est vivant, ce patrimoine nous appartient parce que nous l’avons gagné, et quelquefois durement, et nous pouvons en disposer comme nous l’entendons. Personnellement, je n’ai absolument rien contre ceux qui choisissent de faire une donation à l’état, mais je ne veux pas que l’on m’enlève la liberté d’en disposer aussi comme je l’entends, à savoir le transmettre à mes enfants. Sinon il faudra expliquer que nous sommes au service de l’état, alors que cela devrait être le contraire. 


  • Gasty Gasty 3 février 2011 19:05

    ART 1 : L’argent amassé durant le vivant d’une personne et qui n’a pas été employé à un projet de vie doit être considérer comme un surplus inutile ( car mal répartis ou utilisé) et effacé définitivement. Ses héritiers pouvant néanmoins continuer à bénéficié du construit.

    Et comme on ne peut construire indéfiniment...

    Bettencout, compte en banque = 0 euros.


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 3 février 2011 19:41

    les mêmes qui font grève au moindre pèt de travers voudraient avoir le pognon de ceux qui suent la transpiration en bossant ...




  • boyardmais 3 février 2011 20:37

    « Je suis acteur pour laisser à nos enfants un monde meilleur que celui qui m’a accueillit. »


    Perdu, il est pire depuis plus de 50 ans !

  • kéké02360 3 février 2011 21:10

    la vie est une maladie sexuellement transmissible dont on hérite sans consentement, une chance on en guérit tous !!!! smiley

    Pourtant on essaie de nous refiler des vaccins , c’est ici :

    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article15821 


  • sleeping-zombie 4 février 2011 10:07

    hello (juste comme ça, en passant)

    oui sur le fond de l’article, mais je me demande... si tu avais commencé ton article par « statistiquement, en France, quand on hérite, on a entre 40 et 60 ans », tu pourrais passer directement au dernier paragraphe Et les enfants ? C’est vrai ça ! Vous y pensez aux enfants ?


  • Arthur 7 février 2011 12:10

    Vous démarrez bien votre article qui démontre que l’héritage ne peut que êtres une entrave à la liberté des hommes. C’est courageux car vous ramez à contre courants de l’opinion générale.

    J’ai conscience que je vais sans doute pas êtres compris, dans mes propos, je conçois car il y a une question que vous soulevez c’est la vrai nature de l’argent monétaire, et en corolaire les biens , c’est qu’il se dévalue continuellement si ils ne sont pas utiliser et logiquement aux bouts de tans d’années leurs valeurs est nuls.

    C’est dans vos propositions que cela se gatte, cette soumission à l’État comme moyen régulateur de l’héritage.
    J y voie une des utopies qui à été appliques par le communisme, et de ce fait la conséquence immédiat de cela la privation de toutes libertés, pour plongées dans l’arbitraire et la corruption généraliser.

     Pourquoi ne pas le penser autrement pour contourner cette entrave, il serrait peut êtres mieux que cela remis à des organises, coopératives, associations , etc qui constitue la société civile. Que les futurs donateurs puise de leurs vivant donner à leur semple le plus capable de pérennise le bien et rien de telle qu’une comunauté humaine.

     


    • Garnier Denis Gardarist 7 février 2011 13:38

      Toutes les idées sont les bienvenues. Effectivement ce pourrait-être géré par l’économie solidaire. L’essentiel de ce billet est de poser la question de l’héritage générateur d’inégalité. Le réduire à sa plus simple expression sans porter atteinte à la jouissance de la propriété privée est une nécessité. Lorsqu’on admet cela, le moyen d’y parvenir est une affaire technique qui ne doit pas poser de problème aux gens de bonne volonté. 

      Merci de votre contribution qui va me permettre de faire évoluer mon raisonnement. 

  • Arthur 7 février 2011 16:41

    Une des voies qui est explore, et à peut d’échos aujourd’hui, c’est la triple- partition sociale.
    Ou appeler la démocratie participative, qui pour but de séparer du manière destins les trois pôles qui forme tout société humaine, Culturelle, politique et économique dans une interaction réciproque.
     Il y a un livre qui traite de se projet il est de Nicador Perlas La société Civile le 3 pouvoir
    éditions Yves Michel


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